Laura, l’actrice de X 10- LA MÉTAMORPHOSE
Récit érotique écrit par VIEULOU [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-11-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Laura, l’actrice de X 10- LA MÉTAMORPHOSE
Laura, l’actrice de X 10- LA MÉTAMORPHOSE
Le dîner où Katte a été invité par Angel et Franck se transforme rapidement en récréation des plus lubriques. Les deux femmes se gouinent radicalement et Franck finit par enculer la plantureuse amie de sa femme.
Lorsque après de longues minutes de relaxation, nous recouvrons nos esprits, Angel refait du café et nous reprenons des forces en dégustant quelques chocolats. Nous avons remis nos vêtements pour éviter de nous retrouver de nouveau dans des conditions aussi scabreuses. Katte aborde alors le prochain dépucelage du postérieur de mon épouse.
• Ma chérie, je crois savoir que tu as souvent rêvé de sodomie. - Tu as pu constater, comme je te l'ai souvent relaté que cela n'a rien d'horrible, même si les premières fois, c'est un peu douloureux. - J'espère que tu voudras bien que ton mari apprête ton œillet mignon dans les prochains jours, car ma chérie, je connais un jeune homme qui sera ravi de t'enculer. - Tu as déjà goûté à sa queue dans ton minou, mais cette fois c'est dans ton petit cul qu'il va vouloir fourrer sa grosse pine. - Je compte sur vous samedi prochain à la maison pour une bonne partie de jambes en l'air, vous pourrez même rester le dimanche car il y a de grandes chances que nous soyons épuisés par la nuit qui nous attend.
Angel est devenue livide en entendant les paroles intentionnellement très crues de son amie. Elle est surtout épouvantée de ce qui lui est promis sous peu. Elle essaie bien de protester, arguant que son postérieur ne pourra jamais recevoir le gros sexe de Roland, que son anus sera complètement saccagé et qu'elle va souffrir effroyablement.
Katte lui réplique que son amant la sodomise au moins une fois par semaine et qu'elle n'a pas un fessier plus important que sa copine. Lorsque Katte nous quitte, mon épouse entreprend de me dissuader de lui faire subir ce dernier outrage. Je résiste à ses supplications, lui remémorant les souhaits qu'elle a exprimés aussi bien à moi qu'à sa plus chère amie.
Enfin je l'assure que nous allons profiter de cette semaine pour préparer son petit derrière à l'intromission du superbe sexe du petit ami de Katte.
Le lendemain matin, sans rien lui dire, j'emmène mon épouse vers une boutique du boulevard de l'Hôpital dans le XIIIe arrondissement. Le magasin aux vitres fumées abrite un des sex-shops chics de la capitale. On y trouve bien sûr des films et des revues classés X, mais aussi des gadgets, dont un nombre incalculable de godemichés pour des emplois aussi bien masculins que féminins.
On y vend également des sous-vêtements féminins sexy ainsi que des accessoires servant pour des pratiques sado-masos ou de bondage. Bien sûr de nombreuses cabines abritent des écrans vidéo pour visionner les films en vente ou en location et, dans le fond de l'établissement, une pancarte indique que des cabines de massage thaïlandais sont également à la disposition des clients. Ce lieu est fréquenté par une clientèle à forte majorité d'hommes, mais il y a aussi des femmes de tous les âges qui viennent s'approvisionner sans complexes dans les rayons bien garnis de ce temple des amours licencieuses et perverses. Le personnel comprenant des vendeurs des deux sexes, je m'adresse à une femme très brune d'environ quarante-cinq ans que je reconnais, pour l'avoir remarqué il y a déjà un certain temps. Cette ancienne star du cinéma X mettait alors en valeur ses charmes d'actrice dans de nombreux films pornographiques des années1980 à 1990 ; elle exposait une plastique superbe, son corps presque parfait et sa beauté brune étant indéniables. De surcroît ce fut une des premières actrices de porno qui ait accepté d’être sodomisée à l'écran et mon cœur s’emballe en me remémorant soudain l’effet qu’elle me faisait lorsque je visionnais ses films. Apparemment elle a choisi de rester en partie dans le métier lorsqu'elle a arrêté de se produire, se reconvertissant dans cet emploi certainement moins rémunérateur.
La femme toute souriante accepte avec empressement de nous renseigner. Je lui fais part devant Angel rouge de confusion, que ma femme désire goûter aux joies de la sodomie, mais qu'elle est complètement novice en la matière et qu'il faudrait que je puisse la préparer avec délicatesse à l'introduction du sexe imposant d'un de nos amis.
La vendeuse qui se prénomme Laura d'après le badge qu'elle porte épinglé sur sa blouse nous assure qu'elle va nous aider au mieux et elle nous propose de nous installer dans un cabinet discret afin que nous puissions consulter les catalogues. Par la suite elle nous donnera des explications et éventuellement elle nous fera essayer quelques gadgets destinés à ce que nous cherchons. Angel est un peu soulagée de ne plus être le point de mire de toute la clientèle, tout du moins c'est ce qu'elle croit, car personne ne fait vraiment attention à nous, la conversation avec Laura ayant été discrète. Celle-ci nous entraîne au fond du magasin, nous descendons au sous-sol et nous entrons dans une pièce qui comporte quelques fauteuils mais aussi un lit de massage. Apparemment ce local sert à plusieurs fins.
La vendeuse nous laisse seuls afin d'aller chercher la marchandise qu'elle va nous proposer, en attendant elle allume un récepteur de télévision qui diffuse des scènes très hard.
Angel a déjà vu ce genre de films sans trop d'émotion, mais justement à cet instant sur l'écran, un homme fortement membré sodomise une jeune femme qui s'agite en cadence sous la queue qui la défonce, alors que la caméra effectuant un travelling, nous montre en gros plan, l'énorme pine qui force l'œillet anal qui se dilate incroyablement sous la poussée.
Ma femme transpire à grosses gouttes, car si, dans cette cabine, il fait assez chaud, le spectacle l'a aussi bouleversée par l'obscénité de la scène. Laura revient en poussant un chariot de supermarché dans lequel elle a disposé un grand nombre de godes ainsi que des tubes de pommade et des boîtes de crème. Elle a un petit sourire en jetant un coup d'œil sur la scène qui se déroule sur la télévision, surtout qu'elle n'a pu manquer d'observer l'attitude troublée de mon épouse.
Elle nous explique d'abord les différents emplois des crèmes et des pommades, adoucissantes pour certaines, facilitant la pénétration pour d'autres, enfin insensibilisantes pour une troisième catégorie, nous présentant pour l'exemple un onguent à la xylocaïne. Elle nous fait des recommandations d'emploi très détaillées, nous assurant qu'elle même s'est servie assez souvent de tel ou tel produit.
Ensuite elle me demande si j'ai déjà essayé de sodomiser mon épouse. Je lui dis que j'ai souvent fait pénétrer un doigt ou même quelquefois deux dans la pastille anale en m'aidant de ma salive, mais que je n'ai jamais été plus loin. Elle sourit et nous assure que c'est un bon commencement, mais qu'il va falloir habituer le sphincter à s'ouvrir et à rester distendu en faisant pénétrer dans l'anus un godemiché spécialement adapté à cette préparation.
Elle nous présente alors un "anus-picket", un olisbos en caoutchouc de la forme d'une carotte et qui comporte un renflement au milieu, permettant à l'engin de rester dans l'anus une fois qu'il a passé les anneaux du sphincter. Elle réconforte Angel qui est affolée de devoir supporter l'introduction de cette « chose » dans le derrière, en lui montrant qu'une poire permet de gonfler ensuite l'appareil pour que la gaine anale s'habitue progressivement au diamètre de la verge qui dépucellera son derrière prochainement.
Angel a de plus en plus chaud, elle retire sa veste de tailleur, laissant apercevoir son chemisier qui colle à la peau à cause de la transpiration. La vendeuse propose à Angel de lui faire un massage qui la décontractera et lui fera sentir l'utilité de certaines pommades qu'elle nous a proposées. Mon épouse ne sait quoi dire, aussi je donne mon acquiescement à sa place. Je l'aide à se déshabiller et une fois nue, elle s'étend sur le ventre sur la table de massage.
Laura regarde avec un sourire ravi la vulve dénudée de sa cliente, la félicitant de son corps superbe et lui disant qu’elle a bien fait de dégager son duvet intime, elle se montre ainsi libérée et sera plus disponible aux regards des hommes qui banderont pour elle. Angel est devenue cramoisie à cette évocation crue de son intimité et de l’avenir qu’elle redoute et espère en même temps. Laura ne perdant pas une seconde, enduit tout le corps de sa patiente d'un gel transparent, faisant frissonner Angel qui se laisse manipuler sans réagir. À ma grande surprise, Laura enlève sa blouse sous laquelle elle ne porte aucun vêtement, puis s'enduisant du même gel, elle s'allonge par-dessus mon épouse qui essaie bien de se relever mais qui ne peut rien faire sous le poids de la femme qui couvre tout son corps. D'ailleurs celle-ci la rassure.
• N'ayez pas peur Madame. - Il ne va rien vous arriver de fâcheux. - Je vous fais tout simplement un Body-Body, c'est un massage thaïlandais dont les hommes raffolent en général, mais je connais aussi beaucoup de femmes qui apprécient le contact d'un corps féminin. - Je suis certaine que vous allez aimer. - Allons détendez-vous. - Vous voyez, vous commencez à aimer mon massage.
Je contemple avec envie le corps de Laura, qui bien qu’un peu enveloppé n’en est pas moins superbe. Très bronzée Laura possède des cuisses et des jambes aussi belles que celles que j’ai pu voir, il y a bien vingt ans dans des salles de cinéma obscures et par la suite sur des cassettes vidéos. Elle possède une chair veloutée comme j’en ai rarement vu. Sa vulve est elle aussi épilée en partie, car une grosse touffe de poils noirs surmonte son mont de vénus, accentuant encore plus les replis des grandes lèvres complètement imberbes et soulignant le rouge orangé du vagin qui baille sur un rythme régulier alors que, si son œillet rectal est complètement dégagé, sa raie culière laisse apercevoir de longs poils bruns qui ajoutent une touche perverse et excitante à ce corps d’albâtre.
Angel ronronne de plaisir sous le corps qui glisse lentement sur elle, le gel ayant certainement un effet voluptueux par sa consistance même. Au bout de quinze minutes, Laura se retire et retourne Angèle sur le dos, puis elle s'étend de nouveau sur le corps qu'elle a enduit d'une couche de gel. Ma femme a fermé les yeux, se laissant faire par la femme habile qui me fait un clin d'œil complice. Je vois bien qu'Angel commence à jouir, car elle gémit sous cette masturbation insolite. Ses pointes de seins sont dressées contre ceux de la femme qui se frotte à elle et ses cuisses se sont écartées pour laisser la vulve de Laura se coller étroitement à la sienne. Les muqueuses se frottant et retroussent les clitoris plaqués l'un contre l'autre. Laura laisse sa patiente éprouver deux ou trois orgasmes, puis elle se retire et retourne encore une fois mon épouse.
Alors elle écarte les cuisses d'Angel, dégageant ses fesses en enduisant la rosace de son anus avec un gel lubrifiant. Puis prenant un petit gode, elle le glisse contre l'œillet huilé et le pousse lentement dans l'anus qui l'absorbe sans difficulté. Angel s'est à peine rendu compte de la manœuvre adroite de la femme qui vient de la masser d'une si étrange façon. Celle-ci effectue des va-et-vient lents avec le petit pénis en plastique, alors qu'Angel râle du plaisir qu'elle ressent. C'est alors que Laura approche l'anus-picket du derrière d'Angel et que, retirant prestement le premier « god », elle pousse le second vivement dans le cul de mon épouse qui a un brusque sursaut devant cette intrusion plus conséquente. Mais l'olisbos est fiché profondément dans son rectum, alors que des larmes coulent sur son visage. La vendeuse compatissante les essuie avec une serviette, tandis qu'elle murmure à la femme dont elle vient de dépuceler l’anus.
• Ce n'est rien ! - Le plus difficile est fait. Vous allez vous habituer maintenant et garder le god dans votre derrière. Votre mari le gonflera doucement ce soir et vous verrez, petit à petit votre anus va se prêter sans souffrance à ce corps étranger. - Je suis certaine que vous ne serez pas longue à jouir de cette sodomie - Vous jouissez déjà magnifiquement lorsque vous êtes masturbée chère Madame. - Allons décontractez-vous, je vous souhaite une bonne partouze pour votre premier enculage. Si un jour vous avez besoin d'une partenaire, j'ai quelques dispositions, souvenez-vous-en !
Angel manifeste une certaine gêne à se déplacer avec l'anus-picket enfoncé dans son rectum, mais elle ne proteste plus, émue probablement par ce qu'elle a permis à cette inconnue et troublée sans aucun doute par la jouissance qu'elle en a éprouvée.
Je lui rapporte ma surprise en voyant la belle Laura dans cette boutique, alors qu'elle a fait les beaux jours, il y a quinze ou vingt ans des films X de l'époque qui étaient d'ailleurs de meilleure qualité érotique que ceux que l'on peut voir actuellement. Elle me répond que je suis un épouvantable vicieux et qu'elle a bien vu que je me serais bien tapé la plantureuse vendeuse. Je ne la détrompe pas, mais je lui fais remarquer toutefois que j'ai donné la priorité à son propre plaisir, m'effaçant devant la femme qui a si bien su la faire jouir et lui faire accepter le début de son dépucelage anal.
De retour à notre appartement, je patiente jusqu'au soir pour reprendre nos jeux amoureux et tous les soirs de la semaine j'augmente quelque peu la grosseur du gode, le gonflant avec la poire qui est jointe pour dilater le conduit, afin qu'il soit prêt à recevoir la grosse pine de Roland lors de la séance prévue pour samedi soir.
À suivre
Le dîner où Katte a été invité par Angel et Franck se transforme rapidement en récréation des plus lubriques. Les deux femmes se gouinent radicalement et Franck finit par enculer la plantureuse amie de sa femme.
Lorsque après de longues minutes de relaxation, nous recouvrons nos esprits, Angel refait du café et nous reprenons des forces en dégustant quelques chocolats. Nous avons remis nos vêtements pour éviter de nous retrouver de nouveau dans des conditions aussi scabreuses. Katte aborde alors le prochain dépucelage du postérieur de mon épouse.
• Ma chérie, je crois savoir que tu as souvent rêvé de sodomie. - Tu as pu constater, comme je te l'ai souvent relaté que cela n'a rien d'horrible, même si les premières fois, c'est un peu douloureux. - J'espère que tu voudras bien que ton mari apprête ton œillet mignon dans les prochains jours, car ma chérie, je connais un jeune homme qui sera ravi de t'enculer. - Tu as déjà goûté à sa queue dans ton minou, mais cette fois c'est dans ton petit cul qu'il va vouloir fourrer sa grosse pine. - Je compte sur vous samedi prochain à la maison pour une bonne partie de jambes en l'air, vous pourrez même rester le dimanche car il y a de grandes chances que nous soyons épuisés par la nuit qui nous attend.
Angel est devenue livide en entendant les paroles intentionnellement très crues de son amie. Elle est surtout épouvantée de ce qui lui est promis sous peu. Elle essaie bien de protester, arguant que son postérieur ne pourra jamais recevoir le gros sexe de Roland, que son anus sera complètement saccagé et qu'elle va souffrir effroyablement.
Katte lui réplique que son amant la sodomise au moins une fois par semaine et qu'elle n'a pas un fessier plus important que sa copine. Lorsque Katte nous quitte, mon épouse entreprend de me dissuader de lui faire subir ce dernier outrage. Je résiste à ses supplications, lui remémorant les souhaits qu'elle a exprimés aussi bien à moi qu'à sa plus chère amie.
Enfin je l'assure que nous allons profiter de cette semaine pour préparer son petit derrière à l'intromission du superbe sexe du petit ami de Katte.
Le lendemain matin, sans rien lui dire, j'emmène mon épouse vers une boutique du boulevard de l'Hôpital dans le XIIIe arrondissement. Le magasin aux vitres fumées abrite un des sex-shops chics de la capitale. On y trouve bien sûr des films et des revues classés X, mais aussi des gadgets, dont un nombre incalculable de godemichés pour des emplois aussi bien masculins que féminins.
On y vend également des sous-vêtements féminins sexy ainsi que des accessoires servant pour des pratiques sado-masos ou de bondage. Bien sûr de nombreuses cabines abritent des écrans vidéo pour visionner les films en vente ou en location et, dans le fond de l'établissement, une pancarte indique que des cabines de massage thaïlandais sont également à la disposition des clients. Ce lieu est fréquenté par une clientèle à forte majorité d'hommes, mais il y a aussi des femmes de tous les âges qui viennent s'approvisionner sans complexes dans les rayons bien garnis de ce temple des amours licencieuses et perverses. Le personnel comprenant des vendeurs des deux sexes, je m'adresse à une femme très brune d'environ quarante-cinq ans que je reconnais, pour l'avoir remarqué il y a déjà un certain temps. Cette ancienne star du cinéma X mettait alors en valeur ses charmes d'actrice dans de nombreux films pornographiques des années1980 à 1990 ; elle exposait une plastique superbe, son corps presque parfait et sa beauté brune étant indéniables. De surcroît ce fut une des premières actrices de porno qui ait accepté d’être sodomisée à l'écran et mon cœur s’emballe en me remémorant soudain l’effet qu’elle me faisait lorsque je visionnais ses films. Apparemment elle a choisi de rester en partie dans le métier lorsqu'elle a arrêté de se produire, se reconvertissant dans cet emploi certainement moins rémunérateur.
La femme toute souriante accepte avec empressement de nous renseigner. Je lui fais part devant Angel rouge de confusion, que ma femme désire goûter aux joies de la sodomie, mais qu'elle est complètement novice en la matière et qu'il faudrait que je puisse la préparer avec délicatesse à l'introduction du sexe imposant d'un de nos amis.
La vendeuse qui se prénomme Laura d'après le badge qu'elle porte épinglé sur sa blouse nous assure qu'elle va nous aider au mieux et elle nous propose de nous installer dans un cabinet discret afin que nous puissions consulter les catalogues. Par la suite elle nous donnera des explications et éventuellement elle nous fera essayer quelques gadgets destinés à ce que nous cherchons. Angel est un peu soulagée de ne plus être le point de mire de toute la clientèle, tout du moins c'est ce qu'elle croit, car personne ne fait vraiment attention à nous, la conversation avec Laura ayant été discrète. Celle-ci nous entraîne au fond du magasin, nous descendons au sous-sol et nous entrons dans une pièce qui comporte quelques fauteuils mais aussi un lit de massage. Apparemment ce local sert à plusieurs fins.
La vendeuse nous laisse seuls afin d'aller chercher la marchandise qu'elle va nous proposer, en attendant elle allume un récepteur de télévision qui diffuse des scènes très hard.
Angel a déjà vu ce genre de films sans trop d'émotion, mais justement à cet instant sur l'écran, un homme fortement membré sodomise une jeune femme qui s'agite en cadence sous la queue qui la défonce, alors que la caméra effectuant un travelling, nous montre en gros plan, l'énorme pine qui force l'œillet anal qui se dilate incroyablement sous la poussée.
Ma femme transpire à grosses gouttes, car si, dans cette cabine, il fait assez chaud, le spectacle l'a aussi bouleversée par l'obscénité de la scène. Laura revient en poussant un chariot de supermarché dans lequel elle a disposé un grand nombre de godes ainsi que des tubes de pommade et des boîtes de crème. Elle a un petit sourire en jetant un coup d'œil sur la scène qui se déroule sur la télévision, surtout qu'elle n'a pu manquer d'observer l'attitude troublée de mon épouse.
Elle nous explique d'abord les différents emplois des crèmes et des pommades, adoucissantes pour certaines, facilitant la pénétration pour d'autres, enfin insensibilisantes pour une troisième catégorie, nous présentant pour l'exemple un onguent à la xylocaïne. Elle nous fait des recommandations d'emploi très détaillées, nous assurant qu'elle même s'est servie assez souvent de tel ou tel produit.
Ensuite elle me demande si j'ai déjà essayé de sodomiser mon épouse. Je lui dis que j'ai souvent fait pénétrer un doigt ou même quelquefois deux dans la pastille anale en m'aidant de ma salive, mais que je n'ai jamais été plus loin. Elle sourit et nous assure que c'est un bon commencement, mais qu'il va falloir habituer le sphincter à s'ouvrir et à rester distendu en faisant pénétrer dans l'anus un godemiché spécialement adapté à cette préparation.
Elle nous présente alors un "anus-picket", un olisbos en caoutchouc de la forme d'une carotte et qui comporte un renflement au milieu, permettant à l'engin de rester dans l'anus une fois qu'il a passé les anneaux du sphincter. Elle réconforte Angel qui est affolée de devoir supporter l'introduction de cette « chose » dans le derrière, en lui montrant qu'une poire permet de gonfler ensuite l'appareil pour que la gaine anale s'habitue progressivement au diamètre de la verge qui dépucellera son derrière prochainement.
Angel a de plus en plus chaud, elle retire sa veste de tailleur, laissant apercevoir son chemisier qui colle à la peau à cause de la transpiration. La vendeuse propose à Angel de lui faire un massage qui la décontractera et lui fera sentir l'utilité de certaines pommades qu'elle nous a proposées. Mon épouse ne sait quoi dire, aussi je donne mon acquiescement à sa place. Je l'aide à se déshabiller et une fois nue, elle s'étend sur le ventre sur la table de massage.
Laura regarde avec un sourire ravi la vulve dénudée de sa cliente, la félicitant de son corps superbe et lui disant qu’elle a bien fait de dégager son duvet intime, elle se montre ainsi libérée et sera plus disponible aux regards des hommes qui banderont pour elle. Angel est devenue cramoisie à cette évocation crue de son intimité et de l’avenir qu’elle redoute et espère en même temps. Laura ne perdant pas une seconde, enduit tout le corps de sa patiente d'un gel transparent, faisant frissonner Angel qui se laisse manipuler sans réagir. À ma grande surprise, Laura enlève sa blouse sous laquelle elle ne porte aucun vêtement, puis s'enduisant du même gel, elle s'allonge par-dessus mon épouse qui essaie bien de se relever mais qui ne peut rien faire sous le poids de la femme qui couvre tout son corps. D'ailleurs celle-ci la rassure.
• N'ayez pas peur Madame. - Il ne va rien vous arriver de fâcheux. - Je vous fais tout simplement un Body-Body, c'est un massage thaïlandais dont les hommes raffolent en général, mais je connais aussi beaucoup de femmes qui apprécient le contact d'un corps féminin. - Je suis certaine que vous allez aimer. - Allons détendez-vous. - Vous voyez, vous commencez à aimer mon massage.
Je contemple avec envie le corps de Laura, qui bien qu’un peu enveloppé n’en est pas moins superbe. Très bronzée Laura possède des cuisses et des jambes aussi belles que celles que j’ai pu voir, il y a bien vingt ans dans des salles de cinéma obscures et par la suite sur des cassettes vidéos. Elle possède une chair veloutée comme j’en ai rarement vu. Sa vulve est elle aussi épilée en partie, car une grosse touffe de poils noirs surmonte son mont de vénus, accentuant encore plus les replis des grandes lèvres complètement imberbes et soulignant le rouge orangé du vagin qui baille sur un rythme régulier alors que, si son œillet rectal est complètement dégagé, sa raie culière laisse apercevoir de longs poils bruns qui ajoutent une touche perverse et excitante à ce corps d’albâtre.
Angel ronronne de plaisir sous le corps qui glisse lentement sur elle, le gel ayant certainement un effet voluptueux par sa consistance même. Au bout de quinze minutes, Laura se retire et retourne Angèle sur le dos, puis elle s'étend de nouveau sur le corps qu'elle a enduit d'une couche de gel. Ma femme a fermé les yeux, se laissant faire par la femme habile qui me fait un clin d'œil complice. Je vois bien qu'Angel commence à jouir, car elle gémit sous cette masturbation insolite. Ses pointes de seins sont dressées contre ceux de la femme qui se frotte à elle et ses cuisses se sont écartées pour laisser la vulve de Laura se coller étroitement à la sienne. Les muqueuses se frottant et retroussent les clitoris plaqués l'un contre l'autre. Laura laisse sa patiente éprouver deux ou trois orgasmes, puis elle se retire et retourne encore une fois mon épouse.
Alors elle écarte les cuisses d'Angel, dégageant ses fesses en enduisant la rosace de son anus avec un gel lubrifiant. Puis prenant un petit gode, elle le glisse contre l'œillet huilé et le pousse lentement dans l'anus qui l'absorbe sans difficulté. Angel s'est à peine rendu compte de la manœuvre adroite de la femme qui vient de la masser d'une si étrange façon. Celle-ci effectue des va-et-vient lents avec le petit pénis en plastique, alors qu'Angel râle du plaisir qu'elle ressent. C'est alors que Laura approche l'anus-picket du derrière d'Angel et que, retirant prestement le premier « god », elle pousse le second vivement dans le cul de mon épouse qui a un brusque sursaut devant cette intrusion plus conséquente. Mais l'olisbos est fiché profondément dans son rectum, alors que des larmes coulent sur son visage. La vendeuse compatissante les essuie avec une serviette, tandis qu'elle murmure à la femme dont elle vient de dépuceler l’anus.
• Ce n'est rien ! - Le plus difficile est fait. Vous allez vous habituer maintenant et garder le god dans votre derrière. Votre mari le gonflera doucement ce soir et vous verrez, petit à petit votre anus va se prêter sans souffrance à ce corps étranger. - Je suis certaine que vous ne serez pas longue à jouir de cette sodomie - Vous jouissez déjà magnifiquement lorsque vous êtes masturbée chère Madame. - Allons décontractez-vous, je vous souhaite une bonne partouze pour votre premier enculage. Si un jour vous avez besoin d'une partenaire, j'ai quelques dispositions, souvenez-vous-en !
Angel manifeste une certaine gêne à se déplacer avec l'anus-picket enfoncé dans son rectum, mais elle ne proteste plus, émue probablement par ce qu'elle a permis à cette inconnue et troublée sans aucun doute par la jouissance qu'elle en a éprouvée.
Je lui rapporte ma surprise en voyant la belle Laura dans cette boutique, alors qu'elle a fait les beaux jours, il y a quinze ou vingt ans des films X de l'époque qui étaient d'ailleurs de meilleure qualité érotique que ceux que l'on peut voir actuellement. Elle me répond que je suis un épouvantable vicieux et qu'elle a bien vu que je me serais bien tapé la plantureuse vendeuse. Je ne la détrompe pas, mais je lui fais remarquer toutefois que j'ai donné la priorité à son propre plaisir, m'effaçant devant la femme qui a si bien su la faire jouir et lui faire accepter le début de son dépucelage anal.
De retour à notre appartement, je patiente jusqu'au soir pour reprendre nos jeux amoureux et tous les soirs de la semaine j'augmente quelque peu la grosseur du gode, le gonflant avec la poire qui est jointe pour dilater le conduit, afin qu'il soit prêt à recevoir la grosse pine de Roland lors de la séance prévue pour samedi soir.
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