Laura Partie 8 Au Moulin avec Rémi mon nouveau compagnon
Récit érotique écrit par Portdebrest [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Laura Partie 8 Au Moulin avec Rémi mon nouveau compagnon
Nus, tous les deux, ma main droite menottée à sa gauche, son pied gauche enchaîné au mien, Mon Chéri Rémi et moi regardons Maître Gilbert partir. Rémi a moins de deux jours pour tout m’apprendre car ensuite toute erreur sera punie et je viens d’apprendre ce qu’il en est (partie 7). La question qui me taraude est celle à laquelle Rémi, n’a pas répondu. je l’appelle ainsi parce qu’aucun Maître n’est présent.
- Rémi avant tout, dis moi, c’est qui ou quoi le chat à neuf queues dont seul Renaud se sert pour punir.
-Ma Chérie, tu devrais toujours m’appeler Chéri, même si parfois tu ne le penses pas, sinon tu risques de te tromper et si Maître Renaud t’entend tu goûteras à ce chat. C’est comme un martinet mais avec neufs cordes. Il y en a plusieurs modèles du plus simple qui a juste neuf cordelettes courtes, d’autres avec des cordes plus raides, certains avec un nœud à chaque extrémité ou des billes… Le pire, heureusement il n’a jamais servi ici, est terminé par des lames. C’était un instrument de torture au Moyen-âge !
-Tu en as subi plusieurs Ré… Chéri ?
- Oui, le plus simple, celui avec des cordes moyennes et celui avec des nœuds. Fais attention à toi ! Avec ce dernier j’ai été fouetté sur le dos et les cuisse avec des traces qui sont restées une semaine Par contre sur les fesses des traces sanguines sont restées marquées longtemps.
- Et tu ne t’es pas révolté ? Ou bien as tu aimé cela...
- Je ne me suis pas révolté… Mais je te raconterais mon ancienne vie pour que tu comprennes. Allons plutôt manger un peu. On verra tout le programme demain car maintenant j’ai du mal à marcher.
Peu après un repas rapide nous nous sommes couchés, mon Chéri m’a mis du baume sur les fesses et j’ai fait de même avec les siennes. Il s’est endormi rapidement, je suis restée longtemps, pensive et perplexe en regardant cette caméra au dessus de notre lit ne sachant pas si elle était allumée et si quelqu’un regardait. Au petit matin, je me suis réveillée et j’allais me lever pour faire le petit déjeuner quand je me suis souvenue que nous étions attachés. Cela a réveillé mon Chéri.
Rémi m’a regardée dans les yeux, Il a retiré le drap que je m’étais posé sur les épaules... J’ai retenu le drap pour cacher mon intimité en dessous de la ceinture en pensant qu’assise sur le lit, la caméra ne remarqueras pas trop.
« Bonjour Laura Chérie.
« Bonjour Rémi Chéri !
« Laura, je devine que tu t’interroges ce matin... Je te comprends car tu ne m’as pas choisi...et je ne t’ai pas choisie non plus ! Tu as décidé de venir ici avec les Maîtres comme moi je l’ai fait voici 10 ans. J’y suis toujours. En venant, nous avons accepté de nous mettre corps et âmes si je puis dire, à leur disposition. J’y ai trouvé ce que je cherchais et sans doute que toi aussi tu as cherché un foyer dans lequel tu n’auras ni froid, ni faim, ni solitude et même une prise en charge totale par des hommes dominants qui te feront vivre des expériences fortes sans que tu n’aies jamais à te poser de question. « Vrai ou non ? Laura, tu ne dis rien.
Je regarde la caméra et reste muette
« Moi, à l’époque j’ai choisi de sortir d’une situation dramatique et je ne veux pas y retourner. C’est mon histoire qui explique ma situation. Dès l’internat du Collège, j’avais des amis garçons qui n’hésitaient pas à se montrer nus à la douche et à jouer à celui qui a la plus grosse. Dans notre chambre de trois, j’étais le plus jeune et le moins bien membré ! Sous couvert d’exercices de lutte, nous nous livrions à des caresses... De semaine en semaine, les jeux sont devenus moins habillés et les caresses plus précises. Un soir le plus âgé de nous trois est venu dans mon lit. Nu ! nous nous sommes caressés et il a joui dans mon lit. Le lendemain c’est le troisième lycéen qui est venu. Il s’est glissé au fond de mon lit, la tête la première et m‘a pris en bouche. Fais comme moi m’a-t’il dit. Malgré mes hésitations et ma maladresse, il a vite giclé sa semence. J’aimais son corps contre le mien, ses caresses et mon plaisir se trouvait là. Ensuite tu le devines Laura, régulièrement ils venaient l’un ou l’autre se faire sucer puis un jour ils ont caressé mon cul. J’aimais le passage de leurs mains sur mes fesses, de leurs doigts sur mon œillet puis dans mon trou. Cela me faisait bander ! C’était doux et naturellement, une nuit, l’un d’entre eux à enfilé sa bite. J’ai ressenti la douleur du passage mais je laissais faire car ses caresses préalables me comblaient presque. C’est quelque temps plus tard avec le second compère que j’ai connu la vraie jouissance. Un jour nous avons fait l’amour ensemble ! Nous avons finalement été punis. Mon père m’a fait quitter l’établissement pour m’éloigner de ceux qu’il appelait des dépravés mais quand il a compris que j’étais consentant il m’a foutu dehors avec seulement quelques vêtements dans un sac à dos et mes papiers d’identité.
[[ la relation détaillée de la jeunesse de Rémi se trouve sur ce site, rédacteur « portdebrest » Lire en particulier l’histoire intitulée « Ma jeunesse » en trois épisodes « 1 premiers émois, 2 frères de sperme et 3 Bidasses ». Vous pouvez adresser vos avis et commentaires sur mail : portdebrest@yahoo.com]]
« Je comprends, tu as galéré très jeune. !
« Ho ! L’heure passe ma chérie. Nous allons déjeuner, faire les chambres et préparer un repas...
Après cela, nous faisons à nouveau le tour du domaine avec les explications nécessaires à l’entretien. Tandis que nous dînons je lui demande :
« Après le collège tu es arrivé ici comment ?
« J’ai trouvé refuge en ville, au village de la fête foraine. « Tu travailles – Tu manges » Montage, démontage, entretien. J’ai dormi sous les caravanes, dans les jeux après la soirée... Le patron d’une grande attraction, marié et père de famille m’a pris sous son aile. Il m’a proposé de faire les déplacements avec eux. En fait, chaque mois, le circuit déménageait et les hommes partaient un peu avant les familles pour monter les manèges et nous dormions dans la couchette du camion. Dès la première nuit, cet homme, aussi fort en gueule que macho s’est jeté sur moi en disant : « Ne fait pas ta mijaurée, tu es un petit Pédé, je le sens... fous toi à poil et tu vas me donner ton cul ! » Abasourdi, j’ai tout enlevé puis j’ai dû le déshabiller, le marcel pour commencer puis le pantalon et le caleçon. Là il à commencé à m’enfiler une main entre les fesses, un doigt sur la rondelle et m’a ordonné de me branler devant lui, j’ai eu un peu de mal au début.
« Ensuite le voir, nu devant moi, musclé, bronzé, le sexe au garde-à-vous m’a fait bander. Je me suis caressé les tétons et me suis branlé et c’est lorsqu’il m’a pénétré avec ses doigts que j’ai joui. Mon sperme s’est répandu sur mon torse qu’il a recueilli sur ses doigts que j’ai sucés. Ensuite J’ai caressé ses boules et pompé sa queue tandis qu’il continuait d’assouplir mon anus avec ses doigts. Son gland dans ma bouche, ma langue entourant sa couronne, son dard complètement tendu vers le plaisir. Il a ensuite ouvert une sachet de capote et m’a ordonné de la lui enfiler car il ne voulait pas attraper la « chaude-pisse » avec un petit Pédé. Il m’a pénétré de force avec sa grosse bite. Rapidement il m’a labouré, écrasé sous sa masse de muscles et de chairs, tamponné tant et si bien qu’il s’est vidé de son sperme. Une fois repu, il a changé de couchette et m’a dit : «nettoie ma queue avec ta bouche de pute... » puis « un mot de tout cela à quiconque et je te tue ! » J’étais certain qu’il en était capable. Cela a duré plusieurs mois et à chaque déplacement du manège c’est à dire 3 nuits par mois, Il commençait par « petit pédé » et terminait par « je te tue ». Avec le temps ses assauts sont devenus plus doux, j’y prenais un certain plaisir et de ma langue je nettoyais son foutre. Jamais nous ne nous sommes embrassés.
Durant ce temps les enfants du camp grandissaient et un soir il m’annonça que je plaisais à la fille du patron du grand 8, ils ont voulu me marier. mon patron m’a dit : « Ne t’inquiète pas tu viendras toujours dans mon camion pour te faire sauter et si tu n’arrives pas à baiser la petite, je lui ferais un gosse à ta place !». Je suis parti. Je n’avais reçu ni fiche de paie ni salaire, seulement nourri et logé. Ensuite c’est ma période la plus sombre, j’ai dormi dans des WC publics, j’ai dû sucer des queues et me faire enculer pour recevoir un peu d’argent ! !Cela a duré, duré... Parfois je passais chez Emmaüs ou aux resto du cœur pour un repas, une douche ou des vêtements propres. »
Rémi se tait. Lui qui parle rarement s’est épanché auprès de moi. J’en suis bouche bée. Rémi a payé très cher son orientation sexuelle alors que moi, je suis heureuse de profiter de la situation. Même la grosse fessée d’hier ne m’a pas fait changer d’avis. Certes, par rapport à Rémi, j’ai été ménagée. Je devrais faire attention à ne pas provoquer de fureur de mes Maîtres, même si je tenterais bien une petite bêtise de temps en temps pour me faire chauffer les fesses.
La soirée est maintenant avancée. Avec mon mon Chéri nous faisons un gros ménage et repassons tout en revue, particulièrement les chambres des Maîtres et le salon puis nous allons ensemble prendre une douche. Rémi est content car les Maîtres l’ont autorisé à me donner une douche chaude alors que souvent il se lave au robinet d’eau froide. Nous en profitons pour faire pipi, c’est moins gênant qu’aux toilettes et nous nous embrassons car mon Chéri embrasse tellement bien. Sa bouche est douce, ses lèvres pulpeuses et sa langue agile. Il me savonne ensuite partout, je lui rends la pareille. Après le rinçage, nous nous séchons avant de nous rendre dans notre chambre dont le lit a bien vécu.
Sous la couette, je caresse mon chéri, et l’embrasse. Je me love ensuite en cuiller derrière lui pour caresser ses tétons. Quand je passe ma main sur ses couilles il me dit :
- « Laura Chérie, tu as remarqué que la lumière reste allumée, l’interrupteur est géré par les Maîtres. Nous avons le droit de nous caresser mais dans ce cas les Maîtres doivent pouvoir vérifier que nous n’allons pas plus loin que ce qu’ils ont autorisé.
- « Et alors ?, je lui réponds.
- Alors, il faut retirer la couette !
- Mais avec la caméra, ils peuvent…
- Oui, elle là pour ça, quand un invité reste la nuit avec moi.
- Et ils matent ?
- Ils peuvent, pas toujours mais ils ne sont pas les seuls…
- Comment ça ? C’est sur le net ? En public ?
- Pas en public mais j’ai compris que les invités qui sont venus au moins une fois ici peuvent avoir un code d’accès au site des Maîtres. Les caméras du Donjon et du salon sont facturées au quart d’heure, celles de la chambre des Maîtres sont privées et celle d’ici est en illimité.
- Ça ne te gène pas ?
- Plus maintenant… J’ai envie de te caresser, d’être bien auprès de toi, le reste ne compte pas.
En disant cela, mon Chéri jette la couette à terre tout en fixant avec bravache la caméra du plafond. Il m’embrasse goulûment, s’attarde sur mes lèvres, à l’intérieur, me suce la langue, je lui rends la pareille. Il descend maintenant vers mes seins qu’il caresse des ses mains, promène sa langue sur une corolle, passe à l’autre, mâchouille un téton, pince l’autre, inverse la position. Je me tortille. Je suis sensible aux chatouilles et il me fait plaisir. Il descend vers mon nombril qu’il lèche. Je Frémis.
- Ma Chérie, tu est belle, je t’aime.
Tout à coup il remonte m’embrasser et en me mordillant l’oreille, il me parle tout bas .
- Maîtres et invités voudrons te faire porter des piercings au nombril, tétons, oreilles… des bijoux alors n’accepte que ceux de valeur, en or, argent et pierres fines… Tu auras le droit de les garder c’est comme des avantages en nature. Fais comme si je ne t’avais rien dit !
Il m’embrasse à nouveau fougueusement et me retourne sur le ventre, m’écarte les jambes, se glisse entre elles, caresse mes fesses puis les écarte. C’est sa langue qui vient butiner la corolle de ma fleur. Sa salive assouplit l’opercule, sa langue pénètre mon intimité. Ça dure un moment et suis sur le point de jouir lorsqu’il me retourne sur le dos. Cela ne peux pas se terminer ainsi… Non, il s’accroupit entre mes jambes, approche sa bouche de ma cage, suce mes bourses… Ses doigts se fraient un chemin vers ma petite chatte. C’est bon… J’ai envie de lui faire plaisir.
Je me glisse entre ses jambes pour commencer un 69 pour imiter ses gestes. Sa cage dans ma bouche, je sens mon clito serré dans la mienne et ses lèvres qui se promènent et glissent sur les bourrelets de chair qui dépassent des mailles de la cage qui compresse mon clitoris. Comme lui, je glisse une main entre ses fesses pour aller toucher son trou secret. Je tente d’empoigner de mon autre main ses bourses mais comme il malaxe mes glands entre ses doigts les menottes sont trop courtes et je me contente de lui pincer un téton. Ensemble nous faisons pénétrer un doigt dans l’anus de notre « Chéri ». Le sien en bien ouvert. Il a souvent été pénétré et visiblement avec de grands diamètres… Maintenant ce sont deux doigts puis trois qui entrent en moi et c’est presque ma main qui pénètre son rectum. Mon Chéri sait y faire… Sa bouche chauffe mon membre encagé, une main joue avec mes boules et l’autre s’agite dans mon rectum pour chauffer mon colon et tamponner ma prostate. J’en oublie de le ramoner tellement je suis en train de prendre un pied d’enfer. Je suis à bout de souffle car la cadence qu’il y met m’entraîne dans des respirations saccadées. Tel un petit chien je souffle et suis prise de tremblements ! Tous mes membres sont tétanisés, les muscles durcis par l’effort… J’explose dans un râle de bonheur. Par la prostate, par le cul, je m’arc-boute et je jouis ! De ma tige se déverse mon liquide séminal qui passe dans les fentes de la cage ! Mon chéri s’empresse de tout boire.
Mon dieu, il n’a pas eu besoin de sa bite pour me faire… JOUIR !!!
Je me détends à peine lorsqu’il prend mon poignet pour agiter ma main en lui. Du coup, je gobe une de ses noisettes comme un bonbon. Ma main petite est entrée en entier dans son antre. Elle fait connaissance de son conduit pour aller caresser sa glande. Il faut peu de temps pour que son point P soit animé et réagisse sous mes gestes. Nous reprenons une sorte de chevauchée intérieure, pleine de bonté et de douceur. Il ne tarde pas à bouger pour s’empaler sur ma main. Dans un rauque puissant, il explose à son tour, un petit jet glisse dans mon cou.
Nous restons comme ça quelque temps avant que mon Chéri vienne lécher ce qui a coulé sur moi et me dire :
- C’était bon, merci ma Chérie, J’aime boire ton jus, sucer tes sécrétions. Ce n’est pas par obligation, c’est devenu un devoir pour moi. Je t’aime.
- Merci Rémi, Mon Chéri, j’ai beaucoup aimé, j’aime être avec toi. Je suis venue ici pour être baisée et dominée par les Maître ; Avec toi, j’ai fait l’amour.
- J’en suis heureux Laura, dors maintenant ma Chérie, Demain sera une journée chargée.
Le lendemain, Rémi, mon Chéri m’a entraîné dehors car il n’avait rien réalisé des travaux à sa charge. Être nus dehors à part la cage, les bracelets et une paire de socs, même par beau temps n’est pas toujours agréable surtout en étant obligés de se côtoyer en passant la tondeuse… La journée est passée ainsi avant un retour à l’intérieur afin de préparer la table et le salon.
Je me suis retenue longtemps mais il bien fallu que je me rende à l’évidence, je n’allais pas tenir jusqu’au retour de Maîtres. Je suis ballonnée. L’un puis l’autre nous avions vidé notre vessie dans un coin du jardin, maintenant c’est la grosse commission qui pousse. Je le lui dis. Il m’entraîne et tourne le dos quand je m ‘assois sur la cuvette.
- Ma Chérie, moi aussi j’ai envie… C’est une envie normale. C’est mieux que nous comprenions cela.
Quand il prend ma place, il de dit :
- Ne sois pas gênée, regarde moi, c’est naturel, Ici nous sommes offerts aux regards et certains sont très « voyeurs ». Autant que tu t’habitues avec moi. Je le regarde, assis, jambes écartées. Lorsqu’il prend du papier, je ferme les yeux.
- Non Chérie, regarde, cela fait partie de la vie et ici on ne doit pas cacher ce que les autres veulent voir.
J’ai ouvert les yeux. Gênée, je l’ai vu se laver le cul avec une lingette. Après m’avoir fait remarquer que je m’étais seulement essuyée, il m’a lavée entre les fesses.
Un silence pesant s’est installé entre nous et nous n’avons pas reparlé de son arrivée au domaine.
Tout à coup, le portail s’ouvre automatiquement.
- Zut dit Rémi. Un maître revient sans prévenir !
Nous sortons en vitesse, nus comme toujours, la nuit est tombée. Il se met à gauche du véhicule et ouvre au chauffeur. c’est Renaud ! Une berline est entrée derrière lui... Je suis à poil et gênée à cause de ce second véhicule. Rémi est agenouillé aux pieds du Maître. Renaud le relève en le prenant par une oreille. Visiblement il est en colère :
- « Va ouvrir au Docteur, Maintenant c’est visite médicale pour Laura.
Je suis nue dehors et les yeux d’un inconnu me scannent littéralement !
- Rémi avant tout, dis moi, c’est qui ou quoi le chat à neuf queues dont seul Renaud se sert pour punir.
-Ma Chérie, tu devrais toujours m’appeler Chéri, même si parfois tu ne le penses pas, sinon tu risques de te tromper et si Maître Renaud t’entend tu goûteras à ce chat. C’est comme un martinet mais avec neufs cordes. Il y en a plusieurs modèles du plus simple qui a juste neuf cordelettes courtes, d’autres avec des cordes plus raides, certains avec un nœud à chaque extrémité ou des billes… Le pire, heureusement il n’a jamais servi ici, est terminé par des lames. C’était un instrument de torture au Moyen-âge !
-Tu en as subi plusieurs Ré… Chéri ?
- Oui, le plus simple, celui avec des cordes moyennes et celui avec des nœuds. Fais attention à toi ! Avec ce dernier j’ai été fouetté sur le dos et les cuisse avec des traces qui sont restées une semaine Par contre sur les fesses des traces sanguines sont restées marquées longtemps.
- Et tu ne t’es pas révolté ? Ou bien as tu aimé cela...
- Je ne me suis pas révolté… Mais je te raconterais mon ancienne vie pour que tu comprennes. Allons plutôt manger un peu. On verra tout le programme demain car maintenant j’ai du mal à marcher.
Peu après un repas rapide nous nous sommes couchés, mon Chéri m’a mis du baume sur les fesses et j’ai fait de même avec les siennes. Il s’est endormi rapidement, je suis restée longtemps, pensive et perplexe en regardant cette caméra au dessus de notre lit ne sachant pas si elle était allumée et si quelqu’un regardait. Au petit matin, je me suis réveillée et j’allais me lever pour faire le petit déjeuner quand je me suis souvenue que nous étions attachés. Cela a réveillé mon Chéri.
Rémi m’a regardée dans les yeux, Il a retiré le drap que je m’étais posé sur les épaules... J’ai retenu le drap pour cacher mon intimité en dessous de la ceinture en pensant qu’assise sur le lit, la caméra ne remarqueras pas trop.
« Bonjour Laura Chérie.
« Bonjour Rémi Chéri !
« Laura, je devine que tu t’interroges ce matin... Je te comprends car tu ne m’as pas choisi...et je ne t’ai pas choisie non plus ! Tu as décidé de venir ici avec les Maîtres comme moi je l’ai fait voici 10 ans. J’y suis toujours. En venant, nous avons accepté de nous mettre corps et âmes si je puis dire, à leur disposition. J’y ai trouvé ce que je cherchais et sans doute que toi aussi tu as cherché un foyer dans lequel tu n’auras ni froid, ni faim, ni solitude et même une prise en charge totale par des hommes dominants qui te feront vivre des expériences fortes sans que tu n’aies jamais à te poser de question. « Vrai ou non ? Laura, tu ne dis rien.
Je regarde la caméra et reste muette
« Moi, à l’époque j’ai choisi de sortir d’une situation dramatique et je ne veux pas y retourner. C’est mon histoire qui explique ma situation. Dès l’internat du Collège, j’avais des amis garçons qui n’hésitaient pas à se montrer nus à la douche et à jouer à celui qui a la plus grosse. Dans notre chambre de trois, j’étais le plus jeune et le moins bien membré ! Sous couvert d’exercices de lutte, nous nous livrions à des caresses... De semaine en semaine, les jeux sont devenus moins habillés et les caresses plus précises. Un soir le plus âgé de nous trois est venu dans mon lit. Nu ! nous nous sommes caressés et il a joui dans mon lit. Le lendemain c’est le troisième lycéen qui est venu. Il s’est glissé au fond de mon lit, la tête la première et m‘a pris en bouche. Fais comme moi m’a-t’il dit. Malgré mes hésitations et ma maladresse, il a vite giclé sa semence. J’aimais son corps contre le mien, ses caresses et mon plaisir se trouvait là. Ensuite tu le devines Laura, régulièrement ils venaient l’un ou l’autre se faire sucer puis un jour ils ont caressé mon cul. J’aimais le passage de leurs mains sur mes fesses, de leurs doigts sur mon œillet puis dans mon trou. Cela me faisait bander ! C’était doux et naturellement, une nuit, l’un d’entre eux à enfilé sa bite. J’ai ressenti la douleur du passage mais je laissais faire car ses caresses préalables me comblaient presque. C’est quelque temps plus tard avec le second compère que j’ai connu la vraie jouissance. Un jour nous avons fait l’amour ensemble ! Nous avons finalement été punis. Mon père m’a fait quitter l’établissement pour m’éloigner de ceux qu’il appelait des dépravés mais quand il a compris que j’étais consentant il m’a foutu dehors avec seulement quelques vêtements dans un sac à dos et mes papiers d’identité.
[[ la relation détaillée de la jeunesse de Rémi se trouve sur ce site, rédacteur « portdebrest » Lire en particulier l’histoire intitulée « Ma jeunesse » en trois épisodes « 1 premiers émois, 2 frères de sperme et 3 Bidasses ». Vous pouvez adresser vos avis et commentaires sur mail : portdebrest@yahoo.com]]
« Je comprends, tu as galéré très jeune. !
« Ho ! L’heure passe ma chérie. Nous allons déjeuner, faire les chambres et préparer un repas...
Après cela, nous faisons à nouveau le tour du domaine avec les explications nécessaires à l’entretien. Tandis que nous dînons je lui demande :
« Après le collège tu es arrivé ici comment ?
« J’ai trouvé refuge en ville, au village de la fête foraine. « Tu travailles – Tu manges » Montage, démontage, entretien. J’ai dormi sous les caravanes, dans les jeux après la soirée... Le patron d’une grande attraction, marié et père de famille m’a pris sous son aile. Il m’a proposé de faire les déplacements avec eux. En fait, chaque mois, le circuit déménageait et les hommes partaient un peu avant les familles pour monter les manèges et nous dormions dans la couchette du camion. Dès la première nuit, cet homme, aussi fort en gueule que macho s’est jeté sur moi en disant : « Ne fait pas ta mijaurée, tu es un petit Pédé, je le sens... fous toi à poil et tu vas me donner ton cul ! » Abasourdi, j’ai tout enlevé puis j’ai dû le déshabiller, le marcel pour commencer puis le pantalon et le caleçon. Là il à commencé à m’enfiler une main entre les fesses, un doigt sur la rondelle et m’a ordonné de me branler devant lui, j’ai eu un peu de mal au début.
« Ensuite le voir, nu devant moi, musclé, bronzé, le sexe au garde-à-vous m’a fait bander. Je me suis caressé les tétons et me suis branlé et c’est lorsqu’il m’a pénétré avec ses doigts que j’ai joui. Mon sperme s’est répandu sur mon torse qu’il a recueilli sur ses doigts que j’ai sucés. Ensuite J’ai caressé ses boules et pompé sa queue tandis qu’il continuait d’assouplir mon anus avec ses doigts. Son gland dans ma bouche, ma langue entourant sa couronne, son dard complètement tendu vers le plaisir. Il a ensuite ouvert une sachet de capote et m’a ordonné de la lui enfiler car il ne voulait pas attraper la « chaude-pisse » avec un petit Pédé. Il m’a pénétré de force avec sa grosse bite. Rapidement il m’a labouré, écrasé sous sa masse de muscles et de chairs, tamponné tant et si bien qu’il s’est vidé de son sperme. Une fois repu, il a changé de couchette et m’a dit : «nettoie ma queue avec ta bouche de pute... » puis « un mot de tout cela à quiconque et je te tue ! » J’étais certain qu’il en était capable. Cela a duré plusieurs mois et à chaque déplacement du manège c’est à dire 3 nuits par mois, Il commençait par « petit pédé » et terminait par « je te tue ». Avec le temps ses assauts sont devenus plus doux, j’y prenais un certain plaisir et de ma langue je nettoyais son foutre. Jamais nous ne nous sommes embrassés.
Durant ce temps les enfants du camp grandissaient et un soir il m’annonça que je plaisais à la fille du patron du grand 8, ils ont voulu me marier. mon patron m’a dit : « Ne t’inquiète pas tu viendras toujours dans mon camion pour te faire sauter et si tu n’arrives pas à baiser la petite, je lui ferais un gosse à ta place !». Je suis parti. Je n’avais reçu ni fiche de paie ni salaire, seulement nourri et logé. Ensuite c’est ma période la plus sombre, j’ai dormi dans des WC publics, j’ai dû sucer des queues et me faire enculer pour recevoir un peu d’argent ! !Cela a duré, duré... Parfois je passais chez Emmaüs ou aux resto du cœur pour un repas, une douche ou des vêtements propres. »
Rémi se tait. Lui qui parle rarement s’est épanché auprès de moi. J’en suis bouche bée. Rémi a payé très cher son orientation sexuelle alors que moi, je suis heureuse de profiter de la situation. Même la grosse fessée d’hier ne m’a pas fait changer d’avis. Certes, par rapport à Rémi, j’ai été ménagée. Je devrais faire attention à ne pas provoquer de fureur de mes Maîtres, même si je tenterais bien une petite bêtise de temps en temps pour me faire chauffer les fesses.
La soirée est maintenant avancée. Avec mon mon Chéri nous faisons un gros ménage et repassons tout en revue, particulièrement les chambres des Maîtres et le salon puis nous allons ensemble prendre une douche. Rémi est content car les Maîtres l’ont autorisé à me donner une douche chaude alors que souvent il se lave au robinet d’eau froide. Nous en profitons pour faire pipi, c’est moins gênant qu’aux toilettes et nous nous embrassons car mon Chéri embrasse tellement bien. Sa bouche est douce, ses lèvres pulpeuses et sa langue agile. Il me savonne ensuite partout, je lui rends la pareille. Après le rinçage, nous nous séchons avant de nous rendre dans notre chambre dont le lit a bien vécu.
Sous la couette, je caresse mon chéri, et l’embrasse. Je me love ensuite en cuiller derrière lui pour caresser ses tétons. Quand je passe ma main sur ses couilles il me dit :
- « Laura Chérie, tu as remarqué que la lumière reste allumée, l’interrupteur est géré par les Maîtres. Nous avons le droit de nous caresser mais dans ce cas les Maîtres doivent pouvoir vérifier que nous n’allons pas plus loin que ce qu’ils ont autorisé.
- « Et alors ?, je lui réponds.
- Alors, il faut retirer la couette !
- Mais avec la caméra, ils peuvent…
- Oui, elle là pour ça, quand un invité reste la nuit avec moi.
- Et ils matent ?
- Ils peuvent, pas toujours mais ils ne sont pas les seuls…
- Comment ça ? C’est sur le net ? En public ?
- Pas en public mais j’ai compris que les invités qui sont venus au moins une fois ici peuvent avoir un code d’accès au site des Maîtres. Les caméras du Donjon et du salon sont facturées au quart d’heure, celles de la chambre des Maîtres sont privées et celle d’ici est en illimité.
- Ça ne te gène pas ?
- Plus maintenant… J’ai envie de te caresser, d’être bien auprès de toi, le reste ne compte pas.
En disant cela, mon Chéri jette la couette à terre tout en fixant avec bravache la caméra du plafond. Il m’embrasse goulûment, s’attarde sur mes lèvres, à l’intérieur, me suce la langue, je lui rends la pareille. Il descend maintenant vers mes seins qu’il caresse des ses mains, promène sa langue sur une corolle, passe à l’autre, mâchouille un téton, pince l’autre, inverse la position. Je me tortille. Je suis sensible aux chatouilles et il me fait plaisir. Il descend vers mon nombril qu’il lèche. Je Frémis.
- Ma Chérie, tu est belle, je t’aime.
Tout à coup il remonte m’embrasser et en me mordillant l’oreille, il me parle tout bas .
- Maîtres et invités voudrons te faire porter des piercings au nombril, tétons, oreilles… des bijoux alors n’accepte que ceux de valeur, en or, argent et pierres fines… Tu auras le droit de les garder c’est comme des avantages en nature. Fais comme si je ne t’avais rien dit !
Il m’embrasse à nouveau fougueusement et me retourne sur le ventre, m’écarte les jambes, se glisse entre elles, caresse mes fesses puis les écarte. C’est sa langue qui vient butiner la corolle de ma fleur. Sa salive assouplit l’opercule, sa langue pénètre mon intimité. Ça dure un moment et suis sur le point de jouir lorsqu’il me retourne sur le dos. Cela ne peux pas se terminer ainsi… Non, il s’accroupit entre mes jambes, approche sa bouche de ma cage, suce mes bourses… Ses doigts se fraient un chemin vers ma petite chatte. C’est bon… J’ai envie de lui faire plaisir.
Je me glisse entre ses jambes pour commencer un 69 pour imiter ses gestes. Sa cage dans ma bouche, je sens mon clito serré dans la mienne et ses lèvres qui se promènent et glissent sur les bourrelets de chair qui dépassent des mailles de la cage qui compresse mon clitoris. Comme lui, je glisse une main entre ses fesses pour aller toucher son trou secret. Je tente d’empoigner de mon autre main ses bourses mais comme il malaxe mes glands entre ses doigts les menottes sont trop courtes et je me contente de lui pincer un téton. Ensemble nous faisons pénétrer un doigt dans l’anus de notre « Chéri ». Le sien en bien ouvert. Il a souvent été pénétré et visiblement avec de grands diamètres… Maintenant ce sont deux doigts puis trois qui entrent en moi et c’est presque ma main qui pénètre son rectum. Mon Chéri sait y faire… Sa bouche chauffe mon membre encagé, une main joue avec mes boules et l’autre s’agite dans mon rectum pour chauffer mon colon et tamponner ma prostate. J’en oublie de le ramoner tellement je suis en train de prendre un pied d’enfer. Je suis à bout de souffle car la cadence qu’il y met m’entraîne dans des respirations saccadées. Tel un petit chien je souffle et suis prise de tremblements ! Tous mes membres sont tétanisés, les muscles durcis par l’effort… J’explose dans un râle de bonheur. Par la prostate, par le cul, je m’arc-boute et je jouis ! De ma tige se déverse mon liquide séminal qui passe dans les fentes de la cage ! Mon chéri s’empresse de tout boire.
Mon dieu, il n’a pas eu besoin de sa bite pour me faire… JOUIR !!!
Je me détends à peine lorsqu’il prend mon poignet pour agiter ma main en lui. Du coup, je gobe une de ses noisettes comme un bonbon. Ma main petite est entrée en entier dans son antre. Elle fait connaissance de son conduit pour aller caresser sa glande. Il faut peu de temps pour que son point P soit animé et réagisse sous mes gestes. Nous reprenons une sorte de chevauchée intérieure, pleine de bonté et de douceur. Il ne tarde pas à bouger pour s’empaler sur ma main. Dans un rauque puissant, il explose à son tour, un petit jet glisse dans mon cou.
Nous restons comme ça quelque temps avant que mon Chéri vienne lécher ce qui a coulé sur moi et me dire :
- C’était bon, merci ma Chérie, J’aime boire ton jus, sucer tes sécrétions. Ce n’est pas par obligation, c’est devenu un devoir pour moi. Je t’aime.
- Merci Rémi, Mon Chéri, j’ai beaucoup aimé, j’aime être avec toi. Je suis venue ici pour être baisée et dominée par les Maître ; Avec toi, j’ai fait l’amour.
- J’en suis heureux Laura, dors maintenant ma Chérie, Demain sera une journée chargée.
Le lendemain, Rémi, mon Chéri m’a entraîné dehors car il n’avait rien réalisé des travaux à sa charge. Être nus dehors à part la cage, les bracelets et une paire de socs, même par beau temps n’est pas toujours agréable surtout en étant obligés de se côtoyer en passant la tondeuse… La journée est passée ainsi avant un retour à l’intérieur afin de préparer la table et le salon.
Je me suis retenue longtemps mais il bien fallu que je me rende à l’évidence, je n’allais pas tenir jusqu’au retour de Maîtres. Je suis ballonnée. L’un puis l’autre nous avions vidé notre vessie dans un coin du jardin, maintenant c’est la grosse commission qui pousse. Je le lui dis. Il m’entraîne et tourne le dos quand je m ‘assois sur la cuvette.
- Ma Chérie, moi aussi j’ai envie… C’est une envie normale. C’est mieux que nous comprenions cela.
Quand il prend ma place, il de dit :
- Ne sois pas gênée, regarde moi, c’est naturel, Ici nous sommes offerts aux regards et certains sont très « voyeurs ». Autant que tu t’habitues avec moi. Je le regarde, assis, jambes écartées. Lorsqu’il prend du papier, je ferme les yeux.
- Non Chérie, regarde, cela fait partie de la vie et ici on ne doit pas cacher ce que les autres veulent voir.
J’ai ouvert les yeux. Gênée, je l’ai vu se laver le cul avec une lingette. Après m’avoir fait remarquer que je m’étais seulement essuyée, il m’a lavée entre les fesses.
Un silence pesant s’est installé entre nous et nous n’avons pas reparlé de son arrivée au domaine.
Tout à coup, le portail s’ouvre automatiquement.
- Zut dit Rémi. Un maître revient sans prévenir !
Nous sortons en vitesse, nus comme toujours, la nuit est tombée. Il se met à gauche du véhicule et ouvre au chauffeur. c’est Renaud ! Une berline est entrée derrière lui... Je suis à poil et gênée à cause de ce second véhicule. Rémi est agenouillé aux pieds du Maître. Renaud le relève en le prenant par une oreille. Visiblement il est en colère :
- « Va ouvrir au Docteur, Maintenant c’est visite médicale pour Laura.
Je suis nue dehors et les yeux d’un inconnu me scannent littéralement !
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