Laure (épisode 4)
Récit érotique écrit par Mage [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-06-2003 dans la catégorie Plus on est
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Laure (épisode 4)
Après Olivier et Fabienne nous avons connu d’autres couples et d’autres femmes.
Colette et Carlos… C’est Colette qui un soir, alors que nous regardions un film porno chez eux et qu’elle était installée sur mes genoux, a déclaré vouloir essayer une expérience avec notre couple, elle était prête même sur l’instant…J’avais senti cet appel alors que je la caressais à travers ses vêtements légers. Mais nous reportâmes l’expérience à une réunion ultérieure, car Colette , jeune maman, n’utilisait encore aucun moyen de contraception : Elle se ferait prescrire la pilule rapidement. Ses yeux brillaient déjà à la pensée de ces ébats à venir. Son mari, grand consommateur de films pornographiques pourrait avoir du réel à se mettre sous les yeux, et avec son épouse comme Star !.. Pour l’instant, elle rêvait déjà à ces rôles, faciles à interpréter dès qu’on oublie quelques secondes sa pudeur. Colette était bien plus grande que Laure , avec des seins tout ronds, mais ses hanches étaient plus larges, ses fesses plus potelées un peu comme Fabienne, mais sa chatte, (contrairement à celle de Fabienne fine, bien dessinée, ferme et au poil assez court) était molle, élastique, au poil plus long, mais souple et clair, ce qui était surprenant lors des caresses, Il semblait qu’on pouvait l’étirer à volonté, mais en fait , à l’expérience , elle ne semblait pas plus large que celle des autres, son poil était certainement le plus soyeux. Le plus amusant était de caresser son clitoris enserré dans ses grandes lèvres molles, qui permettaient de sentir l’érection de ce petit appendice à travers ses chairs. Carlos , lui, était une sorte de colosse brun de plus de quatre vingt quinze kilos, à la peau mate, aux épaules larges, aux fesses musclées et au phallus intimidant par son volume et sa longueur…Quand il marchait, nu, son engin sombre battait ses cuisses au rythme de ses pas, comme celui d’un âne à l’érection naissante ou une trompe d’éléphanteau, ses testicules faisaient penser à celles d’un taureau.
Je l’ai examiné un jour, lors d’une partie organisée chez eux, de très près, pénétrer ma petite Laure , qui devait peser quarante petits kilos et qui a des hanches étroites. Le sexe de Carlos commençait une érection… Petit à petit son gland rose se découvrit et le prépuce se rétracta. Sa bite était presque bicolore, sombre à base et rosée sur la partie normalement cachée au repos. C’est la première fois que je voyais une verge non circoncise en érection. Après avoir excité son membre manuellement pour le rendre encore plus imposant et pour lui donner une raideur paraissant suffisante, Il s’installa à genoux, face à elle. Il souleva la croupe de ma femme, alors allongée sur le dos, les cuisses écartées, les jambes repliées, d’une seule de ses grosses mains appliquée sous les fesses menues. Il agissait comme s’il s’agissait de soulever un bébé dont on va faire la toilette. Seules les épaules de Laure restent en contact avec le matelas. Il caressa sa vulve pour lubrifier ses doigts et enduisit son sexe de cette crème naturelle. Il tira sur son prépuce pour découvrir son gland encore caché et guida son gros bazar devenue vraiment colossal en direction du bas ventre, du tabernacle de ma femme. Le fait de soulever Laure d’une main ne semblait pas lui demander plus d’effort que celui de maintenir son terrifiant engin de l’autre… A cet instant ma petite épouse fermait les yeux, n’osant regarder, mais imaginant ce que pourrait être le membre de Carlos en pleine érection: « S’il entre en moi pensait-elle, je serai déchirée, mise en pièce, infirme pour toujours. » Carlos, lui, s’appliquait à sa tache son pouce et son index écartaient les chairs, tandis qu’il soutenait son pieu entre sa paume et ses autres doigts. L’empalement sembla laborieux, il contractait ses muscles fessiers et guidait l’engin hypertrophié qui disparaissait centimètre par centimètre dans l’intimité de sa partenaire en se courbant tel un gros boa et en écartant au passage les chairs de cette petite vulve qui l’accueillait… Laure était, dans un réflexe naturel, presque en grand écart, les tendons des muscles des cuisses tirés et tendus à l’extrême de chaque côté de son sexe, pour ouvrir le plus grand possible l’entrée de son vagin afin de diminuer tant que faire se peut le supplice attendu…il était ouvert comme une petite bouche d’enfant suçant goulûment un esquimau géant. Restant en grand écart, elle avait posé ses pieds derrière les genoux de Carlos.
L’homme connaissait bien son affaire… Leurs pubis respectifs étaient distants d’environ vingt centimètres au début de l’intromission, pour venir peu à peu se rejoindre parfaitement…Le membre excessif n’en finissait pas d’entrer dans ses viscères : je ne pensais pas que Laure fût si profonde. Elle ouvrit les yeux pour chercher un secours dans mon regard, et, ne constatant chez moi aucun affolement , elle se laissa prendre tranquillement… Après tout un sexe ne tue pas et elle en avait déjà supporté deux ensemble auparavant, et la présence de Colette, là, souriante, paisible, le regard éclairé la rassura. : si sa copine était là c’est que la chose était possible. Quand il fut jusqu’au tréfonds de son puit d’amour, le géant s’allongea alors de tout son poids sur mon petit bout de chou, l’écrasant littéralement et là , la bête se mit en route, inexorablement . Lors des trois premiers enfoncements la vulve émit des sortes de pets, libérant un peu plus chaque fois l’air trop comprimé par le piston dans son vagin, ce qui faciliterait les mouvements suivants. J’avais constaté ce phénomène lors d’introduction d’emballages d’aérosols, ce qui indiquait que le vit de Carlos avait alors un diamètre d’au moins cinq bons centimètres, soit une circonférence de plus de seize centimètres… comparés aux onze ou douze centimètres dont elle avait l’habitude ! Et pour ceux qui aiment les chiffres, plus de quatre cent grammes de chair à engloutir au lieu des cent cinquante de son quotidien…Et en une seule bouchée ! Les phallus de Olivier et moi-même réunis, qui n’avaient d’ailleurs réalisé qu’une pénétration partielle à cause de la difficulté de la position, n’étaient rien en comparaison du monstre.. Ma moitié devenait physiquement sa moitié, tant elle semblait minuscule et fragile sous cette montagne de muscles : On aurait dit la saillie d’un taureau de concours de plus d’une tonne sur une génisse de l’année.. On a l’habitude entre copains, d’appeler Laure « Puce. » ou « La Puce. », pour sa petite taille et son énergie bondissante, mais elle avait là affaire à une sorte de gros faux bourdon, c’était aussi l’image incroyable du grand mâle dominant d’un groupe de gorilles des montagnes enfourchant une toute jeune guenon ouistiti fébrile, ou un imposant Minotaure possédant la frêle, petite et jeune vierge qui venait de lui être offerte en sacrifice… : Il semblait la défoncer, la poignarder, l’empaler littéralement par l’épaisseur et la longueur de son engin terrifiant. Il semblait difficile à croire que ce petit ventre puisse engloutir totalement cette masse de chair. Elle subissait la une seconde défloration. Dans ses mouvements de pénétrations et de retraits successifs, les petites lèvres du minou de Laure semblaient comme collées à ce pieu imposant qui les aspiraient et les retournaient dans un large mouvement de va-et-vient…agissant comme une grosse pompe mue par un moteur puissant dans un joint élastique à la limite de la rupture. Pourtant la vulve de Laure est déjà une sorte de phénomène en soi : Large pour un bassin si étroit, assez velue mais pas trop, et, heureusement, toujours très bien lubrifiée. L’habituelle délicate corolle des petites lèvres de ma petite Puce était devenue un fin bracelet élastique de chair fine et translucide, étiré plus qu’à l’extrême autour de ce cylindre impressionnant, formant un gros cercle rose dilaté, entouré des grandes lèvres, plus solides mais tout aussi écartées de force, et ourlées de l’implantation des poils du pubis qui semblaient plus épars autour de cette gaine dilatée, plus clairsemés tellement la peau fine et claire qui les supportait était distendue au dessus du petit trou sombre de son anus si proche. Cette vulve ne ressemblait plus à ce qu’elle avait été, Elle semblait écartée aux forceps. Le fer rentrait dans la viande… Le ver était dans le fruit mûr. Et plus jamais Laure ne se satisfera d’une seule bite : les amants de toutes sortes, même les plus incongrus, défileront maintenant pour honorer son sexe accueillant…
Colette et moi-même assistions, subjugués, à cette copulation fascinante ; elle à plat ventre , moi dessus ma bite bien placée dans son vagin mais presque immobiles, nos yeux étant rivés sur leurs sexes, comme des gros plans au cinéma . Nous entendions nettement le clapotement du vagin rendu liquide par le va-et-vient magistral ; Je souhaitai que cette scène durât à n’en plus finir…Je te retrouverais ma Puce, transformée, sublimée, un tel assaut doit laisser des traces…Je t’adorerai, te verrai différente, tu te sacrifies sous mes yeux sur le temple de l’amour, tu symboliseras la femme éternelle, l’amante que tout le monde souhaite… Vas-y, résiste encore, rends toi maîtresse du fauve, dompte- le, fatigue-le, fais lui rendre grâce, fais s’écouler de son corps son liquide vital., afin qu’il s’effondre en râlant… David est bien venu à bout de Goliath, tu dois y arriver, tu vas y arriver. Je te reprendrai alors, enrichie à mes yeux comme une femme ordinaire qui aurait servi à un usage divin et se trouverait par là consacrée… Les tempes me battaient, la tête me tournait, je n’avais plus de salive, je maintenais fermement le bassin de Colette afin qu’elle n’active pas mon éjaculation imminente… A chaque enfoncement, les gros testicules de Carlos nous cachaient le sexe et l’anus de mon petit bout de chou, à chaque retrait, tout réapparaissait et nos yeux écarquillés suivaient fixement ces mouvements hallucinants, donnant à chaque coup en arrière l’impression d’un nouveau-né expulsé du ventre de sa mère ; Pendant les pénétrations, pour compenser la taille du mandrin de son partenaire, le vagin entier de Laure devait se dilater, gonflant son abdomen comme celui d’une future maman, une forte lubrification perlait maintenant le long de la raie du cul de ma Puce, mouillant au passage son anus si proche et se perdant, avec leurs sueurs entre ses fesses qui semblaient toutes entières frémir sous l’assaut. Je pensais à Fabienne, qui bien qu’étant d’un gabarit proche de celui de Laure, n’aurait certainement pas parue aussi distendue, ses petites lèvres ourlées de noir se seraient adaptées très vite à la taille du monstre, l’engloutissant, je pense facilement et permettant des mouvements plus rapides et profonds… Colette voyait pour la première fois l’engin sombre et dilaté de son mari au travail… et je pense que cette image restera fixée à jamais dans sa mémoire : Chaque fois qu’elle sera prise par Carlos, elle imaginera son propre sexe comme torturé et modelé au rythme de ses assauts, bien qu’en fait comme Fabienne mais grâce à l’extrême élasticité de ses chairs la verge énorme de son mari devait là se sentir très à l’aise et ne la brusquer en aucune façon.
Revenons à la scène brutale mais aussi délicieuse qui se déroulait sous notre nez : Carlos se retira brusquement, le sexe lourd, retourna Laure comme une crêpe pour la mettre à quatre pattes, perpendiculairement à nous. Dans la vulve encore ouverte il introduisit son phallus géant aux deus tiers de sa longueur, ce qui était déjà beaucoup, et fit quelques aller-retour pour satisfaire notre curiosité en terminant par une intromission totale spectaculaire s’aidant en cela de ses deux mains plaquées sur les cuisses de sa proie côté ventre. On appréciait mieux ainsi la longueur de la pénétration : un vrai anaconda géant. Puis il reprit sa position initiale du missionnaire sans difficulté. Les coups de butoir de Carlos se succédaient à une cadence accélérée, Celui-ci respirait et râlait de plus en plus fort à la manière d’un soufflet de forge, et Laure qui profiter au maximum, écartait ses courtes cuisses musclées, enserrant le colosse de ses jambes en croisant ses petits pieds sur les reins puissants de l’homme en rut…Vision d’une haute intensité érotique…Mais n’assistions nous pas à cet instant au triple martyr de Sainte Laure, dans les arènes, écartelée, étouffée et empalée par un fauve furieux, qui semblait la déchiqueter un peu plus à chaque charge… Mais heureusement aucun filet de sang ne s’écoula de sa blessure béante, comme agrandie à chaque coup. Laure semblait s’être accoutumée à cet assaut sauvage, son sexe, devenu la raie du monde, donnait l’impression d’être moins distendu, les mouvements étaient plus fluides, l’arme semblait glisser naturellement dans son fourreau lubrifié…Les fesses puissantes du mâle se soulevèrent comme pour se retirer, mais sa partenaire ne relâcha pas l’étreinte de ses jambes autour de ses reins.. Elle imprimait seule des mouvements sauvages pour continuer l’étreinte, par des contractions des jambes et un balancement du bassin, le mouvement de piston s’était raccourci mais s’accélérait vertigineusement, elle semblait en prendre le contrôle total, avec facilité…La petite reinette verte venait à bout du crapaud buffle. Carlos releva alors aussi ses épaules, elle dû lâcher prise ; le colosse se retirait, laissant retomber sa proie lourdement sur le matelas, et il ne semblait pas avoir éjaculé, son long et épais membre pendait entre ses cuisses puissantes, le gland déjà recouvert de son prépuce…Ma moitié resta là, inanimée, les cuisses écartées. Son sexe indécent permettait de voir par son ouverture encore largement béante, chaude et rougie , les parois visqueuses de son vagin délivré. Après quelques mouvements appliqués, mon pénis au bord de l’explosion depuis de longues minutes lâcha sa semence dans le ventre de Colette, qui délivrée, elle aussi, remua les fesses en signe d’acquiescement et jouit en même temps que moi, certainement, comme moi, plus à cause de la scène titanesque à laquelle nous venions d’assister, que grâce à l’assaut timide qu’elle venait de subir. Ma Puce avait supporté la charge de cette montagne de chair, elle redressa sa tête qu’elle avait gardée sur le côté lorsqu’elle était écrasée par la poitrine de son amant et nous regarda avec un petit sourire presque timide…Nos râles d’orgasme devaient la rendre jalouse. Dommage que Carlos n’ait pu aller jusqu’au bout, pour le spectacle d’abord, mais aussi pour la dose de sperme supposée être déposée son le ventre en signe de reconnaissance…Car au vu des ses testicules géants, il y avait là, assurément, de quoi arroser abondamment une victoire sexuelle…
Laure me confia plus tard que le vécu de cette aventure n’était pas du tout à la hauteur de la vision…Son appréhension du début était due à l’idée qu’elle se faisait d’un membre si gros au repos, elle imaginait qu’une fois en érection dans son ventre elle aurait comme un gros bras au poing fermé… Elle s’est bien vite sentie hors de tout danger. Elle m’ expliqua les poses acrobatiques qu’elle prenait : Ce n’était pas à cause d’ une sensation d’écartèlement ou de souffrance qu’elle se tordait, s’arque boutait, enserrait son partenaire, mais plutôt pour essayer d’en tirer vraiment des sensations maximales et à la hauteur de ses espérances ; elle sentait bien que cette verge était grosse, mais elle aurait voulu par sa propre fougue la voir se durcir peu à peu, prendre encore du volume et de la fermeté, pour l’écarteler en douceur, quitte à en souffrir un peu… Son minou délicat avait bien été distendu, mais très mollement, sans forcer le passage, sans aucune impression d’empalement, ni de douleur quelconque.. Aucune butée sauvage sur le col de l’utérus, la bête se lovant paresseusement à chaque introduction, pour occuper sagement l’intérieur du vagin, comme un gros duvet que l’on rangerait en vrac dans un sac à dos… Elle sentait bien monter en elle l’espoir d’un orgasme explosif, à la mesure de la gourmandise que lui avait provoquée la vue de cette verge puissante qu’elle supposait l’envahir sauvagement, à la hauteur de cette libido qui la préparait aux plus douloureux assauts, en rapport avec ce colosse prenant son petit corps fragile… Elle espérait hurler très fort son plaisir mêlé d’une douleur sauvage, elle se voyait délivrée, le corps pantelant, encore fumant du combat inégal mené contre ce champion farouche, qui lui laisserait toutefois la vie après avoir retiré de son petit ventre chaud son arme de gladiateur entraîné aux pires duels… Mais cette épée à deux mains était un énorme engin amorphe ne procurait pas le plaisir attendu…Ce n’était pas le gros concombre vivant qu’on supposait l’écarteler littéralement, mais plutôt une grosse limace molle et gluante….Manque de raideur ! L’entrée était impressionnante sur les chairs de la vulve, mais dans le conduit vaginal le supposé engin se liquéfiait littéralement. Elle avait bien insisté sur la fin, comme nous l’avions remarqué, mais elle avait déjà tiré un trait sur l’explosion de la bombe.
Lors de plusieurs rencontres, et hormis les fois où Laure profitait d’un moment où étendu sur le dos il avait une érection semi-molle pour s’empaler sur son engin, Carlos prenait toujours Laure de cette même façon, à genoux, elle allongée sur de dos, il soulevait fermement ses petites fesses d’une main, pendant qu’ il guidait son phallus, rapprochant doucement ses mains et donnant de légers à coups de ses reins… La pénétration était toujours lente, jusqu’au contact des deux pubis, puis après deux ou trois aller retour profonds et lents, il s’affaissait, écrasant le corps de sa partenaire… Ses fesses imprimaient alors un mouvement plus rythmé, mais jamais trop rapide… Il se retirait quelques minutes plus tard, gardant toujours ses bourses pleines. Cette façon de pénétrer une femme était particulière et savamment préparée pour un homme au sexe énorme mais pas suffisamment rigide : s’aidant de la force musculaire de ses bras, il ne s’introduisait pas, mais amenait doucement le corps tout entier de la femelle tenu par les fesses, pourvu qu’elle soit légère, à s’empaler petit à petit sur son pieu, guidé de l’autre main pour en éviter des torsions qui auraient pu gêner l’avancée de ce ventre jusqu’à la base de son engin ; Les quelques lents aller retours suivants, toujours guidés, servaient à parfaire la lubrification et à permettre à son phallus de prendre sa place… Laure le laissait faire volontiers, non qu’elle en attende réellement un orgasme, mais pour le plaisir d’entamer un combat tranquille avec le colosse, sentir ce quintal de chair l’écrasant, se rappelant sa première appréhension, et au cas improbable où le rêve d’une solide érection se réaliserait enfin.
La première fois où Carlos a éjaculé dans la chatte de Laure, je n’étais pas présent. Je n’ai d’ailleurs jamais assister physiquement, ni à une réelle érection vraiment raide, ni à une éjaculation de ce quintal de muscles. Elle était allée dormir chez le couple car elle devait avec Colette accompagner un groupe de touristes lors d’un voyage en Allemagne. Ils passèrent tous les trois la nuit dans le lit conjugal, et au réveil Carlos pendant que Colette prenait sa douche, excité plus qu’à l’habitude, rassuré aussi par mon absence qui devait le blesser quand je prenais son épouse, enfourcha Laure plus sauvagement que les fois précédentes. Je n’eus pas de détails précis de la scène, mais il donnait de vrais coups de butoirs et sa verge bien que manquant encore d’un peu de rigidité, la bourra littéralement et réussit à inonder les entrailles de ma Puce d’une flaque de son sperme, arrachant à sa partenaire, qui lui labourait le dos de ses ongles, un orgasme accompagné de cris sauvages.A son retour de voyage, Laure m’annonça rapidement, avec un petit sourire, qu’enfin elle avait reçu la semence de Carlos ! Carlos aimait les vidéos pornos, les ébats avec d’autres femmes, mais je pense qu’il n’appréciait pas du tout que sa femme appartienne à d’autres, d’ailleurs je ne l’ai jamais vu regarder de près la chatte de sa femme lorsqu’elle accueillait ma propre verge, contrairement à moi qui préférais presque voir Laure prise, et en gros plan, plutôt que de faire l’amour à d’autres, bien que j’aime les deux situations. Laure, à partir de cet instant, a toujours relaté ses aventures sexuelles vécues en dehors de ma présence.
Colette, l’épouse de Carlos, était plus que belle et très agréable dans les rapports ; tout son corps était en rondeurs comme ses beaux seins et ses chairs molles mais très agréables…Elle avait un petit regard coquin, la caresser, la prendre était un réel plaisir, son coup de reins était long et élastique … Je me rappelle un matin dans le grenier, j’étais avec Carlos et Colette après une nuit tous ensemble, Laure s’occupait des enfants au rez-de-chaussée… Je l’ai prise devant son mari… Je n’ai jamais ressenti des mouvements de hanches aussi intenses sous moi… Elle remuait les fesses de haut en bas, de droite à gauche, tournait, virait…Ce petit corps de femme, à peine plus volumineux que celui de mon épouse me chahutait, me faisait rebondir en tous sens…Elle avait l’habitude d’un gros sexe assez souple, et ma trique raide et très dure, bien que bien moins volumineuse , l’excitait au plus haut point…j’avais du mal à garder mon équilibre. Il est vrai qu’elle avait l’habitude à un mâle beaucoup plus lourd. Je n’ai pu résister longtemps à ce régime et j’ai lâché ma semence tiède dans son ventre en furie….. Dès que je me suis retiré, Carlos a pris le relais… J’étais tellement abasourdi que je n’ai pas suivi leurs ébats, d’ailleurs j’aimais mieux regarder les situations où ma puce était en scène.
J’ai possédé Colette un soir où les ébats échangistes de nos deux couples étaient prévus pour une première fois. Colette s’était fait prescrire la pilule par son Gynécologue, et était impatiente d’inaugurer cette nouvelle période de sa libération sexuelle. Ah ! Femmes des années quatre-vingt…Carlos, qui avait forcé sur la bière était saoul et incapable de la moindre érection , son énorme sexe plus que mou reposait, la tête posée sur le coussin du canapé, entre ses jambes comme un énorme serpent mort.; Colette qui avait très envie de moi me dit qu’elle n’osait pas le faire avant que son compagnon ait pénétré Laure…ce qui semblait difficile à réaliser. J’en parlai à Laure, qui compréhensive, alors que nous étions déjà tous quatre nus, vint se placer devant Carlos assis sur un canapé, lui tournant le dos, puis s’asseyant sur lui, cuisses écartées, essaya d’introduire le sexe mou dans sa chatte, en tirant sur le bout pour le redresser, il s’allongea jusqu’à vingt cinq centimètres environ, mais resta toujours aussi flasque… il fallu que j’intervienne pour l’aider à faire rentrer un tout petit bout de cette grosse chose molle dans son vagin…soit le prépuce, tiré entre mon pouce et mon index et un ou deux centimètres du gland mou qui accompagnèrent mes doigts dans la chatte offerte. Carlos resta sans réaction…Il ne se rendait compte de rien. Laure déçue, se releva : elle devait bien réaliser que ce qu’elle venait d’avoir entre les doigts pouvait certainement devenir en cas d’érection un phallus comme elle n’a jamais osé en imaginer un, je ne sais pas si elle était prête à cet instant à supporter les souffrances supposées apporter un engin de cette taille surhumaine. Laure s’agenouilla et s’attarda un moment à lécher et sucer ce sexe mou, le prenant dans sa bouche pour le mâchouiller gentiment, tandis qu’elle soupesait les grosses bourses. Mais rien n’y fit.. Je m’assis alors aussi sur le canapé, comme Carlos, présentant mon sexe, tendu depuis si longtemps que mon gland en était violacé, à Colette, pensant qu’elle prendrait la même position que Laure…. Rassurée par le simulacre réalisé entre son mari et sa copine, et autorisée de ce fait à poursuivre, elle s’avança le regard éclairé, face à moi. Elle mit alors un genou replié de chaque côté de mes anches ; et ,tandis qu’elle m’enlaçait le cou d’une main, de l’autre main elle s’empara de ma verge et la fit glisser très délicatement dans son sexe, chaleur vivante et souple… Carlos et Laure quittèrent la pièce pour monter dans les chambres se reposer .Mon corps et celui de Colette basculèrent, moi sur le dos, elle allongée sur moi, nos lèvres jointes dans un baiser goulu… On a du mal à imaginer la sensation de bien être qui vous envahit dans ces moments là, presque de poésie… Rien de sauvage, un léger ondoiement de sa croupe généreuse sur laquelle j’appliquais mes mains fébriles… des regards, des sourires, l’impression d’un aboutissement, comme s’il s’agissait de faire l’amour pour la première fois…Elle me susurra qu’elle était comblée, que pour la première fois elle connaissait un autre homme…Mon cœur battait comme celui d’un adolescent amoureux. Mais nous n’allâmes pas plus loin… et je rejoignit Laure dans notre chambre pour continuer avec elle, la caressant, lui malaxant la poitrine et le ventre, excité au plus haut point, allant jusqu’à essayer de lui introduire la main entière dans le vagin…Laure se prêtait volontiers à cet exercice lorsqu’elle était excitée : je joignais les doigts d’une main en pointe, les introduisais lorsque sa vulve était inondée de désir et, elle, de son côté poussait ce qui m’évitait de lui faire mal. Mais nous ne sommes jamais parvenus à ce que la main complète rentre…Sûrement plus par peur de la douleur qu’à cause d’une impossibilité technique. Le bout de mes doigts pouvaient caresser son col de l’utérus, qui formait, comme une grosse excroissance gluante, avec au centre le tout petit bout piquant de son stérilet…(Ce stérilet qui lors de certaines introductions a surpris plus d’un de ses amants, Carlos le premier d’ailleurs) Puis je remplaçais ma grosse main par mon phallus qui devait alors lui sembler bien ridicule pour décharger dans ses entrailles tout le désir contenu de la soirée
Colette et Carlos… C’est Colette qui un soir, alors que nous regardions un film porno chez eux et qu’elle était installée sur mes genoux, a déclaré vouloir essayer une expérience avec notre couple, elle était prête même sur l’instant…J’avais senti cet appel alors que je la caressais à travers ses vêtements légers. Mais nous reportâmes l’expérience à une réunion ultérieure, car Colette , jeune maman, n’utilisait encore aucun moyen de contraception : Elle se ferait prescrire la pilule rapidement. Ses yeux brillaient déjà à la pensée de ces ébats à venir. Son mari, grand consommateur de films pornographiques pourrait avoir du réel à se mettre sous les yeux, et avec son épouse comme Star !.. Pour l’instant, elle rêvait déjà à ces rôles, faciles à interpréter dès qu’on oublie quelques secondes sa pudeur. Colette était bien plus grande que Laure , avec des seins tout ronds, mais ses hanches étaient plus larges, ses fesses plus potelées un peu comme Fabienne, mais sa chatte, (contrairement à celle de Fabienne fine, bien dessinée, ferme et au poil assez court) était molle, élastique, au poil plus long, mais souple et clair, ce qui était surprenant lors des caresses, Il semblait qu’on pouvait l’étirer à volonté, mais en fait , à l’expérience , elle ne semblait pas plus large que celle des autres, son poil était certainement le plus soyeux. Le plus amusant était de caresser son clitoris enserré dans ses grandes lèvres molles, qui permettaient de sentir l’érection de ce petit appendice à travers ses chairs. Carlos , lui, était une sorte de colosse brun de plus de quatre vingt quinze kilos, à la peau mate, aux épaules larges, aux fesses musclées et au phallus intimidant par son volume et sa longueur…Quand il marchait, nu, son engin sombre battait ses cuisses au rythme de ses pas, comme celui d’un âne à l’érection naissante ou une trompe d’éléphanteau, ses testicules faisaient penser à celles d’un taureau.
Je l’ai examiné un jour, lors d’une partie organisée chez eux, de très près, pénétrer ma petite Laure , qui devait peser quarante petits kilos et qui a des hanches étroites. Le sexe de Carlos commençait une érection… Petit à petit son gland rose se découvrit et le prépuce se rétracta. Sa bite était presque bicolore, sombre à base et rosée sur la partie normalement cachée au repos. C’est la première fois que je voyais une verge non circoncise en érection. Après avoir excité son membre manuellement pour le rendre encore plus imposant et pour lui donner une raideur paraissant suffisante, Il s’installa à genoux, face à elle. Il souleva la croupe de ma femme, alors allongée sur le dos, les cuisses écartées, les jambes repliées, d’une seule de ses grosses mains appliquée sous les fesses menues. Il agissait comme s’il s’agissait de soulever un bébé dont on va faire la toilette. Seules les épaules de Laure restent en contact avec le matelas. Il caressa sa vulve pour lubrifier ses doigts et enduisit son sexe de cette crème naturelle. Il tira sur son prépuce pour découvrir son gland encore caché et guida son gros bazar devenue vraiment colossal en direction du bas ventre, du tabernacle de ma femme. Le fait de soulever Laure d’une main ne semblait pas lui demander plus d’effort que celui de maintenir son terrifiant engin de l’autre… A cet instant ma petite épouse fermait les yeux, n’osant regarder, mais imaginant ce que pourrait être le membre de Carlos en pleine érection: « S’il entre en moi pensait-elle, je serai déchirée, mise en pièce, infirme pour toujours. » Carlos, lui, s’appliquait à sa tache son pouce et son index écartaient les chairs, tandis qu’il soutenait son pieu entre sa paume et ses autres doigts. L’empalement sembla laborieux, il contractait ses muscles fessiers et guidait l’engin hypertrophié qui disparaissait centimètre par centimètre dans l’intimité de sa partenaire en se courbant tel un gros boa et en écartant au passage les chairs de cette petite vulve qui l’accueillait… Laure était, dans un réflexe naturel, presque en grand écart, les tendons des muscles des cuisses tirés et tendus à l’extrême de chaque côté de son sexe, pour ouvrir le plus grand possible l’entrée de son vagin afin de diminuer tant que faire se peut le supplice attendu…il était ouvert comme une petite bouche d’enfant suçant goulûment un esquimau géant. Restant en grand écart, elle avait posé ses pieds derrière les genoux de Carlos.
L’homme connaissait bien son affaire… Leurs pubis respectifs étaient distants d’environ vingt centimètres au début de l’intromission, pour venir peu à peu se rejoindre parfaitement…Le membre excessif n’en finissait pas d’entrer dans ses viscères : je ne pensais pas que Laure fût si profonde. Elle ouvrit les yeux pour chercher un secours dans mon regard, et, ne constatant chez moi aucun affolement , elle se laissa prendre tranquillement… Après tout un sexe ne tue pas et elle en avait déjà supporté deux ensemble auparavant, et la présence de Colette, là, souriante, paisible, le regard éclairé la rassura. : si sa copine était là c’est que la chose était possible. Quand il fut jusqu’au tréfonds de son puit d’amour, le géant s’allongea alors de tout son poids sur mon petit bout de chou, l’écrasant littéralement et là , la bête se mit en route, inexorablement . Lors des trois premiers enfoncements la vulve émit des sortes de pets, libérant un peu plus chaque fois l’air trop comprimé par le piston dans son vagin, ce qui faciliterait les mouvements suivants. J’avais constaté ce phénomène lors d’introduction d’emballages d’aérosols, ce qui indiquait que le vit de Carlos avait alors un diamètre d’au moins cinq bons centimètres, soit une circonférence de plus de seize centimètres… comparés aux onze ou douze centimètres dont elle avait l’habitude ! Et pour ceux qui aiment les chiffres, plus de quatre cent grammes de chair à engloutir au lieu des cent cinquante de son quotidien…Et en une seule bouchée ! Les phallus de Olivier et moi-même réunis, qui n’avaient d’ailleurs réalisé qu’une pénétration partielle à cause de la difficulté de la position, n’étaient rien en comparaison du monstre.. Ma moitié devenait physiquement sa moitié, tant elle semblait minuscule et fragile sous cette montagne de muscles : On aurait dit la saillie d’un taureau de concours de plus d’une tonne sur une génisse de l’année.. On a l’habitude entre copains, d’appeler Laure « Puce. » ou « La Puce. », pour sa petite taille et son énergie bondissante, mais elle avait là affaire à une sorte de gros faux bourdon, c’était aussi l’image incroyable du grand mâle dominant d’un groupe de gorilles des montagnes enfourchant une toute jeune guenon ouistiti fébrile, ou un imposant Minotaure possédant la frêle, petite et jeune vierge qui venait de lui être offerte en sacrifice… : Il semblait la défoncer, la poignarder, l’empaler littéralement par l’épaisseur et la longueur de son engin terrifiant. Il semblait difficile à croire que ce petit ventre puisse engloutir totalement cette masse de chair. Elle subissait la une seconde défloration. Dans ses mouvements de pénétrations et de retraits successifs, les petites lèvres du minou de Laure semblaient comme collées à ce pieu imposant qui les aspiraient et les retournaient dans un large mouvement de va-et-vient…agissant comme une grosse pompe mue par un moteur puissant dans un joint élastique à la limite de la rupture. Pourtant la vulve de Laure est déjà une sorte de phénomène en soi : Large pour un bassin si étroit, assez velue mais pas trop, et, heureusement, toujours très bien lubrifiée. L’habituelle délicate corolle des petites lèvres de ma petite Puce était devenue un fin bracelet élastique de chair fine et translucide, étiré plus qu’à l’extrême autour de ce cylindre impressionnant, formant un gros cercle rose dilaté, entouré des grandes lèvres, plus solides mais tout aussi écartées de force, et ourlées de l’implantation des poils du pubis qui semblaient plus épars autour de cette gaine dilatée, plus clairsemés tellement la peau fine et claire qui les supportait était distendue au dessus du petit trou sombre de son anus si proche. Cette vulve ne ressemblait plus à ce qu’elle avait été, Elle semblait écartée aux forceps. Le fer rentrait dans la viande… Le ver était dans le fruit mûr. Et plus jamais Laure ne se satisfera d’une seule bite : les amants de toutes sortes, même les plus incongrus, défileront maintenant pour honorer son sexe accueillant…
Colette et moi-même assistions, subjugués, à cette copulation fascinante ; elle à plat ventre , moi dessus ma bite bien placée dans son vagin mais presque immobiles, nos yeux étant rivés sur leurs sexes, comme des gros plans au cinéma . Nous entendions nettement le clapotement du vagin rendu liquide par le va-et-vient magistral ; Je souhaitai que cette scène durât à n’en plus finir…Je te retrouverais ma Puce, transformée, sublimée, un tel assaut doit laisser des traces…Je t’adorerai, te verrai différente, tu te sacrifies sous mes yeux sur le temple de l’amour, tu symboliseras la femme éternelle, l’amante que tout le monde souhaite… Vas-y, résiste encore, rends toi maîtresse du fauve, dompte- le, fatigue-le, fais lui rendre grâce, fais s’écouler de son corps son liquide vital., afin qu’il s’effondre en râlant… David est bien venu à bout de Goliath, tu dois y arriver, tu vas y arriver. Je te reprendrai alors, enrichie à mes yeux comme une femme ordinaire qui aurait servi à un usage divin et se trouverait par là consacrée… Les tempes me battaient, la tête me tournait, je n’avais plus de salive, je maintenais fermement le bassin de Colette afin qu’elle n’active pas mon éjaculation imminente… A chaque enfoncement, les gros testicules de Carlos nous cachaient le sexe et l’anus de mon petit bout de chou, à chaque retrait, tout réapparaissait et nos yeux écarquillés suivaient fixement ces mouvements hallucinants, donnant à chaque coup en arrière l’impression d’un nouveau-né expulsé du ventre de sa mère ; Pendant les pénétrations, pour compenser la taille du mandrin de son partenaire, le vagin entier de Laure devait se dilater, gonflant son abdomen comme celui d’une future maman, une forte lubrification perlait maintenant le long de la raie du cul de ma Puce, mouillant au passage son anus si proche et se perdant, avec leurs sueurs entre ses fesses qui semblaient toutes entières frémir sous l’assaut. Je pensais à Fabienne, qui bien qu’étant d’un gabarit proche de celui de Laure, n’aurait certainement pas parue aussi distendue, ses petites lèvres ourlées de noir se seraient adaptées très vite à la taille du monstre, l’engloutissant, je pense facilement et permettant des mouvements plus rapides et profonds… Colette voyait pour la première fois l’engin sombre et dilaté de son mari au travail… et je pense que cette image restera fixée à jamais dans sa mémoire : Chaque fois qu’elle sera prise par Carlos, elle imaginera son propre sexe comme torturé et modelé au rythme de ses assauts, bien qu’en fait comme Fabienne mais grâce à l’extrême élasticité de ses chairs la verge énorme de son mari devait là se sentir très à l’aise et ne la brusquer en aucune façon.
Revenons à la scène brutale mais aussi délicieuse qui se déroulait sous notre nez : Carlos se retira brusquement, le sexe lourd, retourna Laure comme une crêpe pour la mettre à quatre pattes, perpendiculairement à nous. Dans la vulve encore ouverte il introduisit son phallus géant aux deus tiers de sa longueur, ce qui était déjà beaucoup, et fit quelques aller-retour pour satisfaire notre curiosité en terminant par une intromission totale spectaculaire s’aidant en cela de ses deux mains plaquées sur les cuisses de sa proie côté ventre. On appréciait mieux ainsi la longueur de la pénétration : un vrai anaconda géant. Puis il reprit sa position initiale du missionnaire sans difficulté. Les coups de butoir de Carlos se succédaient à une cadence accélérée, Celui-ci respirait et râlait de plus en plus fort à la manière d’un soufflet de forge, et Laure qui profiter au maximum, écartait ses courtes cuisses musclées, enserrant le colosse de ses jambes en croisant ses petits pieds sur les reins puissants de l’homme en rut…Vision d’une haute intensité érotique…Mais n’assistions nous pas à cet instant au triple martyr de Sainte Laure, dans les arènes, écartelée, étouffée et empalée par un fauve furieux, qui semblait la déchiqueter un peu plus à chaque charge… Mais heureusement aucun filet de sang ne s’écoula de sa blessure béante, comme agrandie à chaque coup. Laure semblait s’être accoutumée à cet assaut sauvage, son sexe, devenu la raie du monde, donnait l’impression d’être moins distendu, les mouvements étaient plus fluides, l’arme semblait glisser naturellement dans son fourreau lubrifié…Les fesses puissantes du mâle se soulevèrent comme pour se retirer, mais sa partenaire ne relâcha pas l’étreinte de ses jambes autour de ses reins.. Elle imprimait seule des mouvements sauvages pour continuer l’étreinte, par des contractions des jambes et un balancement du bassin, le mouvement de piston s’était raccourci mais s’accélérait vertigineusement, elle semblait en prendre le contrôle total, avec facilité…La petite reinette verte venait à bout du crapaud buffle. Carlos releva alors aussi ses épaules, elle dû lâcher prise ; le colosse se retirait, laissant retomber sa proie lourdement sur le matelas, et il ne semblait pas avoir éjaculé, son long et épais membre pendait entre ses cuisses puissantes, le gland déjà recouvert de son prépuce…Ma moitié resta là, inanimée, les cuisses écartées. Son sexe indécent permettait de voir par son ouverture encore largement béante, chaude et rougie , les parois visqueuses de son vagin délivré. Après quelques mouvements appliqués, mon pénis au bord de l’explosion depuis de longues minutes lâcha sa semence dans le ventre de Colette, qui délivrée, elle aussi, remua les fesses en signe d’acquiescement et jouit en même temps que moi, certainement, comme moi, plus à cause de la scène titanesque à laquelle nous venions d’assister, que grâce à l’assaut timide qu’elle venait de subir. Ma Puce avait supporté la charge de cette montagne de chair, elle redressa sa tête qu’elle avait gardée sur le côté lorsqu’elle était écrasée par la poitrine de son amant et nous regarda avec un petit sourire presque timide…Nos râles d’orgasme devaient la rendre jalouse. Dommage que Carlos n’ait pu aller jusqu’au bout, pour le spectacle d’abord, mais aussi pour la dose de sperme supposée être déposée son le ventre en signe de reconnaissance…Car au vu des ses testicules géants, il y avait là, assurément, de quoi arroser abondamment une victoire sexuelle…
Laure me confia plus tard que le vécu de cette aventure n’était pas du tout à la hauteur de la vision…Son appréhension du début était due à l’idée qu’elle se faisait d’un membre si gros au repos, elle imaginait qu’une fois en érection dans son ventre elle aurait comme un gros bras au poing fermé… Elle s’est bien vite sentie hors de tout danger. Elle m’ expliqua les poses acrobatiques qu’elle prenait : Ce n’était pas à cause d’ une sensation d’écartèlement ou de souffrance qu’elle se tordait, s’arque boutait, enserrait son partenaire, mais plutôt pour essayer d’en tirer vraiment des sensations maximales et à la hauteur de ses espérances ; elle sentait bien que cette verge était grosse, mais elle aurait voulu par sa propre fougue la voir se durcir peu à peu, prendre encore du volume et de la fermeté, pour l’écarteler en douceur, quitte à en souffrir un peu… Son minou délicat avait bien été distendu, mais très mollement, sans forcer le passage, sans aucune impression d’empalement, ni de douleur quelconque.. Aucune butée sauvage sur le col de l’utérus, la bête se lovant paresseusement à chaque introduction, pour occuper sagement l’intérieur du vagin, comme un gros duvet que l’on rangerait en vrac dans un sac à dos… Elle sentait bien monter en elle l’espoir d’un orgasme explosif, à la mesure de la gourmandise que lui avait provoquée la vue de cette verge puissante qu’elle supposait l’envahir sauvagement, à la hauteur de cette libido qui la préparait aux plus douloureux assauts, en rapport avec ce colosse prenant son petit corps fragile… Elle espérait hurler très fort son plaisir mêlé d’une douleur sauvage, elle se voyait délivrée, le corps pantelant, encore fumant du combat inégal mené contre ce champion farouche, qui lui laisserait toutefois la vie après avoir retiré de son petit ventre chaud son arme de gladiateur entraîné aux pires duels… Mais cette épée à deux mains était un énorme engin amorphe ne procurait pas le plaisir attendu…Ce n’était pas le gros concombre vivant qu’on supposait l’écarteler littéralement, mais plutôt une grosse limace molle et gluante….Manque de raideur ! L’entrée était impressionnante sur les chairs de la vulve, mais dans le conduit vaginal le supposé engin se liquéfiait littéralement. Elle avait bien insisté sur la fin, comme nous l’avions remarqué, mais elle avait déjà tiré un trait sur l’explosion de la bombe.
Lors de plusieurs rencontres, et hormis les fois où Laure profitait d’un moment où étendu sur le dos il avait une érection semi-molle pour s’empaler sur son engin, Carlos prenait toujours Laure de cette même façon, à genoux, elle allongée sur de dos, il soulevait fermement ses petites fesses d’une main, pendant qu’ il guidait son phallus, rapprochant doucement ses mains et donnant de légers à coups de ses reins… La pénétration était toujours lente, jusqu’au contact des deux pubis, puis après deux ou trois aller retour profonds et lents, il s’affaissait, écrasant le corps de sa partenaire… Ses fesses imprimaient alors un mouvement plus rythmé, mais jamais trop rapide… Il se retirait quelques minutes plus tard, gardant toujours ses bourses pleines. Cette façon de pénétrer une femme était particulière et savamment préparée pour un homme au sexe énorme mais pas suffisamment rigide : s’aidant de la force musculaire de ses bras, il ne s’introduisait pas, mais amenait doucement le corps tout entier de la femelle tenu par les fesses, pourvu qu’elle soit légère, à s’empaler petit à petit sur son pieu, guidé de l’autre main pour en éviter des torsions qui auraient pu gêner l’avancée de ce ventre jusqu’à la base de son engin ; Les quelques lents aller retours suivants, toujours guidés, servaient à parfaire la lubrification et à permettre à son phallus de prendre sa place… Laure le laissait faire volontiers, non qu’elle en attende réellement un orgasme, mais pour le plaisir d’entamer un combat tranquille avec le colosse, sentir ce quintal de chair l’écrasant, se rappelant sa première appréhension, et au cas improbable où le rêve d’une solide érection se réaliserait enfin.
La première fois où Carlos a éjaculé dans la chatte de Laure, je n’étais pas présent. Je n’ai d’ailleurs jamais assister physiquement, ni à une réelle érection vraiment raide, ni à une éjaculation de ce quintal de muscles. Elle était allée dormir chez le couple car elle devait avec Colette accompagner un groupe de touristes lors d’un voyage en Allemagne. Ils passèrent tous les trois la nuit dans le lit conjugal, et au réveil Carlos pendant que Colette prenait sa douche, excité plus qu’à l’habitude, rassuré aussi par mon absence qui devait le blesser quand je prenais son épouse, enfourcha Laure plus sauvagement que les fois précédentes. Je n’eus pas de détails précis de la scène, mais il donnait de vrais coups de butoirs et sa verge bien que manquant encore d’un peu de rigidité, la bourra littéralement et réussit à inonder les entrailles de ma Puce d’une flaque de son sperme, arrachant à sa partenaire, qui lui labourait le dos de ses ongles, un orgasme accompagné de cris sauvages.A son retour de voyage, Laure m’annonça rapidement, avec un petit sourire, qu’enfin elle avait reçu la semence de Carlos ! Carlos aimait les vidéos pornos, les ébats avec d’autres femmes, mais je pense qu’il n’appréciait pas du tout que sa femme appartienne à d’autres, d’ailleurs je ne l’ai jamais vu regarder de près la chatte de sa femme lorsqu’elle accueillait ma propre verge, contrairement à moi qui préférais presque voir Laure prise, et en gros plan, plutôt que de faire l’amour à d’autres, bien que j’aime les deux situations. Laure, à partir de cet instant, a toujours relaté ses aventures sexuelles vécues en dehors de ma présence.
Colette, l’épouse de Carlos, était plus que belle et très agréable dans les rapports ; tout son corps était en rondeurs comme ses beaux seins et ses chairs molles mais très agréables…Elle avait un petit regard coquin, la caresser, la prendre était un réel plaisir, son coup de reins était long et élastique … Je me rappelle un matin dans le grenier, j’étais avec Carlos et Colette après une nuit tous ensemble, Laure s’occupait des enfants au rez-de-chaussée… Je l’ai prise devant son mari… Je n’ai jamais ressenti des mouvements de hanches aussi intenses sous moi… Elle remuait les fesses de haut en bas, de droite à gauche, tournait, virait…Ce petit corps de femme, à peine plus volumineux que celui de mon épouse me chahutait, me faisait rebondir en tous sens…Elle avait l’habitude d’un gros sexe assez souple, et ma trique raide et très dure, bien que bien moins volumineuse , l’excitait au plus haut point…j’avais du mal à garder mon équilibre. Il est vrai qu’elle avait l’habitude à un mâle beaucoup plus lourd. Je n’ai pu résister longtemps à ce régime et j’ai lâché ma semence tiède dans son ventre en furie….. Dès que je me suis retiré, Carlos a pris le relais… J’étais tellement abasourdi que je n’ai pas suivi leurs ébats, d’ailleurs j’aimais mieux regarder les situations où ma puce était en scène.
J’ai possédé Colette un soir où les ébats échangistes de nos deux couples étaient prévus pour une première fois. Colette s’était fait prescrire la pilule par son Gynécologue, et était impatiente d’inaugurer cette nouvelle période de sa libération sexuelle. Ah ! Femmes des années quatre-vingt…Carlos, qui avait forcé sur la bière était saoul et incapable de la moindre érection , son énorme sexe plus que mou reposait, la tête posée sur le coussin du canapé, entre ses jambes comme un énorme serpent mort.; Colette qui avait très envie de moi me dit qu’elle n’osait pas le faire avant que son compagnon ait pénétré Laure…ce qui semblait difficile à réaliser. J’en parlai à Laure, qui compréhensive, alors que nous étions déjà tous quatre nus, vint se placer devant Carlos assis sur un canapé, lui tournant le dos, puis s’asseyant sur lui, cuisses écartées, essaya d’introduire le sexe mou dans sa chatte, en tirant sur le bout pour le redresser, il s’allongea jusqu’à vingt cinq centimètres environ, mais resta toujours aussi flasque… il fallu que j’intervienne pour l’aider à faire rentrer un tout petit bout de cette grosse chose molle dans son vagin…soit le prépuce, tiré entre mon pouce et mon index et un ou deux centimètres du gland mou qui accompagnèrent mes doigts dans la chatte offerte. Carlos resta sans réaction…Il ne se rendait compte de rien. Laure déçue, se releva : elle devait bien réaliser que ce qu’elle venait d’avoir entre les doigts pouvait certainement devenir en cas d’érection un phallus comme elle n’a jamais osé en imaginer un, je ne sais pas si elle était prête à cet instant à supporter les souffrances supposées apporter un engin de cette taille surhumaine. Laure s’agenouilla et s’attarda un moment à lécher et sucer ce sexe mou, le prenant dans sa bouche pour le mâchouiller gentiment, tandis qu’elle soupesait les grosses bourses. Mais rien n’y fit.. Je m’assis alors aussi sur le canapé, comme Carlos, présentant mon sexe, tendu depuis si longtemps que mon gland en était violacé, à Colette, pensant qu’elle prendrait la même position que Laure…. Rassurée par le simulacre réalisé entre son mari et sa copine, et autorisée de ce fait à poursuivre, elle s’avança le regard éclairé, face à moi. Elle mit alors un genou replié de chaque côté de mes anches ; et ,tandis qu’elle m’enlaçait le cou d’une main, de l’autre main elle s’empara de ma verge et la fit glisser très délicatement dans son sexe, chaleur vivante et souple… Carlos et Laure quittèrent la pièce pour monter dans les chambres se reposer .Mon corps et celui de Colette basculèrent, moi sur le dos, elle allongée sur moi, nos lèvres jointes dans un baiser goulu… On a du mal à imaginer la sensation de bien être qui vous envahit dans ces moments là, presque de poésie… Rien de sauvage, un léger ondoiement de sa croupe généreuse sur laquelle j’appliquais mes mains fébriles… des regards, des sourires, l’impression d’un aboutissement, comme s’il s’agissait de faire l’amour pour la première fois…Elle me susurra qu’elle était comblée, que pour la première fois elle connaissait un autre homme…Mon cœur battait comme celui d’un adolescent amoureux. Mais nous n’allâmes pas plus loin… et je rejoignit Laure dans notre chambre pour continuer avec elle, la caressant, lui malaxant la poitrine et le ventre, excité au plus haut point, allant jusqu’à essayer de lui introduire la main entière dans le vagin…Laure se prêtait volontiers à cet exercice lorsqu’elle était excitée : je joignais les doigts d’une main en pointe, les introduisais lorsque sa vulve était inondée de désir et, elle, de son côté poussait ce qui m’évitait de lui faire mal. Mais nous ne sommes jamais parvenus à ce que la main complète rentre…Sûrement plus par peur de la douleur qu’à cause d’une impossibilité technique. Le bout de mes doigts pouvaient caresser son col de l’utérus, qui formait, comme une grosse excroissance gluante, avec au centre le tout petit bout piquant de son stérilet…(Ce stérilet qui lors de certaines introductions a surpris plus d’un de ses amants, Carlos le premier d’ailleurs) Puis je remplaçais ma grosse main par mon phallus qui devait alors lui sembler bien ridicule pour décharger dans ses entrailles tout le désir contenu de la soirée
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