Laure (épisode 8) Laure et René
Récit érotique écrit par Mage [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-06-2003 dans la catégorie Plus on est
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Laure (épisode 8) Laure et René
A propos de Laure, elle a, elle aussi, eu des rapports en solo. Laure eut une première expérience avec René. René était un ami commun, et avait fait savoir à plusieurs reprises à mon épouse son envie de la connaître physiquement. Il venait la voir régulièrement lorsqu’elle était à la maison et qu’elle préparait ses cours. Elle le fit patienter plusieurs mois, prétextant qu’elle n’avait pas le temps malgré sa curiosité, avant d’accepter enfin de le conduire dans nos combles aménagées. Là, il s’enlacèrent, s’embrassèrent et petit à petit, presque timidement enlevèrent leurs vêtements pour se retrouver nus comme des vers, à genoux sur la moquette. René embrassait goulûment Laure pour la première fois et ses mains s’attardaient sur sa poitrine ( Il a toujours par la suite adoré malaxer ou pétrir la poitrine de Laure. Ce genre de poitrine, bien que manquant de fermeté est très agréable à caresser, De plus elle avait des mamelons assez gros et qui durcissaient beaucoup quand elle était excitée. Il se prenaient alors en bouche comme des tétines de biberons, ce qui est agréable pour l’homme comme pour la femme ) Ils étaient toujours à genoux, l’un face à l’autre, et, au bout de quelques minutes de caresses mutuelles, voyant le phallus de René bien dressé et palpitant dans des spasmes au rythme de sa circulation sanguine, se rendant aussi compte qu’elle avait sous les yeux le plus imposant des sexes masculins capable de rester bien raide et prêt à bondir, d’une taille toutefois moindre que celle de Carlos, mais avec une réelle et solide érection et une base très épaisse, Laure soudain affamée de sexe lui tourna le dos, et pendant qu’il s’emparait des ses seins à pleines mains, elle saisit la verge turgescente entre ses doigts et l’introduisit aussitôt dans sa chatte gourmande. L’introduction se fit instantanément, comme une aspiration tant le plaisir était fort et malgré la taille du phallus, les petites lèvres de la vulve ont du se dilater au maximum, et c’est par tout son poids que Laure s’est soudainement assise sur cet objet de désir de forme un peu conique pour l’engloutir avec appétit : pour une fois un fauve pouvait la défoncer et lui donner du plaisir uniquement par sa taille, son diamètre et sa rigidité; Laure sentit l’énorme queue buter violemment dans son ventre, cognant le fond de son vagin et, malgré cette douleur, le plaisir l’emportant, ses petites fesses musclées rebondirent violemment à plusieurs reprises sur les cuisses de ce nouvel amant, sentant chaque fois des coups de butoirs plus fort dans ses entrailles, jusqu’à cogner sur les testicules gonflées de sperme…Elle réalisait qu’une introduction pouvait être quoiqu’un peu douloureuse, surtout plus que délicieuse. Le corps entier de Laure remuait en cadence. Mais surpris, René éjacula très vite, trop vite, en râlant, retenant des cris… Laure sentit le liquide chaud envahir son ventre, pendant que son amant soufflait encore…Elle resta immobile quelques instants, puis releva la croupe, libérant son vagin de cette verge qu’elle sentait encore bien présente…quelques grosses gouttes de sperme s’écoulèrent sur les cuisses de l’homme… Le vit de son nouvel amant était toujours là, bien tendu… Laure remit sa culotte. Elle était un peu déçue mais savait qu’elle tenait là un amant exceptionnel. Il n’eut plus, par la suite d’éjaculation précoce, mais on pouvait le comprendre : une première maîtresse très convoitée et un coït surprise qu’il n’avait pas dû prévoir si tôt. ! De plus Laure avait commis une erreur, elle aurait du aussitôt se ré empaler sur ce pieu qui était loin d’avoir rendu les armes. Elle saura plus tard que René est sur le plan sexuel, à l’inverse de Carlos, un très solide gaillard, petit mais costaud, comme dit la publicité…..
…. René, quant à lui, continua à retrouver Laure environ une fois par mois, pendant plusieurs années. Chaque fois Elle me racontait, avec détails, comme convenu, leurs ébats. Nous appelions entre nous cet amant, René la Bite, en référence à Rogger Rabbit, Mais elle n’avait pas affaire là à un lapin…Oh ! non…Un taurillon fougueux au phallus respectable et tellement efficace. A force, le vagin s’était adapté en profondeur au membre de René, elle ne ressentait plus les coups de butoir douloureux (ou en faisait abstraction), mais seulement cette sensation d’être remplie d’un plaisir envahissant .L’amant savait déclencher des orgasmes inouïs dans son ventre mis à rude épreuve. Au bout de quelques temps René était devenu capable de faire jouir Laure jusqu’à quatre ou cinq fois de suite… Une première fois par un cunnilingus, ou parfois un soixante neuf, et par pénétration ce gros sexe, habitué à sa maîtresse , pouvait provoquer jusqu’à trois ou quatre orgasmes de suite à ma femme, sans jamais se retirer, les orgasmes étant chaque fois plus intenses et plus longs, et il arrivait à faire coïncider son éjaculation finale avec le dernier dans une sorte d’apothéose…Laissant Laure comme KO, inanimée, lui, gardant sa queue encore longue et raide dans les entrailles de sa maîtresse. En fait, René était si performant que Laure ne se rappelle pas l’avoir vu autrement qu’en érection, même après ses éjaculations. Comme j’aurais aimé assister à ces scènes torrides…. Bien que d’une corpulence moyenne et étant de petite taille, René avait un sexe un peu moins imposant que celui de Carlos quant à la taille et comparable au mien quant à la rigidité…Il labourait et creusait longtemps ma femme, sur un rythme frénétique, plus longtemps qu’aucun des autres hommes à qui elle se soit offerte, et elle jouissait plus qu’elle n’avait jamais joui. Les petites lèvres de Laure devaient danser, épouser le membre, y restant collées, aspirées au rythme de ses va-et-vient, L’image de Carlos sur ma puce me revenait, si on enlevait la masse imposante du mâle, il devait rester, en aussi spectaculaire, la dilatation maximale des petites lèvres de Laure épousant le diamètre du phallus, l’agitation torride de cette queue volumineuse, longue et rigide et de la vulve écartelée, palpitants ensembles dans un ballet infernal, de plus en plus remuants et bruyants pour terminer en apothéose dans des spasmes post orgasmiques…René étant petit, tout comme Laure, le couple était assorti physiquement et l’entente sexuelle avait fini par atteindre une sorte de perfection…Je restais l’époux, l’amant de cœur, mais elle avait besoin de ces moments intenses, d’autant plus intenses qu’ils étaient espacés.
Une seule fois René a manifesté son désir de sodomiser mon épouse… Comme elle venait, ce jour là de jouir déjà deux fois, elle ne se sentait pas le droit de refuser. Après de premiers essais infructueux et douloureux parce que son petit trou n’était ni préparé, ni lubrifié comme pour le baudet, elle insista pour satisfaire René. Après de fortes poussées de l’homme installé derrière elle, le bout du gland finit par pénétrer en se rétrécissant un peu. Elle s’installa sur l’homme étendu sur le dos, à cheval sur lui, cuisses très écartées et regardant son visage. Elle prit le phallus entre ses mains et réussit à réintroduire presque à sec le bout de l’engin dans son petit trou mignon. Elle grimaçait. Petit à petit, par de légers mouvements de pression, la douleur devenant le pressentiment d’un plaisir, quatre à cinq centimètres furent engloutis. Pour combler son amant, elle voulut qu’il entre dans son cul aussi profond que possible. Elle ferma les yeux et, serrant les dents, s’assit de tout son poids sur le braquemart dressé, l’engloutissant jusqu’à la garde. Elle ne put étouffer un cri tant la douleur fut aiguë, elle était en sueur. Elle n’était plus simplement sodomisée, sentant une gêne dans son petit passage, comme elle l’avait été par moi quelques fois, mais vraiment littéralement enculée très profondément, meurtrie, tourmentée, déchirée, farcie, bourrée, écartelée, empalée, perforée, embrochée, torturée, éventrée, suppliciée, martyrisée, défoncée, labourée, cabossée, étripée, clouée, assassinée. Ses sphincters explosaient. Les paupières toujours closes, les dents serrées pour ne pas hurler, Laure continua à remuer et gémir jusqu’à l\'orgasme de René dont le plaisir n’eut d’égal que sa douleur. Son cul était endolori. A sa toilette, elle constata que son petit trou saignait. Elle ne recommença jamais l’expérience. Elle remercia le ciel de ne pas être tombé pour cela sur Carlos qui l’aurait certainement tuée, supposa-t-elle.
Une fois à mes heures habituelles de travail, j’étais venu intentionnellement à la maison, le sachant présent avec elle, et ils sont redescendus du grenier . Laure ignorant ma présence était vêtue d’un seul slip pour ne pas laisser perler derrière elle la semence de son amant, le corps perlant de sueur et sentant l’amour, elle se rendait à la salle de bain ses vêtements sous le bras, pour se laver le sexe…Elle se contenta de m’adresser un grand sourire suivi d’un petit baiser sur les lèvres et je l’ai suivie ; Fière, elle m’a fait contempler sa vulve encore chaude d’un ébat fini quelques minutes auparavant. Ses petites lèvres étaient encore ouvertes et comme rougies par les assauts subits, quelques gouttes de sperme s’écoulaient du méat de sa vulve ( sa petite culotte en était déjà pleine). Bien que sachant René encore présent, ne serait-ce que pour nous dire au revoir, je ne pus m’empêcher de pénétrer Laure, qui s’attendait à cela, debout dans la salle de bain, ne prenant même pas le temps d’ôter mon pantalon, augmentant après quelques coups de reins rageurs la dose de liqueur qu’elle venait de recevoir…Elle était encore si excitée que j’ai pu ressentir debout les frissonnements de ses reins, et le début d’un certainement cinquième ou sixième orgasme pour elle. Debout jambes écartées elle laissa les semences mêlées s’écouler en quelques gouttes blanchâtres sur le carrelage. Elle put alors faire sa toilette… Je la laissai et me rendit à la cuisine préparer le café pour nous trois…. René avait sûrement deviné la scène, mais il n’en laissa rien paraître
…. René, quant à lui, continua à retrouver Laure environ une fois par mois, pendant plusieurs années. Chaque fois Elle me racontait, avec détails, comme convenu, leurs ébats. Nous appelions entre nous cet amant, René la Bite, en référence à Rogger Rabbit, Mais elle n’avait pas affaire là à un lapin…Oh ! non…Un taurillon fougueux au phallus respectable et tellement efficace. A force, le vagin s’était adapté en profondeur au membre de René, elle ne ressentait plus les coups de butoir douloureux (ou en faisait abstraction), mais seulement cette sensation d’être remplie d’un plaisir envahissant .L’amant savait déclencher des orgasmes inouïs dans son ventre mis à rude épreuve. Au bout de quelques temps René était devenu capable de faire jouir Laure jusqu’à quatre ou cinq fois de suite… Une première fois par un cunnilingus, ou parfois un soixante neuf, et par pénétration ce gros sexe, habitué à sa maîtresse , pouvait provoquer jusqu’à trois ou quatre orgasmes de suite à ma femme, sans jamais se retirer, les orgasmes étant chaque fois plus intenses et plus longs, et il arrivait à faire coïncider son éjaculation finale avec le dernier dans une sorte d’apothéose…Laissant Laure comme KO, inanimée, lui, gardant sa queue encore longue et raide dans les entrailles de sa maîtresse. En fait, René était si performant que Laure ne se rappelle pas l’avoir vu autrement qu’en érection, même après ses éjaculations. Comme j’aurais aimé assister à ces scènes torrides…. Bien que d’une corpulence moyenne et étant de petite taille, René avait un sexe un peu moins imposant que celui de Carlos quant à la taille et comparable au mien quant à la rigidité…Il labourait et creusait longtemps ma femme, sur un rythme frénétique, plus longtemps qu’aucun des autres hommes à qui elle se soit offerte, et elle jouissait plus qu’elle n’avait jamais joui. Les petites lèvres de Laure devaient danser, épouser le membre, y restant collées, aspirées au rythme de ses va-et-vient, L’image de Carlos sur ma puce me revenait, si on enlevait la masse imposante du mâle, il devait rester, en aussi spectaculaire, la dilatation maximale des petites lèvres de Laure épousant le diamètre du phallus, l’agitation torride de cette queue volumineuse, longue et rigide et de la vulve écartelée, palpitants ensembles dans un ballet infernal, de plus en plus remuants et bruyants pour terminer en apothéose dans des spasmes post orgasmiques…René étant petit, tout comme Laure, le couple était assorti physiquement et l’entente sexuelle avait fini par atteindre une sorte de perfection…Je restais l’époux, l’amant de cœur, mais elle avait besoin de ces moments intenses, d’autant plus intenses qu’ils étaient espacés.
Une seule fois René a manifesté son désir de sodomiser mon épouse… Comme elle venait, ce jour là de jouir déjà deux fois, elle ne se sentait pas le droit de refuser. Après de premiers essais infructueux et douloureux parce que son petit trou n’était ni préparé, ni lubrifié comme pour le baudet, elle insista pour satisfaire René. Après de fortes poussées de l’homme installé derrière elle, le bout du gland finit par pénétrer en se rétrécissant un peu. Elle s’installa sur l’homme étendu sur le dos, à cheval sur lui, cuisses très écartées et regardant son visage. Elle prit le phallus entre ses mains et réussit à réintroduire presque à sec le bout de l’engin dans son petit trou mignon. Elle grimaçait. Petit à petit, par de légers mouvements de pression, la douleur devenant le pressentiment d’un plaisir, quatre à cinq centimètres furent engloutis. Pour combler son amant, elle voulut qu’il entre dans son cul aussi profond que possible. Elle ferma les yeux et, serrant les dents, s’assit de tout son poids sur le braquemart dressé, l’engloutissant jusqu’à la garde. Elle ne put étouffer un cri tant la douleur fut aiguë, elle était en sueur. Elle n’était plus simplement sodomisée, sentant une gêne dans son petit passage, comme elle l’avait été par moi quelques fois, mais vraiment littéralement enculée très profondément, meurtrie, tourmentée, déchirée, farcie, bourrée, écartelée, empalée, perforée, embrochée, torturée, éventrée, suppliciée, martyrisée, défoncée, labourée, cabossée, étripée, clouée, assassinée. Ses sphincters explosaient. Les paupières toujours closes, les dents serrées pour ne pas hurler, Laure continua à remuer et gémir jusqu’à l\'orgasme de René dont le plaisir n’eut d’égal que sa douleur. Son cul était endolori. A sa toilette, elle constata que son petit trou saignait. Elle ne recommença jamais l’expérience. Elle remercia le ciel de ne pas être tombé pour cela sur Carlos qui l’aurait certainement tuée, supposa-t-elle.
Une fois à mes heures habituelles de travail, j’étais venu intentionnellement à la maison, le sachant présent avec elle, et ils sont redescendus du grenier . Laure ignorant ma présence était vêtue d’un seul slip pour ne pas laisser perler derrière elle la semence de son amant, le corps perlant de sueur et sentant l’amour, elle se rendait à la salle de bain ses vêtements sous le bras, pour se laver le sexe…Elle se contenta de m’adresser un grand sourire suivi d’un petit baiser sur les lèvres et je l’ai suivie ; Fière, elle m’a fait contempler sa vulve encore chaude d’un ébat fini quelques minutes auparavant. Ses petites lèvres étaient encore ouvertes et comme rougies par les assauts subits, quelques gouttes de sperme s’écoulaient du méat de sa vulve ( sa petite culotte en était déjà pleine). Bien que sachant René encore présent, ne serait-ce que pour nous dire au revoir, je ne pus m’empêcher de pénétrer Laure, qui s’attendait à cela, debout dans la salle de bain, ne prenant même pas le temps d’ôter mon pantalon, augmentant après quelques coups de reins rageurs la dose de liqueur qu’elle venait de recevoir…Elle était encore si excitée que j’ai pu ressentir debout les frissonnements de ses reins, et le début d’un certainement cinquième ou sixième orgasme pour elle. Debout jambes écartées elle laissa les semences mêlées s’écouler en quelques gouttes blanchâtres sur le carrelage. Elle put alors faire sa toilette… Je la laissai et me rendit à la cuisine préparer le café pour nous trois…. René avait sûrement deviné la scène, mais il n’en laissa rien paraître
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