Laurette et Laurent - histoire érotique

Quand j'étais à l'école primaire, j'avais dans ma classe un copain qui se prénommait Laurent. Il avait une jeune soeur qu'il traitait de "merdeuse". Moi je l'aimais bien cette petite fille. Bien plus tard, lors que je n'habitais plus depuis longtemps le même patelin, je rencontrais tout à fait par hasard mon copain Laurent. Nous étions pressés et avons prit un rendez vous pour manger ensemble depuis le temps. Nous avions 30 ans Et le jour dit à l'heure dite nous avons pu parler longuement de nos jeunes années. Il me donnait des nouvelles de sa frangine qui avait alors 26 ans. Elle était célibataire sans attache particulière. Mais lui se mariait une semaine plus tard et m'invitait à sa noce. Tout heureux de la revoir, lui et sa famille, j'acceptais avec grand plaisir.
Le Vendredi suivant j'allais donc à sa noce pour le complimenter et embrasser la mariée. Elle était très jolie et n'hésitais pas à le lui dire : elle en rougit. Laurette s'était faite excuser : elle ne pouvait venir à la cérémonie, Mais viendrait aux repas de noce. Les places étaient indiquées et je me retrouvais à coté de la "merdeuse". Elle était encore plus belle que la mariée et surtout plus belle que dans mes souvenir. Nous aussi avons échangés des souvenirs de nos jeux innocents. Mais était-ce l'effet des vins, nous avons parlé de tout autre chose puisque nous en sommes arrivés au sexe.
Elle est resté célibataire à la suite d'un chagrin d'amour : elle pensait avoir trouvé l'homme de sa vie, mais plus tard, après qu'elle soit devenue sa maîtresse elle appris qu'il était marié. Elle s’en est séparée dès sa connaissance de sa traîtrise. Il en voulait à son corps. Sans vouloir de son propre amour.
Depuis elle vivait seule, c'est à dire sans homme à la maison : elle couchait de temps en temps lorsqu'elle trouvait une occasion à son goût.
Je lui dis que je la plaignais beaucoup. Je lui parlais de mon cas qui finalement n'était guère plus enviable, mes occupations étaient telles que je n'avais pas de liaison très durables. La liaison la plus longue avait durée un peu plus de six mois. Et comme Laurette je cherchais des amour de rencontre, juste pour ne pas perdre l'habitude d'un corps féminine. Cette remarque la fit rire, comment oublier un corps de femme ?
La noce battait son plein et les jeunes époux sont partis discrètement. Leur départ précipité fit qu'avec Laurette nous avons aussi disparus. Elle m'avait dit qu'elle était descendue dans un hôtel pas très loin. Je lui demandais, pour le principe s'il elle voulait bien que j'aille avec elle.
Elle me demandait si je voulais bien réviser le corps d'une femme: Bien évidemment, je n'ai pas perdu le mode d'emploi.
Dans sa chambre, je me mis à l'embrasser profondément : tu embrasses bien me dit-elle. Mais elle répondait à mon baiser par un autre plus appuyé. Nos langues se livraient un combat dans nos bouches qui nous laissaient sans souffle. Les mains remplaçaient les bouches en parcourant le corps de l'autre. Je lui caressais les seins et elle me massait le dos. Nous nous sommes mis nus ensembles en retirant nos pièces de vêtements en harmonie : elle enlevait son corsage, j'ôtais ma chemise, il ne lui restait plus que les bas. Mais je l'empêchais de les retirer. Elle avait une allure d'une jeune fille de 18 ans. Je bandais de plus en plus. Elle empoignait ma bite pour la branler lentement. Je lui avais mis ma main sur se chatte et y cherchais le petit bouton. Lorsque je l'ai trouvé je le branlais aussi lentement, en cadence avec ses mouvements. Mais ses jeux d'adolescents n'étaient réellement plus de notre âge. Nous nous sommes allongés et je pris à ce moment là une leçon d'amour. Elle baisait comme une fée. Savourant chaqu'instant de nos étreintes, les stoppant avant de jouir.
Nous avons pis plus d'un quart d'heure à partager un orgasme extraordinaire tant pour elle que pour moi. Il ne nous a pas fallut longtemps pour baiser à nouveau. Je lui pris le con dans la bouche : elle me dit j'aime bien ça. Je lui mets en même temps un doigt au cul : elle aime aussi. Nous faisons un 69, elle dessus: elle en profite pour me rentrer son index dans mon cul. Je lui en fais autant mais j'y rentre trois doigts. Elle ronronne comme une chatte. Nous jouissons chacune dans la bouche de l'autre. Elle aime le goût de mon sperme bref c'est une merveilleuse amante. La nuit passe en l’enculant, elle se branle j'en fait autant : nous sommes plongés dans une de ces nuits d'amour rare.
Je lui demande si nous pouvons nous revoir : Bien sur j'aime nos façons de baiser, nous sommes ensemble à la recherche du vrai et seul plaisir qui compte.
Nous nous sommes tellement revus qu'à la fin d'une nuit très agitée elle me demande si je ne veux pas l'épouser. Je n'hésite pas un instant. Nous ne l'avons jamais regretté : nous avons eu deux enfants qui nous remplissent de joie. Mais cela n'empêche pas que nous baisons toujours autant et peu être plus qu'avant. Nous inventons encore des jeux, le dernier en date : nous faisons en sorte de baiser dans des lieux où nous pouvons être vus, c'est très excitant d'être vus en train de baiser. Une fois certainement nous avons la certitude qu'un autre couple nous regardait.