Laurie 1
Récit érotique écrit par DXD [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-01-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Laurie 1
Je posai mon sac, et m’installai à la table de la bibliothèque. J’étais venu ici pour achever un devoir en retard que j’avais presque terminé. En cette belle et chaude après-midi de Septembre, j’aurais 100 fois préféré être dehors à profiter du soleil et de la chaleur, mais un dernier effort s’imposait pour finir ce que j’avais à faire. Je travaillais depuis une heure lorsque j’eus besoin de consulter nouvel ouvrage pour achever mon travail. N’ayant pas envie de errer à travers les rayons à la recherche du livre en question, je me rendis sur l’un des ordinateurs de ma fac, pour chercher sur le site de la bibliothèque l’emplacement du livre.
En arrivant aux tables à ordinateurs, je restai un moment planté devant les tables, momentanément scotché par ce que je voyais. Une étudiante, très sexy se trouvait devant l’un des ordinateurs, entrain de travailler, un livre posé sur ses cuisses. Elle était vêtue d’un débardeur noir, très moulant, au décolleté très large et qui remontait légèrement au-dessus de son nombril. Sa peau était très hâlée, comme si elle avait bronzé tout l’été. Ses cheveux châtains et sa peau mat et lui donnaient une apparence de fille du sud. Elle était terriblement sexy, notamment à cause de ses formes très généreuses parfaitement mises en valeur par sa tenue. Sa poitrine était lourde et opulente, et son fessier avait tout l’air de soutenir la comparaison.
Je me remis rapidement de ma surprise, et alla m’asseoir devant un ordinateur, non loin d’elle. Je trouvai rapidement l’emplacement du livre dont j’avais besoin, mais ne pus me résoudre à quitter comme ça cette magnifique jeune fille. J’allai donc chercher mon livre, puis allai prendre mes affaires, et vins m’installer à côté d’elle, l’air de rien, et me remis à travailler. Pendant l’heure qui suivit, chacun de nous travailla sagement de son côté. Cependant, mes yeux ne pouvaient s’empêcher de s’égarer vers elle, et d’épouser régulièrement ses incroyables courbes. Au bout d’un moment, je notai qu’elle aussi me jetait de fréquents coups d’oeil, ses yeux verts clairs s’égarant vers mes bras musclés, ou mon torse dont on devinait la solidité sous mon t-shirt. On n’alla cependant pas plus loin que les regards, ni elle ni moi ne nous adressâmes la parole pendant tout le temps où nous restâmes à la bibliothèque.
Au bout d’un moment, elle rassembla ses affaires, et après un dernier regard, elle partit. Je restai un moment à la table de la bibliothèque, hésitant. Puis, je me décidai soudain, et la suivis. Je la rattrapai au moment où elle attendait devant l’ascenseur de la bibliothèque. Je lui aurais alors bien adressé la parole, mais d’autres gens attendaient également l’ascenseur, et je n’avais pas envie de m’afficher devant tout le monde. Aussi, je me contentais d’attendre l’ascenseur, en compagnie de la belle étudiante, qui m’observait intensément. Lorsque l’ascenseur arriva, nous entrâmes tous dedans. La belle inconnue et moi n’avions d’yeux que l’un pour l’autre, il semblait que sans nous parler nous nous comprenions. Ce fut d’un commun accord que nous descendîmes au rez-de-chaussée de la bibliothèque, d’un commun accord encore, que nous marchâmes l’un à côté de l’autre, d’un commun accord que nous entrâmes dans les toilettes des filles, et d’un commun accord que nous nous enfermâmes dans un cabinet.
Aucune parole n’avait été échangée, et maintenant, nous nous trouvions seuls tous les deux, sans personne pour nous observer ou nous juger. Après un bref instant d’hésitation, nous nous jetâmes l’un sur l’autre, nous embrassant comme des fous, nous unissant dans une étreinte brûlante. Avec mes mains, je saisis ses fesses et entrepris de les masser, la faisant soupirer d’excitation. Elle enroula elle ses bras nus autour de mon cou, m’attirant plus encore contre elle. Pris de fièvre, je la plaquai contre le mur des toilettes, et avec avidité je descendis sur son cou et son décolleté que j’embrassais et léchais. Puis, je tirais son débardeur vers le bas, et défis son soutif, révélant une poitrine aussi imposante et ferme que j’en rêvais. J’enfouis ma tête dedans, et embrassai et léchai tout ce qui passait à ma portée.
La belle étudiante poussa un gémissement, qui m’encouragea à continuer. Il se passa plusieurs minutes avant qu’elle ne m’interrompe.
« Arrête beau gosse, on a pas toute la journée : saute moi ! »
Je me redressai, baissai mon pantalon et mon caleçon, libérant mon sexe ultra tendu.
« Hmm quand je vois ça, je sais que je vais passer un bon moment, roucoula-t-elle. »
Avec un sourire, je lui défis à son tour son jean noir puis son shorty, et d’un coup sec, la pénétrai vigoureusement, après l’avoir soulevée, et plaquée à nouveau contre le mur. Elle enroula ses jambes autour de ma taille, m’attira contre elle, et alors je démarrai de puissants va-et-vient qui eurent le don de la faire gémir aussitôt. Je la bâillonnai avec ma main, pour ne pas qu’on nous entende, et accélérai le tempo, la labourant sauvagement, pilonnant le fond de son intimité, me réjouissant de la sentir vibrer et trembler sous mes mains. Je continuai à la baiser ainsi pendant un bon moment, et elle en gémit et gémit encore ce qui me rendait heureux de l’avoir bâillonnée ! Cependant au bout d’un moment, je voulus utiliser ma main d’une autre façon :
« Retiens toi de gémir toute seule, lui ordonnai-je, je veux masser tes seins. »
Je la collai bien contre le mur, voulus saisir sa grosse poitrine. Elle me saisit les poignets et me dit :
« Non ! »
« Quoi ? »
« Enlève ton t-shirt d’abord ! »
Souriant, je m’exécutai, et me mis torse nu, dévoilant mon corps musclé. Ses yeux brillèrent :
« Hmmm c’est encore mieux que ce que je pensais ! »
Je saisis alors sa poitrine, et entrepris de la pétrir, de la malaxer, m’émerveillant de la rondeur et de la fermeté de ses seins.
« Hmmm tu les prends bien en main, c’est vraiment…. Aaaah ! »
J’avais repris soudainement mes coups de reins, tout en continuant de lui masser les seins, et elle poussa de petits cris stridents de plaisir. Impitoyable, je continuai encore et encore, la culbutant contre le mur comme un forcené. Elle se mit à crier de plus en plus fort.
« Mais ferme là, on va nous entendre dans toute la fac ! »
« J’y… j’y peux rien bordel ! Oooooh c’est trop BON ! »
Pour se taire, elle ne trouva rien d’autre que me mordre l’épaule, étouffant ses gémissements. Je poussai un grognement de douleur, et redoublai d’ardeur, l’envoyant littéralement au septième ciel, dopé par l’excitation. Mon sexe allait loin en elle, repartait, revenait, la limant avec une brûlante violence. Je la sentis se raidir, puis se cambrer. Puis dans un soubresaut, la belle explosa dans un orgasme qui semblait merveilleux, car elle en trembla comme une feuille, et s’écroula dans mes bras, épuisée, essoufflée et sonnée.
Je n’avais pas encore joui cependant, aussi je la posai au sol, et la soutins le temps qu’elle puisse tenir debout.
« C’était magistral, merci ! me lança-t-elle. »
« C’est pas fini hein. »
« Quoi ? Après ce que tu viens de me mettre t’es encore d’attaque ? Ca m’étonnerait... »
Je la saisis par les hanches, la retournai et la plaquai face contre le mur. Je la pénétrai d’un coup sec par derrière, et lui donnai deux puissants coup de reins en levrette.
« Alors ? Je suis pas d’attaque ? »
Avant qu’elle ait pu répondre, j’entamai de nouveaux et délicieux va-et-vient, en la tenant d’une main par les fesses, de l’autre par les cheveux, je la prenais avec force, la collant avec autorité contre le mur, et cognant puissamment le fond de son être. Elle reprit aussitôt ses gémissements, mais à vrai dire je n’en n’avais plus rien à faire, trop emporté par le plaisir et le désir. J’accélérai encore le rythme, et me penchai sur sa nuque pour l’embrasser puis la mordre, la faisant frémir d’extase. Je tirai ensuite ses cheveux vers la gauche ou vers la droite, la manipulant à ma guise, et lui faisant sentir qui était le patron. Elle semblait adorer ça, et je la sentis frémir et gémir de plus belle. Je prenais conscience que j’étais entrain de sauter une parfaite inconnue avec qui j’avais échangé seulement deux ou trois mots. Cette pensée me fit frémir et décupla encore mon énergie et j’accélérai le rythme brutalement, allant à un train infernal pour nous deux, mes hanches percutant ses fesses avec plus d’ardeur que jamais. A nouveau, elle se cambra avant d’exploser dans un deuxième orgasme qui la fit hurler, et s’écrouler à genoux, sonnée par le plaisir. Je me sentais proche de la jouissance, aussi je la saisis par les cheveux, et tira son visage vers le haut : je présentai mon sexe devant, et me mis à me branler. Avec un sourire, elle me branla à son tour, m’aidant à jouir, sa main experte prit possession de me verge, la malmena un temps, avant de brusquement me faire jouir, me déversant sur le beau visage de l’étudiante sexy.
Elle se redressa et nous nous embrassâmes à nouveau. On se rhabilla, elle se débarbouilla dans le lavabo des toilettes et nous rentrâmes chacun chez nous. Ce ne fut que quelques heures plus tard que je découvris dans mon sac un petit bout de papier sur lequel avait été griffonné un numéro de téléphone et un nom « Laurie ».
En arrivant aux tables à ordinateurs, je restai un moment planté devant les tables, momentanément scotché par ce que je voyais. Une étudiante, très sexy se trouvait devant l’un des ordinateurs, entrain de travailler, un livre posé sur ses cuisses. Elle était vêtue d’un débardeur noir, très moulant, au décolleté très large et qui remontait légèrement au-dessus de son nombril. Sa peau était très hâlée, comme si elle avait bronzé tout l’été. Ses cheveux châtains et sa peau mat et lui donnaient une apparence de fille du sud. Elle était terriblement sexy, notamment à cause de ses formes très généreuses parfaitement mises en valeur par sa tenue. Sa poitrine était lourde et opulente, et son fessier avait tout l’air de soutenir la comparaison.
Je me remis rapidement de ma surprise, et alla m’asseoir devant un ordinateur, non loin d’elle. Je trouvai rapidement l’emplacement du livre dont j’avais besoin, mais ne pus me résoudre à quitter comme ça cette magnifique jeune fille. J’allai donc chercher mon livre, puis allai prendre mes affaires, et vins m’installer à côté d’elle, l’air de rien, et me remis à travailler. Pendant l’heure qui suivit, chacun de nous travailla sagement de son côté. Cependant, mes yeux ne pouvaient s’empêcher de s’égarer vers elle, et d’épouser régulièrement ses incroyables courbes. Au bout d’un moment, je notai qu’elle aussi me jetait de fréquents coups d’oeil, ses yeux verts clairs s’égarant vers mes bras musclés, ou mon torse dont on devinait la solidité sous mon t-shirt. On n’alla cependant pas plus loin que les regards, ni elle ni moi ne nous adressâmes la parole pendant tout le temps où nous restâmes à la bibliothèque.
Au bout d’un moment, elle rassembla ses affaires, et après un dernier regard, elle partit. Je restai un moment à la table de la bibliothèque, hésitant. Puis, je me décidai soudain, et la suivis. Je la rattrapai au moment où elle attendait devant l’ascenseur de la bibliothèque. Je lui aurais alors bien adressé la parole, mais d’autres gens attendaient également l’ascenseur, et je n’avais pas envie de m’afficher devant tout le monde. Aussi, je me contentais d’attendre l’ascenseur, en compagnie de la belle étudiante, qui m’observait intensément. Lorsque l’ascenseur arriva, nous entrâmes tous dedans. La belle inconnue et moi n’avions d’yeux que l’un pour l’autre, il semblait que sans nous parler nous nous comprenions. Ce fut d’un commun accord que nous descendîmes au rez-de-chaussée de la bibliothèque, d’un commun accord encore, que nous marchâmes l’un à côté de l’autre, d’un commun accord que nous entrâmes dans les toilettes des filles, et d’un commun accord que nous nous enfermâmes dans un cabinet.
Aucune parole n’avait été échangée, et maintenant, nous nous trouvions seuls tous les deux, sans personne pour nous observer ou nous juger. Après un bref instant d’hésitation, nous nous jetâmes l’un sur l’autre, nous embrassant comme des fous, nous unissant dans une étreinte brûlante. Avec mes mains, je saisis ses fesses et entrepris de les masser, la faisant soupirer d’excitation. Elle enroula elle ses bras nus autour de mon cou, m’attirant plus encore contre elle. Pris de fièvre, je la plaquai contre le mur des toilettes, et avec avidité je descendis sur son cou et son décolleté que j’embrassais et léchais. Puis, je tirais son débardeur vers le bas, et défis son soutif, révélant une poitrine aussi imposante et ferme que j’en rêvais. J’enfouis ma tête dedans, et embrassai et léchai tout ce qui passait à ma portée.
La belle étudiante poussa un gémissement, qui m’encouragea à continuer. Il se passa plusieurs minutes avant qu’elle ne m’interrompe.
« Arrête beau gosse, on a pas toute la journée : saute moi ! »
Je me redressai, baissai mon pantalon et mon caleçon, libérant mon sexe ultra tendu.
« Hmm quand je vois ça, je sais que je vais passer un bon moment, roucoula-t-elle. »
Avec un sourire, je lui défis à son tour son jean noir puis son shorty, et d’un coup sec, la pénétrai vigoureusement, après l’avoir soulevée, et plaquée à nouveau contre le mur. Elle enroula ses jambes autour de ma taille, m’attira contre elle, et alors je démarrai de puissants va-et-vient qui eurent le don de la faire gémir aussitôt. Je la bâillonnai avec ma main, pour ne pas qu’on nous entende, et accélérai le tempo, la labourant sauvagement, pilonnant le fond de son intimité, me réjouissant de la sentir vibrer et trembler sous mes mains. Je continuai à la baiser ainsi pendant un bon moment, et elle en gémit et gémit encore ce qui me rendait heureux de l’avoir bâillonnée ! Cependant au bout d’un moment, je voulus utiliser ma main d’une autre façon :
« Retiens toi de gémir toute seule, lui ordonnai-je, je veux masser tes seins. »
Je la collai bien contre le mur, voulus saisir sa grosse poitrine. Elle me saisit les poignets et me dit :
« Non ! »
« Quoi ? »
« Enlève ton t-shirt d’abord ! »
Souriant, je m’exécutai, et me mis torse nu, dévoilant mon corps musclé. Ses yeux brillèrent :
« Hmmm c’est encore mieux que ce que je pensais ! »
Je saisis alors sa poitrine, et entrepris de la pétrir, de la malaxer, m’émerveillant de la rondeur et de la fermeté de ses seins.
« Hmmm tu les prends bien en main, c’est vraiment…. Aaaah ! »
J’avais repris soudainement mes coups de reins, tout en continuant de lui masser les seins, et elle poussa de petits cris stridents de plaisir. Impitoyable, je continuai encore et encore, la culbutant contre le mur comme un forcené. Elle se mit à crier de plus en plus fort.
« Mais ferme là, on va nous entendre dans toute la fac ! »
« J’y… j’y peux rien bordel ! Oooooh c’est trop BON ! »
Pour se taire, elle ne trouva rien d’autre que me mordre l’épaule, étouffant ses gémissements. Je poussai un grognement de douleur, et redoublai d’ardeur, l’envoyant littéralement au septième ciel, dopé par l’excitation. Mon sexe allait loin en elle, repartait, revenait, la limant avec une brûlante violence. Je la sentis se raidir, puis se cambrer. Puis dans un soubresaut, la belle explosa dans un orgasme qui semblait merveilleux, car elle en trembla comme une feuille, et s’écroula dans mes bras, épuisée, essoufflée et sonnée.
Je n’avais pas encore joui cependant, aussi je la posai au sol, et la soutins le temps qu’elle puisse tenir debout.
« C’était magistral, merci ! me lança-t-elle. »
« C’est pas fini hein. »
« Quoi ? Après ce que tu viens de me mettre t’es encore d’attaque ? Ca m’étonnerait... »
Je la saisis par les hanches, la retournai et la plaquai face contre le mur. Je la pénétrai d’un coup sec par derrière, et lui donnai deux puissants coup de reins en levrette.
« Alors ? Je suis pas d’attaque ? »
Avant qu’elle ait pu répondre, j’entamai de nouveaux et délicieux va-et-vient, en la tenant d’une main par les fesses, de l’autre par les cheveux, je la prenais avec force, la collant avec autorité contre le mur, et cognant puissamment le fond de son être. Elle reprit aussitôt ses gémissements, mais à vrai dire je n’en n’avais plus rien à faire, trop emporté par le plaisir et le désir. J’accélérai encore le rythme, et me penchai sur sa nuque pour l’embrasser puis la mordre, la faisant frémir d’extase. Je tirai ensuite ses cheveux vers la gauche ou vers la droite, la manipulant à ma guise, et lui faisant sentir qui était le patron. Elle semblait adorer ça, et je la sentis frémir et gémir de plus belle. Je prenais conscience que j’étais entrain de sauter une parfaite inconnue avec qui j’avais échangé seulement deux ou trois mots. Cette pensée me fit frémir et décupla encore mon énergie et j’accélérai le rythme brutalement, allant à un train infernal pour nous deux, mes hanches percutant ses fesses avec plus d’ardeur que jamais. A nouveau, elle se cambra avant d’exploser dans un deuxième orgasme qui la fit hurler, et s’écrouler à genoux, sonnée par le plaisir. Je me sentais proche de la jouissance, aussi je la saisis par les cheveux, et tira son visage vers le haut : je présentai mon sexe devant, et me mis à me branler. Avec un sourire, elle me branla à son tour, m’aidant à jouir, sa main experte prit possession de me verge, la malmena un temps, avant de brusquement me faire jouir, me déversant sur le beau visage de l’étudiante sexy.
Elle se redressa et nous nous embrassâmes à nouveau. On se rhabilla, elle se débarbouilla dans le lavabo des toilettes et nous rentrâmes chacun chez nous. Ce ne fut que quelques heures plus tard que je découvris dans mon sac un petit bout de papier sur lequel avait été griffonné un numéro de téléphone et un nom « Laurie ».
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