Layla, acoustic
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-03-2020 dans la catégorie Fétichisme
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Couleur du fond :
Layla, acoustic
Pourquoi ce morceau de Clapton m’amène-t-il encore dans ce petit resto gastro branché de l’Ecusson ?
Chaque fois.
UnpluggedUnplugged, ça veut dire quoi exactement, unplugged ?
La fille a des cheveux courts. Elle est souriante. Et moi ça me plait.
En sus ses petits seins déchirent son devant.
On voit bien qu’elle a très exactement la couleur la saveur de la mise en bouche qu’elle vous apporte et pose devant vous tout sourire.
On voit son alliance à main gauche et on comprend qu’elle n’est pas vraiment tout à fait fille libre. On le regrette. Mais on remercie un peu le mari de nous la prêter quelques minutes, le temps d’un repas, ce soir-là.
Salop de mari quand même ... on lui en veut, un peu, beaucoup.
Layla, tourne dans ma tête. Clapton, t’es le plus fort.
La fille retourne aux fourneaux. Et moi, tout ému, je mate ses fesses.
Voilà qu’elle accueille de nouveaux clients et je suis Othello, jaloux. Je n’en montre rien et déguste mon viognier de Condrieu. Celui qu’elle m’a apporté et servi perso pour me le faire goûter. Complice, amie.
Mais ces nouveaux clients sont-ils donc tant amis d’elle eux aussi que tant elle les bise et les embrasse et les choie ?
Je suis jaloux.
La vie n’est pas si simple...
Je pensais, dur métier que le sien obligée qu’elle est de faire bonne figure à tout un chacun. Lors que le seul qui importe, c’est moi.
Le seul qui lui importe.
Et son mari alors ?
Son mari, avec l’Audi, comme sur plage de Mer du Nord, Souchon, baiser volé... Tendre baiser.
Pourtant ici à Montpellier, c’est même chanson mêmes tourments.
Cheveux courts Jean Seberg à Bout de Souffle Herald Tribune et accent de côte ouest, Frisco. Je bande.
La fille passe repasse portant les assiettes aux tables voisines. Dans ce resto branché on sert à l’assiette des mets délicats et compliqués et elle explique, même discours à chaque fois. Sans variante. Elle a bien appris la leçon. Et l’on pense, a-t-elle au moins goûté cette pitance ? Elle. Au moins a-t-elle apprécié ?
Et moi je mate ses fesses dans le pantalon noir léger qui nappe icelles sans vergogne aucune. La craque profonde est dessinée, couture de l’étoffe enfouie au plus humide qui la garde qui l’a faite sienne et ne veut plus la rendre. On voit d’évidence qu’aucun sous vêtement n’en vient perturber le trait et la pulsion qui voudrait qu’on y mette la main est puissante, irrésistible même.
Civilisation, culture, éducation qui nous l’interdit...
Mais comment voulez-vous perpétuer l’espèce si vous nous interdisez ce simple geste ? Geste d’accueil, de bienveillance, bonjour. Main au cul, qu’ils disent, avec deux doigts incisifs incursifs, profond.
Ma tête tourne dans ce petit resto. Les voisins de tablée sont-ils dans le même état d’esprit ? Ou bien suis-je le seul mec obsédé sexuel à dévarier mes pensées.
En plus la fille me sourit. Et moi, comme un con, je bande, en concordance.
Unplugged et elle me regarde avec ses yeux de fille qui ne devrait avoir ni alliance ni mari ni famille mais être simple fille libre dispo pour moi ou les autres. Enfin Clapton, cette Layla que tu nous chantes est-elle pour nous ou bien la gardes-tu rien que pour toi ? Pourquoi alors nous l’avoir présentée si nous n’y avons pas droit ?
La fille tourne retourne persévère dans le minuscule resto. Et son corps fin souple continue de nous faire tous bander.
L’étoile Michelin est elle seulement justifiée par l’habileté la compétence du cuisinier ?
Eric Clapton & Jim Gordon, Majnûn Laylâ, 1992 MTV unplugged
A genoux je te le dis, Layla, viens-t-en donc plutôt avec moi.
Chaque fois.
UnpluggedUnplugged, ça veut dire quoi exactement, unplugged ?
La fille a des cheveux courts. Elle est souriante. Et moi ça me plait.
En sus ses petits seins déchirent son devant.
On voit bien qu’elle a très exactement la couleur la saveur de la mise en bouche qu’elle vous apporte et pose devant vous tout sourire.
On voit son alliance à main gauche et on comprend qu’elle n’est pas vraiment tout à fait fille libre. On le regrette. Mais on remercie un peu le mari de nous la prêter quelques minutes, le temps d’un repas, ce soir-là.
Salop de mari quand même ... on lui en veut, un peu, beaucoup.
Layla, tourne dans ma tête. Clapton, t’es le plus fort.
La fille retourne aux fourneaux. Et moi, tout ému, je mate ses fesses.
Voilà qu’elle accueille de nouveaux clients et je suis Othello, jaloux. Je n’en montre rien et déguste mon viognier de Condrieu. Celui qu’elle m’a apporté et servi perso pour me le faire goûter. Complice, amie.
Mais ces nouveaux clients sont-ils donc tant amis d’elle eux aussi que tant elle les bise et les embrasse et les choie ?
Je suis jaloux.
La vie n’est pas si simple...
Je pensais, dur métier que le sien obligée qu’elle est de faire bonne figure à tout un chacun. Lors que le seul qui importe, c’est moi.
Le seul qui lui importe.
Et son mari alors ?
Son mari, avec l’Audi, comme sur plage de Mer du Nord, Souchon, baiser volé... Tendre baiser.
Pourtant ici à Montpellier, c’est même chanson mêmes tourments.
Cheveux courts Jean Seberg à Bout de Souffle Herald Tribune et accent de côte ouest, Frisco. Je bande.
La fille passe repasse portant les assiettes aux tables voisines. Dans ce resto branché on sert à l’assiette des mets délicats et compliqués et elle explique, même discours à chaque fois. Sans variante. Elle a bien appris la leçon. Et l’on pense, a-t-elle au moins goûté cette pitance ? Elle. Au moins a-t-elle apprécié ?
Et moi je mate ses fesses dans le pantalon noir léger qui nappe icelles sans vergogne aucune. La craque profonde est dessinée, couture de l’étoffe enfouie au plus humide qui la garde qui l’a faite sienne et ne veut plus la rendre. On voit d’évidence qu’aucun sous vêtement n’en vient perturber le trait et la pulsion qui voudrait qu’on y mette la main est puissante, irrésistible même.
Civilisation, culture, éducation qui nous l’interdit...
Mais comment voulez-vous perpétuer l’espèce si vous nous interdisez ce simple geste ? Geste d’accueil, de bienveillance, bonjour. Main au cul, qu’ils disent, avec deux doigts incisifs incursifs, profond.
Ma tête tourne dans ce petit resto. Les voisins de tablée sont-ils dans le même état d’esprit ? Ou bien suis-je le seul mec obsédé sexuel à dévarier mes pensées.
En plus la fille me sourit. Et moi, comme un con, je bande, en concordance.
Unplugged et elle me regarde avec ses yeux de fille qui ne devrait avoir ni alliance ni mari ni famille mais être simple fille libre dispo pour moi ou les autres. Enfin Clapton, cette Layla que tu nous chantes est-elle pour nous ou bien la gardes-tu rien que pour toi ? Pourquoi alors nous l’avoir présentée si nous n’y avons pas droit ?
La fille tourne retourne persévère dans le minuscule resto. Et son corps fin souple continue de nous faire tous bander.
L’étoile Michelin est elle seulement justifiée par l’habileté la compétence du cuisinier ?
Eric Clapton & Jim Gordon, Majnûn Laylâ, 1992 MTV unplugged
A genoux je te le dis, Layla, viens-t-en donc plutôt avec moi.
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