le 1er jour d’après (suite 4) - histoire érotique

Même si notre amour était toujours aussi fort, et que nous tentions de discuter, nous avions l’un pour l’autre une sorte de retenu.

C’est au niveau sexuel que les gènes et les tensions étaient les plus explicites.

Paolo était comme une épée de Damocles souvent trop souvent pour moi et pour Inès.
Et puis nous n’avions pas réellement aborder le sujet. Je n’arrivais pas à me lancer et elle semblait craindre ce moment.

Quand je voyais partir Inès un peu plus que d’habitude dans ses orgasmes, ou qu’elle me faisait quelque chose d’inhabituelle j’avais parfois disons souvent le sentiment que Paolo avait un rapport avec çà.
Forcement ça me bloquait, Inès s’en rendait compte et même parfois alors que je n’y pensais même pas c’est elle qui semblait croire que j’y pensais.

Inévitablement Inès en parla à Paula qui était devenu avec le temps sa confidente.

De mon coté j’avais pris Victor comme confident non pas par défaut mais je lui avais pardonné son écart et puis il m’avait confié qu’il avait vécu quelque chose d’assez similaire avec sa femme.
Mais lui n’avait pas eu le temps de lui pardonner car elle était morte des suites d’un cancer
C’est d’ailleurs cela qui m’a fait réagir car il me dit qu’il fallait pardonner tant que l’amour était là et que tout pouvait arriver dans la vie, les malheurs comme les bonheurs.

Victor et Paula nous conseillèrent d’aller voir un psy et un jour nous sommes parti tous les 2 à Auckland pour aller voir quelqu’un comme on dit

Nous avions plusieurs rendez vous par semaine que ce soit ensemble ou individuellement
Ces entretiens étaient très difficile autant pour Inès que pour moi

Bien que le contenu des entretiens individuels était confidentiel, la psy n’hésitait pas évoquer certains choses et détails évoqué lors de ses séances avec Inès et j’imagine qu’elle faisait la même chose de l’autre coté

Lors d’une séance je fis part à la psy des événements que m’avait raconté Paolo lorsqu’il m’avait attaché dans le local.
Je lui expliquais que je ne savais pas comment aborder la conversation avec Inès étant donné que ce qui m’avait le plus choqué c’est qu’elle avait fait l’amour avec lui tout en me parlant au téléphone

Elle répondis :
Marc je comprends la difficulté d’évoquer ce passage et il va falloir inévitablement aborder le sujet avec Inès. Ecoutez laissez moi le temps d’aborder ce sujet avec elle pour avoir sa version de l’histoire. Il est possible que Paolo ait exagéré et transformé les faits voulant vous provoquer, vous faire du mal.

Quelques jours plus tard elle me rassura en me confiant qu’effectivement Paolo avait largement exagéré voir inventer certaines choses mais malheureusement pour moi certaines choses avait été confirmé par Inès même si évidement elle n’avait pas eu les mêmes propos

après plusieurs entretiens avec Inès elle me confiait qu’elle avait relevé qu’Inès avant un gros manque d’affection.

Je ne comprenais pas puisque j’étais toujours quelqu’un d’attentionné avec elle malgré mes absences de plusieurs semaines voir mois dues à mes expéditions en mer

Elle me dit que ça pouvait être une explication mais que ce manque semblait daté de plus longtemps
Je lui expliquai alors qu’Inès avait perdu sa mère étant jeune, son père, lui ne s’en était jamais remis et qu’il avait été toujours très distant si ce n’est absent. Elle grandit seule ou presque.

J’ajoutais aussi qu’Ines avait plutôt mal vécu ses années d’études au moment ou je l’ai rencontré car malgré sa beauté, son ouverture d’esprit, sa gaieté, son intelligence, dans l’intimité elle avait été très affecté par les on dit, les rumeurs que beaucoup d’étudiants et d’étudiantes jaloux avaient colporté.

Elle poursuivi son analyse sur notre couple mais en nous demandant des choses beaucoup plus intime ce qui n’était pas facile pour Inès étant très pudique et pour moi étant donné que la psy était pour moi une étrangère et qu’en tant qu’homme il m’était difficile de parler de certaines choses à une femme

un jour lors d’une séance elle me confia :

ce que je vais vous dire n’est pas facile à entendre mais pour avancer il va falloir en passer par là
ok dites moi tout
Voila est ce que vous êtes certain de la satisfaire ?
quoi ? mais oui
sur tous les plans ?
oui bien sur mais qu’est ce qui vous fait dire çà ? c’est elle qui vous l’a dit ? elle a encore des sentiments pour lui
Arrêtez Marc, si il y a une chose dont je suis certaine c’est qu’Ines n’a plus aucun sentiment envers Paolo si ce n’est de la colère et du dégout. Je pense même qu’elle n’en a jamais eu.
Je tiens à vous rassurer lorsque nous parlons de Paolo, Inès se referme sur elle même, elle deviens agressive, son ton est plus sec, elle deviens distante et en tant que psychologue je me dois de l’aider à s’en débarrasser.
mais alors quoi ?
Paolo semble être un homme viril voir macho peut être à l’excès mais cela à pu l’attirer.
mais Inès m’a toujours dit qu’elle détestait ce genre de connard
et c’est vrai mais des fois il y a des fantasmes refoulés qui peuvent remonter.
mais et concernant la fois ou j’étais au téléphone avec elle alors que Paolo lui faisait…
oui ça. Ecoutez Marc, comme je vous l’avais déjà dit, il y a des situations qui peuvent être excitante à tel point que la personne peut être désorienté et ne plus avoir conscience de ce qui est bien ou mal. C’est probablement ce qui s’est passé ce soir la, mais ne vous inquiétez pas j’en parle avec Inès
Vous savez j’ai eu des patients qui m’ont avoué que le plaisir de l’interdit était le plus intense des orgasmes et certains ont même trouvé un moyen de pimenter leurs ébats.
- quoi vous êtes entrain de me dire que non seulement ma femme a eu des orgasmes plus fort avec un autre mais qu’en plus je devrais peut être la partager
non ce n’est pas ce que j’ai dis. Je pense que ce problème doit être aborder entre vous 2 dans votre intimité mais si vous êtes d’accord on pourra prévoir un séance commune pour en discuter, mais vous devrez rester calme lucide et constructif

La semaine suivante la psy nous fit venir tous les 2

Elle me dit entrer brièvement pour me rappeler d’être calme et lucide en toutes circonstances.

Elle fit entrez Inès dans son bureau :
Ines je dois te parler de…
oui je sais
je, je
laisse moi parler s’il te plait
ok
oui quand j’étais au téléphone avec toi, (elle pris une profonde inspiration) il, non nous avons…
vous avez fait l’amour ?
non jamais, écoutes tu n’es pas obligé de me croire mais non je n’ai pas fait l’amour ce soir la avec lui. nous avons…
il t’a baisé
oui enfin non, nous avons je suis coupable autant que lui
mais pourquoi ?
je ne sais pas j’étais excitée et il en a profité. Je suis désolé Marc. Comment pourrais tu me pardonner ? je suis une trainée.
non Inès si je suis ici avec toi c’est pour recoller les morceaux
mais j’ai tout détruit

Je n’arrivais plus à lui parler et c’est la psy qui intervins
Inès écoutez, Marc tiens à vous, j’ai rarement vu un tel amour chez mes patients. je sais que vous l’aimez aussi
oui plus que tout
alors si vous l’aimez quel est le problème ?
je ne suis plus sur d’être la bonne compagne pour lui, je suis perdue.
c’est à lui de décider cela vous ne croyez pas ?
si mais
ma chérie si je suis ici avec toi c’est que je t’aime mais je dois savoir si j’ai fais quelque chose de mal
non bien sur que non quelle idée ?
tu, tu as fais l’amour, non tu as eu une relation avec un homme qui est tout le contraire de moi alors qu’est ce que j’ai fais ou pas fait pour que tu veuilles enfin…
je, je ne sais pas
c’est parce qu’il t’a rendu plus heureuse que moi

Elle me mit en claque et sur le ton de la colère, elle pleurait presque

tu es fou jamais écoute jamais je n’ai été plus heureuse qu’avec toi
mais alors ?
tu t’absentes souvent, non c’est pas ce que je voulais dire c’est entièrement de ma faute j’ai céder à mes pulsions et…
ma chérie je sais que je m’absente souvent et j’ai une part de responsabilité
non j’ai été faible et il en profité et j’ai cédé trop facilement à son charme mais c’est toi que j’aime

Je pleurais
La psy repris la parole

Marc, on va changer de sujet. je dois vous poser une question
allez y
pourquoi êtes vous prêt à pardonner les écarts d’Inès ?
pourquoi parce que je l’aime parce je peux pas vivre sans elle, elle est mon rayon de soleil depuis qu’elle a accepté d’être avec moi j’ai toujours eu le sentiment d’être l’homme le plus chanceux
Marc il est la le problème de votre relation. Inès n’a pas accepté d’être avec vous, elle est avec vous parce elle vous aime, elle aime vos qualités, vos défauts, votre personnalité et sûrement plein d’autres choses. Vous devez arrêter de l’idéaliser. Si vous pensez être l’homme le plus chanceux, elle pense surement être aussi la femme la plus chanceuse.
mon amour, elle dit vrai je n’ai pas accepté d’être avec toi, tu es mon homme parce que dans l’enfer que j’ai vécu à la fac tu as été toujours là, tu m’as accompagné, tu m’as soutenu, et surtout tu m’as aimé tel que je suis, tu as fait de moi la femme heureuse que je suis et aujourd’hui je t’ai trompé comme une salle trainée

Elle m’enlaça et m’embrassa

Inès je me dois de vous le demander
quoi ?
êtes vous pleinement satisfaite avec Marc
oui bien sur quelle question ?
physiquement ?
oui naturellement je n’ai aucun reproche à lui faire de ce coté la
donc vous avez des reproches à lui faire
j’aimerais qu’il soit plus souvent la c’est égoïste de ma part je ne peux pas lui demander de choisir entre moi et sa passion pour la mer
mais il n’y pas que çà n’est ce pas ?
que voulez vous dire ?
laissez moi avancer une théorie. vous êtes une femme ravissante et d’après Marc vous avez eu toujours du succès peut être trop et depuis que vous vivez avec lui ici vous avez peut être perdu ce sentiment de plaire aux autres
oui mais je n’ai jamais porter attention à çà et Marc a été le 1er et le seul à me voir réellement.
vous êtes certaine de çà car Paolo représente un certain idéal masculin que beaucoup de femmes aiment mais refoulent
non jamais vous vous tromper
il vous a pourtant séduis et vous avez succomber à ses avances ? est ce un fantasme enfoui ?
non ce n’était pas un fantasme ça s’est fait dans un moment de faiblesses et après j’ai…
tu as eu du plaisir avec lui c’est ça ma chérie

Elle s’écroula en pleure à mes genoux et répondis oui

La psy repris la parole
écoutez je pense que nous avons bien avancer et vous avez eu suffisamment d’émotions pour aujourd'hui je vous libère


Pendant tout le trajet du retour nous n’avons presque pas échanger de mots si ce n’est des banalités
Je voulais pourtant mais je n’avais pas le courage ni l’envie de la blesser maladroitement

Pourtant alors que nous étions au lit je me retournais vers elle et lui dis :
Inès aurais tu aimé que je te fasse l’amour comme tu l’as fait avec…
Marc non. nous n’avons pas fait l’amour je te l’ai déjà dis
pourtant sur la vidéo
non je te le jure ce n’était pas de l’amour Marc pas comme nous le faisions et pas comme j’aimerais que nous fassions à nouveau
comme çà ?
Marc quand tu me fais l’amour j’ai l’impression que tu lis en moi et ça depuis notre 1ère fois dans notre petite chambre d’étudiant. Tu me fais des choses avant même que j’y pense.
J’aime surtout comment tu me regardes, comment tu me caresses, comment tu sens mes cheveux, ma peau. J’aime quand tu me fais languir avant de me faire jouir avec ta bouche, j’aime sentir ta présence quand je suis dans tes bras après que nous ayons fait l’amour.
et avec lui ?
lui je n’ai jamais ressenti ça. Oui nous avons enfin oui nous avons baisé, il m’a fait jouir je ne veux pas te mentir et puis tu me connais assez pour savoir que je fais jamais semblant
tu as pourtant essayer
de quoi ?
a sentir sa présence, à chercher son regard quand il te baisais, à le caresser de tes jambes quand il était en toi. Tu sais c’est ce qui m’a fait le plus mal, ce sont toutes ces attentions qui nous appartenaient et que tu as eu avec lui.

Elle sanglotait

Marc mon amour non ne t’infliges pas çà, je t’en prie. (elle pris une profonde inspiration). Oui j’ai cherché à avoir ces contacts mais il n’a jamais répondu à mes demandes pas comme toi. Il ne m’a jamais regardé comme tu me regardes. C’est ce qui fait toute la différence avec toi. Avec lui c’était juste physique avec toi c’est beaucoup beaucoup plus, tu m’emmènes beaucoup plus loin. Je ne me pardonnerais jamais de ce que je t’ai fais
Inès il va falloir pourtant que tu le fasses si tu m’aimes
bien sur que je t’aime n’en doutes pas un seul instant mais je t’ai fais trop de mal, encore maintenant
Chérie oui tu m’as fait mal mais écoutes (je prie une profonde inspiration) Victor m’a dit un jour que tant qu’il y a de l’amour il faut se pardonner et que la vie peut parfois nous réserver des mauvaises surprises.
A l’instant ou il m’a dit cela j’ai compris que ce que tu as fait avec Paolo serait une goutte d’eau dans l’océan par rapport à passer ma vie sans être à tes cotés. Alors pardonne toi je te laisserais le temps qu’il faudra mais comme je te l’ai dis un jour You are mine, I am yours
Cause you are, the only one.

elle m’embrassa langoureusement passionnément tout en pleurant

je te mérite pas
eh bien pardonne toi et nous verrons ensuite.

Nous avons fait l’amour ce soir la mais ce n’était pas comme d’habitude, c’était beaucoup plus bestial
Elle me demanda plusieurs fois de la baiser. Nous avons changé plusieurs fois de position n’hésitant pas à la prendre en levrette à multiple reprises.
Voulais t elle écraser définitivement les derniers souvenirs qu’elle avait avec lui pour me prouver qu’elle pouvait être aussi fougueuse avec moi, est-ce une rage refoulée qu’elle s’infligeait alors que depuis que je l’ai connue nous avons toujours fait l’amour plutôt que la baise, je ne sais pas.
Finalement c’était peut être çà la vrai et unique raison nous ne faisions que l’amour et elle voulait qu’elle quelque chose de plus bestial, primaire.
Il fallait que j’en parle à la psy.

Mais je me sentais tellement bien en elle que mes pensées se perdirent dans nos cris et nos orgasmes.
Et puis comment résister à sa bouche lorsqu’elle descend inévitablement tout en me léchant et en embrassant partout ou ses lèvres se posent jusqu’a venir à hauteur de ma verge.
A me faire languir de longues secondes qui paraissent être des heures, où bouche ouverte, langue tirée elle vient délicatement poser cette langue si agile sur la base de mes testicules, frottant son nez sur ma verge tout en me fixant d’un regard qui vous ferais jouir instantanément.
Observant les spasmes de ma verge avec un sourire a la foi gourmand et malicieux.
Combien fois elle m’a t elle fait subir cette délicieuse torture, je n’ai jamais compté mais à chaque fois mon corps et mon esprit étaient en conflit perpétuel entre vouloir jouir et profiter encore de cette délicieuse fellation.

Ce soir la je lui fis même cette réflexion :
tu sais j’ai oublié de dire quelque chose à la psy
quoi donc ?
parmi les nombreuses qualités que j’aime chez toi, ton art de me sucer est surement l’une des plus…

elle ne me laissa pas le temps de répondre et me prit les couilles en les serrant

je pense que cette information ne lui sera pas utile
si tu continues a serrer j’ai peur que je ne puisse plus te servir à grand chose
crois tu que seul ton service 3 pièces m’intéresse
tu y passes bcp de temps en tout cas
et ça te déplait ? dans ce cas je vais faire voeux d’abstinence
tu en serais capable ?
si c’est un défi sache que ma patience sera à hauteur de mes talents de suceuse comme tu le dis
j’ai bien envie de relevé le défi mon amour

Lors de l’une de nos dernières séances je fis part à la psy de la conversation que nous avions eu

Elle ne fut pas surprise de ma théorie puisque Inès lui avait avoué à demi mot lors d’une précédente séance.

Je lui demanda :
mais pourquoi ne m’a t elle demandé
Marc, elle a ses raisons mais Inès est très pudique, elle a reçu une éducation très stricte comme vous le savez, exprimez ses sentiments surtout quand on parle de sexe disons plutôt hard, c’est difficile et même très difficile.
mais nous avions déjà
oui mais c’était vous et pardonnez moi mon point de vue mais j’ai plutôt l’impression que vous êtes un homme doux, très attentionné et à l’écoute de sa partenaire.
à l’écoute de ma… ? et pourtant je n’ai pas su l’écouter le moment venu
ne vous en voulez pas j’en ai bien assez avec Inès. Vous devez accepter l’idée qu’Ines avait des fantasmes et qu’elle n’était peut être pas prête à vous les avouer. Paolo est arrivé à ce moment la accidentellement.
accidentellement, vous ne pensez pas plutôt qu’elle l’a choisie
Non croyez moi sur parole et sur mon expérience ce n’était pas délibéré, elle a juste cédé à ses pulsions qui devait être présent depuis un certain temps, vous étiez été loin et Paolo est venu au bon moment, enfin plutôt au mauvais désolé
ce n’est pas grave je comprends.

J’ai évoqué aussi ce que Inès m’avait confié sur les attentions que je lui portais lorsque nous faisions l’amour

Elle me dit que c’était très intéressant qu’elle avait identifié ces comportements, ces gestes, ces regards que nous avions en commun alors qu’avec Paolo il n’y avait pas eu ce type d'échanges.
elle me demanda si nous avions recommencé dans les moments intimes à réaliser ces petites attentions
Je lui expliquai que cela nous arrivais mais pas autant qu’avant
Elle me dit :
Marc écoutez Inès a besoin de retrouver ces petites attentions, ces habitudes que vous aviez construit au fil des années de votre couple et vous aussi vous en avez besoin pour la retrouver.
Vous voulez dire les regards quand
pas seulement, les regards viendront après, il faut que vous trouviez un souvenir, un geste, un lieu, une surnom, une atmosphère, une attention peu importe, qui lui rappelle votre relation d’avant
ok et si j’en trouve un
alors si vous arrivez à identifier çà, ou même que vous avez cette sensation, presque une intuition, il faudra aussitôt lui dire, lui prouver, lui faire ressentir cela afin qu’elle se rende compte que vous l’avez retrouvé telle qu’elle était avant. Ça pourrait être un électrochoc pour elle et la faire progresser dans sa résilience.


Les semaines passèrent et je ne sais pas pourquoi un matin, c’était pourtant un matin comme les autres alors que nous nous câlinions sur le lit, et que le soleil matinal éclairait sa peau bronzé et encore luisante de sueur de nos exploits nocturne de la veille, elle se leva comme à son habitude, me fit un bisous et me dit qu’elle allait prendre une douche

Tout admirant son magnifique popotin qui se déhanchait sous mes yeux et qui, il faut le dire m’hypnotisait toujours autant.
Je me suis mis à penser a ce que la psy m’avait dit.
C’est Inès en actionnant la douche qui me sorti de ma torpeur.

Je me levais et accouru jusqu’a la douche, s’en vraiment savoir pourquoi.
comme me l’avais dit la psy, une intuition peut être une impression de déja vu.
J’entrais, elle était dos à moi, l’eau ruisselait sur ses longs cheveux noirs, ses épaules et descendait jusqu’à ses jambes fines et bronzées.
Je l’a contemplait quelques instants alors qu’elle ne m’avait par encore remarqué.
Je me colla à elle, posait délicatement un main sur sa hanche, puis avec mon autre main je dégageai ses cheveux et déposa un baiser sur le coté de sa nuque.
Je pris une profonde inspiration pour sentir son odeur qui n’était pas encore remplacer par le parfum du savon et je me suis approché de son oreille et je lui ai chuchoté :

je t’aime Nini

Nini était le surnom que ses parents lui avaient donné quand elle était petite et que j’avais emprunter au tout début de notre relation avant que les chéri, mon coeur et autre mon amour viennent le remplacer

Elle se retourna en me regardant de ses grands yeux.
Malgré la chaleur de l’eau de la douche, elle tremblait comme une feuille
elle se mis sur la pointe des pieds, pencha la tête d’un coté, ferma les yeux et m’embrassa avec une infini douceur

Je ne sais pas combien de temps nous nous sommes embrassé mais je me souviens que l’eau commençait à devenir froide épuisant toute notre petite réserve d’eau chaude

Puis elle m’attrapa par la main alors que nous étions encore tout mouillé et elle m’entraina vers le lit
La elle me fit asseoir sur le bord du lit et toujours avec une infini douceur elle passa son bras gauche autour du mon cou. Dans le même instant, elle s’assis sur mes jambes, fit passer ses jambes autour de mon bassin, puis avec sa main droite elle pris mon sexe bandé et le guida vers son vagin si humide et accueillant.

Elle repositionna sa main autour de mon cou, m’embrassa tendrement basculant nos têtes parfois a droite parfois à gauche, nos langues se cherchant, s’entrechoquant avec une frénésie de plus en plus importante.
Elle resta un long moment en moi sans faire un geste appréciant ma verge en elle.

Elle prononça une seule phrase
- fais moi l’amour comme au 1er jour.

Je n’ai pas réalisé tout de suite mais c’est dans cette position que nous fîmes la 1ere fois l’amour dans son petit lit de sa chambre d’étudiante.

Nous sommes rester longtemps dans cette positon longtemps.
Nous nous regardions intensément pendant de longues secondes ou peut être des minutes. Parfois mon regard se détournait vers ses magnifiques seins fermes et ses tétons fièrement dressés qui arrivait à hauteur de mes yeux.

Elle souriait quand elle jugeait que j’avais suffisamment regarder sa poitrine, j’embrassais, mordait alors ses seins puis je remontais doucement pour l’embrasser à nouveau lui mordant quelque fois ses lèvres

En retour elle recommençait à bouger son bassin d’avant en arrière afin de stimuler ma verge qui n’avait pas besoin de çà pour rester au paroxysme de l’excitation.
Nos gémissements étouffés par nos langues m’incitaient à accélérer mais seul elle, pouvait imprimer la cadence
Elle en profitait pour calmer ma fougue par des « chuuuut » ou bien « je t’aime »,
parfois c’était juste d’un regard, d’un baiser, d’une caresse plus appuyé,

Ni tenant plus, je prenais alors ses fesses à pleine mains pour les faire monter et descendre sur ma verge lui arrachant des cris d’extase.
Rapidement elle commençait à défaillir, me laissant l’initiative des ébats.
Ses jambes tremblaient, son regard presque affolé était annonciateur d’un orgasme très puissant.
Ses seins se dressaient vers le ciel, tête en arrière, sa peau frissonnante perlée de sueur.
elle jouit fortement bruyamment me mordant l’épaule, le cou, les lèvres. je sentais en bas ma verge inondé par sa jouissance qui coulait sur les draps.

Je ralentissais ma cadence adoptant un rythme excessivement lent et régulier pour exciter encore plus son vagin qui devait être hyper sensible mais elle me signalait sa désapprobation d’un mouvement de la tête, m’embrassant violemment, plongeant sa langue loin dans ma bouche, s’empalant à fond sur ma queue et recommençant à faire des va et viens d’avant en arrière sur mes cuisses, me demandant, me suppliant d’aller plus vite, plus fort, plus loin pour qu’elle qu’un nouvel orgasme la dévaste.

Ce dernier assaut eu raison de ma résistance et je jouis fortement en elle.
malgré ma fatigue naissante, je repris vite du poil de la bête tellement excité que ma verge n’avait même débander.

Elle me fit basculer sur le lit et descendit calmement appréciant chaque millimètre de ma verge s’enfonçant dans son vagin si serré.

Je l’aidais en joignant nos mains entre elles, lui permettant d’avoir un point d’appui supplémentaire

Son expression changeait au fur et à mesure de la pénétration.
Elle respirait fortement faisant bouger excessivement sa poitrine. des goutes de sueurs venaient parfois couler entre ses seins.

Cette vision était pour moi une véritable torture puisque je ne pouvais m’avancer pour lécher cette goutte si bien située, au risque que mon sexe sorte de son fourreau si accueillant et humide.

Elle perçue cette scène et avec son doigt elle récupéra cette goutte.
J’ouvris la bouche et elle me fit sucer son doigt.

Elle accéléra ses mouvements m’arrachant des gémissements, des râles de plaisir
Je n’étais plus très loin de jouir encore une fois et lui demanda de ralentir mais au contraire elle accéléra toujours plus vite, montant son bassin assez haut pour retomber lourdement sur mes couilles à une cadence de plus en plus rapide.

Je rendis à contre coeur les armes trop rapidement à mon gout, mais quel orgasme.
je joui en elle abondamment encore une fois, elle se pencha pour m’embrasser et elle s’est endormi sur moi, ma verge encore en elle.

Elle s’était enfin pardonnée et j’avais retrouvé ma petite Nini dont j’étais tombé amoureux sur les bancs de la fac c’était un mardi je m’en souviens encore.


Fin de la 5eme partie