le 1er jour d’après
Récit érotique écrit par Davidwebb [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-11-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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le 1er jour d’après
NB de l’auteur : sachez ami(e)s lecteur et lectrices que cette histoire est vrai même si les noms des protagonistes on été changé et que certains passages ont été romancés, raccourcis ou rallongé dans le but de rendre le récit plus attrayant et plus compréhensible
sachez également qu’a la fin de mes différentes récits je vous expliquerais les raisons qui m’ont menés à mettre cette histoire personnelle sur le papier
Tout d’abord laissez moi me présenter Marc, j’ai 26 ans mec légèrement musclé, brun avec une barbe de 3 jours toujours bien entretenu. je suis de taille moyenne 1,78m et plutôt séduisant d’après ma chère femme
Je dis femme mais nous ne sommes pas encore marier bien que l’idée nous ai traversé l’esprit nous n’en ressentons pas le besoin car nous trouvons cette pratique relativement archaïque et nous sommes parfaitement heureux et épanoui comme ça
Ma femme donc se prénomme Inès elle est une magnifique et délicieuse créature de 24 ans 1m67 pour 54kg
Présentant un métissage thaïlandais du coté de son père et espagnol du coté de sa mère elle a pris le meilleur de ces 2 pays
La thailande pour ses yeux noires intenses très légèrement bridés, ses jambes fines, élancée et légèrement musclées, ses petites fesses fermes et magnifiquement proportionnées sont une bénédiction et à la fois une torture lorsque je les aperçois caché sous sa nuisette au matin avant qu’elle parte sous la douche et encore plus lorsqu’un string ou d’ailleurs tout autre sous vêtement viens habillé délicatement la courbure de ces 2 belles Manzana comme j’aime à les appeler
Du coté espagnole c’est sa peau bronzé des canaries qu’elle a pris, ses longs cheveux noirs qu’elle laisse le plus souvent détachées descendant jusqu’a la naissance de ses fesses
ses seins sont fermes avec 2 auréoles assez foncé parfaitement circulaire. au centre pointe deux tétons très sensible et qui ont la magnifique tendance à se dresser lorsque madame à froid ou qu’elle est excitée
Un pure délice de venir les taquiner
Sa toison qu’elle entretien parfois en ticket de métro ou plus rarement en se rasant intégralement (elle a la pilosité des espagnoles) est toujours à mes yeux une invitation impossible à refuser, d’autant plus qu’elle est particulièrement réceptive à mes caresses buccales que j’adore lui prodigué à toute heure de la journée ou de la nuit, mais surtout au matin en guise de réveil un peut trop coquin.
Son corps parfaitement galbé qu’elle entretien régulièrement en pratiquant de la natation, de l’escalade et de le course à pied m’oblige souvent à ralentir ma cadence pour être derrière ou en dessous d’elle et admirer cette merveille que j’ai parfois du mal à réaliser qu’elle m’ait choisi.
Cela fait un certain temps qu’elle a percé mon petit jeu et à chaque fois elle s’en amuse, elle joue à me provoquer me torturer lorsque nous sommes parfois en public et qu’il m’est difficile de cacher une érection naissante me coupant dans mon élan et m’obligeant à m’arrêter pour calmer et replacer cette montée soudaine de sang dans ma verge turgescente.
Heureusement ayant pitié de moi il lui arrive quelques fois de me soulager au détour d’un chemin, dans un coin a l’abri des regards ou le plus souvent, arrivé devant le péron de notre maison pour notre plus grand plaisir.
D’autres fois en revanche elle se fait plus vicieuse et irrite mon coté compétiteur en provoquant une course dont le gagnant aurait droit aux premières caresses buccales de l’autre.
mais bon difficile de courir vite ou nager vite et encore moins d’escalader vite quand votre queue dure gêne chaque mouvement des jambes.
Elle gagnait souvent et j’étais contraint et forcé d’accomplir ma punition
Oh bien sur je vous vois venir lécher un minou frétillant d’envie est une punition qu’aucun homme hétéro ne refuserait mais quand cela fait plusieurs dizaines de minutes que votre verge crie à la libération de cette surpression sanguine, chaque minute parait plus longue que la précédente.
J’ajoute évidement que dans ce petit jeu que nous nous infligions il était formellement interdit de tricher en se touchant au peine de finir la journée la queue entre les jambes et ainsi d’avoir une punition cette fois ci beaucoup moins savoureuse.
J’ai rencontré Inès sur les bancs de la Fac et par chance ou peut être étais ce le destin nous avons pu travailler ensemble dès notre première année
J’ai eu le béguin à l’instant ou je l’ai vue mais c’était pas trop difficile vu que la plupart des garçons étaient dans le meme cas
Elle était pour moi la plus belle de la fac mais en tout honnête à partir du moment ou je l’ai vu, je ne regardais pas les autres filles avec le meme sens critique.
Bizarrement elle a vite une une mauvaise réputation car beaucoup de filles était jalouses que beaucoup de mecs voulaient sortir avec elle et malheureusement pour elle beaucoup de mecs ont entretenu cette mauvaise réputation car ils avaient bien sur fait choux blanc dans leurs entreprises de séduction
Pour ma part j’étais un peu en retrait, il faut dire que j’ai toujours été très timide envers la gente féminine et bien sur Inès qui pour moi était au somment de cette montagne semblait inaccessible
Heureusement comme je le disais la chance ou le destin on voulu que la meilleure amie d’Inès avait le béguin pour mon pote de thèse et nous avons pu échanger nos partenaires de travail.
C’est donc ravi que j’ai pu travailler pendant quelques semaines avec Inès et nous nous sommes au fil du temps trouver des centres d’intérêt commun comme l’écologie, la pratique de certaines sports et d’instruments de musique au point ou nous sommes devenu copain puis ami et petit a petit nous sommes sorti ensemble
Lorsque mes potes l’on vue pour la première fois et nous commencions tout juste à fleurter depuis quelques semaines, ils m’ont tous avoué que c’était le genre de fille qu’on présente à ses potes.
Lorsque notre relation a pris une tournure plus officielle et importante, et qu’ils ont appris à la connaitre ils ont tous été unanimes et qu’elle était le genre de fille qu’on présente aussi à ses parents
Inès était une fille agréable, intelligente drôle, solaire.
Ma meilleure amie qui était aussi ma confidente insista pour me dire qu’il ne fallait pas la lâcher celle la tant Inès était une perle rare
Mais je dois aussi dire que pendant longtemps mes potes ont tenu des paris plus ou moins stupides sur ses mensurations et bien d’autres choses encore plus graveleuse. mais bon après des litres de bières et autres boissons alcoolisées ingérées j’ai fini par leur donner quelques infos.
Je leur avouais donc qu’Inès faisait un bon 85C et bien sur que j’en étais le premier heureux, le seul et j’espère le dernier à profiter de ses charmes.
Bien sur ils en voulait plus et m’ont répondu qu’ils le savait déjà, bien que j’émettais des doutes la dessus et les soupçonnait d’avoir fait une investigation un trop poussée de ses sous vêtements et de son anatomie.
Pour les satisfaire une bonne fois pour toute et surtout pour en finir avec ses discussions d’ados attardés , je leur avoua qu’au niveau sexuelle Inès était très « caliente », à l’écoute de mon plaisir mais qu’elle est aussi très expressive et n’hésitais pas à communiquer activement son plaisir que ce soit par la parole, des soupirs, gémissements, la sécrétion de ses fluides corporelles au gout et parfum légèrement salé et des gestes parfois tendres et désordonné selon l’intensité du plaisir que je lui procure.
Nos ébats étaient fusionnel, un délicieux mélange entre la passion et l’intensité des premiers amours et la complicité et la tendresse d’un couple qui se connait l’un l’autre depuis des lunes.
Les présentations terminés mais avant de passer dans le coeur de notre aventure il faut que je vous parle de nous et de notre foyer
Pendant un an vous avons voyagé ensemble dans un road trip après avoir décrocher tous 2 notre diplôme nous avons décidé de nous poser dans le nord de la Nouvelle Zélande pour trouver un job et renflouer les caisses.
Nous avions tout 2 trouver un job dans un camping ou par chance le propriétaire Victor un jeune sexagénaire ou un vieux quinquagénaire très sympa quoique un peu bourru possédait une maison quasi abandonée en bordure de la mer qu’il nous a gracieusement mis à disposition en échange de quelques travaux de rénovation.
Nous vivions en quasi autonomie avec un potager, un poulailler, quelques chèvres et vaches qui appartenait à Victor et la plage qui était a 2 pas me permettais de pêcher et de ramener notre besoin en protéines animales.
C’était le paradis sur terre dans le plus beau pays du monde avec la plus belle femme du monde.
J’aime à dire qu’elle était mon soleil permanent en toute saison.
Certains penserons que c’est une description trop idyllique mais que voulez vous quand on est amoureux on ne peut qu’être subjectif
En outre et par bonheur mes compétences en photographie et en biologie m’ont permis d être embaucher au sein d’une célèbre ONG spécialisé dans la protection des animaux marins comme plongeur photographe
Je devais donc parfois partir en mer quand le camping était fermé et que Victor n’avait pas besoin de moi
De son coté Inès travaillait également au sien de cette ONG mais elle assurait la permanence de l’équipe à terre et développait la communication et la sensibilisation pour notre cause auprès des institutions, des locaux et des touristes occasionnels
Elle était souvent (un peu trop souvent je dirais) aider par Paolo un cubain métis foncé approchant la quarantaine qui avait rejoins l’association et qui créchait a quelques kilomètres du camping dans un van aménagé.
Paolo était grand dans le 1m90 avec la musculaire très imposante et développé mais sans être bodybulder.
Il état plutôt beau gosse d’après les nombreuses conquêtes de filles qui venaient faire du woofing, de touristes occasionnelles ou meme de néo zélandaises du coin.
Ce mec plutôt sur de lui toujours célibataire endurcit, macho comme tous les latinos sans bien sur tombé dans le cliché et encore moins dans le racisme. était un queutard invétéré qui n’arrivait jamais à se caser préférant abuser des charmes de ses conquêtes et de passer à autre chose sans le moins ménagement ni le moindre acte.
Bien naturellement il avait flashé sur Inès mais il n’était ni le premier ni le dernier tant ma femme attirait les regards depuis le 1er jour de notre arrivé ici
Il avait intégré l’association il y a plusieurs mois déjà ou ses compétences en informatique et télécommunications était importante pour nous
Lors de mes expéditions en mer il arrivait quelques fois que nous devions partir avec le mauvais temps car ici sur la cote est de la Nouvelle Zélande le Pacifique n’a que le nom.
Les vents étant particulièrement violent sur ces latitudes le danger était permanent.
Malgré son amour prononcé pour les animaux marins Inès avait une peur bleu de l’océan. couplé à un léger mal de mer chronique il était difficile pour elle de m’accompagner et de satisfaire sa passion.
Elle était toujours inquiète quand je partais et pour la rassurer je disais qu’elle était toujours mon soleil qui chasserais le mauvais temps
Il arrivait aussi que notre navire devait garder le silence radio et cela pendant plusieurs jours et nuits d’affilés pour ne pas se faire repérer par les navires que nous pourchassions.
Inès détestait cela car je n’étais pas joignable pendant ces jours de coupures et surtout elle avait peur qu’on nous tire dessus ou qu’on tente de nous couler ce qui nous était déjà arriver a plusieurs reprises.
Malgré cela nous nous appelions aussi souvent que possible après notre black-out forcé, parfois en visio quand les conditions météo le permettait.
Il lui arrivait parfois d’enregistrer des messages vidéo et de me les envoyer par email ou elle pouvait alors attiser mon excitation ce qui franchement me donnait envie de rentrer
Un jour alors que j’avais fait escale a Singapour je lui ai ramené un petit cadeau bien particulier
C’était un sex-toy qu’elle pouvait commander avec son smartphone pour régler l’intensité, la cadence et la durée des vibrations
Ce que je ne lui avais pas dit c’était que j’avais demandé discrètement à Paolo de le trafiquer pour que je puisse l’activer même à des milliers de kilomètres de distance.
Paolo me dit que c’était faisable et meme que je pouvais programmer des « séances » à heure précises sans avoir besoin d’etre connecté au réseau
Meme si cela enlevait un peu de romantisme, je trouvais l’idée géniale car si nous perdions les communications avec la terre au moins Inès se ferait plaisir.
Avant de repartir en mer j’ai alors dit à Inès de le porter à des moments précis de la journée.
elle fut très surprise et de manière très agréable car elle ne s’imaginait pas que je puisse le commander a distance et ainsi comme elle me dit la faire jouir à distance.
Après plusieurs jours passer en mer et plusieurs nuits à exciter et faire jouir ma femme a distance je lui envoyait un mail en lui disant que je rentrerais dans 2 semaines si le temps le permettait et que j’avais envie qu’elle m’accueille en compagnie de son petit joujou et qu’on se fasse directement un restau coquin avant une nuit endiablé.
Bizarrement je ne reçu pas de réponses de sa part mais j’en conclu qu’elle voulait sûrement me réserver une surprise car je n’avais pas le souvenir d’être parti aussi longtemps par le passé.
Nous étions à une semaine de notre arrivé lorsque en pleine tempête j’avais eu un micro créneau pour checker mes mails en espérant avoir une réponse de ma chérie.
J’ouvris ma boite et je constatais aussitôt aucun mail d’elle mais à la place j’avais un mail inconnu mais qui c’est révélé être de Victor
Je fus surpris dans un premier temps car Victor n’avait pas mon adresse mail et c’est un vieux de la vieille il n’est pas très porter sur Internet surtout
Je lu son mail qui datait de plusieurs jours déjà
« salut Marc, écoutes il faut absolument que tu viennes tout de suite il s’est passé quelque chose de grave avec Inès »
un fichier audio était attaché au mail
Je lançais la lecture et j’entendais Inès en tout cas ce qui semblait être sa voix crier et gémir
Mon sang se glaça instantanément et je courus aussitôt à la cabine de pilotage pour demander au capitaine de faire demi tour et qu’il était arrivé quelque chose de grave à Inès
Arrivant complètement essouffler, il me demanda tout d’abord de me calmer et de tout me raconter devant tout le monde
Je lui racontais et passa la bande audio
Il me répondis qu’effectivement c’était inquiétant mais qu’il était impossible de faire demi tour nous venions de traverser une tempête très violente, faire demi tour nous obligeait à revenir dans cette tempête
D’ailleurs et c’est la que la malchance ou la fatalité intervint nos systèmes de télécommunications ne fonctionnait plus et nous arrivons qu’a communiquer que par radio et encore qu’aux bateau situé assez proches de nous.
C’était donc impossible de prévenir un port, nous devions attendre quelques jours le temps que la météo se calme et que nous rétablissions nos systèmes de télécommunication
Tous mes collègues me consolèrent et tentèrent de me rassurer, mais soudain un mec que je ne connaissais pas trop déclara bien fort :
en danger, en danger j’ai plutôt l’impression qu’elle est en train de prendre son pied la mignonne
Je levais la tête vers lui avec un regard de tueur :
quoi qu’est ce que tu racontes connard?
écoutes ses cris ça ressemble plus à des gémissements de plaisir enfin je connais pas ta femme mais je sais reconnaître une femme qui prend son pied et puis d’ailleurs si vraiment elle était en danger tu crois vraiment que ton Victor aurait pas appeler la police plutôt que de t’envoyer un mail
Je sautais sur lui mais avant d’y arriver mes collègues me plaquèrent sur une table pour me calmer
Un silence pesant prenait forme et après mettre calmer je décidais de rentrer dans ma cabine pour essayer de me poser et digérer cette information et surtout de comprendre la situation.
Malgré mon envie de le passer par dessus bord, il n’avait pas tord pourquoi Victor m’a t il envoyer un simple mail avec cette bande audio ? si Inès était vraiment en danger il aurait prévenu la police et aurait tenter de s’interposer, meme s’il n’était plus tout jeune il en imposait.
Je n’arrivais plus réfléchir, je décidais de me plonger dans mon traivail pour arrêter de cogiter et essayer de me rétablir de ce coup de massue qui me mis chaos.
Apres plusieurs heures je décidais l’aller me restaurer meme si je n’avais pas faim.
Je sorti de ma cabine en direction de la salle de restauration mais arrivé au bout du couloir, j’entendis 2 personnes parler :
putain il avait raison ce con elle prends son pied la salope
ouais putain t’as vu en plus elle est attaché au lit et le mec il l’a besogne bien il fait pas semblant
elle me donne grave envie en plus elle trop bonne j’ai toujours eu envie de la choper
claire je paierais cher pour être à sa place à ce veinard
Je fis éruption
a tiens Marc alors ça va mieux ?
putain qu’est ce vous regardez et vous parlez de qui ? c’est pas Inès quand meme ?
heu non non écoutes c’est rien c’est un film porno qu’on a reçu sur la boite mail
t’es con ou quoi tu pouvais pas mieux trouver comme excuse
quoi c’est Inès c’est çà donne vite ton portable je veux voir
non c’est pas une bonne idée gars
J’essayais de prendre son téléphone mais devant sa résistance je décidais de partir dans ma cabine pour visionner la vidéo
Effectivement c’était Victor qui avait renvoyé une vidéo mais la il s’était trompé d’adresse et au lieu de me l’envoyer à moi il l’envoya à l’adresse générale de l’association
Victor devait tenir la caméra il devait être au bord de la fenêtre de la chambre
La chambre était baigné de lumière ce qui permettait de tout voir dans les moindres détails
Sur le lit, Inès yeux bandés, sa respiration était saccadé etprofonde.
Ses poignets était attachés par des foulards au barreaux du lit. Ses jambes étaient libres de tout largement écartées
Soudain Paolo apparu dans le champ et se rapprocha d’Inès
On pouvait apercevoir la tige de son sex-toy dépassait dans son vagin
Grâce ou plutôt à cause de Victor, celui ci zoomait sur le corps d’Inès je voyais clairement qu’elle avait la chaire de poule et que sa peau était parsemé de goutte de sueur.
avec ses doigts Paolo joua avec le bout du sex-toy provoquant des spasmes accompagnés de soupirs de ma femme
La fenêtre légèrement entre-ouverte et l’absence totale de sons parasites me permettait d’entendre assez facilement les sons provenant de la chambre
il approcha son nez du sexe de ma femme, huma une fois, 2 fois fois, il se lécha les babines
Pour lui signaler sa présence il souffla doucement sur son vagin puis posa le bout de sa langue sur le clitoris qui était largement visible. il resta comme ça longtemps. le sex-toy vibrait plus au moins fort et de manière à la fois régulière et très irrégulière au vue de la respiration saccadé d’Inès et des gémissements qu’elle faisait
Soudain ma femme poussa un gémissement libérateur qui me creva le coeur bien sur
Paolo pris l’extremité du sex-toy dans sa bouche ou s’écoulait une grande partie de la jouissance d’Inès. il la buvait littéralement.
Il sortait sa langue comme le font les chats pour boire du lait mais ce n’était pas du lait qu’il buvait mais la cyprine de ma chère moitié
De temps en temps il appuyait plus fermement sa langue tout en aspirant à l’entrée de son vagin pour l’exciter encore plus
Cela m’a paru durer une éternité et pourtant ma femme commençait déjà a remuer son bassin pour rentrer plus en contact avec cette langue inquisitrice
Avec ses dents il retira le sex-toy, un flot de cyprine s’écoula sur ses doigts et les draps du lit.
Il suça un a un ses doigts puis plongea sa bouche sur le sexe d’Inès
Il commença alors un traitement en profondeur lapant, aspirant, soufflant mordillant tanto les lèvres supérieures tanto les lèvres inférieures et tanto le clitoris pour son plus grand plaisir et celui d’Inès
Comble de la perversion il écartait les jambes de ma femme pour aller plus en profondeur mais aussi et à ma grande détresse permettait à Victor d’avoir une parfaite vue sur ce qui se passait
Ma femme pourtant, commençait à se tortiller, resserrant ses jambes parfois, balançant sa tête et ses jambes de droite a gauche toujours accompagner des gémissements, plaintes et autres respirations saccadés. elle était déjà au bord de l’orgasme alors qu’elle en avait eu un quelques minutes ou secondes avant.
parfois même elle se tendait et soulevait son buste du lit tendant ainsi ses seins vers le plafond de la chambre.
Elle explosa encore une fois sous les assauts de cette langue experte.
j’entendis Inès prononcé quelque chose :
Il ne réagis pas
elle répéta à nouveau mais cette fois si je pu l’entendre
prends moi.. je t’en supplie arrête et prends moi
Des larmes coulèrent de mes yeux
Paolo la regarda avec un sourire jusqu’aux oreilles.
Sur le coin en bas à gauche je le vis enlevé son jean, son caleçon était déformé par une verge qui semblait être au paroxysme de la tension.
Il baissa son caleçon et une verge presque noire bien plus longue et imposante que la mienne surgit d’un coup dans le champ de la caméra.
il enfila rapidement une capote qui se situait dans notre table de nuit
Victor en profita pour zoomer sur sa queue massive, dure et fièrement dresser
A cette instant seul moi savait que la longueur de son sexe dépassait très largement la mienne et que son gland était bien plus imposant que le mien même si dans son ensemble elle semblait plus fine que la mienne.
Il se caressa une ou deux fois tout en la regardant et s’approcha doucement mais surement au pied du lit
Inès senti sa présence et écarta au maximum ses jambes provoquant un soupir de satisfaction de Paolo,
A la vue magnifique de ce sexe luisant de mouille il se morda la lèvre et émis un soupir d’envie que dis-je un râle d’homme en rut
Visiblement Inès trouvait le temps trop long qui ferma et écarta ses jambes à plusieurs reprises tout en le suppliant de venir. Impossible de résister pour n’importe quel homme.
Il s’agenouilla sur le lit entre les jambes de ma femme et pris ses mollets avec fermeté pour les garder ses jambes bien écartés.
Apres quelques secondes ou son regard alternait entre le visage d’Inès, son sexe luisant attendant d’être posséder et sa verge qui tressaillait d’excitation depuis trop longtemps il se lança
Il approcha lentement son gland le posa à l’entrée du vagin d’Inès suffisamment pour écarter légèrement les lèvres d’Inès mais pas assez pour elle, qui d’un soupir marquait sa désapprobation a cette pénétration visiblement beaucoup trop timide
Mais ma femme dans un geste à la fois rapide et soudain bougea son bassin et s’empala d’une traite sur une très grande parti de la queue de Paolo, lui arrachant un cri de surprise.
Inès, elle, avait la bouche ouverte mais aucun son ne sortait.
Malgré la situation j’espérais je ne sais pas par quel moyen qu’elle arrête tout pensant à moi, à ce qu elle était entrain de faire et ce qu’elle s’apprêtait peut être à faite
Lui ne réagissait pas, il avait les trois quart de sa verge enfoui au plus profond de ma femme mais il semblait attendre le signal
Il n’attendu pas longtemps
Ma femme prononça ces mots qui me brisèrent
hummm oui tu me remplis comme jamais
C’était le signal qu’il attendait ou disons qu’il espérait.
Il ne lui fallut pas plus d’une seconde pour enfoncer la totalité de sa queue et offrir a ma femme un cri d’extase
Il se repositionna pour être plus proche d’Inès, lacha ces mollets, il faisait sortir sa queue pratiquement en intégralité, le gland restant en contact avec la lisière de ses lèvres et replongeait tout au fond de sa matrice avec un rythme lent régulier et profond.
Elle accompagnait les vas et viens avec ses jambes qu’elle avait subtilement enroulé autour des hanches de Paolo.
Avec ses mollets, ses chevilles et ses talons, elle accompagnait chaque pénétration en caressant et en appuyant sur les jambes, les fesses et les reins de Paolo pour l’inciter à aller encore plus profond, plus fort fort dans son entreprise de pénétration
Ses gestes étaient tout le temps accompagnés de « ahh,oh, hum, oui, encore, c’est bon, t’arretes pas" mais aussi de gémissement fort et long voir quelques fois de cri quand Paolo s’amusait à donner des coups de butoirs plus vif ou plus violent.
Plus haut la situation commençait aussi à s’activer, Paolo ne se gênait plus maintenant
il caressait , embrassait, léchait et mordait à pleine dents les seins d’Inès sans oublier au passage de titiller et exciter ses tétons qui n’avaient pas franchement besoin de çà pour être tendu au maximum
Inès elle, bougeait ses bras dans tous les sens mais ligoter elle ne pouvait rien faire.
vu son excitation si ses bras avait été libre elle les aurait enrouler autour de son corps musclé et l’aurais griffé de plaisir comme elle me l’a déjà fait lors de certaines parties de jambes en l’air particulièrement intense.
Elle cherchait avec sa bouche a l’embrasser mais de la ou j’étais on pouvait aussi imaginer qu’elle cherchait de l’air comme si le plaisir qu’elle éprouvait, l’étouffait
il remontait inexorablement plus haut avec ses lèvres et sa langue embrassant et léchant son cou, le lobe de ses oreilles. il redescendait de plus belle vers les seins, les tétais comme un nourrisson tête au sein de sa mère. Il faisait rouler ses tétons avec ses mains. Aucun geste n’était superflu tout semblait être en place, régler comme du papier à musique et pourtant tout paraissait bestial, instinctif.
alors que le rythme des va et viens commençait à devenir de plus en plus irrégulier, se faisant plus rapide, moins profond mais tout aussi dévastateur arrachant des gémissements de plus en plus fréquents et fort annonçant une éjaculation proche, ma femme lui demanda de s’arrêter
Je restais sans voix, lui pourtant toujours en elle ne faisait plus aucun geste étant lui aussi tout aussi surpris
Qu’allait elle dire j’étais suspendu a ses lèvres
Malheureusement je n’entendis pas ce qu’elle dit mais puisqu’elle lui avait demander de s’approcher tout près de son oreille et que visiblement elle n’était pas en état de parler à haute voix tant sa respiration était forte
Paolo se redressa visiblement ce qu’avait dit ma femme l’avait profondément surpris.
Il délivra ma femme des ses foulards puis elle défit elle meme le lien de son foulard qui bandais ses yeux.
Apres quelques secondes pour s’habituer à la luminosité ambiante, elle ouvra ses yeux sur lui
J’étais pétrifié, elle n’avait aucune réaction, j’ai même penser que ses yeux ne s’était pas encore habituer à la lumière du jour
Elle sourit, sa main descends lentement vers la queue de Paolo, elle l’a saisie avec une grande douceur appréciant toute la longueur en la parcourant plusieurs fois avec la paume de sa main et ses doigts
Elle passa sa main en dessous pour saisir ces testicules, elle les soupesa tout en les malaxant doucement mais fermement.
Paolo sursautait de plaisir et de petits râles sortait de sa bouche
Puis elle revint vers son gland pinca le capuchon du préservatif et tira dessus l
Le préservatif n’étant visiblement pas adapté au volume de cette queue elle s’y pris à plusieurs reprises, le roula par la base
Elle finit après plusieurs tentatives et avec avec un soupir d’exaspération tant elle était impatiente d’enlever ce bout de latex
Elle s’empressa alors de venir caresser à pleine main cette queue libre et prête à lui donner son précieux nectar
Tout en le caressant et en l’excitant, elle pointait son index dans le creux de son urètre, provoquant ainsi une forte grimace de douleur ou de plaisir sur le visage de Paolo.
Elle agaçait aussi du bouts de ses doigts et des ses ongles les bords du gland
Paolo gémissait fortement et parfois des « oh » de surprise ou de « hum » de satisfaction arrivait à sortir de sa bouche
Pendant toutes ces minutes qui me parure des heures, ils ne se quittèrent pas des yeux.
Je compris que trop bien ce qu’elle lui avait dit au creux de l’oreille.
Un couteau dans le coeur m’aurait fait moins mal. inutile de vous dire que mes yeux était noyé de larmes à ce moment précis.
J’étais tellement choqué que je n’arrivais pas à définir les sentiments qu’il me parcourait, colère, détresse, tristesse, j’étais perdu.
Mais mon calcaire n’était pas finir, avec son autre main elle le pris par la nuque et l’attira pour l’embrasser à pleine bouche.
Il répondit à son baiser et c’est un baiser langoureux passionnel et terriblement cruelle auxquelles j’assistais
Alors que sa deuxièmement mains avait maintenant rejoins la première sur la nuque de Paolo,
il enfonça très légèrement sa queue a l’entré de son vagin puis reviens tout de suite en arrière
on pouvait voir que son sexe luisa de mouille sur tout le longueur qui était entrer en elle.
il esquissait un souris vicieux, il voulait la faire languir
Mais Inès comptait bien satisfaire son désir et il n’eu pas le temps d’esquisser le moindre mouvement qu’elle avait déjà empoigné ses testicules et les rapprocha d’un geste ferme et rapide au point qu’ils buttèrent sur ses lèvres gorgées de plaisir
La verge, elle avait totalement disparu dans sa matrice et excitait le clitoris qui était déjà largement sorti de sa cachette.
Une fois bien au fond, elle l’embrassa passionnément et après avoir repris son souffle et elle dit :
humm enfin je te sens pleinement.
mais au lieu de déchainer toute sa fougue il l’a retourna sur le ventre pour la mettre en position de levrette le tout en gardant sa queue en elle et il dit :
toi t’es une sacrée
salope ? je n’aime pas se mot mais la je suis trop excitée donc baise moi et tu seras pardonner
oh putain j’allais pas dire salope mais plutôt coquine, mais oui je vais bien te baiser ma belle, t’inquietes pas
Tout en finissant cette phrase il se retira complément d’elle et la pénétra brutalement d’une seule fois lui arrachant un cri à la fois de surprise et de plaisir et peut être de douleur tant la pénétration avait été soudaine
c’est comme ça que tu veux que je te baise ?
oui encore salaud
Il recommença
aahhh
hum tu aimes ?
c’est bonnn
Il recommença
ah putain ouiii encore
ton cocu il te baise comme ça
non jamais
humm quel loser il sait pas ce qu’il rate
Devant ces coups de butoir elle n’arrivait plus à se maintenir dans cette position et elle finit par s’allonger complètement sur le lit jambes tendues et bien serrées
grâce à ce mouvement Paolo en profita pour se repositionner afin de pouvoir profiter d’un meilleur angle de pénétration et ainsi avoir plus d’amplitude.
Cette position était totalement indécente à la limite d’une scène pornographique.
il recommença plus loin, plus brutalement encore
oh putain c’est bon plus fort
plus fort je vais te faire crier
hum alors qu’est ce que tu attends ?
il l’a besogna pendant de longues minutes lui arrachant des gémissements qui se transformèrent vite en couinement puis en cri. elle n’arrivait pas à formuler le moindre mots malgré les nombreux mots crus qui sortait de la bouche de Paolo et qui si elle avait eu tout sa lucidité aurait irrémédiablement valu des remontrances physiques et verbales, tant Inès déteste ce genre de vocabulaire.
Mais alors qu’Inès semblait être sur le point d’avoir un orgasme dévastateur, et contre tout attente il se retira d’un seul coup, la retourna pour se placer en missionnaire et s’enfonca délicatement et avec une infini douceur dans la matrice trempé d’Ines.
Entre ces 2 instants, Victor captura cette image de la verge complètement et intégralement luisante de cyrpine et de pré-cum.
Ce n’était plus les va et viens brutaux et profond mais des va et viens ciblé avec des pénétrations toujours plus intense que la précédente arrachant toujours plus de plaisir à Paolo mais surtout à Inès, qui exprimait son plaisir bruyamment et sans aucune gène.
Elle se lova sur lui entourant ces jambes et ses bras autour de lui, tout en l’embrassant partout ou ses lèvres se collait.
elle criait, gémissait soupirait parfois on avait l’impression qu’elle cherchait a un second souffle
ils s’embrassèrent passionnément comme un couple qui fait l’amour et c’est ce que je voyais à l’écran ce n’était plus une scène de baise mais un scène d’amour chaude.
Elle le griffait, l’embrassait entre chaque inspiration. parfois on la voyant poser ses mains sur ses fesses et accompagnés ses charges pénétrantes
Les images étaient horrible à voir mais je n’avais qu’à fermer les yeux pour qu’elles disparaissent
les sons étaient bien pires, entre les bruits de baisers chassant les gémissements et les cris qui eux même étaient chassé par le clapotis de la pénétration toujours plus humide, que dis je trempé, je n’avais aucun moyen de m’en débarrasser et pour mon grand malheur tous venaient résonner et rebondir dans ma tête obligeant le cerveau à construire des images s’accordant avec ces sons.
Cela a durer longtemps et Paolo ne démentait pas à sa réputation de bon queutard endurant.
Je n’avais aucune idée du temps qui était passer entre le début de la vidéo meme s’il y avait un chronomètre qui défilait mon cerveau ne voulait pas déchiffré ces chiffres qui défilait mais ils étaient nombreux, nombreux comme les orgasmes d’Inès
Tout ce que j’avais décris à mes potes était la devant mes yeux, ses gestes, ses gémissements, ses cris, sa transpiration, sa jouissance, elle se donnait autant à lui qu’elle s’était donné à moi depuis le 1er jour ou nous avions consommé notre amour.
De toutes ces attentions qu’elle portait, certains gestes et regards qu’elle portait à Paolo, me braisait car c’était des gestes et des regards qui nous appartenaient qu’à nous deux.
Je me sentais trahi, violé par cette transgression de ce que j’aimais le plus chez elle.
Je vomis par terre tant j’avais un poids dans l’estomac.
Alors que j’avais suspendu la lecture pour m’essuyer et finir de vomir, je ne savais pas si je devais continuer
Combien de fois avait elle joui j’avais l’impression qu’elle jouissait en permanence
Je ne sais pas pourquoi mais je relançais la lecture,
Etait-ce un désir de voyeurisme ou de masochisme inconscient, je ne pense pas, mais c’était sûrement de ne pas imaginer les scènes que j’aurais refuser de voir et qui aurait pu s’avérer être pire que la réalité,
et puis c’était sans compter que les commentaires et regards de certains membres de l’équipage que j’aurais du affronter aux diners, déjeuners, au réunion et toutes autres occasions ou ma présence était obligatoire.
Dans mon malheur je voyais que Paolo commençait à accusé le coup, surement fatigué, épuisé de marteler depuis déjà tout ce temps et je fus presque soulagé de me dire que j’en avais plus pour longtemps
Mais il voulait vraiment lui faire une forte impression et il n’avait pas l’intention de rendre les armes maintenant.
Il se retira malgré le gémissement de désapprobation d’Inès et il poursuivi sa descente en embrassant son cou, puis ses tétons, ses seins, son ventre et finit par plonger son visage dans son sexe trempé
Au contact de cette langue elle sursauta comme si son corps avait reconnu son bienfaiteur ou son bourreau cela dépend de quel coté on se mets
un gémissement plus fort retenti suivi d’onomatopées toute incompréhensible les unes que les autres
Elle était tendu comme un arc, sa tête rouge, son corps luisant respirait la luxure, elle miaulait de plaisir
Alors qu’il y a quelques minutes, elle semblait ne plus avoir de force, ses jambes enfermèrent à présent la tête de Paolo pour le garder prisonnier de cette prison ou n’importe quel homme aimerait être condamner à la perpétuité
Ce qui me sidérait encore plus c’est qu’il semblait deviner le point de non retour de la jouissance de ma femme, il arrêtait quelque fois son cunilingus dévastateur juste quelques secondes pour replonger aussitôt retardant ainsi l’explosion d’un énième orgasme encore plus dévastateur
Dans un soupir presque inaudible et parsemer d’essoufflements à répétions Inès réussi à dire :
arrete j’en peux plus, reviens en moi et finis moi
humm si je reviens en toi je vais jouir en toi
je, je, ca m’est égale j’ai besoin de te sentir en moi
Il remonta alors doucement terriblement doucement à la limite de la torture pour elle, elle le tirait de ces bras de ses jambes pour qu’il arrive enfin à hauteur et puisse la prendre à nouveau
Mais ce vicieux se faisait lourd excessivement lourd il jouait avec elle, la martyrisait, il savait désormais qu’il pourrait faire ce qu’il veut d’elle, la posséder nuits et jours qu’elle ne se refuserais jamais à lui peut être meme qu’elle serait à l’initiative des prochaines rencontres ou il pourrait abuser ensemble et sans limite du plaisir de la chaire.
Il sourit à cette idée mais les plaintes d’Inès l’ont vite ramener à la réalité.
Il décida que son supplice avait assez duré et qu’elle avait subit suffisamment de frustration dans sa jouissance et puis de son coté il a commençait sérieusement à vouloir se vider, sa verge lui faisait mlaintenat trop souffrir
Il s’enfonça d’une traite entièrement, violemment mais la pas de cris de surprise et de douleur, une longue, lente et bruyante plainte de plaisir vint percer le silence de la chambre.
Elle avait les yeux fermés et il regardait comment son visage grimaçait de plaisir sous ses assauts
Qu’elle était rayonnante, il se disait qu’elle était plus belle encore que la première fois que Marc l’avait présenté au siège de l’association et que certainement c’est la plus belle femme et le meilleur coup qu’il ait eu la chance de posséder.
On arrivait enfin à la charge finale il l’a besognait maintenant intensément avec un rythme soutenu saccader et désordonné, il lui donnait tout ce qu’il avait mais toujours en prenant soin de faire passer son plaisir avant le sien.
Elle, elle était dans un autre monde, elle n’était que jouissance. parfois elle redressait sa tête et regardait, médusée par cette pénétration qui lui procurait autant de tremblements et de picotements dans l’ensemble de son corps comme si toutes ses terminaisons nerveuses n’était reliées qu’a son vagin.
Bizarrement après tout ce qu’elle avait subit pendant ces longues heures de jouissance elle réalisait que maintenant qu’il n’avait pas respecter sa parole.
non il ne l’avait pas baiser, comme il l’avait promis.
Pendant tout ce temps Paolo lui avait fait l’amour comme jamais elle ne l’avait ressenti. elle senti au fond de son ventre un noeu
était ce la culpabilité d’avoir trahi Marc, la traitrise de Paolo qui aurait du la baiser comme elle l’avait supplié ou bien plutôt l’émergence d’un orgasme dévastateur
La réponse vint comme un boulet de canon
Son coeur s’embala une bouffé de chaleur remonta du plus profond de ses entrailles. elle se diffusa dans tout son corps remontant vers sa tête en un éclair.
Son vagin expulsa malgré la présence de la queue de Paolo une quantité assez impressionnante de cyprine
Elle pensa même, le temps d’un instant, perdre connaissance mais fut comme réanimer aussitôt par les va et viens toujours actif de Paolo qui continuait malgré ce flot continue de jouissance à la besogner
Alors que cet orgasme d’une puissance qu’elle n’avait jamais ressenti avant, commençait seulement à s’estomper comme une douce vague de chaleur, elle commençait doucement à émerger et à réaliser ce qu’elle venait de vivre,
Paolo dans un rale de plaisir fort et bruyant et long, déversa toute sa semence en elle tout en continuant a aller et venir en elle.
A nouveau Inès senti monter une vague de chaleur comme une réplique d’un tremblement de terre un second orgasme moins puissant mais tout aussi dévastateur lui arracha un énième et dernier cri.
Puis comme après le passage d’un ouragan tout devint silencieux, on arrivait juste à percevoir leur respiration lente et profonde
Leurs 2 corps inertes ne bougeaient que par l’essoufflement de l’autre.
Après quelques minutes passées dans cette position ils se regardèrent longuement et s’embrassèrent langoureusement mais n’échangèrent aucun mot chacun semblait deviner les pensés de l’autre et l’avenir qui semblait se dessiner pour eux
Mon calvaire avait pris fin enfin c’est ce que j’espérais
sachez également qu’a la fin de mes différentes récits je vous expliquerais les raisons qui m’ont menés à mettre cette histoire personnelle sur le papier
Tout d’abord laissez moi me présenter Marc, j’ai 26 ans mec légèrement musclé, brun avec une barbe de 3 jours toujours bien entretenu. je suis de taille moyenne 1,78m et plutôt séduisant d’après ma chère femme
Je dis femme mais nous ne sommes pas encore marier bien que l’idée nous ai traversé l’esprit nous n’en ressentons pas le besoin car nous trouvons cette pratique relativement archaïque et nous sommes parfaitement heureux et épanoui comme ça
Ma femme donc se prénomme Inès elle est une magnifique et délicieuse créature de 24 ans 1m67 pour 54kg
Présentant un métissage thaïlandais du coté de son père et espagnol du coté de sa mère elle a pris le meilleur de ces 2 pays
La thailande pour ses yeux noires intenses très légèrement bridés, ses jambes fines, élancée et légèrement musclées, ses petites fesses fermes et magnifiquement proportionnées sont une bénédiction et à la fois une torture lorsque je les aperçois caché sous sa nuisette au matin avant qu’elle parte sous la douche et encore plus lorsqu’un string ou d’ailleurs tout autre sous vêtement viens habillé délicatement la courbure de ces 2 belles Manzana comme j’aime à les appeler
Du coté espagnole c’est sa peau bronzé des canaries qu’elle a pris, ses longs cheveux noirs qu’elle laisse le plus souvent détachées descendant jusqu’a la naissance de ses fesses
ses seins sont fermes avec 2 auréoles assez foncé parfaitement circulaire. au centre pointe deux tétons très sensible et qui ont la magnifique tendance à se dresser lorsque madame à froid ou qu’elle est excitée
Un pure délice de venir les taquiner
Sa toison qu’elle entretien parfois en ticket de métro ou plus rarement en se rasant intégralement (elle a la pilosité des espagnoles) est toujours à mes yeux une invitation impossible à refuser, d’autant plus qu’elle est particulièrement réceptive à mes caresses buccales que j’adore lui prodigué à toute heure de la journée ou de la nuit, mais surtout au matin en guise de réveil un peut trop coquin.
Son corps parfaitement galbé qu’elle entretien régulièrement en pratiquant de la natation, de l’escalade et de le course à pied m’oblige souvent à ralentir ma cadence pour être derrière ou en dessous d’elle et admirer cette merveille que j’ai parfois du mal à réaliser qu’elle m’ait choisi.
Cela fait un certain temps qu’elle a percé mon petit jeu et à chaque fois elle s’en amuse, elle joue à me provoquer me torturer lorsque nous sommes parfois en public et qu’il m’est difficile de cacher une érection naissante me coupant dans mon élan et m’obligeant à m’arrêter pour calmer et replacer cette montée soudaine de sang dans ma verge turgescente.
Heureusement ayant pitié de moi il lui arrive quelques fois de me soulager au détour d’un chemin, dans un coin a l’abri des regards ou le plus souvent, arrivé devant le péron de notre maison pour notre plus grand plaisir.
D’autres fois en revanche elle se fait plus vicieuse et irrite mon coté compétiteur en provoquant une course dont le gagnant aurait droit aux premières caresses buccales de l’autre.
mais bon difficile de courir vite ou nager vite et encore moins d’escalader vite quand votre queue dure gêne chaque mouvement des jambes.
Elle gagnait souvent et j’étais contraint et forcé d’accomplir ma punition
Oh bien sur je vous vois venir lécher un minou frétillant d’envie est une punition qu’aucun homme hétéro ne refuserait mais quand cela fait plusieurs dizaines de minutes que votre verge crie à la libération de cette surpression sanguine, chaque minute parait plus longue que la précédente.
J’ajoute évidement que dans ce petit jeu que nous nous infligions il était formellement interdit de tricher en se touchant au peine de finir la journée la queue entre les jambes et ainsi d’avoir une punition cette fois ci beaucoup moins savoureuse.
J’ai rencontré Inès sur les bancs de la Fac et par chance ou peut être étais ce le destin nous avons pu travailler ensemble dès notre première année
J’ai eu le béguin à l’instant ou je l’ai vue mais c’était pas trop difficile vu que la plupart des garçons étaient dans le meme cas
Elle était pour moi la plus belle de la fac mais en tout honnête à partir du moment ou je l’ai vu, je ne regardais pas les autres filles avec le meme sens critique.
Bizarrement elle a vite une une mauvaise réputation car beaucoup de filles était jalouses que beaucoup de mecs voulaient sortir avec elle et malheureusement pour elle beaucoup de mecs ont entretenu cette mauvaise réputation car ils avaient bien sur fait choux blanc dans leurs entreprises de séduction
Pour ma part j’étais un peu en retrait, il faut dire que j’ai toujours été très timide envers la gente féminine et bien sur Inès qui pour moi était au somment de cette montagne semblait inaccessible
Heureusement comme je le disais la chance ou le destin on voulu que la meilleure amie d’Inès avait le béguin pour mon pote de thèse et nous avons pu échanger nos partenaires de travail.
C’est donc ravi que j’ai pu travailler pendant quelques semaines avec Inès et nous nous sommes au fil du temps trouver des centres d’intérêt commun comme l’écologie, la pratique de certaines sports et d’instruments de musique au point ou nous sommes devenu copain puis ami et petit a petit nous sommes sorti ensemble
Lorsque mes potes l’on vue pour la première fois et nous commencions tout juste à fleurter depuis quelques semaines, ils m’ont tous avoué que c’était le genre de fille qu’on présente à ses potes.
Lorsque notre relation a pris une tournure plus officielle et importante, et qu’ils ont appris à la connaitre ils ont tous été unanimes et qu’elle était le genre de fille qu’on présente aussi à ses parents
Inès était une fille agréable, intelligente drôle, solaire.
Ma meilleure amie qui était aussi ma confidente insista pour me dire qu’il ne fallait pas la lâcher celle la tant Inès était une perle rare
Mais je dois aussi dire que pendant longtemps mes potes ont tenu des paris plus ou moins stupides sur ses mensurations et bien d’autres choses encore plus graveleuse. mais bon après des litres de bières et autres boissons alcoolisées ingérées j’ai fini par leur donner quelques infos.
Je leur avouais donc qu’Inès faisait un bon 85C et bien sur que j’en étais le premier heureux, le seul et j’espère le dernier à profiter de ses charmes.
Bien sur ils en voulait plus et m’ont répondu qu’ils le savait déjà, bien que j’émettais des doutes la dessus et les soupçonnait d’avoir fait une investigation un trop poussée de ses sous vêtements et de son anatomie.
Pour les satisfaire une bonne fois pour toute et surtout pour en finir avec ses discussions d’ados attardés , je leur avoua qu’au niveau sexuelle Inès était très « caliente », à l’écoute de mon plaisir mais qu’elle est aussi très expressive et n’hésitais pas à communiquer activement son plaisir que ce soit par la parole, des soupirs, gémissements, la sécrétion de ses fluides corporelles au gout et parfum légèrement salé et des gestes parfois tendres et désordonné selon l’intensité du plaisir que je lui procure.
Nos ébats étaient fusionnel, un délicieux mélange entre la passion et l’intensité des premiers amours et la complicité et la tendresse d’un couple qui se connait l’un l’autre depuis des lunes.
Les présentations terminés mais avant de passer dans le coeur de notre aventure il faut que je vous parle de nous et de notre foyer
Pendant un an vous avons voyagé ensemble dans un road trip après avoir décrocher tous 2 notre diplôme nous avons décidé de nous poser dans le nord de la Nouvelle Zélande pour trouver un job et renflouer les caisses.
Nous avions tout 2 trouver un job dans un camping ou par chance le propriétaire Victor un jeune sexagénaire ou un vieux quinquagénaire très sympa quoique un peu bourru possédait une maison quasi abandonée en bordure de la mer qu’il nous a gracieusement mis à disposition en échange de quelques travaux de rénovation.
Nous vivions en quasi autonomie avec un potager, un poulailler, quelques chèvres et vaches qui appartenait à Victor et la plage qui était a 2 pas me permettais de pêcher et de ramener notre besoin en protéines animales.
C’était le paradis sur terre dans le plus beau pays du monde avec la plus belle femme du monde.
J’aime à dire qu’elle était mon soleil permanent en toute saison.
Certains penserons que c’est une description trop idyllique mais que voulez vous quand on est amoureux on ne peut qu’être subjectif
En outre et par bonheur mes compétences en photographie et en biologie m’ont permis d être embaucher au sein d’une célèbre ONG spécialisé dans la protection des animaux marins comme plongeur photographe
Je devais donc parfois partir en mer quand le camping était fermé et que Victor n’avait pas besoin de moi
De son coté Inès travaillait également au sien de cette ONG mais elle assurait la permanence de l’équipe à terre et développait la communication et la sensibilisation pour notre cause auprès des institutions, des locaux et des touristes occasionnels
Elle était souvent (un peu trop souvent je dirais) aider par Paolo un cubain métis foncé approchant la quarantaine qui avait rejoins l’association et qui créchait a quelques kilomètres du camping dans un van aménagé.
Paolo était grand dans le 1m90 avec la musculaire très imposante et développé mais sans être bodybulder.
Il état plutôt beau gosse d’après les nombreuses conquêtes de filles qui venaient faire du woofing, de touristes occasionnelles ou meme de néo zélandaises du coin.
Ce mec plutôt sur de lui toujours célibataire endurcit, macho comme tous les latinos sans bien sur tombé dans le cliché et encore moins dans le racisme. était un queutard invétéré qui n’arrivait jamais à se caser préférant abuser des charmes de ses conquêtes et de passer à autre chose sans le moins ménagement ni le moindre acte.
Bien naturellement il avait flashé sur Inès mais il n’était ni le premier ni le dernier tant ma femme attirait les regards depuis le 1er jour de notre arrivé ici
Il avait intégré l’association il y a plusieurs mois déjà ou ses compétences en informatique et télécommunications était importante pour nous
Lors de mes expéditions en mer il arrivait quelques fois que nous devions partir avec le mauvais temps car ici sur la cote est de la Nouvelle Zélande le Pacifique n’a que le nom.
Les vents étant particulièrement violent sur ces latitudes le danger était permanent.
Malgré son amour prononcé pour les animaux marins Inès avait une peur bleu de l’océan. couplé à un léger mal de mer chronique il était difficile pour elle de m’accompagner et de satisfaire sa passion.
Elle était toujours inquiète quand je partais et pour la rassurer je disais qu’elle était toujours mon soleil qui chasserais le mauvais temps
Il arrivait aussi que notre navire devait garder le silence radio et cela pendant plusieurs jours et nuits d’affilés pour ne pas se faire repérer par les navires que nous pourchassions.
Inès détestait cela car je n’étais pas joignable pendant ces jours de coupures et surtout elle avait peur qu’on nous tire dessus ou qu’on tente de nous couler ce qui nous était déjà arriver a plusieurs reprises.
Malgré cela nous nous appelions aussi souvent que possible après notre black-out forcé, parfois en visio quand les conditions météo le permettait.
Il lui arrivait parfois d’enregistrer des messages vidéo et de me les envoyer par email ou elle pouvait alors attiser mon excitation ce qui franchement me donnait envie de rentrer
Un jour alors que j’avais fait escale a Singapour je lui ai ramené un petit cadeau bien particulier
C’était un sex-toy qu’elle pouvait commander avec son smartphone pour régler l’intensité, la cadence et la durée des vibrations
Ce que je ne lui avais pas dit c’était que j’avais demandé discrètement à Paolo de le trafiquer pour que je puisse l’activer même à des milliers de kilomètres de distance.
Paolo me dit que c’était faisable et meme que je pouvais programmer des « séances » à heure précises sans avoir besoin d’etre connecté au réseau
Meme si cela enlevait un peu de romantisme, je trouvais l’idée géniale car si nous perdions les communications avec la terre au moins Inès se ferait plaisir.
Avant de repartir en mer j’ai alors dit à Inès de le porter à des moments précis de la journée.
elle fut très surprise et de manière très agréable car elle ne s’imaginait pas que je puisse le commander a distance et ainsi comme elle me dit la faire jouir à distance.
Après plusieurs jours passer en mer et plusieurs nuits à exciter et faire jouir ma femme a distance je lui envoyait un mail en lui disant que je rentrerais dans 2 semaines si le temps le permettait et que j’avais envie qu’elle m’accueille en compagnie de son petit joujou et qu’on se fasse directement un restau coquin avant une nuit endiablé.
Bizarrement je ne reçu pas de réponses de sa part mais j’en conclu qu’elle voulait sûrement me réserver une surprise car je n’avais pas le souvenir d’être parti aussi longtemps par le passé.
Nous étions à une semaine de notre arrivé lorsque en pleine tempête j’avais eu un micro créneau pour checker mes mails en espérant avoir une réponse de ma chérie.
J’ouvris ma boite et je constatais aussitôt aucun mail d’elle mais à la place j’avais un mail inconnu mais qui c’est révélé être de Victor
Je fus surpris dans un premier temps car Victor n’avait pas mon adresse mail et c’est un vieux de la vieille il n’est pas très porter sur Internet surtout
Je lu son mail qui datait de plusieurs jours déjà
« salut Marc, écoutes il faut absolument que tu viennes tout de suite il s’est passé quelque chose de grave avec Inès »
un fichier audio était attaché au mail
Je lançais la lecture et j’entendais Inès en tout cas ce qui semblait être sa voix crier et gémir
Mon sang se glaça instantanément et je courus aussitôt à la cabine de pilotage pour demander au capitaine de faire demi tour et qu’il était arrivé quelque chose de grave à Inès
Arrivant complètement essouffler, il me demanda tout d’abord de me calmer et de tout me raconter devant tout le monde
Je lui racontais et passa la bande audio
Il me répondis qu’effectivement c’était inquiétant mais qu’il était impossible de faire demi tour nous venions de traverser une tempête très violente, faire demi tour nous obligeait à revenir dans cette tempête
D’ailleurs et c’est la que la malchance ou la fatalité intervint nos systèmes de télécommunications ne fonctionnait plus et nous arrivons qu’a communiquer que par radio et encore qu’aux bateau situé assez proches de nous.
C’était donc impossible de prévenir un port, nous devions attendre quelques jours le temps que la météo se calme et que nous rétablissions nos systèmes de télécommunication
Tous mes collègues me consolèrent et tentèrent de me rassurer, mais soudain un mec que je ne connaissais pas trop déclara bien fort :
en danger, en danger j’ai plutôt l’impression qu’elle est en train de prendre son pied la mignonne
Je levais la tête vers lui avec un regard de tueur :
quoi qu’est ce que tu racontes connard?
écoutes ses cris ça ressemble plus à des gémissements de plaisir enfin je connais pas ta femme mais je sais reconnaître une femme qui prend son pied et puis d’ailleurs si vraiment elle était en danger tu crois vraiment que ton Victor aurait pas appeler la police plutôt que de t’envoyer un mail
Je sautais sur lui mais avant d’y arriver mes collègues me plaquèrent sur une table pour me calmer
Un silence pesant prenait forme et après mettre calmer je décidais de rentrer dans ma cabine pour essayer de me poser et digérer cette information et surtout de comprendre la situation.
Malgré mon envie de le passer par dessus bord, il n’avait pas tord pourquoi Victor m’a t il envoyer un simple mail avec cette bande audio ? si Inès était vraiment en danger il aurait prévenu la police et aurait tenter de s’interposer, meme s’il n’était plus tout jeune il en imposait.
Je n’arrivais plus réfléchir, je décidais de me plonger dans mon traivail pour arrêter de cogiter et essayer de me rétablir de ce coup de massue qui me mis chaos.
Apres plusieurs heures je décidais l’aller me restaurer meme si je n’avais pas faim.
Je sorti de ma cabine en direction de la salle de restauration mais arrivé au bout du couloir, j’entendis 2 personnes parler :
putain il avait raison ce con elle prends son pied la salope
ouais putain t’as vu en plus elle est attaché au lit et le mec il l’a besogne bien il fait pas semblant
elle me donne grave envie en plus elle trop bonne j’ai toujours eu envie de la choper
claire je paierais cher pour être à sa place à ce veinard
Je fis éruption
a tiens Marc alors ça va mieux ?
putain qu’est ce vous regardez et vous parlez de qui ? c’est pas Inès quand meme ?
heu non non écoutes c’est rien c’est un film porno qu’on a reçu sur la boite mail
t’es con ou quoi tu pouvais pas mieux trouver comme excuse
quoi c’est Inès c’est çà donne vite ton portable je veux voir
non c’est pas une bonne idée gars
J’essayais de prendre son téléphone mais devant sa résistance je décidais de partir dans ma cabine pour visionner la vidéo
Effectivement c’était Victor qui avait renvoyé une vidéo mais la il s’était trompé d’adresse et au lieu de me l’envoyer à moi il l’envoya à l’adresse générale de l’association
Victor devait tenir la caméra il devait être au bord de la fenêtre de la chambre
La chambre était baigné de lumière ce qui permettait de tout voir dans les moindres détails
Sur le lit, Inès yeux bandés, sa respiration était saccadé etprofonde.
Ses poignets était attachés par des foulards au barreaux du lit. Ses jambes étaient libres de tout largement écartées
Soudain Paolo apparu dans le champ et se rapprocha d’Inès
On pouvait apercevoir la tige de son sex-toy dépassait dans son vagin
Grâce ou plutôt à cause de Victor, celui ci zoomait sur le corps d’Inès je voyais clairement qu’elle avait la chaire de poule et que sa peau était parsemé de goutte de sueur.
avec ses doigts Paolo joua avec le bout du sex-toy provoquant des spasmes accompagnés de soupirs de ma femme
La fenêtre légèrement entre-ouverte et l’absence totale de sons parasites me permettait d’entendre assez facilement les sons provenant de la chambre
il approcha son nez du sexe de ma femme, huma une fois, 2 fois fois, il se lécha les babines
Pour lui signaler sa présence il souffla doucement sur son vagin puis posa le bout de sa langue sur le clitoris qui était largement visible. il resta comme ça longtemps. le sex-toy vibrait plus au moins fort et de manière à la fois régulière et très irrégulière au vue de la respiration saccadé d’Inès et des gémissements qu’elle faisait
Soudain ma femme poussa un gémissement libérateur qui me creva le coeur bien sur
Paolo pris l’extremité du sex-toy dans sa bouche ou s’écoulait une grande partie de la jouissance d’Inès. il la buvait littéralement.
Il sortait sa langue comme le font les chats pour boire du lait mais ce n’était pas du lait qu’il buvait mais la cyprine de ma chère moitié
De temps en temps il appuyait plus fermement sa langue tout en aspirant à l’entrée de son vagin pour l’exciter encore plus
Cela m’a paru durer une éternité et pourtant ma femme commençait déjà a remuer son bassin pour rentrer plus en contact avec cette langue inquisitrice
Avec ses dents il retira le sex-toy, un flot de cyprine s’écoula sur ses doigts et les draps du lit.
Il suça un a un ses doigts puis plongea sa bouche sur le sexe d’Inès
Il commença alors un traitement en profondeur lapant, aspirant, soufflant mordillant tanto les lèvres supérieures tanto les lèvres inférieures et tanto le clitoris pour son plus grand plaisir et celui d’Inès
Comble de la perversion il écartait les jambes de ma femme pour aller plus en profondeur mais aussi et à ma grande détresse permettait à Victor d’avoir une parfaite vue sur ce qui se passait
Ma femme pourtant, commençait à se tortiller, resserrant ses jambes parfois, balançant sa tête et ses jambes de droite a gauche toujours accompagner des gémissements, plaintes et autres respirations saccadés. elle était déjà au bord de l’orgasme alors qu’elle en avait eu un quelques minutes ou secondes avant.
parfois même elle se tendait et soulevait son buste du lit tendant ainsi ses seins vers le plafond de la chambre.
Elle explosa encore une fois sous les assauts de cette langue experte.
j’entendis Inès prononcé quelque chose :
Il ne réagis pas
elle répéta à nouveau mais cette fois si je pu l’entendre
prends moi.. je t’en supplie arrête et prends moi
Des larmes coulèrent de mes yeux
Paolo la regarda avec un sourire jusqu’aux oreilles.
Sur le coin en bas à gauche je le vis enlevé son jean, son caleçon était déformé par une verge qui semblait être au paroxysme de la tension.
Il baissa son caleçon et une verge presque noire bien plus longue et imposante que la mienne surgit d’un coup dans le champ de la caméra.
il enfila rapidement une capote qui se situait dans notre table de nuit
Victor en profita pour zoomer sur sa queue massive, dure et fièrement dresser
A cette instant seul moi savait que la longueur de son sexe dépassait très largement la mienne et que son gland était bien plus imposant que le mien même si dans son ensemble elle semblait plus fine que la mienne.
Il se caressa une ou deux fois tout en la regardant et s’approcha doucement mais surement au pied du lit
Inès senti sa présence et écarta au maximum ses jambes provoquant un soupir de satisfaction de Paolo,
A la vue magnifique de ce sexe luisant de mouille il se morda la lèvre et émis un soupir d’envie que dis-je un râle d’homme en rut
Visiblement Inès trouvait le temps trop long qui ferma et écarta ses jambes à plusieurs reprises tout en le suppliant de venir. Impossible de résister pour n’importe quel homme.
Il s’agenouilla sur le lit entre les jambes de ma femme et pris ses mollets avec fermeté pour les garder ses jambes bien écartés.
Apres quelques secondes ou son regard alternait entre le visage d’Inès, son sexe luisant attendant d’être posséder et sa verge qui tressaillait d’excitation depuis trop longtemps il se lança
Il approcha lentement son gland le posa à l’entrée du vagin d’Inès suffisamment pour écarter légèrement les lèvres d’Inès mais pas assez pour elle, qui d’un soupir marquait sa désapprobation a cette pénétration visiblement beaucoup trop timide
Mais ma femme dans un geste à la fois rapide et soudain bougea son bassin et s’empala d’une traite sur une très grande parti de la queue de Paolo, lui arrachant un cri de surprise.
Inès, elle, avait la bouche ouverte mais aucun son ne sortait.
Malgré la situation j’espérais je ne sais pas par quel moyen qu’elle arrête tout pensant à moi, à ce qu elle était entrain de faire et ce qu’elle s’apprêtait peut être à faite
Lui ne réagissait pas, il avait les trois quart de sa verge enfoui au plus profond de ma femme mais il semblait attendre le signal
Il n’attendu pas longtemps
Ma femme prononça ces mots qui me brisèrent
hummm oui tu me remplis comme jamais
C’était le signal qu’il attendait ou disons qu’il espérait.
Il ne lui fallut pas plus d’une seconde pour enfoncer la totalité de sa queue et offrir a ma femme un cri d’extase
Il se repositionna pour être plus proche d’Inès, lacha ces mollets, il faisait sortir sa queue pratiquement en intégralité, le gland restant en contact avec la lisière de ses lèvres et replongeait tout au fond de sa matrice avec un rythme lent régulier et profond.
Elle accompagnait les vas et viens avec ses jambes qu’elle avait subtilement enroulé autour des hanches de Paolo.
Avec ses mollets, ses chevilles et ses talons, elle accompagnait chaque pénétration en caressant et en appuyant sur les jambes, les fesses et les reins de Paolo pour l’inciter à aller encore plus profond, plus fort fort dans son entreprise de pénétration
Ses gestes étaient tout le temps accompagnés de « ahh,oh, hum, oui, encore, c’est bon, t’arretes pas" mais aussi de gémissement fort et long voir quelques fois de cri quand Paolo s’amusait à donner des coups de butoirs plus vif ou plus violent.
Plus haut la situation commençait aussi à s’activer, Paolo ne se gênait plus maintenant
il caressait , embrassait, léchait et mordait à pleine dents les seins d’Inès sans oublier au passage de titiller et exciter ses tétons qui n’avaient pas franchement besoin de çà pour être tendu au maximum
Inès elle, bougeait ses bras dans tous les sens mais ligoter elle ne pouvait rien faire.
vu son excitation si ses bras avait été libre elle les aurait enrouler autour de son corps musclé et l’aurais griffé de plaisir comme elle me l’a déjà fait lors de certaines parties de jambes en l’air particulièrement intense.
Elle cherchait avec sa bouche a l’embrasser mais de la ou j’étais on pouvait aussi imaginer qu’elle cherchait de l’air comme si le plaisir qu’elle éprouvait, l’étouffait
il remontait inexorablement plus haut avec ses lèvres et sa langue embrassant et léchant son cou, le lobe de ses oreilles. il redescendait de plus belle vers les seins, les tétais comme un nourrisson tête au sein de sa mère. Il faisait rouler ses tétons avec ses mains. Aucun geste n’était superflu tout semblait être en place, régler comme du papier à musique et pourtant tout paraissait bestial, instinctif.
alors que le rythme des va et viens commençait à devenir de plus en plus irrégulier, se faisant plus rapide, moins profond mais tout aussi dévastateur arrachant des gémissements de plus en plus fréquents et fort annonçant une éjaculation proche, ma femme lui demanda de s’arrêter
Je restais sans voix, lui pourtant toujours en elle ne faisait plus aucun geste étant lui aussi tout aussi surpris
Qu’allait elle dire j’étais suspendu a ses lèvres
Malheureusement je n’entendis pas ce qu’elle dit mais puisqu’elle lui avait demander de s’approcher tout près de son oreille et que visiblement elle n’était pas en état de parler à haute voix tant sa respiration était forte
Paolo se redressa visiblement ce qu’avait dit ma femme l’avait profondément surpris.
Il délivra ma femme des ses foulards puis elle défit elle meme le lien de son foulard qui bandais ses yeux.
Apres quelques secondes pour s’habituer à la luminosité ambiante, elle ouvra ses yeux sur lui
J’étais pétrifié, elle n’avait aucune réaction, j’ai même penser que ses yeux ne s’était pas encore habituer à la lumière du jour
Elle sourit, sa main descends lentement vers la queue de Paolo, elle l’a saisie avec une grande douceur appréciant toute la longueur en la parcourant plusieurs fois avec la paume de sa main et ses doigts
Elle passa sa main en dessous pour saisir ces testicules, elle les soupesa tout en les malaxant doucement mais fermement.
Paolo sursautait de plaisir et de petits râles sortait de sa bouche
Puis elle revint vers son gland pinca le capuchon du préservatif et tira dessus l
Le préservatif n’étant visiblement pas adapté au volume de cette queue elle s’y pris à plusieurs reprises, le roula par la base
Elle finit après plusieurs tentatives et avec avec un soupir d’exaspération tant elle était impatiente d’enlever ce bout de latex
Elle s’empressa alors de venir caresser à pleine main cette queue libre et prête à lui donner son précieux nectar
Tout en le caressant et en l’excitant, elle pointait son index dans le creux de son urètre, provoquant ainsi une forte grimace de douleur ou de plaisir sur le visage de Paolo.
Elle agaçait aussi du bouts de ses doigts et des ses ongles les bords du gland
Paolo gémissait fortement et parfois des « oh » de surprise ou de « hum » de satisfaction arrivait à sortir de sa bouche
Pendant toutes ces minutes qui me parure des heures, ils ne se quittèrent pas des yeux.
Je compris que trop bien ce qu’elle lui avait dit au creux de l’oreille.
Un couteau dans le coeur m’aurait fait moins mal. inutile de vous dire que mes yeux était noyé de larmes à ce moment précis.
J’étais tellement choqué que je n’arrivais pas à définir les sentiments qu’il me parcourait, colère, détresse, tristesse, j’étais perdu.
Mais mon calcaire n’était pas finir, avec son autre main elle le pris par la nuque et l’attira pour l’embrasser à pleine bouche.
Il répondit à son baiser et c’est un baiser langoureux passionnel et terriblement cruelle auxquelles j’assistais
Alors que sa deuxièmement mains avait maintenant rejoins la première sur la nuque de Paolo,
il enfonça très légèrement sa queue a l’entré de son vagin puis reviens tout de suite en arrière
on pouvait voir que son sexe luisa de mouille sur tout le longueur qui était entrer en elle.
il esquissait un souris vicieux, il voulait la faire languir
Mais Inès comptait bien satisfaire son désir et il n’eu pas le temps d’esquisser le moindre mouvement qu’elle avait déjà empoigné ses testicules et les rapprocha d’un geste ferme et rapide au point qu’ils buttèrent sur ses lèvres gorgées de plaisir
La verge, elle avait totalement disparu dans sa matrice et excitait le clitoris qui était déjà largement sorti de sa cachette.
Une fois bien au fond, elle l’embrassa passionnément et après avoir repris son souffle et elle dit :
humm enfin je te sens pleinement.
mais au lieu de déchainer toute sa fougue il l’a retourna sur le ventre pour la mettre en position de levrette le tout en gardant sa queue en elle et il dit :
toi t’es une sacrée
salope ? je n’aime pas se mot mais la je suis trop excitée donc baise moi et tu seras pardonner
oh putain j’allais pas dire salope mais plutôt coquine, mais oui je vais bien te baiser ma belle, t’inquietes pas
Tout en finissant cette phrase il se retira complément d’elle et la pénétra brutalement d’une seule fois lui arrachant un cri à la fois de surprise et de plaisir et peut être de douleur tant la pénétration avait été soudaine
c’est comme ça que tu veux que je te baise ?
oui encore salaud
Il recommença
aahhh
hum tu aimes ?
c’est bonnn
Il recommença
ah putain ouiii encore
ton cocu il te baise comme ça
non jamais
humm quel loser il sait pas ce qu’il rate
Devant ces coups de butoir elle n’arrivait plus à se maintenir dans cette position et elle finit par s’allonger complètement sur le lit jambes tendues et bien serrées
grâce à ce mouvement Paolo en profita pour se repositionner afin de pouvoir profiter d’un meilleur angle de pénétration et ainsi avoir plus d’amplitude.
Cette position était totalement indécente à la limite d’une scène pornographique.
il recommença plus loin, plus brutalement encore
oh putain c’est bon plus fort
plus fort je vais te faire crier
hum alors qu’est ce que tu attends ?
il l’a besogna pendant de longues minutes lui arrachant des gémissements qui se transformèrent vite en couinement puis en cri. elle n’arrivait pas à formuler le moindre mots malgré les nombreux mots crus qui sortait de la bouche de Paolo et qui si elle avait eu tout sa lucidité aurait irrémédiablement valu des remontrances physiques et verbales, tant Inès déteste ce genre de vocabulaire.
Mais alors qu’Inès semblait être sur le point d’avoir un orgasme dévastateur, et contre tout attente il se retira d’un seul coup, la retourna pour se placer en missionnaire et s’enfonca délicatement et avec une infini douceur dans la matrice trempé d’Ines.
Entre ces 2 instants, Victor captura cette image de la verge complètement et intégralement luisante de cyrpine et de pré-cum.
Ce n’était plus les va et viens brutaux et profond mais des va et viens ciblé avec des pénétrations toujours plus intense que la précédente arrachant toujours plus de plaisir à Paolo mais surtout à Inès, qui exprimait son plaisir bruyamment et sans aucune gène.
Elle se lova sur lui entourant ces jambes et ses bras autour de lui, tout en l’embrassant partout ou ses lèvres se collait.
elle criait, gémissait soupirait parfois on avait l’impression qu’elle cherchait a un second souffle
ils s’embrassèrent passionnément comme un couple qui fait l’amour et c’est ce que je voyais à l’écran ce n’était plus une scène de baise mais un scène d’amour chaude.
Elle le griffait, l’embrassait entre chaque inspiration. parfois on la voyant poser ses mains sur ses fesses et accompagnés ses charges pénétrantes
Les images étaient horrible à voir mais je n’avais qu’à fermer les yeux pour qu’elles disparaissent
les sons étaient bien pires, entre les bruits de baisers chassant les gémissements et les cris qui eux même étaient chassé par le clapotis de la pénétration toujours plus humide, que dis je trempé, je n’avais aucun moyen de m’en débarrasser et pour mon grand malheur tous venaient résonner et rebondir dans ma tête obligeant le cerveau à construire des images s’accordant avec ces sons.
Cela a durer longtemps et Paolo ne démentait pas à sa réputation de bon queutard endurant.
Je n’avais aucune idée du temps qui était passer entre le début de la vidéo meme s’il y avait un chronomètre qui défilait mon cerveau ne voulait pas déchiffré ces chiffres qui défilait mais ils étaient nombreux, nombreux comme les orgasmes d’Inès
Tout ce que j’avais décris à mes potes était la devant mes yeux, ses gestes, ses gémissements, ses cris, sa transpiration, sa jouissance, elle se donnait autant à lui qu’elle s’était donné à moi depuis le 1er jour ou nous avions consommé notre amour.
De toutes ces attentions qu’elle portait, certains gestes et regards qu’elle portait à Paolo, me braisait car c’était des gestes et des regards qui nous appartenaient qu’à nous deux.
Je me sentais trahi, violé par cette transgression de ce que j’aimais le plus chez elle.
Je vomis par terre tant j’avais un poids dans l’estomac.
Alors que j’avais suspendu la lecture pour m’essuyer et finir de vomir, je ne savais pas si je devais continuer
Combien de fois avait elle joui j’avais l’impression qu’elle jouissait en permanence
Je ne sais pas pourquoi mais je relançais la lecture,
Etait-ce un désir de voyeurisme ou de masochisme inconscient, je ne pense pas, mais c’était sûrement de ne pas imaginer les scènes que j’aurais refuser de voir et qui aurait pu s’avérer être pire que la réalité,
et puis c’était sans compter que les commentaires et regards de certains membres de l’équipage que j’aurais du affronter aux diners, déjeuners, au réunion et toutes autres occasions ou ma présence était obligatoire.
Dans mon malheur je voyais que Paolo commençait à accusé le coup, surement fatigué, épuisé de marteler depuis déjà tout ce temps et je fus presque soulagé de me dire que j’en avais plus pour longtemps
Mais il voulait vraiment lui faire une forte impression et il n’avait pas l’intention de rendre les armes maintenant.
Il se retira malgré le gémissement de désapprobation d’Inès et il poursuivi sa descente en embrassant son cou, puis ses tétons, ses seins, son ventre et finit par plonger son visage dans son sexe trempé
Au contact de cette langue elle sursauta comme si son corps avait reconnu son bienfaiteur ou son bourreau cela dépend de quel coté on se mets
un gémissement plus fort retenti suivi d’onomatopées toute incompréhensible les unes que les autres
Elle était tendu comme un arc, sa tête rouge, son corps luisant respirait la luxure, elle miaulait de plaisir
Alors qu’il y a quelques minutes, elle semblait ne plus avoir de force, ses jambes enfermèrent à présent la tête de Paolo pour le garder prisonnier de cette prison ou n’importe quel homme aimerait être condamner à la perpétuité
Ce qui me sidérait encore plus c’est qu’il semblait deviner le point de non retour de la jouissance de ma femme, il arrêtait quelque fois son cunilingus dévastateur juste quelques secondes pour replonger aussitôt retardant ainsi l’explosion d’un énième orgasme encore plus dévastateur
Dans un soupir presque inaudible et parsemer d’essoufflements à répétions Inès réussi à dire :
arrete j’en peux plus, reviens en moi et finis moi
humm si je reviens en toi je vais jouir en toi
je, je, ca m’est égale j’ai besoin de te sentir en moi
Il remonta alors doucement terriblement doucement à la limite de la torture pour elle, elle le tirait de ces bras de ses jambes pour qu’il arrive enfin à hauteur et puisse la prendre à nouveau
Mais ce vicieux se faisait lourd excessivement lourd il jouait avec elle, la martyrisait, il savait désormais qu’il pourrait faire ce qu’il veut d’elle, la posséder nuits et jours qu’elle ne se refuserais jamais à lui peut être meme qu’elle serait à l’initiative des prochaines rencontres ou il pourrait abuser ensemble et sans limite du plaisir de la chaire.
Il sourit à cette idée mais les plaintes d’Inès l’ont vite ramener à la réalité.
Il décida que son supplice avait assez duré et qu’elle avait subit suffisamment de frustration dans sa jouissance et puis de son coté il a commençait sérieusement à vouloir se vider, sa verge lui faisait mlaintenat trop souffrir
Il s’enfonça d’une traite entièrement, violemment mais la pas de cris de surprise et de douleur, une longue, lente et bruyante plainte de plaisir vint percer le silence de la chambre.
Elle avait les yeux fermés et il regardait comment son visage grimaçait de plaisir sous ses assauts
Qu’elle était rayonnante, il se disait qu’elle était plus belle encore que la première fois que Marc l’avait présenté au siège de l’association et que certainement c’est la plus belle femme et le meilleur coup qu’il ait eu la chance de posséder.
On arrivait enfin à la charge finale il l’a besognait maintenant intensément avec un rythme soutenu saccader et désordonné, il lui donnait tout ce qu’il avait mais toujours en prenant soin de faire passer son plaisir avant le sien.
Elle, elle était dans un autre monde, elle n’était que jouissance. parfois elle redressait sa tête et regardait, médusée par cette pénétration qui lui procurait autant de tremblements et de picotements dans l’ensemble de son corps comme si toutes ses terminaisons nerveuses n’était reliées qu’a son vagin.
Bizarrement après tout ce qu’elle avait subit pendant ces longues heures de jouissance elle réalisait que maintenant qu’il n’avait pas respecter sa parole.
non il ne l’avait pas baiser, comme il l’avait promis.
Pendant tout ce temps Paolo lui avait fait l’amour comme jamais elle ne l’avait ressenti. elle senti au fond de son ventre un noeu
était ce la culpabilité d’avoir trahi Marc, la traitrise de Paolo qui aurait du la baiser comme elle l’avait supplié ou bien plutôt l’émergence d’un orgasme dévastateur
La réponse vint comme un boulet de canon
Son coeur s’embala une bouffé de chaleur remonta du plus profond de ses entrailles. elle se diffusa dans tout son corps remontant vers sa tête en un éclair.
Son vagin expulsa malgré la présence de la queue de Paolo une quantité assez impressionnante de cyprine
Elle pensa même, le temps d’un instant, perdre connaissance mais fut comme réanimer aussitôt par les va et viens toujours actif de Paolo qui continuait malgré ce flot continue de jouissance à la besogner
Alors que cet orgasme d’une puissance qu’elle n’avait jamais ressenti avant, commençait seulement à s’estomper comme une douce vague de chaleur, elle commençait doucement à émerger et à réaliser ce qu’elle venait de vivre,
Paolo dans un rale de plaisir fort et bruyant et long, déversa toute sa semence en elle tout en continuant a aller et venir en elle.
A nouveau Inès senti monter une vague de chaleur comme une réplique d’un tremblement de terre un second orgasme moins puissant mais tout aussi dévastateur lui arracha un énième et dernier cri.
Puis comme après le passage d’un ouragan tout devint silencieux, on arrivait juste à percevoir leur respiration lente et profonde
Leurs 2 corps inertes ne bougeaient que par l’essoufflement de l’autre.
Après quelques minutes passées dans cette position ils se regardèrent longuement et s’embrassèrent langoureusement mais n’échangèrent aucun mot chacun semblait deviner les pensés de l’autre et l’avenir qui semblait se dessiner pour eux
Mon calvaire avait pris fin enfin c’est ce que j’espérais
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10 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
les suites arrivent bientot
En revenant du bateau
Marc s approche de sa salope de femme lui balance une grande paire de gifles puis lui dit qu il sait tout que tout l équipage à vue la vidéo de sa baise avec Paolo filmé par Victor qu elle est une garce qu il ne veux plus d elle et qu il divorce .
Marc s approche de sa salope de femme lui balance une grande paire de gifles puis lui dit qu il sait tout que tout l équipage à vue la vidéo de sa baise avec Paolo filmé par Victor qu elle est une garce qu il ne veux plus d elle et qu il divorce .
1 réponse de l’auteur la suite arrive quand oui non peut être ?
Puisqu’il parle a l’imparfait lorsqu’il parle de sa femme, j’imagine que maintenant elle fait partie de son passé.
J’ai hâte de lire de quelle façon son passé s’est réalisé.
J’ai hâte de lire de quelle façon son passé s’est réalisé.
Vivement la suite en espérant ne pas avoir affaire à un cocu content. La femme dehors et une vengeance sur les copains s'impose.
J'attends la suite, quel sera la réaction du mari ? J'espère qu'il ne va pas se laisser avoir par les bobards que sa femme risque de lui servir.
Au retour, aucun pardon possible. Et petite vengeance contre Victor et Paolo.
Presse de lire la suite mais j’espère que ce ne sera pas du cocu heureux
Par pitié, ne me dites pas qu'on va encore avoir affaire à un cocu content.
Ne me dites pas non plus qu'il sera assez con pour essayer de la récupérer.
Qu'il leur fasse payer cette trahison et son humiliation.
Ne me dites pas non plus qu'il sera assez con pour essayer de la récupérer.
Qu'il leur fasse payer cette trahison et son humiliation.
Elle prends son mec pour 1 con. Elle n’a pas de figure.