Le baiser de la discorde
Récit érotique écrit par GM34280 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-10-2024 dans la catégorie Pour la première fois
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Le baiser de la discorde
Je m’appelle Kate, j’ai trente ans, et depuis des années, je partage ma vie avec William, âgé de trente deux ans. Nôtre existence, tissée de joie et de stabilité, a été bouleversé par ce jour fatidique. Ce matin là, je me suis réveillée pour découvrir horrifié, que William avait vidé nôtre demeure et l’avait quittée.
Moi j’étais stagiaire, et lui en position de directeur. Après huit mois de relation intense, nous avons décidé d’écrire un nouveau chapitre à nôtre vie. William reçut une offre alléchante d’une firme concurrente, doublant son salaire, tandis que je poursuivais ma carrière, espérant une promotion. Tout semblait s’aligner pour nous.
Deux mois après, une promotion m’a été attribuée, mais elle exigeait un investissement considérable. Face à cette pression croissante, j’ai trouvé refuge dans l’alcool. Mon recours à l’alcool s’est mué en obsession préoccupante. William, constatant avec inquiétude cette dépendance m’a confronté à la réalité.
William, un an avant la date, me demanda en mariage, que j’acceptais avec joie. En tant que couple marié, nous savourions les instants les plus exquis de nôtre vie. Mais il me fallait reprendre le chemin du travail. Mon retour à l’entreprise après six moi, se passa sans heurt. J’ai été affectée à un nouveau projet, sous la direction de Dave.
William, avec une pointe de mécontentement, avait décrit Dave comme un séducteur rusé. Toutefois, j’ai décidé de forger ma propre opinion sur lui. Le jour de la présentation de nôtre projet, j’ai rencontré Dave. Il est vrai qu’il était séduisant, et affiché une forme et une jeunesse étonnante. De nombreuses collègues semblaient subjuguées par Dave. Son charisme naturel attirait les gens.
J’ai consacré des heures supplémentaires à mon travail, pour remplacer une collègue en congé maternité. William a évoqué avec une pointe de sarcasme, qu’au moins je ne me noyais plus dans l’alcool, soulagé de me voir investi dans mon travail. J’ai exprimé ma déception de ne pas pouvoir partager des moments avec lui, mais lui ai promis que nous nous rattraperions. Je lui assurais mon amour, et mon désir de passer du temps avec lui, des sentiments sincères. William, souriant, a répondu qu’il me savait que j’étais dévoué à mon travail.
Il y avait des moment ou Dave me contactait en dehors des heures de travail, pour s’assurer que nous restions sur la bonne voie. Dave m’encourageait, me rappelant que je pouvais le contacter à tout moment. William, troublé par mes heures de travail inusuel, même à la maison, a exprimé à plusieurs reprise son mécontentement.
Au fil du projet, Dave et moi avons développé une relation plus intime, partageant des blagues pour alléger le stress. Cette familiarisé s’étendant à nos appels et nos messages devenus secret. Cependant, cette proximité a engendré des rumeurs parmi mes collègues, perceptibles dans le regard jaloux de certaines femmes. Les rumeurs se sont vite propagées, atteignant finalement les oreilles de William.
Un soir, rentrant à la maison, j’ai trouvé William anxieux et prêt à confronter les rumeurs. Il m’a questionné sur la nature de mes relations avec Dave, suspectant une partie de vérité. Je l’ai assuré que ce n’était que des spéculations infondées, motivées par la jalousie. William n’était pas convaincu. Il soutenait que les rumeurs avaient souvent un fond de vérité, et exprimait ses doutes de l’influence de Dave sur moi. Je lui dis qu’il devait choisir à faire confiance à sa femme ou à la rumeur.
Le lendemain, je me suis rendu au travail, irritée par le manque de confiance de William. Un soir, après le départ des collègues, Dave et moi sommes restés plus tard. Il m’a apporté un café, et s’est proposé à écouter mes soucis concernant mes conflits avec William. Alors que je me confiais, une impulsion soudaine m’a poussé à l’étreindre, un geste que j’ai immédiatement regretté. Un moment de tension physique a suivi, aboutissant à un baiser inattendu. Nous nous sommes vite écartés, embarrasses par nôtre égarement.
Cette nuit là, je n’arrêtais de penser à nôtre baiser, m’entraînant dans des rêves insensés, me voyant faire l’amour avec Dave.
« J’étais entièrement nue, empalée sur sa grosse bite, seins dressés, durcit par le désir, caressée par ses mains avide. Chaque coup de hanches m’arrachait un orgasme, mes cris étaient autant d’appel à poursuivre. Soudain...»
- Mais chérie...que t’arrive-t-il, dit William.
Dans mon rêve, je ne me suis pas rendu compte que mes désirs pouvaient me mener à ça.
Les jours suivant furent empreint de malaise entre Dave et moi. Le silence de William n’arrangeait rien, me laissant seule avec mes tourments, mon objectif principal étant de réparer ma relation avec mon mari.
A l’approche de ma mi-décembre, nôtre projet toucha à sa fin et le travail se faisait moins accaparant. J’ai pris l’initiative d’arranger les chose avec William. Dans cet esprit, j’ai préparé son dîner préféré, et dressé une table à sa guise, espérant une réconciliation et la fin de nos désaccords. Consciente des réticences de William envers Dave depuis le début, j’étais déterminé à clarifier la situation. Assise face à lui, je lui ai affirmé avec sincérité qu’il était l’unique objet de mon amour. Dave, mon supérieur, n’était qu’une figure professionnelle dans ma vie, et la collaboration avec lui prendrai fin avec le projet.
Pour apaiser ses inquiétudes, j’ai promis de rejoindre une autre équipe. Cette conversation a dissipés ses doutes sur une éventuelle liaison avec Dave, et il fut réconfortant de partager un moment d’honnêteté avec William, cherchant à renforcer nôtre lien dans l’année à venir. Nôtre réconciliation m’a remplie de joie. Nous avons discutés de nos projet et convenu de maintenir une communication ouverte, pour une nuit en douceur après la fin du projet. J’ai exprimé ma gratitude pour sa compréhension et lui ai assuré que nôtre relation resterai plus forte et inébranlable, même après mon changement d’équipe.
Cette soirée ce fini par une nuit torride, ou je m suis offerte comme au premier jour. Les fellations furent mieux élaborées, les mains sur mon corps sont devenu plus expertes, explorant les moindre détails de mon intimité. Les orgasmes furent interminable, avec en toile de fond, la présence de Dave.
La fête annuelle du nouvel an de l’entrepris approchait, et Dave suggérait d’inviter William pour qu’il rencontre mes collègues et dissipe les doutes. L’idée m’a semblé excellente.
J’ai informé William que Dave souhaitait le rencontrer, évoquant l’homme dont je parlais souvent. Mon but était de balayer toutes les suspicions de lien au travail.
J’étais impatiente de profiter de cette soirée ensemble, comme autrefois. William retrouverai également d’anciens collègues et amis, offrant une belle occasion de renouer avec le passé. J’étais enthousiaste à l’idée de présenter William à mon patron et à mes collègues, convaincue qu’ils verraient le bonheur que nous partagions et mettaient fin à toute les rumeurs. Il était essentiel pour moi de réaffirmer la solidité de nôtre relation et de vivre une soirée agréable. Avant l’évènement, j’ai veillé à rassurer William sur le caractère infondé des rumeurs d’une liaison eu travail.
Mon objectif était de le faire se sentir en sécurité dans nôtre relation, afin qu’il puisse apprécier pleinement la soirée. La présentation de William à mon patron et à mes collègues, je l’espérais, renforcerait nôtre lien et mettrait en lumière nôtre bonheur partagé.
Alors que la nuit avançait, je me suis laissé tenter par l’alcool, après une longue abstinence. Convaincu de pouvoir contrôler ma consommation, je me suis retrouvée assise entre Dave et William, ce dernier gardant un œil vigilant sur le nombre de verres que je consommais. C’était déprimant.
C’était le réveillon de nouvel an, et je désirais simplement profiter de l’instant sans contrainte, ni inquiétudes. William, soucieux de prévenir une rechute, ne parvenait pas à dissiper mes frustrations. Alors que l’alcool altérait mon jugement, je me suis tourner vers Dave pour échapper à la surveillance de William, et nous avons tous deux perdu nôtre sens moral dans l’ivresse.
Des bribes de souvenirs de cette nuit m’assaillent, notamment un baiser accidentel avec Dave. Nous avions décidé de dépasser cet incident et de l’oublier, mais ma mémoire reste floue. Le lendemain, je me suis levée avec une gueule de bois épouvantable, découvrant que tout avaient disparus. Pendant un instant, j’ai cru à un cambriolage. En cherchant William, j’ai réalisé que non seulement il était parti, mais presque tout nos biens avaient disparu. Mes appels étaient infructueux, j’ai découvert une note de William, annonçant une nouvelle année, un nouveaux départ, et de nouvelles personnes dans sa vie.
Sous le choc, je ne pouvais déterminer si c’était une farce ou une réalité cruelle. J’ai pris conscience que William m’avait quittée sans explication, me laissant un mélange d’incertitude et de tristesse. Tout au long de la journée, des souvenirs épars ont commencé à faire surface. J’étais envahi par le sentiment que quelque chose de significatif s’était passé, probablement en lien avec William. Malgré mes efforts, les fragments de souvenirs continuaient à m’envahir, me laissant perturbé et instable.
Le soir venu, j’ai appelé Dave pour lui proposer une rencontre brève. Nous avons convenu de nous retrouver dans un café voisin d’en environ deux heures. A mon arrivé, j’ai commandé un café, espérant que la caféine stimulerait ma mémoire et m’offrirait des indices sur la localisation de William. Quand Dave est arrivé, il a tente de m’étreindre, ce qui m’a semblé déplacé. Je l’ai repoussé avec un sourire gêné et me suis assise face à lui.
Dave a commence à partager son enthousiasme pour la soirée de la veille, la qualifiant de joyeuse et mémorable. Il a décrit nôtre rencontre comme une soirée sauvage, inoubliable. Cette remarque m’a laissé perplexe, augmentant mon désir de comprendre ce qu’il s’était réellement passé et comment cela avait pu influencer la décision de William.
Dave m’a interrogé sur la situation entre William et moi, car il a remarqué que William n’était pas dans son assiette à la fin de la soirée. C’était exactement le genre de révélation dont j’avais besoin. Je l’ai pressé de me donner un compte-rendu détaillé des évènements, car ma mémoire des faits était floue.
Après une brève hésitation, Dave a commencé à raconté la soirée avec des détails précis. D’après lui, nous avions participé à un concoures de shots, et William avait tenté de me dissuader de boire d’avantage. J’avais résisté, affirmant que la soirée était faite pour le plaisir et la fête. Je me rappelais vaguement avoir proclamé que la soirée symbolisait un nouveau départ. Alors que minuit sonnait et que les feux d’artifice illuminaient le ciel, mon patron et moi avons levé nos verres pour un toast, ignorant que ce geste de libération innocent, allait déclencher une série d’évènements tumultueux.
Suite à une dispute houleuse avec William, il a quitté les lieux précipitamment, laissant Dave derrière pour me consoler. En écoutant Dave, je m’efforçais de rassembler mes souvenirs éparpillés, espérant comprendre ce qui s’était réellement passé. Dans nôtre état d’ivresse, Dave et moi avions manqué de jugement, et étions prêt à engager une interaction physique, ce que William avait découvert en revenant. Furieux, il m’avait séparée de Dave et m’avait escortée hors du club et appelé un taxi.
Je m’imaginais ce qu’il se serait passé s’il n’était pas intervenu. Aurions-nous fait l’amour, l’aurais-je sucé, m’aurait-il baisée, m’aurait-il fait jouir...
Dave m’a confié que c’était tout ce dont il avait été témoin, et supposait que nous étions rentrés à la maison. J’étais abasourdi, et essayais de digérer toutes ses informations et de me rappeler des détails supplémentaires. Quand Dave m’a demandé l’état actuel de ma situation avec William, j’ai menti, prétendant que ce n’était pas aussi grave qu’il y paraissait, et que William voulait me rencontrer pour résoudre nos différents. Dave m’a regardé avec scepticisme, semblant percevoir que je ne partageais pas toute la vérité. Il m’a encouragé à m’ouvrir davantage, m’assurant de son soutien.
En partageant mes inquiétudes et ma confusion avec Dave, j’espérais trouver un peu de clarté dans le chaos qui régnait dans mon esprit. Dave a été un auditeur attentif, m’offrant des mots de réconfort et de compréhension, mais dans son esprit, il en voulait plus. Dave tenait à ce que les rencontres se fassent chez lui, mais j’ai toujours refusé.
Sa présence et son soutien ont apporté une lueur d’espoir, me laissant penser que je pourrais naviguer à travers les complexités de William avec son aide. En réfléchissant à cette nuit décisive, je me suis rendu compte à quel point les frontières entre ma vie personnelle et professionnelle, s’était estompées. Tout avait commencé innocemment avec quelques verres lors d’une soirée de réveillon, mais la situation avait rapidement dégénéré. Dave et moi avions perdu tout semblant de décorum professionnel dans nôtre ivresse.
Me voici maintenant seule dans une maison presque vide. Deux jours se sont écoulés, et aucun signe de William. Est-il parti volontairement pour s’éclaircir l’esprit, réfléchir, et créer une distance entre nous, ou y a-t-il un problème plus grave en jeu ? J’ai écrit de nombreux courriels à William, lui renouvelais mes sentiments, mon amour, lui proposant de se voir, de discuter. Je n’ai jamais eu de réponse.
Six mois se sont écoulé depuis mon dernier message. J’avais fourni l’espoir qu’il méditerait sur nôtre situation et qu’il reviendrait vers moi après avoir partagé mes sentiments. Je tentais de comprendre ce qui n’avais pas fonctionné dans nôtre mariage, et pourquoi William s’était éloigné. J’étais la seule responsable. Ma vie a pris un tournant complet suite à cet incident mineur ou j’ai embrassé mon patron, même s’il voulait aller plus loin. Je ne m‘attendais pas à ce que ça touche William à ce point.
Il est décourageant de réaliser qu’une erreur en apparence anodine, peut ébranler la confiance patiemment bâtie au fil des ans. C’est un rappel cinglant de l’importance de délimiter clairement les frontières entre vie professionnelle et personnelle. Face à cette dure réalité, j’ai pris conscience de la nécessité d’établir des limites entre travail et vie privée.
Le mélange d’alcool lié au travail et des relations personnelle ont entraîné des conséquences dévastatrices. Je tentais une énième fois d’envoyer un message à William.
Ayant pris quelques jours de congés, j’étais en pleine réflexion quand mon portable sonna. William ? Je me précipitais. C’était Dave qui voulait me voir pour boucler un dossier urgent. Je lui ai dit qu’il était hors de question que je retourne au bureau. Il me proposa qu’on se voir dans nôtre bar habituel, dans un coin discret. Quand j’arrivais, Dave était déjà installé avec un dossier devant lui. Le bonjour fut cordial, mais sans plus.
Alors qu’il déployait le dossier sur la table, un groupe d’hommes fit irruption dans le bar, parlant fort, riant au éclats. Un groupe de fêtard, pensais-je. Parmi eux, il y avait William. Je sentis des larmes me montaient aux yeux, n’osant le regardé. Quand il se retourna, il m’aperçut, se figea. Dave cru bon de se lever et se diriger vers lui. Un copain de William tendit le bras, lui signifiant de rester à sa place.
En voyant William, mon cœur se mit à battre plus fort. Mes sentiments et mon amour pour lui étaient intact. Soudain, William s’approcha de la table, serein. Je crois que mon cœur a manquait un battement. J’étais inquiète, m’attendais au pire. Il s’appuya à la table.
- Tu veux qu’on discute, dit-il, je le ferai quand tu auras déposé ta démission, et que tu supprime tout contact avec ton supérieur. C’est la condition pour ouvrir une discussion.
C’est tout, il fit signe à son copain, et quitta le bar. Dave me regarda.
- Kate, tu peux pas faire ça, tu ne va pas démissionner pour un simple baiser.
- Jusqu’où serions-nous allé s’il n’était pas intervenu. Je suis désolé Dave, mais mon mariage passe avant tout. Tu auras ma démission sur ton bureau demain.
Dave se prit la tête dans les mains, sachant que ma décision était prise. Le lendemain, je suis dans son bureau, le document en main. Il se lève, cherche à m’étreindre en signe d’adieux. Je le repoussais, lui disant que nous avions fait assez dégâts.
Après une thérapie de couple, William et moi avons doucement remonté la pente. Il a su, qu’effectivement, il n’y avait eu qu’un baiser volé à mon insu. Cette soirée plane toujours au dessus de nos tête, mais y faisons face, ensemble. William avait tout prévu. C’est ainsi que quelques mois plus tard, nous avons quittés la région.
Depuis que nous avons commencé nôtre nouvelle vie, je n’ai pas pris une goutte d’alcool.
Sauf le jour de la naissance de nôtre premier enfant.
Moi j’étais stagiaire, et lui en position de directeur. Après huit mois de relation intense, nous avons décidé d’écrire un nouveau chapitre à nôtre vie. William reçut une offre alléchante d’une firme concurrente, doublant son salaire, tandis que je poursuivais ma carrière, espérant une promotion. Tout semblait s’aligner pour nous.
Deux mois après, une promotion m’a été attribuée, mais elle exigeait un investissement considérable. Face à cette pression croissante, j’ai trouvé refuge dans l’alcool. Mon recours à l’alcool s’est mué en obsession préoccupante. William, constatant avec inquiétude cette dépendance m’a confronté à la réalité.
William, un an avant la date, me demanda en mariage, que j’acceptais avec joie. En tant que couple marié, nous savourions les instants les plus exquis de nôtre vie. Mais il me fallait reprendre le chemin du travail. Mon retour à l’entreprise après six moi, se passa sans heurt. J’ai été affectée à un nouveau projet, sous la direction de Dave.
William, avec une pointe de mécontentement, avait décrit Dave comme un séducteur rusé. Toutefois, j’ai décidé de forger ma propre opinion sur lui. Le jour de la présentation de nôtre projet, j’ai rencontré Dave. Il est vrai qu’il était séduisant, et affiché une forme et une jeunesse étonnante. De nombreuses collègues semblaient subjuguées par Dave. Son charisme naturel attirait les gens.
J’ai consacré des heures supplémentaires à mon travail, pour remplacer une collègue en congé maternité. William a évoqué avec une pointe de sarcasme, qu’au moins je ne me noyais plus dans l’alcool, soulagé de me voir investi dans mon travail. J’ai exprimé ma déception de ne pas pouvoir partager des moments avec lui, mais lui ai promis que nous nous rattraperions. Je lui assurais mon amour, et mon désir de passer du temps avec lui, des sentiments sincères. William, souriant, a répondu qu’il me savait que j’étais dévoué à mon travail.
Il y avait des moment ou Dave me contactait en dehors des heures de travail, pour s’assurer que nous restions sur la bonne voie. Dave m’encourageait, me rappelant que je pouvais le contacter à tout moment. William, troublé par mes heures de travail inusuel, même à la maison, a exprimé à plusieurs reprise son mécontentement.
Au fil du projet, Dave et moi avons développé une relation plus intime, partageant des blagues pour alléger le stress. Cette familiarisé s’étendant à nos appels et nos messages devenus secret. Cependant, cette proximité a engendré des rumeurs parmi mes collègues, perceptibles dans le regard jaloux de certaines femmes. Les rumeurs se sont vite propagées, atteignant finalement les oreilles de William.
Un soir, rentrant à la maison, j’ai trouvé William anxieux et prêt à confronter les rumeurs. Il m’a questionné sur la nature de mes relations avec Dave, suspectant une partie de vérité. Je l’ai assuré que ce n’était que des spéculations infondées, motivées par la jalousie. William n’était pas convaincu. Il soutenait que les rumeurs avaient souvent un fond de vérité, et exprimait ses doutes de l’influence de Dave sur moi. Je lui dis qu’il devait choisir à faire confiance à sa femme ou à la rumeur.
Le lendemain, je me suis rendu au travail, irritée par le manque de confiance de William. Un soir, après le départ des collègues, Dave et moi sommes restés plus tard. Il m’a apporté un café, et s’est proposé à écouter mes soucis concernant mes conflits avec William. Alors que je me confiais, une impulsion soudaine m’a poussé à l’étreindre, un geste que j’ai immédiatement regretté. Un moment de tension physique a suivi, aboutissant à un baiser inattendu. Nous nous sommes vite écartés, embarrasses par nôtre égarement.
Cette nuit là, je n’arrêtais de penser à nôtre baiser, m’entraînant dans des rêves insensés, me voyant faire l’amour avec Dave.
« J’étais entièrement nue, empalée sur sa grosse bite, seins dressés, durcit par le désir, caressée par ses mains avide. Chaque coup de hanches m’arrachait un orgasme, mes cris étaient autant d’appel à poursuivre. Soudain...»
- Mais chérie...que t’arrive-t-il, dit William.
Dans mon rêve, je ne me suis pas rendu compte que mes désirs pouvaient me mener à ça.
Les jours suivant furent empreint de malaise entre Dave et moi. Le silence de William n’arrangeait rien, me laissant seule avec mes tourments, mon objectif principal étant de réparer ma relation avec mon mari.
A l’approche de ma mi-décembre, nôtre projet toucha à sa fin et le travail se faisait moins accaparant. J’ai pris l’initiative d’arranger les chose avec William. Dans cet esprit, j’ai préparé son dîner préféré, et dressé une table à sa guise, espérant une réconciliation et la fin de nos désaccords. Consciente des réticences de William envers Dave depuis le début, j’étais déterminé à clarifier la situation. Assise face à lui, je lui ai affirmé avec sincérité qu’il était l’unique objet de mon amour. Dave, mon supérieur, n’était qu’une figure professionnelle dans ma vie, et la collaboration avec lui prendrai fin avec le projet.
Pour apaiser ses inquiétudes, j’ai promis de rejoindre une autre équipe. Cette conversation a dissipés ses doutes sur une éventuelle liaison avec Dave, et il fut réconfortant de partager un moment d’honnêteté avec William, cherchant à renforcer nôtre lien dans l’année à venir. Nôtre réconciliation m’a remplie de joie. Nous avons discutés de nos projet et convenu de maintenir une communication ouverte, pour une nuit en douceur après la fin du projet. J’ai exprimé ma gratitude pour sa compréhension et lui ai assuré que nôtre relation resterai plus forte et inébranlable, même après mon changement d’équipe.
Cette soirée ce fini par une nuit torride, ou je m suis offerte comme au premier jour. Les fellations furent mieux élaborées, les mains sur mon corps sont devenu plus expertes, explorant les moindre détails de mon intimité. Les orgasmes furent interminable, avec en toile de fond, la présence de Dave.
La fête annuelle du nouvel an de l’entrepris approchait, et Dave suggérait d’inviter William pour qu’il rencontre mes collègues et dissipe les doutes. L’idée m’a semblé excellente.
J’ai informé William que Dave souhaitait le rencontrer, évoquant l’homme dont je parlais souvent. Mon but était de balayer toutes les suspicions de lien au travail.
J’étais impatiente de profiter de cette soirée ensemble, comme autrefois. William retrouverai également d’anciens collègues et amis, offrant une belle occasion de renouer avec le passé. J’étais enthousiaste à l’idée de présenter William à mon patron et à mes collègues, convaincue qu’ils verraient le bonheur que nous partagions et mettaient fin à toute les rumeurs. Il était essentiel pour moi de réaffirmer la solidité de nôtre relation et de vivre une soirée agréable. Avant l’évènement, j’ai veillé à rassurer William sur le caractère infondé des rumeurs d’une liaison eu travail.
Mon objectif était de le faire se sentir en sécurité dans nôtre relation, afin qu’il puisse apprécier pleinement la soirée. La présentation de William à mon patron et à mes collègues, je l’espérais, renforcerait nôtre lien et mettrait en lumière nôtre bonheur partagé.
Alors que la nuit avançait, je me suis laissé tenter par l’alcool, après une longue abstinence. Convaincu de pouvoir contrôler ma consommation, je me suis retrouvée assise entre Dave et William, ce dernier gardant un œil vigilant sur le nombre de verres que je consommais. C’était déprimant.
C’était le réveillon de nouvel an, et je désirais simplement profiter de l’instant sans contrainte, ni inquiétudes. William, soucieux de prévenir une rechute, ne parvenait pas à dissiper mes frustrations. Alors que l’alcool altérait mon jugement, je me suis tourner vers Dave pour échapper à la surveillance de William, et nous avons tous deux perdu nôtre sens moral dans l’ivresse.
Des bribes de souvenirs de cette nuit m’assaillent, notamment un baiser accidentel avec Dave. Nous avions décidé de dépasser cet incident et de l’oublier, mais ma mémoire reste floue. Le lendemain, je me suis levée avec une gueule de bois épouvantable, découvrant que tout avaient disparus. Pendant un instant, j’ai cru à un cambriolage. En cherchant William, j’ai réalisé que non seulement il était parti, mais presque tout nos biens avaient disparu. Mes appels étaient infructueux, j’ai découvert une note de William, annonçant une nouvelle année, un nouveaux départ, et de nouvelles personnes dans sa vie.
Sous le choc, je ne pouvais déterminer si c’était une farce ou une réalité cruelle. J’ai pris conscience que William m’avait quittée sans explication, me laissant un mélange d’incertitude et de tristesse. Tout au long de la journée, des souvenirs épars ont commencé à faire surface. J’étais envahi par le sentiment que quelque chose de significatif s’était passé, probablement en lien avec William. Malgré mes efforts, les fragments de souvenirs continuaient à m’envahir, me laissant perturbé et instable.
Le soir venu, j’ai appelé Dave pour lui proposer une rencontre brève. Nous avons convenu de nous retrouver dans un café voisin d’en environ deux heures. A mon arrivé, j’ai commandé un café, espérant que la caféine stimulerait ma mémoire et m’offrirait des indices sur la localisation de William. Quand Dave est arrivé, il a tente de m’étreindre, ce qui m’a semblé déplacé. Je l’ai repoussé avec un sourire gêné et me suis assise face à lui.
Dave a commence à partager son enthousiasme pour la soirée de la veille, la qualifiant de joyeuse et mémorable. Il a décrit nôtre rencontre comme une soirée sauvage, inoubliable. Cette remarque m’a laissé perplexe, augmentant mon désir de comprendre ce qu’il s’était réellement passé et comment cela avait pu influencer la décision de William.
Dave m’a interrogé sur la situation entre William et moi, car il a remarqué que William n’était pas dans son assiette à la fin de la soirée. C’était exactement le genre de révélation dont j’avais besoin. Je l’ai pressé de me donner un compte-rendu détaillé des évènements, car ma mémoire des faits était floue.
Après une brève hésitation, Dave a commencé à raconté la soirée avec des détails précis. D’après lui, nous avions participé à un concoures de shots, et William avait tenté de me dissuader de boire d’avantage. J’avais résisté, affirmant que la soirée était faite pour le plaisir et la fête. Je me rappelais vaguement avoir proclamé que la soirée symbolisait un nouveau départ. Alors que minuit sonnait et que les feux d’artifice illuminaient le ciel, mon patron et moi avons levé nos verres pour un toast, ignorant que ce geste de libération innocent, allait déclencher une série d’évènements tumultueux.
Suite à une dispute houleuse avec William, il a quitté les lieux précipitamment, laissant Dave derrière pour me consoler. En écoutant Dave, je m’efforçais de rassembler mes souvenirs éparpillés, espérant comprendre ce qui s’était réellement passé. Dans nôtre état d’ivresse, Dave et moi avions manqué de jugement, et étions prêt à engager une interaction physique, ce que William avait découvert en revenant. Furieux, il m’avait séparée de Dave et m’avait escortée hors du club et appelé un taxi.
Je m’imaginais ce qu’il se serait passé s’il n’était pas intervenu. Aurions-nous fait l’amour, l’aurais-je sucé, m’aurait-il baisée, m’aurait-il fait jouir...
Dave m’a confié que c’était tout ce dont il avait été témoin, et supposait que nous étions rentrés à la maison. J’étais abasourdi, et essayais de digérer toutes ses informations et de me rappeler des détails supplémentaires. Quand Dave m’a demandé l’état actuel de ma situation avec William, j’ai menti, prétendant que ce n’était pas aussi grave qu’il y paraissait, et que William voulait me rencontrer pour résoudre nos différents. Dave m’a regardé avec scepticisme, semblant percevoir que je ne partageais pas toute la vérité. Il m’a encouragé à m’ouvrir davantage, m’assurant de son soutien.
En partageant mes inquiétudes et ma confusion avec Dave, j’espérais trouver un peu de clarté dans le chaos qui régnait dans mon esprit. Dave a été un auditeur attentif, m’offrant des mots de réconfort et de compréhension, mais dans son esprit, il en voulait plus. Dave tenait à ce que les rencontres se fassent chez lui, mais j’ai toujours refusé.
Sa présence et son soutien ont apporté une lueur d’espoir, me laissant penser que je pourrais naviguer à travers les complexités de William avec son aide. En réfléchissant à cette nuit décisive, je me suis rendu compte à quel point les frontières entre ma vie personnelle et professionnelle, s’était estompées. Tout avait commencé innocemment avec quelques verres lors d’une soirée de réveillon, mais la situation avait rapidement dégénéré. Dave et moi avions perdu tout semblant de décorum professionnel dans nôtre ivresse.
Me voici maintenant seule dans une maison presque vide. Deux jours se sont écoulés, et aucun signe de William. Est-il parti volontairement pour s’éclaircir l’esprit, réfléchir, et créer une distance entre nous, ou y a-t-il un problème plus grave en jeu ? J’ai écrit de nombreux courriels à William, lui renouvelais mes sentiments, mon amour, lui proposant de se voir, de discuter. Je n’ai jamais eu de réponse.
Six mois se sont écoulé depuis mon dernier message. J’avais fourni l’espoir qu’il méditerait sur nôtre situation et qu’il reviendrait vers moi après avoir partagé mes sentiments. Je tentais de comprendre ce qui n’avais pas fonctionné dans nôtre mariage, et pourquoi William s’était éloigné. J’étais la seule responsable. Ma vie a pris un tournant complet suite à cet incident mineur ou j’ai embrassé mon patron, même s’il voulait aller plus loin. Je ne m‘attendais pas à ce que ça touche William à ce point.
Il est décourageant de réaliser qu’une erreur en apparence anodine, peut ébranler la confiance patiemment bâtie au fil des ans. C’est un rappel cinglant de l’importance de délimiter clairement les frontières entre vie professionnelle et personnelle. Face à cette dure réalité, j’ai pris conscience de la nécessité d’établir des limites entre travail et vie privée.
Le mélange d’alcool lié au travail et des relations personnelle ont entraîné des conséquences dévastatrices. Je tentais une énième fois d’envoyer un message à William.
Ayant pris quelques jours de congés, j’étais en pleine réflexion quand mon portable sonna. William ? Je me précipitais. C’était Dave qui voulait me voir pour boucler un dossier urgent. Je lui ai dit qu’il était hors de question que je retourne au bureau. Il me proposa qu’on se voir dans nôtre bar habituel, dans un coin discret. Quand j’arrivais, Dave était déjà installé avec un dossier devant lui. Le bonjour fut cordial, mais sans plus.
Alors qu’il déployait le dossier sur la table, un groupe d’hommes fit irruption dans le bar, parlant fort, riant au éclats. Un groupe de fêtard, pensais-je. Parmi eux, il y avait William. Je sentis des larmes me montaient aux yeux, n’osant le regardé. Quand il se retourna, il m’aperçut, se figea. Dave cru bon de se lever et se diriger vers lui. Un copain de William tendit le bras, lui signifiant de rester à sa place.
En voyant William, mon cœur se mit à battre plus fort. Mes sentiments et mon amour pour lui étaient intact. Soudain, William s’approcha de la table, serein. Je crois que mon cœur a manquait un battement. J’étais inquiète, m’attendais au pire. Il s’appuya à la table.
- Tu veux qu’on discute, dit-il, je le ferai quand tu auras déposé ta démission, et que tu supprime tout contact avec ton supérieur. C’est la condition pour ouvrir une discussion.
C’est tout, il fit signe à son copain, et quitta le bar. Dave me regarda.
- Kate, tu peux pas faire ça, tu ne va pas démissionner pour un simple baiser.
- Jusqu’où serions-nous allé s’il n’était pas intervenu. Je suis désolé Dave, mais mon mariage passe avant tout. Tu auras ma démission sur ton bureau demain.
Dave se prit la tête dans les mains, sachant que ma décision était prise. Le lendemain, je suis dans son bureau, le document en main. Il se lève, cherche à m’étreindre en signe d’adieux. Je le repoussais, lui disant que nous avions fait assez dégâts.
Après une thérapie de couple, William et moi avons doucement remonté la pente. Il a su, qu’effectivement, il n’y avait eu qu’un baiser volé à mon insu. Cette soirée plane toujours au dessus de nos tête, mais y faisons face, ensemble. William avait tout prévu. C’est ainsi que quelques mois plus tard, nous avons quittés la région.
Depuis que nous avons commencé nôtre nouvelle vie, je n’ai pas pris une goutte d’alcool.
Sauf le jour de la naissance de nôtre premier enfant.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Donc le mec attends 6 mois croise sa femme dans 1 bar et se décide à porter ses couilles.
C’est 6 mois d’attente de trop. Remarque ça fait 15 ans que je subis 1 harcèlement constant et je me tais donc finalement. 😤
C’est 6 mois d’attente de trop. Remarque ça fait 15 ans que je subis 1 harcèlement constant et je me tais donc finalement. 😤