Le baisodrome

- Par l'auteur HDS Baiserjouir -
Auteur homme.
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Récit libertin : Le baisodrome Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-03-2010 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Le baisodrome
Près de chez moi il existe un endroit où on peut plus que facilement baiser. Ce n'est pas à proprement parler une maison de passe, ni une maison close. Disons que ça tient des deux avec la complicité des flics qui ferment les yeux et qui au passage en profite aussi. Tout y est gratuit, sauf les consommations ou les repas. J'y vais souvent quand je suis en panne de petite amie, ce qui hélas est fréquent. C'est à cause de moi certainement, elles n'aiment pas toujours se faire baiser comme j'aime.
J'y vais quand il y a beaucoup de monde.
J'ai l'âme d'un voyeur. C'est pourquoi je ne baise jamais dans les premiers, j'attends de voir les femmes qui se débrouillent le mieux en baise ou en initiatives. Elles sont plus nombreuses que l'on croit généralement. Je ne reste au bar qu'en début de soirée, je regarde d'abord les filles qui me semble les plus chaudes; par exemple, celles qui dès l'entrée sont déjà à moitié nues, pratiquement prête ç tirer un coup. J'aime aussi voir celles qui ne dansent qu'entre filles: elles sont souvent étrangère totalement l'une par rapport à l'autre sinon par l'amour et le besoin de faire l'amour entre filles.
Quelques fois un ou ne participante organise une partouze géante où en principe ne sont invités que des amis communs. J'ai souvent la chance de vois les positions quelques fois acrobatiques surtout des femmes pour se faire mettre. Ainsi j'en connais une qui ne laisserai sa place pour rien au monde: elle aime trop se donner au premier venu ou même à la première venue: elle n'est pas sectaire sur le choix des amantes ou amants. Seule compte pour elle le maximum d'orgasmes, à croire qu'elle se fixe un minimum de jouissances.
J'ai eu affaire à elle une nuit entière. Je m'en souviens bien: je sortais complètement vidé, sans pouvoir me branler une seule fois pendant deux jours. Malgré ce petit inconvénient j'en garde un souvenir dont je n'ai aucun regret.
Nous nous étions rencontré vers 23 heures pour la première fois. Nus tous deux nous nous sommes toisés: elle avait une poitrine plutôt importante qui heureusement ne tombait pas du tout. Son bas ventre ornée d'une toison bien entretenue me donnaient envie e la baiser. Elle me regardait surtout la bite encore pendante. Elle devait lui plaire: au repos je suis très impressionnant sans parler des moments où je bande : j'ai ce qu'on appelle un morcif de bite. Nous nous sommes embrassés sur les joues avant de nous regarder au fond des yeux. C'est elle qui me prenait la queue pour la faire gonfler. Ce n'est que quand j'étais en pleine érection qu'elle me demandait de venir avec elle dans un petit coin tranquille, si l'on peut qualifier de tranquille un endroit dans un coin à la vue de tous. Nous nous sommes assis pour nous embrasser sur la bouche. Nos langues semblaient se connaître depuis toujours. Nous sommes restés ainsi les langues dans la bouche de l'autre un bon moment. Nos mains ne restaient pas immobiles. Je lui caressais les seins, les tétons qui bandaient et enfin son bas ventre sans aller jusqu'à son sexe. Elle me caressait aussi les tétons, les épaules, le haut des fesses, manifestant ainsi son désir de mettre sa main bien plus bas. Je lui faisais écarter les jambes, descendais ma main pour caresser l'intérieur des cuisses, en évitant soigneusement toute sa moule. Elle aussi ne me touchait pas du tout ma pine pourtant bien dressée. Elle ne ma caressait que les couilles. Elle me demandait de la baiser: je ne voulais pas directement: je mettais ma tête entre ses jambes: elle s'allongeait le plus possible sur notre siège et me donnait toute sa motte. Je la léchais partout où je pouvais. Je commençais par lui mettre ma langue sur l'anus. Elle ouvrait ses fesses pour que je la rentre le plus possible, ce qui est court pour une langue. Pour elle c'était l'équivalent d'une sodomie légère: elle ne se gênait pas pour jouir. Je remontais lentement vers sa caverne en léchant au passage toutes ses lèves intimes. Je la baisais avec ma langue ou tout comme. Elle jouissait encore. Et que dire quand j'arrivais sur son bouton/ Elle ouvrait ses lèvres pour bien faire ressortir son clitoris: je le trouvais bandé et surtout long. Ainsi je l'aspirais pour le lécher dans ma bouche, ce qui reposait ma langue tendue. Je cessais souvent. Elle râlait pour que je continue. Je préférais la maintenir en manque un instant au moins: sa jouissance serait bien plus forte. Je me mettais à genoux devant elle pour que ma bite soit à la hauteur de son con. Elle m’attirait pour que je lui mette ma pine là où un homme met toujours la sienne. Pour être bien mise, elle entourait mes hanches de ses jambes, attirait mes lèvres sur les siennes pour encore un baiser. Comme pour le premier nous nous sucions la langue. Elle jouissait souvent: je la sentais autour de ma bite. Elle savait ne pas me faire jouir vite en ouvrant et fermant plus son con pendant que je la baisais. Je ne jouissais que quand elle le voulait. Quand enfin mon sperme sortait elle avait une délivrance: elle jouissait encore une fois. Surtout elle arrivait à me garder bandant toujours dans son vagin. Je ne sais comment elle faisait: j'ai jouit ainsi 4 ou 5 fois à la suite. Enfin elle me libérait, pas pour longtemps. Je devais lui servir à "boire". C'est ainsi qu'elle appelait une fellation. Elle descend vers mon prépuce avant de commencer pour mieux regarder mon gland : elle le léchait comme pour le goûter avant de le déguster. Ses lèvres entouraient ma queue prisonnière de sa bouche. Elle caressait mes couilles et passait une main derrière moi pour me branler le cul. Elle réussissait à me donner un orgasme rien qu'avec ses doigts dans mon anus. Je ne jouissais pas de la bite: c'était juste après cette première jouissance. Elle me gardait dans sa bouche jusqu'à ce que mon sperme jaillisse. Elle restait ainsi jusqu'à la dernière goutte en se léchant les lèvres pour recueillit les derniers restes.
Elle n'en avait pas fini avec moi: si elle m'avait fait jouir pas mon cul, il n'en était pas de même pour elle. Elle était pressée Elle venait donner encore son con à sucer: j'y retrouvais mon goût mêlé au sien. Là je n'avais qu'à lui lécher toute la fente depuis le cul jusqu'au clitoris. Elle jouissait à chaque fois que je passais sur son cul, son vagin ou son clitoris. La faire jouir me faisait encore bander. Elle e profiter pour me branler: elle aimait branler les autres filles ou garçon. Elle arrêtait vite sa masturbation se tournait, me présentait son anus qu'elle arrivait à ouvrir le sans l'aide de ses mains: elle s'était tellement faite enculée qu'elle savait bien comment faire pour faciliter, tant pour elle que pour on enculeur.
Elle regrettait qu'une autre personne ne soit pas avec nous pour qu'elle soit sucée en même temps. Peu lui importait le sexe du moment qu’elle soit sucée. Malgré ce léger inconvénient elle voulait être sodomisée. Je rentrais en elle presque plus facilement que dans son con. Mets moi la à fond: telle était la demande. Quand je sentais ses fesses sur mon bas ventre elle se caressait le bouton avec vigueur. Il lui fallait absolument une double jouissance. Elle pouvait exercer sur son cul les mêmes mouvements de relâchement ou de fermeture que son con. Elle me faisait jouir encore et encore. Elle devait jouir au moins deux fois plus que moi. Enfin je m'écroulais sur elle. La garce avait encore les moyens de me faire bander; je ne sais plus exactement comment elle faisait: j'arrivais encore à bander plus fortement que les autres fois. Nous avons refait l'amour comme au début. Cette fois elle attirait vers nous une jeune brune aux fesses bien charnues. Je devais me la payer avant de revenir enculer une dernière fois mon amante. Cette brune venait directement d'une baise avec une autre fille et il lui manquait une pine dans le cul. Cette pine, c'était à moi de la lui mettre. Mon amante l'embrassait sur la bouche. Elle l'installait entre nous, nous la branlions ensemble; elle le clitoris et moi le cul. Elle jouissait de nos caresses. Enfin mon amante demandait à la jeune brune de me sucer un instant, juste pour qu'elle me goûte. Enfin d'elle-même elle venait se poser sur mon chibre. Ses jambes écartées facilitaient mon enculage. Elle profitait aussi de la langue de mon autre amante.
Je pensais en avoir fini: erreur. Ma première amante vantait à toutes mes mérites. J'avais droit à une file de filles en manque. J'arrivais, je ne sais comment à me les farcir toutes. C'est la simple raison de ma panne de plusieurs jours.

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Texte coquin : Le baisodrome
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