LE BAISODROME - Dévergondages 08
Récit érotique écrit par VIEULOU [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-08-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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LE BAISODROME - Dévergondages 08
LE BAISODROME - Dévergondages 08
Lors d’un récent déplacement, un Français nommé Michel B., est venu en voyage d’affaires dans le pays où je réside. Demeurant dans la région bordelaise, il m’a confié les fantasmes qu’il a de voir Odile, son épouse depuis plus de vingt ans, se dévergonder et accepter le libertinage, comme il l’a connu avec une maîtresse durant une dizaine d’années. Pour cela, il m’a demandé d’imaginer des récits pouvant l’amener à se pervertir.
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« La femme est un délicieux instrument de plaisir, mais il faut en connaître les frémissantes cordes, en étudier la prose, le clavier timide, le doigté changeant et capricieux. » Honoré de Balzac
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Odile, est une jolie femme de quarante-huit ans, mariée à un homme de cinq ans son aîné et heureuse en famille. Elle est responsable des ressources humaines d’une société bordelaise. Depuis six mois, elle est courtisée par Edmond, un notaire retraité de soixante-quatre ans. Ils déjeunent presque tous les midis dans le même restaurant. Après avoir accepté une invitation à déjeuner en tête-à-tête chez Edmond, Odile s’est laissée quelque peu aller en acceptant les baisers de son hôte. Une douzaine de jours après, victime d’un chantage, elle accepte un rendez-vous avec Edmond pour éviter le déshonneur. Malgré elle, le plaisir que lui procure le sexagénaire attise ses sens exacerbés, se rendant à lui sans aucune retenue durant une soirée et une nuit extatiques.
Puis, après avoir cédé au notaire, elle le retrouve incidemment dans un restaurant où elle dîne avec son mari et sa fille, elle est contrainte de se faire prendre en levrette par Edmond dans les toilettes du restaurant. Celui-ci lui ayant laissé un billet lui donnant rendez-vous pour le lendemain 10H, lui précisant ses instructions, il la veut sans sous-vêtements quand ils ont rendez-vous ; pas de soutien-gorge ni de culotte. Donc le vendredi, elle l’accompagne dans des boutiques, où Edmond lui achète des vêtements sexy et des sous-vêtements coquins. Il lui annonce ensuite qu’il met à sa disposition un appartement discret pour qu’elle puisse y ranger ces tenues affriolantes.
*******************************
Dans l’après-midi, après avoir récupéré les vêtements, ainsi que les deux sacs de voyage, dans lesquels ils ont été rangés, le couple se dirige vers l’appartement prévu pour servir à réceptionner justement cette garde-robe.
En prenant le cours Georges Clémenceau, après la place Gambetta, Edmond tourne à gauche, juste après les dix hectares du Jardin Botanique, s’engageant dans la rue d’Aviau, puis, tout de suite à droite dans la rue Ernest Godard, en longeant les archives départementales de la Gironde. Au bout de la rue, il s’engage à l’intérieur d’une grande place ronde. Des arbres et des candélabres à l’ancienne sont disposés autour de cette place dénommée Mitchell ; les immeubles anciens se répartissent en un à trois étages au plus. La Mercédès se gare dans le créneau, d’un des nombreux emplacements se trouvant tout autour de la place. Il faut vraiment savoir en s’engageant dans la petite rue qui fait face au Jardin Botanique, que cette grande place existe, enchâssée entre les immeubles.
Edmond descend et vient ouvrir galamment la portière de sa passagère. Celle-ci, qui a enfilé la jupe très courte et évasée que vient de lui acheter Edmond, ne peut que déployer ses cuisses, et même un peu plus au regard d’Edmond et de deux passants qui se trouvent là par hasard. Surtout que le notaire la retient par un bras lorsqu’elle vient de poser son pied droit sur la chaussée. Au lieu d’un rapide mouvement de ses jambes, elle se trouve immobilisée, les cuisses largement écartées et le minou bombé, exposés aux regards incisifs des trois hommes. Malgré la honte qui l’a envahie depuis les essayages, Odile sent encore une fois son abricot s’humidifier malgré le rouge qui envahit ses pommettes. Se pourrait-il qu’elle prenne un plaisir indigne à exposer la partie la plus intime de son corps à des inconnus ? Elle songe, que malgré elle, elle est en train de devenir une dévergondée, et que son sauveur du chantage honteux auquel elle est soumise, risque de lui faire perdre toute dignité envers elle-même.
À ce moment, Edmond l’apostrophe :
- Eh ! Bien ma chère, vous rêvez. Voici l’immeuble qui m’appartient, il date du début du XXe siècle et ne fait que deux étages, mais il a un grand avantage, il possède deux garages pour le premier et le second étage. Allons voir l’appartement du premier.
En montant l’escalier, Edmond qui se trouve derrière elle, glisse ses mains sous sa jupe et enveloppe ainsi les globes charnus des fesses nus qu’il triture sans vergogne. Odile ne peut se soustraire aux agissements du notaire, qui en profite, écartant les poils de la toison pubienne, pour glisser ses doigts dans la fente entrouverte, trouvant aussitôt la mouille qui déborde déjà des lèvres vaginales. Arrivé sur le palier, Edmond dégrafant sa braguette et sortant son vit prestement, retrousse la jupe d’Odile, il la fait se pencher en avant d’une forte poussée, puis, sans coup férir, il enfile son pieu entre les fesses de la trop prude Odile qui n’a même pas le temps d’élever des protestations.
Dans cet immeuble bourgeois, elle est paniquée à l’idée que quelqu’un pourrait descendre de l’étage supérieur. Elle se retient sur la porte de l’appartement qu’elle sait vide, puisque c’est celui qu’Edmond veut lui faire visiter. Sa jupe relevée entièrement jusqu’à sa nuque, révèle, elle en est bien consciente, une partie de son dos nu, mais surtout ses fesses, ses cuisses et le vit d’Edmond engagé dans sa vulve dont les lèvres sont retroussées au maximum. Malgré la peur et l’humiliation de sa position, Odile sent le plaisir monter dans son ventre, progresser jusqu’à la pointe de ses seins, durcis par l’excitation et une vague de jouissance la saisit, la faisant gémir jusqu’au hurlement final, lorsqu’Edmond lâche son foutre tout au fond de la matrice dans un « Han », vigoureux.
Prestement, celui-ci se rajuste et ouvre la porte de l’appartement. Odile, encore confuse et rougissante, rabaisse sa jupe et regarde la pièce où elle vient d’entrer. Ses jambes sont très flageolantes et elle sent le sperme mélangé à sa miction qui s’écoule entre ses cuisses, la rendant très mal à l’aise.
Dans ce vieil immeuble, les travaux qu’avaient fait effectuer le vieux notaire semblaient inconcevables. Sur une surface d’au moins cent mètres carrés, il avait de toute évidence fait abattre toutes les cloisons de cet appartement de quatre ou même cinq pièces, pour en faire un loft très moderne en comparaison de la façade ancienne de l’immeuble. Cet espace possédant une seule cloison au fond de la pièce, où une porte coulissante donne sur un minuscule WC et de l’autre côté, sur la salle de bains assez vaste avec le même genre de fermeture. De l’autre côté, à l’entrée, un bar-cuisine à l’américaine qui se ferme par un rideau à enrouleur commandé électriquement. Sur le mur face aux six fenêtres, un mur bibliothèque et multimédia revêtu de teck, dans lequel se dissimulent des placards et un dressing dont les ouvertures paraissent invisibles. Un grand lit rond, rempli de coussins multicolores, avec un baldaquin permettant de le fermer entièrement ; deux canapés et deux fauteuils en cuir, une table ovale pour quatre personnes et les chaises baquets assorties. Tous ces meubles de couleur blanche, ainsi que le cuir des canapés.
Odile est très surprise de la modernité de cet appartement, vis à vis de la vieille bâtisse au demeurant ; elle demande au propriétaire des lieux, la permission de se rendre à la salle de bains, car elle ne se sent pas toute fraîche. Bien qu’Edmond l’ait vue toute nue et qu’il vienne de la pénétrer, cul nu et en levrette sur le palier, elle s’enferme dans la salle d’eau et se déshabille. Elle sait qu’elle peut se changer, puisque dans le coffre de l’automobile d’Edmond, il y a, dans les deux sacs de voyage, un nombre incalculable de vêtements et de sous-vêtements coquins qu’il a achetés pour elle. Ses bas sont fichus, et sa jupe courte est à nettoyer, alors que son corsage est encore présentable. Négligeant la baignoire encastrée, elle prend une douche chaude et ensuite très froide pour se remettre les idées en place. Des serviettes de bain et deux peignoirs en éponge sont rangés sur des tablettes, aussi elle se recouvre d’un peignoir à sa taille et vient retrouver Edmond qui s’est installé sur un canapé.
- Auriez-vous la gentillesse Edmond, de m’apporter les vêtements que vous avez eus l’amabilité de m’acheter, afin que je puisse m’habiller décemment, car mes bas sont immettables et ma jupe est bonne pour le pressing.
- - Mais bien sûr, ma Chère. Voulez-vous, en m’attendant, nous servir du champagne que vous trouverez dans le réfrigérateur.
- Odile s’exécute, surprise de trouver des boites de foie gras, de caviar et de mets fins sous vide dans le réfrigérateur, ainsi qu’une douzaine de bouteilles de champagne Crystal de chez Roëderer, qui rafraîchissent avec du Gewurztraminer et d’autres vins blancs d’Alsace. Il y a aussi, dans les placards une vaisselle précieuse et des verres adéquats. En fait, l’appartement destiné à servir de garde-robe à Odile, est parfaitement fonctionnel et servira, selon toute apparence de, disons le vulgairement, de « baisodrome », à l’usage du vieux notaire, recevant sa proie consentante aux pires dépravations pense-t-elle…………..
Lorsqu’Edmond revient avec les deux sacs de voyage, le couple sable le champagne pour fêter l’occupation du loft par Odile. Ensuite, les deux amants rangent les vêtements et les accessoires dans les penderies. Puis, le notaire demande à sa maitresse de se mettre entièrement nue – il la prie de se mettre sur le lit rond dans différentes positions, pendant qu’il la prend en photo, dans des poses plus pornographiques qu’érotiques. Odile se laisse faire, tout de même excitée en songeant qu’elle est une actrice se faisant photographier dans toute sa beauté mature de femme désirable (quelle femme, une fois sa pudeur primaire envolée, n’est-elle pas flattée de se savoir admirée sous l’œil d’un photographe qui sait s’y prendre ? Je n’en connais aucune).
Puis, Edmond, choisit dans les placards, un mini corset laissant les seins découverts d’une couleur mauve qu’il lace très serré dans le dos de sa proie, à présent docile. Il lui demande de s’agenouiller sur le lit, de se pencher en avant et de tenir ses fesses les plus ouvertes possible avec ses mains. La pauvre Odile s’exécute, ne comprenant pas ce que son tourmenteur va lui faire subir. Soudain, elle entend le déclic de l’appareil photo, soulagée que cela ne soit que cela.
Pourtant, Edmond n’en a pas fini avec elle. Après avoir pris un certain nombre de clichés de la femme dans cette position humiliante sur le côté, puis, devant et derrière, il vient présenter un coffret de maroquin rouge devant les yeux d’Odile qui peine à comprendre à quoi servent les trois objets métalliques ovoïdes, rangés sur du satin plissé, de couleur rouge également, au fond du coffret.
Edmond regarde Odile d’un air goguenard, puis, sans autre forme, il lui annonce.
- Ma Chère, voici trois rosebud argentés qui sont le nec plus ultra des plug anaux. Bien que vous soyez à mon avis une oie blanche, vous ne pouvez ignorer qu’il n’y a pas que le vagin qu’une bonne verge peut pénétrer, mais qu’il y a un autre endroit, votre adorable lune, votre postérieur ou votre rectum, appelez-le comme vous voulez.
- Je vous en prie Edmond, taisez-vous, vous allez me dire des choses effroyables
- Je ne peux vous cacher que mon intention est de vous initier à la sodomie. Rassurez-vous, ce n’est pas pour aujourd’hui. Par contre, je vais vous introduire le plus petit, le T1 de ces magnifiques objets dans votre joli et trop petit trou du cul, pour vous habituer progressivement à supporter le membre que je veux introduire dans votre rectum. Vous le garderez jusqu’à ce que vous alliez dormir ce soir, et je veux que vous le remettiez demain matin, et pendant six heures minimum chaque jour. Dans une semaine, nous essaierons le modèle T2.
Tout en devisant, Edmond s’est déplacé vers les fesses qu’Odile tient toujours écartées avec ses mains crispées. Il lui appuie sur le dos afin que sa tête touche le drap, et que son cul soit bien dressé et plus à sa hauteur. Il admire la raie culière dans laquelle un fin duvet brun ourle la rondeur des fesses bien pleines. Prenant du gel dans un tube qu’il a apporté également, il enduit le tour de la rosace plissée de l’anus de la belle mature. Celle-ci ne peut s’empêcher de laisser couler des larmes sur son beau visage ; la honte de devoir tenir ses fesses écartées, pour que son derrière soit parfaitement accessible au regard et aux doigts de son tourmenteur.
Edmond ne perdant pas de temps, introduit son majeur enduit de gel dans l’œil de bronze qui se laisse violer facilement, il ressort son doigt et prenant encore un peu de gel, il en introduit dans le goulet étroit, ramonant la gaine rectale en appuyant sur la paroi vaginale.
Pour tranquilliser sa victime, il flatte de son autre main la vulve gonflée et entrebâillée par l’écartèlement forcé des fesses, et il fait glisser deux doigts dans le vagin dont les chairs frémissent sous les attouchements libidineux. Odile ne peut retenir un gémissement. Ses sens sollicités par les doigts qui s’agitent doucement dans les deux cavités, plongent dans une onctuosité qui ne laisse aucun doute sur son émoi. Elle mouille et gémit de plus en plus.
Puis, Edmond prend délicatement le rosebud dont la couleur argent lance des éclats dans la pièce à l’éclairage diffus. Il l’enduit d’un peu de gel et le présente devant le délicieux petit anneau de Vénus. Le gel a assoupli la rosette plissée, tandis que le cylindre ovoïde s’introduit sans écorcher le moins du monde les sphincters ; le culot décoré d’un rubis, venant se caler contre le trou du cul et formant ainsi un bouchon.
Edmond est passablement excité depuis qu’il joue avec sa proie dans l’appartement et ne pouvant plus se retenir, il retire prestement son pantalon et son boxer, et, sans coup férir, il plonge jusqu’à la garde sa queue dure comme du bois dans la chatte d’Odile. Celle-ci pousse un hurlement sous la violence de l’assaut, surtout que la bite qui vient d’envahir son vagin fait une pression incroyable sur le rosebud qui occupe son croupion.
- Ah ! Mon Dieu, vous m’éventrez Edmond ! Arrêtez ! Je vous en supplie !
Mais ses protestations ne durent pas. Elle continue à crier, mais, c’est à présent de la jouissance qu’elle ressent, car tous ses sens sont sollicités. Elle a oublié sa peur d’être vulgairement enculée, car le bâton de chair, ainsi que l’olisbos en acier qui viennent d’envahir ses entrailles les plus intimes ne l’ont pas éventrée. Déchaînée, comme une vulgaire putain, elle projette son cul au-devant de la pine qui la comble de toute sa vigueur tout en hurlant sa jouissance.
Le notaire se vide dans la matrice engluée de foutre et de cyprine, alors que la pauvre Odile qui n’en peut plus, s’écroule sur le lit, complètement épuisée. Elle s’endort presque instantanément, son corps et son esprit ayant subi bonheur et douleur mélangés au plus haut degré.
Le notaire se relève. Il prend une douche, remet de l’ordre dans l’appartement. Puis, il écrit un mot à Odile pour lui dire qu’il la laisse se reposer. Elle a les clés de l’appartement et il y a une station de taxi à cinquante mètres pour qu’elle puisse récupérer sa voiture.
Lorsqu’Odile reprend conscience, après avoir dormi presque deux heures, elle se réveille difficilement dans ce loft qu’Edmond a mis à sa disposition. Enfin plus à lui d’ailleurs, car elle a bien compris que c’est à cet endroit qu’elle devra se plier à tous ses caprices. Soudain, elle ressent l’objet métallique de forme elliptique qui occupe son postérieur. Elle a d’abord la tentation de le retirer dans un sursaut de dégoût, puis, elle se rappelle que le notaire lui a ordonné de le garder jusqu’au moment où elle devra se coucher pour dormir.
Déjà, dans le contexte de ce qu’elle pressent comme sa soumission, elle sursoit à son éjection. Puis, elle lit le billet d’Edmond, elle se fait couler un bain chaud et se détend en réfléchissant à ce qui vient de se passer. Elle sait que sa vie est à présent définitivement différente de ce qu’elle a été jusqu’ici. Elle se doute que le notaire va certainement l’entraîner dans des situations, toutes plus perverses les unes que les autres. Elle sait qu’il va prochainement la sodomiser. Elle n’ose même plus songer à ce qu’elle a toujours pensé de cet acte infâme, considéré comme contre nature. Le doigt d’Edmond dans son cul et l’objet en acier qu’elle vient de retirer pour le nettoyer et prendre son bain, ne lui ont pas été désagréable.
Elle ne peut nier qu’elle a joui énormément à la verge qui pénétrait son minou en même temps que le rosebud occupait son anus et qu’elle en a hurlé de bonheur. Elle se demande comment elle réagira lorsque le gros membre du notaire essaiera de s’introduire dans son petit endroit. Elle en a une peur bleue, mais en même temps, une curiosité malsaine la tenaille………
À suivre…
Lors d’un récent déplacement, un Français nommé Michel B., est venu en voyage d’affaires dans le pays où je réside. Demeurant dans la région bordelaise, il m’a confié les fantasmes qu’il a de voir Odile, son épouse depuis plus de vingt ans, se dévergonder et accepter le libertinage, comme il l’a connu avec une maîtresse durant une dizaine d’années. Pour cela, il m’a demandé d’imaginer des récits pouvant l’amener à se pervertir.
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« La femme est un délicieux instrument de plaisir, mais il faut en connaître les frémissantes cordes, en étudier la prose, le clavier timide, le doigté changeant et capricieux. » Honoré de Balzac
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Odile, est une jolie femme de quarante-huit ans, mariée à un homme de cinq ans son aîné et heureuse en famille. Elle est responsable des ressources humaines d’une société bordelaise. Depuis six mois, elle est courtisée par Edmond, un notaire retraité de soixante-quatre ans. Ils déjeunent presque tous les midis dans le même restaurant. Après avoir accepté une invitation à déjeuner en tête-à-tête chez Edmond, Odile s’est laissée quelque peu aller en acceptant les baisers de son hôte. Une douzaine de jours après, victime d’un chantage, elle accepte un rendez-vous avec Edmond pour éviter le déshonneur. Malgré elle, le plaisir que lui procure le sexagénaire attise ses sens exacerbés, se rendant à lui sans aucune retenue durant une soirée et une nuit extatiques.
Puis, après avoir cédé au notaire, elle le retrouve incidemment dans un restaurant où elle dîne avec son mari et sa fille, elle est contrainte de se faire prendre en levrette par Edmond dans les toilettes du restaurant. Celui-ci lui ayant laissé un billet lui donnant rendez-vous pour le lendemain 10H, lui précisant ses instructions, il la veut sans sous-vêtements quand ils ont rendez-vous ; pas de soutien-gorge ni de culotte. Donc le vendredi, elle l’accompagne dans des boutiques, où Edmond lui achète des vêtements sexy et des sous-vêtements coquins. Il lui annonce ensuite qu’il met à sa disposition un appartement discret pour qu’elle puisse y ranger ces tenues affriolantes.
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Dans l’après-midi, après avoir récupéré les vêtements, ainsi que les deux sacs de voyage, dans lesquels ils ont été rangés, le couple se dirige vers l’appartement prévu pour servir à réceptionner justement cette garde-robe.
En prenant le cours Georges Clémenceau, après la place Gambetta, Edmond tourne à gauche, juste après les dix hectares du Jardin Botanique, s’engageant dans la rue d’Aviau, puis, tout de suite à droite dans la rue Ernest Godard, en longeant les archives départementales de la Gironde. Au bout de la rue, il s’engage à l’intérieur d’une grande place ronde. Des arbres et des candélabres à l’ancienne sont disposés autour de cette place dénommée Mitchell ; les immeubles anciens se répartissent en un à trois étages au plus. La Mercédès se gare dans le créneau, d’un des nombreux emplacements se trouvant tout autour de la place. Il faut vraiment savoir en s’engageant dans la petite rue qui fait face au Jardin Botanique, que cette grande place existe, enchâssée entre les immeubles.
Edmond descend et vient ouvrir galamment la portière de sa passagère. Celle-ci, qui a enfilé la jupe très courte et évasée que vient de lui acheter Edmond, ne peut que déployer ses cuisses, et même un peu plus au regard d’Edmond et de deux passants qui se trouvent là par hasard. Surtout que le notaire la retient par un bras lorsqu’elle vient de poser son pied droit sur la chaussée. Au lieu d’un rapide mouvement de ses jambes, elle se trouve immobilisée, les cuisses largement écartées et le minou bombé, exposés aux regards incisifs des trois hommes. Malgré la honte qui l’a envahie depuis les essayages, Odile sent encore une fois son abricot s’humidifier malgré le rouge qui envahit ses pommettes. Se pourrait-il qu’elle prenne un plaisir indigne à exposer la partie la plus intime de son corps à des inconnus ? Elle songe, que malgré elle, elle est en train de devenir une dévergondée, et que son sauveur du chantage honteux auquel elle est soumise, risque de lui faire perdre toute dignité envers elle-même.
À ce moment, Edmond l’apostrophe :
- Eh ! Bien ma chère, vous rêvez. Voici l’immeuble qui m’appartient, il date du début du XXe siècle et ne fait que deux étages, mais il a un grand avantage, il possède deux garages pour le premier et le second étage. Allons voir l’appartement du premier.
En montant l’escalier, Edmond qui se trouve derrière elle, glisse ses mains sous sa jupe et enveloppe ainsi les globes charnus des fesses nus qu’il triture sans vergogne. Odile ne peut se soustraire aux agissements du notaire, qui en profite, écartant les poils de la toison pubienne, pour glisser ses doigts dans la fente entrouverte, trouvant aussitôt la mouille qui déborde déjà des lèvres vaginales. Arrivé sur le palier, Edmond dégrafant sa braguette et sortant son vit prestement, retrousse la jupe d’Odile, il la fait se pencher en avant d’une forte poussée, puis, sans coup férir, il enfile son pieu entre les fesses de la trop prude Odile qui n’a même pas le temps d’élever des protestations.
Dans cet immeuble bourgeois, elle est paniquée à l’idée que quelqu’un pourrait descendre de l’étage supérieur. Elle se retient sur la porte de l’appartement qu’elle sait vide, puisque c’est celui qu’Edmond veut lui faire visiter. Sa jupe relevée entièrement jusqu’à sa nuque, révèle, elle en est bien consciente, une partie de son dos nu, mais surtout ses fesses, ses cuisses et le vit d’Edmond engagé dans sa vulve dont les lèvres sont retroussées au maximum. Malgré la peur et l’humiliation de sa position, Odile sent le plaisir monter dans son ventre, progresser jusqu’à la pointe de ses seins, durcis par l’excitation et une vague de jouissance la saisit, la faisant gémir jusqu’au hurlement final, lorsqu’Edmond lâche son foutre tout au fond de la matrice dans un « Han », vigoureux.
Prestement, celui-ci se rajuste et ouvre la porte de l’appartement. Odile, encore confuse et rougissante, rabaisse sa jupe et regarde la pièce où elle vient d’entrer. Ses jambes sont très flageolantes et elle sent le sperme mélangé à sa miction qui s’écoule entre ses cuisses, la rendant très mal à l’aise.
Dans ce vieil immeuble, les travaux qu’avaient fait effectuer le vieux notaire semblaient inconcevables. Sur une surface d’au moins cent mètres carrés, il avait de toute évidence fait abattre toutes les cloisons de cet appartement de quatre ou même cinq pièces, pour en faire un loft très moderne en comparaison de la façade ancienne de l’immeuble. Cet espace possédant une seule cloison au fond de la pièce, où une porte coulissante donne sur un minuscule WC et de l’autre côté, sur la salle de bains assez vaste avec le même genre de fermeture. De l’autre côté, à l’entrée, un bar-cuisine à l’américaine qui se ferme par un rideau à enrouleur commandé électriquement. Sur le mur face aux six fenêtres, un mur bibliothèque et multimédia revêtu de teck, dans lequel se dissimulent des placards et un dressing dont les ouvertures paraissent invisibles. Un grand lit rond, rempli de coussins multicolores, avec un baldaquin permettant de le fermer entièrement ; deux canapés et deux fauteuils en cuir, une table ovale pour quatre personnes et les chaises baquets assorties. Tous ces meubles de couleur blanche, ainsi que le cuir des canapés.
Odile est très surprise de la modernité de cet appartement, vis à vis de la vieille bâtisse au demeurant ; elle demande au propriétaire des lieux, la permission de se rendre à la salle de bains, car elle ne se sent pas toute fraîche. Bien qu’Edmond l’ait vue toute nue et qu’il vienne de la pénétrer, cul nu et en levrette sur le palier, elle s’enferme dans la salle d’eau et se déshabille. Elle sait qu’elle peut se changer, puisque dans le coffre de l’automobile d’Edmond, il y a, dans les deux sacs de voyage, un nombre incalculable de vêtements et de sous-vêtements coquins qu’il a achetés pour elle. Ses bas sont fichus, et sa jupe courte est à nettoyer, alors que son corsage est encore présentable. Négligeant la baignoire encastrée, elle prend une douche chaude et ensuite très froide pour se remettre les idées en place. Des serviettes de bain et deux peignoirs en éponge sont rangés sur des tablettes, aussi elle se recouvre d’un peignoir à sa taille et vient retrouver Edmond qui s’est installé sur un canapé.
- Auriez-vous la gentillesse Edmond, de m’apporter les vêtements que vous avez eus l’amabilité de m’acheter, afin que je puisse m’habiller décemment, car mes bas sont immettables et ma jupe est bonne pour le pressing.
- - Mais bien sûr, ma Chère. Voulez-vous, en m’attendant, nous servir du champagne que vous trouverez dans le réfrigérateur.
- Odile s’exécute, surprise de trouver des boites de foie gras, de caviar et de mets fins sous vide dans le réfrigérateur, ainsi qu’une douzaine de bouteilles de champagne Crystal de chez Roëderer, qui rafraîchissent avec du Gewurztraminer et d’autres vins blancs d’Alsace. Il y a aussi, dans les placards une vaisselle précieuse et des verres adéquats. En fait, l’appartement destiné à servir de garde-robe à Odile, est parfaitement fonctionnel et servira, selon toute apparence de, disons le vulgairement, de « baisodrome », à l’usage du vieux notaire, recevant sa proie consentante aux pires dépravations pense-t-elle…………..
Lorsqu’Edmond revient avec les deux sacs de voyage, le couple sable le champagne pour fêter l’occupation du loft par Odile. Ensuite, les deux amants rangent les vêtements et les accessoires dans les penderies. Puis, le notaire demande à sa maitresse de se mettre entièrement nue – il la prie de se mettre sur le lit rond dans différentes positions, pendant qu’il la prend en photo, dans des poses plus pornographiques qu’érotiques. Odile se laisse faire, tout de même excitée en songeant qu’elle est une actrice se faisant photographier dans toute sa beauté mature de femme désirable (quelle femme, une fois sa pudeur primaire envolée, n’est-elle pas flattée de se savoir admirée sous l’œil d’un photographe qui sait s’y prendre ? Je n’en connais aucune).
Puis, Edmond, choisit dans les placards, un mini corset laissant les seins découverts d’une couleur mauve qu’il lace très serré dans le dos de sa proie, à présent docile. Il lui demande de s’agenouiller sur le lit, de se pencher en avant et de tenir ses fesses les plus ouvertes possible avec ses mains. La pauvre Odile s’exécute, ne comprenant pas ce que son tourmenteur va lui faire subir. Soudain, elle entend le déclic de l’appareil photo, soulagée que cela ne soit que cela.
Pourtant, Edmond n’en a pas fini avec elle. Après avoir pris un certain nombre de clichés de la femme dans cette position humiliante sur le côté, puis, devant et derrière, il vient présenter un coffret de maroquin rouge devant les yeux d’Odile qui peine à comprendre à quoi servent les trois objets métalliques ovoïdes, rangés sur du satin plissé, de couleur rouge également, au fond du coffret.
Edmond regarde Odile d’un air goguenard, puis, sans autre forme, il lui annonce.
- Ma Chère, voici trois rosebud argentés qui sont le nec plus ultra des plug anaux. Bien que vous soyez à mon avis une oie blanche, vous ne pouvez ignorer qu’il n’y a pas que le vagin qu’une bonne verge peut pénétrer, mais qu’il y a un autre endroit, votre adorable lune, votre postérieur ou votre rectum, appelez-le comme vous voulez.
- Je vous en prie Edmond, taisez-vous, vous allez me dire des choses effroyables
- Je ne peux vous cacher que mon intention est de vous initier à la sodomie. Rassurez-vous, ce n’est pas pour aujourd’hui. Par contre, je vais vous introduire le plus petit, le T1 de ces magnifiques objets dans votre joli et trop petit trou du cul, pour vous habituer progressivement à supporter le membre que je veux introduire dans votre rectum. Vous le garderez jusqu’à ce que vous alliez dormir ce soir, et je veux que vous le remettiez demain matin, et pendant six heures minimum chaque jour. Dans une semaine, nous essaierons le modèle T2.
Tout en devisant, Edmond s’est déplacé vers les fesses qu’Odile tient toujours écartées avec ses mains crispées. Il lui appuie sur le dos afin que sa tête touche le drap, et que son cul soit bien dressé et plus à sa hauteur. Il admire la raie culière dans laquelle un fin duvet brun ourle la rondeur des fesses bien pleines. Prenant du gel dans un tube qu’il a apporté également, il enduit le tour de la rosace plissée de l’anus de la belle mature. Celle-ci ne peut s’empêcher de laisser couler des larmes sur son beau visage ; la honte de devoir tenir ses fesses écartées, pour que son derrière soit parfaitement accessible au regard et aux doigts de son tourmenteur.
Edmond ne perdant pas de temps, introduit son majeur enduit de gel dans l’œil de bronze qui se laisse violer facilement, il ressort son doigt et prenant encore un peu de gel, il en introduit dans le goulet étroit, ramonant la gaine rectale en appuyant sur la paroi vaginale.
Pour tranquilliser sa victime, il flatte de son autre main la vulve gonflée et entrebâillée par l’écartèlement forcé des fesses, et il fait glisser deux doigts dans le vagin dont les chairs frémissent sous les attouchements libidineux. Odile ne peut retenir un gémissement. Ses sens sollicités par les doigts qui s’agitent doucement dans les deux cavités, plongent dans une onctuosité qui ne laisse aucun doute sur son émoi. Elle mouille et gémit de plus en plus.
Puis, Edmond prend délicatement le rosebud dont la couleur argent lance des éclats dans la pièce à l’éclairage diffus. Il l’enduit d’un peu de gel et le présente devant le délicieux petit anneau de Vénus. Le gel a assoupli la rosette plissée, tandis que le cylindre ovoïde s’introduit sans écorcher le moins du monde les sphincters ; le culot décoré d’un rubis, venant se caler contre le trou du cul et formant ainsi un bouchon.
Edmond est passablement excité depuis qu’il joue avec sa proie dans l’appartement et ne pouvant plus se retenir, il retire prestement son pantalon et son boxer, et, sans coup férir, il plonge jusqu’à la garde sa queue dure comme du bois dans la chatte d’Odile. Celle-ci pousse un hurlement sous la violence de l’assaut, surtout que la bite qui vient d’envahir son vagin fait une pression incroyable sur le rosebud qui occupe son croupion.
- Ah ! Mon Dieu, vous m’éventrez Edmond ! Arrêtez ! Je vous en supplie !
Mais ses protestations ne durent pas. Elle continue à crier, mais, c’est à présent de la jouissance qu’elle ressent, car tous ses sens sont sollicités. Elle a oublié sa peur d’être vulgairement enculée, car le bâton de chair, ainsi que l’olisbos en acier qui viennent d’envahir ses entrailles les plus intimes ne l’ont pas éventrée. Déchaînée, comme une vulgaire putain, elle projette son cul au-devant de la pine qui la comble de toute sa vigueur tout en hurlant sa jouissance.
Le notaire se vide dans la matrice engluée de foutre et de cyprine, alors que la pauvre Odile qui n’en peut plus, s’écroule sur le lit, complètement épuisée. Elle s’endort presque instantanément, son corps et son esprit ayant subi bonheur et douleur mélangés au plus haut degré.
Le notaire se relève. Il prend une douche, remet de l’ordre dans l’appartement. Puis, il écrit un mot à Odile pour lui dire qu’il la laisse se reposer. Elle a les clés de l’appartement et il y a une station de taxi à cinquante mètres pour qu’elle puisse récupérer sa voiture.
Lorsqu’Odile reprend conscience, après avoir dormi presque deux heures, elle se réveille difficilement dans ce loft qu’Edmond a mis à sa disposition. Enfin plus à lui d’ailleurs, car elle a bien compris que c’est à cet endroit qu’elle devra se plier à tous ses caprices. Soudain, elle ressent l’objet métallique de forme elliptique qui occupe son postérieur. Elle a d’abord la tentation de le retirer dans un sursaut de dégoût, puis, elle se rappelle que le notaire lui a ordonné de le garder jusqu’au moment où elle devra se coucher pour dormir.
Déjà, dans le contexte de ce qu’elle pressent comme sa soumission, elle sursoit à son éjection. Puis, elle lit le billet d’Edmond, elle se fait couler un bain chaud et se détend en réfléchissant à ce qui vient de se passer. Elle sait que sa vie est à présent définitivement différente de ce qu’elle a été jusqu’ici. Elle se doute que le notaire va certainement l’entraîner dans des situations, toutes plus perverses les unes que les autres. Elle sait qu’il va prochainement la sodomiser. Elle n’ose même plus songer à ce qu’elle a toujours pensé de cet acte infâme, considéré comme contre nature. Le doigt d’Edmond dans son cul et l’objet en acier qu’elle vient de retirer pour le nettoyer et prendre son bain, ne lui ont pas été désagréable.
Elle ne peut nier qu’elle a joui énormément à la verge qui pénétrait son minou en même temps que le rosebud occupait son anus et qu’elle en a hurlé de bonheur. Elle se demande comment elle réagira lorsque le gros membre du notaire essaiera de s’introduire dans son petit endroit. Elle en a une peur bleue, mais en même temps, une curiosité malsaine la tenaille………
À suivre…
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