Le baraquement, et les copains de travail ! - histoire érotique

Je sais pas pourquoi, j'ai repensé à ma période insouciante.
Celle, sans le sida !
Lorsque j'avais 22, 23 ans, que je bossais à l'Arsenal militaire naval de Toulon !

Comme le travail commençait à se raréfier, on pensait inévitablement au sexe !
Mais, il ne fallait pas se faire prendre !
Enfin pour moi, si ! Mais pas, en étant vu par les autres !

C'est le début de ma relation avec Sébastien, et Roger, le quinquagénaire vicieux !
C'est lui qui nous propose de baiser en journée, à l'insu des autres !

"T'es fou ! C'est trop risqué ! On va se faire prendre !".
"Mais non, ma p'tite salope ! On va trouver l'endroit idéal pour ça ! T'es partant pour qu'on te baise quand on a envie ? T'en as pas marre de faire ça dans les douches ?".
"Vous ferez attention ?".
"Oui, je me renseigne, et je vous donne l'endroit ! Ok, ma chérie ?".
"Ok !".
Stéphane et lui, adorent me féminiser, ça les aide à me considérer comme leur femelle cachée !

Roger a trouvé l'endroit !
Un baraquement, dont une connaissance de son âge, surpris en lieu de baise extérieur, avait la responsabilité et la clef !

Il a trouvé le stratagème de s'y rendre par l'arrière, avec la clef !
Stéphane, et lui s'arrangeaient pour me donner le signal, afin de les rejoindre discrètement !

Comme le travail manquait, personne ne s'inquiétait de nos absences !

La première fois, Roger passe près de moi.

"Pstt ! J'y vais, je t'attends ! Dépêches toi ! J'ai une grosse envie !".

Je le regarde s'éloigner, puis disparaitre derrière le baraquement.
Je marche sans me retourner, l'air de savoir ou je vais, sinon, cela paraitrait louche !

Je cogne contre la porte, il ouvre, et m'entraine à l'intérieur.

"Hummm ! On va s'éclater encore ! Putain ! J'ai encore les couilles pleines ! Je suis trop excité ! Suces-moi ! Vite !".

Il va se poser sur une caisse haute, pendant que je l'aide à dégager sa grosse verge épaisse.
Je lui lèche longuement la verge, c'est vrai qu'il bande très dur !
Puis, je l'enfonce dans ma gorge humide et chaude.
je suis aussi excité que lui, à présent !

"Orhhh ! Ouais ! Comme ça ! C'est bon ! Tu sais que t'as une bonne petite bouche de pute ! Il y en a qui paierai pour que tu les suce !".
"Mmmmmmm ! Arrêtes avec ça, profites en, c'est toi que j'aime sucer ! Mmmmm !...".
"Orhhh ! Putain, tu m'excites, salope ! Je te baiserai tous les jours, tellement, tu me donnes envie !".

Je m'arrête pour le regarder:

"Tu plaisantes là ! Parce, c'est ce que tu fais ! A part, le Week end !".
"Ah, ah ! Oui, c'est vrai, mais je le ferai bien plusieurs fois ! En tout cas !".

"T'es un dingue ! Tu penses qu'à ça !".
"Qu'est-ce que tu veux, j'adore ta chatte, et ta bouche de salope !".
"Mmmmmm ! Mmmmmm ! Slllllrp ! Mmmmm ! Je sais ! Mmmmm !...".

La chaleur m'oblige à ôter mon Tee-shirt, il en profite pour me dénuder les fesses, puis me colle à la caisse.
Mon fessier est trempé de sueur, il crache sur mon anus.

Sa grosse protubérance force mon œillet.
Les saillies anales quotidiennes, aident mon vieil amant, à prendre sa place au fond de mon cul.
Il commence très rapidement, à me limer la chatte, comme un gros vicieux qu'il est !

Je lui dit que je joui analement, qu'il m'encule toujours aussi bien !

"Chhht ! Moins fort ! On va nous entendre ! T'aimes quand je t'encule ! Hein, salope !".

Je râle à voix basse,

"Arhhhhhhhhh ! Oui, j'adore ta grosse queue ! Encore !".

La situation m'excite autant que lui, qu'est ce que j'aime, passer mon temps à me faire enculer ici, à l'insu des autres ouvriers !

Il se lâche verbalement, pour augmenter le coté excitant de la situation.
Il fait bouger la caisse sous moi, en secouant mon cul, avec son bas ventre.

On est très peu éclairés, mais on se voit assez pour baiser !
Il me prévient qu'il se "vide les couilles, dans ma chatte !".

Je me cambre, pour le lui permettre, sans retenue !
Il reste couché sur moi, pendant une petite éternité !

Il se redresse, en matant sa grosse verge, trempée de foutre, qui quitte mon trou béant.

"Hummm ! J'adore les petites salopes dans ton genre ! Putain, cette chatte ! Tu m'as bien encaissé encore ! Ca t'as plu, chérie ?".
"Oui ! Comme d'habitude !".

"Bon, restes là, je t'envoie Steph !".
"Quoi ? Non ! On va se demander ou je suis !".

"Restes là, je te dis ! Et ne te rhabilles pas, restes comme ça, prête à te faire enculer !".

Je l'écoute, à la fois apeuré et excité ! Ce jeu est nouveau pour moi !

Stéphane fait du bruit avec la clef, en essayant d'ouvrir.
Je vois sa silhouette s'avancer, c'est pas lui, il m'est inconnu !

Il m'empêche de me relever, pendant qu'il sort sa bite.
Il me transperce d'un coup, je suis gagné par un long râle !
Il est bon, ce salaud !

"Arghhhhhhhh ! Qui... Qui vous êtes ? Arghhhhhhhh !".
"C'est moi qui ai passé la clef à Roger ! C'était ma condition, c'est un problème ? T'es d'accord, ou pas ?".

"Arghhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiii ! D'accord ! Arhhhhhhhhh !".
"Je me disais bien ! Il a raison Roger ! T'es une bonne salope ! J'vois qu'il t'as tout mis dans le cul, le salaud ! Ca glisse bien !".

"Arghhhhhhhhh ! Oui, il éjacule toujours beaucoup de sperme !".

Il m'insulte encore, en me transperçant avec sa bite.
Il choisit de m'enculer, en me bloquant la bouche, avec sa main.

Ses couilles, et tout son appareil génital font des bruits de flaques, contre ma chatte humide.
Je commence à me demander, ou fini tout ce sperme qui dégouline de mon orifice béant.

Je le sens qui coule sur mes testicules rasés, pendant que je m'étouffe de jouissance anale, dans sa main.

Je comprend que je vais éjaculer, en me faisant enculer par cet inconnu.
Ca commence à faire un moment, qu'il fait monter mon plaisir.
Des spasmes péniens, me révèlent que je vide mes couilles, grâce à lui !
Je sens mon gland qui se gonfle en spasmes, pour éjecter tout mon jus, pendant chacun de mes râles.

"Mais c'est qu'il aime ça ! Ce p'tit pédé ! Tu craches ton foutre, salope ! C'est ça ?".
"Mmmmm ! Mmmouiiiiiiiiii ! Mmmmm !...".

"Orhhh ! Putain, ça va être mon tour ! Salope ! Tu m'excites trop ! Tourne-toi, tu vas l'avoir dans la bouche, mon jus !".

J'ai à peine le temps de me retourner, qu'il trouve mes lèvres, et se déverse dans ma gorge.
Je suis surpris par la puissance de son gout ! Très épais et poivré ! Pas ce que je préfère !

Mais j'aime avaler toutes les éjaculations que je provoque !
Son foutre coule donc dans ma gorge, comme tous les autres !

Je m'en nourris tellement, que je fini par l'apprécier, à la fin !
Il n'a pas cessé de jouir en m'insultant, et ça aussi, ça m'a excité !

Je préfère garder ses mots pour moi, ils ne me mettaient pas en valeur.
Mais dans ces moments là, on accepte tout !

Même, quand il a sorti sa verge, encore juteuse, de ma gorge, pour me polluer la face !
Il m'humilie encore, en se faisant longuement sucer.

"Hummmm ! Voilà, ça c'est une bonne pute ! Laves moi bien le sgueg ! Il t'a plu mon gros vié ?( deux synonymes de verge, en argot du sud !).
"Slllllrp ! Mmmm ! Oui ! C'était bon !".

"Bon ! Ton pote Stéphane pourra pas venir ! Tu ramèneras la clef à Roger ! Je te laisse te nettoyer ! T'en as partout ! A la prochaine ! Minot !".
"Euh,...Merci !".

Je me met dans un rayon de lumière, pour constater les dégâts.
Pour mon pantalon, c'est pas catastrophique !

Mais pour mon slip ! C'est grave ! Il est maculé de spermes mélangés !

Je sors le seul mouchoir en papier usagé que j'ai, et racle ce que je peux.
Puis, je me résous à me couvrir les fesses, avec tout ce reste de foutre, qui me colle au cul, et aux couilles !

En rendant la clef à Roger, il me demande vicieusement.

"Alors ? Tu l'as trouvé comme mon pote Raymond ?".
"Euh ! Chaud ! Très chaud ! il est vicieux ! Il m'a baisé salement !".

"Super ! Stéphane est occupé ! Peut être ce soir, dans les douches ?".
"Euh, on verra ! Là, je me sens pas bien ! J'ai le slip plein de foutre ! C'est super gênant ! ca colle !".

Il rit, en me disant qu'il aimerai voir ça.
Mais, il s'excite tout seul, et revient me solliciter une heure après.
Il veut que je lui montre ma culotte tachée, il bande comme un âne.
On était dans un local technique, j'ai du le sucer rapidement.
Il est excité par sa petite salope, et par la vue du foutre sur mon slip noir !
Il m'a calé contre la paroi, et m'a transpercé d'une traite.

"Arghhhhhh ! Non ! Roger ! Mmmmmmmmmmmm ! Pas ça, encore ! Arhhhhhh !".

Le plaisir m'a gagné immédiatement, j'ai du me mordre puissamment, pour ne pas crier mon orgasme.
C'était le moment idéal, pour me provoquer ça ! Je ne m'y attendais pas !

Il n'a pas cherché à faire durer, se contentant de se branler dans ma chatte anale.
Quand il a éjaculé, je lui ai dit:

"Arhhhhhhhhh ! Non ! Pas là ! Arghhhhhhhhhh !".
"Orhhhh ! Au point, ou tu en es ! Ca change rien, et c'est si bon ! Arghhhhhh ! Tiens ! Salope ! Orhh, j'me vide encore !".

Il m'a recouvert les fesses, après qu'il ai fini de jouer avec ma béance anale, puis m'a laissé là !

J'ai du m'isoler plusieurs fois aux toilettes, afin de nettoyer mes nombreux rejets anaux, causés par cette nouvelle saillie, qui fut celle de trop.

Après un premier gros rejet de sperme, ce fut mon jus anal visqueux qui coulait de ma chatte.
A chaque séance de rejets, elle retrouvait sa béance.

Mon anus ne me laissait plus tranquille, il se contractait sans arrêt !
Jusqu'à ce que je croise Stéphane.
Je lui dis discrètement:

"Tu tombes bien ! Il faut que tu m'encules ! J'en ai besoin ! S'il te plait ! Baises-moi !".
"Ohh ! Demandé si gentiment ! Viens, on va se trouver un coin tranquille !".

On a utilisé un autre local isolé, d'un bateau.

Quand il a baissé mon slip, il a constaté mes taches, mais surtout mon anus, qui flatulait, encore humide de jus gluant !

"Putain ! Elle est déjà prête ! Ca m'excite, chérie ! Elle est géniale, ta chatte !".

Il s'enfonce d'une traite !
Le plaisir me submerge, mais le simple fait de sa présence, est comme un calment, pour ma chatte.
Mes spasmes se calment lentement.

"Arhhhhhhh ! Merci Steph ! Ca me fait trop de bien ! Orhhh ! Ca va mieux !".
"Je peux te baiser maintenant ? C'est bon ? Parce que moi, j'ai pas eu ma part !".

"Oui ! Vas-y ! Arghhhhhhh ! Arghhhhhhh ! Arghhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiii !"...".
"Putain, tu me trempes déjà la bite ! T'es vraiment faite pour ça, ma chérie ! T'es la reine des salopes !".

" Arghhhhhhh ! Orghhhhhhhhhhh ! C'est bon , je joui déjà ! Je suis ce que tu veux ! Mais ne t'arrêtes pas ! Arghhhhhhh !...".

Il m'emmène très, très haut, à plusieurs reprises, avant de me coucher au sol, pour se glisser sous mes jambes.
Il me garde plié, en me tenant par les chevilles, et matant sa grosse bite qui me fouille la chatte.

Il termine en me voutant sous lui, alors qu'il me plante à grands coups de bite !
Je vis un de mes plus forts moments sexuels !

Il annonce sa jouissance !

"Non ! Pas dans mon cul ! S'il te plait !".
"Orhhhh ! Vite ! Dépêches toi, alors ! Prends-moi dans ta bouche !".

Je me précipite sur sa grosse verge, et l'avale avec une gourmandise folle !
Je le remercie en ingurgitant son sperme chaud.

"Mmmm ! Gllllrp ! Glllllllllllrp ! Merci ! Mmmmmm ! Mmmm ! Gllllrp ! Glllllllllllrp ! Ahhhh ! j'aime ton sperme ! Mmmmm ! Gllllrp !...".
"Arhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiii ! Orhhhh ! C'est bon aussi, de te remplir ta p'tite gueule ! Orhhh ! Avales moi bien ! Putain, cette langue sur mon gland ! Orhhh ! J'aime trop ça !...".

Lentement, le calme revient, au gré de mes succions, et coups de langue, sur sa verge encore humide.

"Ohhh ! La vache ! Ce que c'est bon de baiser avec toi, ma chérie ! J'ai adoré te démonter la chatte ! Autant que de jouir dans ta bouche !".
"Mmmm ! Hummmm ! J'ai vu ! Putain, vous m'avez démonté ! Tous les trois !".

"Les trois ?".
"Oui, le copain de Roger, a exigé de pouvoir me baiser, en échange de la clef ! Et Roger m'a baisé deux fois !".

"Putain, c'est pour ça que ta chatte était comme ça !".
"Oui, et ça aurait continué, si tu m'avais jouis à l'intérieur ! Là, c'est encore un peu gênant, mais ça devrait se calmer !".

"Ca, c'est des choses que je connaitrai jamais ! J'me fais pas enculer ! Je préfère te baiser ! C'est meilleur pour moi !".
"Chacun son rôle, moi je préfère ça ! Je suis à ma place !".

Il nous restait une heure, avant de sortir du boulot.
Je suis rentré avec mon slip tout sec, mais très sale, sur moi.

Le phénomène s'est un peu calmé, mais j'ai ôté mes vêtements, en arrivant chez moi.

Puis, je me suis comblé l'anus avec mon gode, et me suis allongé ainsi.
Ca calmait mes derniers spasmes anaux.
Cela pendant une bonne heure, ou je me suis endormi.
Je suis sorti de ma micro sieste, avec la chatte bien plus "normale", alors que le gode gisait sur le drap, contre mon cul.
Il est sorti, sans que je m'en rende compte, naturellement.

Ce phénomène se reproduira quelques fois, suite à de trop longues sodomies !
Ou après, de trop longs jeux solitaires !
C'est à la fois gênant et excitant !
On a l'impression d'être entré dans un engrenage sans fin !
Votre anus réclame sans cesse, d'être pénétré !

Le lendemain, la consigne a changé, RDV au baraquement, à une heure précise !

Là, ils m'ont défoncé tous les trois, en même temps !
Roger s'est beaucoup lâché verbalement !
Stimulé par le vice, et les mots vulgaires de Raymond !

Cette fois, j'ai décidé de me foutre à poil !
J'ai bien fait ! J'en ai pris partout !

Mais paradoxalement, ma chatte l'a beaucoup mieux encaissé que la veille !
Et puis, comme nous étions vendredi, j'ai eu mon Week end pour me remettre.

On a peu utilisé ce baraquement ! Le travail est revenu grâce à un nouveau gros navire, qui était en réparation !
Mais dès qu'on pouvait, je les rejoignais !

Quand on ne pouvait pas s'y rendre, j'avais droit aux sodomies, dans les toilettes des douches, après le départ de tous les autres ! Mais sans Raymond !

Le manque de travail annonçait des choses graves !
J'ai perdu mon job, et j'ai retrouvé un rythme sexuel plus "normal".
Et j'ai eu un effet de manque énorme !

L'arsenal militaire, a alors connu sa période de licenciements en retraites anticipées, par manque de contrats !

De mon coté, j'ai vite repris mes escapades, en lieu de rencontre pour hommes !
J'y ai retrouvé Raymond et Roger ! Ensemble !
Ils m'ont baisé, en se remémorant nos merveilleux mois de baises vicieuses !
Les autres inconnus qui se sont joints à nous, en ont profité aussi !
On s'est revus épisodiquement, toujours avec autant de plaisir !