LE BEURRE D’ESCARGOTS. (1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-06-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LE BEURRE D’ESCARGOTS. (1)
Tout a commencé un matin du 13 juillet lorsque cette année mon épouse Natalie plantureuse femme de trente-huit ans m’a demandé de préparer le beurre pour les escargots avec notre voisine Tania jolie blonde de dix-neuf ans qui le préparent avec elle les autres années.
Je viens de perdre mon travail, ce qui me donne du temps et le premier juillet, j’ai profité d’un jour de pluie pour trouver plus de deux cents de ces gallinacés.
Natalie est infirmière dans une clinique de notre ville et en ce mois de juillet part à six heures pour revenir à seize heures travaillant dans l’amplitude dès dix heures autorisées.
J’ai sorti du frigo les deux kilogrammes de beurre que je suis allé acheter hier à la ferme voisine où je les ai commandés, lorsque Nadia sonne, je vais lui ouvrir. Elle arrive en short et débardeur me dévoilant sa généreuse poitrine.
J’apprécie cette belle fille même si je suis fidèle à Natalie. Regarder une jolie fille est normal pour un homme normalement constitué.
Elle a les petits yeux, car elle est ménagère sans enfants et se lever à neuf heures est un exploit pour elle, mais la chaleur caniculaire de ce mois de juillet nous oblige à commencer à cette heure avant que le beurre devienne de l’huile.
J’ai installé la motte sur la table extérieure sur la terrasse, car en cas d’incident le carrelage est facilement nettoyable.
• Bonjour voisin, tu as déjà commencé.
• Non, j’ai juste sorti les ingrédients, tu es la spécialiste lorsque tu le prépares avec Natal.
• Persil, ail, sel poivre, il manque les deux échalotes.
• Je vais les chercher.
Je les épluche et je les apporte.
Après avoir tout broyé, nous commençons à tous malaxer ensemble.
Le beurre est à bonne température et nous en avons plein les mains.
Il nous reste à le mettre en boudin dans de l’aluminium.
Par jeu, je mets un peu de beurre sur le bout de son nez.
• Tu veux jouer, on va être deux.
Tania prend un peu de beurre dans le tas et me l’applique sur la figure.
• Tu crois que tu peux faire cela à ton voisin sans risque de me voir me rebeller.
• Tu aurais affaire à Paul qui viendrait me défendre.
• Ton mari, j’en ferai qu’une bouchée. Mais j’ai dans l’idée qu’il serait capable de te donner encore une fois la fessée.
• Ma fessée, tu divagues.
• Non, l’été dernier lorsque je travaillais le long de notre mur mitoyen, je m’occupais de mes fleurs lorsque je vous ai entendu courir dans votre jardin. Il t’a rattrapé à un mètre de moi sans que l’on se voie.
J’ai entendu qu’il te fessait pour te punir.
Je me souviens, je l’avais provoqué, car il refuse de me sodomiser.
• Il l’a fait.
• C’est notre secret, tu es bien curieux.
• Malgré cela, pas question que j’accepte de me laisser mettre du beurre sur la figure.
Je reprends un peu de produit sur ma main et la plaque sur son débardeur.
Au passage, je prends conscience de la dureté des seins de ma petite voisine.
À chaque étape, nous prenons du beurre et nous en étalons à chaque fois un peu plus et un peu partout.
• Tu vas respecter ton voisin plus âgé.
En disant ces mots, je la tartine de haut en bas.
Ce jeu finit par dériver.
Elle me passe la main sur le torse pour m’en mettre sur mes poils.
J’en fais de même dans ces cheveux.
Ses seins sous ma main sont maculés.
Je la prends par le cou et ma main en glissant entre dans son short.
Mon maillot de bain glisse vers le sol.
Elle sent prend à mon maillot, son débardeur saute, lui aussi.
À force, le sol est jonché de graisse.
En combattant, pour la suprématie dans ma propre maison, je la fais pivoter.
J’ai oublié qu’elle fait du judo et elle me contre me faisant chuter lourdement au sol.
Ma tête tape sur le carrelage et la nuit tombe sur moi.
C’est un voile qui passe devant mes yeux et lorsque je reprends conscience, Tania s’est enfilée sur mon sexe qui dans le combat et tous les attouchements a atteint son point de tension maximum.
• Chéri, tu es mon premier amant.
• Tania, tu es folle, c’est interdit, nous sommes mariés.
• Rien n’est interdit, il y a longtemps que je rêvais de ce que nous faisons et c’est pour cela que je me refuse à tous les garçons qui ont essayé de me baiser.
Je suis vilaine, il va falloir que tu me fesses.
En attendant, ta verge couverte de beurre coulisse en moi qui suis mouillé comme jamais et regarde comme tu me fais joui…
J’ai envie de me frapper, je fornique avec ma voisine et pire, je la faire jouir.
Mais c’est tellement bon surtout lorsqu’elle s’allonge sur moi et que sa poitrine vient se frotter sur la mienne.
Le beurre, qui nous recouvre fait glisser nos peaux plus rapidement et je sens ses pointes se durcir sur mes tétons.
Elle sent qu’elle a pris la maîtrise de mon corps et que pour rien au monde c’est moi qui casserais le point de jonction entre nous.
Elle m’a dit être vierge de tout homme autre que son mari au moment de venir à moi et où elle s’est empalée, je finis par en douter tellement, elle se projette avec force sur mon pieu.
Aux secours, que l’on m’aide à arrêter surtout que je sens son orgasme monté en simultanéité avec mes jets de sperme.
A-t-elle une contraception ?
Assez de faux-fuyant, j’éjacule et son corps se cabre au moment de l’orgasme qui la déchire.
Au moment de sombrer dans un nouveau trou noir, j’ai conscience que ma voisine vient de devenir ma maîtresse.
Insatiable, elle est insatiable, lorsque je reviens auprès d’elle, je suis toujours allongé sur la terrasse maculée de beurre à croire que pendant mon absence, elle a retartiné nos corps.
C’est sûr, elle l’a fait, sa main en est imprégnée et ma queue qui bande toujours ou de nouveau en a des épaisseurs que notre coït précédent avait transformées en huile.
Elle en met sur ses lèvres avant de prendre mon vit dans sa bouche.
La façon dont elle me suce le gland le pompant et le relâchant avec un bruit de succion met de nouveau le doute en moi, c’est une pompeuse professionnelle digne de la plus belle des putes qui fait descendre sa bouche à la limite de mes couilles.
Comment ma petite voisine peut-elle inventer une gorge profonde aussi impeccable ?
Une seule fois dans ma vie, j’ai vu une femme réaliser cet exploit sans que le corps fasse des hauts le cœur, c’était à Rio lorsque j’étais en escale et qu’une jeune fille de bonne famille m’avait emmené dans sa chambre pour faire l’amour à la française.
Jamais je ne pensais retrouver les sensations d’alors et que ce soit Tania qui me les rappelle en me rajeunissant fait entrer un sentiment que j’ai connu les premières fois que Nat m’a donné son corps, je deviens amoureux de ma propre voisine.
Surtout lorsqu’elle me fait me relever et passer derrière elle pour l’enfiler de nouveau en levrette.
Je suis à portée de main de la motte de beurre qui a diminué de moitié.
J’en prends une grosse poignée que je badigeonne sur sa chatte bien poilue.
Lorsque je me place, le terrain est tellement glissant que ma verge dérape et vient aiguillonner sa rosette.
La baiser, comment vais-je le supporter dans les jours prochains lorsque je me retrouverai face à ma femme mais l’enculer, il faut que je reste raisonnable.
Je me repositionne et je pénètre sa chatte qui est tellement glissante que je dois m’accrocher à ses hanches pour une nouvelle fois évitée d’être éjectée.
• Vas-y, je suis contente que tu te remettes dans ma chatte, grace à ta queue, j’ai des orgasmes dévastateurs, sodomise-moi, tu auras le plaisir que ta femme te refuse.
Comment c’est elle que Nathalie me refuse le passage dans ses reins, avons-nous manqué de discrétions la dernière fois où j’ai tenté de lui faire et qu’elle m’est entendue ?
Il est vrai que comme dans le dernier tango à Paris avec Brando et la jolie Maria Schneider, ce jour-là pas de beurre pour m’aider à coulisser en elle.
• Tu es mon étalon et je te dis de m’enculer, tu auras eu définitivement mes deux trous que je te représenterais toutes les vacances, faits de moi ta chienne qui mérite d’être punie par une bonne fessée.
Je suis devenu fou, à son injonction, j’empoigne ma bite qui jamais n’a été aussi dure et je plonge dans la rosette.
Pour me venger, je lui assène une claque phénoménale sur sa fesse gauche suivie d’une autre sur la fesse gauche. Je perds tout sens de la réalité, pas gauche, mais fesse droite.
• Oui, c’est bon de t’avoir dans mon cul, je sens mes petits muscles réagir autour de ta verge, continue de, me fesser une fois de plus je vais jouir par l’anus ce coup si.
Tape avec tes mains plus fortes, tu glisses avec le beurre et cela atténue mon plaisir.
Droite gauche, une volée de claques frappent ses jolis globes et même si cela glisse, son cul prend une jolie couleur rubiconde.
Je lui remplis l’anus avec des jets aussi puissants que pour notre première rencontre au fond de sa chatte.
Cette fois je suis calmé et en nous relevant je fais le geste qui nous restait pour sceller les amants devenus, elle me donne sa bouche et je lui prends sa bouche.
• Bouchon, allons-nous laver, car ma femme, excuse la mère de ma fille va arriver et elle aura du mal à comprendre que tout ce que nous avons fait n’était qu’un malentendu ?
Nous récupérons nos tongs qui nous permettent d’éviter de mettre du beurre partout.
Lorsque nous sommes dans la salle de bains, je veux qu’elle se nettoie avant moi.
Elle me prend la main et entrer dans la cabine.
Soixante-dix sur soixante-dix centimètres, nous sommes collés l’un dans l’autre et sa bouche reste encore plus vorace que sur la terrasse.
Elle me prend la main et me place ses doigts dans sa chatte.
• Regarde, je mouille encore, je suis insatiable, tu as fait de moi une nympho, prends-moi encore.
Ma queue est une nouvelle fois tendue et lorsque je la prends sous les cuisses et que je la soulève, son dos vient racler la clayette des robinets lui arrachant un léger cri qu’elle remplace vite par des râles de plaisir lorsque j’entre au fond de son trou qui est béant d’envie.
Trois fois de suite, ma verge l’a fait jouir avec des cris risquant que les voisins appellent la police, pensant que j’égorge la personne que je côtoie.
Nous avons la chance que la maison que je rénove soit ancienne et que les murs absorbe ses cris.
Trois fois, des années que mon corps a oublié un tel exploit…
Je viens de perdre mon travail, ce qui me donne du temps et le premier juillet, j’ai profité d’un jour de pluie pour trouver plus de deux cents de ces gallinacés.
Natalie est infirmière dans une clinique de notre ville et en ce mois de juillet part à six heures pour revenir à seize heures travaillant dans l’amplitude dès dix heures autorisées.
J’ai sorti du frigo les deux kilogrammes de beurre que je suis allé acheter hier à la ferme voisine où je les ai commandés, lorsque Nadia sonne, je vais lui ouvrir. Elle arrive en short et débardeur me dévoilant sa généreuse poitrine.
J’apprécie cette belle fille même si je suis fidèle à Natalie. Regarder une jolie fille est normal pour un homme normalement constitué.
Elle a les petits yeux, car elle est ménagère sans enfants et se lever à neuf heures est un exploit pour elle, mais la chaleur caniculaire de ce mois de juillet nous oblige à commencer à cette heure avant que le beurre devienne de l’huile.
J’ai installé la motte sur la table extérieure sur la terrasse, car en cas d’incident le carrelage est facilement nettoyable.
• Bonjour voisin, tu as déjà commencé.
• Non, j’ai juste sorti les ingrédients, tu es la spécialiste lorsque tu le prépares avec Natal.
• Persil, ail, sel poivre, il manque les deux échalotes.
• Je vais les chercher.
Je les épluche et je les apporte.
Après avoir tout broyé, nous commençons à tous malaxer ensemble.
Le beurre est à bonne température et nous en avons plein les mains.
Il nous reste à le mettre en boudin dans de l’aluminium.
Par jeu, je mets un peu de beurre sur le bout de son nez.
• Tu veux jouer, on va être deux.
Tania prend un peu de beurre dans le tas et me l’applique sur la figure.
• Tu crois que tu peux faire cela à ton voisin sans risque de me voir me rebeller.
• Tu aurais affaire à Paul qui viendrait me défendre.
• Ton mari, j’en ferai qu’une bouchée. Mais j’ai dans l’idée qu’il serait capable de te donner encore une fois la fessée.
• Ma fessée, tu divagues.
• Non, l’été dernier lorsque je travaillais le long de notre mur mitoyen, je m’occupais de mes fleurs lorsque je vous ai entendu courir dans votre jardin. Il t’a rattrapé à un mètre de moi sans que l’on se voie.
J’ai entendu qu’il te fessait pour te punir.
Je me souviens, je l’avais provoqué, car il refuse de me sodomiser.
• Il l’a fait.
• C’est notre secret, tu es bien curieux.
• Malgré cela, pas question que j’accepte de me laisser mettre du beurre sur la figure.
Je reprends un peu de produit sur ma main et la plaque sur son débardeur.
Au passage, je prends conscience de la dureté des seins de ma petite voisine.
À chaque étape, nous prenons du beurre et nous en étalons à chaque fois un peu plus et un peu partout.
• Tu vas respecter ton voisin plus âgé.
En disant ces mots, je la tartine de haut en bas.
Ce jeu finit par dériver.
Elle me passe la main sur le torse pour m’en mettre sur mes poils.
J’en fais de même dans ces cheveux.
Ses seins sous ma main sont maculés.
Je la prends par le cou et ma main en glissant entre dans son short.
Mon maillot de bain glisse vers le sol.
Elle sent prend à mon maillot, son débardeur saute, lui aussi.
À force, le sol est jonché de graisse.
En combattant, pour la suprématie dans ma propre maison, je la fais pivoter.
J’ai oublié qu’elle fait du judo et elle me contre me faisant chuter lourdement au sol.
Ma tête tape sur le carrelage et la nuit tombe sur moi.
C’est un voile qui passe devant mes yeux et lorsque je reprends conscience, Tania s’est enfilée sur mon sexe qui dans le combat et tous les attouchements a atteint son point de tension maximum.
• Chéri, tu es mon premier amant.
• Tania, tu es folle, c’est interdit, nous sommes mariés.
• Rien n’est interdit, il y a longtemps que je rêvais de ce que nous faisons et c’est pour cela que je me refuse à tous les garçons qui ont essayé de me baiser.
Je suis vilaine, il va falloir que tu me fesses.
En attendant, ta verge couverte de beurre coulisse en moi qui suis mouillé comme jamais et regarde comme tu me fais joui…
J’ai envie de me frapper, je fornique avec ma voisine et pire, je la faire jouir.
Mais c’est tellement bon surtout lorsqu’elle s’allonge sur moi et que sa poitrine vient se frotter sur la mienne.
Le beurre, qui nous recouvre fait glisser nos peaux plus rapidement et je sens ses pointes se durcir sur mes tétons.
Elle sent qu’elle a pris la maîtrise de mon corps et que pour rien au monde c’est moi qui casserais le point de jonction entre nous.
Elle m’a dit être vierge de tout homme autre que son mari au moment de venir à moi et où elle s’est empalée, je finis par en douter tellement, elle se projette avec force sur mon pieu.
Aux secours, que l’on m’aide à arrêter surtout que je sens son orgasme monté en simultanéité avec mes jets de sperme.
A-t-elle une contraception ?
Assez de faux-fuyant, j’éjacule et son corps se cabre au moment de l’orgasme qui la déchire.
Au moment de sombrer dans un nouveau trou noir, j’ai conscience que ma voisine vient de devenir ma maîtresse.
Insatiable, elle est insatiable, lorsque je reviens auprès d’elle, je suis toujours allongé sur la terrasse maculée de beurre à croire que pendant mon absence, elle a retartiné nos corps.
C’est sûr, elle l’a fait, sa main en est imprégnée et ma queue qui bande toujours ou de nouveau en a des épaisseurs que notre coït précédent avait transformées en huile.
Elle en met sur ses lèvres avant de prendre mon vit dans sa bouche.
La façon dont elle me suce le gland le pompant et le relâchant avec un bruit de succion met de nouveau le doute en moi, c’est une pompeuse professionnelle digne de la plus belle des putes qui fait descendre sa bouche à la limite de mes couilles.
Comment ma petite voisine peut-elle inventer une gorge profonde aussi impeccable ?
Une seule fois dans ma vie, j’ai vu une femme réaliser cet exploit sans que le corps fasse des hauts le cœur, c’était à Rio lorsque j’étais en escale et qu’une jeune fille de bonne famille m’avait emmené dans sa chambre pour faire l’amour à la française.
Jamais je ne pensais retrouver les sensations d’alors et que ce soit Tania qui me les rappelle en me rajeunissant fait entrer un sentiment que j’ai connu les premières fois que Nat m’a donné son corps, je deviens amoureux de ma propre voisine.
Surtout lorsqu’elle me fait me relever et passer derrière elle pour l’enfiler de nouveau en levrette.
Je suis à portée de main de la motte de beurre qui a diminué de moitié.
J’en prends une grosse poignée que je badigeonne sur sa chatte bien poilue.
Lorsque je me place, le terrain est tellement glissant que ma verge dérape et vient aiguillonner sa rosette.
La baiser, comment vais-je le supporter dans les jours prochains lorsque je me retrouverai face à ma femme mais l’enculer, il faut que je reste raisonnable.
Je me repositionne et je pénètre sa chatte qui est tellement glissante que je dois m’accrocher à ses hanches pour une nouvelle fois évitée d’être éjectée.
• Vas-y, je suis contente que tu te remettes dans ma chatte, grace à ta queue, j’ai des orgasmes dévastateurs, sodomise-moi, tu auras le plaisir que ta femme te refuse.
Comment c’est elle que Nathalie me refuse le passage dans ses reins, avons-nous manqué de discrétions la dernière fois où j’ai tenté de lui faire et qu’elle m’est entendue ?
Il est vrai que comme dans le dernier tango à Paris avec Brando et la jolie Maria Schneider, ce jour-là pas de beurre pour m’aider à coulisser en elle.
• Tu es mon étalon et je te dis de m’enculer, tu auras eu définitivement mes deux trous que je te représenterais toutes les vacances, faits de moi ta chienne qui mérite d’être punie par une bonne fessée.
Je suis devenu fou, à son injonction, j’empoigne ma bite qui jamais n’a été aussi dure et je plonge dans la rosette.
Pour me venger, je lui assène une claque phénoménale sur sa fesse gauche suivie d’une autre sur la fesse gauche. Je perds tout sens de la réalité, pas gauche, mais fesse droite.
• Oui, c’est bon de t’avoir dans mon cul, je sens mes petits muscles réagir autour de ta verge, continue de, me fesser une fois de plus je vais jouir par l’anus ce coup si.
Tape avec tes mains plus fortes, tu glisses avec le beurre et cela atténue mon plaisir.
Droite gauche, une volée de claques frappent ses jolis globes et même si cela glisse, son cul prend une jolie couleur rubiconde.
Je lui remplis l’anus avec des jets aussi puissants que pour notre première rencontre au fond de sa chatte.
Cette fois je suis calmé et en nous relevant je fais le geste qui nous restait pour sceller les amants devenus, elle me donne sa bouche et je lui prends sa bouche.
• Bouchon, allons-nous laver, car ma femme, excuse la mère de ma fille va arriver et elle aura du mal à comprendre que tout ce que nous avons fait n’était qu’un malentendu ?
Nous récupérons nos tongs qui nous permettent d’éviter de mettre du beurre partout.
Lorsque nous sommes dans la salle de bains, je veux qu’elle se nettoie avant moi.
Elle me prend la main et entrer dans la cabine.
Soixante-dix sur soixante-dix centimètres, nous sommes collés l’un dans l’autre et sa bouche reste encore plus vorace que sur la terrasse.
Elle me prend la main et me place ses doigts dans sa chatte.
• Regarde, je mouille encore, je suis insatiable, tu as fait de moi une nympho, prends-moi encore.
Ma queue est une nouvelle fois tendue et lorsque je la prends sous les cuisses et que je la soulève, son dos vient racler la clayette des robinets lui arrachant un léger cri qu’elle remplace vite par des râles de plaisir lorsque j’entre au fond de son trou qui est béant d’envie.
Trois fois de suite, ma verge l’a fait jouir avec des cris risquant que les voisins appellent la police, pensant que j’égorge la personne que je côtoie.
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Mea-culpa, un texte mal relu et la coquille est là, j’ai écrit au début du texte « Gallinacés » alors qu’il fallait dire « Gastéropodes » avec toutes mes excuses.
Merci à Florence toujours aussi érudite de m’avoir signalé mon erreur.
CHRIST71
Merci à Florence toujours aussi érudite de m’avoir signalé mon erreur.
CHRIST71
Histoire qui donne envie ! J'attends avec impatience la suite !
Quand on écrit un texte il est bon de savoir le sens des mots; les gallinacés sont les coqs et les poulpes, les escargots sont des gastéropodes du grec avoir l'estomac dans le pied !!!
Lecture très existante et glissante
Les escargots sont des gastéropodes et non des gallinacés, ce sont des poules , des vollailles .