LE BIZUTAGE. (1) - histoire érotique

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Je suis une jeune femme d’origine maghrébine mon père étant algérien et ma mère de nationalité française de Belleville.
Ma maman a voulu que je garde les origines paternelles dans mon prénom en m’appelant Asma qui se traduit par « sublime. » J’ai profité des mesures envers les jeunes Français, venant des quartiers pour faire des études supérieures vues ma moyenne au bac mention très bien.
Je choisis la Faculté de médecine que j’intègre dès l’âge de dix-huit ans dans quelques jours.
Je suis brune aux yeux noirs, vu mes origines, c’est plus normal que d’être blonde aux yeux bleus.
J’ai une caractéristique lorsque j’entre à la fac de médecine de Paris, je suis vierge.
Dès que j’arrive au premier jour des cours, je sais que pour arriver, il me faut travailler deux fois plus qu’une autre surtout en première année la sélection à l’issue est terrible et la plupart des élèves sont boulés sans espoir de se rattraper bien qu’en redoublant les jeunes connaissent mieux les pièges et passent en deuxième année.
J’ai eu un coup de chance de trouver une chambre en binôme à deux pas de la fac dans un studio sous les toits.
Charlotte est une jeune fille majeure, fille d’un éminent médecin très connu dans le monde de la chirurgie plastique.
Elle a un gros problème, contrairement à moi qui ai une assimilation rapide de ce que je lis, il lui faut des heures de travail pour ingurgiter le même nombre de choses que moi.
Je suis vierge, mais elles aussi l’ai.
Elle a appris très jeunes à se caresser et à jouir simplement avec sa main.
Je suis vierge, mais ma main n’a touché mes grandes lèvres que pour me savonner.
Elle vit nue alors que j’ai en horreur de la nudité.
Je range mes affaires chaque chose à sa place, elle est bordélique.
Bref, nous sommes faite pour que nous ne nous entendions pas.
Les premiers cours se passent bien, je suis souvent en avance et je suis toujours bien placé pour bien les suivre.
Charlotte quant à elle arrive dans les dernières et doit prendre ses cours assis sur les marches.
Souvent lorsque je travaille, elle vient me dissiper pour que je lui donne une partie de ce qu’elle a oublié de copier ou de noter.
Puis vient le jour du bizutage ou ceux qui ont réussi à passer leur première année voire la deux ou la troisième viennent nous demander des choses de l’impossible.
Comme nous sommes dans la même chambre, nous héritons de la même peine,Vous vous rendrez toutes les deux, rue ….. au numéro 1 dans le premier arrondissement où Alexis et Aurélien élèves de troisième année vous attendront.
Pour éviter de nous attirer les foudres des anciens, nous faisons scrupuleusement ce qui nous est demandé.
Quel étonnement lorsque nous arrivons à trouver une porte fermée renforcée où il est marqué « club privé ».
J’hésite à entrer, bizutage oblige, nous sonnons et un homme baraqué vient ouvrir et nous laisse entrer sans nous demander notre âge surtout le mien.
Passé derrière, un rideau un bar nous fait face.
Plusieurs personnes sont là dont certaine dans le plus simple appareil.
Je suis choqué, mais juste le temps de remarquer une jolie rousse avec une toison splendide et deux jeunes hommes en smoking s’approche de nous.

• Charlotte et Asma, laissez-moi deviner, Charlotte, c’est toi.

En désignant ma copine blonde.

• Oui,• Tu vous Aurélien, je suis irrésistible pour trouver les prénoms des meufs.
• Asma jeune fille blonde, tu as joué sur du velours.
• Ou nous avez-vous emmené, c’est un club libertin ?
Je suis vierge.

Je tiens à mettre les choses au point immédiatement, car je tiens à ressortir dans le même état qu’en entrant.

• Vous buvez quelque chose.
• Rien avec alcool.
• Tu es musulman.
• Oui.
• Alors, nous respectons.
• Les filles, venez voir, je vais vous montrer quelque chose qui va vous intéresser.

C’est Alexi beau brun qui a parlé et qui semble intéresser ma colocataire.
Nous le suivons à hauteur d’un rideau rouge et derrière je me mets la main devant les yeux alors que Charlotte écarquille les siens.
Devant nous un Jacuzzi avec deux hommes qui s’occupent d’une petite boulotte brune.
La jeune femme met la tête sous l’eau et doit sucer le garçon à son côté alors qu’elle esr assise sur l’autre garçon, il est facile de comprendre ou la pine est entrée.
Il la fait tressauter et à chaque fois qu’elle sort la tête de l’eau pour respirer au fure et à mesure du traitement des petits cris de plaisir sorte de sa bouche.
Je veux détacher mes yeux de la scène choquante pour une jeune fille comme moi mais je suis fasciné par ce que je vois bien que l’eau me cache les sexes des hommes en érection.
Au moment où son partenaire doit jouir, elle laisse tomber la deuxième verge pour se concentrer sur celle qui la déchire et redressant sa tête en arrière pour mieux se cambrer un grand veulement sort de sa bouche.
Pour la première fois, je vois une femme avoir un orgasme même si l’autre nuit, j’ai entendu Charlotte jouir avec sa main.

• Les filles, regardez là.

Les sexes, il me suffit de tourner la tête ou sur une estrade qui la surélève une femme d’âge mure placée en levrette est enfilé par un jeune garçon debout derrière elle.
Autour deux une dizaine d’hommes se masturbe.

• Regarde comme il est gentil de baiser une vieille femme comme moi, je t’avais promis de le faire pour ton anniversaire.
Tu vois, cela te fait de l’effet, tu bandes.
Amène-moi là que je te la suce, j’aime tellement ton sperme, grace à monsieur qui m’honore, tu vas décharger dans ma bouche et je suis sûr que je vais jouir, je suis au bord de partir.

Je vois un homme du même âge que la dame venir à son côté et lui mettre son morceau très petit, je l’avoue dans la bouche.
La dame reste sur une main et de l’autre l’empoigne pour le branler. Elle est experte dans la manière de faire, car son mari reprend de la force.
Même si ce couple qui copule avec une tierce personne est intéressant surtout par l’expérience que j’acquiers qui pourra me servir lorsque je serai marié et que pour le garder bien au chaud et évité que l’on me le pique la sucette devra faire partir de ma panoplie.
Et là encore tout explose en même temps. La dame suce la verge de son homme jusqu’à la dernière goutte comme si elle avait peur que ce ne soit la dernière fois.
L’angle sous lequel nous sommes pour jouer les voyeurs me fait voir le plaisir qu’elle prend.

• Venez boire votre verre, la vue de ces gens qui prennent du bon temps a dû vous assécher la gorge.
• Oui, merci, voire des couples copulés étaient notre bizutage.
• Pour commencer, oui.
• Va-t-il y avoir une suite ?

En même temps que, je prononce ces mots je fini mon verre bien décidé à quitter ces lieux de perdition pour une jeune fille en fleur.

Un léger trouble s’empare de moi, je commence à voir Charlotte comme dans un brouillard, elle est elle-même dans les bras d’Alexis qu’elle embrasse à pleine bouche.
Et puis plus rien, rideau, que ce passe-t-il dans les minutes qui suivent, je suis dans le noir complet jusqu’au moment où mon cerveau commence à fonctionner et que je me rends compte ou je suis et ce que je fais.
J’ai du mal à dire ce que je fais ou plutôt qu’est-ce que je subis.
Je suis sur l’estrade un homme couché sur le velours permettant à celui qui est couché d’être confortablement installé.
Je suis sur lui empaler sur une verge qui me sodomise.
Je dis bien qui me sodomise.
Par rapport à ma famille, je sais qu’avant le mariage de nombreuses filles restent vierges en se faisant sodomiser, mais je crains que ce ne soit une idée reçue, mais de toute manière le mal est complet car sur moi un homme me pénètre la chatte.
Pendant combien de temps suis-je resté dans les vaps certainement à cause d’une drogue dans nos verres ?
Je pourrais en rester là mais la verge qu’un troisième m’a mise dans la bouche faite d’un coup ce que dit l’un des hommes.

• Salopes-tu les aimes nos bites !

Hélas, je dois être franche, je les aime leurs bites, ai-je souffert lorsqu’ils m’ont dépucelé devant et derrière, ce sera toujours une interrogation tout au long de ma vie, mais il est sûr que de sentir ces deux pieux se caresser au travers de ma paroi séparant mon sexe de mon anus commence à me faire de l’effet.
La verge que j’ai dans ma bouche me décharge tout son sperme, aussitôt remplacé par une autre.
Quoique je réprouve ce qu’Aurélien me fait subir, ces pénétrations étant interdites dans un bizutage, je commence à sentir mon corps réagir.
Le frottement des deux verges a tendance à me faire atteindre le point de non-retour et c’est sans aucun scrupule que, lorsque la jouissance me rattrape et que les deux sexes déchargent leurs longs jets, je hurle carrément mon plaisir alors que celui qui était dans ma bouche se retrouve éjecté et qu’il éjacule sur ma figure.
Une salope, mon tortionnaire a fait de moi une grosse salope lorsque avec un de mes doigts, je récupère les parties glaiseuses et qu’avidement je les mets en bouche, pour que rien ne se perde.
Dans la salle où je me suis fait prendre sans mon accord, où peut être Charlotte ?
Libérée par les trois hommes, une femme qui est arrivée sans que je la voie me prend par la main et m’entraîne vers le Jacuzzi.

• Attends ma belle, je vais te nettoyer.

Elle me prend la tête et avec sa langue, elle récupère tout le sperme que mon doigt a oublié d’enlever.

• Tu vois, j’adore le goût du sperme, mais je refuse qu’un homme me touche.
Je viens ici, car tous ceux que tu vois là ont essayé de me baiser, mais j’ai toujours refusé.
Alors, j’aime trouver des couples où la femme fait décharger son mari dans sa bouche et qu’elle me le donne.
Toi quand j’ai vu que tu aimais aussi ce divin nectar, j’ai voulu te rencontrer.
Tu sais, j’aime que les femmes me fassent jouir alors, broute-moi la chatte.

Avant que j’aie le temps de rien dire, je me retrouve avec sa chatte près de la figure et avec ses doigts, elle écarte ses grandes lèvres pour que j’y fourre ma langue.
Lesbienne maintenant quand ce cauchemar va s’arrêter, bien que, lorsque cette femme éjecte de sa vulve de longs jets de liquide, j’ouvre la bouche pour bien tout boire.

• Je suis une femme fontaine et j’espère te voir souvent ici, elles sont rares les cochonnes qui aiment ma cyprine.

C’est le moment que Charlotte trouve pour réapparaître.

• Tu étais où, tu sais ce qu’il m’arrive.

La femme remarquant que j’ai retrouvé une copine s’éclipse sentant que nous avons des confidences à nous faire.
Je sors de l’eau étonnée de me présenter nue devant ma copine de chambre sans aucune pudeur.
La nuit que je viens de passer non seulement m’a ôté tous mes pucelages mes aussi toutes mes inhibitions.

• Où son mes affaires ?
• À quoi tu joues, là où tu les as enlevés !
• Conduit moi.

Elle m’emmène dans une pièce où des casiers sont à la disposition des clients.

• C’est celui-là.

Je tire, il est fermé avec un code inconnu de moi.

• Comment j’ouvre sans le code ?
• Tu te fiches de moi, souviens-toi, on a tous rigolé lorsque tu nous as dit que tu mettais 6969.

J’ouvre le casier et mes affaires sont là avec un téléphone posé dessus et une lettre…