Le bon Samaritain

- Par l'auteur HDS GERACHE -
Récit érotique écrit par GERACHE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
  • • 99 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.0
  • • L'ensemble des récits érotiques de GERACHE ont reçu un total de 1 726 070 visites.
Récit libertin : Le bon Samaritain Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-05-2010 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 17 330 fois depuis sa publication.
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(10.0 / 10)

Couleur du fond :
Le bon Samaritain
Le bon samaritain

Cette année là - c’était il y a dix ans- j’avais décidé de prendre un mois entier de vacances à Paris. J’avais eu des années entières de travail harassant, pratiquement sans discontinuer. J’avais senti le besoin de faire un break pour couper avec le stress qui colle au métier d’entrepreneur et me ressourcer. J’avais gagné assez d’argent pour me permettre quelques folies pendant un mois. Et pour moi, rien de mieux que de venir traîner à Paris et retrouver les anciens endroits que j’avais fréquenté en tant qu’étudiant. J’avais gardé pour le Quartier Latin une tendresse particulière. J’avais aimé sa chaleur et son cosmopolitisme. J’y avais passé cinq années heureuses, pleines de rencontres inoubliables, d’aventures amoureuses plus ou moins durables, de soirées arrosées entre copains et copines, de discussions sans fin sur l’état du monde et les solutions dont nous étions sûrs qu’elles étaient les bonnes.
Et puis Paris est une superbe ville dans laquelle on fait perpétuellement des découvertes (architecturales, culturelles, loisirs, etc.) dans laquelle je me sens réellement bien. En dehors du Quartier Latin, il y a toutes sortes de lieux où je pouvais flâner des heures entières, sans m’ennuyer une seule seconde. Et puis il y a les bars de Paris. J’ai toujours adoré, quand il faisait beau, m’assoir à une terrasse d’un de ces bars – n’importe lequel, pourvu qu’il soit situé sur une rue passante – et en sirotant une bière, je regardais passer et vivre les gens.
Quand, il y a maintenant une quinzaine d’années, j’étais rentré au pays, j’avais pris la décision de créer mon entreprise (en bâtiments et travaux publics), sans trop mesurer les obstacles que je devais surmonter et le stress qui était le compagnon quotidien du métier d’entrepreneur. C’est un métier qui nécessite une très forte résistance nerveuse et une grand capacité à naviguer entre toutes sortes d’écueils : bureaucratique, politique et financier ; où les tentatives de corruption sont quotidiennes et les peaux de bananes fort nombreuses. Malgré cela, j’estime que je n’ai pas mal réussi : je gagne beaucoup d’argent et je me suis organisé une vie matérielle assez agréable. Quand le stress devient trop insupportable, je m’évade un cours laps de temps en retournant passer quelques jours à Paris. J’avais gardé, et fini par acheter, le pied-à-terre que j’habitais quand j’étais étudiant, pas très loin du Quartier Latin, et venais m’y réfugier de temps en temps. Cela ne dépassait jamais une semaine, tant les affaires, au pays, avaient besoin de ma présence.
Mais cette fois-ci, j’avais pris la décision de m’arrêter un mois en entier. J’avais une formidable assistante, qui en plus d’avoir été longtemps ma maîtresse attitrée, savait veiller sur mes intérêts pendant mes absences. Je lui confiai donc les clés de l’entreprise et partis, la conscience tranquille, renouer avec ma jeunesse et la nostalgie. Au début de la deuxième semaine de vacances, ce devait être un samedi, vers 18 heures, j’étais assis à la terrasse d’une brasserie, sirotant un demi de bière et feuilletant un journal, quand une jeune femme vint s’assoir à ma table, sur la chaise en osier qui me faisait face. J’entendis une voix, légèrement tremblante et mal assurée, dire :
- Tu m’offres un crème et un croissant ?
Surpris, je levai les yeux de mon journal pour observer l’intruse : dix neuf / vingt ans, une veste en jean ouverte sur un tee-shirt bleu qui laissait deviner une poitrine arrogante mais encore juvénile ; des petits yeux noisettes au regard coquin ; des cheveux blonds, courts raides et soyeux ; une grande bouche, avec des lèvres superbement dessinées sur lesquelles vivait un sourire qui paraissait moqueur ou provoquant. Elle paraissait fatiguée, comme si elle avait voyagé toute la journée et qu’elle n’avait pas dormi la nuit précédente. Ses habits étaient froissés et semblaient avoir souffert à cause d’une journée sans repos. Je lui ai souri et lui ai demandé ce que signifiait cette intrusion.
- Pourquoi un petit déjeuner ou un goûter, à cette heure-ci ?
Elle répond d’une voix forte et un peu provocante (comme pour cacher une très forte gêne).
- Je n’ai pas mangé de toute la journée, et j’ai très faim !
- Alors pourquoi pas un sandwich ou quelque chose de plus consistant ? Je vous en commande un ?
Reconnaissante, elle dit oui et avala très vite le croque-monsieur et le demi de bière que le garçon lui avait rapidement apporté, après avoir vérifié que c’était bien moi qui allait régler l’addition. Elle paraissait encore avoir faim.
- Un autre sandwich ? proposai-je en faisant attention à ne donner aucune intonation suspecte à ma voix.
Elle acquiesça d’un léger mouvement de tête, en évitant de me regarder en face, et avala un deuxième sandwich avec autant d’appétit que le premier. Je l’avais laissé manger sans rien dire, faisant semblant de continuer la lecture de mon journal. En réalité ma curiosité était à son comble. Pourquoi une jeune fille comme cela (qui semblait normale et qui ne présentait aucun des signes qui font penser à une SDF faisant la manche) se retrouve là devant moi, avec un petit sac à dos comme seul bagage, quémandant sans honte un repas et le mangeant sans aucune gêne. Mais même quand elle avait terminé de manger et que je me fus assuré qu’elle n’avait vraiment plus faim, elle ne fit aucun geste pour se lever et partir. Elle resta là assise, pensive, les yeux perdus dans le vague : elle semblait réfléchir à quelque chose d’important. Elle était comme ces personnes sur le point de prendre une décision importante pour leur vie, mais qui hésite encore à sauter le pas. Je la surveillais du coin de l’œil, tout en continuant à faire semblant de lire mon journal. J’avais l’intuition – une intuition qui me trompe rarement – qu’elle voulait me demander quelque chose de très important pour elle et qu’elle hésitait encore, ne sachant pas trop quoi penser de moi. Sans en avoir l’air, elle était entrain de me jauger.
Je ne disais toujours rien, préférant la laisser venir. Au bout d’un moment, elle se racla la gorge et se lança.
- Tu m’emmènes chez toi ce soir ?
- ….. ?
Ne m’attendant pas à une demande aussi directe, j’étais resté estomaqué et figé. J’avais été complètement déstabilisé par une telle demande. Au bout de quelques secondes, je repris la maîtrise de la situation et lui dit :
- Il s’agit bien de venir passer la nuit chez moi ? N’est-ce pas ?
- Oui !
- Tu ne ressembles en rien à ces filles qui vendent leur corps pour un sandwich ou quoi que ce soit d’autre. Tu me parais être une fille de bonne famille, certes très fatiguée et qui a besoin d’un bon bain, mais qui ne pratique pas le plus vieux métier du monde. Je suis sûr que j’ai raison. J’ai certainement plus du double de ton âge et j’ai assez vécu pour reconnaître du premier coup une prostituée. N’est-ce pas ?
- Je n’ai pas dit que je voulais me vendre à toi ou que j’étais une prostituée. Il se trouve que je viens de débarquer à Paris, et que je n’ai pas où dormir cette nuit. Comme tu me parais quelqu’un de bien, quelqu’un qui n’a pas hésité à me payer des sandwichs et une bière sans même me connaître et sans rien me demander, je me suis dit que tu pourrais peut-être aller plus loin et m’offrir le gîte pour cette nuit. Je m’imagine que comme n’importe quel homme, tu ne le feras pas pour rien. Je suis assez belle et je pense être un bon coup ! Alors tu m’emmènes ?
- Tu ne sais même pas qui je suis ! Je pourrais être un de ces satyres qui n’attendent que l’occasion pour assouvir leurs vices ; ou même un proxénète qui profitera de toi pour te mettre à son service. Tu as pensé à cela ? Aux risques que tu coures ? Et puis, comme tu peux t’en rendre compte à mon teint et à mon accent, je suis étranger ; je suis à Paris en vacances ; pour moins d’un mois. Je pourrai profiter de toi et filer tout de suite après.
- Au point où j’en suis !
- Raconte !
- Non ! Cela n’en vaut pas la peine. Sache seulement que je suis obligée de passer quelques jours à Paris – je ne sais pas exactement combien de temps – en attendant de recevoir de l’argent de mon père, pour le rejoindre au Canada. Je suis complètement fauchée et ne sais pas quoi faire.
Elle commençait à avoir des trémolos dans la voix et je sentais qu’elle n’allait pas tarder à pleurer. Je voyais qu’elle faisait un énorme effort pour ne pas craquer et s’effondrer devant moi. J’ai toujours été une âme très sensible, incapable de supporter les larmes, surtout quand elles coulent des yeux de jeunes et jolies femmes. J’appelai le garçon pour qu’il nous serve encore deux demis. Elle eut un petit sourire un peu triste et se mit à siroter le demi de bière, en me regardant avec insistance. Elle attendait ma réponse avec angoisse. Si je disais non - ce qui aurait été très sage de ma part – il lui faudra trouver une autre solution pour passer la nuit. Sans argent, il lui était impossible d’aller à l’hôtel. Un abri pour SDF, il n’en était pas question ! La seule planche de salut qui s’offrait à elle, en ce moment c’était ce quadragénaire que la destinée avait mis sur son chemin et qui semblait généreux et bon.
- OK ! Tu peux venir passer la nuit chez moi. Mais avant cela je veux confirmer que tu n’es pas mineure et que tu n’es pas fugitive.
- Je t’assure que je ne suis pas mineure. Je vais avoir vingt ans dans deux mois. Quant à fugitive, c’est vrai que j’ai quitté la maison dans laquelle je vivais dans une banlieue de Bordeaux, mais c’est mon droit.
- Il n’y a donc aucun lézard ?
- Non absolument aucun ! Je suis seulement très fatiguée et j’ai vraiment envie d’un bon bain. Offre-moi cela et je t’en serais reconnaissante pour la vie. Je suis partie de chez-moi sans rien emporter, pas même des habits de rechange, sinon un jean, et sans vraiment avoir réfléchi aux conséquences. J’ai compté sur la chance et je suis maintenant sûre que cette chance c’est toi !
Je me levai et tendit la main à la fille pour qu’elle me suive. Elle a mis sa main dans la mienne et nous sommes partis, à pied, vers le quartier dans lequel je logeais et qui n’était pas très loin. Je me suis rendu compte que je ne lui avais demandé ni son nom ni son prénom et que je ne lui vais pas dit les miens.
- Au fait, dis-je, je m’appelle Rafik. Je suis un homme d’affaire algérien en vacances pour un mois à Paris. Et toi ?
- Christine ! J’ai vingt ans, étudiante en informatique, sur le point de rejoindre mon père au Canada et m’y installer.
Chemin faisant, je lui fis raconter son histoire. J’étais surtout intéressé par les raisons de sa fugue. Des filles qui ne s’entendent pas avec leurs parents, il y en a des tas, dans toutes les sociétés et dans tous les pays. Mais très peu fuguent réellement. Et surtout, quand elles le font, elles préparent soigneusement leur fuite. Christine elle, est partie soudainement, sans rien préparer et surtout sans argent qui lui aurait permis de tenir quelques jours, le temps de voir venir. Les vraies fugueuses ont des amis chez qui elles se rendent ; s’organisent seules ou en groupe ; prennent un certain nombre de précautions. Il y a bien entendu celles qui tombent dans les nombreux pièges posés par des prédateurs, pour les transformer en prostituées. De toute évidence, Christine n’appartenait à aucun de ces groupes.
Ma curiosité était à son paroxysme. Pendant que nous marchions vers le quartier dans lequel j’habitais, j’essayais de la faire parler et de lui tirer les vers du nez. Je crois que le fait de marcher côte-à-côte, sans avoir à la regarder en face, ou plus exactement sans qu’elle n’ait à me garder en face et voir dans mes yeux ce qu’elle pensait être de la réprobation ou un jugement négatif, l’avait rendue plus loquace. Au fur et à mesure qu’elle parlait et qu’elle vidait sa conscience de ce qu’elle prenait pour de la culpabilité, elle me donnait les clés pour comprendre ce qui s’était réellement passé, il y a un peu plus de vingt quatre heures et qui l’avait amené à se retrouver ce jour, sans vraiment l’avoir voulu, en ma compagnie, en route vers chez moi pour y passer la nuit.
- Jusqu’à ce matin, je vivais avec ma mère et son concubin dans un pavillon chic de la banlieue de Bordeaux. Ma mère et mon père avaient divorcé, il y a presque dix ans. J’étais encore petite et la séparation de mes parents m’avaient fait beaucoup de peine ; mais je m’y étais faite assez rapidement. Après deux ans, mon père était allé s’installer au Canada et s’y était remarié. Ma mère, elle aussi n’était pas restée longtemps seule. Elle avait pris plusieurs amants, avant de rencontrer Robert, son concubin actuel qui lui était rapidement devenu indispensable. Elle en était tombée follement amoureuse.
- Il devait être beau et viril, m’entendis-je lui demander ?
- Oh oui ! Non seulement il était beau et viril, mais il a quinze ans de moins qu’elle : elle va vers la cinquantaine, alors que lui n’a que trente-cinq ans ! Je crois que c’est à cause de cette différence d’âge, qu’elle s’est attachée à lui et qu’elle en devenue totalement dépendante.
- Explique !
- Maman a trouvé en Robert, tout ce qu’elle cherchait chez un homme, pour vivre ses fantasmes sexuels ; tout ce que papa n’avait pas su lui apporter. Depuis qu’il est entré dans sa vie, et qu’il est venu vivre chez nous, maman a complètement changé. Elle est devenue heureuse ; et cela se voyait sur son visage qui était devenu plus lumineux ; sur son sourire qui avait remplacé la mine sombre qu’elle avait depuis son divorce.
- Elle a tout simplement retrouvé l’amour !
- Non ! Elle a surtout trouvé l’homme qui physiquement lui donnait pleine satisfaction ! L’homme qui la faisait grimper aux rideaux ! Celui qui la faisait jouir comme une folle ! Elle a trouvé son maître, dans le sens plein du terme ! Je l’ai entendue plusieurs fois lui avouer qu’elle était sa chienne et qu’elle était heureuse de l’être !
- Il n’y a là rien d’anormal, dis-je, simplement pour ne pas laisser tomber la conversation et l’inciter à aller plus loin dans ses confidences.
- Si ! Parce qu’elle s’est laissée enfermée dans une logique telle, qu’elle a fini par devenir totalement dépendante de lui. Il a arrêté de travailler et vit maintenant totalement à ses dépens. Maman est directrice d’une grande agence bancaire dans la banlieue de Bordeaux. Elle gagne bien sa vie et a une bonne position sociale. Le pire c’est qu’elle semble vraiment heureuse que son homme dépende totalement d’elle pour vivre ; elle pense qu’ainsi, il ne peut pas la quitter. Elle n’a toujours pas compris qu’en fait, en se comportant ainsi, c’est elle qui est devenue sa prisonnière et qu’il pouvait faire d’elle ce qu’il voulait. Sexuellement, elle dépend totalement de lui. Je les ai entendu des dizaines de fois faire l’amour et surtout j’entendais maman crier sa joie d’être l’esclave de Robert et d’y prendre tant de plaisir. Je l’entendais hurler qu’elle aimait tout ce qu’il lui faisait faire. Je l’entendais crier qu’elle aimait son immense engin quand il la pénétrait et qu’il lui faisait mal ; qu’elle adorait quand il l’enculait ; quand il la remplissait de sperme ; quand il l’obligeait à boire tout son foutre ; quand il prenait dans toutes les positions et dans tous les endroits.
- Il lui donnait tout simplement tout ce qu’elle désirait. Ta maman doit être une sacrée bonne femme ! Une femme qui aime le sexe sans tabous. Il n’y a rien de plus normal !
- Sauf que lui est un vrai salaud. Il ne se contente pas de profiter de maman, financièrement et sexuellement. Il a aussi flashé sur moi. Cela fait plus d’une année que je dois faire preuve de toutes sortes de ruses pour ne pas tomber dans les pièges qu’il n’arrête pas de me poser. Il y a environ une année, en me levant la nuit pour aller aux toilettes, je l’avais trouvé à moitié nu dans la salle de bain. En me voyant, il eut un rire sarcastique et sortit son engin de son slip pour me le monter. Il bandait comme un âne (il venait pourtant de baiser et de faire jouir très fortement maman. Je l’avais entendue le lui affirmer une dizaine de minutes auparavant). Il me demanda ce que je pensais de sa virilité et si je ne voulais pas y goûter. Je ne dis rien et fis demi-tour pour revenir dans ma chambre. Son rire sarcastique m’avait poursuivi jusque dans ma chambre. Pendant toute la nuit je n’avais pas pu m’empêcher de penser à cet immense sexe et, pire, je n’avais pas pu empêcher de mouiller ma culotte.
- Tu n’avais jamais vu un homme nu auparavant ?
- Si ! Mais pas comme celui-là ! Pas avec un tel engin ! Et surtout pas un homme qui avait une telle envie de moi et qui me poursuivait avec un rire qui signifiait que je pouvais fuir, mais que je ne lui échapperai pas. D’ailleurs depuis, il n’a pas arrêté de me montrer qu’il me voulait et qu’un jour ou l’autre, je lui appartiendrai, comme maman lui appartenait. Il m’avait dit qu’il savait que je pensais à lui toutes les nuits. Et que toutes les nuits je me caressais en pensant à son magnifique engin et que rêvais de m’offrir à lui.
- Et c’était le cas ?
- Oui et non ! Oui parce qu’effectivement en les entendant chaque nuit faire l’amour ensemble, en entendant maman jouir comme une folle et hurler son bonheur, en entendant Robert cracher toutes sortes d’insanités et se comporter en maître absolu de son esclave sexuelle, j’étais super excitée et ma culotte se remplissait de mouille. D’un autre côté, j’adorais maman et le fait même de mouiller en pensant à son homme me remplissait de culpabilité. Mais en réalité, je rêvais de remplacer maman entre les bras de Robert. J’étais jalouse du plaisir qu’elle prenait avec lui et j’en voulais ma part. Et puis une nuit, très tard, il s’était aventuré dans ma chambre et est venu me réveiller en me présentant son immense sexe devant la bouche en m’ordonnant de le sucer. J’étais à moitié endormie ; c’est peut-être la raison pour laquelle je n’avais pas résisté et que j’ai attrapé son sexe pour l’embrasser et le mettre dans ma bouche. Il s’est alors mis à me baiser par la bouche, en faisant pénétrer son engin sans précaution jusqu’au fond de ma gorge. J’avais la bouche totalement remplie ; je n’arrivais plus à respirer. Il me tirait par les cheveux et faisait faire à ma tête des allers-retours douloureux sur son manche. Il m’insultait, comme il insultait maman quand elle lui faisait une fellation (« suce espèce de grosse pute ! suce ton maître !) Il ne s’arrêta que quand il entendit maman l’appeler. Elle s’était réveillée et ne le trouvant pas allongé à ses côtés, elle l’appelait pour savoir où il était. Il lui répondit qu’il était aux toilettes et qu’il arrivait tout de suite. Il m’avait promis de revenir le lendemain matin, après le départ de maman pour son travail, « pour m’occuper de ton petit cul ! ».
- Il ne s’est donc rien passé de grave entre vous cette nuit là.
- Non mais je venais de comprendre que si maman ne s’était pas réveillée, je serais devenue sa maîtresse. Et le pire, c’est que je crois que ça m’aurait plu. J’ai donc pris la décision de partir. Le lendemain matin, juste après le départ de maman pour son travail, et sans attendre le réveil de Robert qui avait pris l’habitude de faire la grasse matinée, j’ai quitté la maison pour prendre le train pour Paris. Et me voici !
- Tu ne voulais pas te retrouver seule avec lui ?
- Non ! Tout le reste de la nuit, je m’étais posé la question de savoir ce que je voulais vraiment. Au petit matin, j’en suis arrivée à la conclusion que je n’avais pas le droit de faire du mal à maman. Je ne pouvais pas rester sous le même toit que Robert et elle. Si je le faisais, j’étais sûr que très rapidement, il se passerait quelque chose entre nous : soit qu’il me violait (et il est du genre à le faire, sachant qu’il ne risquait pas que j’aille me plaindre à maman !) soit que je me laisse séduire et m’offre à lui (ce qui ne me semblait pas non plus impossible). Maintenant que tu sais tout, tu dois me trouver dégueulasse. Une vraie pute !
- Non au contraire ! Je te trouve très méritante : tu ne t’es pas laissée aller à tes impulsions : t’offrir à l’amant de ta mère et créer ainsi une situation invivable pout toi et ta maman. Tu aurais bien sûr pu dénoncer à ta mère le comportement de son concubin et créer ainsi un climat de suspicion dans la maison ; car rien ne dit que ta mère t’aurait cru toi plutôt que Robert, qui aurait bien entendu tout nié et t’accuser de le poursuivre de tes avances. Je trouve que tu as bien agi, sauf que tu n’as pas pris toutes les mesures qu’il fallait pour quitter la maison. Tu aurais dû prendre des vêtements de rechange et de l’argent pour tenir au moins quelques jours.
- Non, si j’étais resté une journée de plus, je crois que l’irréparable aurait été fait. J’ai simplement averti mon père par téléphone pour lui dire que je venais le rejoindre au Canada et qu’il me fallait de l’argent pour le billet d’avion. Il attend que je lui donne une adresse à laquelle il doit m’envoyer le prix du billet d’avion.
- Et bien cette adresse tu l’as maintenant. Mais tu dois réellement remercier ta bonne étoile de n’être pas tombée entre des mains malintentionnées. Nous voici arrivés chez moi. Aller, entre !
Nous entrâmes dans l’immeuble, prîmes l’ascenseur pour la quatrième étage et entrâmes dans le petit trois pièces que j’occupais pour les vacances (le reste du temps, c’est mon jeune frère qui vit à Paris qui y habite : cela lui permettait d’économiser le montant d’un loyer et pour moi d’avoir quelqu’un qui s’occupe du logement et assure sa sécurité). Christine trouva l’appartement à son goût (il est vrai que mon jeune frère, artiste, s’était occupé de la décoration et des meubles) et alla immédiatement s’affaler sur l’immense sofa du salon. Elle était éreintée.
- Ecoute vas prendre un bain chaud, pendant que je prépare un repas rapide et arrange le lit. Tu y dormiras cette nuit. Moi je prendrai le sofa ; il est très confortable.
- Non c’est moi qui dormirai sur le sofa. Je vais prendre un bain. Merci, mille fois pour ce que tu fais pour moi !
- Ne t’en fais pas pour cela ! J’ai l’âme et la vocation du bon samaritain ! C’est un plaisir pour moi de te rendre ce tout petit service. Profites-en pour laver ton linge dans la machine à laver. Je pense que d’ici demain, il aura le temps de sécher.
Elle s’enferma dans la salle de bain. L’opération dura une éternité. Au bout d’une heure, je commençais à m’inquiéter et alla frapper à la porte. Elle ne répondit pas. Inquiet, j’ouvris doucement la porte et trouvai Christine allongée dans la baignoire remplie d’eau très chaude et mousseuse. Je ne voyais que sa tête. Elle dormait !
Je m’approchai doucement, lui tapota sur l’épaule pour la réveiller. Elle ouvrit les yeux et sursauta en me voyant. Je la rassurai :
- Tu as dû t’endormir. Tu es très fatiguée. Sors de la baignoire. J’ai préparé le lit, tu vas directement dormir. Tant pis pour le dîner !
Je quittai la salle de bain pour la laisser s’habiller (je lui avais préparé une sortie de bain propre) et à ma grande surprise, elle me rejoignit dans le salon habillée d’un tee-shirt qui m’appartenait et que j’avais enlevé la veille. Il était bien trop grand pour elle ; il lui arrivait juste au dessus des genoux. Mais, mon Dieu, ce qu’il la rendait belle et désirable ! Mon cœur se mit à battre la chamade en la regardant. Elle était toute nue en dessous et ses formes, à la sensualité torride, se dessinaient sous le tissu de coton. Ses seins, de taille moyenne, pointaient vers l’avant comme de magnifiques pomelos bien juteux qui attendaient d’être croqués. Ses hanches étaient aussi larges que ses épaules ; la taille était fine . Son fessier n’était pas proéminent mais il avait des rondeurs à damner un saint. Ses longues jambes au galbe parfait semblaient fermes et douces ; de même que ses genoux bien rond et luisants et ses cuisses qui se dessinaient sous le tissu du tee-shirt.
Je n’ai pas encore parlé de son visage : un visage de forme presque ovale, avec un front haut, caché par une frange de cheveux blonds, des pommettes saillantes, des joues pleines, un petit nez droit et un montant légèrement avancé et volontaire. La bouche était grande, sensuelle et gourmande (un véritable piège à fantasmes érotiques) et les yeux bleus, ronds, rieurs et provocants. Elle avait un long cou fin, à la peau blanche, douce et brillante qui appelait les caresses et les baisers. La vue de Christine ainsi habillée (ainsi déshabillée, aurai-je dû écrire) avait réveillé mes pensées lubriques. C’était comme si je recevais une petite décharge électrique, agréable et en même temps douloureuse, parce qu’elle irradiait vers mon bas ventre et réveillait mon sexe qui était jusque là resté très sage.
- Tu es folle de t’habiller ainsi ! N’oublie pas que devant toi se tient un homme, avec des désirs d’homme ! Tu es trop belle et sensuelle pour qu’un homme puisse rester sage devant un tel spectacle ! S’il te plait va mettre une sortie de bain, ou une robe de chambre (tu en trouveras plusieurs dans l’armoire de la chambre), si tu ne veux pas que le bon samaritain ne se transforme en diable pervers !
- Tu me trouves belle ?
- …..
- Dis-moi que tu me trouve belle ! Et que tu as envie de moi !
- Je te trouve super belle, sensuelle et désirable ! Si je ne me retenais, je te sauterais dessus immédiatement et me comporterais pire que l’ami de maman ! Alors vas t’habiller et arrête de me provoquer. Aujourd’hui, j’ai décidé de me conduire en gentleman ! Quoique tu fasses pour me provoquer, je ne cèderai pas ! Je ne veux pas avoir l’impression de profiter de la situation de faiblesse dans laquelle tu te trouves pour assouvir mes bas instincts. Et des bas instincts en ce moment, je n’ai que cela. Si tu regardes en direction de mon pantalon, tu t’apercevras de l’effet de ta tenue sur mes « bas instincts ».
- Je veux dormir dans tes bras ! Même si nous ne faisons rien ! J’ai besoin d’une présence amicale pour me rassurer et dormir ! Je suis épuisée ! J’ai besoin de me reposer ! Viens avec moi dans le lit et prend-moi dans tes bras !
- Tu es folle ! Comment veux-tu que je dorme avec toi dans l’état d’excitation dans lequel tu m’as mis ? Tu n’as vraiment pas peur que je te viole ? J’ai l’âme d’un bon samaritain, mais je n’en ai ni la sagesse, ni la volonté. Je ne suis ni le Christ, ni le Bouddha pour pouvoir résister à la tentation.
- Alors fais-moi l’amour et dormons ! Tu me plais, tu es bon ! Tu es généreux ! Et je voudrais vraiment m’offrir à toi ! Mais pas aujourd’hui ! Demain matin, quand je me serai remise de la fatigue de la nuit dernière et de la journée ! Je voudrai en profiter à plein ! Prendre du plaisir ! Jouir comme une folle ! S’il te plait, ne me rejette pas ! Accepte de me prendre dans tes bras pour la nuit !
Comment résister à une telle demande ? Je lui dis que j’acceptais, mais que je ne garantissais pas le résultat. Je ne garantissais pas de me conduire en gentleman.
- Je prends le risque !
De ma vie, je n’ai passé une nuit aussi bizarre ! Christine s’engouffra sous la couette, me tendit la main pour que je la rejoigne, se blottit dans mes bras et sombra immédiatement dans le sommeil. Elle avait posé sa tête au creux de mon épaule gauche, sa poitrine contre la mienne et une cuisse insérée entre les miennes, venant caresser mon sexe qui avait atteint des dimensions extrêmes, tant il était excité. Je m’efforçais de ne pas bouger, pour ne pas la réveiller et aussi pour ne pas accroître le désir que j’avais de lui caresser la nuque et de palper son fessier qui était à portée de ma main droite. Dans son sommeil, probablement à cause de rêves qu’elle faisait, Christine se collait de plus en plus à moi ; elle frottait sa cuisse contre mon sexe, rendant mon émoi plus fort et mon désir de la réveiller et de lui faire l’amour, irrésistible. Aujourd’hui encore, je ne sais pas comment j’ai pu résister toute une nuit à une telle torture. Peut-être que j’avais vraiment l’âme du bon samaritain !
Je m’endormis très tard, au moment où les premières lueurs du jour pointaient à travers les persiennes de la porte-fenêtre de la chambre. Christine s’était levée, sans me réveiller, pour aller prendre une douche et préparer un copieux petit-déjeuner. Elle vint me réveiller vers neuf heures, en déposant un immense plateau contenant un copieux petit-déjeuner sur mes cuisses. Elle s’assit à mes côtés et commença à grignoter avec un appétit d’ogresse, les biscottes enduites de beurre et de confiture d’abricot. Elle avait gardé le tee-shirt de la veille et, à la lumière du jour, elle était encore plus désirable.
- Mange mon chéri ! Fit-elle avec un sourire moqueur.
Elle semblait heureuse. Comme si rien de désagréable ne s’était passé la veille ; et comme si elle commençait une aventure amoureuse très agréable qui allait durer l’éternité. Je ne dis rien et me contentai de manger avec appétit. Nous terminâmes le petit déjeuner dans un silence total, si ce n’est le bruit que faisaient nos dents sur les biscottes. Elle ne disait rien, mais son lumineux sourire parlait pour elle. Il disait qu’elle se sentait bien en ma compagnie ; qu’elle avait trouvé l’homme qui lui fallait ; l’homme qui lui assurerait bonheur et sécurité. Je m’en voulais de rabaisser son optimisme, mais je me disais qu’il était de mon devoir (toujours le bon samaritain !) de lui rappeler quelques vérités qu’elle semblait avoir oubliées.
- Ecoute-moi bien, ma grande ! Je suis un étranger en vacances à Paris. Dans trois semaines, je retourne dans mon pays pour y reprendre ma vie d’entrepreneur stressé. Je peux m’occuper de toi jusqu’au moment de mon départ. Après cela, je ne pourrai rien pour toi ; sinon me tenir au courant de ce que tu deviens. Il ne faut donc pas que tu construises un roman dans lequel toi et moi serions unis pour la vie ! Cela n’est pas possible ! Non pas que je n’en serais pas heureux ! Au contraire ! Je suis sûr que l’homme qui t’aura pour lui, sera le plus heureux des hommes ! Mais entre nous, rien de durable ne peut arriver. J’ai le double de ton âge ! Je suis étranger, d’une autre civilisation et d’une autre religion (bien que je sois athée !). Je suis un célibataire endurci ! J’ai plein de maîtresses !
- Mais qui te dit que je veux devenir ta femme ! Je suis heureuse comme je suis ! Tout ce que tu dis, je le sais et le comprends ! Mais tu ne peux pas m’empêcher de vouloir vivre quelques instants de bonheur avec toi ! Tu es un homme exceptionnel et je m’en voudrais de me séparer de toi, sans avoir vécu de grands moments d’amour ! Le jour où cela finira, j’en pleurerai peut-être, mais rien ne pourra m’enlever les instants de bonheur que j’aurai vécus à tes côtés et dans tes bras.
Cette fille n’arrêtait pas de m’étonner. Elle était prête, rien que parce que je l’avais accueillie, que je n’ai pas profité de ses moments de faiblesse pour abuser d’elle, que je lui paraissais être un homme généreux et de confiance, à me rendre au centuple le peu que j’avais fait pour elle.
Elle se leva pour débarrasser le lit du plateau. Elle l’emmena, en dandinant du cul, dans la cuisine et revint quelques secondes plus tard se jeter sur moi. Elle m’embrassa sur tout le visage, du front jusqu’au menton, en s’arrêtant longuement sur ma bouche. J’hésitai un peu à lui rendre ses baisers et puis, petit à petit, j’entrai dans le tourbillon des baisers et des caresses, que je lui donnais et qu’elle me donnait à en perdre haleine. Mon désir pour elle se réveillait au fur et à mesure que nos baisers devenaient plus torrides, plus mouillés et que nos langues se transformaient en duettistes jouant des morceaux de musique de plus en plus aérienne et élevée.
Il arriva un moment, où cédant au torrent de désir qui m’étreignait, je plongeai ma main sous le tee-shirt pour aller à la rencontre de ses magnifiques seins en forme de pomelos, et aussi fermes et juteux qu’eux. Elle s’arrêta de m’embrasser pour se mettre à l’écoute du plaisir que lui procuraient mes caresses sur sa poitrine et sur le bout de ses seins. Elle aimait la manière dont je lui caressais les seins, en insistant sur les tétons, fermes et très sensibles, que je roulais entre trois doigts, tirant de ma belle des petits gémissements de bonheur. Elle avait fermé les yeux et ouvert à demi sa bouche, pour mieux respirer. Elle bougeait doucement ses hanches que j’avais totalement dénudées en remontant le tee-shirt sur le haut de sa poitrine.
Je regardais avec des yeux exorbités le spectacle de la nudité de ma belle. Ses cuisses, légèrement entrouvertes laissaient voir un pubis rond, bombé et brillant, totalement épilé. Je voyais aussi, bien que pas très nettement encore, les grandes lèvres de couleur sombre, longues et délicatement ourlées. J’enlevai une de mains d’un sein et la lançai en exploration vers sa chatte. Je posais mes doigts sur la surface de la chatte et avec des petites pressions de la main, l’obligeais à ouvrir plus largement ses cuisses. J’entrepris de caresser les grandes lèvres par petites touches en suivant la fente qu’elles formaient. Christine souleva ses hanches, comme pour m’ordonner d’accélérer le mouvement de mes doigts. Elle posa sa main sur la mienne et lui fit faire un mouvement d’aller-retour sur la fente : un peu comme une vierge se masturbe, quand le désir de faire l’amour l’étreint.
Je laissai ma main suivre les ordres de ma belle et, en faisant légèrement pénétrer le bout d’un doigt pour aller à la recherche du clitoris, je masturbais consciencieusement les grandes et les petites lèvres et surtout le petit clitoris ferme et doux. Christine poussait des petits ronronnements de chatte heureuse et bougeait ses hanches au rythme de mes doigts sur sa chatte. Elle ne disait rien, mais au sourire béat qu’elle avait, aux gémissements de plus en plus rapides et de plus en plus rauques qu’elle poussait et à la bave qui coulait en quantité le long de ses joues, elle montrait qu’elle prenait du plaisir et qu’elle allait jouir très fortement.
- C’est bon ! C’est bon ! Continue ! Je sens que je vais jouir ! Je jouiiis !
Et effectivement, en me surprenant tant la jouissance était arrivée très vite, elle eut un orgasme qui lui fit soulever ses hanches très haut, crispa tous les muscles de son corps, figea le sourire qu’elle avait sur les lèvres pour le transformer en grimace et accentua le flot de salive qu’elle secrétait. Elle eut un râle de plaisir très long et très sonore et déversa un flot de jus sur ma main et en dehors de sa chatte, puis relâcha tout d’un coup tous ses muscles pour s’affaler dans le lit. Le rythme de sa respiration redevint petit à petit normal et sur ses lèvres elle avait posé un merveilleux sourire de femme heureuse. Je l’embrassai tendrement sur la bouche et l’obligeai à ouvrir les yeux. Je voulais les voir briller de bonheur. Et c’est effectivement avec des yeux brillants et un regard reconnaissant qu’elle me dit :
- Je savais qu’avec toi, j’allais vivre des instants merveilleux. Tu m’as faite jouir, rien qu’en me caressant. Je ne croyais pas cela possible. Je pensais que seule la pénétration pouvait apporter la jouissance, pas les caresses superficielles.
- Tu n’as encore rien vu ! Je vais encore te faire jouir, sans te pénétrer ! Rien qu’avec ma bouche et ma langue ! Après cela, je m’occuperai de te remplir les trous et donner du bonheur à Popaul ! C’est ainsi que j’appelle mon sexe, quand il est en érection !
Sans attendre, je me mis entre les jambes de ma mie, les lui fis relever et plier de manière à ce qu’elle pose ses cuisses sur son ventre, pour jouir du merveilleux spectacle qui s’offrait à mes yeux. La chatte de ma mie était un véritable poème : une couleur légèrement plus sombre que le reste du corps, des grandes lèvres longues, bombées, ourlées, ouvertes sur des petites lèvres cramoisies, palpitantes et luisantes de mouille ; elles s’ouvraient sur une entrée étroite de vagin, sombre et mystérieuse. Il se dégageait de cette superbe chatte un léger parfum enivrant de musc. Un parfum tellement aphrodisiaque que tous mes sens avaient atteint le paroxysme de l’excitation.
Je plongeai ma bouche sur sa chatte et avec deux doigts j’écartais les grandes lèvres pour avoir accès au reste. Je me mis à téter, lécher et sucer les petites lèvres, lancer ma langue à la recherche du clitoris que je me mis à mordiller doucement. Christine, s’était remise à ronronner et à soulever ses hanches pour offrir à ma bouche plus de prise. Elle prit ma tête entre les mains et pressa très fort comme pour la faire pénétrer totalement dans sa chatte et l’empêcher de quitter l’endroit. Elle accompagnait ainsi les mouvements de ma bouche sur sa chatte en bougeant ses hanches au même rythme. J’avais les oreilles enserrées entre ses cuisses et entendait, très amortis, les gémissements rauques de ma mie. Je faisais entrer ma langue le plus loin possible dans l’étroit vagin et ramassais au passage tout le jus légèrement salé qu’elle secrétait en grande quantité. Il me semblait avoir bu avec délectation des litres de ce jus. Et puis, aussi vite que la première fois, la jouissance vint, dévalant comme un torrent en furie.
Je sentis les muscles de ma belle se tendre comme les cordes d’un arc, ses hanches monter encore d’un cran et bouger plus vite, ses mains presser encore plus fort sur ma tête en la forçant à aller et venir plus rapidement entre ses cuisses, et comme parvenant du fond de ses entrailles, ses gémissements s’accélérer et s’arrêter subitement. Elle cria qu’elle jouissait et déchargea dans ma bouche une tonne de jus que j’essayais de boire en totalité. Sa jouissance dura plus longtemps que la première fois. Elle resta un long moment les hanches relevées et les muscles figés et ne se relâcha qu’au bout d’une période, qui me parut avoir duré une éternité. Elle s’affala d’un coup sur le lit, relâchant ma tête et desserrant ses cuisses. Sa respiration était encore saccadée, mais le sourire béat qu’elle avait sur les lèvres en disait très long sur l’énorme plaisir qu’elle avait pris. J’en étais très heureux pour elle et très fier d’avoir réussi à la faire jouir autant.
Je vins m’allonger près d’elle et en la prenant dans mes bras, me mis à la couvrir de baisers doux et tendres en lui murmurant des mots d’amour. Elle se blottit très fort contre moi et écouta mes paroles en souriant de bonheur. Mes mots d’amour étaient vraiment sincères : à ce moment, j’étais vraiment amoureux fou de cette merveilleuse et étrange fille.
- J’ai rarement rencontré de filles comme toi ; aussi belle, aussi sensuelle et sans tabous. Totalement offerte ! Je crois vraiment que je suis entrain de tomber amoureux ! C’est la pire des choses qui pouvait m’arriver !
- Pourquoi ? Tu trouves que je ne suis pas digne de ton amour ? Que je suis une pute, pour m’être offerte à toi aussi vite et pour ne pas avoir résisté aux assauts de Robert ? Moi aussi je suis sûre de t’aimer. Seulement moi je ne me pose pas de question pour l’avenir ; je profite du bonheur du moment. Comme celui que tu viens de m’offrir !
- Non cela n’a rien à voir ! Je suis seulement plus réaliste que toi. Moi je pense à l’avenir. Et cet avenir risque de nous rendre tous les deux très malheureux.
- Arrête tes mauvaises pensées et baise-moi ! Montre-moi ton engin, je suis sûre qu’il est énorme !
Je venais subitement de me rendre compte que j’étais resté avec le pantalon de pyjama et le tee-shirt gris que je portais pour dormir. Contrairement à mes habitudes, je ne m’étais pas fait caresser, ni sucer le vit avant d’entreprendre quoi que ce soit d’autre avec ma maîtresse. Je me déshabillai donc en commençant par le haut puis en abaissant le pantalon. Je restai ainsi le cul en l’air et surtout, le membre dressé comme un mât de tente et menaçant comme un sabre. Christine le regarda un moment étonnée par sa taille.
- Je croyais que le sexe de Robert était immense, mais le tien l’est encore plus ! Tu vas me tuer avec un tel engin !
- Commence par le caresser pour l’apprivoiser !
Elle tendit précautionneusement la main, comme si elle avait peur de se faire mal. Elle le toucha, puis retira la main. Je la lui pris et l’obligeai à le prendre fermement ; à le tâter et le palper de manière à s’habituer à son volume et à sa dureté.
- Je n’arrive pas à le prendre totalement dans ma main ! Il semble fort, mais il est doux ! Et puis, il est très beau ! Il n’est pas rempli de veines comme celui de Robert ! Il est plus lisse et a un gland très large qui lui donne un tel air de puissance ! Je ne crois pas qu’il pourra rentrer dans ma vulve qui est très étroite ! Tu vas certainement me faire très mal !
- Embrasse-le !
Elle se positionna au bas du lit, entre mes jambes ouvertes et repris l’engin dans sa main, tout en y approchant sa bouche. Elle commença par de tout petits baiser sur le gland, puis se mit à promener sa langue sur toute la hampe. Cela dura quelques secondes avant de se décider à ouvrir la bouche et à y introduire la pointe du gland, puis tout le gland et de commencer à le téter. Elle ne savait pas encore comment s’y prendre. Je l’aidais à trouver la bonne formule en lui susurrant d’ouvrir plus grand sa bouche, d’éloigner les dents et d’utiliser la langue pour titiller le gland. Elle fit consciencieusement tout ce que je lui demandais. Je commençais à trouver l’opération agréable ; elle ne me faisait plus mal avec les dents et la conjugaison de la tétée et du titillement de la langue avait sur moi un effet excitant très agréable. Je pris les choses en mains en la tenant par la nuque et en lui imposant une forte pression de manière à faire pénétrer l’engin lentement dans sa bouche et à le pousser jusque dans la gorge.
Je me suis rapidement rendu compte que ma belle n’avait jamais pratiqué de fellation. Elle ne savait pas comment s’y prendre. J’avais peur qu’elle n’étouffe ou qu’elle ne vomisse au moment où mon sexe atteindrait et dépasserait la glotte. Je m’y suis pris donc avec précaution, approchant lentement le gland de la luette, pour tout de suite revenir à l’entrée de la bouche et repartir en sens inverse, toujours précautionneusement. Je fis ainsi plusieurs allers-retours pour habituer la bouche et la gorge de ma belle à la présence de Popaul. Au bout de quelques minutes, en effet, Christine semblait plus à l’aise avec mon sexe dans la bouche et la gorge. Je pouvais passer donc à l’étape suivante qui celle de l’utilisation de la main et de la langue.
Je lui pris la main droite et la lui fis poser sur la hampe, lui faisant faire un mouvement de masturbation qui suivait son va-et-vient dans la bouche. Elle s’y fit très rapidement et sa main se mit à me masturber comme une vraie professionnelle. Elle pompait avec ses lèvres et sa bouche et branlait avec sa main. C’était divin ! Il ne manquait plus que le rôle de la langue sur le gland. Je lui dis d’utiliser la langue pour titiller et enrouler le gland au moment où il arrivait à son niveau. Elle finit rapidement par acquérir le tour de main et à me faire une fellation d’enfer. J’étais au paradis ! Je sentais le plaisir monter en moi et s’approcher le moment où j’allais éclater dans la bouche et la gorge de ma belle. Je lui dis que je n’allais pas tarder à jouir et à la remplir de sperme. Je me demandais toutefois ce que j’allais faire au moment fatidique : tout déverser dans sa bouche en l’obligeant à boire, ou tout déverser dehors, sur son visage, sa gorge et ses seins. Je n’eus pas à me poser la question longtemps. Je n’avais pas pu retenir une première giclée de sperme qui était arrivée en un puissant jet abondant, épais et brûlant, au fond de sa gorge. Elle avait failli étouffer et fit un effort surhumain pour ne pas vomir et pour tout avaler.
Je décidais donc d’éjaculer le reste à l’extérieur. Je sortis Popaul de la bouche et le pris dans une main pour le masturber et faire sortir le reste du foutre qui alla s’écraser d’abord sur son visage, puis sur ses seins et son cou. Ma belle était magnifique, ainsi remplie de foutre blanc, visqueux et épais. Elle me regardait avec des yeux brillant de fierté, comme si elle venait de passer et de remporter haut la main une épreuve importante. Je lui pris la main et l’obligeai à aller ramasser avec ses doigts un peu du sperme qu’elle avait sur le visage et à le porter à sa langue. Elle comprit rapidement ce que je voulais qu’elle fasse et le fit consciencieusement. Elle ramassa ainsi tout le foutre qu’elle avait sur la face et le lécha avec avidité. Je lui repris la main pour l’amener sur sa poitrine et étaler le sperme qui s’y trouvait sur ses seins. Elle le fit en me regardant droit dans les yeux, un sourire provocant sur les lèvres en disant :
- J’adore ton sperme ! On dirait du miel ! La prochaine fois tu déverse la totalité dans ma bouche et dans ma gorge ! Je te promets de tout avaler !
- Ne me dis pas que c’est la première fois que tu fais une fellation à un homme ! J’ai vu que tu ne savais pas comment t’y prendre !
- Qu’est-ce qui a bien pu te faire croire que je suis une experte en amour. Tu sais tu es mon premier mec. J’ai bien eu quelques flirts, mais jamais rien de sérieux.
- Ne me dis pas que tu es vierge !
- Et bien si ! Je suis vierge ! Vierge de partout ! Du sexe, du cul et de la bouche !
C’était comme si je venais de recevoir une gifle ! Je m’étais laissé prendre à son comportement de la veille : sa manière de m’aborder, de s’inviter chez moi et surtout à la manière dont nous avions passé la nuit ensemble, il ne m’était pas venu à l’idée que Christine pouvait encore être vierge. C’est vrai qu’elle était encore très jeune - à peine vingt ans – mais à cet âge là, beaucoup de filles avaient déjà fait l’amour. Pour moi Christine devait faire partie de cette catégorie de filles « précoces ». Et bien non ! Elle faisait partie de l’autre catégorie : celle qui tenait à leur virginité. Un torrent de scrupules s’était soudain emparé de moi. Je ne pouvais pas profiter ainsi d’une jeune fille vierge, qui plus est, était dans un état de faiblesse psychologique. Il n’était pas question pour un homme comme moi -un bon samaritain, comme je me qualifiais – de m’abaisser à profiter de la situation.
- Merde, tu aurais pu me dire que tu étais vierge, avant d’entamer quoi que ce soit ! Je ne t’aurais pas touché, si tu me l’avais dit !
- Justement, c’est bien pour cela que je n’ai rien dit ! Tu es tellement con, que tu ne m’aurais même pas embrassée ! Tu ne te rends donc pas compte à quel point, j’avais besoin de faire l’amour avec un homme bien. Si je ne l’avais pas fait avec toi, que j’ai eu l’immense chance et bonheur de rencontrer dans un moment de détresse, je ne l’aurais jamais fait avec personne d’autre. Ou alors je l’aurais fait, contrainte et forcée, et je n’aurais alors eu aucun plaisir. Que du dégoût ! Tu m’as réconcilié avec les hommes et la sexualité. Tous les hommes ne sont pas comme Robert : des malades sexuels.
- Franchement j’ai énormément de scrupules à continuer. Je me sens coupable ; comme si j’avais profité de ta détresse pour t’amener dans mon lit et jouir de ton splendide corps.
- Arrête tes conneries et fais de moi une femme ! Dépucelle-moi ! Continue à me donner du bonheur ! Je te jure que je n’aurais jamais de regrets de ce qui s’est passé et de ce qui se passera toutes ces journées et ces nuits que je passerai avec toi. Au contraire, je ne me souviendrai que des instants de bonheur. Tu m’as fait oublier l’existence de Robert ! Ou plus exactement tu m’as fait apprécier le comportement de Robert qui m’a poussée à m’enfuir et à te rencontrer. Ma destinée était celle-là : faire ta connaissance et devenir une vraie femme grâce à toi ! Aller, viens dans mes bras et dis-moi que tu m’aimes ; comme tu me l’avais avoué tout à l’heure !
- Je t’aime ! Mais franchement j’ai des scrupules à aller plus loin !
- Viens dans mes bras ! Tu verras je saurais chasser tes scrupules ! Je vais te transformer en taureau ne pensant qu’à fourrer Popaul dans mon trou ! Et même dans mes trous ! Car je veux aussi goûter à la sodomisation ! Je veux que tu m’encules ! Je veux que tu me défonce l’anus ! Je sais que les hommes adorent cela ! J’avais entendu plusieurs fois Robert le dire à maman, pendant qu’il la sodomisait ! Je suis sûr que toi aussi tu aimes ! N’est-ce pas ?
- Oui, j’aime ! Cela fait partie de mes préférences sexuelles ! J’aime autant les chattes de femmes que leurs anus ! Mais…
- Pas de mais ! Viens !
Mes scrupules avaient fondu comme neige au soleil. Il faut dire qu’au fond de moi, je voulais vraiment faire l’amour à cette belle plante. Lui faire l’amour, sans retenue et sans tabous. Et le fait qu’elle soit encore vierge était pour mon ego une véritable bénédiction. La seule chose que je ne voulais pas, c’était d’être considéré par elle, comme un homme sans scrupules, profitant d’une situation de détresse pour la posséder. J’étais heureux que Christine insistât tant. Cela me déculpabilisait. Sûr qu’il y avait en moi beaucoup de mauvaise foi ! Mais quel bonheur d’être désiré par une aussi merveilleuse fille ! Et quel bonheur d’en faire une femme !
Christine était toujours allongée sur le dos ; elle avait gardé toutes ses parties intimes totalement dénudées, le tee-shirt qu’elle n’avait toujours pas enlevé était remonté au dessus de ses seins. Elle avait les jambes écartées de manière impudique, laissant voir le triangle de son entrecuisse dans toute sa splendeur. Sa chatte palpitante s’offrait à mes yeux exorbités. J’en bavais de désir. N’y tenant plus, je vins me positionner entre ses jambes, les lui fis relever et plier de manière à poser ses pieds à plat sous ses fesses. Elle était totalement offerte à ma concupiscence. Elle avait gardé son sourire lumineux, mais je voyais à son regard interrogateur et légèrement voilé, qu’une crainte s’insinuait insidieusement en elle, à l’approche du moment fatidique.
Popaul, qui avait ramolli au moment où j’avais appris que ma belle était encore vierge et que j’avais commencé à culpabiliser, avait repris la forme olympique ! Il était droit comme un mât et tremblait de désir d’éclater l’hymen de ma belle. Christine surveillait l’engin et se crispa un peu quand elle le vit s’approcher de ses grandes lèvres. Je déposai le bout du gland entre les lèvres et poussai un peu pour le faire pénétrer dans la fente, à l’entrée du vagin. J’arrêtai là le mouvement entrant et me mis à lui caresser la chatte avec le gland en suivant la fente. Je le faisais entrer légèrement à l’intérieur des petites lèvres et à l’intérieur du vagin dont je testais en même temps l’étroitesse, l’humidité, la chaleur et la douceur. Un vrai régal pour mes sens !
En même temps que je la caressai avec mon sexe et que je titillai son clitoris, je lui murmurai que je l’aimais et que j’allais la faire grimper aux rideaux. Je lui murmurai de ne pas avoir peur ; que je ne lui ferai pas trop mal ; que le plaisir allait rapidement prendre le dessus sur la douleur ; que j’allais la faire jouir avant de la déchirer, rien qu’en la caressant avec mon sexe. Je lui demandai de le prendre dans sa main et de le faire aller et venir à la surface de sa chatte et à l’intérieur de la fente de ses grandes lèvres, de le faire pénétrer pour aller à la recherche de son clitoris.
- Masturbe-toi avec comme si c’était tes doigts. Trouve le rythme qu’il faut et fais-toi jouir. Je veux que tu jouisses ainsi avec Popaul. Tu sens comme il palpite dans ta main ? Continue comme cela !
- C’est merveilleux ! C’est beaucoup mieux qu’avec mes doigts ! Je sens le plaisir monter en moi ! Je vais jouir ! Plus vite ! Plus vite !
Elle eut une première jouissance ; courte mais intense. Elle n’avait pas lâché mon sexe qu’elle continuait à promener à l’intérieur de sa fente, à l’entrée de son vagin. Je me dis qu’il était maintenant temps pour moi de passer aux choses sérieuses et de m’occuper de la membrane de ma mie. Je profitai de l’état de béatitude et de relâchement créé par la jouissance, pour faire pénétrer mon membre jusqu’à ce qu’il cogne sur la fine membrane de l’hymen. Elle se crispa immédiatement et se remit à me regarder avec un peu de peur dans les yeux. Je lui fis un sourire rassurant, en me retirant légèrement avant de retourner cogner légèrement sur l’obstacle. Je refis l’opération plusieurs fois, jusqu’à ce que je la sente plus en confiance et plus relâchée. C’est le moment que je choisis pour donner une plus grande pression à mes hanches et déchirer la membrane d’un coup brusque.
- Aiiiiiie ! Tu m’as fait très mal !
Je laissai l’engin immobile un moment au fond du vagin. J’attendis quelques secondes, le temps que la douleur s’apaise un peu et me mis à faire des petits va-et-vient au fond du vagin. Je faisais vraiment attention à ne pas venir au niveau de la blessure. Je fis ainsi une vingtaine de va-et-vient au cours desquels je sentais l’excitation revenir chez ma partenaire. Elle s’accrochait à ma taille et tirait sur se bras, comme pour m’obliger à rester au fond d’elle. Je continuai ainsi jusqu’à ce que l’excitation de ma belle ait atteint un tel niveau, que plus rien ne comptait pour elle que le plaisir qu’elle ressentait et qu’elle sentait grandir au fur et mesure que j’allais et venais en elle, avec des mouvements de plus en plus longs et de plus en plus rapides. Elle m’accompagnait maintenant avec un mouvement identique de ses hanches et poussait des gémissements de plus en plus sonores et de plus en plus rapides. Je voyais aux grimaces involontaires qu’elle faisait, chaque fois que le gland de Popaul atteignait et dépassait l’endroit de la blessure, qu’elle avait mal, mais que le plaisir qu’elle prenait était largement supérieur.
Elle me tenait toujours par la taille ; mais maintenant elle accompagnait le mouvement de mon basin dans toute son amplitude ; elle ne cherchait plus à le maintenir au fond. Elle voulait sentir mon manche tout le long de son vagin, étroit, visqueux, doux et chaud. Elle cherchait même à le voir sortir complètement de son trou et repartir gaillardement à l’intérieur. Elle semblait fascinée par le sang dont il était enduit.
Elle gémissait, bavait et dodelinait de la tête comme une poupée désarticulée. Elle criait que c’est bon et qu’elle aimait se faire éclater la vulve par Popaul !
- Popaul c’est mon maître ! J’aime Popaul ! Je suis à lui ! Il est à moi ! Plus vite ! Je vais décharger ! Je décharge !
Sa respiration s’accéléra pour atteindre un rythme infernal, proche de l’étouffement. Elle releva encore plus haut son bassin, tendit tous ses muscles, partit soudain dans un énorme râle de jouissance, déchargea une tonne de cyprine qui se mélangea au sang de la déchirure de l’hymen et que Popaul, dans ses allers-retours rageurs, rejetait à l’extérieur. Elle relâcha tous ses muscles et s’affala sur le lit en tentant de reprendre sa respiration. Je continuai à accélérer le mouvement de va-et-vient dans son vagin et sentant le moment de la jouissance arriver en vagues énormes, je sortis de la chatte de ma belle pour ne pas éjaculer en elle. Je m’étais rappelé juste à temps, que Christine ne prenait pas de pilules contraceptives et que moi je n’avais pas mis de préservatif. J’envoyai plusieurs giclées de sperme sur le ventre de ma partenaire, en frottant mon pénis sur lui. Ce n’était pas comme si j’avais joui en elle, mais c’était presque aussi bon ; surtout quand elle m’envoya son merveilleux sourire et qu’elle m’attira vers elle pour me serrer dans ses bras.
- C’était merveilleux ! Je t’aime tant ! Grâce à toi je suis devenue une femme ! Une vraie femme !
Nous vécûmes ainsi trois semaines de lune de miel. Elle était réellement devenue ma femme. Nous fîmes l’amour, sans retenue et sans tabous, tous les jours et toutes les nuits. Nous nous sommes promenés dans Paris comme des amoureux. Nous avons visité les musées et les monuments la main dans la main. Nous avons été voir plusieurs spectacles. Et plus le moment fatidique de la séparation approchait (son papa lui avait envoyé l’argent pour le billet d’avion) plus je devenais triste. Elle vit le changement s’installer en moi. Je voulais la garder avec moi. Je voulais l’épouser. J’avais oublié tous ce que je lui avais dit auparavant concernant notre différence d’âge, notre différence de culture et de mode de vie, l’impossibilité de former un couple qui tienne face au temps et à l’adversité. Tout ce que voulais, c’était garder ma Christine auprès de moi. C’était elle qui avait été la plus réaliste des deux. C’était elle qui me parlait et me consolait, comme elle aurait consolé un enfant.
Le jour où elle prit l’avion pour Montréal est certainement le jour le plus triste de ma vie. Dans ma culture d’origine, les hommes ne pleurent pas ; surtout pas pour une femme. Et bien moi, j’ai passé plusieurs jours à pleurer comme un enfant. J’ai pleuré longtemps la perte d’un immense amour. Un amour improbable, mais bien réel. Aujourd’hui encore, presque dix années après, je regrette toujours le départ de Christine. Je ne l’avais jamais plus revue. Nous avons correspondu longtemps, nous promettons de nous revoir, à Paris, à Alger ou même à Montréal. Mais la vie n’avait jamais pu nous réunir à nouveau. Je suis resté célibataire. Et aux dernières nouvelles, elle aussi. Peut-être qu’un jour...

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Rafik vous devriez essayer de la retrouver car vous etes encore et toujours amoureux d elle Bonne Chance

Histoire Erotique
c'est une histoire formidable

Histoire Libertine
TRES BELLES HISTOIRES
ELLES ME PLAISENT BEAUCOUP
Sonia d'Alger

Histoire Erotique
vous faites sûrement les meilleures histoires de HDS félicitations
nous attendons tous avec impatience la prochaine histoire ! :-)

Histoire Erotique
superbe



Texte coquin : Le bon Samaritain
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.