Le bonheur du candaulisme
Récit érotique écrit par Le Poète [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le bonheur du candaulisme
Tu as tant de grâce et de beauté
Quand tu soumets ton corps au désir
D’un inconnu que tu as dragué
Que je sens ton bonheur m’envahir
À vous voir échanger des baisers
Sa langue pénétrant tes lèvres
Vos corps étroitement enlacés
Je sens monter en moi la fièvre
Il te dégrafe le corsage
pour câliner le bout de tes seins
Il n’est plus temps d’être trop sage
Et j’aime te voir cambrer les reins
Mais te voilà nue dans ses bras
Brusquement tu tombes à ses genoux
Appréciant un sexe de grand format
Ta bouche s’imprégnant de son goût
De temps en temps tu lèves tes yeux
Pour vérifier sa satisfaction
Tu es soumise et je suis heureux
D’entendre le bruit de tes succions
Quand vient son tour à te déguster
Il t’écarte les cuisses violemment
pour pénétrer ton intimité
Et entendre tes gémissements
Puis dans un long soupir elle lui dit
Je veux que ta bite entre en moi
Et je sais que mon mari aussi
Cela le met dans tous ses émois
Je veux être ta putain d’un soir
Celle qui adore faire l’amour
Pas comme celle qui fait le trottoir
Qui donne un plaisir bien trop court
Tu peux me labourer le ventre
Violemment à me faire crier
Car mon mari adore m’entendre
Te supplier de continuer
Je veux perdre ma lucidité
L’orgasme éclatant dans mon vagin
En sentant ton sperme m’inonder
Ce cadeau merveilleux et divin
Quand les deux amants furent repus
D’un geste ma femme m’appela
Je m’approchai d’elle tout ému
Tendrement je la pris dans mes bras
« Pour toi je me donnerai toujours
Me dit-elle à des étrangers
Car j’aime être ta belle-de-jour
Celle que tu aimes regarder
Quand je suis dans les bras d’un autre
Je me sens encore plus à toi
Quand un homme sur moi se vautre
C’est un spectacle que je fais pour toi »
Et je lui répondis tendrement
Je n’aurais jamais imaginé
Éprouver un bonheur aussi grand
À te céder à un étranger
Je me sens pénétré d’un bonheur
À aucun autre comparable
Que te voir t’offrir sans pudeur
Dans un abandon véritable
À te laisser pleinement jouir
Du sexe de tous ces inconnus
Et à t’entendre hurler de plaisir
Heureux je goûte au fruit défendu
Mon amour rien n’est plus merveilleux
Que te regarder défaillir
Quand sous ses coups de boutoir furieux
Tu t’écartes pour mieux les sentir
Ta jouissance se fait mienne
Je sens monter en moi le désir
Et dans une émotion païenne
Je sens l’adoration m’envahir
Tu es pour moi la divinité
À qui j’aime faire l’offrande
Des plaisirs sans cesse partagés
De cette recherche gourmande
Je te supplie de ne pas changer
Car tu es si belle à faire l’amour
Et ce serait un grave péché
D’arrêter cette passion un jour
Quand tu soumets ton corps au désir
D’un inconnu que tu as dragué
Que je sens ton bonheur m’envahir
À vous voir échanger des baisers
Sa langue pénétrant tes lèvres
Vos corps étroitement enlacés
Je sens monter en moi la fièvre
Il te dégrafe le corsage
pour câliner le bout de tes seins
Il n’est plus temps d’être trop sage
Et j’aime te voir cambrer les reins
Mais te voilà nue dans ses bras
Brusquement tu tombes à ses genoux
Appréciant un sexe de grand format
Ta bouche s’imprégnant de son goût
De temps en temps tu lèves tes yeux
Pour vérifier sa satisfaction
Tu es soumise et je suis heureux
D’entendre le bruit de tes succions
Quand vient son tour à te déguster
Il t’écarte les cuisses violemment
pour pénétrer ton intimité
Et entendre tes gémissements
Puis dans un long soupir elle lui dit
Je veux que ta bite entre en moi
Et je sais que mon mari aussi
Cela le met dans tous ses émois
Je veux être ta putain d’un soir
Celle qui adore faire l’amour
Pas comme celle qui fait le trottoir
Qui donne un plaisir bien trop court
Tu peux me labourer le ventre
Violemment à me faire crier
Car mon mari adore m’entendre
Te supplier de continuer
Je veux perdre ma lucidité
L’orgasme éclatant dans mon vagin
En sentant ton sperme m’inonder
Ce cadeau merveilleux et divin
Quand les deux amants furent repus
D’un geste ma femme m’appela
Je m’approchai d’elle tout ému
Tendrement je la pris dans mes bras
« Pour toi je me donnerai toujours
Me dit-elle à des étrangers
Car j’aime être ta belle-de-jour
Celle que tu aimes regarder
Quand je suis dans les bras d’un autre
Je me sens encore plus à toi
Quand un homme sur moi se vautre
C’est un spectacle que je fais pour toi »
Et je lui répondis tendrement
Je n’aurais jamais imaginé
Éprouver un bonheur aussi grand
À te céder à un étranger
Je me sens pénétré d’un bonheur
À aucun autre comparable
Que te voir t’offrir sans pudeur
Dans un abandon véritable
À te laisser pleinement jouir
Du sexe de tous ces inconnus
Et à t’entendre hurler de plaisir
Heureux je goûte au fruit défendu
Mon amour rien n’est plus merveilleux
Que te regarder défaillir
Quand sous ses coups de boutoir furieux
Tu t’écartes pour mieux les sentir
Ta jouissance se fait mienne
Je sens monter en moi le désir
Et dans une émotion païenne
Je sens l’adoration m’envahir
Tu es pour moi la divinité
À qui j’aime faire l’offrande
Des plaisirs sans cesse partagés
De cette recherche gourmande
Je te supplie de ne pas changer
Car tu es si belle à faire l’amour
Et ce serait un grave péché
D’arrêter cette passion un jour
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Gaver la femme de sperm ce n’est pas le meilleur moyen pour respecter le mari et se respecter soi même.
Sinon effectivement le poème est bien écrit.
Sinon effectivement le poème est bien écrit.
Bravo pour ce poème qui relate bien tout cet amour
Cyrille
Cyrille
