Le brame du cerf - histoire érotique

C'est décidé, cette année je ne loupe pas les rendez vous en forêt pour le brame du cerf. Dans ma région, c'est quelque chose à ne pas manquer si on ne connait pas.
La Sologne est très belle est ce début d'automne, elle commence à prendre mille couleurs sous le soleil.

Mon père, il y a quelques années m'avaient emmené à une de ces rencontres et je vous jure que j'avais eu la trouille de ma vie. J'avais je pense 15-16 ans à l'époque et d'entendre les grands cerfs bramer ben vous n'avez pas envie de la ramener.

Que je vous explique en quelques mots ce qu'est le brame du cerf et bien c'est la période où Monsieur Cerf a envie de se taper les belles biches des alentours. Alors monsieur se fait remarquer en bramant pour les attirer. Nous les humains ça nous scotche sur place, coupe le souffle, t'écoute, sans rien dire, sans bouger presque tétanisé. Il y a le brame pour attirer et séduire la femelle et le brame pour faire peur aux autres cerfs qui font la même chose et là, les amis, le cri n'est pas le même. On sent la colère pour éloigner l'intrus qui convoite la ou les mêmes biches et, quand plusieurs cerfs, si vous avez de la chance d'être là, se mettent à bramer les uns contre les autres personne ne moufte! C'est à celui qui criera le plus fort!
Il ne faut pas rater ça car la période des amours ne dure qu'un mois après c'est le calme plat, ils vivent ensemble sans baiser.

Pas comme nous qui avons toujours besoin de vidanger. Heureusement qu'on baise pas pour uniquement se reproduire on serait bien embêté, nous autres les mecs qui aimons les mecs!

Il faut réserver pour les soirs de brame, et payer. C'est organisé par le service des Forêts, et un ou deux gardes sont présents et nous emmènent là où il faut!

Me voilà donc rendu au point de rendez-vous à l'entrée de la forêt où l'on peu stationner les voitures. Une vingtaine de personnes sont là, pas mal de couples et des enfants d'une dizaine d'années, c'est interdit au moins de 10 ans. On se salue, ça papote de choses et d'autres, surtout d'animaux de la forêt et je vois arrivé une dernière voiture, d'où sort un jeune mec dans mes âges. Je le regarde arriver du coin de l'œil, belle bête aussi qui semble pas sauvage lui! il se fait discret car les gardes ont déjà commencé à nous expliquer ce qui allait se passer.

Il me fait un petit signe de tête avec un beau sourire, s'approche de moi.
-j'ai pas trop loupé de trucs ? demande t-il tout bas.
-non non ils venaient juste de commencer et de toute façon ils viennent avec nous.
-moi c'est Cédric dit-il en me tendant la main.
-Fabrice dis je en lui serrant, enchanté jeune homme!
-ah ah jeune homme mais t'as le même âge que moi non ? 25 ?
-tout juste...!

On a suivi les gardes en forêt, pratiquement à la queue leu leu mais deux par deux. Il marchait à côté de moi, je l'observais à la dérobée. Il n'était pas mal quand même ce mec! beau châtain, bien bâti, cheveux courts, des yeux clairs et un beau sourire! il parlait doucement, sans arrêt.
Il était prêt de 19h30 quand nous sommes arrivés dans un endroit, où la forêt se trouvait presqu'en lisière de champs. Les gardes nous ont demandé de faire le silence et de nous installer là où ils disaient et maintenant il fallait attendre!

On était dans un endroit où de grosses branches étaient tombées, on s'est assis tous les deux en se regardant sans rien dire. Cela avait l'air de lui coûter de ne rien dire. Il souriait, il ne fallait pas qu'on se regarde trop car comme des gosses on aurait éclaté de rire sans savoir pourquoi.
L'attente est la moitié du plaisir a dit je ne sais plus qui... eh bien on devrait en avoir du plaisir.

Le silence s'était fait, la nuit tombait doucement heureusement que la nuit était claire.
Quand je dis le silence, en fait, il y a tous les bruits de la forêt, des branches qui craquent, des oiseaux de nuit qui s'envolent, des grognements commençaient à se faire entendre quand vers 20h15 on a tous vu arriver un grand cerf majestueux avec ses grands bois, la tête haute, les oreilles aux aguets qui tournaient dans tous les sens et d'un seul coup il a poussé son cri.

Un long cri rauque, extrêmement fort qui m'a cloué sur place en même temps que Cédric se saisissait de ma main pour la serrer très fort. J'ai failli crier de surprise et le râle a recommencé. On observait tous, inquiets, anxieux de voir se pauvre animal réclamer sa biche.
Il donnait de la voix le pauvre mais les biches semblaient aux abonnés absents.

Mais il y a eu des craquements dans le bois que nous avons entendu entre deux brames. Toutes les têtes se sont tournées vers l'origine des bruits et les merveilleuses biches étaient là, six biches arrivaient fières, la tête relevée et s'approchaient du mâle en rut qui redoublait ses brames quand il les a senti. Ses naseaux fulminaient et ses cris rauques ont augmenté les regardant.
Cédric me serrait toujours la main.

Quand soudain, un grand bruit est venu derrière les biches. Un deuxième cerf arrivait bride abattue se clouant sur place quand il a aperçu son adversaire et s'est mis lui aussi à gueuler mais pas le même bruit que le premier qui s'est mis à lui répondre émettant encore un autre son. Ils s'étaient rapprochés, se fixaient, les naseaux crachaient. Ils étaient face à face, ils ont baissé leur tête et d'un seul élan se sont jetés l'un sur l'autre.

Le bruit qu'a fait les bois s'entrechoquant, des bruits secs qui claquaient dans le clair de lune.
Je peux vous dire que c'était magnifique à voir.
La main de Cédric me serrait à me faire mal je le regardais, il avait les yeux fixés sur la bagarre et ne semblait pas se rendre compte qu'il me tenait la main. Je souriais et revenais au spectacle.

Fallait les voir se jeter l'un contre l'autre à l'orée de la forêt. La terre giclait sous leurs sabots, ils se sont bien battus pendant 20 minutes devant leurs spectatrices principales les biches qui n'en perdaient pas une miette.
Je n'ai pas compris comment ils ont décidé qui était le vainqueur.
Mais celui qui est arrivé en deuxième, après un dernier brame plaintif, a fait demi tour et est reparti dans la forêt.
Je pourrais ajouter... la queue entre les pattes!

Le gagnant à fait de longs brames terriblement rauques, angoissants moi j'avais mal à la main car il serrait encore le Cédric.
Les biches se sont approchées le brame s'est adouci. Le cerf s'est approché de ses conquêtes les reniflant une par une et dans un grand cri s'est jeté sur la première, sûrement par pudeur les autres ont tourné la tête le temps que le coït se fasse rapide, mais efficace, vu les petits cris que poussaient la biche. Sitôt sorti il est passé à la deuxième et elles y ont toutes eu droit!
Ah il était fier le beau cerf, il les montrait ses bois. Il nous a fait encore quelques brames beaucoup plus doux, peut être qu'il remerciait les biches!

Et, d'un seul coup tout a disparu, les biches rapidement et le cerf s'en est allé, s'enfonçant dans la forêt.
Tout le monde s'est mis à respirer.
Cédric m'a regardé.
-ben dis donc! j'aurais jamais cru que c'était ainsi.

Il se rend compte qu'il tient ma main il devient tout rouge.
-désolé dit-il en l'enlevant.
-oh j'aime bien rassurer les enfants pour pas qu'ils aient peur.
On rigole et on repart en écoutant les explications des gardes qui nous disent que l'on a eu de la chance d'assister à tout le spectacle car des fois, il n'y a que des bagarres entre mâles et les biches n'apparaissent pas quand il y a trop de monde.
-ben elles aiment pas les partouzes me glisse Cédric à l'oreille en riant.
-toi si ?
Il se tait, cherchant sa réponse, c'est vrai qu'on se connait pas.
-ça dépend dit-il.
Mais les gardes parlent encore donc on écoute et on arrive enfin aux voitures.

On se serre tous la main, les voitures commencent à partir mais Cédric, reste près de moi près de ma voiture et se remet à parler de tout et de rien.
On s'est vite retrouvé que tous les deux au clair de lune.
-heureusement qu'on fait pas le même bruit avant de baiser dit Cédric.
-ça serait marrant d'entendre ça dans les villes dis je en riant.
-je me vois mal faire ça pour attirer les mecs moi! dit Cédric, et d'un coup il se rend compte de ce qu'il vient de dire. Il baisse la tête devant moi et ne dit plus rien.

C'est moi qui lui prend la main et l'attire à moi il fait un pas.
-moi t'as pas besoin de bramer dis je en lui relevant la tête.
Son sourire est ma réponse. Il se jette sur moi, m'entoure de ses bras, sa bouche parcoure mon visage me faisant plein de bisous partout avant de trouver mes lèvres et de les déguster, les lécher et me donner sa langue.
Je sens son corps souple contre le mien, nos sexes sont collés l'un contre l'autre et on bande, on est les nouveaux cerfs de la forêt.

Je sens ses mains passer sous mes vêtements chauds, tirer sur mon tee-shirt et venir me caresser la peau. Ses mains sont un peu froides mais si douces. Nos langues jouent ensemble, les salives changent de bouche. Il est chaud Cédric, chaud bouillant. J'ai envie de l'avoir à poil ce mec!

Sa bouche vient à mon oreille.
-tu t'es déjà fait sucer en forêt Fabrice ?
Avant que je puisse répondre, il est accroupi devant moi, détache mon ceinturon, défait le vieux jean, l'ouvre, le baisse sous mes fesses, descend le boxer et siffle devant le morceau qui lui tombe sur le nez.
Je sens sa main s'en emparer, la caresser doucement, finissant de la décalotter. Je sens son souffle sur mon gland, son nez, il respire et souffle sur ma queue. Elle est contente et donne sa mouille.

Sa main s'affermit sur ma queue et je reçois un coup de langue qui enveloppe le gland qui disparait dans sa bouche et je suis pipé comme un malade. Il l'avale bien à fond, je l'entends tousser, il crache sur ma queue mais l'avale toujours à fond. J'adore sa bouche, son palais chaud et sa gorge bien serrée. Il serre mes couilles d'une main et suce comme si c'était la fin du monde. Je ne peux que lui caresser les cheveux.

C'est qu'il me fait de l'effet Cédric, je sens le plaisir monter, arriver, ma queue se raidir et gonfler encore dans la bouche accueillante quand la première giclée frappe au fond de sa gorge c'est lui qui gémit le plus fort semblant ravi de recevoir ce cadeau et j'ai joui comme un fou, plusieurs longues giclées crémeuses. Il a tout avalé et s'est redressé pour venir me donner sa langue, sa main tenant toujours ma queue.
-tu es mon cerf et je suis ta biche Fabrice.

Je le regarde en souriant.
-tu veux le même traitement ?
-ben oui une bonne saillie, bien forte d'un mâle.
-je voulais goûter à ta queue d'abord dis je en lui faisant des bisous.
-t'en fais pas tu y goûteras mais je la veux dans mon cul ta belle queue et... rapidement mec!
-ici ?
-ben disons que si t'as un lit je pense qu'on aura moins froid dit il en riant.
-et je pourrais te voir à poil ma biche! tu me suis alors ?

On est monté chacun dans notre voiture et à l'arrivée, il n'arrêtait pas de m'embrasser, une vraie sangsue adorable.
-tu bois un coup ? dis je en arrivant.
On a pas fini nos bières qu'il était assis sur moi, face à moi.
-j'ai envie que tu me baises je suis une biche en manque, ça court pas les rues de notre ville les beaux cerfs bien montés.
-mais j'ai pas bramer encore dis je en riant.
-oh la la pas la peine je suis en période de reproduction toute l'année moi!

Il se relève, et devant moi se déshabille lentement, faisant un beau strip-tease, c'est beau quand le mec est magnifique et je vois son corps apparaitre petit à petit. D'abord de dos, me faisant admirer sa chute de reins sur des fesses bien cambrées, de belles fesses rebondies, bronzées et imberbes. Elles semblent fermes et il se retourne. Son sexe est comme le mien aussi long, aussi large. Une belle paire de couilles pendent, ses cuisses sont sculptées légèrement poilues et un torse bien taillé imberbe.
-eh bien dis donc! la biche! elle est bien montée! dis je en rigolant.

Je me suis mis à égalité avec lui, il n'a pas eu le temps de se jeter sur moi que je l'ai entrainer dans ma chambre.
On s'est allongé il s'est lové contre moi.
-demain c'est samedi, tu fais rien ? alors on a tout le temps, prenons notre temps pour se déguster.

Et la bataille a commencé. Une bataille douce, tendre, ses mains douces touchaient partout en même temps. J'ai adoré ses caresses et il semblait aimer les miennes. Il est revenu me sucer, et s'est tourné pour que je lui en fasse autant. Sa bite, sa belle bite avait bon goût et il mouillait beaucoup le garçon un vrai régal mais ce qu'il voulait surtout c'est que je l'occupe de son petit cul gourmand.

Déjà, caresser ses fesses fut un immense plaisir, faire des bisous, les lécher, les écarter et voir ce petit trou. Il avait du en prendre des bites le garçon car au premier coup de langue ça s'ouvrait facilement et il gémissait déjà.
Pendant que je lui bouffais le cul, il me suçait doucement, juste pour bien entretenir ma raideur.
Puis il est venu sur moi.
-laisse toi faire!

Il prend ma queue et la dirige vers son trou. Il se redresse bien, je sens mon gland décalotté se poser sur son anus, c'est doux, c'est chaud, c'est humide. Il ferme les yeux et s'enfonce sur ma queue, mon gland passe d'un seul coup. Il crie, en se mordant la lèvre et fait des vas et viens dessus. Ma queue coulisse bien mais je trouve qu'elle ne va pas assez loin je le laisse faire un moment et je le renverse sur le lit pour me retrouver sur lui.
-laisse faire le cerf, ma biche!

Il rit, en écartant bien ses jambes repliées sur son torse et là, face à lui, je peux mieux sentir ma queue le forer et m'enfoncer encore plus dans ce bon petit cul. Il a fermé les yeux, la bouche entrouverte, je vois la pointe de sa langue. Je donne des coups de reins, il gémit. Je m'enfonce au plus profond et mes vas et viens deviennent de plus en plus rapide. Il râle mais ça se voit de plaisir, c'est un mec qui aime la bite! et son cul est un vrai plaisir à baiser.
Il a bien fait de me faire jouir en forêt je peux baiser plus longtemps son cul pour mon plaisir et pour le sien ça se voit.

Mais tout à une fin, son cul chauffait et moi la sève montait de plus en plus jusqu'à ce que la vidange arrive à gros bouillons en giclées énormes, abondantes et chaudes me faisant crier et lui gémir bien fort.
Il a ouvert les yeux quand il a senti que je m'écroulais dans ses bras pour recevoir ma langue.

Ses jambes s'étaient rallongées, ma bite était sortie de son cul et je sentais la sienne raide entre nos corps. Je voulais goûter le suc de ce beau mec.
J'ai repris sa queue en bouche, la léchant partout, son beau gland rouge bien dessiné, suintait de partout. Quand j'avalais sa queue et jouait de la langue dessus, il gémissait de plus en plus fort jusqu'au moment où ses mains se sont posées sur ma tête, sa queue s'est raidie en moi et j'ai reçu ma récompense. Une belle récompense crémeuse qui venaient en giclées courtes mais qui n'arrêtaient pas c'était plus facile pour tout avaler.
Quand je l'ai entendu soupirer en s'étirant je suis revenu pour lui donner ma langue.

-pourquoi je t'ai pas rencontré avant ? demande Cédric.

On a parlé longuement de ce que l'on faisait, où l'on trainait, nos copains, nos potes, nos coups. On a rigolé, on s'est frotté l'un contre l'autre, embrassé, caressé. On a bandé encore et toujours. On a dormi, on s'est réveillé toujours bien raide.

Il est resté jusqu'au dimanche soir et maintenant on se voit encore!