Le cadeau
Récit érotique écrit par Hujambo Korodani [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 49 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.5 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Hujambo Korodani ont reçu un total de 388 514 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-01-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 16 606 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Le cadeau
Je suis l'esclave de ma femme. Je suis son soumis, je suis son objet. Je suis sa pute, je suis sa chienne. Son chien, son marchepied, sa poubelle, son ordure. Je suis tout ce que vous pouvez imaginer d'humiliant et d'humilier pour elle !
Je m'appelle Peter Ruiter. Ma femme me domine en tout : en âge : j'ai la vingtaine et elle a la trentaine ; en taille : elle est plus grande que moi ; en poids : elle pèse plus que moi ; en patrimoine économique : elle gagne plus que moi ; en sexualité : j'ai connu quelque femme, elle a connu une ribambelle d'hommes ! Ma femme me domine en tout et ça me fait bander.
Physiquement je suis roux aux cheveux courts, petit de taille et de corps, j'ai un visage poupin qui me fait ressembler à une fillette. Ma femme, ma Maitresse, est parfois brune, parfois blonde, parfois rousse, ça dépend, en ce moment elle est une brune aux longs cheveux noirs. Personnellement je la préfère avec les cheveux noirs je trouve que ça lui donne du sévère.
Je suis étudiant, j'étudie le droit à l'Université d'Amsterdam. Ma femme est enseignante dans une école privée catholique d'Amsterdam. Très peu de personnes connaissent la vie sexuelle qu'on mène. Quand on se trouve dehors on est un couple comme les autres mais une fois à l'intérieur de notre appart tout change.
À travers les vitres de notre chambre conjugale une portion lumineuse d'Amsterdam s'affiche mêlée à la nuit. Il est 22H et je crois que Maitresse n'a pas envie de dormir. Maitresse est à genoux sur le lit, elle tient dans sa main ma laisse rose pour chien. Je ne peux pas m'empêcher de regarder son entrejambe nu et rasé que encadrent les rubans noirs de sa jarretière. Sa lingerie fine noire fait d'escarpins noirs, de bas noirs, de porte-jarretelles noirs, d'un soutien-gorge noir, lui va parfaitement, tout cela répond à sa longue chevelure noire. Elle s'est vêtue tout en noir et m'a vêtu tout en rose histoire de m'humilier et de me féminiser, elle m'a imposé la cage de chasteté rose en caoutchouc, la laisse pour chien rose, le gode buccal rose visé à mon menton par les attaches élastiques autour de ma nuque.
Soudain Maitresse enroule autour de sa main la laisse rose pour chien m'attirant par ce geste vers elle.
-Viens par ici ! Tu sais comment tu vas me faire jouir ?
-Oui Maitresse. Je sais comment je vais vous faire jouir.
-Alors qu'est-ce que t'attends ?
Elle me tend le flacon qu'elle tient. C'est un petit flacon blanc ; on pourrait le prendre pour un rouge à lèvres. Je presse le flacon contre ma main, se déverse un liquide transparent. J'étale le liquide sur le gode rose visé à mon menton. Mes doigts parcourent toute la surface lisse et y déposent le lubrifiant.
-T'aurais aimé que ta bite ait les mêmes dimensions que le gode ?
-Oui Maitresse j'aurais aimé avoir une bite plus énorme !
-Mais ta bite elle est petite et elle ne me sert à rien.
-Désolé Maitresse... J'aurais préféré avoir une grosse bite.
-À la place t'as une petite bite enfermée dans une cage de chasteté. Mets du lubrifiant sur ma chatte maintenant !
-Oui Maitresse !
Tout en restant à genoux Maitresse écarte les cuisses. Ce mouvement met un peu plus à découvert son clitoris. Je presse le tube contre ma main. Une portion de son contenu se déverse sur mes doigts. J'avance la main vers l'entrecuisse de Maitresse. Je la colle contre le vagin. Mes doigts étalent sur la vulve le lubrifiant. Mes doigts s'attardent sur le clitoris. Mon pouce masturbe le clitoris pendant que mon index et mon majeur pénètrent le canal vaginal. Soudain Maitresse frappe ma main !
-J'ai dit de lubrifier mon vagin pas de me doigter !
-Désolé Maitresse ! Ça ne se reproduira plus.
-Tu as intérêt à ce que ça ne se reproduise plus ! Sinon c'est deux semaines d'abstinence de plus !
Maitresse tient en main ma cage-bite.
-T'as pas envie que ce petit machin reste deux semaines de plus enfermé n'est-ce pas ?
-Non Maitresse.
-Alors fais ce que je te dis de faire. Seulement ce que je te dis de faire.
-Oui Maitresse.
Elle relaisse tomber ma cage de chasteté. Je suis soulagé de ne pas me prendre deux semaines de chasteté en plus. « Allonge-toi ! » m'ordonne Maitresse. J'obéis comme le bon soumis que je suis. J'allonge mon dos sur le matelas. Maitresse se met en position 69 sur moi. Alors que ses escarpins noirs maintiennent entre parenthèses ma tête, elle saisit le gode rose qu'elle ajuste contre ma bouche puis qu'elle introduit doucement dans son vagin. Elle baise le gode rose sur ma bouche comme si elle baise avec un viril pénis. Successivement son vagin avale en partie puis recrache aussitôt en partie le gode rose en perpétuelle érection. Les bruits que sa bouche émet comme les femmes en train de prendre du plaisir font gonfler ma verge dans ma cage de chasteté. Je voudrais tellement être à la place du gode rose que cela me frustre infiniment ! Un mois que mon pénis n’a plus eu l'occasion de pénétrer ma Maitresse ! Elle ne me laisse atteindre son vagin que par mes lèvres, ma langue, ou par l'intermédiaire d'un gode comme actuellement. On aurait jamais dû inventer les godemichets ! Maitresse finit par jouir avec le gode rose sur mon visage.
Elle abandonne la position 69. Elle s'agenouille à côté de moi. Elle détache le gode rose de mon visage.
-Ouvre la bouche !
J'ouvre la bouche.
-Tu vas nettoyer mon gode et ma mouille.
Elle glisse le gode rose dans ma bouche. Elle dit qu'elle veut que je fellationne son amant. Elle dit que je suis une salope, une vraie petite chienne soumise qui kiffe sucer les pénis de ses amants après qu'ils l'aient baisée. J'ai l'impression qu'elle m'entraine à sucer les vraies bites.
Maitresse dépose le gode rose sur le matelas. Elle enjambe mon corps. Elle s'assoit sur ma figure. « Sors ta langue ! » m'ordonne-t-elle. Je sors ma langue, la tends, la maintiens raide. Maitresse chevauche ma langue comme un phallus. J'essaye de la loger profondément dans son canal vaginal. Maintenant c'est son clitoris qu'elle frotte contre ma langue. D'en dessous je vois ses seins qui oscillent dans son soutien-gorge noir. Elle change de position. Cette fois elle s'assoit sur mon visage en me tournant le dos. Mon nez se retrouve enfermé entre ses fesses. Je respire son anus.
Chaque matin est une renaissance, chaque matin est une découverte, pour mon cas, ça dépend, ça dépend de ce que j'ai fait la veille, de comment je me suis endormi. Il y a des matins où je me lève en érection, ces matins je les appelle « les matins roses » !
J'ai remarqué que se sont les matins où la veille j'ai fait du sport, pas n'importe quel sport, le sport qui mobilise les jambes, ça peut être du footing, du football, mais d'après mon expérience il n' y a rien de mieux qu'un travail intensif sur les jambes, sauts, sprints, musculation, pour booster sa testostérone et se réveiller le matin avec une érection. Il y a des matins où je me lève sans excitation sexuelle, ces matins je les appelle les matins noirs ; j'ai remarqué que c'étaient des matins où la veille j'ai jeuné, ou je n'ai pas assez mangé. Y a pas pire que les matins dépressifs pour vous couper la trique ! Par chance pour moi ces matins noirs sont rares. Les matins entre deux, les matins où je bande et débande à la fois, les matins où mon excitation sexuelle est légère, sont mes matins les plus nombreux. Ces matins entre les matins roses et les matins noirs, je les appelles les matins jaunes. L’idéal serait d’avoir le plus de matins roses possible. Désormais c’est mon ambition : me réveiller chaque matin en érection !
Pour cela je vais me remettre au sport intensif et contrôler ma diète, mon stresse, bref, revoir toute ma philosophie de vie.
Je me réveille à 5H du matin. Cela me laisse une heure trente. Après trente minutes ou une heure de sport (je verrai, je ferai selon mon ressenti corporel), je reviendrai à la maison réveiller Maitresse. J'enfile le premier jogging, le premier sweet, les vieilles baskets de course. Je prends mon smartphone. Je sors de notre appartement. Nous sommes vers fin octobre, il est 5H15 du matin, il fait encore nuit, d'après mon téléphone intelligent le soleil se lèvera à 8H18 aujourd'hui. Mon smartphone m'indique qu'il fait 10° Celsius. Putain ! Voilà qu'il se met à pleuvoir. Tout est une question de volonté. J'enveloppe ma tête dans la cagoule de mon sweet et je continue mon footing. Il faut vraiment que je me remette sérieusement au sport ; j'ai remarqué que les périodes les plus heureuses de ma vie sont celles où j'ai régulièrement fait du sport, celles où je me suis moins masturbé. Ce qui me manque c'est la continuité. En toute chose la continuité.
L'énergie sexuelle est vitale mais elle doit être contrôlée sinon elle devient nuisible et elle nous fait perdre en productivité et peut nous mener en prison.
Lorsque je marche seul il m'arrive de gamberger ; je me parle à moi-même négativement et tout ce que j’ai comme défauts et comme déceptions ressortent ; les voitures, le bruit, les situations, les gens qui arrivent en face deviennent autant d'obstacle à ma zenitude. Quand je cours tout cela disparaît, tous deviennent des étapes sur ma route ; le seul inconvénient que j'ai moi lorsque je cours après une période sans avoir fait de sport c’est les démangeaisons qui m'envahissent ; elles sont si désagréables qu'elles m'empêchent de courir, qu'elles me poussent à me gratter jusqu'au sang ; elles me provoquent l'impression qu'on m'enfonce milles aiguilles dans le cuir chevelu ! Cela peut se ressentir sur une autre partie du corps : les paumes des mains, les avant-bras, le dos, le ventre, les orteils, l'entrejambe, les fesses, mais la plupart du temps pour moi c'est sur le cuir cheveux et sur les avant-bras. Lorsque les démangeaisons sont trop intenses elles finissent par m'éblouir, et là, je n'ai pas d'autre choix que de m'arrêter de courir, de marcher, de me gratter le plus discrètement possible ; ce phénomène de démangeaisons du sportif reste à ce jour inexpliqué ; certains scientifiques avancent l'hypothèse des très fins vaisseaux sanguins qui se dilatent sous la peau avec l'afflux subite du sang qui fait augmenter la chaleur et cette chaleur et les dilatations des vaisseaux combinés excitent les nerfs sous la peau. Un jour que je regardai de plus près ce phénomène agir sur moi, je constatai sur mon torse des espèces de minuscules boutons translucides, on aurait dit des bulles pleines d’eau closes en fines couches de peau transparentes. La sueur ? J'éclatai l'une des bulles et son liquide se répandit sur ma peau sans que je susse s'il s'agissait d'eau ou de graisse. À mon avis ce phénomène est une sanction du corps pour nous pousser à faire régulièrement du sport.
Il est 6H. Je retourne à la maison. Je me sens bien. J'ai les endorphines qui bouillonnent dans mon cerveaux. C'est pour ressentir ce que je ressens actuellement que certains se drogues, se saoulent. Les gens aiment la facilité. Un rai, une dose, un comprimé et c'est le Nirvana. Le sport est la drogue la plus bonne et la plus utile. Si j'étais au pouvoir je paierais mes concitoyens pour qu'ils fassent plus de sport. Le sport est l'un des derniers plaisirs égoïstes utiles. Profitons-en avant que l’État ne nous le taxe !
Il est 6H10, il fait encore nuit, je n'ai pas envie de dormir, j'ai envie de bouger et j'ai faim. J'entre dans la cuisine. J'ouvre le frigo. Je décolle deux bananes que je déguste l'une après l'autre. Vers six heures trente je réveillerai Maitresse. On se lavera ensemble. Pendant qu'elle s'habillera et se maquillera, je préparerai le petit déjeuner. Lorsqu'elle aura fini de manger elle ira à son travail à l'école privée catholique, et moi je ferai le ménage, et moi je ferai la lessive, et je préparerai le déjeuner.
À 12H le soleil s'extirpe enfin hors des nuages ; toute la matinée il est resté dissous dans le ciel qui a déversé son trop-plein d'amertume vers Amsterdam, noircissant les trottoirs, recouvrant de gouttes les vitres des voitures et des immeubles.
L’information du jour : une famille investit toutes ses économies dans le Bitcoin ; quelques jours de cela le Bitcoin a dépassé la barre psychologique des 5000 dollars US. Maitresse et moi nous investirons dans cette cryptomonnaie.
On sonne à la porte. C'est Maitresse. Je vais lui ouvrir.
-Bonjour Maitresse !
-Bonjour soumis.
-Comment s'est déroulée votre matinée ?
-Bien.
-Qu'as-tu préparé aujourd'hui ?
-Les pâtes à la sauce bolognaise.
On s'installe à table. On mange en tête à tête.
-C'est délicieux !
-Merci Maitresse.
-Tu as couru ce matin ?
-Oui Maitresse.
-Je t'ai entendu quand tu t'es réveillé ce matin pour aller courir. J'avais la flemme de quitter le lit si tôt.
-Je n'ai pas osé vous réveiller Maitresse. J'ai eu peur que vous... que vous me punissiez.
-Je t'autorise à me réveiller demain pour aller courir soumis.
-Oui Maitresse. Je vous réveillerai demain pour aller courir.
Après avoir mangé Maitresse va faire une sieste dans notre chambre. Pendant ce temps je débarrasse la table puis fais la vaisselle. Vers 13H15 Maitresse retourne à l'école, c'est à cette heure que commence ma sieste, elle dure un quart d'heure. À 13H45 j'abandonne l'appartement pour me rendre à la fac. Je retournerai à la maison vers 18H30.
La nuit noircissait les hauteurs d'Amsterdam. Il était 21H. Maitresse me laisse le choix : voir le derby entre Feyenoord et l'Ajax ou passer la nuit avec elle. J'aime bien l'Ajax mais entre dormir au salon et dormir dans le même lit que Maitresse le choix est vite fait !
J'entre dans la chambre avec Maitresse. « Déshabille-toi ! » m'ordonne-t-elle. Je me déshabille, me retrouve avec pour unique vêtement ma cage de chasteté. Maitresse ouvre un tiroir. Elle en sort deux bas noirs qu'elle me balance. « Enfile-les ! » Je saisis les bas noirs. J'enfile le premier bas. Ça me fera toujours bizarre d'enfiler les bas pour filles, à chaque fois j'ai un peu l'impression d'en devenir une aussi. J'enfile le deuxième bas noir. Ça me donne envie de sucer des bites et de ma faire enculer ! Maitresse le sait c'est pourquoi la plupart du temps qu'elle me féminise elle m'encule.
-Mes bas te vont bien !
-Merci Maitresse.
-Allonge-toi et ne bouge pas !
-Oui Maitresse.
Le soumis bien dressé que je suis obéi : je m'étale sur le lit et ne bouge pas.
Je regarde le plafond. Lorsque Maitresse réapparait dans mon champ visuel elle est vêtue d'un corset noir en satin qui souligne sa taille et qui met en valeur ses seins, et d'un godemichet noir et puissant avec lequel elle a l'habitude de me prendre. Rien qu'à voir le gode noir tendu et attaché sur son vagin nu ça me fourmille l'anus. « Retourne-toi ! Sur le ventre ! » Je m'allonge sur le ventre offrant ainsi mon cul aux pénétrations du gode noir de Maitresse.
-Tu as envie que je t'encule ?
-Oui Maitresse... enculez-moi !
-Grosse chienne que tu es !
Maitresse frotte le gode noir contre l'une de mes fesses. Elle frotte le gode noir contre l'autre fesse. Avec le bout du gode noir elle ouvre ma lune intime. Elle fait comme si elle allait me sodomiser mais elle ne me sodomise pas. Elle me fait un striptease anal.
-Supplie-moi de t'enculer !
-Enculez-moi Maitresse je vous en supplie !
-Encore !
-Enculez-moi Maitresse je vous en supplie !
-Assez ! Elles sont pleines tes couilles !
Maitresse rit. Moi j'étouffe ma douleur. Maitresse rit, tout en riant elle tapote avec le gland de son gode noir mes testicules chastes. Ça me fait mal et ça me fait bander dans ma cage de chasteté. J'adore les séances de ballbusting que ma Maitresse m'offre lorsqu'elle en a envie.
Maitresse lubrifie son gode noir. Elle lubrifie aussi mon cul. Elle introduit son pénis synthétique dans ma lune intime. Elle pousse. Elle force. Mon anus s'ouvre. Le gode noir glisse dans mes fesses. Des deux mains elle empoigne mes cheveux au niveau de la nuque. C'est quasiment un viol ! Ses coups de reins rapides et profonds s'élèvent dans le ciel puis s'abattent frénétiquement contre mes fesses nues en émettant des bruits secs. J'ai l'impression que mon anus n'est plus qu'une plaie de jouissance. Je sens à chaque nouveau coup de rein le gland du gode noir qui vient toucher, frotter, frapper contre ma prostate ! C'est si bon que j'écarte encore plus mes cuisses et serre entres mes doigts le drap. Au moment ultime je pousse un cri et ma cage de chasteté coule comme un vagin qui éjacule.
Maitresse et moi restons figés à reprendre notre souffle. Elle est sur mon dos.
Son gode noir est dans mon cul. Je suis écrasé par son corps. Je ressens tout son poids sur moi, j'entend sa respiration chaude près de mon oreille. Un frisson m'électrise.
Jouir par la prostate via l'anus c'est quelque chose ! Maitresse se retire. Mon anus reste béant. L'air frais s'engouffre dans mes intestins.
Nous courrons Maitresse et moi alors que la ville est encore endormie ; mon corps est recouvert de courbatures ; nous courrons contre la dégénérescence ; la dégénérescence m'obsède en tout ; depuis gamin j'ai du mal à jeter les objets, pas que ça me fait peur de m'en séparer, je pense que quelque soit son état d'usure quelque chose de fichu peut toujours servir ; ainsi une basket sale qu'importe son état d'usure nous paraît inutile, mais la même basket propre s'illumine, on oublie son état d'usure, on rechigne moins à la porter, elle paraît comme régénérée par son état de propreté ; tout est à régénérer ; nous sommes sur terre pour nous régénérer en quelque chose de mieux.
Après notre footing Maitresse et moi nous nous lavons, ensuite nous prenons le petit déjeuner, ensuite Maitresse s'en va et moi je reste à l'appart à m'apprêter parce que nous sommes le vendredi et que le vendredi je commence à neuf heures. Le vendredi est un jour spécial parce qu'environ un vendredi sur deux Blok Johan l'amant de Maitresse vient dormir chez nous. Blok Johan c'est le directeur de l'école privée catholique où Maitresse enseigne ; c'est un grand cinquantenaire Blanc aux cheveux blonds grisonnants, il a des yeux bleus et aux premiers abords quand on ne le connait pas il paraît austère, j'imagine que c'est un masque professionnel. Les vendredis, comme tous mes cours se déroulent en amphi et que le vendredi est un jour spéciale pour moi, j'aime à me déguiser en femme, j'aime la sensation que ça me procure d'être dans les habits de Maitresse, les regards d'autres hommes et d'autres femmes sur moi, ça m'excite beaucoup d'imaginer qu'on me confonde avec une femme !
J'enfile un string noir, un collant marron noir, une petite robe bleue, une veste hivernale légère. Des boucles rondes aux oreilles, des lèvres recouvertes du rouge à lèvres, des ongles manucurés de rouge, une perruque blonde sur la tête et je suis prête ! Chaque pas dans la rue est un ravissement. J'aime entendre le résonnement de mes talons sur le bitume.
Les cours matinaux se déroulent sans accros. À midi pendant que je suis en train de manger au restau du campus mon smartphone reçoit une photo de Maitresse qui me fait bander dans ma cage de chasteté. Maitresse a rabaissé sa robe jusqu'à ses reins dénudant ainsi sa poitrine. Son amant, Johan se tient collé contre elle derrière elle, il tient entres ses mains les deux seins de ma femme comme deux fruits qui lui appartiennent.
Certains ont déjà débuté leur weekend ! J'ai une folle envie de me masturber mais le lieu et ma cage m'en empêchent.
Les cours d'après-midi finissent. Sur le chemin de retour je décide d'acheter des fleurs à Maitresse. Ça lui fera plaisir. Amsterdam c'est Venise moins rustre et à taille humaine, l'eau, les ponts, les musées, sont partout.
Un concentré d'essence floral m'accueille lorsque j'ouvre la porte. Je ne m'y connais pas beaucoup en fleurs. Je sais que Maitresse aime les roses rouges. La fleuriste me confectionne un bouquet de trente roses rouges.
Dès 18H26 la nuit recouvre Amsterdam ; en cette saison le jour s'achève tellement vite qu'on a l'impression qu'il ne dure qu'un clignement d'œil. Lorsque je retourne à la maison, Maitresse s'y trouve déjà. Elle a une mine radieuse et les cheveux un peu ébouriffés. Elle me remercie de lui avoir apporté des fleurs.
-Johan ne viendra pas passer la nuit avec nous.
-C'est dommage.
-Lui et sa femme vont passer le weekend à Paris. Tu es déçu ?
-Oui Maitresse.
-Pourquoi ?
-Je voulais sucer sa bite et je voulais qu'il m'encule !
-Je sais que t'aime quand mon amant t'encule. Je sais que t'aime quand ta femme te regarde te faire enculer par un autre homme. Johan m'a dit qu'il aurait aimé te prendre par le cul toute la nuit. Comme il ne pourra pas le faire, il m'a remis un cadeau pour toi.
Maitresse pointe du doigt le dessous de sa robe noire. Je comprends. Je m'accroupis. J'enlève mes escarpins. Je rampe vers Maitresse. Elle enlève sa culotte blanche. J'introduis ma tête sous sa robe. Elle écarte les jambes. Ma bouche recouvre son vagin. Ma langue fouille son canal vaginal. Je la cunnite comme un mort de faim ! Et pendant que je la lèche, suce, lape, à genou sous elle comme un chien soumis bien dressé, Maitresse me raconte son après-midi avec son amant « …Entre midi et deux heures, c'est à peine si on a mangé. On n'a fait que baiser dans son bureau. On a baisé dans tous les sens. Il m'a prise debout. Derrière-moi... Pendant que sa grosse bite me labourait ses doigts caressaient mon clito... À un moment donné il m'a soulevée. Il m'a déposée sur son bureau. Des classeurs sont tombés sur le sol. Ça a fait du bruit. Il s'en fichait. Moi aussi je m'en fichais. Je n'avais qu’envie qu'il me baise ! Il a déposé mes jambes sur sa poitrine. Il a croisé mes jambes sur son épaule de sorte que mes cuisses se sont fermées et mon vagin s’est serré. Je ressentais entièrement sa grosse bite dans mon vagin. Je le ressentais comme une vierge. J'ai joui un nombre incalculable de fois entre midi et deux... »
Je m'appelle Peter Ruiter. Ma femme me domine en tout : en âge : j'ai la vingtaine et elle a la trentaine ; en taille : elle est plus grande que moi ; en poids : elle pèse plus que moi ; en patrimoine économique : elle gagne plus que moi ; en sexualité : j'ai connu quelque femme, elle a connu une ribambelle d'hommes ! Ma femme me domine en tout et ça me fait bander.
Physiquement je suis roux aux cheveux courts, petit de taille et de corps, j'ai un visage poupin qui me fait ressembler à une fillette. Ma femme, ma Maitresse, est parfois brune, parfois blonde, parfois rousse, ça dépend, en ce moment elle est une brune aux longs cheveux noirs. Personnellement je la préfère avec les cheveux noirs je trouve que ça lui donne du sévère.
Je suis étudiant, j'étudie le droit à l'Université d'Amsterdam. Ma femme est enseignante dans une école privée catholique d'Amsterdam. Très peu de personnes connaissent la vie sexuelle qu'on mène. Quand on se trouve dehors on est un couple comme les autres mais une fois à l'intérieur de notre appart tout change.
À travers les vitres de notre chambre conjugale une portion lumineuse d'Amsterdam s'affiche mêlée à la nuit. Il est 22H et je crois que Maitresse n'a pas envie de dormir. Maitresse est à genoux sur le lit, elle tient dans sa main ma laisse rose pour chien. Je ne peux pas m'empêcher de regarder son entrejambe nu et rasé que encadrent les rubans noirs de sa jarretière. Sa lingerie fine noire fait d'escarpins noirs, de bas noirs, de porte-jarretelles noirs, d'un soutien-gorge noir, lui va parfaitement, tout cela répond à sa longue chevelure noire. Elle s'est vêtue tout en noir et m'a vêtu tout en rose histoire de m'humilier et de me féminiser, elle m'a imposé la cage de chasteté rose en caoutchouc, la laisse pour chien rose, le gode buccal rose visé à mon menton par les attaches élastiques autour de ma nuque.
Soudain Maitresse enroule autour de sa main la laisse rose pour chien m'attirant par ce geste vers elle.
-Viens par ici ! Tu sais comment tu vas me faire jouir ?
-Oui Maitresse. Je sais comment je vais vous faire jouir.
-Alors qu'est-ce que t'attends ?
Elle me tend le flacon qu'elle tient. C'est un petit flacon blanc ; on pourrait le prendre pour un rouge à lèvres. Je presse le flacon contre ma main, se déverse un liquide transparent. J'étale le liquide sur le gode rose visé à mon menton. Mes doigts parcourent toute la surface lisse et y déposent le lubrifiant.
-T'aurais aimé que ta bite ait les mêmes dimensions que le gode ?
-Oui Maitresse j'aurais aimé avoir une bite plus énorme !
-Mais ta bite elle est petite et elle ne me sert à rien.
-Désolé Maitresse... J'aurais préféré avoir une grosse bite.
-À la place t'as une petite bite enfermée dans une cage de chasteté. Mets du lubrifiant sur ma chatte maintenant !
-Oui Maitresse !
Tout en restant à genoux Maitresse écarte les cuisses. Ce mouvement met un peu plus à découvert son clitoris. Je presse le tube contre ma main. Une portion de son contenu se déverse sur mes doigts. J'avance la main vers l'entrecuisse de Maitresse. Je la colle contre le vagin. Mes doigts étalent sur la vulve le lubrifiant. Mes doigts s'attardent sur le clitoris. Mon pouce masturbe le clitoris pendant que mon index et mon majeur pénètrent le canal vaginal. Soudain Maitresse frappe ma main !
-J'ai dit de lubrifier mon vagin pas de me doigter !
-Désolé Maitresse ! Ça ne se reproduira plus.
-Tu as intérêt à ce que ça ne se reproduise plus ! Sinon c'est deux semaines d'abstinence de plus !
Maitresse tient en main ma cage-bite.
-T'as pas envie que ce petit machin reste deux semaines de plus enfermé n'est-ce pas ?
-Non Maitresse.
-Alors fais ce que je te dis de faire. Seulement ce que je te dis de faire.
-Oui Maitresse.
Elle relaisse tomber ma cage de chasteté. Je suis soulagé de ne pas me prendre deux semaines de chasteté en plus. « Allonge-toi ! » m'ordonne Maitresse. J'obéis comme le bon soumis que je suis. J'allonge mon dos sur le matelas. Maitresse se met en position 69 sur moi. Alors que ses escarpins noirs maintiennent entre parenthèses ma tête, elle saisit le gode rose qu'elle ajuste contre ma bouche puis qu'elle introduit doucement dans son vagin. Elle baise le gode rose sur ma bouche comme si elle baise avec un viril pénis. Successivement son vagin avale en partie puis recrache aussitôt en partie le gode rose en perpétuelle érection. Les bruits que sa bouche émet comme les femmes en train de prendre du plaisir font gonfler ma verge dans ma cage de chasteté. Je voudrais tellement être à la place du gode rose que cela me frustre infiniment ! Un mois que mon pénis n’a plus eu l'occasion de pénétrer ma Maitresse ! Elle ne me laisse atteindre son vagin que par mes lèvres, ma langue, ou par l'intermédiaire d'un gode comme actuellement. On aurait jamais dû inventer les godemichets ! Maitresse finit par jouir avec le gode rose sur mon visage.
Elle abandonne la position 69. Elle s'agenouille à côté de moi. Elle détache le gode rose de mon visage.
-Ouvre la bouche !
J'ouvre la bouche.
-Tu vas nettoyer mon gode et ma mouille.
Elle glisse le gode rose dans ma bouche. Elle dit qu'elle veut que je fellationne son amant. Elle dit que je suis une salope, une vraie petite chienne soumise qui kiffe sucer les pénis de ses amants après qu'ils l'aient baisée. J'ai l'impression qu'elle m'entraine à sucer les vraies bites.
Maitresse dépose le gode rose sur le matelas. Elle enjambe mon corps. Elle s'assoit sur ma figure. « Sors ta langue ! » m'ordonne-t-elle. Je sors ma langue, la tends, la maintiens raide. Maitresse chevauche ma langue comme un phallus. J'essaye de la loger profondément dans son canal vaginal. Maintenant c'est son clitoris qu'elle frotte contre ma langue. D'en dessous je vois ses seins qui oscillent dans son soutien-gorge noir. Elle change de position. Cette fois elle s'assoit sur mon visage en me tournant le dos. Mon nez se retrouve enfermé entre ses fesses. Je respire son anus.
Chaque matin est une renaissance, chaque matin est une découverte, pour mon cas, ça dépend, ça dépend de ce que j'ai fait la veille, de comment je me suis endormi. Il y a des matins où je me lève en érection, ces matins je les appelle « les matins roses » !
J'ai remarqué que se sont les matins où la veille j'ai fait du sport, pas n'importe quel sport, le sport qui mobilise les jambes, ça peut être du footing, du football, mais d'après mon expérience il n' y a rien de mieux qu'un travail intensif sur les jambes, sauts, sprints, musculation, pour booster sa testostérone et se réveiller le matin avec une érection. Il y a des matins où je me lève sans excitation sexuelle, ces matins je les appelle les matins noirs ; j'ai remarqué que c'étaient des matins où la veille j'ai jeuné, ou je n'ai pas assez mangé. Y a pas pire que les matins dépressifs pour vous couper la trique ! Par chance pour moi ces matins noirs sont rares. Les matins entre deux, les matins où je bande et débande à la fois, les matins où mon excitation sexuelle est légère, sont mes matins les plus nombreux. Ces matins entre les matins roses et les matins noirs, je les appelles les matins jaunes. L’idéal serait d’avoir le plus de matins roses possible. Désormais c’est mon ambition : me réveiller chaque matin en érection !
Pour cela je vais me remettre au sport intensif et contrôler ma diète, mon stresse, bref, revoir toute ma philosophie de vie.
Je me réveille à 5H du matin. Cela me laisse une heure trente. Après trente minutes ou une heure de sport (je verrai, je ferai selon mon ressenti corporel), je reviendrai à la maison réveiller Maitresse. J'enfile le premier jogging, le premier sweet, les vieilles baskets de course. Je prends mon smartphone. Je sors de notre appartement. Nous sommes vers fin octobre, il est 5H15 du matin, il fait encore nuit, d'après mon téléphone intelligent le soleil se lèvera à 8H18 aujourd'hui. Mon smartphone m'indique qu'il fait 10° Celsius. Putain ! Voilà qu'il se met à pleuvoir. Tout est une question de volonté. J'enveloppe ma tête dans la cagoule de mon sweet et je continue mon footing. Il faut vraiment que je me remette sérieusement au sport ; j'ai remarqué que les périodes les plus heureuses de ma vie sont celles où j'ai régulièrement fait du sport, celles où je me suis moins masturbé. Ce qui me manque c'est la continuité. En toute chose la continuité.
L'énergie sexuelle est vitale mais elle doit être contrôlée sinon elle devient nuisible et elle nous fait perdre en productivité et peut nous mener en prison.
Lorsque je marche seul il m'arrive de gamberger ; je me parle à moi-même négativement et tout ce que j’ai comme défauts et comme déceptions ressortent ; les voitures, le bruit, les situations, les gens qui arrivent en face deviennent autant d'obstacle à ma zenitude. Quand je cours tout cela disparaît, tous deviennent des étapes sur ma route ; le seul inconvénient que j'ai moi lorsque je cours après une période sans avoir fait de sport c’est les démangeaisons qui m'envahissent ; elles sont si désagréables qu'elles m'empêchent de courir, qu'elles me poussent à me gratter jusqu'au sang ; elles me provoquent l'impression qu'on m'enfonce milles aiguilles dans le cuir chevelu ! Cela peut se ressentir sur une autre partie du corps : les paumes des mains, les avant-bras, le dos, le ventre, les orteils, l'entrejambe, les fesses, mais la plupart du temps pour moi c'est sur le cuir cheveux et sur les avant-bras. Lorsque les démangeaisons sont trop intenses elles finissent par m'éblouir, et là, je n'ai pas d'autre choix que de m'arrêter de courir, de marcher, de me gratter le plus discrètement possible ; ce phénomène de démangeaisons du sportif reste à ce jour inexpliqué ; certains scientifiques avancent l'hypothèse des très fins vaisseaux sanguins qui se dilatent sous la peau avec l'afflux subite du sang qui fait augmenter la chaleur et cette chaleur et les dilatations des vaisseaux combinés excitent les nerfs sous la peau. Un jour que je regardai de plus près ce phénomène agir sur moi, je constatai sur mon torse des espèces de minuscules boutons translucides, on aurait dit des bulles pleines d’eau closes en fines couches de peau transparentes. La sueur ? J'éclatai l'une des bulles et son liquide se répandit sur ma peau sans que je susse s'il s'agissait d'eau ou de graisse. À mon avis ce phénomène est une sanction du corps pour nous pousser à faire régulièrement du sport.
Il est 6H. Je retourne à la maison. Je me sens bien. J'ai les endorphines qui bouillonnent dans mon cerveaux. C'est pour ressentir ce que je ressens actuellement que certains se drogues, se saoulent. Les gens aiment la facilité. Un rai, une dose, un comprimé et c'est le Nirvana. Le sport est la drogue la plus bonne et la plus utile. Si j'étais au pouvoir je paierais mes concitoyens pour qu'ils fassent plus de sport. Le sport est l'un des derniers plaisirs égoïstes utiles. Profitons-en avant que l’État ne nous le taxe !
Il est 6H10, il fait encore nuit, je n'ai pas envie de dormir, j'ai envie de bouger et j'ai faim. J'entre dans la cuisine. J'ouvre le frigo. Je décolle deux bananes que je déguste l'une après l'autre. Vers six heures trente je réveillerai Maitresse. On se lavera ensemble. Pendant qu'elle s'habillera et se maquillera, je préparerai le petit déjeuner. Lorsqu'elle aura fini de manger elle ira à son travail à l'école privée catholique, et moi je ferai le ménage, et moi je ferai la lessive, et je préparerai le déjeuner.
À 12H le soleil s'extirpe enfin hors des nuages ; toute la matinée il est resté dissous dans le ciel qui a déversé son trop-plein d'amertume vers Amsterdam, noircissant les trottoirs, recouvrant de gouttes les vitres des voitures et des immeubles.
L’information du jour : une famille investit toutes ses économies dans le Bitcoin ; quelques jours de cela le Bitcoin a dépassé la barre psychologique des 5000 dollars US. Maitresse et moi nous investirons dans cette cryptomonnaie.
On sonne à la porte. C'est Maitresse. Je vais lui ouvrir.
-Bonjour Maitresse !
-Bonjour soumis.
-Comment s'est déroulée votre matinée ?
-Bien.
-Qu'as-tu préparé aujourd'hui ?
-Les pâtes à la sauce bolognaise.
On s'installe à table. On mange en tête à tête.
-C'est délicieux !
-Merci Maitresse.
-Tu as couru ce matin ?
-Oui Maitresse.
-Je t'ai entendu quand tu t'es réveillé ce matin pour aller courir. J'avais la flemme de quitter le lit si tôt.
-Je n'ai pas osé vous réveiller Maitresse. J'ai eu peur que vous... que vous me punissiez.
-Je t'autorise à me réveiller demain pour aller courir soumis.
-Oui Maitresse. Je vous réveillerai demain pour aller courir.
Après avoir mangé Maitresse va faire une sieste dans notre chambre. Pendant ce temps je débarrasse la table puis fais la vaisselle. Vers 13H15 Maitresse retourne à l'école, c'est à cette heure que commence ma sieste, elle dure un quart d'heure. À 13H45 j'abandonne l'appartement pour me rendre à la fac. Je retournerai à la maison vers 18H30.
La nuit noircissait les hauteurs d'Amsterdam. Il était 21H. Maitresse me laisse le choix : voir le derby entre Feyenoord et l'Ajax ou passer la nuit avec elle. J'aime bien l'Ajax mais entre dormir au salon et dormir dans le même lit que Maitresse le choix est vite fait !
J'entre dans la chambre avec Maitresse. « Déshabille-toi ! » m'ordonne-t-elle. Je me déshabille, me retrouve avec pour unique vêtement ma cage de chasteté. Maitresse ouvre un tiroir. Elle en sort deux bas noirs qu'elle me balance. « Enfile-les ! » Je saisis les bas noirs. J'enfile le premier bas. Ça me fera toujours bizarre d'enfiler les bas pour filles, à chaque fois j'ai un peu l'impression d'en devenir une aussi. J'enfile le deuxième bas noir. Ça me donne envie de sucer des bites et de ma faire enculer ! Maitresse le sait c'est pourquoi la plupart du temps qu'elle me féminise elle m'encule.
-Mes bas te vont bien !
-Merci Maitresse.
-Allonge-toi et ne bouge pas !
-Oui Maitresse.
Le soumis bien dressé que je suis obéi : je m'étale sur le lit et ne bouge pas.
Je regarde le plafond. Lorsque Maitresse réapparait dans mon champ visuel elle est vêtue d'un corset noir en satin qui souligne sa taille et qui met en valeur ses seins, et d'un godemichet noir et puissant avec lequel elle a l'habitude de me prendre. Rien qu'à voir le gode noir tendu et attaché sur son vagin nu ça me fourmille l'anus. « Retourne-toi ! Sur le ventre ! » Je m'allonge sur le ventre offrant ainsi mon cul aux pénétrations du gode noir de Maitresse.
-Tu as envie que je t'encule ?
-Oui Maitresse... enculez-moi !
-Grosse chienne que tu es !
Maitresse frotte le gode noir contre l'une de mes fesses. Elle frotte le gode noir contre l'autre fesse. Avec le bout du gode noir elle ouvre ma lune intime. Elle fait comme si elle allait me sodomiser mais elle ne me sodomise pas. Elle me fait un striptease anal.
-Supplie-moi de t'enculer !
-Enculez-moi Maitresse je vous en supplie !
-Encore !
-Enculez-moi Maitresse je vous en supplie !
-Assez ! Elles sont pleines tes couilles !
Maitresse rit. Moi j'étouffe ma douleur. Maitresse rit, tout en riant elle tapote avec le gland de son gode noir mes testicules chastes. Ça me fait mal et ça me fait bander dans ma cage de chasteté. J'adore les séances de ballbusting que ma Maitresse m'offre lorsqu'elle en a envie.
Maitresse lubrifie son gode noir. Elle lubrifie aussi mon cul. Elle introduit son pénis synthétique dans ma lune intime. Elle pousse. Elle force. Mon anus s'ouvre. Le gode noir glisse dans mes fesses. Des deux mains elle empoigne mes cheveux au niveau de la nuque. C'est quasiment un viol ! Ses coups de reins rapides et profonds s'élèvent dans le ciel puis s'abattent frénétiquement contre mes fesses nues en émettant des bruits secs. J'ai l'impression que mon anus n'est plus qu'une plaie de jouissance. Je sens à chaque nouveau coup de rein le gland du gode noir qui vient toucher, frotter, frapper contre ma prostate ! C'est si bon que j'écarte encore plus mes cuisses et serre entres mes doigts le drap. Au moment ultime je pousse un cri et ma cage de chasteté coule comme un vagin qui éjacule.
Maitresse et moi restons figés à reprendre notre souffle. Elle est sur mon dos.
Son gode noir est dans mon cul. Je suis écrasé par son corps. Je ressens tout son poids sur moi, j'entend sa respiration chaude près de mon oreille. Un frisson m'électrise.
Jouir par la prostate via l'anus c'est quelque chose ! Maitresse se retire. Mon anus reste béant. L'air frais s'engouffre dans mes intestins.
Nous courrons Maitresse et moi alors que la ville est encore endormie ; mon corps est recouvert de courbatures ; nous courrons contre la dégénérescence ; la dégénérescence m'obsède en tout ; depuis gamin j'ai du mal à jeter les objets, pas que ça me fait peur de m'en séparer, je pense que quelque soit son état d'usure quelque chose de fichu peut toujours servir ; ainsi une basket sale qu'importe son état d'usure nous paraît inutile, mais la même basket propre s'illumine, on oublie son état d'usure, on rechigne moins à la porter, elle paraît comme régénérée par son état de propreté ; tout est à régénérer ; nous sommes sur terre pour nous régénérer en quelque chose de mieux.
Après notre footing Maitresse et moi nous nous lavons, ensuite nous prenons le petit déjeuner, ensuite Maitresse s'en va et moi je reste à l'appart à m'apprêter parce que nous sommes le vendredi et que le vendredi je commence à neuf heures. Le vendredi est un jour spécial parce qu'environ un vendredi sur deux Blok Johan l'amant de Maitresse vient dormir chez nous. Blok Johan c'est le directeur de l'école privée catholique où Maitresse enseigne ; c'est un grand cinquantenaire Blanc aux cheveux blonds grisonnants, il a des yeux bleus et aux premiers abords quand on ne le connait pas il paraît austère, j'imagine que c'est un masque professionnel. Les vendredis, comme tous mes cours se déroulent en amphi et que le vendredi est un jour spéciale pour moi, j'aime à me déguiser en femme, j'aime la sensation que ça me procure d'être dans les habits de Maitresse, les regards d'autres hommes et d'autres femmes sur moi, ça m'excite beaucoup d'imaginer qu'on me confonde avec une femme !
J'enfile un string noir, un collant marron noir, une petite robe bleue, une veste hivernale légère. Des boucles rondes aux oreilles, des lèvres recouvertes du rouge à lèvres, des ongles manucurés de rouge, une perruque blonde sur la tête et je suis prête ! Chaque pas dans la rue est un ravissement. J'aime entendre le résonnement de mes talons sur le bitume.
Les cours matinaux se déroulent sans accros. À midi pendant que je suis en train de manger au restau du campus mon smartphone reçoit une photo de Maitresse qui me fait bander dans ma cage de chasteté. Maitresse a rabaissé sa robe jusqu'à ses reins dénudant ainsi sa poitrine. Son amant, Johan se tient collé contre elle derrière elle, il tient entres ses mains les deux seins de ma femme comme deux fruits qui lui appartiennent.
Certains ont déjà débuté leur weekend ! J'ai une folle envie de me masturber mais le lieu et ma cage m'en empêchent.
Les cours d'après-midi finissent. Sur le chemin de retour je décide d'acheter des fleurs à Maitresse. Ça lui fera plaisir. Amsterdam c'est Venise moins rustre et à taille humaine, l'eau, les ponts, les musées, sont partout.
Un concentré d'essence floral m'accueille lorsque j'ouvre la porte. Je ne m'y connais pas beaucoup en fleurs. Je sais que Maitresse aime les roses rouges. La fleuriste me confectionne un bouquet de trente roses rouges.
Dès 18H26 la nuit recouvre Amsterdam ; en cette saison le jour s'achève tellement vite qu'on a l'impression qu'il ne dure qu'un clignement d'œil. Lorsque je retourne à la maison, Maitresse s'y trouve déjà. Elle a une mine radieuse et les cheveux un peu ébouriffés. Elle me remercie de lui avoir apporté des fleurs.
-Johan ne viendra pas passer la nuit avec nous.
-C'est dommage.
-Lui et sa femme vont passer le weekend à Paris. Tu es déçu ?
-Oui Maitresse.
-Pourquoi ?
-Je voulais sucer sa bite et je voulais qu'il m'encule !
-Je sais que t'aime quand mon amant t'encule. Je sais que t'aime quand ta femme te regarde te faire enculer par un autre homme. Johan m'a dit qu'il aurait aimé te prendre par le cul toute la nuit. Comme il ne pourra pas le faire, il m'a remis un cadeau pour toi.
Maitresse pointe du doigt le dessous de sa robe noire. Je comprends. Je m'accroupis. J'enlève mes escarpins. Je rampe vers Maitresse. Elle enlève sa culotte blanche. J'introduis ma tête sous sa robe. Elle écarte les jambes. Ma bouche recouvre son vagin. Ma langue fouille son canal vaginal. Je la cunnite comme un mort de faim ! Et pendant que je la lèche, suce, lape, à genou sous elle comme un chien soumis bien dressé, Maitresse me raconte son après-midi avec son amant « …Entre midi et deux heures, c'est à peine si on a mangé. On n'a fait que baiser dans son bureau. On a baisé dans tous les sens. Il m'a prise debout. Derrière-moi... Pendant que sa grosse bite me labourait ses doigts caressaient mon clito... À un moment donné il m'a soulevée. Il m'a déposée sur son bureau. Des classeurs sont tombés sur le sol. Ça a fait du bruit. Il s'en fichait. Moi aussi je m'en fichais. Je n'avais qu’envie qu'il me baise ! Il a déposé mes jambes sur sa poitrine. Il a croisé mes jambes sur son épaule de sorte que mes cuisses se sont fermées et mon vagin s’est serré. Je ressentais entièrement sa grosse bite dans mon vagin. Je le ressentais comme une vierge. J'ai joui un nombre incalculable de fois entre midi et deux... »
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Hujambo Korodani
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...