Le cadeau de mariage 10 : L’union sacrée.
Récit érotique écrit par Arsenne [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-11-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Le cadeau de mariage 10 : L’union sacrée.
L’union sacrée.
Dans le bar règne un silence quasi religieux. Les deux fiancés nus, se tiennent amoureusement par la main. Ils font face aux personnes tapies dans l’ombre.
Un rideau noir s’écarte lentement, découvre un lit perché sur des pieds de bois et recouvert d’un tissu de velours rouge sang. La tête et le pied de lit sont en fer forgé et dessinent des volutes arabesques.
A ses quatre coins, quatre candélabres diffusent une douce lumière. La mise en scène est évidente et sert à intimider les jeunes gens.
-Agnès, Antoine, vous allez vous unir sur cet hôtel dressé en l’honneur de votre amour. Vous allez devant nous, vous offrir vos virginités. Allez, faites comme vous en avez envie. Oubliez-nous.
Facile à dire pensent les deux tourtereaux. A cet instant chacun est habité d’un trouble qui révèle l’ambiguïté du moment. Ils sont tous les deux envahis d’une envie pure de s’unir et en même temps ils subissent la force érotique due à la présence des voyeurs, des pervers. Pulsion, passion, ils ne savent pas ou plus faire la part des deux choses. Antoine ressent une forte excitation d’exhiber Agnès, qui elle est excitée d’être l’objet des attentions perverses de ceux qu’elle ressent comme des prédateurs. Se donner à Antoine ou s’abandonner à la fornication en libérant sa sexualité débridée ?
Prendre Agnès, lui donner leur enfant ou l’offrir en pâture à ces vieux assoiffés de jeunesse ?
Ils se regardent un instant et le choix est vite établi. C’est Agnès, toujours plus décisionnaire qui prend Antoine par la main et le conduit vers le lit. Toujours en le regardant, elle monte avec des gestes lents et gracieux sur le lit et s’allonge sur le dos. Elle attire Antoine vers elle qui monte à son tour. Le jeune homme a une érection fabuleuse. Son gland est tout humide de sécrétions séminales. Les deux amoureux ne se quittent pas des yeux. Seul l’amour guide leur désir en cet instant.
Elle l’invite à s’allonger sur elle et dans un geste d’offrande lui ouvre l’entrée de son antre en écartant largement ses jambes. A la seule des bougies, on peut apercevoir que son sexe est déjà tout humide est des gouttes de cyprine s’échappent langoureusement d’entre ses lèvres gonflées de sang et de désir.
Le moment est extraordinaire de sensualité. Les pervers matent, silencieux. Seul le beau-père a la respiration rapide et bruyante qui laisse à penser qu’il est excité par le spectacle.
En appui sur ses mains, Antoine plante ses yeux dans le regard d’Agnès. Leurs visages ne sont séparés que de quelques centimètres. Ils veulent jouir tous les deux du bonheur de l’instant présent. Autour, tout a disparu, illustrant l’adage que les amoureux sont seuls au monde.
C’est Agnès qui prend encore l’initiative. Elle glisse une main entre leurs deux corps et se saisit d’une main légèrement tremblante du membre dur comme du bois d’Antoine pour le glisser entre ses cuisses, devant son sexe béant, impatient de recevoir le sexe de l’homme. Tous les deux ne se quittent pas du regard. Le gland est à la porte de l’hymen. Il n’ose pas s’avancer. Dans un souffle, Agnès l’encourage.
- Vient mon amour !
Alors d’un coup de rein volontaire, Antoine perfore la mince cloison et pénètre en conquérant dans l’antre de sa bien aimée. Agnès pousse un léger cri que l’on suppose de douleur. Le jeune homme reste planté un instant, effrayé à l’idée qu’il ait pu lui faire mal. Mais très vite le visage d’Agnès s’illumine. Elle a compris que maintenant elle appartient entièrement à cette bite qui vient de la pénétrer pour la toute première fois. Pour toujours elle sera à lui. Quoi qu’il advienne. Elle lui crie, lui murmure de venir en elle et de la féconder.
Antoine se laisse alors aller à ce que son instinct de mâle reproducteur lui dicte. Il ressort un moment, évite de regarder sa bite craignant la vue de la goutte de sang probable de l’hymen blessé et d’un coup il s’enfonce à nouveau dans le vagin accueillant. Sans plus réfléchir il entreprend des va et viens rapides qui le conduisent rapidement à l’éjaculation. Il ne s’est à aucun moment intéressé au plaisir d’Agnès. Tout a été si rapide et hors contrôle. Pendant tout ce temps, Agnès ne l’a pas quitté des yeux, accrochée à la vision de son amant qui jouit en elle et déverse sa semence pour la féconder. Quand elle reçoit le foutre en elle, son visage se crispe, comme celui d’Antoine, images de jouissance proche de la souffrance tant l’excitation est violente. Elle a saisi le visage d’Antoine entre ses mains et le maintient fixement au dessus du sien pour bien montrer que leur union est consommée et qu’ils ne font plus qu’un.
Elle sait maintenant, femme amoureuse, qu’elle vient d’être enfantée et qu’un enfant naîtra de cette union. Son plaisir elle l’a ressentis dans son cœur, plaisir uniquement cérébral. Celui d’Antoine est parti de son bas-ventre, et c’est dans le regard d’Agnès qu’il a puisé une grande partir de sa jouissance juste avant son explosion dans son vagin.
Tendrement, sa femme maintenant, lui caresse les cheveux, doucement affectueusement pour lui signifier sa reconnaissance. Elle sanglote doucement de bonheur. Mais Antoine, une fois ses esprits recouvrés, se sent honteux. Elle lui sourit il lui répond par un sourire désolé d’avoir jouit seul emporté par son corps qu’il n’a pu maîtriser Il a bien compris qu’Agnès avait été abandonnée dans cet accouplement et qu’elle n’avait pas vécu cette jouissance qu’il lui devait. Il sent encore que son sexe est toujours droit, dur dans le sexe brûlant d’Agnès. Il cache sa tête dans le cou au dessous de lui et lentement il reprend un va et vient qu’il destine au plaisir de sa compagne. Petit à petit, la respiration d’Agnès s’accélère et devient plus forte. Des petits gémissements s’échappent d’entre ses lèvres. Elle dodeline de sa tête et lentement elle se laisse emporter par le plaisir. Antoine a compris, il prend son temps et il calque ses mouvements à la respiration de sa bien aimée. Il accélère, Agnès pousse des gémissements annonciateurs de son plaisir, de sa jouissance. Alors Antoine aussi ressent le plaisir reprendre de la vivacité dans son ventre. Il a compris qu’il va jouir une seconde fois et en même temps que son amour. Et bien sûr ils atteignent de concert cette fois l’extase de la jouissance, un orgasme absolu.
Ils sont seuls. Elle le garde en elle jusqu’à qu’il ressorte de lui même, rabougri, tout mou et tout petit.
Elle se rend compte de la quantité de sperme qui s’échappe de son sexe béant.
L’étreinte a été brève mais intense. La première jouissance a été intellectuelle. La seconde est partie cette fois de son ventre pour la submerger entièrement. Elle est persuadée d’avoir perdu connaissance un instant tant le plaisir a été intense. Elle sait désormais qu’elle vient de lui donner son ventre pour construire leur éternité. Agnès réalise qu’elle est amoureuse dans une autre dimension maintenant qu’elle s’est donnée à Antoine.
Et, femme amoureuse, elle comprend que cette jouissance tirée de cet accouplement est celle de la vraie vie. Rien de comparable à ses pulsions initiées par le messager sous son emprise. Elle réalise également qu’elle se sent étrangère à cette personne qui s’est abandonnée au stupre et à ses pulsions dégradantes. Elle sait qu’elle ne désire plus replonger dans cet enfer, même si elle sait combien son plaisir a été intense quand elle percevait les regards et les désirs des autres hommes sur elle. Mais lentement, allongée sous son « Toine », les yeux fermés elle rêve d’une vie douce et comblée. Antoine aussi est convaincu que ce qu’ils viennent de vivre est d’une valeur plus riche pour eux deux.
En réalité, ils se sentent seuls et seuls ils sont bercés par cette étreinte si romantique qui les a extrait du monde réel.
- Vous avez été magnifiques !
Cette voix ! Ils l’avaient oubliée. La tension amoureuse retombe. En un éclair, ils se retrouvent dans ce qui leur paraît maintenant comme l’enfer de la luxure guidée par l’emprise de cet homme envoyé pour les récompenser d’un cadeau de mariage exceptionnel.
Mais Agnès refuse cette condition avec son Antoine. Elle le veut seul par amour et non sous les pulsions perverses initiées par le messager. Tant pis pour la petite maison.
Les deux amoureux se séparent et s’assoient sur le lit, enlacés. Ils son beaux. Ils découvrent que les hommes masqués ont sorti leurs bites et se branlent lentement. Un seul bande dur. Les deux autres exhibent des sexe ridicules et rétractés dans leurs prépuces. Le beau-père se tient bien, contrairement à son ami qui a le pantalon baissé sur ses chevilles. Apparemment il a apprécié le spectacle à en croire le foutre qui macule son vêtement et le sol devant lui.
- Maintenant vous devez terminer votre parcours initiatique pour jouir de ce présent promis par l’ami des parents d’Antoine. Mes complices ici présents vont en être les acteurs, mais avant c’est le beau-père qui doit vous introniser.
Quand Agnès voit le beau-père d’Antoine se lever et s’avancer vers eux, elle a envie de crier. Elle veut refuser ne plus se soumettre encore moins à cet homme qui la répugne. Ses pulsions ne la commande plus. Elle se sent libre depuis cet accouplement avec Antoine. Elle a la force de refuser et elle est sur le point de l’exprimer alors que cet homme a l’intention de la prendre, vouloir jouir en elle et mélanger sa semence à celle d’Antoine Et peut-être pourrait-il la féconder et devenir le père de leur enfant. Cette idée la rend folle de panique.
Pourra-t-elle trouver le courage de refuser, de s’enfuir, de renoncer à ses pulsions. Elle veut aussi se libérer de l’emprise du messager et retrouver la pureté des sentiments qui les liaient Antoine et elle.
Alors c’est vers lui qu’elle se tourne, cherchant son soutien. Mais ce qu’elle lit dans le regard d’Antoine lui glace le sang. Ses yeux brillent comme lorsqu’il est sous l’emprise de ses fantasmes. Fantasmes de la livrer et d’assister à sa débauche. Elle veut lui dire qu’elle ne veut plus de ça.
Doucement il se tourne vers elle, lui prend à son tour le visage entre ses mains et avec une infinie tendresse dans la voix, il lui murmure de se laisser faire, de s’abandonner et qu’il désire son bonheur plus que tout. Elle sent les sanglots envahir sa gorge. Elle est incapable d’articuler le moindre mot. Alors vaincue elle capitule pour le seul plaisir de son amoureux.
(à suivre)
Dans le bar règne un silence quasi religieux. Les deux fiancés nus, se tiennent amoureusement par la main. Ils font face aux personnes tapies dans l’ombre.
Un rideau noir s’écarte lentement, découvre un lit perché sur des pieds de bois et recouvert d’un tissu de velours rouge sang. La tête et le pied de lit sont en fer forgé et dessinent des volutes arabesques.
A ses quatre coins, quatre candélabres diffusent une douce lumière. La mise en scène est évidente et sert à intimider les jeunes gens.
-Agnès, Antoine, vous allez vous unir sur cet hôtel dressé en l’honneur de votre amour. Vous allez devant nous, vous offrir vos virginités. Allez, faites comme vous en avez envie. Oubliez-nous.
Facile à dire pensent les deux tourtereaux. A cet instant chacun est habité d’un trouble qui révèle l’ambiguïté du moment. Ils sont tous les deux envahis d’une envie pure de s’unir et en même temps ils subissent la force érotique due à la présence des voyeurs, des pervers. Pulsion, passion, ils ne savent pas ou plus faire la part des deux choses. Antoine ressent une forte excitation d’exhiber Agnès, qui elle est excitée d’être l’objet des attentions perverses de ceux qu’elle ressent comme des prédateurs. Se donner à Antoine ou s’abandonner à la fornication en libérant sa sexualité débridée ?
Prendre Agnès, lui donner leur enfant ou l’offrir en pâture à ces vieux assoiffés de jeunesse ?
Ils se regardent un instant et le choix est vite établi. C’est Agnès, toujours plus décisionnaire qui prend Antoine par la main et le conduit vers le lit. Toujours en le regardant, elle monte avec des gestes lents et gracieux sur le lit et s’allonge sur le dos. Elle attire Antoine vers elle qui monte à son tour. Le jeune homme a une érection fabuleuse. Son gland est tout humide de sécrétions séminales. Les deux amoureux ne se quittent pas des yeux. Seul l’amour guide leur désir en cet instant.
Elle l’invite à s’allonger sur elle et dans un geste d’offrande lui ouvre l’entrée de son antre en écartant largement ses jambes. A la seule des bougies, on peut apercevoir que son sexe est déjà tout humide est des gouttes de cyprine s’échappent langoureusement d’entre ses lèvres gonflées de sang et de désir.
Le moment est extraordinaire de sensualité. Les pervers matent, silencieux. Seul le beau-père a la respiration rapide et bruyante qui laisse à penser qu’il est excité par le spectacle.
En appui sur ses mains, Antoine plante ses yeux dans le regard d’Agnès. Leurs visages ne sont séparés que de quelques centimètres. Ils veulent jouir tous les deux du bonheur de l’instant présent. Autour, tout a disparu, illustrant l’adage que les amoureux sont seuls au monde.
C’est Agnès qui prend encore l’initiative. Elle glisse une main entre leurs deux corps et se saisit d’une main légèrement tremblante du membre dur comme du bois d’Antoine pour le glisser entre ses cuisses, devant son sexe béant, impatient de recevoir le sexe de l’homme. Tous les deux ne se quittent pas du regard. Le gland est à la porte de l’hymen. Il n’ose pas s’avancer. Dans un souffle, Agnès l’encourage.
- Vient mon amour !
Alors d’un coup de rein volontaire, Antoine perfore la mince cloison et pénètre en conquérant dans l’antre de sa bien aimée. Agnès pousse un léger cri que l’on suppose de douleur. Le jeune homme reste planté un instant, effrayé à l’idée qu’il ait pu lui faire mal. Mais très vite le visage d’Agnès s’illumine. Elle a compris que maintenant elle appartient entièrement à cette bite qui vient de la pénétrer pour la toute première fois. Pour toujours elle sera à lui. Quoi qu’il advienne. Elle lui crie, lui murmure de venir en elle et de la féconder.
Antoine se laisse alors aller à ce que son instinct de mâle reproducteur lui dicte. Il ressort un moment, évite de regarder sa bite craignant la vue de la goutte de sang probable de l’hymen blessé et d’un coup il s’enfonce à nouveau dans le vagin accueillant. Sans plus réfléchir il entreprend des va et viens rapides qui le conduisent rapidement à l’éjaculation. Il ne s’est à aucun moment intéressé au plaisir d’Agnès. Tout a été si rapide et hors contrôle. Pendant tout ce temps, Agnès ne l’a pas quitté des yeux, accrochée à la vision de son amant qui jouit en elle et déverse sa semence pour la féconder. Quand elle reçoit le foutre en elle, son visage se crispe, comme celui d’Antoine, images de jouissance proche de la souffrance tant l’excitation est violente. Elle a saisi le visage d’Antoine entre ses mains et le maintient fixement au dessus du sien pour bien montrer que leur union est consommée et qu’ils ne font plus qu’un.
Elle sait maintenant, femme amoureuse, qu’elle vient d’être enfantée et qu’un enfant naîtra de cette union. Son plaisir elle l’a ressentis dans son cœur, plaisir uniquement cérébral. Celui d’Antoine est parti de son bas-ventre, et c’est dans le regard d’Agnès qu’il a puisé une grande partir de sa jouissance juste avant son explosion dans son vagin.
Tendrement, sa femme maintenant, lui caresse les cheveux, doucement affectueusement pour lui signifier sa reconnaissance. Elle sanglote doucement de bonheur. Mais Antoine, une fois ses esprits recouvrés, se sent honteux. Elle lui sourit il lui répond par un sourire désolé d’avoir jouit seul emporté par son corps qu’il n’a pu maîtriser Il a bien compris qu’Agnès avait été abandonnée dans cet accouplement et qu’elle n’avait pas vécu cette jouissance qu’il lui devait. Il sent encore que son sexe est toujours droit, dur dans le sexe brûlant d’Agnès. Il cache sa tête dans le cou au dessous de lui et lentement il reprend un va et vient qu’il destine au plaisir de sa compagne. Petit à petit, la respiration d’Agnès s’accélère et devient plus forte. Des petits gémissements s’échappent d’entre ses lèvres. Elle dodeline de sa tête et lentement elle se laisse emporter par le plaisir. Antoine a compris, il prend son temps et il calque ses mouvements à la respiration de sa bien aimée. Il accélère, Agnès pousse des gémissements annonciateurs de son plaisir, de sa jouissance. Alors Antoine aussi ressent le plaisir reprendre de la vivacité dans son ventre. Il a compris qu’il va jouir une seconde fois et en même temps que son amour. Et bien sûr ils atteignent de concert cette fois l’extase de la jouissance, un orgasme absolu.
Ils sont seuls. Elle le garde en elle jusqu’à qu’il ressorte de lui même, rabougri, tout mou et tout petit.
Elle se rend compte de la quantité de sperme qui s’échappe de son sexe béant.
L’étreinte a été brève mais intense. La première jouissance a été intellectuelle. La seconde est partie cette fois de son ventre pour la submerger entièrement. Elle est persuadée d’avoir perdu connaissance un instant tant le plaisir a été intense. Elle sait désormais qu’elle vient de lui donner son ventre pour construire leur éternité. Agnès réalise qu’elle est amoureuse dans une autre dimension maintenant qu’elle s’est donnée à Antoine.
Et, femme amoureuse, elle comprend que cette jouissance tirée de cet accouplement est celle de la vraie vie. Rien de comparable à ses pulsions initiées par le messager sous son emprise. Elle réalise également qu’elle se sent étrangère à cette personne qui s’est abandonnée au stupre et à ses pulsions dégradantes. Elle sait qu’elle ne désire plus replonger dans cet enfer, même si elle sait combien son plaisir a été intense quand elle percevait les regards et les désirs des autres hommes sur elle. Mais lentement, allongée sous son « Toine », les yeux fermés elle rêve d’une vie douce et comblée. Antoine aussi est convaincu que ce qu’ils viennent de vivre est d’une valeur plus riche pour eux deux.
En réalité, ils se sentent seuls et seuls ils sont bercés par cette étreinte si romantique qui les a extrait du monde réel.
- Vous avez été magnifiques !
Cette voix ! Ils l’avaient oubliée. La tension amoureuse retombe. En un éclair, ils se retrouvent dans ce qui leur paraît maintenant comme l’enfer de la luxure guidée par l’emprise de cet homme envoyé pour les récompenser d’un cadeau de mariage exceptionnel.
Mais Agnès refuse cette condition avec son Antoine. Elle le veut seul par amour et non sous les pulsions perverses initiées par le messager. Tant pis pour la petite maison.
Les deux amoureux se séparent et s’assoient sur le lit, enlacés. Ils son beaux. Ils découvrent que les hommes masqués ont sorti leurs bites et se branlent lentement. Un seul bande dur. Les deux autres exhibent des sexe ridicules et rétractés dans leurs prépuces. Le beau-père se tient bien, contrairement à son ami qui a le pantalon baissé sur ses chevilles. Apparemment il a apprécié le spectacle à en croire le foutre qui macule son vêtement et le sol devant lui.
- Maintenant vous devez terminer votre parcours initiatique pour jouir de ce présent promis par l’ami des parents d’Antoine. Mes complices ici présents vont en être les acteurs, mais avant c’est le beau-père qui doit vous introniser.
Quand Agnès voit le beau-père d’Antoine se lever et s’avancer vers eux, elle a envie de crier. Elle veut refuser ne plus se soumettre encore moins à cet homme qui la répugne. Ses pulsions ne la commande plus. Elle se sent libre depuis cet accouplement avec Antoine. Elle a la force de refuser et elle est sur le point de l’exprimer alors que cet homme a l’intention de la prendre, vouloir jouir en elle et mélanger sa semence à celle d’Antoine Et peut-être pourrait-il la féconder et devenir le père de leur enfant. Cette idée la rend folle de panique.
Pourra-t-elle trouver le courage de refuser, de s’enfuir, de renoncer à ses pulsions. Elle veut aussi se libérer de l’emprise du messager et retrouver la pureté des sentiments qui les liaient Antoine et elle.
Alors c’est vers lui qu’elle se tourne, cherchant son soutien. Mais ce qu’elle lit dans le regard d’Antoine lui glace le sang. Ses yeux brillent comme lorsqu’il est sous l’emprise de ses fantasmes. Fantasmes de la livrer et d’assister à sa débauche. Elle veut lui dire qu’elle ne veut plus de ça.
Doucement il se tourne vers elle, lui prend à son tour le visage entre ses mains et avec une infinie tendresse dans la voix, il lui murmure de se laisser faire, de s’abandonner et qu’il désire son bonheur plus que tout. Elle sent les sanglots envahir sa gorge. Elle est incapable d’articuler le moindre mot. Alors vaincue elle capitule pour le seul plaisir de son amoureux.
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