le cafe de la première fois

- Par l'auteur HDS Philippe chaumont -
Auteur homme.
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Récit libertin : le cafe de la première fois Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-08-2012 dans la catégorie Plus on est
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(6.0 / 10)

Couleur du fond :
le cafe de la première fois
Mes parents m'avaient mis en pension au lycée Sainte Barbe, rue Valette dans le
cinquième; c'était, parait-il, le plus vieux collège de Paris, s'il y avait une cour
, il n'y avait aucun
arbre, aucune plante, j'avais hâte d'être au Jeudi, le jour où les pensionnaires
pouvaient sortir pour voir autre chose que cette cour bitumée. C'est vous dire que
cette histoire ne remonte pas à hier.......
Ce jeudi je présentais mon exéat au surveillant portier et quittais , pour l'après-
midi, le pensionnat. Je passais devant le Panthéon "aux Grands Hommes la Patrie
reconnaissante" m'interrogeant de savoir si ,l'un de mes condisciples ou moi-même,
aurions un jour les honneurs de l'endroit, la jeunesse est insouciante et ne doute
pas..... je descendais la rue Soufflot, empruntais le Boulevard St Michel, et
m'engageais rue monsieur le Prince. J'entrais dans un café,évitais la grande salle,
descendais l'escalier qui donnait sur une petite salle, vide, intimiste, sans fenêtre
et m'installais au fond , sur une large banquette de moleskine aubergine qui
desservait plusieurs tables, espacées les unes des autres. j'attendis un moment que le
garçon vienne prendre commande de mon café, il y eut un moment de même durée avant
qu'il ne revint avec le breuvage. Je prenais un journal, posé sur une table voisine,
et tout en observant la salle, je jetais un oeil sur les titres.
Des minutes passèrent, ponctuées du bruit sec de l'avancement de l'aiguille de
l'horloge, placée au dessus de ma tête.
Puis, je remarquais une femme, en tailleur élégant grège ,la jupe serrée, au col
liseré bleu marine, sac en bandoulière, elle avançait tournant la tête de gauche à
droite, comme si elle cherchait quelqu'un, son regard croisât le mien, comme si je
n'existais pas, elle se glissât entre ma table et la suivante et s'installât à coté de
moi sur la banquette de moleskine. . Je perçus l'odeur envoûtante de son parfum
musqué, Shalimar de Guerlain ,
Le garçon mit le même temps à venir prendre commande d'un thé, et le servir que celui
qu'il avait mis pour moi.
Du coin de l'oeil j'observe ses mains fines aux ongles vernis rouge vif, elle tient
délicatement sa cuiller entre le pouce et l'index et dissout le sucre en la tournant
lentement; j'observe son visage de profil, toujours discrètement, elle a un petit nez,
les sourcils dessinés au crayon noir, les cheveux teints roux foncés , la bouche est
ourlée, colorée d'un rouge du même éclat vif que ses ongles, sous la veste de son
tailleur, l'entrebâillement laisse deviner un soutien gorge blanc à balconnets qui
cache a demi une belle et opulente poitrine.
Mon regard descend le long de la jupe de son tailleur, je vois le haut d'un bas qui
galbe une jambe fine et nerveuse, un pied petit porte des chaussures à talons
aiguilles, mon regard, toujours oblique,revient et se fixe sur cet endroit fascinant
: le bas de la jupe qui laisse dépasser le haut du bas. Quelle émotion lorsqu'elle
croise ses jambes, dévoilant la chair de sa cuisse, les jarretelles, la vision de
cette peau, des jarretelles ,du bas ,me fascinent, me trouble et m'excite, c'est la
première fois qu'une telle vision s'offre à mes yeux.....naturellement je sens
aussitôt mon sexe se dresser dans mon pantalon,et provoquer un renflement peu discret.
elle penche son buste en avant, pour porter la tasse de thé à ses lèvres, le
mouvement du bras qui lève la tasse entrebâille la veste de son tailleur, dévoilant le
galbe d'un sein lourd tenu à moitié par le balconnet transparent d'un soutien gorge
qui montre la moitié de l'aréole orange foncé, le bout épais du téton a peine
dissimulé par le voile transparent du demi bonnet de son soutien gorge... le buste
projeté en avant, les fesses repoussées au maximum vers l'arrière dévoilent au maximum
ses atours...
Sa cuisse nue est a moins de trente centimètres de moi, je me croise les jambes et
dans le même moment me décale au maximum vers le bout de ma table... et le début de la
sienne;
nous ne sommes plus qu'à une vingtaine de centimètres l'un de l'autre, mon coeur bat
la chamade, je pose ma main doucement sur la banquette de moleskine et la fait glisser
vers sa chair, j'ai autant d'excitation que de frayeur, craignant une réaction vive et
brutale de sa part,le bout de mes doigts effleure sa peau , là où son bas s'arrête et
où n'est pas encore sa jupe, cet espace charnel est doux et satiné; elle ne bronche
pas, je sens sous mes doigts sa peau qui se "met" en chair de poule, mes doigts qui
effleuraient se posent sur sa cuisse et la caresse, je remonte tout doucement en
faisant des petits mouvements circulaires, elle ferme ses yeux pose sa main, fine, sur
la mienne, ses doigts se font légers sur ma main, sans exercer la moindre pression,
laissant ,à ma guise, mon parcours sur sa jambe; je remonte et sens sous mes doigts
les soies de son pubis, elle ne porte pas de culotte, sa toison est fournie, elle
écarte légèrement ses jambes en acceptation, de mes doigts j'écarte ses lèvres et
trouve son clitoris épais, elle est déjà, très humide, et gémit doucement quand je
fais tourner mon index et mon majeur sur son bouton d'amour. Je sens sa cyprine
couler, sa respiration se fait plus saccadée, elle pose une main sur ma braguette, et
a travers le tissus de mon pantalon pétrit mon sexe, un petit moment plus tard elle
ouvre ma braguette et glissant sa main extirpe de mon slip mon bâton d'amour, en
murmurant, l'air innocent, c'est moi qui te met dans cet état? puis elle ajoute: "
j'ai honte! je pourrais être ta Maman, cela ne te gêne pas?" je ne réponds pas, je
suis trop excité par sa main qui masturbe ma verge, et davantage encore quand elle se
penche pour la prendre en bouche... j'en profite pour glisser ma main dans
l'échancrure de son tailleur et palper ses gros seins, je glisse ma main dans le
balconnet de son soutien gorge pour pincer le bout épais et dur de son téton, c'est à
ce moment qu'un intrus vint perturber ce flirt déjà bien engagé, il s'installe en face
de nous, il est grand très classe, costume de qualité chemise à poignets
mousquetaires, boutons de manchettes ...je lui donne la soixantaine, soit quarante
quatre ans de plus que moi et sans doute une vingtaine de plus qu'elle.....je n'ai pas
eu le temps de ranger mon sexe que je cache de mes deux mains, ma voisine s'est
relevée, sans réajuster son tailleur, le garçon toujours lent vient prendre la
commande du client "un Café serré comme d'habitude Monsieur Jacques?", et lui ramène
sa consommation avec le même entrain, bref je me désole et me demande comment et où
nous pourrions poursuivre notre doux commerce, lorsque ma voisine me dit je m' appelle
Ginou, j'ai à peine le temps de lui dire moi c'est Philippe qu'elle m'enlace pour un
baiser bouche pis qu'au cinéma.... dans le même temps elle reprend mon sexe en main
qui aussitôt se remet a se dresser elle me masturbe elle quitte ma bouche pour
murmurer a mon oreille caresse moi aussi, je reglisse ma main entre ses jambes et
retrouve son clitoris épais et dur, et sa vulve trempée, elle fixe fiévreusement le
client assis devant nous, et me dis "regarde" en le désignant, je vois par dessous sa
table que l'homme a sorti son sexe et qu'il l'agite devant Ginou et moi, sa verge est
longue et épaisse plus que la mienne en tous cas, "moi j'aime et toi," me demande t-
elle?
je lui dis que moi aussi j'aime les sexes d'hommes, que j'ai commencé avec des hommes
murs, et qu'effectivement il a une belle queue..... Ginou me dit: "fais moi plaisir
va le chercher
et propose lui de venir se mettre entre toi et moi, tu veux bien dis?" j'ai autant
envie de lui faire plaisir que de sucer le sexe du client, je lui dis "d'accord" elle
me retiens et me murmure "vas y le sexe dehors, assieds toi à coté de lui, je veux
vous voir tous les deux bander" . je me lève et vais bite au vent et rougissant vers
le client "puis je m'asseoir à vos cotés?
"bien sur, jeune ami, me dit-il" en face de nous Ginou nous regarde, elle écarte très
largement ses jambes, et remonte sa jupe au dessus de son ventre afin de ne rien nous
cacher de sa chatte qu'elle caresse impudemment, je fixe le sexe de mon voisin il est
gros et long le gland est violet tant il est excité par Ginou, il me regarde dans les
yeux son regard bleu est dur et il me dit "suce moi, je veux qu'elle te voit me sucer"
je me penche me baisse et reçois dans ma bouche sa queue tendue au gland décalotté, il
a un goût de savon de marseille,
insipide, j 'aime quand le noeud sent l'homme et l'urine, penché sur lui sur son sexe,
je le suce goulûment, j'entends le bruit des talons de Ginou, elle nous rejoint,
s'assied à mon opposé, sa bouche rejoint la mienne sur la queue tendue, nous suçons
tous les deux, avec un même intense plaisir. Monsieur Jacques a glissé sa main entre
les jambes de Ginou, et la masturbe à la faire gémir,jusqu'à ce qu'elle implore
Monsieur Jacques de la prendre. Celui ci se place sur la banquette entre deux tables,
baisse son pantalon, et demande à ginou de venir s'empaler sur son sexe dos contre lui
,elle face à la salle, Ginou a relevé sa jupe à la taille, Robert a défait les boutons
du tailleur et sorti les seins de Ginou des balconnets, Ginou tient le sexe de Mr
Robert et le guide vers sa chatte trempée, elle va et vient sur lui, on entend le
bruit fort de son humide intimité accentuée par le coulissement de la verge de son
amant, celui-çi me demande de me mettre a genoux entre leurs jambes et de lécher leurs
sexes unis, Ginou gémit de plus en plus et dit qu'elle va jouir, elle s'abandonne dans
des râles rauques et longs, Monsieur Robert me dit de le prendre en bouche qu'il va
jouir en moi, pendant que je le suce, Ginou me caresse les cheveux s'agenouille près
de moi et me masturbe , Monsieur Robert se répand en moi, je jouis par la main de
Ginou en même temps.
Nous remettons de l'ordre dans nos tenues, nos consommations sont froides, tous les
trois nous projetons de nous retrouver dans l'appartement de monsieur Robert une
prochaine fois.

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