Le calvaire d’une jeune fille. 6
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-04-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Le calvaire d’une jeune fille. 6
Le calvaire d’une jeune fille. 6
Préface.
Pour cette fois, l’histoire que je vais vous conter est une histoire vraie vécue par une correspondante qui m’a demandé de remanier le texte brut qu’elle m’envoie.
Je ne ferai que le minimum de retouches sur son texte. Je ne sais pas si sa malheureuse aventure sera autorisée à être diffusé sur ce site mais je l’espère pour mettre en garde toutes les jeunes filles et les femmes sur les hommes qui ne respectent pas leur compagne.
Il y aura moins de sexe, pas de fantasme mais la vérité crue.
Je lui laisse la parole.
Quelques mots de Kris, (bien sûr les prénoms ne sont pas les bons).
Je sais que cette histoire n’est pas plaisante à lire et encore moins, de l’avoir vécue.
J’essaye au mieux de me reconstruite et mon nouveau compagnon y contribue chaque jour.
C’est pourquoi je veux que mon histoire soit publiée. Si, elle est vraie. Ok, le site n’est pas le plus « approprié » mais j’ai besoin de laisser une preuve écrite de mon expérience et peut être, faire prendre conscience à certains que votre voisin n’est peut-être pas la personne que vous croyez.
On s’est rencontrés à l’âge de 17 ans, on est sortis ensemble quand j’avais 18 ans mais mon histoire « horrible » a duré un an et demi.
Sachez que tout ce vous lisez est la vérité, tout est peut être surréaliste et pourtant...
Il est allé trop loin.
- Je veux te bander les yeux et te menotter au lit, tes sens seront décuplés, tu n’oublieras jamais cette soirée, crois moi.
- D’accord, je veux bien tester mais on a rien de tout ça.
-T’inquiètes, j’ai tout préparé, j’ai acheté une paire dans un sex-shop et je te banderai les yeux avec une écharpe ou une serviette.
Je n’oublierai pas cette soirée…effectivement, ça allait être le cas.
On se retrouva nus dans sa chambre. Il m’attacha au lit et me banda les yeux. Ne plus voir et être entravée étaient bizarre.
-Ton partenaire est le maitre de ton corps. Attend, Kriss, je reviens.
-D‘accord, pas de soucis.
Ces quelques minutes, seule, attachée, les yeux bandés, m’excitait au plus haut point. Je l’attendais avec impatience.
Il revint dans la chambre et s’excusa du temps qu’il avait mis mais que le jeu allait commencer.
Il voulait savoir si je pouvais reconnaître les saveurs de certains produits et me les présenta à la bouche (j’ai eu pas mal de fruits qu’on avait mangé la veille, du chocolat, quelques boissons et même des odeurs)C’était sensuel de sa part, je trouvais que c’était une bonne idée.
Il se mit de plus en plus à m’embrasser, à mettre sa langue, à me toucher en long en travers, et à me mettre des doigts.
J’étais excitée, je mouillais pas mal et il commença à me faire un cunni… Un orgasme sortit de mes entrailles, c’était bon ! Cet orgasme était la preuve d’une jouissance, un vrai orgasme après des mois à simuler ou à fermer ma gueule.
- Oh, je vois que tu aimes ça, petite coquine.
- Continue, j’adore.
J’haletais de plus en plus. Pour rien au monde, je voulais qu’il s’arrête. C’était un moment de plaisir et de détente, MON moment depuis des mois.
Il fit une pause et quitta le lit.
- Mais, qu’est-ce que tu fais ? C’est trop bon, continue stp .
-Je bois un coup et je suis de nouveau à toi.
Je l’entendis boire son eau à la bouteille et il revint s’asseoir sur le lit.
- Mouais, j’ai plus envie de continuer mon cunni .
-Stp, regarde comment je mouille, continue ! Ne t’arrête pas.
- Dis-moi le mot magique.
- J’ai dit stp.
-Pas celui-là.
« … »- Tu sais ce que je veux entendre.
- Bouffe ma chatte de salope ! Le suppliais-je, pleine d’envie.
- J’aime quand tu me parles comme ça.
Il reprit de plus belle son cunnilingus encore et encore, j’éprouvais du plaisir. C’était intense, je gémissais et un nouvel orgasme surgit, je voulais qu’il me la mette.
Sentant que j’étais prête, il arrêta son cunni et me demanda :
-Dis-moi que tu la veux !
- Je suis chaude, va-y !
Si quelqu’un avait pu m’observer, il aurait vu une meuf qui n’avait pas eu de rapports sexuels épanouis depuis des mois et qui aurait sauté sur n’importe quel individu.
Ses va et vient étaient différents des derniers coïts qu’on avait eu, enfin il était doux et essayait de me faire plaisir.
On s’embrassait avec fougue, il s’amusait avec mes seins, il jouait avec mes cuisses…Il me semblait que son odeur corporel était différente des dernière fois, il avait une odeur aimante qui dégageait un halo d’agrume. Un nouveau parfum, peut être ?
Je ressentais le niveau de la pénétration, son engin me paraissait plus large mais c’était sans doute l’excitation de ne pas le voir et de pouvoir le toucher qui me jouait des tours.
Mais pour la première fois de ma vie, je ressentais un réel plaisir par la façon qu’il avait de faire vibrer nos corps à l’unisson. Pourquoi a-t-il attendu si longtemps pour me faire connaître ça ?
Il me prit en cuillère un moment avant de s’emporter : - Bon, assez joué, j’en ai marre.
C’est là que je compris enfin la dépravation de cet homme que je croyais encore aimer.
Axel retira le bandeau de mes yeux. A ma grande stupeur, il était debout devant moi, la bite dressée, avec un gros sourire de pervers.
J’eu un moment d’absence et de panique une fraction de seconde ; ma conscience s’interrogea : « Attend…si Axel est devant toi…qui est actuellement en train de te fourrer ? »
- Je te présente X…, c’est un copain à moi.
Je me retournai et le vis.. Il me salua d’un simple « Yo » Il s’en foutait royal de ma gueule et continuait à faire son affaire.
Je m’effondrai en larmes, je faisais l’amour avec un autre homme sans en être consciente. C’était bizarre car malgré que je sois outrée de la situation et que cet inconnu arrive à me faire vibrer comme jamais Axel n’avait pu le faire.
Je les suppliai d’arrêter.
Pour faire au plus court, ils se sont amusés avec moi, ils tournaient entre eux, me prenaient en sandwich, m’arrosaient de leur sperme dans mes orifices, m’insultaient de tous les noms (que j’étais la meilleure meuf qu’il ait baisée par rapport aux meufs de cité (c’était un rebeu), j’étais une chienne, une esclave, une soumise)
Ils ont fini par me détacher et je me suis enfermée toute la soirée dans la salle de bain, nue et souillée. Je n’ai pas dormi cette nuit-là car c’était impossible…J’essayais de me nettoyer de la crasse mais impossible tellement je me sentais sale.
Pendant que j’étais traumatisée, eux s’amusaient à fumer, picoler et prendre de la cocaïne dans le salon en rigolant.
Je suis sortie de la salle de bain à l’aube, j’ai pris quelques affaires je suis rentré chez moi.
Je voulais en parler à ma mère mais je n’en ai jamais eu le courage.
J’étais perdue dans un labyrinthe. Honteuse d’en parler, personne vers qui me tourner, seule la solitude pesait sur moi. J’ai passé des mois cloitrée chez moi, à me laminer sur mon sort. J’ai pleuré pour toute une vie, mes larmes n’arrêtaient pas de couler.
Moi, Kriss, qui en faisait tourner plus d’un, était devenue une sombre merde. Je décidai de balancer Axel, c’était lui ou moi… Je pouvais pas laisser une telle ordure, un taré de la vie, se promener dans notre société. Et s’il recommençait ? Et s’il faisait subir ça à sa famille ou à sa prochaine copine ?
Impardonnable pensais-je. Il fallait que justice soit faite. Mais comment faire ? A qui en parler ?
Ces questions me trottaient dans la tête des jours et des jours puis me vient une idée : J’allais retourner tout le mal d’Axel sur lui.
Après des mois sans sortir de chez moi, je me rendis à notre petit « chez nous » pour récupérer la preuve irréfutable de qui était vraiment Axel : sa mini camera d’espion. Dedans y était enregistré photos et vidéos de tous ses vices.
Pour me soulager, je cassai tout dans le studio, ça me fis un bien fou mais ce n’était pas dans ma nature d’être comme ça. Il fallait vraiment que ça cesse.
Je demandai aux parents d’Axel qu’on se voit entre nous, ils acceptèrent tout de suite. Dieu, comme ce fut douloureux mais j’expliquai qui était vraiment leur fils, ce sadique manipulateur.
Naturellement, ils ne me croyaient pas par amour de leur fils mais honteuse, je leur montrai les vidéos et photos.
J’expliquai aussi les fois quand ils m’ont vu nue que c’était son idée de m’humilier.
Ils étaient abasourdis par l’horreur de ce qu’ils voyaient... Voir ainsi leur fils les rendait malades. Sa belle maman se souvenait du bleu que j’avais lorsqu’elle m’avait posé la question.
C’est là qu’ils décidèrent de le faire interner dans un hôpital pour le soigner de ces addictions au sexe, à l’alcool, à la violence, à la drogue.
Pour ma mère, je mentis à son sujet en disant que c’était fini entre lui et moi sans rentrer dans les détails et que j’étais triste. Ca me rendait malade de mentir à ma mère. Pour mes études, je lui avais dit que le cursus ne me plaisait guère et que j’avais des envies d’ailleurs. C’était aussi un moyen de s’échapper d’ici.
Hormis ma mère, plus rien ne me retenais en France et c’est ainsi que je partis à l’étranger pour fuir tout ça.
Voilà, j’ai fini avec mon histoire. Je sais que cette histoire n’est pas plaisante à lire et encore moins, de l’avoir vécue.
J’essaye au mieux de me reconstruite et mon nouveau compagnon y contribue chaque jour.
C’est pourquoi je veux que mon histoire soit publiée. Si, elle est vraie. Ok, le site n’est pas le plus « approprié » mais j’avais besoin de laisser une preuve écrite de mon expérience et peut être, faire prendre conscience à certains que votre voisin n’est peut-être pas la personne que vous croyez.
Fin.
Préface.
Pour cette fois, l’histoire que je vais vous conter est une histoire vraie vécue par une correspondante qui m’a demandé de remanier le texte brut qu’elle m’envoie.
Je ne ferai que le minimum de retouches sur son texte. Je ne sais pas si sa malheureuse aventure sera autorisée à être diffusé sur ce site mais je l’espère pour mettre en garde toutes les jeunes filles et les femmes sur les hommes qui ne respectent pas leur compagne.
Il y aura moins de sexe, pas de fantasme mais la vérité crue.
Je lui laisse la parole.
Quelques mots de Kris, (bien sûr les prénoms ne sont pas les bons).
Je sais que cette histoire n’est pas plaisante à lire et encore moins, de l’avoir vécue.
J’essaye au mieux de me reconstruite et mon nouveau compagnon y contribue chaque jour.
C’est pourquoi je veux que mon histoire soit publiée. Si, elle est vraie. Ok, le site n’est pas le plus « approprié » mais j’ai besoin de laisser une preuve écrite de mon expérience et peut être, faire prendre conscience à certains que votre voisin n’est peut-être pas la personne que vous croyez.
On s’est rencontrés à l’âge de 17 ans, on est sortis ensemble quand j’avais 18 ans mais mon histoire « horrible » a duré un an et demi.
Sachez que tout ce vous lisez est la vérité, tout est peut être surréaliste et pourtant...
Il est allé trop loin.
- Je veux te bander les yeux et te menotter au lit, tes sens seront décuplés, tu n’oublieras jamais cette soirée, crois moi.
- D’accord, je veux bien tester mais on a rien de tout ça.
-T’inquiètes, j’ai tout préparé, j’ai acheté une paire dans un sex-shop et je te banderai les yeux avec une écharpe ou une serviette.
Je n’oublierai pas cette soirée…effectivement, ça allait être le cas.
On se retrouva nus dans sa chambre. Il m’attacha au lit et me banda les yeux. Ne plus voir et être entravée étaient bizarre.
-Ton partenaire est le maitre de ton corps. Attend, Kriss, je reviens.
-D‘accord, pas de soucis.
Ces quelques minutes, seule, attachée, les yeux bandés, m’excitait au plus haut point. Je l’attendais avec impatience.
Il revint dans la chambre et s’excusa du temps qu’il avait mis mais que le jeu allait commencer.
Il voulait savoir si je pouvais reconnaître les saveurs de certains produits et me les présenta à la bouche (j’ai eu pas mal de fruits qu’on avait mangé la veille, du chocolat, quelques boissons et même des odeurs)C’était sensuel de sa part, je trouvais que c’était une bonne idée.
Il se mit de plus en plus à m’embrasser, à mettre sa langue, à me toucher en long en travers, et à me mettre des doigts.
J’étais excitée, je mouillais pas mal et il commença à me faire un cunni… Un orgasme sortit de mes entrailles, c’était bon ! Cet orgasme était la preuve d’une jouissance, un vrai orgasme après des mois à simuler ou à fermer ma gueule.
- Oh, je vois que tu aimes ça, petite coquine.
- Continue, j’adore.
J’haletais de plus en plus. Pour rien au monde, je voulais qu’il s’arrête. C’était un moment de plaisir et de détente, MON moment depuis des mois.
Il fit une pause et quitta le lit.
- Mais, qu’est-ce que tu fais ? C’est trop bon, continue stp .
-Je bois un coup et je suis de nouveau à toi.
Je l’entendis boire son eau à la bouteille et il revint s’asseoir sur le lit.
- Mouais, j’ai plus envie de continuer mon cunni .
-Stp, regarde comment je mouille, continue ! Ne t’arrête pas.
- Dis-moi le mot magique.
- J’ai dit stp.
-Pas celui-là.
« … »- Tu sais ce que je veux entendre.
- Bouffe ma chatte de salope ! Le suppliais-je, pleine d’envie.
- J’aime quand tu me parles comme ça.
Il reprit de plus belle son cunnilingus encore et encore, j’éprouvais du plaisir. C’était intense, je gémissais et un nouvel orgasme surgit, je voulais qu’il me la mette.
Sentant que j’étais prête, il arrêta son cunni et me demanda :
-Dis-moi que tu la veux !
- Je suis chaude, va-y !
Si quelqu’un avait pu m’observer, il aurait vu une meuf qui n’avait pas eu de rapports sexuels épanouis depuis des mois et qui aurait sauté sur n’importe quel individu.
Ses va et vient étaient différents des derniers coïts qu’on avait eu, enfin il était doux et essayait de me faire plaisir.
On s’embrassait avec fougue, il s’amusait avec mes seins, il jouait avec mes cuisses…Il me semblait que son odeur corporel était différente des dernière fois, il avait une odeur aimante qui dégageait un halo d’agrume. Un nouveau parfum, peut être ?
Je ressentais le niveau de la pénétration, son engin me paraissait plus large mais c’était sans doute l’excitation de ne pas le voir et de pouvoir le toucher qui me jouait des tours.
Mais pour la première fois de ma vie, je ressentais un réel plaisir par la façon qu’il avait de faire vibrer nos corps à l’unisson. Pourquoi a-t-il attendu si longtemps pour me faire connaître ça ?
Il me prit en cuillère un moment avant de s’emporter : - Bon, assez joué, j’en ai marre.
C’est là que je compris enfin la dépravation de cet homme que je croyais encore aimer.
Axel retira le bandeau de mes yeux. A ma grande stupeur, il était debout devant moi, la bite dressée, avec un gros sourire de pervers.
J’eu un moment d’absence et de panique une fraction de seconde ; ma conscience s’interrogea : « Attend…si Axel est devant toi…qui est actuellement en train de te fourrer ? »
- Je te présente X…, c’est un copain à moi.
Je me retournai et le vis.. Il me salua d’un simple « Yo » Il s’en foutait royal de ma gueule et continuait à faire son affaire.
Je m’effondrai en larmes, je faisais l’amour avec un autre homme sans en être consciente. C’était bizarre car malgré que je sois outrée de la situation et que cet inconnu arrive à me faire vibrer comme jamais Axel n’avait pu le faire.
Je les suppliai d’arrêter.
Pour faire au plus court, ils se sont amusés avec moi, ils tournaient entre eux, me prenaient en sandwich, m’arrosaient de leur sperme dans mes orifices, m’insultaient de tous les noms (que j’étais la meilleure meuf qu’il ait baisée par rapport aux meufs de cité (c’était un rebeu), j’étais une chienne, une esclave, une soumise)
Ils ont fini par me détacher et je me suis enfermée toute la soirée dans la salle de bain, nue et souillée. Je n’ai pas dormi cette nuit-là car c’était impossible…J’essayais de me nettoyer de la crasse mais impossible tellement je me sentais sale.
Pendant que j’étais traumatisée, eux s’amusaient à fumer, picoler et prendre de la cocaïne dans le salon en rigolant.
Je suis sortie de la salle de bain à l’aube, j’ai pris quelques affaires je suis rentré chez moi.
Je voulais en parler à ma mère mais je n’en ai jamais eu le courage.
J’étais perdue dans un labyrinthe. Honteuse d’en parler, personne vers qui me tourner, seule la solitude pesait sur moi. J’ai passé des mois cloitrée chez moi, à me laminer sur mon sort. J’ai pleuré pour toute une vie, mes larmes n’arrêtaient pas de couler.
Moi, Kriss, qui en faisait tourner plus d’un, était devenue une sombre merde. Je décidai de balancer Axel, c’était lui ou moi… Je pouvais pas laisser une telle ordure, un taré de la vie, se promener dans notre société. Et s’il recommençait ? Et s’il faisait subir ça à sa famille ou à sa prochaine copine ?
Impardonnable pensais-je. Il fallait que justice soit faite. Mais comment faire ? A qui en parler ?
Ces questions me trottaient dans la tête des jours et des jours puis me vient une idée : J’allais retourner tout le mal d’Axel sur lui.
Après des mois sans sortir de chez moi, je me rendis à notre petit « chez nous » pour récupérer la preuve irréfutable de qui était vraiment Axel : sa mini camera d’espion. Dedans y était enregistré photos et vidéos de tous ses vices.
Pour me soulager, je cassai tout dans le studio, ça me fis un bien fou mais ce n’était pas dans ma nature d’être comme ça. Il fallait vraiment que ça cesse.
Je demandai aux parents d’Axel qu’on se voit entre nous, ils acceptèrent tout de suite. Dieu, comme ce fut douloureux mais j’expliquai qui était vraiment leur fils, ce sadique manipulateur.
Naturellement, ils ne me croyaient pas par amour de leur fils mais honteuse, je leur montrai les vidéos et photos.
J’expliquai aussi les fois quand ils m’ont vu nue que c’était son idée de m’humilier.
Ils étaient abasourdis par l’horreur de ce qu’ils voyaient... Voir ainsi leur fils les rendait malades. Sa belle maman se souvenait du bleu que j’avais lorsqu’elle m’avait posé la question.
C’est là qu’ils décidèrent de le faire interner dans un hôpital pour le soigner de ces addictions au sexe, à l’alcool, à la violence, à la drogue.
Pour ma mère, je mentis à son sujet en disant que c’était fini entre lui et moi sans rentrer dans les détails et que j’étais triste. Ca me rendait malade de mentir à ma mère. Pour mes études, je lui avais dit que le cursus ne me plaisait guère et que j’avais des envies d’ailleurs. C’était aussi un moyen de s’échapper d’ici.
Hormis ma mère, plus rien ne me retenais en France et c’est ainsi que je partis à l’étranger pour fuir tout ça.
Voilà, j’ai fini avec mon histoire. Je sais que cette histoire n’est pas plaisante à lire et encore moins, de l’avoir vécue.
J’essaye au mieux de me reconstruite et mon nouveau compagnon y contribue chaque jour.
C’est pourquoi je veux que mon histoire soit publiée. Si, elle est vraie. Ok, le site n’est pas le plus « approprié » mais j’avais besoin de laisser une preuve écrite de mon expérience et peut être, faire prendre conscience à certains que votre voisin n’est peut-être pas la personne que vous croyez.
Fin.
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