Le cavalier
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le cavalier
Tous les ans, dans ma bonne ville de Sologne a lieu un concours hippique qui dure une bonne semaine. Bon, faut aimer cela, mais les chevaux sont magnifiques, c'est vraiment un plaisir de les regarder.
Cette année je n'ai pas dérogé à ma règle, je suis venu passer l'après midi du samedi d'autant plus que le soleil était de la partie.
On pouvait se balader au milieu des stands, pour voir les chevaux et leurs cavaliers ou cavalières.
Mais vous vous doutez bien ceux que je regardais en premier.
Et, c'est un beau cheval blanc qui a attiré mon œil coquin, un beau mâle, majestueux, le port de tête haut, fier, toisant les humains du haut de sa hauteur en hennissant de temps en temps. Oh que des petits hennissements, comme s'il disait merci pour nos regards flatteurs.
Sa robe blanche immaculée était magnifique et l'on voyait qu'il y a avait du travail sur sa belle crinière torsadée, il était là, piaffant d'impatience... seul.
Je me demandais qui pouvait monter ce bel étalon.
Sans que je vois d'où il venait un mec est venu le caresser. Je ne le voyais que de dos, le cheval avait posé sa tête sur son épaule, son oreille près de sa bouche et le mec lui caressait l'encolure en lui parlant doucement.
C'était beau à voir. On aurait dit que le cheval écoutait et comprenait ce que le mec lui disait.
J'ai été intrigué par ce mec, que je ne voyais que de dos. Mes yeux ont parcouru la silhouette, c'était un cavalier dans sa tenue, de belles bottes noires, un pantalon serré lui moulant de belles fesses qui semblaient dures oh pas de grosses fesses mais on voyait bien que c'était dur!!
Rien que de voir et d'admirer ces belles fesses j'en avais des frissons dans le caleçon.
Son polo lui moulait le dos, un polo bleu pâle et sa tête était recouverte d'une bombe noire.
Cela avait l'air d'être un beau petit mec! mais il continuait de parler au cheval qui écoutait sûrement des recommandations.
Il l'a flatté, s'est mis en face lui pour lui prendre sa tête entre ses mains et lui faire des bisous sur les naseaux. Le cheval ne bougeait pas et semblait heureux.
J'étais à trois mètres de ce beau couple. J'enviais le cheval de recevoir des bisous de ce mec que je voyais de profile maintenant quand il a tourné la tête vers nous les spectateurs et on a vu, un visage d'ange, jeune. Je ne savais lui donner un âge, de beaux yeux verts illuminaient son visage souriant.
Il s'est tourné rapidement vers nous et j'ai eu le temps de voir le renflement de son entre jambe, la forme de sa queue coincée sur ma gauche.
Après deux ou trois bisous à son cheval, rapidement il se met en selle pour aller faire son parcours.
Comme pas mal on l'a suivi pour les admirer et, le spectacle a commencé.
Je ne connais pas les règles des concours. Moi de voir de beaux cavaliers sur leurs montures, courir, marcher, sauter m'émerveillent et là je n'ai pas été déçu.
Il avait l'air de réussir tout ce qu'il entreprenait, vu les applaudissements qu'il recueillait des spectateurs plus avertis que moi.
Mais de le voir, le cul en l'air, penché sur son cheval pour sauter les haies, la rivière, le mur, les voir retomber en souplesse et grâce de l'autre côté, était vraiment un émerveillement. Faire marcher son cheval au pas, majestueux, fier, le faire arrêter devant le jury et le faire saluer.
Ils ont reçu des applaudissements nourris..
Le jury se concerte et donne la première note à ce couple.
Le cavalier sourit de plaisir et flatte encore son cheval en regagnant tranquillement son enclos.
Je les suis des yeux, déçu que se soit déjà fini!
Je les vois entrer sous une grande tente et d'un seul coup je me décide... j'y vais, quitte à me faire virer de la tente faut que je le vois de plus près.
J'arrive à l'entrée de la tente et j'entends quelqu'un parler. Je m'avance pour voir le cavaler faire des bisous à son cheval.
-Sultan tu as été magnifique aujourd'hui et je crois bien que nous allons gagner le premier prix, t'es vraiment un amour et je t'aime!
Le cheval hennissait doucement comme s'il lui répondait.
Mais d'un seul coup le cheval m'a regardé, le cavalier s'est retourné, je me suis senti en intrus complet et je crois bien que je suis devenu tout rouge.
-excusez moi, je ne veux pas être indiscret mais j'ai tellement été ravi par votre prestation, votre cheval est vraiment magnifique.
Le cheval a redressé la tête comme s'il avait compris et qu'il aimait les compliments.
Les beaux yeux verts m'ont scruté, détaillé des pieds à la tête. Il a enlevé sa bombe et des cheveux blonds mi longs sont tombés de chaque côté de son visage. Un grand sourire sur son visage.
-et aucun compliments sur le cavalier ? demande t-il en souriant.
J'allais pas lui dire qu'il était beau et que je l'aurais bien culbuter dans la paille à côté, quand même, ses yeux ne me quittaient pas comme s'il jouissait de me voir embarrassé pour répondre.
-je vous taquine finit il par dire, moi c'est Antoine et voici Sultan mon meilleur ami.
-moi c'est Fabrice et je suis heureux de vous connaitre tous les deux, vous formez un merveilleux couple dis je sans rire.
-oh oh c'est juste pour le travail qu'on est ensemble, Sultan a de merveilleuses copines car ce coquin il lui en faut plusieurs.
C'était marrant de voir comment le cheval hennissait à chaque fois qu'il entendait son nom prononcé par son maître.
-oh son maître doit bien être pareil dis je en riant, vous êtes beau mec.
-ah enfin un compliment sort de ta bouche! t'es de la Sologne ?
La glace était rompue, et on s'est mis à parler de nous. Il m'a raconté tout plein de choses sur sa passion et sur Sultan.
j'ai parlé de ma petite personne.
Je l'ai aidé, à sa demande à étriller doucement le beau Sultan qui hennissait encore de plaisir cette fois. J'ai eu la permission de lui caresser la tête et de lui faire des bisous. On l'a embrassé tous les deux, côte à côte en se regardant. Je crois qu'il avait des yeux aussi coquins que les miens.
Je fais tout pour lui montrer qu'il me plaisait, lui souriait d'un petit sourire énigmatique.
Il a donné à boire et à manger à Sultan puis on s'est installé sur une botte de paille pour continuer notre discussion. Il m'a proposé à boire, il ne buvait que de l'eau. J'ai passé une heure merveilleuse avec ce beau mec de mon âge.
-tu fais quoi ce soir ?
-je dîne et je dors car demain j'ai encore un concours.
-ben si tu veux on pourrait dîner ensemble ?
-tu sais je ne mange pas beaucoup le soir, il ne faut pas que je prenne un gramme pour demain, c'est pas pour moi mais pour Sultan, c'est lui qui le sait quand je prends du poids!
On était assis côte à côte, ses yeux souvent tombaient dans les miens, me forant complètement. J'étais vraiment sous son charme.
J'ai fait glisser ma main vers la sienne, pour juste lui toucher les doigts. Il a suivi ma main du regard, mais n'a fait aucun geste pour retirer la sienne. Ses yeux sont revenus dans les miens et nos mains se sont serrées. On se fixait, le souffle court, nos bouches entrouvertes, on ne disait plus rien mais comme des aimants nos têtes se rapprochaient lentement, très lentement. On a senti nos souffles se mélanger. Les yeux se fixaient toujours, cela devait lui plaire car ses yeux pétillaient, riaient.
Quand nos lèvres se sont effleurées, nos yeux se sont fermés, ses lèvres douces étaient chaudes, elles se sont appuyées sur les miennes, se frottant lentement et j'ai senti la pointe de sa langue arriver. J'ai avancé la mienne et quand elles se sont touchées, on a gémi ensemble en se prenant dans nos bras.
Les langues se sont battues tout de suite, se mélangeant, donnant chacune leurs salives qui se mélangeaient et partaient d'un côté ou de l'autre.
Notre souffle sortait de nos nez aussi fort qu'il sort des naseaux de Sultan et nous, en prime, on gémissait.
On a repris nos respiration, nez contre nez, je sentais ses mains parcourir mon dos.
-t'es beau Antoine et j'adore tes lèvres.
-oh t'es long à faire des compliments toi! dit il en riant.
Et c'est lui qui revient à la charge. Deuxième bataille des lèvres et des langues, la salive coule de nos bouches, on se caresse le visage. J'adore sa peau douce et chaude.
-on est bien dans tes bras Fabrice.
-merci mais tu m'as pas répondu pour ce soir.
-je t'ai dit, je peux pas manger beaucoup alors ça vaut vraiment pas le coup d'aller au restau ce soir tu sais.
-moi ce que j'ai à t'offrir n'a jamais fait grossir les mecs dis je en prenant mon air le plus coquin possible et en me caressant le sexe dur qui ne peut pas se développer comme il le voudrait.
Il éclate de rire et m'attire dans ses bras, me faisant des bisous dans le cou.
-on ne m'a jamais proposé un repas comme ça, mais ça veut dire que tu vas être obligé alors, de faire régime aussi.
-je pense que le fruit de caché que tu as devrait bien arriver à me nourrir pour un soir quand même.
Il rigole.
-vous êtes tous comme ça dans la région ?
-on est assez coquin et vicieux oui! ça c'est vrai! alors t'es d'accord, je t'invite chez moi... je viens te chercher à quelle heure ?
-viens me chercher à 20 heures 30, j'aurais dîné avec ce que je dois prendre. Toi mange de ton côté, je sais c'est pas très romantique mais c'est comme ça et il faut que je sois rentré avant minuit car demain matin je m'entraine avec Sultan dès 8 heures.
-je ferais comme tu veux, comme tu dois le faire Antoine.
On a scellé le rendez vous par un baiser passionné. J'ai senti sa main passer sur mon sexe.
-toi on dirait que t'es prêt à me culbuter dans la paille!
-pas toi ? dis je en lui rendant sa caresse.
-oh si!
On s'embrasse à perdre haleine quand un hennissement se fait entendre.
Antoine se sépare de moi juste à temps pour voir un mec entrer sous la tente.
Le mec ne fait pas attention à moi, parle avec Antoine et prend Sultan par un rêne et l'emmène et quand il passe près de nous, il nous regarde en hennissant.
-là tu vois dit Antoine en riant... il se fout de moi!
J'étais là à l'heure, même avant, il avait changé de tenue... jean basket tee-shirt redevenant un garçon banal mais diaboliquement beau, sexy et attirant.
-t'es bizarre en civil dis je en riant.
-je te plais encore ?
-oh oui dis je en lui faisant un bisou, alors je t'emmène chez moi ?
-je te suis où tu veux Fabrice.
J'ai eu droit à un bisou.
A peine entré dans la maison qu'il était dans mes bras.
-j'ai pensé à toi tout le temps dit il.
-moi aussi tu sais, toi t'es excitant comme c'est pas permis et dans ta tenue, ça te fais vraiment un beau petit cul!
-alors en fin de compte c'est pas moi que tu veux! c'est mon cul!
-ah ah et toi ? tu veux quoi de moi ?
-tout ce que tu voudras me donner.
Je l'ai emmené dans ma chambre, pour le reprendre dans mes bras, le serrer contre moi, poser mes mains sur ses belles fesses et sentir la fermeté à travers le jean. Ses fesses m'ont fait triquer encore plus.
En s'embrassant, on s'est déshabillé mutuellement et j'ai découvert un corps de rêve. Certes il est plus petit que moi mais si vous aviez vu ce torse musclé. On voyait tous les muscles rouler sous la peau, des abdos bien dessinés, durs que j'ai touché d'un doigt.
Moi qui croyait avoir un corps parfait ben j'avais encore du boulot! mais il avait l'air d'être satisfait.
Quand les pantalons sont tombés, que les torses se frottaient l'un contre l'autre, que les boxers se caressaient choquant nos bites entre elles, nos lèvres ne se quittaient plus, mes mains sont passées dans son boxer pour enfin, toucher ses belles fesses. ?J'ai cru que j'allais jouir de suite.
J'ai fait glisser son boxer en me mettant à genoux devant lui pour voir un mandrin me tomber sur le visage. Une belle queue, oh moins longue que la mienne, mais sûrement plus épaisse, un beau gland bien dessiné encore recouvert du prépuce mais qui laissait perler des gouttes de mouilles et une grosse veine bleue sur le dessus de cette belle bite.
Je tenais ses fesses en mains et j'ai fait des bisous à sa queue pour la coller contre son ventre et m'attaquer aux belles boules du dessous, de belles couilles fermes également que j'ai léché chacune leur tour avant de les avaler pour l'entendre gémir et pousser de petits cris. Il avait posé ses mains sur ma tête et me caressait les cheveux.
Quand j'ai avalé les deux couilles les faisant rouler dans ma salive il n'a pas arrêté de gémir, un long gémissement et avec ma langue j'ai remonté sous sa queue, pour arriver au gland que j'ai entouré de mes lèvres pour le décalotter, sentir le prépuce s'enlever, donner de petits coups de langue sur le gland chaud et humide, aspirer la mouille qui ne cessait de couler, sentir ses mains serrer mes cheveux et gémir encore et encore.
Je l'ai pipé comme un malade, m'enfonçant sa queue en bouche et elle l'a remplissait magnifiquement bien. J'ai aimé sa queue, sa chaleur, sa douceur. Comme elle n'était pas très longue, je pouvais l'avaler en entier pour sa plus grande satisfaction. Il fallait l'entendre pousser de petits cris, ses mains me serraient la tête. J'ai senti sa queue se raidir, le gland durcir comme s'il grossissait et, quand il a crié qu'il allait jouir, la première giclée est arrivée au fond de moi. J'ai aspiré tout ce qui sortait pour l'entendre crier, hurler que c'était bon.
J'étais content de moi!
Tout le temps que j'ai bien léché sa belle queue qui n'avait pas débandé ses mains parcouraient mon visage de caresses me disant de petits mots doux et gentils.
Je n'avais pas lâché ses fesses, je l'ai retourné et, de lui même il s'est mis sur le lit, à quatre pattes, bien aplati sur le lit, les jambes bien écrasées. J'avais ses fesses, son cul ouvert devant les yeux, j'ai caressé les belles fesses en les écartant encore plus, juste pour voir le bel anus bouger dans la raie. Aucun poil ne gênait, les fesses chaudes étaient dures. J'ai mis quelques petites claques le faisant crier en riant. Les couilles pendaient, je leur ai mis des coups de langue pour la remonter en direction de la raie, de l'anus, du petit trou qui attendait.
Les fesses bien écartées, ma langue passe dans la raie humide, chaude, je laisse ma trace de salive et de la pointe j'arrive au petit trou. Au premier coup de langue, il clignote. Je vois bien qu'Antoine pousse pour l'ouvrir mais c'est souple, je le sens avec ma langue qui entre assez facilement dans le petit trou et le moteur à gémissements, à petits cris est revenu.
Je ne lésine pas, je mets le plus de salive possible et inonde ce bon petit trou qui ne va pas tarder à recevoir de la visite.
En premier mes doigts, un par un, entrent dans l'antre chaude, douce pour caresser la paroi aux alentours. Le cul se tend encore et encore, il vient avec ses mains écarter encore plus ses fesses. Le petit trou s'ouvre bien et, quand je le fore avec deux doigts qui s'enfoncent comme dans du beurre mou je l'entends gueuler que c'est bon, qu'il veut ma queue.
-tu veux ma queue maintenant petit cavalier ?
-oui baise moi! baise moi comme la salope que je suis.
-mais tu l'as pas bien vu ma queue, tu l'as même pas touché ?
-m'en fous! baise moi Fabrice! je la veux ta queue! et ton jus, tu sais que ça fait pas grossir les mecs!
Il éclate de rire. Cela fait bouger son cul où mes doigts sont enfoncés au plus loin.
Je me relève.
-écarte bien tes fesses le cavalier!
Il obéi.
J'ai juste à poser mon gland décalotté sur l'entrée et c'est lui qui fait pratiquement tout le boulot reculant rapidement sur ma queue et je vois mon gland être avalé par ce cul gourmand.
Il grogne, il râle et crie quand le gland passe l'entrée. Je l'entends respirer avec force, je l'agrippe aux hanches et sans ménagement, d'un coup de reins je m'enfonce en lui.
Il hurle longuement, puis se radoucit et son cri devient une longue plainte et je l'entends dire.
-oh putain que j'aime ça! putain que c'est bon!!
Il bouge son cul sur ma queue.
Je le bloque bien aux hanches et directement, en mode bourrin je le baise rapidement, m'enfonçant à chaque fois bien au fond de son cul, ça claque sur les belles fesses. Il râle, il grogne, il gueule mais ne fait rien pour s'échapper, bien au contraire.
Ma queue glisse en lui comme dans un conduit qu'elle aurait déjà visité et, à chaque fois que je m'enfonce en lui je sens mon gland passer sur une petit bosse dans son cul, à chaque fois, il pousse un cri de plaisir. Ah bordel de prostate! c'est un plaisir de l'agacer pour entendre Antoine couiner, gémir, gueuler.
Il se redresse pour venir m'embrasser, son dos collé sur mon torse, je caresse sa bite raide qui coule encore et encore.
-je t'adore mec! dit il avant de revenir dans sa position pour que j'investisse encore son beau petit cul.
Mais à ce rythme je sens le tsunami arriver. Il doit le sentir aussi car ses fesses se resserrent encore plus sur ma queue, bien prisonnière pour délivrer un bon produit made in Sologne.
Et, cette fois c'est moi qui crie en me déversant en lui. A chaque cri il répond par un autre, je ne sais pas combien de giclées j'ai pu lui donner mais je me suis écroulé sur son dos, couvrant sa nuque, son cou de bisous. Mes mains le caressaient.
Il me fait rouler sur le lit, ma queue sort de son trou et il se jette dessus pour en faire connaissance avec sa bouche, sa langue, ses yeux, se tournant pour me représenter la sienne..
Les bruits de succions ont empli la pièce et nous avons joui tous les deux, ensemble, goûtant chacun au jus de l'autre.
Il est revenu dans mes bras, se coller à moi, m'enlacer, m'embrasser, on bandait encore mais on était bien corps contre corps, à se regarder, se faire des bisous, des câlins.
-je suis bien avec toi dit Antoine.
-moi aussi, tu sais.
-il va falloir que tu me ramènes dans ma caravane Fabrice.
-oui t'en fait pas tu seras rentré comme tu le veux.
-mais je peux te demander quelque chose ?
-bien sûr!
-demain après midi tu viens nous voir concourir ? Sultan sera très content de te voir j'en suis sûr.
-et pas son cavalier ?
-ben le cavalier... demain soir... comment te dire... si le Solognot est libre ben le cavalier pourra rester plus longtemps et même, au cas où l'on s'endormirait rester toute la nuit..
-pourquoi on s'endormirait ?
-ben demain j'aurais le droit de manger comme j'ai envie alors après je m'endors facilement dans les bras d'un beau mec!
Le lendemain il a gagné une nouvelle fois son concours.
Nous avons passé une soirée et une nuit d'enfer.
J'ai vraiment apprécié ce beau mec que je n'ai jamais revu.
Cette année je n'ai pas dérogé à ma règle, je suis venu passer l'après midi du samedi d'autant plus que le soleil était de la partie.
On pouvait se balader au milieu des stands, pour voir les chevaux et leurs cavaliers ou cavalières.
Mais vous vous doutez bien ceux que je regardais en premier.
Et, c'est un beau cheval blanc qui a attiré mon œil coquin, un beau mâle, majestueux, le port de tête haut, fier, toisant les humains du haut de sa hauteur en hennissant de temps en temps. Oh que des petits hennissements, comme s'il disait merci pour nos regards flatteurs.
Sa robe blanche immaculée était magnifique et l'on voyait qu'il y a avait du travail sur sa belle crinière torsadée, il était là, piaffant d'impatience... seul.
Je me demandais qui pouvait monter ce bel étalon.
Sans que je vois d'où il venait un mec est venu le caresser. Je ne le voyais que de dos, le cheval avait posé sa tête sur son épaule, son oreille près de sa bouche et le mec lui caressait l'encolure en lui parlant doucement.
C'était beau à voir. On aurait dit que le cheval écoutait et comprenait ce que le mec lui disait.
J'ai été intrigué par ce mec, que je ne voyais que de dos. Mes yeux ont parcouru la silhouette, c'était un cavalier dans sa tenue, de belles bottes noires, un pantalon serré lui moulant de belles fesses qui semblaient dures oh pas de grosses fesses mais on voyait bien que c'était dur!!
Rien que de voir et d'admirer ces belles fesses j'en avais des frissons dans le caleçon.
Son polo lui moulait le dos, un polo bleu pâle et sa tête était recouverte d'une bombe noire.
Cela avait l'air d'être un beau petit mec! mais il continuait de parler au cheval qui écoutait sûrement des recommandations.
Il l'a flatté, s'est mis en face lui pour lui prendre sa tête entre ses mains et lui faire des bisous sur les naseaux. Le cheval ne bougeait pas et semblait heureux.
J'étais à trois mètres de ce beau couple. J'enviais le cheval de recevoir des bisous de ce mec que je voyais de profile maintenant quand il a tourné la tête vers nous les spectateurs et on a vu, un visage d'ange, jeune. Je ne savais lui donner un âge, de beaux yeux verts illuminaient son visage souriant.
Il s'est tourné rapidement vers nous et j'ai eu le temps de voir le renflement de son entre jambe, la forme de sa queue coincée sur ma gauche.
Après deux ou trois bisous à son cheval, rapidement il se met en selle pour aller faire son parcours.
Comme pas mal on l'a suivi pour les admirer et, le spectacle a commencé.
Je ne connais pas les règles des concours. Moi de voir de beaux cavaliers sur leurs montures, courir, marcher, sauter m'émerveillent et là je n'ai pas été déçu.
Il avait l'air de réussir tout ce qu'il entreprenait, vu les applaudissements qu'il recueillait des spectateurs plus avertis que moi.
Mais de le voir, le cul en l'air, penché sur son cheval pour sauter les haies, la rivière, le mur, les voir retomber en souplesse et grâce de l'autre côté, était vraiment un émerveillement. Faire marcher son cheval au pas, majestueux, fier, le faire arrêter devant le jury et le faire saluer.
Ils ont reçu des applaudissements nourris..
Le jury se concerte et donne la première note à ce couple.
Le cavalier sourit de plaisir et flatte encore son cheval en regagnant tranquillement son enclos.
Je les suis des yeux, déçu que se soit déjà fini!
Je les vois entrer sous une grande tente et d'un seul coup je me décide... j'y vais, quitte à me faire virer de la tente faut que je le vois de plus près.
J'arrive à l'entrée de la tente et j'entends quelqu'un parler. Je m'avance pour voir le cavaler faire des bisous à son cheval.
-Sultan tu as été magnifique aujourd'hui et je crois bien que nous allons gagner le premier prix, t'es vraiment un amour et je t'aime!
Le cheval hennissait doucement comme s'il lui répondait.
Mais d'un seul coup le cheval m'a regardé, le cavalier s'est retourné, je me suis senti en intrus complet et je crois bien que je suis devenu tout rouge.
-excusez moi, je ne veux pas être indiscret mais j'ai tellement été ravi par votre prestation, votre cheval est vraiment magnifique.
Le cheval a redressé la tête comme s'il avait compris et qu'il aimait les compliments.
Les beaux yeux verts m'ont scruté, détaillé des pieds à la tête. Il a enlevé sa bombe et des cheveux blonds mi longs sont tombés de chaque côté de son visage. Un grand sourire sur son visage.
-et aucun compliments sur le cavalier ? demande t-il en souriant.
J'allais pas lui dire qu'il était beau et que je l'aurais bien culbuter dans la paille à côté, quand même, ses yeux ne me quittaient pas comme s'il jouissait de me voir embarrassé pour répondre.
-je vous taquine finit il par dire, moi c'est Antoine et voici Sultan mon meilleur ami.
-moi c'est Fabrice et je suis heureux de vous connaitre tous les deux, vous formez un merveilleux couple dis je sans rire.
-oh oh c'est juste pour le travail qu'on est ensemble, Sultan a de merveilleuses copines car ce coquin il lui en faut plusieurs.
C'était marrant de voir comment le cheval hennissait à chaque fois qu'il entendait son nom prononcé par son maître.
-oh son maître doit bien être pareil dis je en riant, vous êtes beau mec.
-ah enfin un compliment sort de ta bouche! t'es de la Sologne ?
La glace était rompue, et on s'est mis à parler de nous. Il m'a raconté tout plein de choses sur sa passion et sur Sultan.
j'ai parlé de ma petite personne.
Je l'ai aidé, à sa demande à étriller doucement le beau Sultan qui hennissait encore de plaisir cette fois. J'ai eu la permission de lui caresser la tête et de lui faire des bisous. On l'a embrassé tous les deux, côte à côte en se regardant. Je crois qu'il avait des yeux aussi coquins que les miens.
Je fais tout pour lui montrer qu'il me plaisait, lui souriait d'un petit sourire énigmatique.
Il a donné à boire et à manger à Sultan puis on s'est installé sur une botte de paille pour continuer notre discussion. Il m'a proposé à boire, il ne buvait que de l'eau. J'ai passé une heure merveilleuse avec ce beau mec de mon âge.
-tu fais quoi ce soir ?
-je dîne et je dors car demain j'ai encore un concours.
-ben si tu veux on pourrait dîner ensemble ?
-tu sais je ne mange pas beaucoup le soir, il ne faut pas que je prenne un gramme pour demain, c'est pas pour moi mais pour Sultan, c'est lui qui le sait quand je prends du poids!
On était assis côte à côte, ses yeux souvent tombaient dans les miens, me forant complètement. J'étais vraiment sous son charme.
J'ai fait glisser ma main vers la sienne, pour juste lui toucher les doigts. Il a suivi ma main du regard, mais n'a fait aucun geste pour retirer la sienne. Ses yeux sont revenus dans les miens et nos mains se sont serrées. On se fixait, le souffle court, nos bouches entrouvertes, on ne disait plus rien mais comme des aimants nos têtes se rapprochaient lentement, très lentement. On a senti nos souffles se mélanger. Les yeux se fixaient toujours, cela devait lui plaire car ses yeux pétillaient, riaient.
Quand nos lèvres se sont effleurées, nos yeux se sont fermés, ses lèvres douces étaient chaudes, elles se sont appuyées sur les miennes, se frottant lentement et j'ai senti la pointe de sa langue arriver. J'ai avancé la mienne et quand elles se sont touchées, on a gémi ensemble en se prenant dans nos bras.
Les langues se sont battues tout de suite, se mélangeant, donnant chacune leurs salives qui se mélangeaient et partaient d'un côté ou de l'autre.
Notre souffle sortait de nos nez aussi fort qu'il sort des naseaux de Sultan et nous, en prime, on gémissait.
On a repris nos respiration, nez contre nez, je sentais ses mains parcourir mon dos.
-t'es beau Antoine et j'adore tes lèvres.
-oh t'es long à faire des compliments toi! dit il en riant.
Et c'est lui qui revient à la charge. Deuxième bataille des lèvres et des langues, la salive coule de nos bouches, on se caresse le visage. J'adore sa peau douce et chaude.
-on est bien dans tes bras Fabrice.
-merci mais tu m'as pas répondu pour ce soir.
-je t'ai dit, je peux pas manger beaucoup alors ça vaut vraiment pas le coup d'aller au restau ce soir tu sais.
-moi ce que j'ai à t'offrir n'a jamais fait grossir les mecs dis je en prenant mon air le plus coquin possible et en me caressant le sexe dur qui ne peut pas se développer comme il le voudrait.
Il éclate de rire et m'attire dans ses bras, me faisant des bisous dans le cou.
-on ne m'a jamais proposé un repas comme ça, mais ça veut dire que tu vas être obligé alors, de faire régime aussi.
-je pense que le fruit de caché que tu as devrait bien arriver à me nourrir pour un soir quand même.
Il rigole.
-vous êtes tous comme ça dans la région ?
-on est assez coquin et vicieux oui! ça c'est vrai! alors t'es d'accord, je t'invite chez moi... je viens te chercher à quelle heure ?
-viens me chercher à 20 heures 30, j'aurais dîné avec ce que je dois prendre. Toi mange de ton côté, je sais c'est pas très romantique mais c'est comme ça et il faut que je sois rentré avant minuit car demain matin je m'entraine avec Sultan dès 8 heures.
-je ferais comme tu veux, comme tu dois le faire Antoine.
On a scellé le rendez vous par un baiser passionné. J'ai senti sa main passer sur mon sexe.
-toi on dirait que t'es prêt à me culbuter dans la paille!
-pas toi ? dis je en lui rendant sa caresse.
-oh si!
On s'embrasse à perdre haleine quand un hennissement se fait entendre.
Antoine se sépare de moi juste à temps pour voir un mec entrer sous la tente.
Le mec ne fait pas attention à moi, parle avec Antoine et prend Sultan par un rêne et l'emmène et quand il passe près de nous, il nous regarde en hennissant.
-là tu vois dit Antoine en riant... il se fout de moi!
J'étais là à l'heure, même avant, il avait changé de tenue... jean basket tee-shirt redevenant un garçon banal mais diaboliquement beau, sexy et attirant.
-t'es bizarre en civil dis je en riant.
-je te plais encore ?
-oh oui dis je en lui faisant un bisou, alors je t'emmène chez moi ?
-je te suis où tu veux Fabrice.
J'ai eu droit à un bisou.
A peine entré dans la maison qu'il était dans mes bras.
-j'ai pensé à toi tout le temps dit il.
-moi aussi tu sais, toi t'es excitant comme c'est pas permis et dans ta tenue, ça te fais vraiment un beau petit cul!
-alors en fin de compte c'est pas moi que tu veux! c'est mon cul!
-ah ah et toi ? tu veux quoi de moi ?
-tout ce que tu voudras me donner.
Je l'ai emmené dans ma chambre, pour le reprendre dans mes bras, le serrer contre moi, poser mes mains sur ses belles fesses et sentir la fermeté à travers le jean. Ses fesses m'ont fait triquer encore plus.
En s'embrassant, on s'est déshabillé mutuellement et j'ai découvert un corps de rêve. Certes il est plus petit que moi mais si vous aviez vu ce torse musclé. On voyait tous les muscles rouler sous la peau, des abdos bien dessinés, durs que j'ai touché d'un doigt.
Moi qui croyait avoir un corps parfait ben j'avais encore du boulot! mais il avait l'air d'être satisfait.
Quand les pantalons sont tombés, que les torses se frottaient l'un contre l'autre, que les boxers se caressaient choquant nos bites entre elles, nos lèvres ne se quittaient plus, mes mains sont passées dans son boxer pour enfin, toucher ses belles fesses. ?J'ai cru que j'allais jouir de suite.
J'ai fait glisser son boxer en me mettant à genoux devant lui pour voir un mandrin me tomber sur le visage. Une belle queue, oh moins longue que la mienne, mais sûrement plus épaisse, un beau gland bien dessiné encore recouvert du prépuce mais qui laissait perler des gouttes de mouilles et une grosse veine bleue sur le dessus de cette belle bite.
Je tenais ses fesses en mains et j'ai fait des bisous à sa queue pour la coller contre son ventre et m'attaquer aux belles boules du dessous, de belles couilles fermes également que j'ai léché chacune leur tour avant de les avaler pour l'entendre gémir et pousser de petits cris. Il avait posé ses mains sur ma tête et me caressait les cheveux.
Quand j'ai avalé les deux couilles les faisant rouler dans ma salive il n'a pas arrêté de gémir, un long gémissement et avec ma langue j'ai remonté sous sa queue, pour arriver au gland que j'ai entouré de mes lèvres pour le décalotter, sentir le prépuce s'enlever, donner de petits coups de langue sur le gland chaud et humide, aspirer la mouille qui ne cessait de couler, sentir ses mains serrer mes cheveux et gémir encore et encore.
Je l'ai pipé comme un malade, m'enfonçant sa queue en bouche et elle l'a remplissait magnifiquement bien. J'ai aimé sa queue, sa chaleur, sa douceur. Comme elle n'était pas très longue, je pouvais l'avaler en entier pour sa plus grande satisfaction. Il fallait l'entendre pousser de petits cris, ses mains me serraient la tête. J'ai senti sa queue se raidir, le gland durcir comme s'il grossissait et, quand il a crié qu'il allait jouir, la première giclée est arrivée au fond de moi. J'ai aspiré tout ce qui sortait pour l'entendre crier, hurler que c'était bon.
J'étais content de moi!
Tout le temps que j'ai bien léché sa belle queue qui n'avait pas débandé ses mains parcouraient mon visage de caresses me disant de petits mots doux et gentils.
Je n'avais pas lâché ses fesses, je l'ai retourné et, de lui même il s'est mis sur le lit, à quatre pattes, bien aplati sur le lit, les jambes bien écrasées. J'avais ses fesses, son cul ouvert devant les yeux, j'ai caressé les belles fesses en les écartant encore plus, juste pour voir le bel anus bouger dans la raie. Aucun poil ne gênait, les fesses chaudes étaient dures. J'ai mis quelques petites claques le faisant crier en riant. Les couilles pendaient, je leur ai mis des coups de langue pour la remonter en direction de la raie, de l'anus, du petit trou qui attendait.
Les fesses bien écartées, ma langue passe dans la raie humide, chaude, je laisse ma trace de salive et de la pointe j'arrive au petit trou. Au premier coup de langue, il clignote. Je vois bien qu'Antoine pousse pour l'ouvrir mais c'est souple, je le sens avec ma langue qui entre assez facilement dans le petit trou et le moteur à gémissements, à petits cris est revenu.
Je ne lésine pas, je mets le plus de salive possible et inonde ce bon petit trou qui ne va pas tarder à recevoir de la visite.
En premier mes doigts, un par un, entrent dans l'antre chaude, douce pour caresser la paroi aux alentours. Le cul se tend encore et encore, il vient avec ses mains écarter encore plus ses fesses. Le petit trou s'ouvre bien et, quand je le fore avec deux doigts qui s'enfoncent comme dans du beurre mou je l'entends gueuler que c'est bon, qu'il veut ma queue.
-tu veux ma queue maintenant petit cavalier ?
-oui baise moi! baise moi comme la salope que je suis.
-mais tu l'as pas bien vu ma queue, tu l'as même pas touché ?
-m'en fous! baise moi Fabrice! je la veux ta queue! et ton jus, tu sais que ça fait pas grossir les mecs!
Il éclate de rire. Cela fait bouger son cul où mes doigts sont enfoncés au plus loin.
Je me relève.
-écarte bien tes fesses le cavalier!
Il obéi.
J'ai juste à poser mon gland décalotté sur l'entrée et c'est lui qui fait pratiquement tout le boulot reculant rapidement sur ma queue et je vois mon gland être avalé par ce cul gourmand.
Il grogne, il râle et crie quand le gland passe l'entrée. Je l'entends respirer avec force, je l'agrippe aux hanches et sans ménagement, d'un coup de reins je m'enfonce en lui.
Il hurle longuement, puis se radoucit et son cri devient une longue plainte et je l'entends dire.
-oh putain que j'aime ça! putain que c'est bon!!
Il bouge son cul sur ma queue.
Je le bloque bien aux hanches et directement, en mode bourrin je le baise rapidement, m'enfonçant à chaque fois bien au fond de son cul, ça claque sur les belles fesses. Il râle, il grogne, il gueule mais ne fait rien pour s'échapper, bien au contraire.
Ma queue glisse en lui comme dans un conduit qu'elle aurait déjà visité et, à chaque fois que je m'enfonce en lui je sens mon gland passer sur une petit bosse dans son cul, à chaque fois, il pousse un cri de plaisir. Ah bordel de prostate! c'est un plaisir de l'agacer pour entendre Antoine couiner, gémir, gueuler.
Il se redresse pour venir m'embrasser, son dos collé sur mon torse, je caresse sa bite raide qui coule encore et encore.
-je t'adore mec! dit il avant de revenir dans sa position pour que j'investisse encore son beau petit cul.
Mais à ce rythme je sens le tsunami arriver. Il doit le sentir aussi car ses fesses se resserrent encore plus sur ma queue, bien prisonnière pour délivrer un bon produit made in Sologne.
Et, cette fois c'est moi qui crie en me déversant en lui. A chaque cri il répond par un autre, je ne sais pas combien de giclées j'ai pu lui donner mais je me suis écroulé sur son dos, couvrant sa nuque, son cou de bisous. Mes mains le caressaient.
Il me fait rouler sur le lit, ma queue sort de son trou et il se jette dessus pour en faire connaissance avec sa bouche, sa langue, ses yeux, se tournant pour me représenter la sienne..
Les bruits de succions ont empli la pièce et nous avons joui tous les deux, ensemble, goûtant chacun au jus de l'autre.
Il est revenu dans mes bras, se coller à moi, m'enlacer, m'embrasser, on bandait encore mais on était bien corps contre corps, à se regarder, se faire des bisous, des câlins.
-je suis bien avec toi dit Antoine.
-moi aussi, tu sais.
-il va falloir que tu me ramènes dans ma caravane Fabrice.
-oui t'en fait pas tu seras rentré comme tu le veux.
-mais je peux te demander quelque chose ?
-bien sûr!
-demain après midi tu viens nous voir concourir ? Sultan sera très content de te voir j'en suis sûr.
-et pas son cavalier ?
-ben le cavalier... demain soir... comment te dire... si le Solognot est libre ben le cavalier pourra rester plus longtemps et même, au cas où l'on s'endormirait rester toute la nuit..
-pourquoi on s'endormirait ?
-ben demain j'aurais le droit de manger comme j'ai envie alors après je m'endors facilement dans les bras d'un beau mec!
Le lendemain il a gagné une nouvelle fois son concours.
Nous avons passé une soirée et une nuit d'enfer.
J'ai vraiment apprécié ce beau mec que je n'ai jamais revu.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
alors là c'est sûr faut rajouter coquin à votre pseudo cher couple!
merci encore de me lire avec tant d'attention
bon week-end
merci encore de me lire avec tant d'attention
bon week-end
On a bandè à mort, tout le long de notre lecture.
Nous aussi on adore les jeunes mecs avec des beaux petits culs...
Bon, maintenant, on a ce qu'il faut à la maison, mais, de temps en temps, on ne dèdaigne pas les plans à 3 ou à 4...
Nous aussi on adore les jeunes mecs avec des beaux petits culs...
Bon, maintenant, on a ce qu'il faut à la maison, mais, de temps en temps, on ne dèdaigne pas les plans à 3 ou à 4...