Le cercle de lumière
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-05-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le cercle de lumière
Le cercle de lumière
La réunion se passait dans une grange décorée pour l'occasion. On avait installé une piste circulaire délimité par douze projecteur qui en éclairaient le centre. Le reste de la salle serait dans l'obscurité totale, depuis le centre du cercle on ne voyait absolument rien du reste de la salle. Les spectateur pouvaient s'installer au delà des projecteurs, il était alors totalement impossible de les voir depuis l'intérieur du cercle.
Je connaissais bien le protocole, j'en avais été le principal concepteur. L'idée de la cérémonie était de moi.
Javais, plus jeune, j'avais été actif. Puis je mettais uni, j'avais pris un époux avec une grosse queue, j'avais tellement rêvé quand je l'avais vu que j'avais accepté de devenir passif et chaste. Je devais porter pour la durée de cette union un dispositif de chasteté. L'union devait durer cinq ans comme prévu par nos anciennes lois. On pouvait passer au moment de cette union du statut de passif à celui d'actif. Ce n'était pas la taille de notre queue qui définissait cette position sociale. J'étais, j'avais été dans la moyenne, ma queue n'était pas très longue mais relativement large. Et je dois dire que j'aimais faire couiner mes camarades quand je leur défonçais le cul.
Mais pour moi, un mec devait être bien monté, et je trouvais ma queue trop petite pour continuer dans ce statut social, ou alors j'aimais trop me faire défoncer le cul. Il me fallait seulement un mec avec une queue plus longue que la mienne, nettement plus longue si possible, et au moins aussi large.
Je m'étais alors inscrit comme passif. Plusieurs de mes amis avaient bien rigolé en me voyant faire. À commencer par ceux que j'avais si joyeusement fait couiner dans le passer. Cinq années s'étaient passées depuis ce jour, le mariage prenait fin. Pour des raisons sociales autant que pour des raisons économiques il valait mieux que je reste marié. Et mon dernier époux voulait changer de partenaire.
Il fallait s'y attendre c'est ainsi que les choses étaient prévues dès le début. J'aurais bien prolongé pour un second mariage mais je ne sais quel esprit tordu avait prévu que ce serait impossible … Je crois que c'était moi en fait … Seul l'époux actif pouvait en faire la demande.
Fin de première union, je n'aurais pas le choix de mon prochain partenaire, je ne pouvais même pas refuser celui qui me serait proposé, un juré pouvait décider de me l'imposer si je manifestais suffisamment d'enthousiasme. Sinon j'avais le droit de dire oui dans le cas ou il me convenait. Là ma décision était souveraine. De plus les jurés, c'est moi qui les nommait.
Oui comme je vous le disais à l'instant, règles tordues, esprit tordu … Bon c'était le mien ! Je ne pouvais donc pas dénoncer les règles.
Je ne savais pas combien de personnes se cachaient derrière les projecteurs, j'avais en face de moi de tous les côtés une rangée de lumière qui m'éblouissait et au delà une salle totalement obscure.
Je me présentait habillé comme à la ville au milieu de la piste.
– Charly ! Disait une voie. Le temps est venu de procéder à une nouvelle union !
– Charly, il a été décidé que compte tenu de ton enthousiasme à te faire défoncer le cul tu resterais passif pour cette seconde union, tu auras le droit de changer cette situation à la prochaine union. Rajoutais une seconde voie.
Là je reconnaissais cette voie, c'était celle un petit mec très mignon qui était lui aussi marié et passif. Je l'avais fait couiner plus d'une fois quelques années plus tôt.
– Nous allons te proposer un nouveau dans notre communauté. Reprenait la première voie.
– En plus je suis sûr qu'il va te convenir, je te dis pas mais je l'ai essayé et il est terrible. Il déchire, il m'a fait gueuler … Reprenait le second.
– Je t'en prie Arthur , c'est une cérémonie officielle …– Oui mais je le préviens, c'est tout !
– Arthur …– Il n'empêche que s'il il n'en veut pas moi j'en veux bien !
– ARTHUR !
– Bon OK je ne dis plus rien !
Un fou rire parcourait tout le groupe des spectateur et je pouvais deviner que la salle devait être pleine … Je m'angoissais un peu, mon cœur battait très fort, très vite.
Une silhouette entrait dans le cercle, un ombre passait devant le projecteur qui était juste devant moi. Je respirait lentement, bien à fond et je tentais de me détendre. On ne sait jamais qui peut apparaître, en plus je ne connaissait pas ce nouveau. Je ne savais même pas qu'il y avait des nouveaux dans notre communauté. L'ombre s'approchait, dans ma tête les idées se bousculaient. Mais pourquoi j'ai fait un règlement aussi tordu ? Mais pourquoi cette bande d'abruti à décidé d'adopter mes règles ? Mais c'est qu'elles sont tordues mes règles ? Et puis, et puis … Mais c'est qu'il est grand le mec …
C'était la seule chose qui était sûre, c'était un mec. La bande de fou qui constituait notre communauté aimait bien rigoler mais, de là à me proposer une fille … Le mec approchait lentement, il était grand, il n'était pas encore au centre et je le voyais encore à contre jour. Je ne distinguais que sa silhouette. Il était grand, bien plus grand que moi. Il me tendait les bras et je pouvais voir ses mains. Mais pourquoi n'avait-il pas retiré ses gants ?
C'est là que j'ai réagi, ce n'était pas des gants, il était noir, mon cœur battait encore plus fort, encore plus vite. Il me dépassait de plus d'une tête, il avait une super grosse queue si j'en croyais Arthur et en plus c'était un black. J'avais comme l'impression d'être un petit veinard là.
Je lui tendait les bras, nos mains se touchaient, il avait la peau douce et déjà mes mains remontaient sur ses bras, il avait les manches larges, mes mains remontaient jusqu'à ses coudes. Il avait la peau douce, pas seulement ses mains mais ses bras aussi. Il se penchait vers moi, il avait un visage doux et viril, et aussi un sourire à tomber.
Il continuait à se pencher vers moi et nos lèvres se touchaient, je sentais sa langue qui glissait entre mes lèvres. Ses mains glissaient sous ma chemise, il faisait sauter les boutons un par un et c'est ma chemise grande ouverte qu'il me caressait tout le torse. Je passais mes bras autour de son corps, il était ferme, musclé, et fort. Mais il était doux, ses gestes étaient doux, sa peau, ses lèvres, tout était doux chez lui et je me régalais quand ses bras glissaient sur mes épaules et faisaient tomber ma chemise. Il me serrait fort contre lui.
Je le voyais maintenant en pleine lumière, il avait profité que j'avais fermé les yeux pour avancer jusqu'au centre du cercle. C'est moi qui à ce moment lui ouvrait la chemise, les boutons l'un après l'autre, je glissait en même temps ma main sur son torse. Il était totalement dépourvu de poil et d'une incroyable douceur, tout était doux chez lui. Tout était doux et je croix qu'à ce moment je savais déjà qu'il serait mon nouvel époux pour cinq ans. S'il le voulait !
Sa chemise tombait, nos corps se caressaient l'un l'autre. Nos bras se mélangeaient, chacun donnait à l'autre ses plus douces caresses, ses plus doux baisers. Je frissonnais de plaisir et je prenais l'initiative d'aller plus loin, j'ouvrais son ceinturon puis c'étaient les boutons de son pantalon que j'ouvrais l'un après l'autre, il n'avait pas de sous vêtements. Et ce que je sentais contre mes doigts était doux et légèrement mou. Je glissais ma main plus loin, c'était également gros, large et long.
Je baissais son pantalon, un instant j'ai perdu mon self-control et c'est en un instant que son pantalon se retrouvait sur ses genoux. Une belle grosse queue à moitié redressé se balançait de droite à gauche, là je vous jure j'ai failli avoir une attaque.
– Goute ! Me disait-il,
Souvent on dit ' Suce !', lui il disait ' Goute !', d'un air de dire … ' Si tu n'aimes pas … c'est pas grave ! J'irai voir ailleurs ! '. Bien sûr à ce niveau de la relation, si je l'avais repoussé, les jurés n'auraient pas pu utiliser l'argument de ' l'enthousiasme ' pour m'imposer cet époux. Mais c'est que j'avais pas du tout envie de le repousser. Tout ce que j'avais vu de lui, tout ce que j'avais touché sur lui me plaisait, et son gland sur ma langue aussi.
Quand son gland est entré dans ma bouche j'ai entendu un murmure qui parcourait tous les spectateurs. J'y ai goûté et j'ai aimé. Ma langue tournait autour de son gland, il prenait ma tête entre ses mains, me caressait doucement les cheveux. Il me tenait avec force et avec douceur, avec beaucoup de douceur, avec beaucoup de force.
Son pénis entrai un peu plus profond, il était gros, plus gros que mon ancien époux qui devait être là, juste derrière un des projecteur. Cette idée m'excitait et c'est plus facilement pour moi que sa queue entrait un peu plus, encore un peu plus.
Il avait une grosse queue et rapidement il me remplissait la bouche, il poussait sa queue entrait jusqu'à ma gorge. Ma langue glissait sur toute sa longueur, son gland s'écrasait contre ma glotte et là j'étais obligé de le repousser sous peine de terminer asphyxié.
Il me laissait faire, il me laissait récupérer puis il reprenait. Il appuyait alors sur le dos de ma tête. Je vous jure j'aurais couiné si j'avais pu sortir un son mais bon … Je vous jure avec un truc pareil dans la bouche j'avais du mal à respirer.
Il me relevait, il était nu devant moi, j'avais encore mon pantalon. Il ouvrait enfin mon ceinturon, il ouvrait mon pantalon. Rapidement je me retrouvais presque nu devant lui, presque oui, presque, j'avais encore mon dispositif de chasteté. Je l'avais depuis cinq ans. Je le garderais encore cinq ans, la règle était aussi formelle que stupide et je sais de quoi je parle, c'est moi qui l'avait écrite.
Dans ses bras il me faisait tourner sur moi même, ses bras me caressaient partout, il me tripotait les couilles sans insister plus, il m'embrassait dans le haut de mon dos, dans le cou, sur les épaules …
Il passait un bras contre mon ventre et me poussait en avant avec l'autre bras, je me retrouvais penché en avant, plié en deux, sa queue était en position juste là ou il fallait, il se lubrifiait, un bras avait traversé le rideau de lumière et lui avait donné tout ce qu'il fallait. Il se lubrifiait, il poussait et je hurlais au moment ou sa queue s'enfonçait en moi.
Les spectateurs applaudissaient et poussaient des cris d'enthousiasme. Sa queue, son énorme queue s'enfonçait en moi. Il était plus large que le précédent, un peu plus long aussi. Je savais que mon ex, était là quelque part derrière un de ces projecteurs. Qu'en pensait-il, c'est en pensant çà lui que je faisais bonne figure.
Je vous jure que cette queue là, il fallait se la prendre dans le cul. Elle glissait lentement et il lui fallait quelques minutes pour que son ventre s'écrase contre mes fesses. Il prenait son temps, il prenait soin de ne pas me brutaliser. C'était intense, un peu trop peut être. C'était violent et je grimaçais, c'était bon, vraiment bon mais pas seulement. Ça faisait mal aussi, j'étais pas vraiment à mon aise à ce moment mais j'en voulais plus, encore plus. Je posais une main sur sa cuisse et je le retenais.
Il finissait par se retirer, il paraît qu'à ce moment je faisait une grimace à faire peur, il lubrifiait encore un petit coup puis revenait avec force, de nouveau bien à fond. Je sentais ma queue réagir, il était difficile de dire si elle voulait s'échapper ou se ratatiner dans sa cage, pour se faire oublier ou pour se réfugier quelques part !
Puis c'était le va et vient qui suivait, il s'enfonçait, il ressortait, recommençait plus vite, un peu plus vite. Arrivé bien à fond il poussait de toutes ses forces, je savais que les spectateurs prenaient des photos, et c'est vrai que je faisais une grimace pas vraiment rassurante. À voir les photos, on pouvait vraiment se demander si je prenais vraiment du plaisir.
J'en prenais comme jamais mais je ne prenais pas que du plaisir, par moment ça faisait mal. Par moment c'était la panique, j'avais l'impression que ça allait déchirer. Il fallait faire confiance, et je ne connaissais pas ce partenaire. J'avais confiance en moi et je savais que je pouvais encaisser. J'ai encaissé.
Au bout d'un long moment qui m'avait semblé durer des heures, il finissait par se crisper, je le sentais se contracter. Je lui criais 'OUI VAS Y ? VIENS !' . Il se penchait sur moi, m'enveloppait dans ses bras me couvrait le dos de baiser et s'agitait plus fort, plus vite. Ses coups de bassin contre mon cul devenaient violents.
Les derniers coups étaient particulièrement violents, je râlais, je gueulais et je ne pouvais plus retenir mes mouvements, de pathétiques tentatives pour me libérer, il était plus fort que moi et me tenait fort.
Puis j'ai senti ses muscles se détendre, j'ai senti sa queue se retirer. C'est un grand plaisir qu'il m'avait donné mais là c'était l'extase, c'était le moment le plus intense de la soirée. J'ai joui, mais pas seulement avec mon cul, j'ai joui avec ma queue. Pourtant on l'avait oubliée celle là. Au fond de sa cage plus personne ne faisait attention à elle. J'ai juté, j'ai juté et j'ai joui. J'ai joui pendant de longue minutes, de très longue minutes puis suivait un moment de plaisir intense, juste en dessous de l'orgasme mais un plaisir qui durait. Près d'une demie heure plus tard je le ressentais encore.
Je suis tombé sur les genoux et j'entendais la voie d'Arthur.
– Woué ! C'est le bon ! Moi je valide, c'est le bon ! Je te déclare marié Charly, pas droit de t'y opposer !
A côté de lui, les autres membre du jury rigolaient.
– Arthur, c'est toujours pareil avec toi quand tu es membre du jury , tu en fais toujours trop !
– Mais enfin j'ai raison. Qui dit le contraire ?
– Pareil déclarait le second juré.
– Il a raison, je valide le mariage pour les cinq prochaines années. Continuait un autre juré.
Finalement les cinq jurés confirmaient. Que pouvais-je rajouter, c'est moi qui avait fait ce règlement et en plus j'étais d'accord avec eux. Tout le monde sait que les unions prononcées dans le cercle de lumière sont des unions heureuses qui souvent vont au delà de leur date limites.
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
La réunion se passait dans une grange décorée pour l'occasion. On avait installé une piste circulaire délimité par douze projecteur qui en éclairaient le centre. Le reste de la salle serait dans l'obscurité totale, depuis le centre du cercle on ne voyait absolument rien du reste de la salle. Les spectateur pouvaient s'installer au delà des projecteurs, il était alors totalement impossible de les voir depuis l'intérieur du cercle.
Je connaissais bien le protocole, j'en avais été le principal concepteur. L'idée de la cérémonie était de moi.
Javais, plus jeune, j'avais été actif. Puis je mettais uni, j'avais pris un époux avec une grosse queue, j'avais tellement rêvé quand je l'avais vu que j'avais accepté de devenir passif et chaste. Je devais porter pour la durée de cette union un dispositif de chasteté. L'union devait durer cinq ans comme prévu par nos anciennes lois. On pouvait passer au moment de cette union du statut de passif à celui d'actif. Ce n'était pas la taille de notre queue qui définissait cette position sociale. J'étais, j'avais été dans la moyenne, ma queue n'était pas très longue mais relativement large. Et je dois dire que j'aimais faire couiner mes camarades quand je leur défonçais le cul.
Mais pour moi, un mec devait être bien monté, et je trouvais ma queue trop petite pour continuer dans ce statut social, ou alors j'aimais trop me faire défoncer le cul. Il me fallait seulement un mec avec une queue plus longue que la mienne, nettement plus longue si possible, et au moins aussi large.
Je m'étais alors inscrit comme passif. Plusieurs de mes amis avaient bien rigolé en me voyant faire. À commencer par ceux que j'avais si joyeusement fait couiner dans le passer. Cinq années s'étaient passées depuis ce jour, le mariage prenait fin. Pour des raisons sociales autant que pour des raisons économiques il valait mieux que je reste marié. Et mon dernier époux voulait changer de partenaire.
Il fallait s'y attendre c'est ainsi que les choses étaient prévues dès le début. J'aurais bien prolongé pour un second mariage mais je ne sais quel esprit tordu avait prévu que ce serait impossible … Je crois que c'était moi en fait … Seul l'époux actif pouvait en faire la demande.
Fin de première union, je n'aurais pas le choix de mon prochain partenaire, je ne pouvais même pas refuser celui qui me serait proposé, un juré pouvait décider de me l'imposer si je manifestais suffisamment d'enthousiasme. Sinon j'avais le droit de dire oui dans le cas ou il me convenait. Là ma décision était souveraine. De plus les jurés, c'est moi qui les nommait.
Oui comme je vous le disais à l'instant, règles tordues, esprit tordu … Bon c'était le mien ! Je ne pouvais donc pas dénoncer les règles.
Je ne savais pas combien de personnes se cachaient derrière les projecteurs, j'avais en face de moi de tous les côtés une rangée de lumière qui m'éblouissait et au delà une salle totalement obscure.
Je me présentait habillé comme à la ville au milieu de la piste.
– Charly ! Disait une voie. Le temps est venu de procéder à une nouvelle union !
– Charly, il a été décidé que compte tenu de ton enthousiasme à te faire défoncer le cul tu resterais passif pour cette seconde union, tu auras le droit de changer cette situation à la prochaine union. Rajoutais une seconde voie.
Là je reconnaissais cette voie, c'était celle un petit mec très mignon qui était lui aussi marié et passif. Je l'avais fait couiner plus d'une fois quelques années plus tôt.
– Nous allons te proposer un nouveau dans notre communauté. Reprenait la première voie.
– En plus je suis sûr qu'il va te convenir, je te dis pas mais je l'ai essayé et il est terrible. Il déchire, il m'a fait gueuler … Reprenait le second.
– Je t'en prie Arthur , c'est une cérémonie officielle …– Oui mais je le préviens, c'est tout !
– Arthur …– Il n'empêche que s'il il n'en veut pas moi j'en veux bien !
– ARTHUR !
– Bon OK je ne dis plus rien !
Un fou rire parcourait tout le groupe des spectateur et je pouvais deviner que la salle devait être pleine … Je m'angoissais un peu, mon cœur battait très fort, très vite.
Une silhouette entrait dans le cercle, un ombre passait devant le projecteur qui était juste devant moi. Je respirait lentement, bien à fond et je tentais de me détendre. On ne sait jamais qui peut apparaître, en plus je ne connaissait pas ce nouveau. Je ne savais même pas qu'il y avait des nouveaux dans notre communauté. L'ombre s'approchait, dans ma tête les idées se bousculaient. Mais pourquoi j'ai fait un règlement aussi tordu ? Mais pourquoi cette bande d'abruti à décidé d'adopter mes règles ? Mais c'est qu'elles sont tordues mes règles ? Et puis, et puis … Mais c'est qu'il est grand le mec …
C'était la seule chose qui était sûre, c'était un mec. La bande de fou qui constituait notre communauté aimait bien rigoler mais, de là à me proposer une fille … Le mec approchait lentement, il était grand, il n'était pas encore au centre et je le voyais encore à contre jour. Je ne distinguais que sa silhouette. Il était grand, bien plus grand que moi. Il me tendait les bras et je pouvais voir ses mains. Mais pourquoi n'avait-il pas retiré ses gants ?
C'est là que j'ai réagi, ce n'était pas des gants, il était noir, mon cœur battait encore plus fort, encore plus vite. Il me dépassait de plus d'une tête, il avait une super grosse queue si j'en croyais Arthur et en plus c'était un black. J'avais comme l'impression d'être un petit veinard là.
Je lui tendait les bras, nos mains se touchaient, il avait la peau douce et déjà mes mains remontaient sur ses bras, il avait les manches larges, mes mains remontaient jusqu'à ses coudes. Il avait la peau douce, pas seulement ses mains mais ses bras aussi. Il se penchait vers moi, il avait un visage doux et viril, et aussi un sourire à tomber.
Il continuait à se pencher vers moi et nos lèvres se touchaient, je sentais sa langue qui glissait entre mes lèvres. Ses mains glissaient sous ma chemise, il faisait sauter les boutons un par un et c'est ma chemise grande ouverte qu'il me caressait tout le torse. Je passais mes bras autour de son corps, il était ferme, musclé, et fort. Mais il était doux, ses gestes étaient doux, sa peau, ses lèvres, tout était doux chez lui et je me régalais quand ses bras glissaient sur mes épaules et faisaient tomber ma chemise. Il me serrait fort contre lui.
Je le voyais maintenant en pleine lumière, il avait profité que j'avais fermé les yeux pour avancer jusqu'au centre du cercle. C'est moi qui à ce moment lui ouvrait la chemise, les boutons l'un après l'autre, je glissait en même temps ma main sur son torse. Il était totalement dépourvu de poil et d'une incroyable douceur, tout était doux chez lui. Tout était doux et je croix qu'à ce moment je savais déjà qu'il serait mon nouvel époux pour cinq ans. S'il le voulait !
Sa chemise tombait, nos corps se caressaient l'un l'autre. Nos bras se mélangeaient, chacun donnait à l'autre ses plus douces caresses, ses plus doux baisers. Je frissonnais de plaisir et je prenais l'initiative d'aller plus loin, j'ouvrais son ceinturon puis c'étaient les boutons de son pantalon que j'ouvrais l'un après l'autre, il n'avait pas de sous vêtements. Et ce que je sentais contre mes doigts était doux et légèrement mou. Je glissais ma main plus loin, c'était également gros, large et long.
Je baissais son pantalon, un instant j'ai perdu mon self-control et c'est en un instant que son pantalon se retrouvait sur ses genoux. Une belle grosse queue à moitié redressé se balançait de droite à gauche, là je vous jure j'ai failli avoir une attaque.
– Goute ! Me disait-il,
Souvent on dit ' Suce !', lui il disait ' Goute !', d'un air de dire … ' Si tu n'aimes pas … c'est pas grave ! J'irai voir ailleurs ! '. Bien sûr à ce niveau de la relation, si je l'avais repoussé, les jurés n'auraient pas pu utiliser l'argument de ' l'enthousiasme ' pour m'imposer cet époux. Mais c'est que j'avais pas du tout envie de le repousser. Tout ce que j'avais vu de lui, tout ce que j'avais touché sur lui me plaisait, et son gland sur ma langue aussi.
Quand son gland est entré dans ma bouche j'ai entendu un murmure qui parcourait tous les spectateurs. J'y ai goûté et j'ai aimé. Ma langue tournait autour de son gland, il prenait ma tête entre ses mains, me caressait doucement les cheveux. Il me tenait avec force et avec douceur, avec beaucoup de douceur, avec beaucoup de force.
Son pénis entrai un peu plus profond, il était gros, plus gros que mon ancien époux qui devait être là, juste derrière un des projecteur. Cette idée m'excitait et c'est plus facilement pour moi que sa queue entrait un peu plus, encore un peu plus.
Il avait une grosse queue et rapidement il me remplissait la bouche, il poussait sa queue entrait jusqu'à ma gorge. Ma langue glissait sur toute sa longueur, son gland s'écrasait contre ma glotte et là j'étais obligé de le repousser sous peine de terminer asphyxié.
Il me laissait faire, il me laissait récupérer puis il reprenait. Il appuyait alors sur le dos de ma tête. Je vous jure j'aurais couiné si j'avais pu sortir un son mais bon … Je vous jure avec un truc pareil dans la bouche j'avais du mal à respirer.
Il me relevait, il était nu devant moi, j'avais encore mon pantalon. Il ouvrait enfin mon ceinturon, il ouvrait mon pantalon. Rapidement je me retrouvais presque nu devant lui, presque oui, presque, j'avais encore mon dispositif de chasteté. Je l'avais depuis cinq ans. Je le garderais encore cinq ans, la règle était aussi formelle que stupide et je sais de quoi je parle, c'est moi qui l'avait écrite.
Dans ses bras il me faisait tourner sur moi même, ses bras me caressaient partout, il me tripotait les couilles sans insister plus, il m'embrassait dans le haut de mon dos, dans le cou, sur les épaules …
Il passait un bras contre mon ventre et me poussait en avant avec l'autre bras, je me retrouvais penché en avant, plié en deux, sa queue était en position juste là ou il fallait, il se lubrifiait, un bras avait traversé le rideau de lumière et lui avait donné tout ce qu'il fallait. Il se lubrifiait, il poussait et je hurlais au moment ou sa queue s'enfonçait en moi.
Les spectateurs applaudissaient et poussaient des cris d'enthousiasme. Sa queue, son énorme queue s'enfonçait en moi. Il était plus large que le précédent, un peu plus long aussi. Je savais que mon ex, était là quelque part derrière un de ces projecteurs. Qu'en pensait-il, c'est en pensant çà lui que je faisais bonne figure.
Je vous jure que cette queue là, il fallait se la prendre dans le cul. Elle glissait lentement et il lui fallait quelques minutes pour que son ventre s'écrase contre mes fesses. Il prenait son temps, il prenait soin de ne pas me brutaliser. C'était intense, un peu trop peut être. C'était violent et je grimaçais, c'était bon, vraiment bon mais pas seulement. Ça faisait mal aussi, j'étais pas vraiment à mon aise à ce moment mais j'en voulais plus, encore plus. Je posais une main sur sa cuisse et je le retenais.
Il finissait par se retirer, il paraît qu'à ce moment je faisait une grimace à faire peur, il lubrifiait encore un petit coup puis revenait avec force, de nouveau bien à fond. Je sentais ma queue réagir, il était difficile de dire si elle voulait s'échapper ou se ratatiner dans sa cage, pour se faire oublier ou pour se réfugier quelques part !
Puis c'était le va et vient qui suivait, il s'enfonçait, il ressortait, recommençait plus vite, un peu plus vite. Arrivé bien à fond il poussait de toutes ses forces, je savais que les spectateurs prenaient des photos, et c'est vrai que je faisais une grimace pas vraiment rassurante. À voir les photos, on pouvait vraiment se demander si je prenais vraiment du plaisir.
J'en prenais comme jamais mais je ne prenais pas que du plaisir, par moment ça faisait mal. Par moment c'était la panique, j'avais l'impression que ça allait déchirer. Il fallait faire confiance, et je ne connaissais pas ce partenaire. J'avais confiance en moi et je savais que je pouvais encaisser. J'ai encaissé.
Au bout d'un long moment qui m'avait semblé durer des heures, il finissait par se crisper, je le sentais se contracter. Je lui criais 'OUI VAS Y ? VIENS !' . Il se penchait sur moi, m'enveloppait dans ses bras me couvrait le dos de baiser et s'agitait plus fort, plus vite. Ses coups de bassin contre mon cul devenaient violents.
Les derniers coups étaient particulièrement violents, je râlais, je gueulais et je ne pouvais plus retenir mes mouvements, de pathétiques tentatives pour me libérer, il était plus fort que moi et me tenait fort.
Puis j'ai senti ses muscles se détendre, j'ai senti sa queue se retirer. C'est un grand plaisir qu'il m'avait donné mais là c'était l'extase, c'était le moment le plus intense de la soirée. J'ai joui, mais pas seulement avec mon cul, j'ai joui avec ma queue. Pourtant on l'avait oubliée celle là. Au fond de sa cage plus personne ne faisait attention à elle. J'ai juté, j'ai juté et j'ai joui. J'ai joui pendant de longue minutes, de très longue minutes puis suivait un moment de plaisir intense, juste en dessous de l'orgasme mais un plaisir qui durait. Près d'une demie heure plus tard je le ressentais encore.
Je suis tombé sur les genoux et j'entendais la voie d'Arthur.
– Woué ! C'est le bon ! Moi je valide, c'est le bon ! Je te déclare marié Charly, pas droit de t'y opposer !
A côté de lui, les autres membre du jury rigolaient.
– Arthur, c'est toujours pareil avec toi quand tu es membre du jury , tu en fais toujours trop !
– Mais enfin j'ai raison. Qui dit le contraire ?
– Pareil déclarait le second juré.
– Il a raison, je valide le mariage pour les cinq prochaines années. Continuait un autre juré.
Finalement les cinq jurés confirmaient. Que pouvais-je rajouter, c'est moi qui avait fait ce règlement et en plus j'étais d'accord avec eux. Tout le monde sait que les unions prononcées dans le cercle de lumière sont des unions heureuses qui souvent vont au delà de leur date limites.
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
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