LE CHANTIER (11)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : LE CHANTIER (11) Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-07-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LE CHANTIER (11)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Mes filles à un détail près savent que je baise avec deux hommes du chantier voisin.
J’ai évité de leur dire que lors de la première soirée, je m’étais fait massacrer avec mon accord et pour mon plaisir par tous les ouvriers et que mon corps en avait tiré tellement de plaisir que mon cerveau pense sexe et que je cède chaque fois que je le sollicite.
Mes filles sont dans la piscine lorsque Sylvain arrive nous embrasse chastement et va-les rejoindre.

• Nadia, il va falloir que tu sois très près de Maryse, j’ai bien peur que Sylvain est plus la tête à s’occuper des chattes de mes filles que de la sienne.
Elle a déjà subi un traumatisme avec son mari qui divorce, tu feras attention qu’elle évite les bêtises.
• Tu veux que je lui monte un plan cul.
• Si tu le dis comme cela oui un plan cul.
• J’ai une idée si tu es d’accord de lui prêté, je vais me servir de Petrov pour la sauver.
• Tu exagères, elle est loin de l’article de la mort, mais pour Petrov, c’est bon, de toute manière, il t’a enfilé hier sans me demander mon avis et toi non plus.

Elle me saute au cou et m’embrasse une fois de plus et une fois de plus j’adore.

• J’ai mal fait.
• Non, il aurait fallu que je sois comme vous à votre âge et profiter de la vie comme vous le faite.

Dans la soirée l’occasion que nous attendions lui est donnée lorsque mes filles nous annoncent qu’elles vont au restaurant avec des amis et qu’elles en profitent pour emmener Sylvain avec elles.
Discrètement je rappelle sa mission à mon petit cœur.
Nous mangeons sur la terrasse sentant bien que c’est l’une des dernières fois que nous pouvons en profiter les nuits devenant plus fraîches.

• Maryse, suis-moi, je voudrais te montrer quelque chose.
• Je n’ai pas envie de bouger.

Heureusement que j’ai anticipé sa réaction, elle a attrapé le bourdon.
Nadia entre dans la maison suivie de Maryse qui a décidé de la suivre.
Elles ressortent ayant enfilé leur short et un t-shirt.
Nadia lui prend la main et elles partent vers la haie.
Lorsqu’elles ont tourné le coin qui me les cache à mes yeux, je me lève avec le bourdon à mon tour, car j’ai peur qu’aucun sexe ne soit à ma disposition ce soir.
Je débarrasse, fais la vaisselle et je m’installe dans mon fauteuil, aucun programme n’est à mon goût et je rêvasse aux différents épisodes qui viennent d’émailler ma nouvelle vie.

• Valérie, pourquoi as-tu laissé tes copines venir seules ?

C’est Christian qui me rejoint m’enlevant d’un coup mon bourdon.

• J’ai chargé Nadia de surveiller Maryse qui peut faire une bêtise, son amoureux est parti avec mes filles faire une soirée entre jeunes et j’ai voulu éviter de la gêner.
• J’ai l’impression, que sa mission sera très bien remplie.
• Elles se font baiser.
• Non, Maryse a commencé à donner des cours de Français à tous les ouvriers.
C’est Petrov, le plus studieux.

Maryse est professeur de latin à la Faculté et donne des cours aux jeunes de l’âge de mes filles.
Tiens quand j’y pense, Sylvain faisait-il des cours avec Maryse comme professeur l’an passé et n’est ce pas là-bas qu’il se serait côtoyé ?

• Comment a-t-elle commencé ?
• Lorsqu’elles sont arrivées Petrov les ont salués et ta copine l’a regardé comme si c’était un extraterrestre qui lui parlait.
Elle lui a proposé de leur donner des cours et ils ont commencé tout de suite la première leçon.
• Et Nadia.
• Elle écoute.

C’est parfait, Maryse a un but, ce qui lui fait oublier ses déboires.
Il est minuit lorsqu’elles reviennent et toutes les deux semblent épuisées.
Donner des cours de Français semblent fatiguant.
Nadia entraîne sa nouvelle copine vers les chambres, l’eau coule un moment et le silence se fait dans toute la maison.

Christian me quitte en me donnant un dernier baiser. Le fait d’attendre de voir si Maryse allait réagir positivement et nous avons oublié de faire l’amour.
Je vais être de mauvaise foi, cette nuit chaste régénère ma chatte voire mon cul fort sollicité depuis que j’ai balancé mes tabous dans ma piscine et sur mon lit de plaisir.
En se levant Nadia me rejoint dans mon lit ex-conjugal et me prévient qu’elle gère sa mission et refuse de m’en dire plus.
Le soir mes filles repartent avec Sylvain prétextant qu’elles doivent aller finir une bouteille de whisky chez leurs copines.
C’est suspect, car elles ont toujours refusé les alcools forts.
De plus elle ignore que Christian a vendu la mèche et que je sais la mission que Maryse s’est donnée.

Dès que les jeunes sont parties, les deux filles partent me souhaitant bonne soirée avec Christian.
Elles portent un Paper board avec un carton qui semble lourd.
Comme prévu Christian me rejoint et je lui saute non pas au cou, mais à la bite. Je suis en retard de sensation depuis deux jours.
Petite baise, petit plaisir car je suis intrigué de ce qui se passe derrière chez moi.
Ayant récupéré de notre petite baise, je laisse Christian qui s’est endormi et je me glisse de manière de tout voir sans être vue.
Je contourne le bâtiment en construction constatant que la plus grande partie est presque terminée.
À l’abri de leur regard, elles sont là toutes les deux devant les hommes assis sur leur banquette.
Ce que j’entends si j’étais grivoise, je dirais que cela me trou le cul.

• Vous avez là les seins.

Maryse dénude le sein droit de Nadia.

• Répétez, le sein.

Les hommes avec des difficultés prononcent le mot chacun leur tour.

• Écrivez le sein.

Et elle l’écrit sur le Paper boad. Ils en font de même sur un cahier où elle les a dotés.

• Bien, les petits assez travaillés, venez téter les seins de Maman.

Les hommes se lèvent et les uns sur l’une les autres sur l’autre, elles se laissent faire par tous ces hommes.
C’est une hydre avec trois têtes que j’ai créées sans le vouloir en venant la première dans ce bungalow au contact de ces hommes simples mais si efficaces avec leur queue.
La bite langage universel car il suffit de la sortir du pantalon de l’homme ou des hommes pour s’en servir de façon très diversifiée sans s’inquiéter de la langue de celui qui vous la met.
Je parle en vieille baiseuse alors qu’il y a peu de temps, j’étais la spécialiste de la position du missionnaire prioritairement.

• Ruan, qu’as-tu là dans ta bouche ?
• Les sein.
• Bien pour sein mais c’est le sein sinon le sein prend un s.
• Le seins, merci maman.

À la subtilité de la langue française, nul doute que mes jolis gardes vont avoir de longues soirées d’hiver en perspective pour que tous ces hommes soient présentés au BAC.
Tout le début est irréel, mais la fin égale tout ce que j’ai fait avec eux, car mes amies se déchaînent sur leurs bites, et finissent à quatre pattes sur les banquettes. Je ne saurais dire si elles se font baiser ou enculer, mais elles en retirent un merveilleux plaisir à entendre leurs cris de jouissance.
Petrov se réserve les parties intimes de Maryse même si en même temps elle suce le dénommé Ruan.
Demain, je vais venir au cours de Français avec Christian, on semble bien si amuser.
Je me retire, ce que j’ai vu à exciter ma fente.
Arrivée dans la chambre Christian fatiguée de sa journée dort profondément.
Il doit faire un rêve érotique, car sa queue est à moitié tendue.
À moitié et même un peu plus, car en me plaçant sur lui j’arrive à l’introduire au fond de moi.
Au début, c’est moi qui me masturbe avec sa bite qui grandit encore, jusqu’au moment où il m’empoigne les hanches et me perfore le plus violemment possible avec son pieu et là je crie tous les mots les plus obscènes que je connaisse.
J’ai le plaisir une fois de plus d’être rempli de longs traits de sperme.
Un peu plus tard dans mon sommeil, j’entends mes deux salopes revenir du campement avec leurs chattes bien rassasiées.
Je les entends pouffés de rire. Et envoyer des «chuts» plus bruyants que leurs rires.

Il est midi lorsque les filles viennent déjeuner.
Christian s’est éclipsé discrètement non sans que je sente ses lèvres sur mon abricot.
Encore une belle journée, en perspective. Les filles mettent la matinée à profit pour récupérer sur les transats.
Mes filles et Sylvain sont introuvables, ils ont dû se trouver coincés quelque part.
Dans l’après-midi, je nettoie ma salle de bains lorsque Nadia me rejoint.

• Mission accomplit chef, Maryse est sauvée, elle pense toujours à son jeunot, mais va baiser avec d’autres.
• Je sais, j’ai vu vos cours de français hier au soir.
• Où étais-tu ?
• Derrière le bâtiment qu’ils construisent.

Si j’ai bien compris, elle leur apprend le français tout en pratiquant. « Le sein » et elle se fait téter « La chatte » et elle se fait sauter « Le cul » et elle se fait enculer, pardon se fait sodomiser.

• Non, ça, nous attaquons le mot sodomie dans la leçon de ce soir.
Tu vas venir.
• Oui, avec Christian, je vous le prêterai.
• Viens, je veux que tu m’apprennes la phrase. « Brouter une chatte par une immense cochonne ».

Je viens de faire mon lit. Pour éviter de recommencer, je l’entraîne sur mon lit des mille et une nuits à l’extérieur où Maryse vient nous rejoindre.
J’apprécie de sentir sa langue sur mon clitoris et que dire lorsqu’elle me fist.
Vivre pour jouir, avoir des orgasmes et recommencer telle, est devenue ma devise.
Le soir, c’est nous qui arrivons au campement avant que mes sexes me rejoignent.
Quelle belle soirée en perspective.

• Monsieur, comment dit-on ?

Certains cherchent dans leur cahier.

• Bonjours madame.
• Presque bien, Omar, mais nous sommes trois.
Une, deux et trois. On dit « Bonjours mesdames».

Le dénommé Omar recommence en nous montrant.

• « Une, deux et trois. Bonjours mesdames » Moi compris.

Petrov intervient.

• Non, une, deux, trois. Bonjours mesdames, j’ai compris.
Une deux trois belles salopes.

Tu comprends Omar.

• Oui, je connais salope, ma copine être salope dans mon lit, elle aime moi suce ses seins avant que moi la baise.
Moi bien travailler leçon avec gentille dame.
Moi bientôt parler français aussi bien que Petrov.

Petrov a raison avec la méthode Maryse, il progresse dans ses tournures de phrases.
Travailler tout en jouant avec nos corps apparaît être une méthode très efficace.
Maryse dessine sur son Paper board.

• Une baguette.
• Une baguette.
• Madame pain.
• Très bien, Ousse, « baguette, » c’est du pain.

Elle dessine une maison.

• Une maison.
• Chambre, cuisine.
• Très bien, Ousse, tu as bien suivi le cours d’hier. Continu comme cela, tu as bien progressé.
• Progresser ?
• Tu as raison Omar, je vais trop vite. Progressez, « avancer », allez de l’avant.

Petrov lui parle dans sa langue.

• Excuse Maryse « progresser », j’ai compris.
• Maryse, pourquoi change, tu le cours prévu aujourd’hui, Nadia m’a dit que vous alliez travailler les verbes « sodomiser » avec son pendant argotique « enculer ». C’est ma présence qui te gêne ?
Tu commences.

Elle semble interloquée.

• D’accord, tu fais, la démonstration, j’explique.
• Sûrement pas, tu fais, la démonstration, j’explique.

Je lui fais enlever son slip qu’elle tient à avoir lorsqu’elle fait la professeur.
Je monte les fesses de notre amie.

• Là, vous avez les « fesses » avec le petit trou du cul ou aussi appelé « œillet » que vous pouvez perforer avec votre mandrin en appuyant doucement dessus et vous laissez entrer jusqu’aux couilles.

Les hommes me regardent bizarrement, ils semblent ne rien comprendre.

• Valérie, eux avoir rien compris, tu vas trop vite, toi dire trop de mots nouveaux rapidement. Laisse Maryse faire. Prends sa place sur la banquette.

Vexée, je laisse la place à mon amie qui reprend son cours. Je ne perds pas au change, Christian vient me sodomiser et me faire partir en jouissance par mes petites terminaisons.
Lorsqu’il décharge et se retire Petrov vient m’enfiler la chatte pendant que le débordement de l’autre fois recommence et que, rapidement il m’explose.
Dès que lui aussi a déchargé, Ousse me laisse aucun répit et pour la première fois son nœud entre en moi semblant faire fi du sperme déposé par Christian.
Je reçois tellement de verge partout en moi avec même une double pénétration étant sue que celui qui est derrière moi est Petrov vu la grosseur de ce qui me pénètre. Au bout de notre orgie, je suis incapable de dire si l’ensemble des hommes m’ont besogné ou qu’ils en manquent un voir deux à l’appel de mes dépravations.
Qu’est-ce que font et feront mes jumelles, mais Maryse, Nadia et moi lorsque nous regagnons nos chambres ou nous nous affalons toutes les trois, je sais que, demain j’irais continuer les cours dispensés à tous mes amants par ma copine définitivement sauvés de son blouse…

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