LE CHANTIER (14)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : LE CHANTIER (14) Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-08-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LE CHANTIER (14)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Les louves sont nées, elles ont déjà agi avec réussite pour que j’obtienne le poste de responsable du centre sportif.
Ce matin, j’ai rendez-vous à la mairie, car il y a une visite d’avancées des travaux et je suis présenté à l’équipe de construction.
Hier au soir, Nadia est allée passer la nuit chez Eliane.
Petrov et Christian prennent, de plus en plus de place dans ma vie, ils sont venus passer la soirée.
La partie carrée pratiquée nous a permis de satisfaire nos chattes et nos petits trous.
J’ai de plus en plus besoin de la queue noire mais surtout volumineuse de Christian.
J’adore lorsqu’il me prend dans une position qui me permet de le voir en moi.
J’adore le contraste de ma chatte blanche même si en fin d’été, elle est cuivrée par le soleil avec le noir de sa peau.
J’ai l’impression que mon corps est prolongé par un monstre alien qui nait de mon sexe.
À cette évocation, me faire prendre par Téléphone Maison décuple ma jouissance.
Maryse est aussi active que moi et semble avoir définitivement oublié Serge au profit de Petrov qui s’attelle à le lui faire oublier.

À dix heures habillées avec les effets que Maryse et Nadia de retour de sa virée nocturne m’ont suggéré de mettre décrétant que comme nous avions toutes les trois les mêmes ces ensembles seraient la tenue officielle des louves lorsque nous serons en chasse ou ce premier rendez-vous avec le maire à partir de ce jour mon employeur méritait de lui satisfaire les yeux sans tous concédés immédiatement.

• Bonjour Valérie, tu permets que je t’embrasse.

Pauvre simplet, samedi et dimanche, tu vas me baiser et tu prends des gants pour m’embrasser.

• Viens, je t’emmène au chantier, nous avons rendez-vous dans dix minutes.

Dans la voiture le trajet est court, mais Pierre trouve le moyen de me mettre la main sur la cuisse pour commencer et remonté jusqu’à s’apercevoir que ma chatte est libre de toute entrave.
D’après les filles les chattes à l’air feront partie de la tenue des louves pour pouvoir être plus rapidement opérationnelles.

• Je vois que vous êtes des adeptes de la chatte à l’air et de la nudité chez toi avec tes copines, j’ai hâte d’être à samedi pour vous satisfaire toutes les trois.

Pépère, tous les soirs ou presque, deux mâles avec des sexes énormes qui ont des difficulté à arriver à baiser pavillon, nous prennent comme des bêtes et toi avec ta petite queue, tu es assez prétentieux de vouloir nous faire monter au rideau toutes les trois, je demande à voir.

Ce qui est étonnant lorsque l’on arrive, c’est que c’est la première fois que j’entre sur le chantier par la porte principale.
À cette évocation un moment de panique se déclenche en moi, comment les ouvriers vont se comporter lorsqu’ils me verront.
Il est vrai que devant eux j’ai été plus souvent nue que dans ce tailleur ras la moule perchée sur mes chaussures à talons.
Dès que nous arrivons devant l’algéco de la direction, le responsable vient nous accueillir.

• Bonjour, monsieur le maire, bonjour madame, je m’appelle Lionel et je suis heureux de vous piloter sur les lieux de votre futur travail.
Je vois que personne ne vous a prévenus de vous munir de tenues pour la visite plus adaptée que votre joli tailleur madame d’un chantier.
Venez, je vais vous prêter des affaires plus adaptées.

Je me présente et mon nom a l’air de lui plaire.
Je manque de faire une bévue en lui disant qu’il suffit que je passe par le trou dans la haie et que dans dix minutes, je sois de retour auprès d’eux.
Il m’entraîne dans ce qui lui sert de bureau, sort d’une armoire en fer une combinaison du même genre que celle que j’ai dans mon abri de jardin et qui a servi à Nadia pour se changer après avoir reçu l’orage sur le dos ou Christian pour la première fois m’a défoncé la chatte.
À son évocation, je mouille surtout qu’en ce moment il doit travailler à quelques mètres de moi.
Salope, Valérie, tu es une salope, la simple évocation de ton amant à elle seule est loin de déclencher les flots de cyprine qui coulent sur tes jambes mais le fait d’enfiler cette combinaison portée régulièrement par le chef de chantier et dans laquelle il y place sa queue qui, lorsque je voie la carrure du bonhomme, doit être assez intéressante.
Qui d’autre qu’une salope peut avoir de telle pensée ?
Bottes, casque et lunettes en plastique complète l’équipement qui me rassure, qui serait capable de reconnaître la pute qui agit tous les soirs dans la cabane de chantier derrière une telle tenue.
La visite commence, il nous montre la maison des gardiens à l’entrée dont les murs et le toit sont terminés.
L’appartement aura quatre pièces, cuisine et tous le reste.
Une terrasse leur permettra de manger dehors.

• Valérie, mieux que de long discours sur le plan du centre sportif, je vais te donner des éléments du travail que tu auras à faire dans les jours prochains.
Déjà de retour à la mairie, je te ferais signer ton contrat à durée indéterminée qui prend effet dès aujourd’hui.
Ici, tu dois engager un homme même marié qui logera dans cette maison et qui assurera la surveillance du parc du complexe sportif.
Je te donnerais tous les éléments, j’ai fait préparer une plaquette qui récapitule tout ce que l’on va dire aujourd’hui, c’est pour cela que tu peux éviter les notes. Toutes les embauches seront effectives au premier janvier.

J’ai déjà une idée de la personne que je pourrais engager.
Il me monte l’endroit réservé à la piscine couverte accolée à celle d’été qui est déjà presque finie.

• Là, il faudra trois maîtres-nageurs qui travailleront au minimum à deux en permanence au moment des heures d’ouverture, ils seront entourés l’été par des étudiants qui étofferont les effectifs.

Terrain de rugby et football sont presque terminés seuls la pelouse restent à poser.
Les vestiaires pour les uns et les autres sont construits et sont en phase d’aménagement de la plomberie et de l’électricité.
Deux tribunes surplombent les vestiaires pour chaque terrain.
De ma terrasse sur mon lit de plaisir, j’étais loin de me douter tout ce que Christian, Petrov et leurs copains, avaient construit comme murs en parepains.
C’est pour cela que j’entendais la bétonnière tourner à des endroits différents.

• Pour ces sports ainsi que pour les tennis que tu vois se construire par une société spécialisée dans les revêtements.
• Ici une première cabane de chantier qui va rester encore quelques jours où dix hommes dorment après leur travail.

Lorsque j’entends Pierre, je prends conscience que ce sont dix mecs de plus qu’ils nous auraient fallu satisfaire.
Heureusement que Christian et leurs copains ont dû se taire sur les soirées que nous passions de peur de nous effrayer à sucer et nous faire baiser par toutes ces queues.
Nous arrivons devant le centre administratif où je vais opérer.
Là encore presque tout est fini même les aménagements intérieurs.
Mon bureau sent la peinture, mais il est spacieux très clair grâce à une grande baie vitrée et avec un escalier qui monte vers une grande terrasse qui surplombe le centre.
En ce moment, je vois Christian qui est avec le guitariste et les autres en train de finir le ravalement.
Ils font ceux ne m’ayant jamais-vu et cela m’évite une situation scabreuse.
La visite est terminée et je me retrouve dans le bureau pour remettre mon tailleur.
Lionel, le responsable attend pour récupérer ses affaires à la porte de son bureau.

• Pouvez-vous passer demain ?
Vos meubles de votre bureau vont arriver et j’aimerai que nous voyions ensemble, comment vous voulez les placer, cela nous évitera de faire le travail deux fois.
• J’ai vu que les allées qui mènent à mes bureaux sont terminées, je peux venir en tenue normale sans me déguiser ?
• Miens même vous pourrez venir avec votre voiture au parking au pied de l’immeuble où une place vous est réservée.
• Alors à demain, Pierre, on va signer ce contrat.
Plutôt deux fois qu’une, je sens que je vais m’éclater dans ce travail qui va bouleverser ma vie.

Nous partons pour la mairie après avoir salué Lionel.
Je sais que Christian et Petrov ont mes faveurs, mais ce Lionel est très appétissant.
À la mairie, Pierre une nouvelle fois veut prendre de l’avance sur notre contrat.

• Je veux bien relever ma jupe et que tu me broutes à la seule condition que je puisse engager une adjointe pour assurer les permanences et me servir de secrétaire.
• Asseyent toi et écartent tes cuisses, tu es toujours capable de me faire accepter ce que tu veux avec le corps que tu as.
• Arrête de parler, broute, je t’accorde cinq minutes, mais tu as intérêt à me faire jouir.
• J’ai l’impression que ce contrat va servir à une jeune fille qui vient d’arriver sur notre commune.
• Pourquoi pas ?

Il a une petite bite, mais il a une langue plus grande que son sexe, la nature a dû faire une erreur et inverser les tailles.
Je pensais à tout avec cet homme, sauf qu’il ferait pénétrer sa langue dans mon anus déclenchant en moi une telle jouissance.
S’il a d’autres surprises de ce genre, je sens que les louves vont bien s’amuser samedi.
Je me rajuste et je signe mon contrat. Il me donne une exemplaire vierge de contrat d’embauche pour mon adjoint.

• Salut, à samedi chez toi, je viendrai vous chercher.
J’ai beaucoup apprécié de sucer ton cul, je vais te faire une confidence, j’adore les culs, mais seulement les culs des filles surtout les baiseuses comme toi.

Sur ces bonnes paroles, je le quitte et je vais retrouver mes amies.
Maryse doit rentrer plus tard, mais Nadia me saute au cou.

• Tu es chic, c’est la deuxième fois que je te vois habiller avec des tailleurs.
Je mets ma main à couper que si je te passe la main, tu es nue et que tu t’es promené la chatte à l’air comme hier.

Je lui raconte la visite du chantier et ma première journée de travail que j’ai terminé les cuisses écartées les jambes en l’air dans mon bureau à la mairie avec Pierre qui me broutait la chatte et qui m’a mis sa langue très pointue dans l’anus.

• Je croyais que nous lui donnons sa récompense pour t’avoir fait embaucher samedi.
• Oui, c’est toujours d’actualité, mais ce petit apéro sexuel était un retour de service qu’une louve à faite pour obtenir la signature d’une adjointe pour mon travail.
Signe ici, nous allons si tu le désir, remplir le premier contrat que je suis en droit de signer après la signature de ma propre embauche et qui va faire de toi mon bras droit comme gestionnaire du centre sportif.

C’est une vraie furie que je reçois dans mes bras. Elle m’arrache entièrement mes vêtements et une nouvelle fois m’apporte toute l’adresse qu’elle a avec les femmes pour nous faire jouir.
Notre passion est si intense que le canapé où nous nous sommes affalés reçoit quelques centilitres de mes glandes lorsque je l’arrose par quelques petits jets tellement rares chez moi mais que j’arrive à lui envoyer dans l’intensité de ma jouissance.

• Mais je faisais des études d’infirmière, pas de secrétariat.
• Ton rôle sera tout autre, pour commencer tu seras en charge de ma chatte comme tu viens de le faire.
Je rigole, tu seras l’hôtesse qui s’occupera de mes rendez-vous, de me faire mon café et plein de choses que nous découvrirons ensemble. Sans oublier que dans un centre sportif de beaux mâles, rugbymans peuvent avoir besoin d’une infirmière pour réparer des entorses du sexe.
• Ou de la chatte pour les équipes féminines.

C’est enlacé et bouche-à-bouche que nous trouve Maryse en revenant de ses cours de latin à la Faculté.

• Je vois que vous avez encore trouvé à vous amuser pendant que je travaille.

Je me lève vais chercher trois coupes et une bouteille de champagne. J’en ai toujours une au frais pour les grandes occasions qui se reproduisent souvent ces jours-ci.
Notre verre servi, je lève ma coupe.

• À mon travail et à celui de Nadia que j’ai embauché pour me seconder avec l’accord du maire.
• Maryse, Valérie, a fait la louve avec le maire en se faisant brouter la chatte et a obtenu d’embaucher une adjointe et a fait appel à moi.
• Je suis contente pour vous et surtout pour toi Nadia, j’aime que tu trouves ton équilibre parmi nous, je vais tout faire pour que nous soyons heureuses ici.

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