LE CHANTIER (18)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-09-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LE CHANTIER (18)
Les louves ont réussi, nous savons où Pierre cache le nid de ses amours déçus.
Nous savons qu’il nous a amené à côté de chez nous et nous attendons non loin de chez lui qu’il nous rende notre copine comme il a été prévu avec lui la semaine dernière.
Il arrive et entre, quelques minutes après, Nadia toute guillerette nous rejoint.
• Vous avez trouvé.
• Non, il nous a semé dans un rond-point.
• Alors, il va falloir que j’y retourne, samedi prochain, c’est ballot.
• Samedi, c’est la veille des élections et nous avons la préparation du scrutin du lendemain.
Peut-être dans quinze jours.
• Dommage, j’ai bien aimé ce qu’il m’a fait.
• Amoureuse déjà.
• Non, cette fois, il m’a fait entrer dans une chambre et après m’avoir déshabillé, il m’a passé des bracelets fixés au lit.
Le seul problème, c’est qu’il m’avait mis une cagoule et qu’une fois de plus il m’était impossible de parler voir et entendre.
À un moment, il est monté sur le lit a mis des bracelets à mes mollets et a dû tirer sur des ficelles, car je me suis trouvé le cul en l’air la chatte offerte béante grace à l’écart entre mes jambes.
Sa langue, toi qui y as eu droit, je pense que tu as remarqué la dextérité avec laquelle il la manie, moi qui suis experte, j’ai trouvé mon maître et rapidement j’ai joui par l’anus et la chatte.
Il a continué jusqu’à ce que je reparte avant d’entrer sa queue dans ma rosette et me labourer pendant un temps interminable.
Mon corps a explosé dix fois espérant qu’il m’inonde, mais je ne voyais rien venir.
Après l’anus, il m’a fait redescendre les jambes et il m’a fait un joli missionnaire ou là encore il m’a fait partir sans me montrer des signes de fatigue.
Au début, le morceau qu’il m’a mis m’a paru insignifiant, mais au bout d’un temps certain, mon clito sollicité par sa queue qui le caressait m’a fait prendre mon pied.
Une fois encore malgré son gros ventre et ses petites couilles, il m’a fait partir jusqu’au moment où un feu d’artifice a explosé en moi et qu’il a joui et rejouis encore me déversant une quantité de sperme phénoménal, une vraie bête.
• Nadia, on te fait marcher, sache que moi aussi dimanche lorsqu’il m’a baissé son petit sexe à été efficace et je peux le classer dans mes meilleurs amants.
Sache aussi que nous savons où est son repère, c’est tout simplement la villa à côté de la mienne et pire, par un œil-de-bœuf, il a pu assister à tous nos moments intimes pendant tout l’été au bord de notre piscine et les a même filmés.
• Est-ce que les louves sont prêtes à passer à la phase suivante ?
• Laquelle ?
• Arriver à pénétrer dans la maison sans que l’on nous voit.
• Il suffit de franchir le grillage avec une échelle.
• Non, la maison est sous surveillance et tout entrée sans la méthode verra débarquer la police.
Je pense que l’ouverture du portail avec la télécommande doit permettre d’aller jusqu’à la maison. Là, je l’ai vu toucher à une statue qui doit être la clef du système.
Donc, il nous faut la télécommande.
Réfléchissez et donnez-moi rapidement votre avis.
Une fois chacune, elles tentent d’apporter une pierre à l’édifice, toutes leurs suggestions sont contrecarrées par la perversité de Pierre qui semble avoir tout prévu.
Où cache-t-il cet engin de malheur ?
Qu’elle soit dans sa voiture à porter de ses mains ou à quelques autres endroits il nous la faut et elle devient notre priorité à la chercher.
C’est la veille de l’élection qu’il faut agir, à la réunion du samedi.
Maryse et moi y serons et ne pourrons agir.
Reste Nadia, hélas, il faut quelqu’un sachant conduire.
Le mercredi et le jeudi soir Pierre organise deux réunions publiques pour nous faire connaître par les administrés.
Tout se passe très bien et les quelques interventions que je suis amené à faire surtout lorsque le pharmacien bien sûr présent essaye de me placer en situation de porte-à-faux vous finir à mon avantage.
• Madame, comment pouvez-vous prétendre à administrer notre commune et notre département en tant que binôme du maire actuel alors que vous débutez en politique.
• Avec tout le respect que je vous dois j’ai autant de compétence qu’un homme qui s’est présenté quatre fois à ces deux élections et qui a été quatre fois battu, posez-vous la question de votre compétence à vous aussi à pouvoir administrer nos vies.
Un flot d’applaudissement ponctue mon intervention et le pharmacien se rassoit la queue basse.
Le lendemain matin mon portable, sonne. J’explose de joie, Christian et Petrov veulent être là pour les élections étant sûr de notre victoire et en ont profité pour donner congé à leur employeur pour rester définitivement auprès de nous.
Tout de suite, je vois le chaînon manquant Christian pouvant conduire.
Je vais avec Maryse les chercher à la gare Nadia ce soir couchant chez Eliane qui l’a appelée trouvant qu’elle la délaisse.
Sur le quai de la gare dès qu’ils descendent du train, nous leur sautons dans les bras étant à la limite de nous allonger sur le quai pour qu’ils sortent leur sexe et qu’ils nous pilonnent au milieu des voyageurs.
Christian monte près de moi et un nouveau baiser nous unis, sa main baladeuse trouve ma fente qu’il pénètre avec deux doigts entraînant une jolie décharge et je lui inonde la main.
À l’arrière les gémissements de Maryse me confirment qu’elle doit aussi avoir des doigts bien placés qui doivent lui agresser son petit clitoris.
J’ai du mal à arriver jusqu’à la villa, car par deux fois des chemins en cul-de-sac pourraient nous servir de base où nous replier afin de les sucer puis nous faire prendre par nos hommes qui ont la queue au sommet de leur puissance.
Maintenant que je sais que dans la villa de Pierre que nous longeons avant d’arriver chez nous, la salle de torture ou plaisir peut nous livrer tous ses secrets, j’ai hâte d’être à samedi pour réaliser notre plan concernant la télécommande.
Aussitôt arrivé, porte refermé aussitôt baissé, c’est dans le garage qu’il me porte sur l’établi où Gaétan bricolait qu’il me pose et me plante ce beau morceau bien noir avec lequel une nouvelle fois je vais devenir la bacchanale qu’il aime baiser.
• Tu es enfin revenu, tu as bien fait de démissionner, je te sens bien en moi, reste y pour toujours, mais laisse-moi le droit d’en baiser d’autres, j’ai tellement de retard à rattraper.
Oahu, je te sens au plus profond de moi, tu le sais mon salop, ta queue touche mon utérus et je vais encore une nouvelle fois jouir grace à elle.
• Rester au fond de toi, pourquoi pas, mais il sera difficile aux autres que tu aspires à recevoir de te prendre aussi fort que moi alors joui et rends-moi ma queue, je te fourrerais tout à l’heure.
Depuis que je suis parti, je vois que tu as toujours autant le feu au cul.
C’est propos ordurier et outrancier, comment peut-il dire cela, j’ai le feu au cul.
Non, j’aime baiser et j’aime qu’il me baise maintenant que j’ai ouvert les vannes après la trahison de mon ex.
Alors sans retenue j’orgasme.
Lorsqu’il sort et qu’il me repose une impression de mouiller sur ma jupe m’intrigue.
Je passe ma main et je sens que c’est tout gras.
Aurais-je fait de l’huile à force de recevoir la queue de Christian au fond de moi ?
C’est simplement un pinceau dans un bocal d’huile que nous avons renversé et qui m’a badigeonné l’arrière-train.
• Cochonne, qu’est-ce que tu fais, enlève ta jupe, tu vas en mettre partout.
Un grand éclat de rire celle, nos retrouvailles et après l’avoir enlevé, c’est le cul nu et couvert de liquide poisseux que nous rejoignons ma chambre.
Avant d’entrer dans la salle de bain, il m’attrape ressort sa queue et après me l’avoir mise quelques minutes dans la bouche, il m’oblige à me mettre à quatre pattes.
• Tu vois mon cœur, il faut joindre l’utile à l’agréable, cela va mieux glisser.
Et sans attendre il m’encule si profondément que je suis obligé de tendre la tête comme un cheval qui se cabre.
Si je chante à gorge déployée, Maryse de son côté doit en ramasser aussi, car ses cris sont aussi puissants que mes cris.
Deux belles salopes retrouvent leur sexe préféré et le font entendre plusieurs fois jusqu’au matin.
Il est presque midi lorsque j’émerge.
J’ai bien pris une douche cette nuit après ma sodomie à l’huile de vidange, mais un bain me délasse surtout que je suis rejoint par Maryse, le visage épanoui.
• Quelle nuit.
• Tu l’as dit quelle nuit.
• J’ai ramassé, Petrov était déchaîné.
• Christian aussi j’en ai encore mal au cul.
• Attends, je vais te le savonner et tu te sentiras mieux.
• Recul Satanas, tu oublies la réunion et en plus j’ai faim.
Esclave va préparer le repas de ta maîtresse.
• Laisse Maryse, une fois de plus je vais me sacrifier pour ma belle, je dois dire que, cette nuit elle a assuré la belle cochonne qu’elle sait être lorsqu’elle se lâche.
Lorsque nous descendons presque pouponner la table est mise et Petrov a rejoint Christian.
• Vous pourriez faire moins de bruit lorsque vous vous envoyez en l’air mesdames, j’ai eu du mal à dormir !
• Comment tu fais, tu parles sans buter sur les mots, à Bordeaux, vous avez retrouvé un professeur de français ?
• Non, j’ai pris des cours du soir intensifs comme ils disent.
• Garde ta petite pointe d’accent cela fait ton charme.
Assez papoté messieurs, il faut que l’on vous explique ce que l’on attend de vous tout à l’heure.
Nos queues sont briffées, ils constatent une fois de plus que lorsqu’ils nous traitent de salopes, ils sont loin du compte, mais ils trouvent le jeu excitant, ils acceptent de nous suivre.
Arrivé devant la mairie comme prévu Nadia nous attend et fait la bise à nos hommes la mine renfrognée.
• Que t’arrive-t-il ma belle ?
• Je pensais retourné chez Eliane, ce soir, mais elle a un rendez-vous, je suis jalouse.
• Il est quelquefois impossible de faire ce que l’on veut, Maryse et moi ce soir devons rester sage, car il va nous falloir nous lever de bonne heure demain, tu auras nos deux mecs pour toi seule cette nuit, nous te le promettons.
Comme chaque fois que l’on se retrouve dans une situation exceptionnelle, la joie de vivre revient immédiatement au sein de ce qui ressemble de plus en plus à une communauté.
Nous arrivons à la mairie et nous rejoignons la salle du conseil.
• Bonjours mesdames, Nadia aurait pu vous accompagner.
• Elle va arriver, elle avait une course à faire. Elle va venir te saluer.
Le fait de demander à voir Nadia, va servir nos plans, le samedi où il l’a baisé doit lui ouvrir des horizons de luxures dont il a le secret.
La réunion commence et Nadia entre et vient parler à l’oreille du maire.
Sans sourcilier, il met la main à sa poche et sort un trousseau de clefs qu’il lui donne.
Si la télécommande est là, c’est gagné.
Nous déterminons les heures de présence dans les quatre bureaux de vote deux pour la liste pour la mairie et de deux aux cantonales.
J’ai fait valoir pour notre liste, que je dois être en heure opposé à Pierre puisque numéro deux sur la liste.
Tous sont d’accord.
Trois heures chacune, trois par bureau, j’arrive à avoir Maryse avec moi.
Le temps de rappeler tout le processus jusqu’au dépouillement la séance est levée par Pierre.
Presque trois heures que nous sommes réunies et Pierre offrent le verre de l’amitié pour fêter la clôture du mandat.
Nadia profite de ce moment pour faire son retour.
• J’ai attendu que tu aies fini pour te rapporter tes clefs.
• Puisque-tu es là, prends une coupe avec nous…
Nous savons qu’il nous a amené à côté de chez nous et nous attendons non loin de chez lui qu’il nous rende notre copine comme il a été prévu avec lui la semaine dernière.
Il arrive et entre, quelques minutes après, Nadia toute guillerette nous rejoint.
• Vous avez trouvé.
• Non, il nous a semé dans un rond-point.
• Alors, il va falloir que j’y retourne, samedi prochain, c’est ballot.
• Samedi, c’est la veille des élections et nous avons la préparation du scrutin du lendemain.
Peut-être dans quinze jours.
• Dommage, j’ai bien aimé ce qu’il m’a fait.
• Amoureuse déjà.
• Non, cette fois, il m’a fait entrer dans une chambre et après m’avoir déshabillé, il m’a passé des bracelets fixés au lit.
Le seul problème, c’est qu’il m’avait mis une cagoule et qu’une fois de plus il m’était impossible de parler voir et entendre.
À un moment, il est monté sur le lit a mis des bracelets à mes mollets et a dû tirer sur des ficelles, car je me suis trouvé le cul en l’air la chatte offerte béante grace à l’écart entre mes jambes.
Sa langue, toi qui y as eu droit, je pense que tu as remarqué la dextérité avec laquelle il la manie, moi qui suis experte, j’ai trouvé mon maître et rapidement j’ai joui par l’anus et la chatte.
Il a continué jusqu’à ce que je reparte avant d’entrer sa queue dans ma rosette et me labourer pendant un temps interminable.
Mon corps a explosé dix fois espérant qu’il m’inonde, mais je ne voyais rien venir.
Après l’anus, il m’a fait redescendre les jambes et il m’a fait un joli missionnaire ou là encore il m’a fait partir sans me montrer des signes de fatigue.
Au début, le morceau qu’il m’a mis m’a paru insignifiant, mais au bout d’un temps certain, mon clito sollicité par sa queue qui le caressait m’a fait prendre mon pied.
Une fois encore malgré son gros ventre et ses petites couilles, il m’a fait partir jusqu’au moment où un feu d’artifice a explosé en moi et qu’il a joui et rejouis encore me déversant une quantité de sperme phénoménal, une vraie bête.
• Nadia, on te fait marcher, sache que moi aussi dimanche lorsqu’il m’a baissé son petit sexe à été efficace et je peux le classer dans mes meilleurs amants.
Sache aussi que nous savons où est son repère, c’est tout simplement la villa à côté de la mienne et pire, par un œil-de-bœuf, il a pu assister à tous nos moments intimes pendant tout l’été au bord de notre piscine et les a même filmés.
• Est-ce que les louves sont prêtes à passer à la phase suivante ?
• Laquelle ?
• Arriver à pénétrer dans la maison sans que l’on nous voit.
• Il suffit de franchir le grillage avec une échelle.
• Non, la maison est sous surveillance et tout entrée sans la méthode verra débarquer la police.
Je pense que l’ouverture du portail avec la télécommande doit permettre d’aller jusqu’à la maison. Là, je l’ai vu toucher à une statue qui doit être la clef du système.
Donc, il nous faut la télécommande.
Réfléchissez et donnez-moi rapidement votre avis.
Une fois chacune, elles tentent d’apporter une pierre à l’édifice, toutes leurs suggestions sont contrecarrées par la perversité de Pierre qui semble avoir tout prévu.
Où cache-t-il cet engin de malheur ?
Qu’elle soit dans sa voiture à porter de ses mains ou à quelques autres endroits il nous la faut et elle devient notre priorité à la chercher.
C’est la veille de l’élection qu’il faut agir, à la réunion du samedi.
Maryse et moi y serons et ne pourrons agir.
Reste Nadia, hélas, il faut quelqu’un sachant conduire.
Le mercredi et le jeudi soir Pierre organise deux réunions publiques pour nous faire connaître par les administrés.
Tout se passe très bien et les quelques interventions que je suis amené à faire surtout lorsque le pharmacien bien sûr présent essaye de me placer en situation de porte-à-faux vous finir à mon avantage.
• Madame, comment pouvez-vous prétendre à administrer notre commune et notre département en tant que binôme du maire actuel alors que vous débutez en politique.
• Avec tout le respect que je vous dois j’ai autant de compétence qu’un homme qui s’est présenté quatre fois à ces deux élections et qui a été quatre fois battu, posez-vous la question de votre compétence à vous aussi à pouvoir administrer nos vies.
Un flot d’applaudissement ponctue mon intervention et le pharmacien se rassoit la queue basse.
Le lendemain matin mon portable, sonne. J’explose de joie, Christian et Petrov veulent être là pour les élections étant sûr de notre victoire et en ont profité pour donner congé à leur employeur pour rester définitivement auprès de nous.
Tout de suite, je vois le chaînon manquant Christian pouvant conduire.
Je vais avec Maryse les chercher à la gare Nadia ce soir couchant chez Eliane qui l’a appelée trouvant qu’elle la délaisse.
Sur le quai de la gare dès qu’ils descendent du train, nous leur sautons dans les bras étant à la limite de nous allonger sur le quai pour qu’ils sortent leur sexe et qu’ils nous pilonnent au milieu des voyageurs.
Christian monte près de moi et un nouveau baiser nous unis, sa main baladeuse trouve ma fente qu’il pénètre avec deux doigts entraînant une jolie décharge et je lui inonde la main.
À l’arrière les gémissements de Maryse me confirment qu’elle doit aussi avoir des doigts bien placés qui doivent lui agresser son petit clitoris.
J’ai du mal à arriver jusqu’à la villa, car par deux fois des chemins en cul-de-sac pourraient nous servir de base où nous replier afin de les sucer puis nous faire prendre par nos hommes qui ont la queue au sommet de leur puissance.
Maintenant que je sais que dans la villa de Pierre que nous longeons avant d’arriver chez nous, la salle de torture ou plaisir peut nous livrer tous ses secrets, j’ai hâte d’être à samedi pour réaliser notre plan concernant la télécommande.
Aussitôt arrivé, porte refermé aussitôt baissé, c’est dans le garage qu’il me porte sur l’établi où Gaétan bricolait qu’il me pose et me plante ce beau morceau bien noir avec lequel une nouvelle fois je vais devenir la bacchanale qu’il aime baiser.
• Tu es enfin revenu, tu as bien fait de démissionner, je te sens bien en moi, reste y pour toujours, mais laisse-moi le droit d’en baiser d’autres, j’ai tellement de retard à rattraper.
Oahu, je te sens au plus profond de moi, tu le sais mon salop, ta queue touche mon utérus et je vais encore une nouvelle fois jouir grace à elle.
• Rester au fond de toi, pourquoi pas, mais il sera difficile aux autres que tu aspires à recevoir de te prendre aussi fort que moi alors joui et rends-moi ma queue, je te fourrerais tout à l’heure.
Depuis que je suis parti, je vois que tu as toujours autant le feu au cul.
C’est propos ordurier et outrancier, comment peut-il dire cela, j’ai le feu au cul.
Non, j’aime baiser et j’aime qu’il me baise maintenant que j’ai ouvert les vannes après la trahison de mon ex.
Alors sans retenue j’orgasme.
Lorsqu’il sort et qu’il me repose une impression de mouiller sur ma jupe m’intrigue.
Je passe ma main et je sens que c’est tout gras.
Aurais-je fait de l’huile à force de recevoir la queue de Christian au fond de moi ?
C’est simplement un pinceau dans un bocal d’huile que nous avons renversé et qui m’a badigeonné l’arrière-train.
• Cochonne, qu’est-ce que tu fais, enlève ta jupe, tu vas en mettre partout.
Un grand éclat de rire celle, nos retrouvailles et après l’avoir enlevé, c’est le cul nu et couvert de liquide poisseux que nous rejoignons ma chambre.
Avant d’entrer dans la salle de bain, il m’attrape ressort sa queue et après me l’avoir mise quelques minutes dans la bouche, il m’oblige à me mettre à quatre pattes.
• Tu vois mon cœur, il faut joindre l’utile à l’agréable, cela va mieux glisser.
Et sans attendre il m’encule si profondément que je suis obligé de tendre la tête comme un cheval qui se cabre.
Si je chante à gorge déployée, Maryse de son côté doit en ramasser aussi, car ses cris sont aussi puissants que mes cris.
Deux belles salopes retrouvent leur sexe préféré et le font entendre plusieurs fois jusqu’au matin.
Il est presque midi lorsque j’émerge.
J’ai bien pris une douche cette nuit après ma sodomie à l’huile de vidange, mais un bain me délasse surtout que je suis rejoint par Maryse, le visage épanoui.
• Quelle nuit.
• Tu l’as dit quelle nuit.
• J’ai ramassé, Petrov était déchaîné.
• Christian aussi j’en ai encore mal au cul.
• Attends, je vais te le savonner et tu te sentiras mieux.
• Recul Satanas, tu oublies la réunion et en plus j’ai faim.
Esclave va préparer le repas de ta maîtresse.
• Laisse Maryse, une fois de plus je vais me sacrifier pour ma belle, je dois dire que, cette nuit elle a assuré la belle cochonne qu’elle sait être lorsqu’elle se lâche.
Lorsque nous descendons presque pouponner la table est mise et Petrov a rejoint Christian.
• Vous pourriez faire moins de bruit lorsque vous vous envoyez en l’air mesdames, j’ai eu du mal à dormir !
• Comment tu fais, tu parles sans buter sur les mots, à Bordeaux, vous avez retrouvé un professeur de français ?
• Non, j’ai pris des cours du soir intensifs comme ils disent.
• Garde ta petite pointe d’accent cela fait ton charme.
Assez papoté messieurs, il faut que l’on vous explique ce que l’on attend de vous tout à l’heure.
Nos queues sont briffées, ils constatent une fois de plus que lorsqu’ils nous traitent de salopes, ils sont loin du compte, mais ils trouvent le jeu excitant, ils acceptent de nous suivre.
Arrivé devant la mairie comme prévu Nadia nous attend et fait la bise à nos hommes la mine renfrognée.
• Que t’arrive-t-il ma belle ?
• Je pensais retourné chez Eliane, ce soir, mais elle a un rendez-vous, je suis jalouse.
• Il est quelquefois impossible de faire ce que l’on veut, Maryse et moi ce soir devons rester sage, car il va nous falloir nous lever de bonne heure demain, tu auras nos deux mecs pour toi seule cette nuit, nous te le promettons.
Comme chaque fois que l’on se retrouve dans une situation exceptionnelle, la joie de vivre revient immédiatement au sein de ce qui ressemble de plus en plus à une communauté.
Nous arrivons à la mairie et nous rejoignons la salle du conseil.
• Bonjours mesdames, Nadia aurait pu vous accompagner.
• Elle va arriver, elle avait une course à faire. Elle va venir te saluer.
Le fait de demander à voir Nadia, va servir nos plans, le samedi où il l’a baisé doit lui ouvrir des horizons de luxures dont il a le secret.
La réunion commence et Nadia entre et vient parler à l’oreille du maire.
Sans sourcilier, il met la main à sa poche et sort un trousseau de clefs qu’il lui donne.
Si la télécommande est là, c’est gagné.
Nous déterminons les heures de présence dans les quatre bureaux de vote deux pour la liste pour la mairie et de deux aux cantonales.
J’ai fait valoir pour notre liste, que je dois être en heure opposé à Pierre puisque numéro deux sur la liste.
Tous sont d’accord.
Trois heures chacune, trois par bureau, j’arrive à avoir Maryse avec moi.
Le temps de rappeler tout le processus jusqu’au dépouillement la séance est levée par Pierre.
Presque trois heures que nous sommes réunies et Pierre offrent le verre de l’amitié pour fêter la clôture du mandat.
Nadia profite de ce moment pour faire son retour.
• J’ai attendu que tu aies fini pour te rapporter tes clefs.
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