LE CHANTIER (19)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : LE CHANTIER (19) Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-09-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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(9.0 / 10)

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LE CHANTIER (19)
L’heure de vérité arrive, Maryse et moi allons nous présenter pour être élus conseillère municipale et moi avec Pierre au conseil général.
Pendant deux jours comme nous l’avions accepté si j’obtenais la responsabilité du complexe sportif, nous serions entièrement à la merci de monsieur le maire.
Pendant plus de deux jours, il nous a conduit dans une cave d’une propriété qui lui appartient où il a joué avec nous à des jeux sados mais bien supportables.
Maryse et Nadia ont beaucoup plus souffert que moi car pendant ses journées, elles ont été complètement isolées du monde grâce à des cagoules fermées hermétiquement, sauf le nez bien sûr.
Le premier jour, elles ont été attachées à une croix en bois, les bras levés et la chatte transpercée par un gode alimenté par du faible voltage qui leur envoyait de petites décharges électriques à des moments aléatoires finissant par leur apporter des jouissances à répétition.
J’ai découvert le Jacuzzi pouvant recevoir dix personnes, où nous avions les bras là encore attachés en hauteur qui se terminaient par une fatigue intense.
Enfin, le deuxième jour, elles ont été placées Maryse dans une chaise en cuir suspendu qui l’empalait sur un gode lui arrachant autant voir plus d’orgasme que la veille et Nadia, seins posés sur le banc où je reposais hier, là encore deux godes entrants dans ses deux parties intimes. Ces godes lui ont déclenché des jouissances à lui arracher des cris de plaisir et de douleur qui ne pouvaient sortir de sa bouche à cause de la boule l’obstruants.
Dès le retour chez nous, les louves ont cherché à trouver cette maison et grâce à Nadia qui a joué le rôle de la chèvre auprès de Pierre, nous savons qu’elle est mitoyenne à la mienne.
Nadia à qui nous avions promis qu’elle passerait la nuit avec Petrov et mon amant de cœur Christian faisant le joint par son corps entre leurs deux hommes surtout quand leurs deux bites sont entrées en même temps en elle.
Les cris de joie et de plaisir qu’elle poussait nous ont réveillé une partie de la nuit que j’ai passée sagement dans les bras de Maryse.

Ce matin, nous venons de passer trois heures à tenir le bureau de vote et dès que Pierre m’a remplacé, nous sommes tous partis devant le portail de cette maison pour essayer le double de la télécommande que Nadia et Christian sont allés faire dupliquer à Toulouse dans une boutique de matériel de sécurité après avoir subtilisé l’original dans la voiture de Pierre.

• Vas-y, Valérie appuie.

J’appuie sur « On » un temps d’attente et les deux ventaux du portail s’ouvrent lentement.
Christian, Nadia Maryse Petrov et moi sortons de la voiture arrêtée devant la maison.
Il y a une terrasse mais pas-de-porte ou de fenêtre.
La partie basse de la maison est faite avec des briques jointe.
Les hommes en font le tour et constatent aucune ouverture apparente.

• Maryse, tu te souviens lorsque nous avons regardé en étant passés derrière les thuyas, je t’ai dit avoir vu Pierre penché sur cette statue.

Je m’en approche, cherche et en la faisant tourner déclenche un mécanisme qui ouvre une porte cachée dans les jointures des briques.
Tous entrent et face à nous dans une lumière parvenant d’un dôme en verre au sommet de la bâtisse, une magnifique piscine avec des reflets d’un bleu très clair de dix à quinze mètres de largeur et trente de long.
Un escalier que nous montons et tout au tour d’un promenoir surplombant la piscine des portes de huit chambres.

• C’est dans celle-là que j’étais, regardé les bracelets sur le lit !

Nadia avait les yeux obstrués lorsqu’elle est venue croit que c’est cette chambre, mais les autres aussi ont des lits avec des bracelets.
Nous trouvons l’œil-de-bœuf ou placé devant une caméra. C’est par là que Pierre a dû regarder et filmer tout ce qui se passait chez moi au bord de la piscine.
En redescendant c’est à côté de la piscine que nous remarquons deux très belles fresques en petit carreau de faillance de deux centimètres sur deux.

Nous savons que cette maison a une salle presque aussi grande que la pièce où nous nous trouvons un système permettant d’ouvrir une porte dérobée doit exister, mais le temps passe et il nous faut rapidement trouver l’entrée.
Je calcule la surface qu’elle doit représenter sous nos pieds et l’évidence veut que l’entrée se trouve sur le mur avec les trois lampes rondes éclairant la pièce de la piscine au milieu d’une des fresques.
Il semble avoir aimé les objets ou statues qui tournent et c’est sans difficulté que la porte s’ouvre en tournant une des lampes.

Un bouton, à notre droite, permet d’éclairer, l’escalier est là et en descendant, deux femmes sont attachées sur les croix.

• La salope, elle m’avait dit être prise aujourd’hui et regardée, Éliane est là attachée à cette croix vous montrant son intimité.

C’est Nadia qui vient de reconnaître sa maîtresse la proviseure du Lycée.
Cette jolie femme ainsi que sa voisine ont la pointe de leurs seins affublés de pinces crocodiles reliés au système électrique qui servait à alimenter les deux godes que les filles avaient dans la chatte lors de notre séjour volontaire à la merci de Pierre.
À chaque petite décharge les deux corps se tendent dans un même mouvement symétrique.

• Elle va voir si elle peut venir me tromper avec notre amant sans moi.

En disant cela, elle saisit une cravache posée près des croix et zèbre la chatte d’Eliane qui se tortille de douleur.

• Arrête, Nadia, si tu la marques Pierre pourrais remarquer que quelqu’un est venu, il risque de changer le code d’entrée de la grille et nous aurions fait cela pour rien.
Regardé, l’autre femme, c’est Madeleine, la droguiste sa maîtresse.
Venez, nous en avons assez vu pour aujourd’hui allons à la maison manger.
• Je plongerai bien une petite tête, l’eau semble bonne.

Nadia est toujours partante pour en faire plus. Nous sortons en refermant satisfait d’avoir trouvé la plus grande partie des choses intéressantes de la maison.
Grille fermée, nous arrêtons la voiture devant chez nous et je sers à manger à tout le monde avant de retourner à la salle de vote.
J’allais partir lorsque je reçois un coup de téléphone de mon fils qui m’annonce une nouvelle qui d’un coup me met un coup de vieux.
Je vais être grand-mère. Il refuse de me dire si c’est garçon ou fille avant la naissance.
C’est presque en chantant que Maryse et moi retournons à notre labeur alors que je serai plus enclin à ouvrir une bouteille de champagne.
Il y a une heure que nous pointons déclarons « à voter » lorsque trois personnes arrivent que je connais bien mais que je vois trop peu souvent.
Valentine, Noémi et Sylvain, arrivent pour voter.
Après de brèves effusions le calme devant régner dans le bureau de vote leur devoir fait, ils partent jusque chez nous rejoindre nos amis avant le dépouillement.
Dépouillement où le droguiste et Éliane sont là Pierre les ayant certainement délivrés pendant que nous étions au bureau de vote.
Nadia qui vient d’arriver la voie vient à la toucher.

• Toi, il va falloir que l’on parle.
• Tu as aimé ce qu’il nous a fait subir toute la journée.

C’est l’incrédulité que je vois sur le visage de la petite.
Le scrutin est clos et Pierre ouvre les urnes.

Après le dépouillement, résultat, au conseil général, nous sommes élus au premier tour avec presque soixante pourcents des voix.
Pour la liste du maire sortant grand chelem, tous les sièges gagnés.
Le pharmacien qui passe près de moi la tête basse a droit à un sarcasme de ma part.

• Et un zéro.

Je m’arrête là et je rejoins Pierre qui me tombe dans les bras.

• Bravo, ma belle, c’est grâce à toi que nous avons pris tous les sièges, ton intervention contre mon ennemi à la réunion publique l’autre soir, plusieurs personnes sont venues me dire que mon choix avait été primordial pour voter pour nous.
• Heureuse d’avoir contribué à ton élection.
• Non, à notre élection, je me délecte d’avance lorsque demain tu me rejoindras dans le bureau voisin du mien.
• Certainement pas lundi, mardi peut-être demain tu présides les cérémonies du 11 novembre et je serais la juste pour te voir officier, car mes filles sont là avec leur copain.

Les résultats définitivement programmés, l’opposition doit reconnaître sa défaite, une coupe de champagne nous est offerte dans la salle du conseil et bien fatiguée, nous nous retrouvons chez moi.

• Encore une coupe, pas pour les élections, mais à la venue de mon premier petit-fils ou fille.

Mes jumelles me regardent les yeux ronds et lorsque j’explique que mon fils et ma belle-fille à Brest vont avoir un enfant, la fête redouble.
Je regarde amusées la première stupeur passée, mes deux filles se disputer pour savoir qui serait la marraine.
À nos côtés ou plutôt à côté de Nadia, Éliane a accepté mon invitation, mais je sens bien qu’une tension existe entre les deux femmes.

• Éliane, que faisais-tu attacher dans la cave de Pierre, le maire.
• Dans sa cave ?
• Tu étais bien attaché sur une croix cette après-midi.
• Oui, à côté de toi.
• C’est la meilleure, c’est tout ce que tu trouves pour ta défense.

J’ai tout entendu, je me sens dans l’obligation d’intervenir.

• Les filles, il me semble que vous ayez chacune une vérité.
Éliane, comment t’es-tu retrouvée le bas ?
• C’est simple, il y a deux jours, monsieur le maire est venu me voir pour me dire qu’il avait vu Nadia et qu’elle souhaitait que ce matin, il me conduise près d’elle pour passer un moment agréable dans un endroit insolite.
Après avoir voté, je me suis présenté chez lui et il m’a expliqué que je serais dans la voiture avec elle si j’acceptais de mettre une cagoule qui m’isolait du monde.
J’avais les mains menottées dans le dos et je sentais un genou lorsque j’écartais les jambes.
J’étais persuadée que c’était celui de mon cœur.
• C’était la droguiste.
• Madeleine, sa maîtresse.
• Oui, le salopard, pendant toute la journée, j’ai cru que c’était elle.
À un moment, il m’a même cravaché, je l’ai maudit.
• Non, la cravache sur ta chatte, c’était moi par jalousie.
• Tu étais là alors.

Une nouvelle fois j’explique tout ce qui s’est passé et ce que nous avons découvert.
Coups de chance, mes filles sont dans leur chambre à défaire leurs affaires, je suis rassuré, elles ignoreront que nous connaissons une maison avec une salle des tortures.

J’embrasse tout le monde et au lit, madame la conseillère municipale et générale, va faire un gros dodo étant crevé.
Au matin ayant bien récupéré c’est une bite entrante dans la raie de mes fesses qui me réveille.
Christian est couché derrière moi et bande en dormant.
Je le positionne et je pousse m’empalant sur sa verge bien bandée.
De l’autre côté Petrov est face à moi et me regarde commencer à jouir.
Il s’occupe de mes seins qu’il a pris en bouche pendant que mon sexe sodomite me fait basculer pour m’empaler plus profondément et dégager ma chatte.
Cette chatte bien positionnée est tout de suite investie par mon autre amant qui attendait que cela pour me faire plaisir.
Une journée qui commence par un double anal et chatte, que puis-je attendre de plus de cette belle journée.
Une fois de plus, mon cerveau philosophe sur la belle salope que mes amants ont faite de moi, mais j’évite de hurler mon plaisir de peur que mes filles m’entendent.
Lorsque je me lève pour préparer à manger, je me couvre pudiquement d’un peignoir pour éviter de les choquer lorsqu’elles se lèveront.
Nadia et Éliane dorment enlacées, la hache de guerre semble être enterrée.
La porte de la chambre de mes filles est ouverte et il m’est impossible de passer autre part que devant.
Maryse est empalée sur le manche de Sylvain pendant que l’une de mes filles embrasse ma copine et que l’autre caresse les couilles de Sylvain.
Comment ma fille a elle dit l’autre fois lorsqu’elle m’a vu baiser sur mon lit de plaisir ?
À oui, j’avais transformé la maison en un grand lupanar et que cela pourrait leur plaire…

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