LE CHANTIER (22) - histoire érotique

Après les élections, nous passons le lundi 11 novembre en famille.
Il vient de m’arriver qu’elle chose d’incroyable, en même temps que j’apprends que mes filles pratiquent le libertinage dans un club bordelais après l’Italie, je découvre que je viens d’entrer en concurrence avec une jeune femme bordelaise ayant mon âge.
Il semble que ces grands libertins s’interrogent pour savoir qui est la plus grande salope de nous deux. Le couple entièrement soudé souhaite que je vienne avec Christian pour une soirée le 3 janvier participé à une soirée où Soso pourra réaliser son fantasme d’avoir en elle les deux bites noires Yosepé et Christian.
Pour le moment, il faut que nous nous occupions d’Eliane qui vient de faire évoluer sa vie en acceptant que Sylvain vienne en elle alors qu’elle avait fait le serment qu’aucun homme n’entrerait dans son intimité et qui a émis le souhait de directement attaquer les cols des hautes Pyrénées en terminant la journée prise en sandwich entre Christian et Petrov.
Valentine sentant qu’après manger l’ennui nous rattrape, souhaite que nous fassions un strip-poker.

• Chérie, à ce que je sache un strip-poker, se fait en se déshabillant et nous sommes déjà tous nues.
• Maman, tu as raison de croire que tu y as joué souvent, mais là nous allons faire un strip-poker montant et descendant.
Chacune et chacun d’entre nous va aller chercher cinq vêtements et les posera à ses côtés, les perdants enfileront un vêtement et les retireront lorsqu’ils seront habillés. Le premier où la première personne de nouveau nue pourra exiger ce qu’elle veut à qui elle veut.
Tous sont d’accord de jouer. Je vais chercher deux jeux de cartes pendant que les filles nettoient la table et la partie commence.
Après des hauts et des bas, je suis à la lutte avec Eliane pour nos petites culottes.
Le nombre de joueurs m’empêche de prévoir quelles cartes sont les siennes, mais sur ce qui va être le dernier coup Christian ostensiblement jette son jeu qui paraissait intéressant pour que je puisse être en tête à tête avec notre amie.
La dernière carte retournée est un as qui donne un brelan à Eliane qui pense égaliser m’obligeant à enlever mon deuxième bas.
Mais lorsque j’étale deux dames alors qu’il y en a deux sur la table, c’est un carré des dames que je lui montre.
Indirectement les louves avec ces quatre dames viennent de frapper me montrant ce que je devais demander et si elle le réalise fera définitivement entrer Eliane dans notre cercle qui s’est imposé à nous.

• Maman, tu as gagné, tu as une veine de cocu.
Pardon, j’ai encore ouvert ma bouche trop grande après ce qu’il t’est arrivé avec papa.
• Ton père, c’est de l’histoire ancienne bien cicatrisée grâce à vous tous, mais cocu je vais l’être, car cela tombe bien qu’Eliane soit perdante à cette dernière partie, je souhaite la voir se faire prendre comme elle en a émis le souhait par mes deux amants au centre de la table devant nous tous immédiatement.
• J’ai promis, mais j’hésite à me donner en spectacle.
• As-tu le choix ?

Tous en chœur disent « non » alors j’aide notre amie à monter sur la table.

• Un strip, un strip.

Dans le même cœur, ils demandent à Eliane d’enlever sa culotte en rythme.
Au début du jeu les filles avec Sylvain ont démarré notre chaîne et le morceau qui passe se prête au genre de déhanchement que nous souhaitons la voir faire.
Eliane sur la table, Valentine vient s’asseoir auprès de moi et pose sa tête sur mon épaule.

• Tu sais, on t’aime mamounette.
• Moi aussi, mes filles, tu souhaites vraiment que j’appelle Soso.
• Oui, tu verras, c’est une femme géniale, Criss aussi d’ailleurs, si avec papa, vous aviez créé un contrat de confiance comme eux jamais vous n’auriez divorcé.
• C’est la vie ma grande, c’est le destin.
Regarde Eliane, ce matin avait elle prévu de se tortiller devant nous pour nous faire voir sa chatte après avoir enlevé son string.
• Oui, destin quand tu nous tiens.

Eliane a un bon rythme et ce qu’elle nous montre de son intimité recommence à faire bander les hommes qui sans qu’elles en fassent plus va pouvoir la satisfaire dans le désir exprimé au sortir de la chambre où elle a accepté la bite d’un homme en elle.
Petrov toujours agile grimpe sur ma table qui, lorsque je l’ai achetée après mon mariage, j’étais loin de penser qu’elle accueillerait une femme et deux hommes pour que la femme se fasse prendre par deux sexes en même temps.
Il s’allonge sur sa surface et c’est Eliane qui présente sa chatte à ce membre turgescent qui est prête à l’accueillir.
C’est Nadia qui saisit la queue pour la placée afin qu’Eliane se laisse pénétrer.

• Tu vois ma chérie, c’est facile de se faire enfiler, mais là serre les dents quelques secondes comme je l’ai fait au bord de la piscine de Valérie, le membre que Christian présente à ta rosette va te déchirer grave.

La belle garce, elle met la pression à sa copine qui doit attendre anxieusement d’honorer la promesse qu’elle nous a faite de s’en prendre deux avants la fin de la soirée.
Ce qu’elle ignorait, c’est qu’elle perdrait au jeu et que c’est devant tout le monde que je vois mon amant là pointer et lentement s’enfoncer en elle.

• Mon Dieu, je morfle Christian arrête une seconde, ton gland a du mal à passer.
Oui, vas-y, la douleur se calme.
Christian, il y en a encore long à me mettre.
• J’arrive au fond, tu vas sentir mes couilles sur ton cul et dès que Petrov et moi allons bouger, tu vas jouir, je te le promets ma belle.

Il bouge et comme prévu elle jouit finissant même par un bel orgasme digne des femmes hétéros dont maintenant elle fait partie.
C’est le moment où Valentine fait un mouvement m’entraînant à un geste que, jamais je ne me serais cru capable.
Elle me prend la main et me place les doigts sur le trou du cul de Christian.
Jamais je le redis, faire entrer trois doigts dans son fondement mon esprit sans son initiative aurait imaginé un tel mouvement.
Christian surpris me regarde et au moment où je rentre lâche une giclée de sperme décuplée par le mouvement que mes doigts impriment en lui.
Même mes filles me portent à la luxure, mais le week-end prolongé se termine et demain il faut que je retourne à la mairie pour voir comment la succession des équipes va avoir lieu.
Le matin mes bougresses de filles retournent avec Sylvain chez eux me rappelant de téléphoner à Soso pour préparer le 1er janvier qui va venir vite.

Arrivé à la mairie, Pierre vient rapidement se coller à moi pour me faire sentir qu’il est tendu et que sa petite bite très résistante est prête à me pénétrer.
Je résiste pour le seul plaisir de lui céder au moment où je le décide et non pas au moment où lui décide.

• Il faut que j’aille à mon bureau au complexe, tu m’accompagnes.
• J’ai du travail ici afin de préparer la mise en place de l’équipe entrante, mais je vais prendre du temps pour voir, comment tu as aménagé ton bureau.

Je le conduis lui disant que moi aussi je reviendrais à la mairie pour travailler avec sa secrétaire les bilans financiers de la commune.

• Si tu veux t’occuper des chiffres, je te cède ce terrain, les chiffres m’ont toujours fait horreur.

Alors que le chemin est plus long, je prends pour excuse un arrêt chez moi pour prendre les clefs du bureau du complexe oubliées pour passer devant une villa que j’ai appris à découvrir.

• Pierre, toi qui connais tout sur ta commune, sais-tu à qui appartient cette résidence que j’ai toujours vue fermée, mais qui semble entretenue.
• Oui, c’est un homme d’un pays des Émirats qui la possède et que personne n’a vu.
• Pourtant, le parc est entretenu.
• Oui, c’est moi qui possède la télécommande de l’ouverture de la grille à ouverture automatique et chaque mois, je viens ouvrir pour laisser l’entreprise de jardinage de Fred, un ami qui s’occupe de la végétation l’entretenir.
L’émir ne souhaite, aucune pelouse ou massif de fleurs seules des arbres poussant sauvagement l’intéresse.
• Tu es déjà entré.
• Non, ce qui est drôle lorsque l’on est devant la villa, c’est qu’aucune fenêtre ou porte ne sont visibles pour entrer.
J’ai fait le tour plusieurs fois et je me pose toujours la question.
Pour le travail que je fais d’ouvrir et de fermer la porte, l’émir fait un don de cinq mille euros par an qui est versé à la cantine scolaire.

Je sens qu’il ne dira rien de plus alors je me gare devant chez moi et après cinq minutes d’attente, je le rejoins.
Arrivé à la hauteur du bungalow où le chef de chantier travaille, il me voit arriver et précipitamment entre.
Je dois avoir la peste pour lui alors qu’en le voyant ma chatte mouille de joie d’envie de faire l’amour avec lui alors qu’en compensation si cela en est une dans quelques minutes la verge de Pierre pénétrerais en moi. Je suis obligé de l’accepter même si depuis le passage dans sa cave la jouissance que j’ai tirée de son pilonnage surmultiplié dans le temps m’a apporté un gros moment de plaisir.
Baiser avec Pierre est une épreuve de marathon qui dure, qui dure encore alors que dans des jours comme aujourd’hui un petit coup sur le bout de mon bureau serait plutôt dans mes envies.

• Ton bureau est magnifique, j’avais vu sur le plan la beauté du site que tu pourrais voir et c’est moi qui ai choisi tes meubles dans un style que j’aime assez mi-classique, mi-contemporain.
• Et si j’ai bien compris, je m’assieds dessus et je relève ma jupe, dans ce but, j’ai oublié ma culotte vient me prendre, tu l’as bien mérité.

Il cherche ma bouche que je lui refuse discrètement. J’ai lu un jour que les putes refusaient leur bouche qui était réservée à leurs amants de cœur et lorsque je baise avec Pierre, c’est ce type de relation que je souhaite établir avec lui.
Comme prévu cela dure, dure encore et à la fin je pousse un petit cri et il se répand satisfait.
De retour à la mairie, la secrétaire, qui s’appelle Germaine, femme de presque soixante ans à quelques mois de la retraite, sort les livres comptables et moi qui adore les chiffres, je plonge dedans avec délectation.
La première chose que je regarde, ce sont les comptes de la cantine scolaire.
Elle est gérée par une association de parents d’élèves, mais les chiffres qui apparaissent au niveau mairie, c’est la subvention comme pour chaque association de six mille euros et un don de cinq mille euros versés par un notaire de Toulouse.
À part cela, je vois de nombreux points d’économie potentielle comme une somme de mille euros versée à l’association des majorettes de notre ville alors que je n’ai jamais-vu de filles levé la jambe en mesure en jetant un bâton en l’air.
Germaine me dit, qu’une mémé du village a créé ces majorettes, il y a plus de vingt ans et que Pierre a toujours gardé cette somme à son actif pour éviter de la traumatiser.
Ce que Germaine ignore, c’est que cette mémé est la nounou de Pierre et que c’est un moyen détourné qu’il a trouvé pour l’aider financièrement.
Il y a une opération bancaire du bureau du notaire vers la mairie pour la cantine scolaire, mais de nombreux retours vers le notaire pour des sommes nettement supérieurs aux cinq mille euros donnés par l’émir.
Je me garde bien de dire un mot même auprès de Pierre, sur la bonne tenue des comptes de la mairie.
Ma journée de travail terminé, je rentre chez moi ou je trouve la maison vide.
Maryse est toujours en cour à Toulouse et un papier de mes hommes et de Nadia me dit qu’ils sont partis faire les courses après le pillage de tous hier.

• Allô, vous êtes Soso, je suis Valérie, la maman de Valentine et de Noémi…