LE CHANTIER (37)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : LE CHANTIER (37) Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-02-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LE CHANTIER (37)
C’est gagné, devant nos administrés présents à la mairie, je fais ma déclaration et je constate que la pharmacie même si elle vient de changer de propriétaire reste le lieu d’opposition de notre travail à la mairie.
Je convoque dans mon bureau les anciens membres de l’équipe de Pierre mieux amènent à me donner des conseils à la réunion que j’ai provoquée pour 17 heures sans oublier d’inviter Éliane qui connaît très bien Flavie.
À 14 heures, nous pouvons assister au départ de Criss et Soso celui-ci m’embrassant tendrement malgré la petite blague que je lui ai faite avec un peu d’aide de son épouse.
Au moment où ils s’éloignent, je vois Soso poser sa tête sur l’épaule de son mari, seul amour de sa vie et j’en suis bien consciente.

Nos amis partis, je rencontre Éliane qui est étonnée d’apprendre que Flavie est de retour et si elle est contente m’interdit de voir, comment elle va réagir.
Elle semble indifférente comme si l’épisode de leur jeunesse et l’éloignement avaient effacé l’amour qu’elles avaient l’une pour l’autre.

• Mes filles, avant de partir pouvez-vous venir avec Sylvain, je veux vous emmener avec Nadia visiter la maison léguée par Pierre et qui est tout près de la mairie.
• Qu’est-ce que tu veux que nous fassions là-bas ?
• Valentine évite d’être impatiente, vous le verrez bien.

Nous partons avec deux voitures et arrivées, j’ouvre cette maison qui est restée fermée depuis la mort de Pierre.
Une odeur pestilentielle monte à nos narines quand la porte est ouverte.
Chacun de nous fonce pour ouvrir les fenêtres et rapidement je m’aperçois que l’odeur vient de la cuisine et surtout du frigo que personne ne s’est occupé de vider.
Le temps de trouver les sacs-poubelles et nous remédions aux problèmes avant de les conduire dans la salle à manger.

• Nadia donne nous la phrase qui nous a permis d’ouvrir la caverne d’Ali Baba à Paris.
• C’est facile après ce que nous avons trouvé, je la connais par cœur.
« Trois lieux, trois Aphrodite, trois têtes trois fois tournées. »
• Maman qu’est-ce que cela veut dire, ce que vous dites est du chinois pour nous.
• À Paris cette phrase donnée par le notaire dans les papiers de la succession a permis à votre maman de trouver un cache protégé par Aphrodite et où un véritable magot est caché.
Trois lieux, Paris, ici et à la maison des plaisirs où il nous restera à faire la même recherche dès que nous en aurons le temps, car tout se bouscule dans sa vie depuis quelques mois ou votre père l’a trahie.
• Merci Nadia d’avoir planté le décore, ils restent à trouver une aphrodite et comme il faut lui tourner la tête comme à la capitale, il faut certainement chercher une statue de la cave au grenier.

Chacun et chacune se met en chasse, mais nous sommes tous bredouillent.

• Réfléchissons, à Paris, la cache se trouvait dans le meuble du salon.
Ici dans le salon la table est en verre et est bien incapable de cacher quoi que ce soit.
Cherchons un autre objet qui pourrait contenir quelque chose.
• Regardez, nous avons peut-être la solution sous les yeux, les filles.

Il est facile de voir qui a parlé Sylvain étant le seul qui est pu parler de fille.

• Les pieds de cette table massive sont formés par quatre statues de bois qui peuvent être nos Aphrodites.

Je me baisse et je regarde le premier pied près de moi. La tête est bien d’un seul morceau avec l’ensemble du pied.

• Ton idée aurait pu être la bonne Sylvain, mais là tu t’es trompé.
• Valérie, cette table a quatre pieds.
• Comme toutes-tables.
• La phrase dit, trois têtes trois fois tournées.
• Nadia accouche que penses-tu ?
• Tu as regardé le premier qui est indépendant de l’ouverture d’un mécanisme.
Regarde celui-ci la tête et le cou à une petite fente.
• La mienne aussi.
• Et celle-là pareille.
• Bravo à tous, à nous de trouver le reste de la phrase, trois fois tournée.
• Je tourne celle que j’ai devant moi.
C’est bon, elle a tourné et est revenue en place.
• Je tourne la mienne.
Moi aussi, à toi Noémie tourne la troisième.

Comme à Paris un bruit de système qui s’ouvre se fait entendre.

• Le système s’est débloqué, Sylvain, tu avais raison, les pieds commandent bien l’ouverture, restent à trouver comment le coffre s’ouvre et qu’est-ce qui fait coffre.
• Regardons sous la table.

Sylvain se met à quatre pattes nous montrant un petit cul qui incite à y porter la main, mais tout au long de ma vie, même si je suis devenue une belle salope, j’ai le respect de ma famille et mes filles sont sacrées comme mon fils qui m’a appelé ce matin m’annonçant que je vais être grand-mère.
Cela m’a donné un coup de vieux mais l’idée que j’aie et que je suis en train de développer avec les enfants me remplit de joie et je retiens ma main.

• Rien, seulement le carrelage et sans aucune fente.
• J’ai, une idée, essayons de soulever la table.
• Nadia, elle doit être très lourde comment la déplacer.
• Justement s’il y a, un système électrique, il doit passer par un pied et nous réduirions les recherches.

Elle avait raison, la table est fixée au sol.

• Voyez comme elle est épaisse, la table pourrait être le coffre.

Nous cherchons et la solution est dans le plateau, Noémie tourne vers la gauche, il pivote sur lui-même laissant apparaître un creux rempli d’objets.
Tableau roulé avec l’un d’eux une étiquette marquée Picasso.

• Regarde maman des lingots d’or d’un kilo.
• C’est comme à Paris, regardé les billets par liasses de 500, mes filles la maison et la table avec tout ce qu’elle contient sauf les tableaux que je garde est à vous.
Je souhaite que dans cette maison vous ouvrir un cabinet d’avocats et que vous y viviez tous les trois puisque vous avez décidé de faire couple à trois.
• Mais ni les unes ni les autres ne possédons nos diplômes.
• J’y ai pensé, vous avez assez d’argent dans cette table pour faire des transformations et engager provisoirement un avocat ou une avocate faisant tourner l’affaire en attendant que vous puissiez le faire vous-même.
Les filles, vous serez dès maintenant le lien avec Hilda pour établir les contrats définitifs pour la construction de son usine et vous serez ainsi en formation continue, attention tout de même aux coupes de champagne, j’aurais des scrupules à retrouver mes petites alcooliques.
Quant à toi Sylvain contacte Mathieu et Luc, les notaires jumeaux qui s’occupent de mes affaires, tu feras le lien avec eux et la personne que vous aurez embauchés.
• Les filles, je pense que nous pourrions contacter Adrien, vous vous souvenez, nous l’avons rencontré à Toulouse dans un café, il m’a donné son numéro de téléphone, car il cherche du travail ayant terminé ses études et sans emploi.
• Bonne idée, il est sorti avec une bonne moyenne et fera parfaitement l’affaire, contact le.
• Les filles, nous allons vous laisser avec Nadia, la journée est loin d’être terminée, vous fermez la table et je laisse les clefs sur la porte, le notaire de Toulouse m’a donné les doubles de toutes les maisons.
Vous pouvez récupérer des billets avant, il faut éviter les lingots, j’ai mon idée pour les blanchir.
• Merci maman, tu es une mère pour nous, pour l’argent pas de tracas, nous avons eu un court sur l’argent sale et nous avions eu une bonne note au contrôle.

Sur ces mots, nous nous quittons en nous faisant un gros câlin et j’emporte les tableaux avec moi.
Dès que nous sommes en voiture, je prends Nadia dans mes bras sans aller plus loin pour garder le respect de mes administrés.

• Viens, on va aller à la maison des plaisirs voir si nous découvrons la troisième Aphrodite.

Avant je passe chez nous déposer les tableaux.
Christian et Petrov sont là à mettre en place la porte entre les deux maisons comme prévu afin que nous évitions de faire le tour par le devant.

• Tien mon cœur, tu te souviens de moi, il y a bien longtemps que tu ignores ma bite.
• Non, mon amour encore une ou deux choses à faire et je te promets une nuit d’enfer.
C’est vrai qu’avec le tourbillon de la vie, j’ai l’impression que nous sommes un vieux couple.

Nous entrons, car les hommes à cause du froid veulent se faire un café.
Au moment de sortir, je vois qu’ils se sont installés devant la télé à regarder un match de football.
Il serait drôle que nous allions nous asseoir sur leurs genoux pour leur caresser la queue, seraient-ils toujours aussi pressés de se plaindre que nous les ignorons ?
Plus raisonnablement, nous sortons et nous profitons du passage pour ouvrir la maison des plaisirs et aller dans le logement chercher la troisième Aphrodite.
Nous cherchons sur les fresques qui tapissent les murs un peu partout sans aucun résultat.
Il est bien dit trois têtes tourner or il est difficile de tourner la tête à un dessin.
C’est à ce moment que nous entendons la porte principale s’ouvrir.
Je coupe la lumière et avec Nadia, nous nous blottissons dans les bras sans savoir qui est entré.
Nous entendons des murmures et la porte de la cave fonctionner.
Nous restons là plusieurs minutes quand Nadia me prend la main me faisant comprendre de la suivre.
Sans bruit nous nous approchons de la porte de la cave restée ouverte et où nous entendons du bruit.
Nadia me parle à l’oreille en murmurant.

• On dirait la voix d’Éliane.
• Et moi, j’ai l’impression que je reconnais l’autre voix.
Descendons sans faire de bruit, cela devient intéressant.

Après avoir descendu quelques marches nous apercevons Éliane entièrement nue attachée à l’une des deux croix de bois avec devant elle habillée dans une tenue de cuir de maîtresse femme la voix que j’ai reconnue est bien celle de Flavie qui a dans les mains une cravache.

• Alors, ma belle, tu croyais m’échapper en dénonçant à mes parents notre relation amoureuse, j’ai été patiente et maintenant que je suis majeur, nous allons reprendre notre vie ensemble là où nous l’avions laissé.
Tu m’expliqueras ou tu as trouvé cette maison avec cette cave, mais en attendant je vais te faire passer l’envie de nous séparer aussi longtemps.
• Oui, punie moi, je l’ai fait pour nous deux, mais maintenant je regrette.

Sans attendre que j’ai eu le temps de le faire Nadia sort son portable et prend des photos sans le flash.
La spatule, qui arrive méticuleusement, l’atteint principalement sur ses rondeurs et elle la reçoit sans aucune plainte.
Aussitôt qu’une série se termine, Flavie prend les seins dans sa bouche pour les sucer mais surtout pour lécher les traces de sang qu’elle a provoqué.

• J’avais perdu l’habitude, promets-moi que nous c’est pour la vie.
• Pourquoi crois-tu que j’ai mis tout l’héritage de mes parents dans la pharmacie de notre ville après la fin de mes études ?
• Alors, je t’aime.

Une dernière photo quand elle prend la chatte ouverte de sa maîtresse dans sa bouche et aussi discrètement que nous l’avons fait à la descente, nous remontons sans bruit quittant la maison des plaisirs même si les gougnottes nous entendent…

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