LE CHANTIER (5)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-05-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LE CHANTIER (5)
Après le départ de Gaétan qui est retourné travailler en Angleterre, je me rends chez Viviane. Je suis accueilli par Sylvain, son fils qui a la délicatesse de venir m’ouvrir ma portière.
Lorsqu’il me saisit la main pour m’aider à sortir, je comprends immédiatement pourquoi Magalie notre autre copine est tombée amoureuse malgré leur différence d’âge.
Il doit pratiquer le culturisme, car sa musculature, c’est énormément développé.
Lorsque j’affirme que je suis devenu une salope, le contact de sa main déclenche en moi l’impression que ma chatte mouille.
À onze heures du matin avec des enfants qui jouent dans la rue, j’évite de l’attirer dans ma voiture pour lui sauter sur le nœud avec une bouche avide.
• Bonjour Valérie, toujours aussi belle, dommage que je sois amoureux.
• On peut savoir, qui.
• C’est un secret, je suis sûr que la morale des gens leur permettrait de nous comprendre.
• Elle est mariée.
• J’évite d’en parler.
Le baiser sur les joues que nous échangeons est bien classique. Dès que mes seins s’appliquent sur sa poitrine, je me liquéfie littéralement.
• Tu laves la voiture de ta maman.
• Oui, je la prépare pour notre départ demain matin avec mes parents, Magalie et son mari.
C’est vrai, à cause de toutes mes turpitudes, j’ai oublié que les deux couples partent tous les ans près du Cap-d’agde dans leur bungalow au bord de la plage pour le mois d’août.
Nul doute que le camp naturiste où ils vont permettra aux deux amants de passer un mois de vacances torrides pour le sexe de Sylvain et la chatte de Magalie si c’est bien elle l’amour de Sylvain.
• Ta mère est là.
• Oui, elle est dans sa chambre à choisir ce qu’elle va placer dans la seule valise que je lui tolère. Nous sommes cinq et si chacun emporte deux valises, je vais être obligé d’y aller en train.
Connaissant Viviane ce n’est certainement pas simple.
J’entre et je la trouve son armoire ouverte à se gratter la tête.
• Bonjour Chérie, Sylvain m’a dit que tu faisais ta valise.
• Oui, quoi emporter.
• Ouvre ta valise.
Elle le fait.
• Ferme ta valise.
Elle le fait.
• C’est bon, vous partez bien dans votre bungalow au camp naturiste.
Tu n’as donc pas besoin de vêtements, tu seras dévêtue toute la journée.
• D’accord, mais certains jours s’il ne fait pas beau, nous allons aller, nous promener.
Sans compter le quinze août où nous allons au restaurant manger notre plateau de fruits de mer. Tu ajoutes à tout cela nos soirées en boîte de nuit, tu vois mon dilemme.
Je l’aide à la remplir et nous partons préparer à manger sur leur terrasse avec une bien moins belle vue que chez nous.
À table tous les trois, je fais attention de cacher l’intérêt que m’inspire Sylvain.
« Demande-moi de venir faire ta valise dans ta chambre beau gosse, tu verras comment ma chatte va te massacrer. »Bien sûr, c’est un nouveau fantasme que j’assouvirai peut-être un jour, mais en attendant le repas terminé, je les embrasse leur souhaitent bonnes vacances et je m’en retourne vers mon amour.
Le temps me dure jusqu’au soir où je m’allonge dévêtue sur mon lieu de plaisir.
J’ai peu de temps à attendre pour avoir le corps de mon amant le sexe venant agresser ma vulve dès qu’il se couche sur moi.
Je l’embrasse dans le même temps que je l’empoigne pour le faire entrer en moi.
Je retrouve rapidement le rythme de nos étreintes torrides, tout y passe, les positions, mes trous, mes seins. Jusqu’aux claques assénés sur mon postérieur et qui m’amène de nouvelle sensation.
Si cela continue, je vais acheter une cravache pour qu’il me punisse comme bon lui semblera.
Pour exemple la nuit dernière en baisant avec mon mari, il aurait pu en prendre ombrage et me caresser avec cette tendre lanière.
Quand je dis que je suis de plus en plus accro à ce que m’apporte mon amant. Pute, chienne, truie, salope, quel qualitatif plus fort me vient à l’esprit.
Pourquoi pas sado, erreur maso ?
S’il continue à cette vitesse à me dépraver, je vais devenir une masochiste attendante qu’il me punisse.
Après avoir rempli ma chatte dans un dernier orgasme, nous nous étreignons amoureusement sur mon lit.
• Toi bon baiseuse, hier toi a pris ton pied avec mari, moi dans piscine t’ais entendu lorsqu’il a fait jouir toi. Moi était content pour toi.
• Tu m’en veux de t’avoir trompé.
• Toi pas parlé trompé, toi parler simplement plaisir auquel belle femme a droit.
Toi toujours faire ce que tu veux moi jamais jaloux, moi t’aider chaque fois que toi aurait envie amant surtout, si moi baise toi avec lui comme l’autre soir avec copain.
L’amant idéal, une belle bite avec un homme sachant s’en servir et prêt à satisfaire tous mes fantasmes.
J’ai bien fait de forcer Gaétan à accepter d’avoir l’espace sportif prêt de chez nous, même si le mur en parpaings couleur grise à ce jour est légèrement disgracieux.
• Valérie, copains, invite-toi demain soir pour brochette pour te remercier d’avoir accepté eu venir à ta piscine pour fêter départ vacances après demain.
• Tu pars aussi.
• Trois semaines congés payés en Bulgarie voire famille pas vu depuis deux ans.
• Tu as une femme.
• Non, toi rien à craindre, toi est la seule femelle à qui je donne ma bite. Non pas donné, prêté bite.
Alors que j’ai envie de pleurer, il éclate d’un grand rire content de sa blague.
Je reste prostré pendant un bon moment, mais je me raisonne et je lui accorde le droit d’aller voir les siens. Je pleure, car je me retrouve seule dans ma grande maison avec toutes mes copines parties en vacances.
• Tu vas me manquer, mais je te reverrai avec envie.
Il m’embrasse et nous faisons encore une fois l’amour avec une passion redoublée avant notre séparation.
Le lendemain, je vais au marché et je cherche ce que je pourrai leur apporter en cadeau.
Je leur achète un ventilateur sur pied qui leur permettra d’avoir plus frais.
Je me pomponne sans me maquiller avant d’aller rejoindre la fête et je mets un pantalon trois quarts en coton vert pâle avec un débardeur de même couleur agrémenté de petits escarpins.
Je me regarde dans ma psyché et deux détails me choquent. Sans penser à mal, j’enlève mon soutien-gorge qui dépasse et ma petite culotte qui fait une épaisseur disgracieuse.
Ces éléments enlevés, je me trouve parfaite. Je ferme la maison côté rue, je repousse juste la fenêtre côté terrasse sans la bloquer.
Pour la première fois, je franchis la haie de thuyas pour contourner la cabane.
Les six hommes sont là et ils ont allumé un grand feu avec des palettes à brûler.
Placé sur le feu, un grand trépied en métal supporte une grille qui tourne grace à des chaînes.
Tout autour du feu des banquettes arrière de voiture récupérée dans une casse leur permet de se reposer à l’ombre de leur cabane.
Petrov vient me débarrasser de mon ventilateur et chacun des cinq autres avances pour me saluer et me remercier. Lorsque le sixième homme s’avance, je suis sûr de ne l’avoir jamais-vu, un grand noir de presque deux mètres avec des mains comme des battoires ne faisaient pas partie de ceux qui ont eu le plaisir de me baiser et de me laisser couvert de foutre.
• Valérie, je te présente ami qui a remplacé le copain qui blesse à une main il y a deux jours, il a bien entendu parler toi.
Que lui ont-ils dit ?
« Tu vas voir, nous avons invité une grande salope que nous avons bourré une partie de la nuit et à qui plus on lui en donnait et plus elle en voulait. »Je n’ai aucun état d’âme à avoir, ce qui est fait, est fait et le plaisir qu’ils ont laissé en moi et surtout dans mon cerveau m’appartient.
Le premier homme qui est sorti de ma piscine pour que je le suce prend sa guitare et comme le groupe « gipsy » met l’ambiance.
Un des hommes se lève et devant le feu danse comme save le faire les Gitans dans leur campement.
Petrov le suit et alors que je suis assise, viens me provoquer.
Mon amant me fait lever et les deux hommes l’un après l’autre viennent me frôler.
Je cherche le rythme que je trouve, car j’ai toujours aimé danser même si Gaétan a toujours détesté.
Les deux hommes qui ont fait partie de la première tournée de mes amants sont tellement doués qu’au bout de quelques minutes je suis en eau, la chatte ruisselante de sentir leur virilité simplement m’effleurer sans jamais me toucher vraiment. Il en va de même pour mes seins dont les pointes me font mal d’être tendues.
C’est incroyable, cela fait à pênes une demi-heure que je suis parmi ces hommes et je me sens déjà prête à céder à tous leurs caprices alors que je m’étais juré de rester soft ce soir auprès d’eux.
Lorsque je dis que je suis devenue une nymphomane en voilà de nouveau la preuve.
Les grandes flammes sont terminées, la braise ainsi formée leur permet de mettre à cuire plusieurs variétés de viandes dont du veau qu’ils ont fait mariner dans des épices.
Je suis servi la première. La viande est succulente, cuite à point, mais avec des effets pervers que je ressens rapidement.
Dès le premier morceau déchiré, avec mes dents car aucun couvert ne leur est nécessaire, ma bouche commence à me brûler et au deuxième morceau agrémenté de deux merguez avec de l’harissa, je sens la chaleur irradier tout mon corps.
Après ma bouche, la chaleur est descendue partout dans le corps arrivant à mon intimité.
Le regard perçant que l’homme noir me lance attise le feu qui brûle en moi.
Chaque fois que le plateau de cuisson tourne, nous attrapons de petites portions de couscous qui sont dans un plat avec nos doigts.
Ce qu’il y a de bien, c’est que la vaisselle sera vite faite, étant l’unique femme, je peux penser à qui serait revenue la corvée de vaisselle.
Les derniers morceaux de viande sont ingurgités lorsque le premier coup de tonnerre et le premier éclair zèbrent le ciel.
Avec le feu qu’ils ont ravivé, il était impossible de voir arriver l’orage. Lorsque des trombes d’eau nous tombent dessus, nous n’avons pas le temps de nous réfugier dans le bungalow.
En quelques secondes je suis trempé, même rincé. La pluie tombe si drue que chacun essaye de s’abriter et la galanterie est oubliée.
Lorsque j’arrive à entrer, le lieu est si exigu que je me trouve coller contre monsieur gros bras noir.
L’eau qui lui est tombée dessus accentue l’odeur poivrée de sa peau.
• Petrov, passes une serviette sèche à ton amie.
Alors que l’eau, les éclairs et le tonnerre se déchaînent, mon amant me passe une serviette. Je m’essuie les cheveux et la figure.
• Enlève ton débardeur pour t’essuyer, tu risques de prendre froid et d’être malade.
• Je suis nue en dessous.
• Je m’en fiche, tu te dépêches, on en a vu d’autres.
Les ordres me tombent dessus et je finis par m’exécuter, mater par la voix très autoritaire de l’homme qui lui-même enlève son tee-shirt Il souhaite que j’aille plus vite, il prend le bas de mon débardeur, le tire et le fait passer par ma tête.
Il récupère la serviette de mes mains et m’essuie le torse sans faire cas de mes seins.
Une fois de plus je prends l’initiative, je récupère la serviette et c’est son torse que j’essuie.
Je défais sa ceinture qui tombe et me montre un sexe d’un volume et d’une grosseur que, jamais je pensais voir.
Au début juillet, j’étais une femme sérieuse qui jamais n’aurait imaginé s’agenouiller pour prendre cet énorme phallus dans sa bouche. Pourtant, je l’avale direct. Il faut que je force sur mes mâchoires, car ma bouche doit s’adapter.
J’ai l’impression de le sentir descendre le long de ma gorge sans forcer tellement, j’ai envie de l’avoir partout en moi.
Mon souci à ce moment c’est que Petrov soit de la fête. Je fais sortir le bâton noir de ma bouche et lui donne un ordre.
• Cœur, allonges toi sur la table ?
Je le vois repousser les quelques ustensiles prévus pour le barbecue. Il se met nu et s’allonge.
Je me relève et lui saisi la queue pour le masturber.
Pendant ce temps, je sens mon pantalon littéralement arraché par la bête qui me prend sous les cuisses et qui comme un fétu de paille, me soulève et m’empale sur sa tige.
J’ai l’impression d’être ouverte en deux tellement, il prend de la place dans mon vagin.
Petrov est bien monté mais ce sexe qui distant ma vulve lui rend quelques centimètres et va plus loin encore en moi.
Il est tellement grand et fort que je lâche la queue de mon amant.
• Je vous veux tous les deux.
Comme un fétu de paille que je suis dans ses bras, il me dépose sur la table où Petrov me sodomise.
Il monte, lui aussi et vient me prendre la chatte.
Je connais la sensation d’avoir deux bites dans mes deux intimités mais jamais deux bites avec une telle puissance de feu.
Ce feu brûle en moi et embrasse l’ensemble du corps.
Le plus étrange dans la position qu’ils m’ont fait pendre, c’est que je vois l’ensemble du bungalow et les quatre autres hommes sont assis sur les lits à étages me regardant me faire baiser.
Je me fais prendre au rythme des airs de guitare que le musicien continue de gratter.
Lorsque d’un coup un voile de plaisir passe devant mes yeux prémise de l’orgasme dévastateur qui monte en moi ces deux bites qui glissent en moi est la dernière sensation que j’ai, car la lumière s’éteint en même temps que je m’entends carrément hurler de plaisir sous l’orgasme qu’ils déclenchent…
Lorsqu’il me saisit la main pour m’aider à sortir, je comprends immédiatement pourquoi Magalie notre autre copine est tombée amoureuse malgré leur différence d’âge.
Il doit pratiquer le culturisme, car sa musculature, c’est énormément développé.
Lorsque j’affirme que je suis devenu une salope, le contact de sa main déclenche en moi l’impression que ma chatte mouille.
À onze heures du matin avec des enfants qui jouent dans la rue, j’évite de l’attirer dans ma voiture pour lui sauter sur le nœud avec une bouche avide.
• Bonjour Valérie, toujours aussi belle, dommage que je sois amoureux.
• On peut savoir, qui.
• C’est un secret, je suis sûr que la morale des gens leur permettrait de nous comprendre.
• Elle est mariée.
• J’évite d’en parler.
Le baiser sur les joues que nous échangeons est bien classique. Dès que mes seins s’appliquent sur sa poitrine, je me liquéfie littéralement.
• Tu laves la voiture de ta maman.
• Oui, je la prépare pour notre départ demain matin avec mes parents, Magalie et son mari.
C’est vrai, à cause de toutes mes turpitudes, j’ai oublié que les deux couples partent tous les ans près du Cap-d’agde dans leur bungalow au bord de la plage pour le mois d’août.
Nul doute que le camp naturiste où ils vont permettra aux deux amants de passer un mois de vacances torrides pour le sexe de Sylvain et la chatte de Magalie si c’est bien elle l’amour de Sylvain.
• Ta mère est là.
• Oui, elle est dans sa chambre à choisir ce qu’elle va placer dans la seule valise que je lui tolère. Nous sommes cinq et si chacun emporte deux valises, je vais être obligé d’y aller en train.
Connaissant Viviane ce n’est certainement pas simple.
J’entre et je la trouve son armoire ouverte à se gratter la tête.
• Bonjour Chérie, Sylvain m’a dit que tu faisais ta valise.
• Oui, quoi emporter.
• Ouvre ta valise.
Elle le fait.
• Ferme ta valise.
Elle le fait.
• C’est bon, vous partez bien dans votre bungalow au camp naturiste.
Tu n’as donc pas besoin de vêtements, tu seras dévêtue toute la journée.
• D’accord, mais certains jours s’il ne fait pas beau, nous allons aller, nous promener.
Sans compter le quinze août où nous allons au restaurant manger notre plateau de fruits de mer. Tu ajoutes à tout cela nos soirées en boîte de nuit, tu vois mon dilemme.
Je l’aide à la remplir et nous partons préparer à manger sur leur terrasse avec une bien moins belle vue que chez nous.
À table tous les trois, je fais attention de cacher l’intérêt que m’inspire Sylvain.
« Demande-moi de venir faire ta valise dans ta chambre beau gosse, tu verras comment ma chatte va te massacrer. »Bien sûr, c’est un nouveau fantasme que j’assouvirai peut-être un jour, mais en attendant le repas terminé, je les embrasse leur souhaitent bonnes vacances et je m’en retourne vers mon amour.
Le temps me dure jusqu’au soir où je m’allonge dévêtue sur mon lieu de plaisir.
J’ai peu de temps à attendre pour avoir le corps de mon amant le sexe venant agresser ma vulve dès qu’il se couche sur moi.
Je l’embrasse dans le même temps que je l’empoigne pour le faire entrer en moi.
Je retrouve rapidement le rythme de nos étreintes torrides, tout y passe, les positions, mes trous, mes seins. Jusqu’aux claques assénés sur mon postérieur et qui m’amène de nouvelle sensation.
Si cela continue, je vais acheter une cravache pour qu’il me punisse comme bon lui semblera.
Pour exemple la nuit dernière en baisant avec mon mari, il aurait pu en prendre ombrage et me caresser avec cette tendre lanière.
Quand je dis que je suis de plus en plus accro à ce que m’apporte mon amant. Pute, chienne, truie, salope, quel qualitatif plus fort me vient à l’esprit.
Pourquoi pas sado, erreur maso ?
S’il continue à cette vitesse à me dépraver, je vais devenir une masochiste attendante qu’il me punisse.
Après avoir rempli ma chatte dans un dernier orgasme, nous nous étreignons amoureusement sur mon lit.
• Toi bon baiseuse, hier toi a pris ton pied avec mari, moi dans piscine t’ais entendu lorsqu’il a fait jouir toi. Moi était content pour toi.
• Tu m’en veux de t’avoir trompé.
• Toi pas parlé trompé, toi parler simplement plaisir auquel belle femme a droit.
Toi toujours faire ce que tu veux moi jamais jaloux, moi t’aider chaque fois que toi aurait envie amant surtout, si moi baise toi avec lui comme l’autre soir avec copain.
L’amant idéal, une belle bite avec un homme sachant s’en servir et prêt à satisfaire tous mes fantasmes.
J’ai bien fait de forcer Gaétan à accepter d’avoir l’espace sportif prêt de chez nous, même si le mur en parpaings couleur grise à ce jour est légèrement disgracieux.
• Valérie, copains, invite-toi demain soir pour brochette pour te remercier d’avoir accepté eu venir à ta piscine pour fêter départ vacances après demain.
• Tu pars aussi.
• Trois semaines congés payés en Bulgarie voire famille pas vu depuis deux ans.
• Tu as une femme.
• Non, toi rien à craindre, toi est la seule femelle à qui je donne ma bite. Non pas donné, prêté bite.
Alors que j’ai envie de pleurer, il éclate d’un grand rire content de sa blague.
Je reste prostré pendant un bon moment, mais je me raisonne et je lui accorde le droit d’aller voir les siens. Je pleure, car je me retrouve seule dans ma grande maison avec toutes mes copines parties en vacances.
• Tu vas me manquer, mais je te reverrai avec envie.
Il m’embrasse et nous faisons encore une fois l’amour avec une passion redoublée avant notre séparation.
Le lendemain, je vais au marché et je cherche ce que je pourrai leur apporter en cadeau.
Je leur achète un ventilateur sur pied qui leur permettra d’avoir plus frais.
Je me pomponne sans me maquiller avant d’aller rejoindre la fête et je mets un pantalon trois quarts en coton vert pâle avec un débardeur de même couleur agrémenté de petits escarpins.
Je me regarde dans ma psyché et deux détails me choquent. Sans penser à mal, j’enlève mon soutien-gorge qui dépasse et ma petite culotte qui fait une épaisseur disgracieuse.
Ces éléments enlevés, je me trouve parfaite. Je ferme la maison côté rue, je repousse juste la fenêtre côté terrasse sans la bloquer.
Pour la première fois, je franchis la haie de thuyas pour contourner la cabane.
Les six hommes sont là et ils ont allumé un grand feu avec des palettes à brûler.
Placé sur le feu, un grand trépied en métal supporte une grille qui tourne grace à des chaînes.
Tout autour du feu des banquettes arrière de voiture récupérée dans une casse leur permet de se reposer à l’ombre de leur cabane.
Petrov vient me débarrasser de mon ventilateur et chacun des cinq autres avances pour me saluer et me remercier. Lorsque le sixième homme s’avance, je suis sûr de ne l’avoir jamais-vu, un grand noir de presque deux mètres avec des mains comme des battoires ne faisaient pas partie de ceux qui ont eu le plaisir de me baiser et de me laisser couvert de foutre.
• Valérie, je te présente ami qui a remplacé le copain qui blesse à une main il y a deux jours, il a bien entendu parler toi.
Que lui ont-ils dit ?
« Tu vas voir, nous avons invité une grande salope que nous avons bourré une partie de la nuit et à qui plus on lui en donnait et plus elle en voulait. »Je n’ai aucun état d’âme à avoir, ce qui est fait, est fait et le plaisir qu’ils ont laissé en moi et surtout dans mon cerveau m’appartient.
Le premier homme qui est sorti de ma piscine pour que je le suce prend sa guitare et comme le groupe « gipsy » met l’ambiance.
Un des hommes se lève et devant le feu danse comme save le faire les Gitans dans leur campement.
Petrov le suit et alors que je suis assise, viens me provoquer.
Mon amant me fait lever et les deux hommes l’un après l’autre viennent me frôler.
Je cherche le rythme que je trouve, car j’ai toujours aimé danser même si Gaétan a toujours détesté.
Les deux hommes qui ont fait partie de la première tournée de mes amants sont tellement doués qu’au bout de quelques minutes je suis en eau, la chatte ruisselante de sentir leur virilité simplement m’effleurer sans jamais me toucher vraiment. Il en va de même pour mes seins dont les pointes me font mal d’être tendues.
C’est incroyable, cela fait à pênes une demi-heure que je suis parmi ces hommes et je me sens déjà prête à céder à tous leurs caprices alors que je m’étais juré de rester soft ce soir auprès d’eux.
Lorsque je dis que je suis devenue une nymphomane en voilà de nouveau la preuve.
Les grandes flammes sont terminées, la braise ainsi formée leur permet de mettre à cuire plusieurs variétés de viandes dont du veau qu’ils ont fait mariner dans des épices.
Je suis servi la première. La viande est succulente, cuite à point, mais avec des effets pervers que je ressens rapidement.
Dès le premier morceau déchiré, avec mes dents car aucun couvert ne leur est nécessaire, ma bouche commence à me brûler et au deuxième morceau agrémenté de deux merguez avec de l’harissa, je sens la chaleur irradier tout mon corps.
Après ma bouche, la chaleur est descendue partout dans le corps arrivant à mon intimité.
Le regard perçant que l’homme noir me lance attise le feu qui brûle en moi.
Chaque fois que le plateau de cuisson tourne, nous attrapons de petites portions de couscous qui sont dans un plat avec nos doigts.
Ce qu’il y a de bien, c’est que la vaisselle sera vite faite, étant l’unique femme, je peux penser à qui serait revenue la corvée de vaisselle.
Les derniers morceaux de viande sont ingurgités lorsque le premier coup de tonnerre et le premier éclair zèbrent le ciel.
Avec le feu qu’ils ont ravivé, il était impossible de voir arriver l’orage. Lorsque des trombes d’eau nous tombent dessus, nous n’avons pas le temps de nous réfugier dans le bungalow.
En quelques secondes je suis trempé, même rincé. La pluie tombe si drue que chacun essaye de s’abriter et la galanterie est oubliée.
Lorsque j’arrive à entrer, le lieu est si exigu que je me trouve coller contre monsieur gros bras noir.
L’eau qui lui est tombée dessus accentue l’odeur poivrée de sa peau.
• Petrov, passes une serviette sèche à ton amie.
Alors que l’eau, les éclairs et le tonnerre se déchaînent, mon amant me passe une serviette. Je m’essuie les cheveux et la figure.
• Enlève ton débardeur pour t’essuyer, tu risques de prendre froid et d’être malade.
• Je suis nue en dessous.
• Je m’en fiche, tu te dépêches, on en a vu d’autres.
Les ordres me tombent dessus et je finis par m’exécuter, mater par la voix très autoritaire de l’homme qui lui-même enlève son tee-shirt Il souhaite que j’aille plus vite, il prend le bas de mon débardeur, le tire et le fait passer par ma tête.
Il récupère la serviette de mes mains et m’essuie le torse sans faire cas de mes seins.
Une fois de plus je prends l’initiative, je récupère la serviette et c’est son torse que j’essuie.
Je défais sa ceinture qui tombe et me montre un sexe d’un volume et d’une grosseur que, jamais je pensais voir.
Au début juillet, j’étais une femme sérieuse qui jamais n’aurait imaginé s’agenouiller pour prendre cet énorme phallus dans sa bouche. Pourtant, je l’avale direct. Il faut que je force sur mes mâchoires, car ma bouche doit s’adapter.
J’ai l’impression de le sentir descendre le long de ma gorge sans forcer tellement, j’ai envie de l’avoir partout en moi.
Mon souci à ce moment c’est que Petrov soit de la fête. Je fais sortir le bâton noir de ma bouche et lui donne un ordre.
• Cœur, allonges toi sur la table ?
Je le vois repousser les quelques ustensiles prévus pour le barbecue. Il se met nu et s’allonge.
Je me relève et lui saisi la queue pour le masturber.
Pendant ce temps, je sens mon pantalon littéralement arraché par la bête qui me prend sous les cuisses et qui comme un fétu de paille, me soulève et m’empale sur sa tige.
J’ai l’impression d’être ouverte en deux tellement, il prend de la place dans mon vagin.
Petrov est bien monté mais ce sexe qui distant ma vulve lui rend quelques centimètres et va plus loin encore en moi.
Il est tellement grand et fort que je lâche la queue de mon amant.
• Je vous veux tous les deux.
Comme un fétu de paille que je suis dans ses bras, il me dépose sur la table où Petrov me sodomise.
Il monte, lui aussi et vient me prendre la chatte.
Je connais la sensation d’avoir deux bites dans mes deux intimités mais jamais deux bites avec une telle puissance de feu.
Ce feu brûle en moi et embrasse l’ensemble du corps.
Le plus étrange dans la position qu’ils m’ont fait pendre, c’est que je vois l’ensemble du bungalow et les quatre autres hommes sont assis sur les lits à étages me regardant me faire baiser.
Je me fais prendre au rythme des airs de guitare que le musicien continue de gratter.
Lorsque d’un coup un voile de plaisir passe devant mes yeux prémise de l’orgasme dévastateur qui monte en moi ces deux bites qui glissent en moi est la dernière sensation que j’ai, car la lumière s’éteint en même temps que je m’entends carrément hurler de plaisir sous l’orgasme qu’ils déclenchent…
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