LE CHANTIER (56) - histoire érotique

Je suis attaché sur mon lit dans le Palais des Plaisirs par Julie et Juliette les jumelles pilotes du jet personnel d’Hilda.
Julie la jeune femme au bout du nez ayant un petit grain de beauté la différenciant de sa sœur Juliette semble la meneuse des deux jeunes femmes.
Elle profite de ce que je suis attachée pour venir entre mes jambes qu’elle a écartées et a attaqué ma chatte avec deux de ses doigts.
Sa sœur continue à s’occuper de mes seins et de ma bouche qu’elle dévore avec autant d’envie que j’en ai moi-même à lui caresser la langue avec ma langue.
Christian emballe bien mais il est sûr qu’un baiser fait par une fille à une autre fille est de loin supérieur.
Il lui serait presque possible de me faire jouir par le simple mélange de nos salives.
Rapidement l’attaque simultanée porte ses fruits et sans m’en être rendu compte la main de Julie est intégralement fichée dans mon intimité.
Sa jumelle m’empêche de voir le bas de mon corps mais nul doute que le mouvement tournant qu’elle imprime à sa main est bel et bien entièrement en moi.
Impossible de hurler quand je sens les doigts de Juliette venir à côté de la main qui me taraude et réussir à entrer deux doigts en moi.
J’essaye de libérer ma bouche pour leur demander d’arrêter.
La garce de Juliette m’en empêche alors j’accepte contrainte que deux doigts de plus rejoignent les premiers.
Elles sont folles, deux mains dans mon intimité en même temps, bien sûr mon fils et mes filles sont bien passés par mon vagin mais c’était dans l’autre sens aussi quand Juliette relâche ma bouche c’est pour m’entendre hurler de plaisir et voir mon ventre être distendu par ces deux mains qui semblent se donner une poignée de main dans l’intérieur de mon corps.
Dès qu’elles bougent j’explose et profitant de son avantage Julie toujours aussi mutine se sert de sa seconde main pour attaquer mon anus.
Je sais que mon cul est capable de recevoir la bite de Christian qui doit faire la moitié du poing que la pilote semble vouloir introduire par cette voie.
D’autant plus qu’elle veut m’enculer à sec même si la cyprine qui dégouline de mon vagin vient aider à son intrusion.

• Les filles, soyer gentilles trois mains en moi pour ce soir arrêté vous là, vous allez finir par me faire tourner de l’œil, détaché moi, j’aimerais que nous allions nous baigner.
• Sœurette, on exécute son ordre ou on continue.
• Oui, on est son invité et il serait mal venu d’aller contre sa volonté, quand ce club sera ouvert, j’espère bien revenir et il est préférable que nous soyons en bons termes avec la patronne.

Elle me libère dans tous les sens du terme, mains dans mes intimités et menotte aux poignets.
Prestement j’attrape le bras de Julie et je lui place une menotte.
Juliette a fait mouvement pour se lever et me tourne le dos aussi j’attrape un des quatre autres bracelets que je lui fixe grâce à sa chaîne assez longue à la main la plus proche de moi.
Les deux sœurs sont piégées comme l’étaient les apôtres et comme je l’étais il y a quelques minutes, je récupère une menotte placée sur la tête de lit et je les attache bras gauche, bras droit.

• Alors les filles, vous êtes moins fières, je suis fatiguée, des journées comme celle-là à mon âge comptent doubles, je vais vous envoyer quelques bites suivant les disponibilités que je vais trouver chez moi.
Bonne nuit.

Je récupère mes chaussures et mon manteau et je quitte la pièce claquant la porte en sortant.

• On pourrait faire un peu moins de bruit, il y en a qui cherche à dormir surtout que demain il prenne la route.

Criss se rappelle à mon bon souvenir en dormant sur l’un des lits qu’il a fabriqué à la chaudronnerie où Pierre les avait commandés identique à celui que Sosso a dans son jardin et où l’été elle aime être à la merci de son homme.
Au rez-de-chaussée j’enlève mon manteau et je plonge pour faire quelques longueurs avant de récupérer une serviette que j’entoure autour de mon corps avant de remettre mon manteau et de traverser l’espace entre les deux endroits rapidement car il fait un froid de canard en ce mois de décembre.
Dans la salle une seule bite de disponible celle de Benoit accompagné de Nadia et d’Ange qui s’amuse sur mon canapé, plus jeunes que moi et moins sensible au froid c’est à poil tous les trois qu’ils décident d’aller s’occuper des jumelles.
C’est quand ils sont partis me permettant de rejoindre ma chambre où Christian dort sagement à poings fermés que je repense à la clef USB mise dans le lecteur, j’espère que Criss a prévu qu’elle soit de grandes capacités car les images de mes intimités fistées et ce que vont subir les jumelles vont donner à Criss assez d’images pour contrôler ses réglages.
Le seul problème pour lui c’est que les cinq jeunes qui sont dans la chambre voisine à celle où Criss essaye de dormir vont certainement lui poser problème.
Je me douche et je me glisse dans mes draps, Christian sent ma présence m’entoure d’un bras virile et avant d’avoir eu le temps de lui dire bonne nuit, je suis partie dans les bras de morphée.

C’est une main sur ma chatte qui me caresse divinement qui me réveille et qui me fait comprendre qu’il est l’heure de faire mon devoir conjugal bien que Christian ne soit encore que mon amant.
Nos bouches se retrouvent avec bien du plaisir et j’adore me laisser câliner par ses mains viriles mais bien entretenues depuis qu’il a arrêté à poser des mœllons.
Les doigts qui pénètrent ma chatte malgré une légère douleur due au double fistage pratiqué par Julie et Juliette sur l’un de mes lits de plaisirs s’estompent vite quand mon conduit se lubrifie avec les sécrétions qui naturellement répondent à la sollicitation de ses doigts au début et à son sexe quand naturellement j’écarte mes cuisses au maximum et que sa grosse verge vient au fond de moi.
Je suis divinement prise, en position du missionnaire par l’homme de ma vie mais quand il se redresse et qu’il me soulève les jambes pour sortir de mon sexe et se présenter à ma rosette, je suis dans l’obligation de lui demander de renoncer.
Ma chatte a bien réagi mais je sens que cette sodomie serait trop douloureuse après la main qui l’a écartelé cette nuit.

• Chérie, qui t’a enculé hier ?
• Pas enculé, pire mon cœur, fister dans l’anus par la main de Julie.
• La pilote d’Hilda ?
• Oui, elles ont joué avec mon corps une partie de la soirée mais je me suis vengée je les ai attachés à leur tour, Nadia, Benoit et Ange étaient ici quand je suis rentrée et sont allé me relayer, ils ont dû leur faire voir que nous en France nous aimons le cul autant qu’eux les Belges.

Il remonte gentiment dans ma chatte et j’ai mon premier frisson du matin augurent d’une bonne journée qui commence.
Un dernier baiser et je me lève pour aller boire un grand bol de café bien revigorant.
Dans la salle à manger je vois Criss qui dort sur mon canapé.
J’ai fait du bruit ignorant sa présence.

• Valérie, tu es debout, c’est incroyable, le Palais des Plaisirs porte déjà bien son nom, à 2 heures du matin je suis venu dormir ici car je pars à midi et j’aurais été incapable de conduire jusqu’à Bordeaux retrouver Sosso,
• Avant de partir, récupère la clef USB, elle a tourné tout le temps où j’ai été dans la chambre avec les jumelles et après quand Nadia accompagnée de mes deux nouvelles recrues sont venues les rejoindre.
Pour ma part je vais passer la journée à la mairie j’ai de nombreux papiers à signer pour le début des travaux de la société et de l’hôtel qu’Hilda va construire avec moi.

Nous nous retrouvons dans la cuisine et c’est là à ce moment que je prends conscience que je suis nue la chatte pleine du sperme de mon homme alors que lui est en survêtement bien strict.

• Je vais aller passer un peignoir, ce sera plus décent.
• Reste comme cela, même si je refuse d’avoir des rapports hors la présence de Sosso mes yeux aime regarder une jolie femme comme toi, continue à tourner dans la pièce ma chérie en profitera doublement ce soir.
• Vous êtes tous les mêmes, vous croyez que parce que vous vous contentez de mater, vous restez fidèle, dans quelques jours quand nous serons tous ensemble pour la soirée que vous nous organisez, je dirais à mon amie le vicieux que tu es.
Cela tient toujours pour le 3 janvier.
• Oui, nous avons déjà trouvé le lieu, mon beau-père est absent car malgré son âge il a conservé des activités et ma belle-mère nous recevra dans sa maison.
• Elle aura assez de place.
• La salle et le salon sont très vastes et les chambres sont en nombres suffisants.
• Ta belle-mère sera parmi nous.
• Non, elle se retirera dans sa chambre dès notre arrivée, elle a arrêté de participer à nos soirées se trouvant trop âgé.

Le café avalé avec délice, je vais prendre un bain et me pomponner.

• Embrasse Sosso et ta belle-mère s’ils ont la gentillesse de nous aider dans notre soirée.
• Je vais donner les ordres au contremaître, j’ai dessiné les plans avant d’essayer de dormir de ce que je souhaite suivant tes directives pour la bouteille.

Il m’embrasse avec deux grosses bises sur chaque joue et me quitte alors que je remonte à l’étage.
Une demi-heure après je démarre ma voiture et j’arrive à la mairie.
J’entre au secrétariat, Germaine a devant son bureau un jeune homme que je vois de dos.

• Maman est venue hier s’inscrire sur les listes électorales et souhaite que j’en fasse de même avant le 31.
• Votre maman a raison jeune homme, il faut que les jeunes fassent leur devoir pour la France.

Entendant parler, il se retourne et je m’aperçois que c’est le jeune homme qui manifestait avec le curé hier.

• Êtes-vous nouveau dans notre commune ?
• Oui, maman prend son nouveau poste à la rentrée de janvier.
• Son nouveau poste ?
• Oui, elle est proviseur et vient remplacer l’ancienne qui a démissionné.
• Éliane ?
• C’est le nom que j’ai entendu.
• Venez dans mon bureau si vous avez cinq minutes j’aime connaître mes nouveaux administrés.
• Qui êtes-vous ?
• Le maire de la commune, je m’appelle Valérie !
• Mamam s’appelle Angélina et elle m’a prénommé Antonin.
• Entre, veux-tu un café.
• Oui madame, j’ai le droit d’en boire.

Je me retourne et avant d’entrer je demande à Germaine de nous en apporter.

• Quel âge as-tu ?
• 22 ans depuis trois jours.
• Bon anniversaire.
• Maman à 38 ans elle m’a eu à 17 ans.
• Non si tu as 22 ans, elle en a 39.
• Excusez, j’oublie que je viens de prendre un an de plus.
• Et toi que fais-tu ?
• Je suis en recherche d’emploi, monsieur le curé se charge de me trouver du travail, c’est difficile à l’âge de 16 ans j’ai arrêté mes études pour aider maman qui depuis ma naissance m’élève seule.
• Un beau garçon comme toi n’aura aucun mal.
• Monsieur le curé, tu le connais.
• Oui et non, quand maman a été nommée ici nous sommes allés voir le nôtre au presbytère de Béthune et il s’est mis en contact avec le vôtre.
Il est content d’avoir près de lui une femme aussi pieuse qu’est maman, nous allons à la messe tous les dimanches.
Hier nous avons manifesté contre une maison de Satan qui va s’ouvrir dans les mois prochains ici.
• Satan comme y vas-tu ?
• Il dit que c’est une maison où les gens vont forniquer, c’est dégradant pour les femmes.
• Et si elles sont consentantes.

Je vois un frisson passer dans son dos.

• Je peux te poser une question.
• Oui madame, maman me dit toujours qu’il faut que je sois poli surtout avec les dames.
• Es-tu vierge ?
• Non, je suis Capricorne.
• J’avais compris mais as-tu déjà fait l’amour avec une jeune femme ?
• C’est péché madame, maman m’a bien mis en garde, je ferais l’amour le soir de mes noces avec celle que j’aurais épousée et que maman acceptera.
• Antonin, es-tu libre ce soir à 20 heures ?
• Oui je vais à confesse à 19 heures avec maman et après je pense qu’elle me donnera l’autorisation de sortir, elle veut que je m’intègre dans votre ville.
• À ce soir, je t’attendrais ici tu passeras par la petite porte derrière la mairie qui te permettra d’entrer dans le hall pour venir dans mon bureau, je pense pouvoir te proposer du travail !
Va voir Germaine pour t’inscrire sur les listes électorales.

Mon dieu, mon dieu il est malheureux qu’un si gentil et beau garçon soit à ce point sous l’emprise de sa maman et du curé, surtout à 22 ans, je pense que ce soir depuis plusieurs semaines où elles sont au repos les louves vont agir…