LE CHANTIER (8)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-06-2015 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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LE CHANTIER (8)
Depuis hier, mon appétit de sexe, c’est compléter grâce à Nadia qui m’a appris à faire l’amour avec une femme.
Avant que la nuit finisse, j’apprends l’art des caresses sur le corps de l’une ou de l’autre.
Nadia, la petite vierge à qui, il m’est impossible de mettre mes doigts au fond de son sexe comme je peux le faire avec le mien de peur de lui enlever sa fleur.
Nous nous caressons les seins le plus lentement possible déclenchant en nous des vagues qui viennent et reviennent pour mieux revenir.
Au matin alors que les rayons du soleil sont venus nous caresser, après un long baiser, c’est elle qui m’a pris la main, la porter à son intimité et m’a fait placer mes doigts en pointe pour qu’il la pénètre et alors que je pensais rester au bord, me prenant la bouche avec beaucoup d’ardeur elle m’a fait entrer en elle déchirant son hymen.
• J’attendais la preuve que la personne qui me déflorerait m’aime, cette nuit tu m’as fait comprendre que cette personne, c’était toi.
Merci d’avoir pris ma virginité à part le sang qui coule de mon vagin, j’ai presque eux du plaisir dès la première fois.
• Reste là, je vais nous chercher un copieux petit déjeuner, nous l’avons bien mérité.
Nos forces récupérées après avoir pris un bon repas, j’entraîne la petite à la douche, car ce matin, cela tombe bien, j’ai rendez-vous avec mon esthéticienne pour les soins de mon visage, mais du reste du corps aussi.
Lorsque nous arrivons cette jolie blonde nous, reçoit comme elle le fait toutes les fois mais la folle de sexe que je suis devenue la regarde comme un boa regarde sa proie.
Lorsqu’elle me fait le maillot, ses doigts frôlant mon vagin me font de l’effet alors qu’avant depuis des années que je lui confie mon corps jamais, j’ai eu envie de lui passer une main sous sa blouse.
Que dire de ses seins ?
Ils sont magnifiques surtout lorsqu’elle se penche et que ses deux globes me sautent aux yeux.
J’arrive à la fin de mon ravalement sans incident avec la belle dame qui accepte de travailler le corps de mon amie qui teste pour la première fois les services d’une esthéticienne.
Elle souhaite être seule avec elle pour me faire une surprise.
Pendant qu’elle se fait belle, je vais chercher le pain pour la journée.
Sur la porte, une annonce de la mairie fait appel à la population pour l’embauche d’un responsable du centre sportif. Elle souhaite donner la priorité à une personne issue de la commune. Je trouve l’emploi dans mes cordes en rapport de mes diplômes même si depuis mon mariage et la naissance de mes trois enfants, j’ai arrêté de travailler. Même si je gagne mon divorce, il va me falloir travailler, car mes enfants sont grands et que ses enfants en Angleterre sont en bas âge et la pension qu’il devra me verser risque d’être insuffisant pour que je vive.
Je passe à la mairie avant de retourner récupérer Nadia pour remplir une demande.
J’ai la chance que le maire sorte de son bureau et s’aperçoive que je remplis un formulaire de candidature.
Lors de la prise de décision du choix de l’implantation du centre sportif cet homme de dix ans mon aîné sait ce qu’il me doit et se souvient qu’il me draguait éhontément même lorsque mon mari était là.
Lorsque je lui raconte la trahison de Gaétan, il fait voir son incrédulité ayant une haute opinion de lui, mais devant la photo que je garde sur moi le montrant en train d’embrasser l’anglaise avec ses enfants, il doit bien reconnaître que je suis trahi.
Nous prenons rendez-vous pour le lendemain matin, il souhaite que je lui apporte divers documents comme le diplôme de mon BAC avec mention très bien, mon diplôme de gestion et celui de DRH que mes grossesses et la paye conséquente de mon mari m’ont empêché de pratiquer. Je constate une fois de plus que je parle de Gaétan comme de mon mari alors que je devrais m’habituer à dire ex-mari.
Satisfaite de la tournure que prennent les événements, lorsque je récupère Nadia, sa tenue de routarde m’interpelle.
Je l’emmène en ville dans une boutique de fringues de son âge où je lui offre un ensemble avec Mini, chemisé qu’elle tient à porter sans soutien ses seins se tenant à son âge.
Dans la cabine d’essayage, le rideau tiré outre un baiser profond qui nous unit quelques minutes, elle me fait apparaître la surprise qu’elle veut me faire.
Elle s’est fait raser intégralement la chatte.
Cette minette se présentant comme avant sa puberté m’émeus et un mouvement de tendresse vers elle pour ce joli cadeau me permet d’écarter ses lèvres avec deux doigts et de les rentrer au plus profond de son corps.
Certes, elle a un léger mouvement de crispation, sa défloraison étant encore sensible, mais rapidement mes doigts baignent dans un environnement humide me montrant que la petite mouille sous mon simple doitage.
• Mesdames, tout va bien.
La vendeuse a dû entendre le petit cri que mon amour a émis et a pensé qu’il y avait un problème alors que j’ai simplement réussi à la faire jouir.
Elle garde ses nouvelles affaires sur elle sortant même impudiquement sans petite culotte.
Lorsque nous remontons la rue piétonne, j’adore le regard des hommes qui regardent ces deux belles femelles dont ils ont une grande envie de les baiser.
Pour que Nadia soit complètement bandante et plaise à mes deux mâles lorsqu’ils reviendront dans trois jours, nous nous arrêtons chez ma coiffeuse qui a le temps de lui faire une coupe de cheveux moderne relevant son éclat.
À midi le soleil étant toujours aussi chaud nous déjeunons sur la terrasse ayant oublié nos maillots après le bain lorsque l’on sonne à la porte d’entrée.
J’attrape ma petite culotte et sans m’inquiéter qu’un employé des postes ou autres livreurs soit derrière la porte, j’ouvre.
C’est Maryse qui me tombe dans les bras en pleure.
• Tu sais ce qui m’arrive ?
Comment le saurais-je ?
• Hugo nous a surpris avec Sylvain et j’ai été viré.
• Entre, calmes toi et reprend depuis le début.
Nous passons sur la terrasse où Nadia a passé son bas comme moi.
Je les présente l’une à l’autre et un gros baiser sur leurs joues montre qu’aucune animosité primaire ce fait jour entre elles.
• Je peux me baigner avant de vous expliquer.
• Je vais t’accompagner.
Alors que Maryse, enlève, intégralement ses vêtements ma petite-maîtresse retire sa culotte faisant apparaître mon cadeau son minet intégralement rasé et les deux femmes plongent.
J’ai envie d’en faire autant, mais il me faut que je mette un couvert, car dans son état ma copine n’a certainement pas mangé.
Après c’être bien rafraîchie, elle remonte les marches la main dans la main pour me rejoindre.
• Laisse, je ne pourrais rien avaler.
• Assieds-toi et explique-nous ce qui t’arrive. Avant je te présente Nadia, une amie. Moi aussi je vais avoir bien des choses à te raconter.
• Tu te souviens que je t’ai dit que j’étais amoureuse du fils de Viviane qui est bien plus jeune que moi et que j’hésitais à lui céder.
• Bien sûr, il y a quelques jours.
• J’ai suivi ton conseil et le lendemain, je l’ai appelé, ayant une fuite dans ma salle de bains et Hugo en déplacement était dans l’incapacité de venir réparer.
Il est arrivé cinq minutes après et avec une clef que j’avais trouvée dans le garage à resserrer le collier que j’avais desserré moi-même après avoir la certitude de son arrivée.
• Bien, jouez ma grande, le coup de la fuite, il fallait y penser. Comment t’y es-tu prise pour qu’il te baise ?
• Comment tu sais qu’il m’a baisé ?
• Avant votre départ sur la côte, je suis allé voir Viviane qui faisait sa valise et Sylvain m’a dit qu’il était amoureux sans me dire de qui mais lorsqu’il a dit que comme tous les ans, vous partiez ensemble son regard s’est éclairé lorsqu’il a parlé de Maryse.
• Tout simplement, je l’ai reçu en peignoir comme si j’allais prendre mon bain lorsque j’ai vu la fuite. Je me suis agenouillé pour lui faire voir la fuite sous le lavabo et quand j’ai voulu me relever, j’ai perdu l’équilibre et j’ai atterri dans ses bras.
La nature a fait le reste et quelques minutes, après je lui suçais la queue qu’il a fort belle et il me prenait par terre sur le tapis de descente de la baignoire.
À partir de là, Maryse est entièrement prise par son souvenir et elle nous raconte pas, elle vit ces moments avec son Sylvain.
• Pour la première fois, je faisais l’amour autre part que dans un lit, la dureté du sol augmentait mon plaisir à chacun des coups que mon amant me donnait. Il se servait de la puissance de ses reins pour me déchirer.
Jamais Hugo n’avait réussi à me faire jouir comme la queue que j’avais dans ma chatte.
Je la voulais partout, je lui ai demandé qu’il se relève et je me suis mis à genoux la poitrine calée sur le rebord de la baignoire pour qu’il me pénètre où il voulait.
Pourquoi vous mentir, c’est moi qui lui ai demandé de me prendre la virginité qui me restait et qu’il m’encule ?
Valérie et toi Nadia, je veux que vous me croyiez et penser que je me vante, mais dès ses premières pénétrations, j’ai joui par le cul.
Des flèches de plaisirs irradiaient à partir de son sexe et remontaient dans mon corps pour atteindre mon cerveau qui était dans l’incompréhension de ce qu’il m’arrivait.
Le plus beau, c’est que cela c’est reproduit chaque fois qu’il me prenait et lorsque nous sommes parties en vacances, j’étais tellement accro à ce qu’il me baise que nous avons pris de plus en plus de risques.
Je me souviens la deuxième nuit, il est entré dans notre chambre alors que Hugo dormait à mes côtés.
J’étais nue sur le lit et grace à la lune, il m’a mis une main sur la bouche pendant que de l’autre, il me pinçait le clitoris.
Quand j’ai compris que c’était lui, dans la minute qui a suivi un orgasme dévastateur m’a fait donner un coup de pied qui a tapé la jambe de Hugo qui s’est réveillé à marmonner « qu’est-ce qu’il t’arrive » c’est retourner et c’est rendormi.
Mais lorsque je dis que j’étais devenue folle, le quinze août, tu sais que nous avons une table réservée au même restaurant tous les ans.
• Oui, j’en ai parlé avec Valérie, la veille de votre départ.
• Sylvain m’avait interdit que je mette une culotte, tu sais sous ma jupe mauve qui descend jusqu’aux genoux.
• À table, il s’est arrangé pour être en face de moi et à peine j’étais assise, j’ai senti son pied-nu remonter le long de ma jambe.
Il voulait entrer entre mes cuisses, mais comme ma jupe se resserrait trop sur mes cuisses, il a fallu que je fasse un mouvement comme si je me relevais pour la tirer sur le haut.
Mon sexe s’est trouvé sur des petites aspérités de la paille qui me pénétraient mes fines muqueuses me les stimulant.
Le pied de Sylvain a pu atteindre sa cible et une fois de plus vous allez penser que j’affabule, mais il a réussi à me le faire entrer presque jusqu’au mollet.
Ma chatte était distendue, mais le plaisir que son pied me donnait était aussi physique que cérébral.
Le plus dur c’était de tenir une conversation avec mon mari et sa mère sur le bienfait de la fidélité dans les couples.
Viviane avait appris qu’une ancienne copine de collège était Call-girl sans que son mari le sache et qu’elle le trompait tous les après-midi avec des clients.
Viviane cherchait comment une femme pouvait faire l’amour avec un autre homme et revenir auprès de son mari.
Le pied toujours actif, quand elle terminait sa phrase, m’a fait partir et pour ne pas hurler, je me suis levé d’un coup prétextant une envie pressante.
Tous m’ont regardé pensant à une folle. Je suis descendu et deux minutes après j’entendais appeler mon prénom. C’était mon amant qui avait prétexté qu’il devait aller à la voiture pour sortir par le devant et rentrer par la porte de derrière qui donnait sur les toilettes pour femmes.
Sa verge était si tendue que j’ai ramassé. J’aimerais Valérie que tu ressentes dans ton corps, ce que j’ai ressenti dans ces toilettes et même chaque fois qu’il me baisait. Je suis sûr que si Gaétan est un bon amant, il lui est impossible de te propulser là où mon mec me transporte.
• Fini ton histoire ma belle, je te raconterai la mienne après.
• Il t’est arrivé quelque chose, c’est lié à cette jeune fille.
• Si c’était seulement elle.
• Tu me mets l’eau en bouche.
• Non, ne nous, laisse pas en plan.
• Où en étais-je, oui, dans les toilettes où il me pénétrait plaqué le long de la paroi carrelée qui me tenait les seins au frais ?
Nous avons continué jusqu’à hier où nous devions partir tous les cinq faire une partie de pêche au gros en mer.
Hugo avait donné une partie de la somme au pécheur.
Nous étions tranquilles et j’ai prétexté une indisposition pour éviter d’y aller. Sylvain a profité la veille au soir lors du repas d’un coup de téléphone pour se décommander, car il devait rendre visite à une amie.
Lorsqu’il s’est absenté, tous étaient contents qu’il ait levé une fille et qu’ils comprennent qu’il préfère la fille à la pêche en mer.
Je suis resté couché et chacun d’eux est venu m’embrasser alors que j’avais mis un masque noir sur mes yeux.
L’erreur fatale a été de rester dans ma chambre lorsque Sylvain m’a rejoint. J’ai viré le masque et je lui ai tendu les bras.
J’aurais aimé le sucer alors que j’en avais envie, mais il m’a pris dans la position du missionnaire.
Lorsqu’il m’a arrosé, nous étions en eau et j’ai hurlé mon plaisir.
Sylvain, c’était couché sur moi et j’ai vu dans l’embrassure de la porte Hugo qui était sans voix à ce qu’il découvrait.
Il m’a demandé de faire ma valise et de quitter le bungalow immédiatement et que j’aurais des nouvelles de son avocat.
Mon amant malgré les vociférations de sa mère qui me traitait de pute et de dévergondé disait à qui voulait l’entendre que j’avais entraîné son fils dans mes filets alors qu’il avait un esprit pur et que jamais ce comportement lui serait venu.
Il a été grand, il a fait son sac et nous avons pris le train pour arriver au petit matin.
• Où est-il ?
• Chez ses parents en attendant que je trouve une solution.
La solution, je la connais, mais nous verrons cela prochainement…
Avant que la nuit finisse, j’apprends l’art des caresses sur le corps de l’une ou de l’autre.
Nadia, la petite vierge à qui, il m’est impossible de mettre mes doigts au fond de son sexe comme je peux le faire avec le mien de peur de lui enlever sa fleur.
Nous nous caressons les seins le plus lentement possible déclenchant en nous des vagues qui viennent et reviennent pour mieux revenir.
Au matin alors que les rayons du soleil sont venus nous caresser, après un long baiser, c’est elle qui m’a pris la main, la porter à son intimité et m’a fait placer mes doigts en pointe pour qu’il la pénètre et alors que je pensais rester au bord, me prenant la bouche avec beaucoup d’ardeur elle m’a fait entrer en elle déchirant son hymen.
• J’attendais la preuve que la personne qui me déflorerait m’aime, cette nuit tu m’as fait comprendre que cette personne, c’était toi.
Merci d’avoir pris ma virginité à part le sang qui coule de mon vagin, j’ai presque eux du plaisir dès la première fois.
• Reste là, je vais nous chercher un copieux petit déjeuner, nous l’avons bien mérité.
Nos forces récupérées après avoir pris un bon repas, j’entraîne la petite à la douche, car ce matin, cela tombe bien, j’ai rendez-vous avec mon esthéticienne pour les soins de mon visage, mais du reste du corps aussi.
Lorsque nous arrivons cette jolie blonde nous, reçoit comme elle le fait toutes les fois mais la folle de sexe que je suis devenue la regarde comme un boa regarde sa proie.
Lorsqu’elle me fait le maillot, ses doigts frôlant mon vagin me font de l’effet alors qu’avant depuis des années que je lui confie mon corps jamais, j’ai eu envie de lui passer une main sous sa blouse.
Que dire de ses seins ?
Ils sont magnifiques surtout lorsqu’elle se penche et que ses deux globes me sautent aux yeux.
J’arrive à la fin de mon ravalement sans incident avec la belle dame qui accepte de travailler le corps de mon amie qui teste pour la première fois les services d’une esthéticienne.
Elle souhaite être seule avec elle pour me faire une surprise.
Pendant qu’elle se fait belle, je vais chercher le pain pour la journée.
Sur la porte, une annonce de la mairie fait appel à la population pour l’embauche d’un responsable du centre sportif. Elle souhaite donner la priorité à une personne issue de la commune. Je trouve l’emploi dans mes cordes en rapport de mes diplômes même si depuis mon mariage et la naissance de mes trois enfants, j’ai arrêté de travailler. Même si je gagne mon divorce, il va me falloir travailler, car mes enfants sont grands et que ses enfants en Angleterre sont en bas âge et la pension qu’il devra me verser risque d’être insuffisant pour que je vive.
Je passe à la mairie avant de retourner récupérer Nadia pour remplir une demande.
J’ai la chance que le maire sorte de son bureau et s’aperçoive que je remplis un formulaire de candidature.
Lors de la prise de décision du choix de l’implantation du centre sportif cet homme de dix ans mon aîné sait ce qu’il me doit et se souvient qu’il me draguait éhontément même lorsque mon mari était là.
Lorsque je lui raconte la trahison de Gaétan, il fait voir son incrédulité ayant une haute opinion de lui, mais devant la photo que je garde sur moi le montrant en train d’embrasser l’anglaise avec ses enfants, il doit bien reconnaître que je suis trahi.
Nous prenons rendez-vous pour le lendemain matin, il souhaite que je lui apporte divers documents comme le diplôme de mon BAC avec mention très bien, mon diplôme de gestion et celui de DRH que mes grossesses et la paye conséquente de mon mari m’ont empêché de pratiquer. Je constate une fois de plus que je parle de Gaétan comme de mon mari alors que je devrais m’habituer à dire ex-mari.
Satisfaite de la tournure que prennent les événements, lorsque je récupère Nadia, sa tenue de routarde m’interpelle.
Je l’emmène en ville dans une boutique de fringues de son âge où je lui offre un ensemble avec Mini, chemisé qu’elle tient à porter sans soutien ses seins se tenant à son âge.
Dans la cabine d’essayage, le rideau tiré outre un baiser profond qui nous unit quelques minutes, elle me fait apparaître la surprise qu’elle veut me faire.
Elle s’est fait raser intégralement la chatte.
Cette minette se présentant comme avant sa puberté m’émeus et un mouvement de tendresse vers elle pour ce joli cadeau me permet d’écarter ses lèvres avec deux doigts et de les rentrer au plus profond de son corps.
Certes, elle a un léger mouvement de crispation, sa défloraison étant encore sensible, mais rapidement mes doigts baignent dans un environnement humide me montrant que la petite mouille sous mon simple doitage.
• Mesdames, tout va bien.
La vendeuse a dû entendre le petit cri que mon amour a émis et a pensé qu’il y avait un problème alors que j’ai simplement réussi à la faire jouir.
Elle garde ses nouvelles affaires sur elle sortant même impudiquement sans petite culotte.
Lorsque nous remontons la rue piétonne, j’adore le regard des hommes qui regardent ces deux belles femelles dont ils ont une grande envie de les baiser.
Pour que Nadia soit complètement bandante et plaise à mes deux mâles lorsqu’ils reviendront dans trois jours, nous nous arrêtons chez ma coiffeuse qui a le temps de lui faire une coupe de cheveux moderne relevant son éclat.
À midi le soleil étant toujours aussi chaud nous déjeunons sur la terrasse ayant oublié nos maillots après le bain lorsque l’on sonne à la porte d’entrée.
J’attrape ma petite culotte et sans m’inquiéter qu’un employé des postes ou autres livreurs soit derrière la porte, j’ouvre.
C’est Maryse qui me tombe dans les bras en pleure.
• Tu sais ce qui m’arrive ?
Comment le saurais-je ?
• Hugo nous a surpris avec Sylvain et j’ai été viré.
• Entre, calmes toi et reprend depuis le début.
Nous passons sur la terrasse où Nadia a passé son bas comme moi.
Je les présente l’une à l’autre et un gros baiser sur leurs joues montre qu’aucune animosité primaire ce fait jour entre elles.
• Je peux me baigner avant de vous expliquer.
• Je vais t’accompagner.
Alors que Maryse, enlève, intégralement ses vêtements ma petite-maîtresse retire sa culotte faisant apparaître mon cadeau son minet intégralement rasé et les deux femmes plongent.
J’ai envie d’en faire autant, mais il me faut que je mette un couvert, car dans son état ma copine n’a certainement pas mangé.
Après c’être bien rafraîchie, elle remonte les marches la main dans la main pour me rejoindre.
• Laisse, je ne pourrais rien avaler.
• Assieds-toi et explique-nous ce qui t’arrive. Avant je te présente Nadia, une amie. Moi aussi je vais avoir bien des choses à te raconter.
• Tu te souviens que je t’ai dit que j’étais amoureuse du fils de Viviane qui est bien plus jeune que moi et que j’hésitais à lui céder.
• Bien sûr, il y a quelques jours.
• J’ai suivi ton conseil et le lendemain, je l’ai appelé, ayant une fuite dans ma salle de bains et Hugo en déplacement était dans l’incapacité de venir réparer.
Il est arrivé cinq minutes après et avec une clef que j’avais trouvée dans le garage à resserrer le collier que j’avais desserré moi-même après avoir la certitude de son arrivée.
• Bien, jouez ma grande, le coup de la fuite, il fallait y penser. Comment t’y es-tu prise pour qu’il te baise ?
• Comment tu sais qu’il m’a baisé ?
• Avant votre départ sur la côte, je suis allé voir Viviane qui faisait sa valise et Sylvain m’a dit qu’il était amoureux sans me dire de qui mais lorsqu’il a dit que comme tous les ans, vous partiez ensemble son regard s’est éclairé lorsqu’il a parlé de Maryse.
• Tout simplement, je l’ai reçu en peignoir comme si j’allais prendre mon bain lorsque j’ai vu la fuite. Je me suis agenouillé pour lui faire voir la fuite sous le lavabo et quand j’ai voulu me relever, j’ai perdu l’équilibre et j’ai atterri dans ses bras.
La nature a fait le reste et quelques minutes, après je lui suçais la queue qu’il a fort belle et il me prenait par terre sur le tapis de descente de la baignoire.
À partir de là, Maryse est entièrement prise par son souvenir et elle nous raconte pas, elle vit ces moments avec son Sylvain.
• Pour la première fois, je faisais l’amour autre part que dans un lit, la dureté du sol augmentait mon plaisir à chacun des coups que mon amant me donnait. Il se servait de la puissance de ses reins pour me déchirer.
Jamais Hugo n’avait réussi à me faire jouir comme la queue que j’avais dans ma chatte.
Je la voulais partout, je lui ai demandé qu’il se relève et je me suis mis à genoux la poitrine calée sur le rebord de la baignoire pour qu’il me pénètre où il voulait.
Pourquoi vous mentir, c’est moi qui lui ai demandé de me prendre la virginité qui me restait et qu’il m’encule ?
Valérie et toi Nadia, je veux que vous me croyiez et penser que je me vante, mais dès ses premières pénétrations, j’ai joui par le cul.
Des flèches de plaisirs irradiaient à partir de son sexe et remontaient dans mon corps pour atteindre mon cerveau qui était dans l’incompréhension de ce qu’il m’arrivait.
Le plus beau, c’est que cela c’est reproduit chaque fois qu’il me prenait et lorsque nous sommes parties en vacances, j’étais tellement accro à ce qu’il me baise que nous avons pris de plus en plus de risques.
Je me souviens la deuxième nuit, il est entré dans notre chambre alors que Hugo dormait à mes côtés.
J’étais nue sur le lit et grace à la lune, il m’a mis une main sur la bouche pendant que de l’autre, il me pinçait le clitoris.
Quand j’ai compris que c’était lui, dans la minute qui a suivi un orgasme dévastateur m’a fait donner un coup de pied qui a tapé la jambe de Hugo qui s’est réveillé à marmonner « qu’est-ce qu’il t’arrive » c’est retourner et c’est rendormi.
Mais lorsque je dis que j’étais devenue folle, le quinze août, tu sais que nous avons une table réservée au même restaurant tous les ans.
• Oui, j’en ai parlé avec Valérie, la veille de votre départ.
• Sylvain m’avait interdit que je mette une culotte, tu sais sous ma jupe mauve qui descend jusqu’aux genoux.
• À table, il s’est arrangé pour être en face de moi et à peine j’étais assise, j’ai senti son pied-nu remonter le long de ma jambe.
Il voulait entrer entre mes cuisses, mais comme ma jupe se resserrait trop sur mes cuisses, il a fallu que je fasse un mouvement comme si je me relevais pour la tirer sur le haut.
Mon sexe s’est trouvé sur des petites aspérités de la paille qui me pénétraient mes fines muqueuses me les stimulant.
Le pied de Sylvain a pu atteindre sa cible et une fois de plus vous allez penser que j’affabule, mais il a réussi à me le faire entrer presque jusqu’au mollet.
Ma chatte était distendue, mais le plaisir que son pied me donnait était aussi physique que cérébral.
Le plus dur c’était de tenir une conversation avec mon mari et sa mère sur le bienfait de la fidélité dans les couples.
Viviane avait appris qu’une ancienne copine de collège était Call-girl sans que son mari le sache et qu’elle le trompait tous les après-midi avec des clients.
Viviane cherchait comment une femme pouvait faire l’amour avec un autre homme et revenir auprès de son mari.
Le pied toujours actif, quand elle terminait sa phrase, m’a fait partir et pour ne pas hurler, je me suis levé d’un coup prétextant une envie pressante.
Tous m’ont regardé pensant à une folle. Je suis descendu et deux minutes après j’entendais appeler mon prénom. C’était mon amant qui avait prétexté qu’il devait aller à la voiture pour sortir par le devant et rentrer par la porte de derrière qui donnait sur les toilettes pour femmes.
Sa verge était si tendue que j’ai ramassé. J’aimerais Valérie que tu ressentes dans ton corps, ce que j’ai ressenti dans ces toilettes et même chaque fois qu’il me baisait. Je suis sûr que si Gaétan est un bon amant, il lui est impossible de te propulser là où mon mec me transporte.
• Fini ton histoire ma belle, je te raconterai la mienne après.
• Il t’est arrivé quelque chose, c’est lié à cette jeune fille.
• Si c’était seulement elle.
• Tu me mets l’eau en bouche.
• Non, ne nous, laisse pas en plan.
• Où en étais-je, oui, dans les toilettes où il me pénétrait plaqué le long de la paroi carrelée qui me tenait les seins au frais ?
Nous avons continué jusqu’à hier où nous devions partir tous les cinq faire une partie de pêche au gros en mer.
Hugo avait donné une partie de la somme au pécheur.
Nous étions tranquilles et j’ai prétexté une indisposition pour éviter d’y aller. Sylvain a profité la veille au soir lors du repas d’un coup de téléphone pour se décommander, car il devait rendre visite à une amie.
Lorsqu’il s’est absenté, tous étaient contents qu’il ait levé une fille et qu’ils comprennent qu’il préfère la fille à la pêche en mer.
Je suis resté couché et chacun d’eux est venu m’embrasser alors que j’avais mis un masque noir sur mes yeux.
L’erreur fatale a été de rester dans ma chambre lorsque Sylvain m’a rejoint. J’ai viré le masque et je lui ai tendu les bras.
J’aurais aimé le sucer alors que j’en avais envie, mais il m’a pris dans la position du missionnaire.
Lorsqu’il m’a arrosé, nous étions en eau et j’ai hurlé mon plaisir.
Sylvain, c’était couché sur moi et j’ai vu dans l’embrassure de la porte Hugo qui était sans voix à ce qu’il découvrait.
Il m’a demandé de faire ma valise et de quitter le bungalow immédiatement et que j’aurais des nouvelles de son avocat.
Mon amant malgré les vociférations de sa mère qui me traitait de pute et de dévergondé disait à qui voulait l’entendre que j’avais entraîné son fils dans mes filets alors qu’il avait un esprit pur et que jamais ce comportement lui serait venu.
Il a été grand, il a fait son sac et nous avons pris le train pour arriver au petit matin.
• Où est-il ?
• Chez ses parents en attendant que je trouve une solution.
La solution, je la connais, mais nous verrons cela prochainement…
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