Le château
Récit érotique écrit par Diluc [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 28 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.9 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.5
- • L'ensemble des récits érotiques de Diluc ont reçu un total de 287 854 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-10-2018 dans la catégorie Plus on est
Cette histoire de sexe a été affichée 8 605 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Le château
Le château était grand, voire même immense.
Posé tel une tarte à la crème géante au milieu d’une grande pelouse, il était complètement ceint de murs et nul ne pouvait y pénétrer sans déclencher une alarme sonore. Il était proche de la capitale de ce petit pays d’Europe centrale et facile d’accès pour qui savait où chercher.
Ce jour là, un bus chargé de militaires en tenue commandos déposa vingt quatre hommes à son entrée. Aucun d’eux ne portait d’insigne de grade, ni même de nationalité.
L’un d’eux ouvrit son smartphone et tapa un code, entraînant l’ouverture du vaste portail.Les hommes s’y engouffrèrent et le portail se ferma derrière le dernier d’entre eux. Après une courte marche, ils arrivèrent au pied des quelques marches qui permettaient d’entrer au château. Une femme vêtue de cuir les attendait calmement. Une fois qu’ils se furent arrêtés en bas des marches, elle y alla de son petit laïus qu’ils écoutèrent religieusement.
-Messieurs, bonjour! Vous êtes ici à présent dans votre repos du guerrier. Vous a avez loué cet endroit pour une semaine, personnel compris. Vous avez tout les droits sur ce personnel et pouvez exiger ce que vous souhaitez. Notre personnel est à votre entière et totale disposition. Deux obligations cependant: un, vous utiliserez tous des protections pour vos rapports et deux, si la personne qui est avec vous ne le souhaites pas, vous n’avez pas le droit d’être violent: les coups et blessures sont interdits.
Les vingt quatre hommes acceptèrent ce deal.
Alors les portes fenêtres s’ouvrirent et une multitude de jeunes femmes sortirent et vinrent se mêler à eux. Parmi ces filles, il y avait également quatre jeunes éphébes pour les deux hommes du groupe ayant ce penchant là.
Immédiatement, chaque homme trouva chaussure à son pied et ils se trouvèrent entraînés à l’intérieur du château...
L’un des hommes était resté seul et regardait les couples se faire et très vite les hommes se mettre à l’aise.
Il sourit: c’était la meilleure solution qu’il avait trouvé pour faire relâcher la pression à tous ces types après trois mois dans le désert malien à chasser les terroristes. La patronne du lieu s’approcha de lui.
-Et bien très cher, vous n’allez pas en profiter également? Vous êtes bien parmi nous pour la semaine n’est-ce pas?
Elle passa une main sur le sexe de l’homme qui répondit de suite à ce stimulus.
-Vous sentez bon le sable chaud vous savez...
L’homme rit-Après autant de douches prises, j’espère bien que non!
Il prit la femme par la taille et l’embrassa goulûment.
-bien tu embrasses bien. Suces moi maintenant.
La femme s’agenouilla et se mit en devoir de lui ouvrir sa braguette. Elle prit son membre dans la main et se le fourra dans la bouche tandis qu’une jeune noire et une rouquine vinrent se frotter contre l’officier qui en profita immédiatement pour leurs retirer les quelques oripeaux qu’elles portaientIl était content: ses hommes au larges poitrines et aux petits culs allaient passer une bonne semaine dans cet endroit...
Une fois son sexe bien dressé, il le retira de la bouche de la taulière et retourna la jeune blackette. Dés que la rouquine eut mis une capote sur sa queue, il encula la jeune blackette à la hussarde. Il jouit rapidement et en bénit le ciel.
Le chef, puisque c’était lui alla ensuite vérifier que tout allait bien pour ses hommes. Il prit la taulière, nue à présent par la taille et ils firent ensemble le tour des pièces du Château. L’officier connaissait parfaitement ses hommes et ses hommes le connaissaient parfaitement. Dans une si petite unité, habituée à combattre ensemble, à vivre ensemble vingt quatre heure sur vingt quatre, c’était forcément inévitable. Ils savait donc qu’il y avait parmi ses hommes deux homosexuels, sept bisexuels et le reste complètement et parfaitement hétérosexuels mais avec parfois des déviances assez spéciales, voire assez dégoûtantes...
Dans la première pièce où ils entrèrent ils se trouvèrent au milieu d’une orgie. En fait tous les hommes étaient là dans la salle: aucun n’avait réussi ou voulu s’isoler. Évidemment, le chef et madame se joignirent immédiatement au mouvement général. Un de ses hommes sautait une jeune femme aux longs cheveux blonds sur le tapis, en avait une deuxième, nue, qui lui huilait le dos et une troisième dont il léchait généreusement la chatte. Position assez sportive quand même apprécia l’officier. La taulière s’approcha de la jeune femme debout et l’embrassa dans le cou tandis que l’officier attrapait une capote avant d’embrocher directement et sans fioritures la masseuse qui poussa un petit cri de plaisir lors de la pénétration.. un autre de ses hommes était à côté, en train de défoncer le cul d’une jeune black qui, munie d’une bite de taille, donc une transsexuelle, enculait à son tour un de ses gars... un petit train à cinq participants s’était ainsi formé et avançait au fur et à la mesure des coups de boutoir de chacun des participants.
Deux autres de ses hommes se partageaient une belle rouquine aux seins généreux qui bougeaient d’une manière indécente à chacun de leur coup de bite.
Enfin plusieurs de ses gars se faisaient simplement sucer, confortablement installés, une bière à la main. Ils se passaient les filles l’une près l’autre et appréciaient les performances de chacune...
Le plus vieux de ses soldats, un homme d’une trentaine d’année, s’était isolé sur un fauteuil avec une jeune brune aux cheveux relevés en chignon: ils échangeaient des caresses et donnaient ainsi à voir un spectacle hautement érotique par-là douceur de leurs gestes. L’officier garda pour lui son étonnement: la spécialité de cet homme était le tir au mortier, une arme qui ne fait pas dans le détail...
L’orgie continuait et monta en intensité lorsqu’une dizaine de jeune femmes arrivèrent avec le repas. L’une d’entre elles, une superbe noire aux énormes seins servait de plateau: elle était allongée sur la table et les produits étaient disposés sur son corps.
Chaque homme et femme picorait sur ce corps offert. Enfin, l’un de ses hommes ne pouvant se retenir se mit à lui bouffer la chatte tandis qu’elle en suçait un second. Une autre jeune femme fut culbutée sur la table et chaque homme prit son tour pour tester la largeur de son petit trou du cul. Elle subit cela avec philosophie, riant même parfois lorsque la queue du soldat suivant était un peu différente. Notamment lorsque le soldat Carlos la pénétra, elle changea de couleur, sentant ce membre inhabituel par sa forme la pénétrer.
En effet la verge de Carlos était inclinée et déviée d’une trentaine de degrés vers la droite. Toutes les femmes qu’il pénétrait étaient toujours d’abord surprises, puis ravies...
Lorsque le champagne arriva, les hommes placèrent plusieurs femmes les unes sur les autres de manière à ce que le liquide versé dans le vagin de la femme en haut de la pyramide passe par tous les vagins des autres avant de remplir une flûte à champagne aussitôt appréciée par l’un des hommes.
Après plusieurs heures de ce régime, les corps abandonnés et satisfaits plongèrent dans un sommeil réparateur, entremêlés et heureux...
Posé tel une tarte à la crème géante au milieu d’une grande pelouse, il était complètement ceint de murs et nul ne pouvait y pénétrer sans déclencher une alarme sonore. Il était proche de la capitale de ce petit pays d’Europe centrale et facile d’accès pour qui savait où chercher.
Ce jour là, un bus chargé de militaires en tenue commandos déposa vingt quatre hommes à son entrée. Aucun d’eux ne portait d’insigne de grade, ni même de nationalité.
L’un d’eux ouvrit son smartphone et tapa un code, entraînant l’ouverture du vaste portail.Les hommes s’y engouffrèrent et le portail se ferma derrière le dernier d’entre eux. Après une courte marche, ils arrivèrent au pied des quelques marches qui permettaient d’entrer au château. Une femme vêtue de cuir les attendait calmement. Une fois qu’ils se furent arrêtés en bas des marches, elle y alla de son petit laïus qu’ils écoutèrent religieusement.
-Messieurs, bonjour! Vous êtes ici à présent dans votre repos du guerrier. Vous a avez loué cet endroit pour une semaine, personnel compris. Vous avez tout les droits sur ce personnel et pouvez exiger ce que vous souhaitez. Notre personnel est à votre entière et totale disposition. Deux obligations cependant: un, vous utiliserez tous des protections pour vos rapports et deux, si la personne qui est avec vous ne le souhaites pas, vous n’avez pas le droit d’être violent: les coups et blessures sont interdits.
Les vingt quatre hommes acceptèrent ce deal.
Alors les portes fenêtres s’ouvrirent et une multitude de jeunes femmes sortirent et vinrent se mêler à eux. Parmi ces filles, il y avait également quatre jeunes éphébes pour les deux hommes du groupe ayant ce penchant là.
Immédiatement, chaque homme trouva chaussure à son pied et ils se trouvèrent entraînés à l’intérieur du château...
L’un des hommes était resté seul et regardait les couples se faire et très vite les hommes se mettre à l’aise.
Il sourit: c’était la meilleure solution qu’il avait trouvé pour faire relâcher la pression à tous ces types après trois mois dans le désert malien à chasser les terroristes. La patronne du lieu s’approcha de lui.
-Et bien très cher, vous n’allez pas en profiter également? Vous êtes bien parmi nous pour la semaine n’est-ce pas?
Elle passa une main sur le sexe de l’homme qui répondit de suite à ce stimulus.
-Vous sentez bon le sable chaud vous savez...
L’homme rit-Après autant de douches prises, j’espère bien que non!
Il prit la femme par la taille et l’embrassa goulûment.
-bien tu embrasses bien. Suces moi maintenant.
La femme s’agenouilla et se mit en devoir de lui ouvrir sa braguette. Elle prit son membre dans la main et se le fourra dans la bouche tandis qu’une jeune noire et une rouquine vinrent se frotter contre l’officier qui en profita immédiatement pour leurs retirer les quelques oripeaux qu’elles portaientIl était content: ses hommes au larges poitrines et aux petits culs allaient passer une bonne semaine dans cet endroit...
Une fois son sexe bien dressé, il le retira de la bouche de la taulière et retourna la jeune blackette. Dés que la rouquine eut mis une capote sur sa queue, il encula la jeune blackette à la hussarde. Il jouit rapidement et en bénit le ciel.
Le chef, puisque c’était lui alla ensuite vérifier que tout allait bien pour ses hommes. Il prit la taulière, nue à présent par la taille et ils firent ensemble le tour des pièces du Château. L’officier connaissait parfaitement ses hommes et ses hommes le connaissaient parfaitement. Dans une si petite unité, habituée à combattre ensemble, à vivre ensemble vingt quatre heure sur vingt quatre, c’était forcément inévitable. Ils savait donc qu’il y avait parmi ses hommes deux homosexuels, sept bisexuels et le reste complètement et parfaitement hétérosexuels mais avec parfois des déviances assez spéciales, voire assez dégoûtantes...
Dans la première pièce où ils entrèrent ils se trouvèrent au milieu d’une orgie. En fait tous les hommes étaient là dans la salle: aucun n’avait réussi ou voulu s’isoler. Évidemment, le chef et madame se joignirent immédiatement au mouvement général. Un de ses hommes sautait une jeune femme aux longs cheveux blonds sur le tapis, en avait une deuxième, nue, qui lui huilait le dos et une troisième dont il léchait généreusement la chatte. Position assez sportive quand même apprécia l’officier. La taulière s’approcha de la jeune femme debout et l’embrassa dans le cou tandis que l’officier attrapait une capote avant d’embrocher directement et sans fioritures la masseuse qui poussa un petit cri de plaisir lors de la pénétration.. un autre de ses hommes était à côté, en train de défoncer le cul d’une jeune black qui, munie d’une bite de taille, donc une transsexuelle, enculait à son tour un de ses gars... un petit train à cinq participants s’était ainsi formé et avançait au fur et à la mesure des coups de boutoir de chacun des participants.
Deux autres de ses hommes se partageaient une belle rouquine aux seins généreux qui bougeaient d’une manière indécente à chacun de leur coup de bite.
Enfin plusieurs de ses gars se faisaient simplement sucer, confortablement installés, une bière à la main. Ils se passaient les filles l’une près l’autre et appréciaient les performances de chacune...
Le plus vieux de ses soldats, un homme d’une trentaine d’année, s’était isolé sur un fauteuil avec une jeune brune aux cheveux relevés en chignon: ils échangeaient des caresses et donnaient ainsi à voir un spectacle hautement érotique par-là douceur de leurs gestes. L’officier garda pour lui son étonnement: la spécialité de cet homme était le tir au mortier, une arme qui ne fait pas dans le détail...
L’orgie continuait et monta en intensité lorsqu’une dizaine de jeune femmes arrivèrent avec le repas. L’une d’entre elles, une superbe noire aux énormes seins servait de plateau: elle était allongée sur la table et les produits étaient disposés sur son corps.
Chaque homme et femme picorait sur ce corps offert. Enfin, l’un de ses hommes ne pouvant se retenir se mit à lui bouffer la chatte tandis qu’elle en suçait un second. Une autre jeune femme fut culbutée sur la table et chaque homme prit son tour pour tester la largeur de son petit trou du cul. Elle subit cela avec philosophie, riant même parfois lorsque la queue du soldat suivant était un peu différente. Notamment lorsque le soldat Carlos la pénétra, elle changea de couleur, sentant ce membre inhabituel par sa forme la pénétrer.
En effet la verge de Carlos était inclinée et déviée d’une trentaine de degrés vers la droite. Toutes les femmes qu’il pénétrait étaient toujours d’abord surprises, puis ravies...
Lorsque le champagne arriva, les hommes placèrent plusieurs femmes les unes sur les autres de manière à ce que le liquide versé dans le vagin de la femme en haut de la pyramide passe par tous les vagins des autres avant de remplir une flûte à champagne aussitôt appréciée par l’un des hommes.
Après plusieurs heures de ce régime, les corps abandonnés et satisfaits plongèrent dans un sommeil réparateur, entremêlés et heureux...
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Diluc
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...