Le châtiment pourpre.
Récit érotique écrit par Minoa [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-02-2020 dans la catégorie A dormir debout
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Le châtiment pourpre.
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
1. Sacrifiable.
Ces doigts effleuraient sa peau si tendre et souple, ils pressent doucement le clitoris depuis longtemps devenu dur tandis que l’autre main caresse ces seins au niveau de l’auréole si sensible.
Elle serrait des dents, pour éviter de faire trop de bruit, allongée sur sa paillasse juste recouverte d’une couverture en laine de Gréon de montagne.
Sa vulve humide en demandait plus, toujours plus, tandis que son esprit se perdait dans un délice de caresse solitaire.
Son corps brulant était sur le point d’exploser, elle ne pouvait tenir bien plus longtemps, elle ouvrit en grand sa bouche dans un gémissement qu’elle voulut rendre muet, mais sans y parvenir totalement.
Sa main encore plus humide ne se laissa pas aller à la fainéantise, plus ces doigts agiles s’activaient, plus le plaisir brulant montait jusque dans son âme.
Elle sentit l’intérieur de son être se contracter tandis que son bassin se crispait et que ces jambes se serraient fortement dans un dernier souffle gémissant.
La porte s’ouvrit en grand en même temps qu’elle sentait ces yeux ébahis de pulsion se fermer.
« Salle chienne ! En plus d’être vilaine, tu es possédée par les démons ! », hurla la voix irritante de sa mère.
Elle lâcha prise sur son sexe, sentant son visage et ses oreilles devenir aussi rouges que de la tomate.
Elle regarda la femme qui venait d’entrée dans la remise tout en se rasseyant sur la paillasse qui trainait au sol.
"Salope" hurla-t-elle en prenant une matraque pour la battre.
Elle l’attrapa par le bras, tandis qu’elle essayait de fuir les coups. Elle tira brusquement faisant sauter les boutons du chemisier et déchirant une manche. Le premier coup s’abattit fortement sur sa poitrine découverte, la douleur fut terrible, elle se recroquevilla pour se protéger. Sa mère continua à la frapper, lui infligeant des coups sur le dos, déchirant le tissu et écorchant les chaires. Non contente des coups donnés alors que le sang commençait à suinter du dos de sa fille, elle tira fortement sur la robe de lin qui se déchira laissant paraître les fesses encore si douces de jeunesse. Sa mère sans une once d’hésitation frappa de toute ces forces sur ce nouveau morceau de chair rendu visible, essayant même d’atteindre son sexe. La jeune fille essaya de se protéger, mais des coups plurent sur son visage elle ne put que se recroqueviller encore plus attendant que les coups cessent.
Elle supplia sa mère d’arrêter, de lui pardonner, mais qu’avait-elle fait de mal ?
Au bout de quelques minutes tandis que du sang coulait du morceau de bois, la femme jeta celui-ci contre sa fille.
« Attends un peu que j’en parle à ton père ! Une fille possédée par le démon devra partir de mon domicile ! », hurla-t-elle encore, en donnant un coup de pied avec son sabot en bois dans le visage de sa victime recroquevillé sur le sol.
Elle sortit de la remise en bloquant la porte avec la poutre.
La jeune fille se redressa comme elle put sur sa paillasse, son dos en sang, ces habits en lambeaux et son fessier totalement inutilisable tellement la douleur était vigoureuse.
Du sang coulait de sa lèvre et de son front.
« Cette vieille truie ! Un jour je la buterais. » Murmura la fille en se levant et boitillant au fond de la remise.
Elle fouilla dans les caisses de bois du débarras pour trouver des habits corrects, elle ne pouvait pas rester dénudée.
Hélas, elle ne trouva rien d’utile pour se vêtir, habillé d’un chemisier déchiré et sans boutons, d’une robe en piteux état dû à la raclée que sa mère lui avait mise, elle ne put que s’allonger sous sa couverture.
Combien de temps s’est déroulé depuis qu’elle est arrivée dans ce monde ?
Elle s’appelait Marie Roland et venait d’un autre monde. Elle a vécu une vie assez recluse faisant partie d’une armée de femme se battant contre l’oppression masculine dans un pays dédier à une religion d’homme ; où la femme est considérée comme un morceau de chair reproducteur, sans âme ni droits.
Elle avait connu son lot de violence sexuelle avant de prendre les armes, ce qui a fait tuer ces trois enfants comme représailles alors qu’elle se cachait dans les montagnes.
Sa souffrance fut alors interminable, mais elle surmonta cette blessure qui aujourd’hui encore la faisait souffrir. Elle se vengea en massacrant les familles de tout le village qui avaient condamné ces enfants.
Elle connaissait le maniement du sabre, de la lance et la conception du poison. Elle avait eu la chance d’apprendre à manier la magie brûlant et déchirant tout sur son passage, hélas inutilisable dans ce monde…Elle est morte à l’âge de 42 ans alors qu’elle pensait être sortie de ces blessures passées en entrant dans un pays limitrophe, les hommes de l’armée religieuse l’on attraper, après de longues séances de torture et de viol elle fut brûlée sur un bûcher pour servir d’exemple aux autres femmes se battant contre l’oppression.
Et finalement, elle a ouvert les yeux dans cette vie. Son corps avait alors 10 ans, depuis elle ne savait combien d’années de servitude elle avait vécues. Elle était nommée Irvina Bles’arve, elle n’était pas humaine. Ces oreilles, faites de cartilage, étaient plus longues que celle des humains, ses yeux avaient un éclat rose rubis tandis que ces cheveux avaient la couleur du feu. Elle avait une tache de naissance sur la moitié de son visage ce qui l’enlaidissait, même si son visage restait correctement proportionné, et que son sourire, si elle se forçait, pouvait être éclatant.
Sa poitrine était assez volumineuse, mais pas trop, elle préférait, quand la poitrine est trop grosse, elle devient lourde et le dos souffre du surpoids vers l’avant. Sa poitrine avait une particularité, elle avait 2 tétons par sein, entouré d’une auréole rose, étant bien plus érogène que quand elle était humaine.
Ces hanches restaient plus étroites que celle d’un humain, et son vagin semblais plus petit et plus serré, contrairement à son clitoris qui était surdimensionné par à port a sa vie passée.
Elle mesurait 1 m 68 pour 55 kilos, elle était maigre, mais c’était dû à la malnutrition.
Son père, sa mère et son frère adoptif étaient des humains pur et dur… Ils l’avaient recueilli alors qu’elle n’était qu’un bébé découvert sur le bord d’une route dans les bras froids de sa mère naturelle.
Elle ne savait pas ce qui était advenu à son peuple, les Estrayants.
Depuis qu’elle était arrivée dans ce monde, sa mère n’avait eu de cesse de l’insulter et de la battre, elle était considérée comme une servante et dormait dans la remise.
Elle n’avait pas connu un moment de bonheur dans ce monde, elle était sans cesse surveillée et enfermée dans les moments ou elle ne travaillait pas. Elle avait bien essayé de s’échapper, mais sa mère l’avait attrapé et ce corps manque cruellement de force pour se défendre.
La porte grinça, elle regarda entrer son frère.
« Que veux-tu, Julian ? s’écria-t-elle resserrant sa couverture par réflexe.
— Allons, ne sois pas comme ça, je viens voir comment tu vas, mère a dit que tu avais été vilaine. Elle a dû te battre ? »
Il n’avait jamais été gentil avec elle, que voulait-il ?
« Oui… c’est très douloureux. », se plaignit-elle alors qu’il s’approchait d’elle.
Il s’installa à côté d’elle sur la paillasse et s’approcha de son oreille pour lui murmurer
« J’ai un ami qui m’a dit que les sous-êtres comme toi sont sensibles des oreilles, laisse-moi essayer. » Elle sentit un frisson lui parcourir le dos, sur ces mots. Avant qu’elle ne puisse réagir, Julian attrapa ces oreilles et commença à les masser doucement.
« Julian… s’il te plaît…— Ce ne sont que tes oreilles, t’inquiètes pas. Soit gentille. »
La chaleur commençait à lui monter depuis le bas de son ventre, les oreilles des Estrayants sont une zone extrêmement érogène, un simple massage, caresse et mordillement de celle-ci surpasse tout aphrodisiaque.
« S’il… te plaît… supplia-t-elle.
— Tu veux que j’arrête ?
— Oui… non… continue »Elle devint toute chaude, le désir montait depuis ces tripes ; elle n’avait qu’un désir, c’est d’assouvir cette nouvelle soif qui lui tressaillait le bas ventre.
Il se leva en baissant son pantalon laissant découvrir son pénis d’une vingtaine de centimètres, déjà droit et dur, il recommença à lui caresser les oreilles tout en tirant un peu la tête d’Irvina, lui mettant son sexe devant la bouche, le gland était déjà enflé et rose foncé.
Elle hésita, elle savait ce qu’il voulait, mais elle ne voulait pas lui faire plaisir, et pourtant… tout ce désir, toute cette envie qui la surpasser lui faisait perdre la raison, elle saisit le sexe de son frère et commença à le sucer dans un va-et-vient constant serrant les lèvres sans serré les dents.
Elle sortait sa langue de temps en temps pour lécher la trique tout en utilisant une de ces mains pour lui masser les testicules.
Plus le temps passa, plus le sexe de Julian grossissait, elle sentit que le bassin de son frère se contracta, elle ne voulait pas qu’il jouisse dans sa bouche. Elle le repoussa, mais trop tard, la verge de Julian venait de lui cracher en pleine figure.
« T’es dégueu ! », se plaignit-elle, pourtant ces désirs n’étaient pas assouvis.
Julian sortit une fiole de sa poche et la but sans prêter attention aux plaintes de l’Estrayante. Sans attendre, il lui donna une gifle.
En tombant en arrière, elle ne comprenait pas ce qu’il faisait, son dos et ces fesses la déchiraient de douleur alors que le désir était encore intense dans son corps.
Il l’obligea à se retourner, maintenant sa tête sur le sol en la tenant par la nuque.
Elle sentit qu’il enlevait le reste de sa robe de lambeaux et que ces fesses étaient à l’air, il enfonça son sexe sans aucun préliminaire.
La douleur, une déchirure, une brûlure, elle n’avait encore jamais eu de relations sexuelles.
Elle essaya de se relever, mais son frère ne la lâcha pas et continua son va et viens sans prendre en considération les désirs d’Irvina.
La douleur était toujours présente, mais diminuait… le plaisir montait au fond de ces tripes, elle sentait la chaleur toujours plus grande à chaque sensation de ce morceau de chair pris en étaux entre ces cuisses, des frissons lui parcourut la nuque alors que la continuité la tiraillait entre la douleur des blessures sur ces fesses frappées par les hanches de son frère et le plaisir que lui procurait la pine au fond, tout au fond d’elle.
Il sortit, avait-il déjà fini ? Pourtant elle ne l’avait pas senti et elle n’était pas du tout rassasiée.
Elle sentit le gland brûlant se poser sur son anus.
« Non… pas là… non… » Comme s’il allait l’écouter… Le pénis entra, lubrifié par le liquide vaginal, il s’enfonça profondément. Elle sentit sa gorge se serrer alors que toutes les sensations se faisaient sentir dans son anus, elle serra les fesses, ce qui excita encore plus son frère, qui la montait comme une bête. La bouche ouverte tandis que sa tête était toujours posée sur la paillasse, elle ne sut retenir un filet de bave qui lui coulait sur les lèvre, tandis que ces yeux se révulsaient de ce plaisir unique, quand la bite arrive tout au fond.
Elle sentit de nouveau le pénis sortir pour entrer à nouveau dans son vagin.
Elle le sentit se gonfler, grossir alors que Julian guidait son sexe au plus profond du sein, la chaleur montait jusqu’au bout de ces oreilles au moment où le souffle couper, les contractions succulentes se firent sentir tellement forte et tellement bon, il se déversa en elle dans un tressaillement uni des deux corps. Irvina avait l’impression qu’avec tout ce plaisir, le sang allait sortir de son clitoris tellement il était gonflé.
Julian sortit de son corps, lâchant la tête de sa sœur, dont le visage avait pris le pli de la paille. Elle resta allongée à bout de souffle et tourna la tête vers son frère.
« Depuis le temps que j’avais envie de te prendre comme une salope que tu es, mon ami avait raison, c’est efficace les oreilles. Et putain, ta chatte est si serrée… rien à voir avec les humaines. La prochaine fois je viendrai avec quelques copains. », dit-il avec un air satisfait avant de sortir de la remise, en fermant la porte grâce à la poutre la bloquant.
Irvina se regarda, un mélange de sang et de sperme avait coulé sur ces jambes, pourquoi n’avait-elle pas pu résister ? Un sentiment de honte s’éveillait en elle, mais… ces oreilles… pour quoi ce désir dès qu’il a commencé à les caresser ?
« Il veut revenir avec des copains… non je ne veux pas, juste là, ça n’aurait jamais du arrivé et maintenant… » La porte s’ouvrit avec fracas.
« Salope, tu as réussi à ensorceler Julian, je ne te pardonnerais pas ! cria sa mère en entrant suivit par son père et son frère un air penaud.
— Ce n’est pas vrai c’est lui qui…— Elle ment, elle m’a ensorcelé, je ne sais pas quel tour elle m’a joué, je m’inquiétais juste pour elle et sans que je le veuille, elle m’a forcé ! cria Julian.
— Père, je vous promets…— Ta gueule sale chienne, je t’ai accueilli, je t’ai nourri et pour finir tu as le diable au corps ? Je ne le permettrais pas.
— Mais père… essaya de s’expliquer Irvina— Ta gueule salope ! » Hurla sa mère en lui donnant un coup de pied dans le visage.
Elle s’écroula la vision troublée, le visage ensanglanté par une plaie a l’arcade sourcilière tandis que tout son corps maintenant dénudé était à la vue de tous.
« Puisque tu as le diable au corps, on va te sacrifier au démon qui habite la grande grotte au sud.
— Attache-la, on y va tout de suite, ordonna son père à Julian.
— Tu ne vas pas la laisser se changer ? Demanda-t-il— Pourquoi faire ? Au contraire, que tous voient cette fille impure sur le chemin qui mène à la grotte. » Les mains attachée, traînée totalement nue sur un chemin de campagne, les pierres lui taillaient la plante des pieds tandis que le vent automnal refroidissait son épiderme, cela n’était rien comparé à ce sentiment d’humiliation alors qu’ils traversaient le village, que les badauds la regardaient en salivant, et que leur mégère la maudissait de jalousie du regard de leurs maris.
Au bout d’une heure interminable suivi par les gens du village qui la reluquait tandis que les enfants jetaient des pierres sur son corps déjà meurtri de toute part, ils sont arrivés à un gouffre, tellement sombres et noirs qu’il était impossible de savoir ce qui s’y cachait.
« Va rejoindre les démons, salope ! » hurla sa mère, sans même attendre le feu vert de son père, elle la poussa.
Irvina regarda la lumière de la surface s’éloigner alors que dans son dos les ténèbres l’englobaient.
Durant sa chute qui lui parut durer une éternité, elle perçut le bruit discret de choses rampant en dessous.
Une peur effroyable s’empara de son cœur, elle ne voulait pas mourir comme ça, pas maintenant, après être revenue à la vie et avoir tant souffert.
1. Sacrifiable.
Ces doigts effleuraient sa peau si tendre et souple, ils pressent doucement le clitoris depuis longtemps devenu dur tandis que l’autre main caresse ces seins au niveau de l’auréole si sensible.
Elle serrait des dents, pour éviter de faire trop de bruit, allongée sur sa paillasse juste recouverte d’une couverture en laine de Gréon de montagne.
Sa vulve humide en demandait plus, toujours plus, tandis que son esprit se perdait dans un délice de caresse solitaire.
Son corps brulant était sur le point d’exploser, elle ne pouvait tenir bien plus longtemps, elle ouvrit en grand sa bouche dans un gémissement qu’elle voulut rendre muet, mais sans y parvenir totalement.
Sa main encore plus humide ne se laissa pas aller à la fainéantise, plus ces doigts agiles s’activaient, plus le plaisir brulant montait jusque dans son âme.
Elle sentit l’intérieur de son être se contracter tandis que son bassin se crispait et que ces jambes se serraient fortement dans un dernier souffle gémissant.
La porte s’ouvrit en grand en même temps qu’elle sentait ces yeux ébahis de pulsion se fermer.
« Salle chienne ! En plus d’être vilaine, tu es possédée par les démons ! », hurla la voix irritante de sa mère.
Elle lâcha prise sur son sexe, sentant son visage et ses oreilles devenir aussi rouges que de la tomate.
Elle regarda la femme qui venait d’entrée dans la remise tout en se rasseyant sur la paillasse qui trainait au sol.
"Salope" hurla-t-elle en prenant une matraque pour la battre.
Elle l’attrapa par le bras, tandis qu’elle essayait de fuir les coups. Elle tira brusquement faisant sauter les boutons du chemisier et déchirant une manche. Le premier coup s’abattit fortement sur sa poitrine découverte, la douleur fut terrible, elle se recroquevilla pour se protéger. Sa mère continua à la frapper, lui infligeant des coups sur le dos, déchirant le tissu et écorchant les chaires. Non contente des coups donnés alors que le sang commençait à suinter du dos de sa fille, elle tira fortement sur la robe de lin qui se déchira laissant paraître les fesses encore si douces de jeunesse. Sa mère sans une once d’hésitation frappa de toute ces forces sur ce nouveau morceau de chair rendu visible, essayant même d’atteindre son sexe. La jeune fille essaya de se protéger, mais des coups plurent sur son visage elle ne put que se recroqueviller encore plus attendant que les coups cessent.
Elle supplia sa mère d’arrêter, de lui pardonner, mais qu’avait-elle fait de mal ?
Au bout de quelques minutes tandis que du sang coulait du morceau de bois, la femme jeta celui-ci contre sa fille.
« Attends un peu que j’en parle à ton père ! Une fille possédée par le démon devra partir de mon domicile ! », hurla-t-elle encore, en donnant un coup de pied avec son sabot en bois dans le visage de sa victime recroquevillé sur le sol.
Elle sortit de la remise en bloquant la porte avec la poutre.
La jeune fille se redressa comme elle put sur sa paillasse, son dos en sang, ces habits en lambeaux et son fessier totalement inutilisable tellement la douleur était vigoureuse.
Du sang coulait de sa lèvre et de son front.
« Cette vieille truie ! Un jour je la buterais. » Murmura la fille en se levant et boitillant au fond de la remise.
Elle fouilla dans les caisses de bois du débarras pour trouver des habits corrects, elle ne pouvait pas rester dénudée.
Hélas, elle ne trouva rien d’utile pour se vêtir, habillé d’un chemisier déchiré et sans boutons, d’une robe en piteux état dû à la raclée que sa mère lui avait mise, elle ne put que s’allonger sous sa couverture.
Combien de temps s’est déroulé depuis qu’elle est arrivée dans ce monde ?
Elle s’appelait Marie Roland et venait d’un autre monde. Elle a vécu une vie assez recluse faisant partie d’une armée de femme se battant contre l’oppression masculine dans un pays dédier à une religion d’homme ; où la femme est considérée comme un morceau de chair reproducteur, sans âme ni droits.
Elle avait connu son lot de violence sexuelle avant de prendre les armes, ce qui a fait tuer ces trois enfants comme représailles alors qu’elle se cachait dans les montagnes.
Sa souffrance fut alors interminable, mais elle surmonta cette blessure qui aujourd’hui encore la faisait souffrir. Elle se vengea en massacrant les familles de tout le village qui avaient condamné ces enfants.
Elle connaissait le maniement du sabre, de la lance et la conception du poison. Elle avait eu la chance d’apprendre à manier la magie brûlant et déchirant tout sur son passage, hélas inutilisable dans ce monde…Elle est morte à l’âge de 42 ans alors qu’elle pensait être sortie de ces blessures passées en entrant dans un pays limitrophe, les hommes de l’armée religieuse l’on attraper, après de longues séances de torture et de viol elle fut brûlée sur un bûcher pour servir d’exemple aux autres femmes se battant contre l’oppression.
Et finalement, elle a ouvert les yeux dans cette vie. Son corps avait alors 10 ans, depuis elle ne savait combien d’années de servitude elle avait vécues. Elle était nommée Irvina Bles’arve, elle n’était pas humaine. Ces oreilles, faites de cartilage, étaient plus longues que celle des humains, ses yeux avaient un éclat rose rubis tandis que ces cheveux avaient la couleur du feu. Elle avait une tache de naissance sur la moitié de son visage ce qui l’enlaidissait, même si son visage restait correctement proportionné, et que son sourire, si elle se forçait, pouvait être éclatant.
Sa poitrine était assez volumineuse, mais pas trop, elle préférait, quand la poitrine est trop grosse, elle devient lourde et le dos souffre du surpoids vers l’avant. Sa poitrine avait une particularité, elle avait 2 tétons par sein, entouré d’une auréole rose, étant bien plus érogène que quand elle était humaine.
Ces hanches restaient plus étroites que celle d’un humain, et son vagin semblais plus petit et plus serré, contrairement à son clitoris qui était surdimensionné par à port a sa vie passée.
Elle mesurait 1 m 68 pour 55 kilos, elle était maigre, mais c’était dû à la malnutrition.
Son père, sa mère et son frère adoptif étaient des humains pur et dur… Ils l’avaient recueilli alors qu’elle n’était qu’un bébé découvert sur le bord d’une route dans les bras froids de sa mère naturelle.
Elle ne savait pas ce qui était advenu à son peuple, les Estrayants.
Depuis qu’elle était arrivée dans ce monde, sa mère n’avait eu de cesse de l’insulter et de la battre, elle était considérée comme une servante et dormait dans la remise.
Elle n’avait pas connu un moment de bonheur dans ce monde, elle était sans cesse surveillée et enfermée dans les moments ou elle ne travaillait pas. Elle avait bien essayé de s’échapper, mais sa mère l’avait attrapé et ce corps manque cruellement de force pour se défendre.
La porte grinça, elle regarda entrer son frère.
« Que veux-tu, Julian ? s’écria-t-elle resserrant sa couverture par réflexe.
— Allons, ne sois pas comme ça, je viens voir comment tu vas, mère a dit que tu avais été vilaine. Elle a dû te battre ? »
Il n’avait jamais été gentil avec elle, que voulait-il ?
« Oui… c’est très douloureux. », se plaignit-elle alors qu’il s’approchait d’elle.
Il s’installa à côté d’elle sur la paillasse et s’approcha de son oreille pour lui murmurer
« J’ai un ami qui m’a dit que les sous-êtres comme toi sont sensibles des oreilles, laisse-moi essayer. » Elle sentit un frisson lui parcourir le dos, sur ces mots. Avant qu’elle ne puisse réagir, Julian attrapa ces oreilles et commença à les masser doucement.
« Julian… s’il te plaît…— Ce ne sont que tes oreilles, t’inquiètes pas. Soit gentille. »
La chaleur commençait à lui monter depuis le bas de son ventre, les oreilles des Estrayants sont une zone extrêmement érogène, un simple massage, caresse et mordillement de celle-ci surpasse tout aphrodisiaque.
« S’il… te plaît… supplia-t-elle.
— Tu veux que j’arrête ?
— Oui… non… continue »Elle devint toute chaude, le désir montait depuis ces tripes ; elle n’avait qu’un désir, c’est d’assouvir cette nouvelle soif qui lui tressaillait le bas ventre.
Il se leva en baissant son pantalon laissant découvrir son pénis d’une vingtaine de centimètres, déjà droit et dur, il recommença à lui caresser les oreilles tout en tirant un peu la tête d’Irvina, lui mettant son sexe devant la bouche, le gland était déjà enflé et rose foncé.
Elle hésita, elle savait ce qu’il voulait, mais elle ne voulait pas lui faire plaisir, et pourtant… tout ce désir, toute cette envie qui la surpasser lui faisait perdre la raison, elle saisit le sexe de son frère et commença à le sucer dans un va-et-vient constant serrant les lèvres sans serré les dents.
Elle sortait sa langue de temps en temps pour lécher la trique tout en utilisant une de ces mains pour lui masser les testicules.
Plus le temps passa, plus le sexe de Julian grossissait, elle sentit que le bassin de son frère se contracta, elle ne voulait pas qu’il jouisse dans sa bouche. Elle le repoussa, mais trop tard, la verge de Julian venait de lui cracher en pleine figure.
« T’es dégueu ! », se plaignit-elle, pourtant ces désirs n’étaient pas assouvis.
Julian sortit une fiole de sa poche et la but sans prêter attention aux plaintes de l’Estrayante. Sans attendre, il lui donna une gifle.
En tombant en arrière, elle ne comprenait pas ce qu’il faisait, son dos et ces fesses la déchiraient de douleur alors que le désir était encore intense dans son corps.
Il l’obligea à se retourner, maintenant sa tête sur le sol en la tenant par la nuque.
Elle sentit qu’il enlevait le reste de sa robe de lambeaux et que ces fesses étaient à l’air, il enfonça son sexe sans aucun préliminaire.
La douleur, une déchirure, une brûlure, elle n’avait encore jamais eu de relations sexuelles.
Elle essaya de se relever, mais son frère ne la lâcha pas et continua son va et viens sans prendre en considération les désirs d’Irvina.
La douleur était toujours présente, mais diminuait… le plaisir montait au fond de ces tripes, elle sentait la chaleur toujours plus grande à chaque sensation de ce morceau de chair pris en étaux entre ces cuisses, des frissons lui parcourut la nuque alors que la continuité la tiraillait entre la douleur des blessures sur ces fesses frappées par les hanches de son frère et le plaisir que lui procurait la pine au fond, tout au fond d’elle.
Il sortit, avait-il déjà fini ? Pourtant elle ne l’avait pas senti et elle n’était pas du tout rassasiée.
Elle sentit le gland brûlant se poser sur son anus.
« Non… pas là… non… » Comme s’il allait l’écouter… Le pénis entra, lubrifié par le liquide vaginal, il s’enfonça profondément. Elle sentit sa gorge se serrer alors que toutes les sensations se faisaient sentir dans son anus, elle serra les fesses, ce qui excita encore plus son frère, qui la montait comme une bête. La bouche ouverte tandis que sa tête était toujours posée sur la paillasse, elle ne sut retenir un filet de bave qui lui coulait sur les lèvre, tandis que ces yeux se révulsaient de ce plaisir unique, quand la bite arrive tout au fond.
Elle sentit de nouveau le pénis sortir pour entrer à nouveau dans son vagin.
Elle le sentit se gonfler, grossir alors que Julian guidait son sexe au plus profond du sein, la chaleur montait jusqu’au bout de ces oreilles au moment où le souffle couper, les contractions succulentes se firent sentir tellement forte et tellement bon, il se déversa en elle dans un tressaillement uni des deux corps. Irvina avait l’impression qu’avec tout ce plaisir, le sang allait sortir de son clitoris tellement il était gonflé.
Julian sortit de son corps, lâchant la tête de sa sœur, dont le visage avait pris le pli de la paille. Elle resta allongée à bout de souffle et tourna la tête vers son frère.
« Depuis le temps que j’avais envie de te prendre comme une salope que tu es, mon ami avait raison, c’est efficace les oreilles. Et putain, ta chatte est si serrée… rien à voir avec les humaines. La prochaine fois je viendrai avec quelques copains. », dit-il avec un air satisfait avant de sortir de la remise, en fermant la porte grâce à la poutre la bloquant.
Irvina se regarda, un mélange de sang et de sperme avait coulé sur ces jambes, pourquoi n’avait-elle pas pu résister ? Un sentiment de honte s’éveillait en elle, mais… ces oreilles… pour quoi ce désir dès qu’il a commencé à les caresser ?
« Il veut revenir avec des copains… non je ne veux pas, juste là, ça n’aurait jamais du arrivé et maintenant… » La porte s’ouvrit avec fracas.
« Salope, tu as réussi à ensorceler Julian, je ne te pardonnerais pas ! cria sa mère en entrant suivit par son père et son frère un air penaud.
— Ce n’est pas vrai c’est lui qui…— Elle ment, elle m’a ensorcelé, je ne sais pas quel tour elle m’a joué, je m’inquiétais juste pour elle et sans que je le veuille, elle m’a forcé ! cria Julian.
— Père, je vous promets…— Ta gueule sale chienne, je t’ai accueilli, je t’ai nourri et pour finir tu as le diable au corps ? Je ne le permettrais pas.
— Mais père… essaya de s’expliquer Irvina— Ta gueule salope ! » Hurla sa mère en lui donnant un coup de pied dans le visage.
Elle s’écroula la vision troublée, le visage ensanglanté par une plaie a l’arcade sourcilière tandis que tout son corps maintenant dénudé était à la vue de tous.
« Puisque tu as le diable au corps, on va te sacrifier au démon qui habite la grande grotte au sud.
— Attache-la, on y va tout de suite, ordonna son père à Julian.
— Tu ne vas pas la laisser se changer ? Demanda-t-il— Pourquoi faire ? Au contraire, que tous voient cette fille impure sur le chemin qui mène à la grotte. » Les mains attachée, traînée totalement nue sur un chemin de campagne, les pierres lui taillaient la plante des pieds tandis que le vent automnal refroidissait son épiderme, cela n’était rien comparé à ce sentiment d’humiliation alors qu’ils traversaient le village, que les badauds la regardaient en salivant, et que leur mégère la maudissait de jalousie du regard de leurs maris.
Au bout d’une heure interminable suivi par les gens du village qui la reluquait tandis que les enfants jetaient des pierres sur son corps déjà meurtri de toute part, ils sont arrivés à un gouffre, tellement sombres et noirs qu’il était impossible de savoir ce qui s’y cachait.
« Va rejoindre les démons, salope ! » hurla sa mère, sans même attendre le feu vert de son père, elle la poussa.
Irvina regarda la lumière de la surface s’éloigner alors que dans son dos les ténèbres l’englobaient.
Durant sa chute qui lui parut durer une éternité, elle perçut le bruit discret de choses rampant en dessous.
Une peur effroyable s’empara de son cœur, elle ne voulait pas mourir comme ça, pas maintenant, après être revenue à la vie et avoir tant souffert.
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