Le châtiment pourpre. ch.2

- Par l'auteur HDS Minoa -
Récit érotique écrit par Minoa [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Récit libertin : Le châtiment pourpre. ch.2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-02-2020 dans la catégorie A dormir debout
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Le châtiment pourpre. ch.2
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

2. Objet.

Elle ouvrit les yeux, tout son corps lui faisait mal, tout était sombre autour d’elle. Quelque chose n’arrêtait pas de lui toucher le sexe.
Elle s’aperçut être attachée, contrainte, allongée sur un poteau de bois tandis qu’on la transportait, elle prit conscience des bruits l’entourant, des voix aigües se faisaient entendre.
« Chriiik
— Grig sriii fùmass
- Gan csssri frezz ? »

Elle ne comprenait pas cette langue, qui étaient-ils ? Que lui voulaient-ils ?
Ce qui est sûr, c’est que l’un de ses kidnappeurs en profitait pour la toucher, elle sentait clairement une main lui frotter les fesses puis essayer de lui enfoncer un doigt entre ces lèvres, sans autre forme de procédure.
Elle ne pouvait pas voir les gens autour d’elle, ne percevant que des ombres dans la pénombre.
Irvina mâcha le bâillon qu’elle avait dans la bouche, elle voulait leur dire de s’arrêter, de la laisser partir et surtout dire à celui qui la tripotait d’aller se faire foutre !
Elle gigota sur sa poutre et tomba de celle-ci, elle se retrouva attachée, les mains et pieds en l’air, tandis que ses kidnappeurs continuaient d’avancer.
Ses liens lui cisaillaient la peau et ces muscles étaient tirés à chaque avancée du groupe, elle versa quelques larmes de douleur tandis qu’enfin une lumière se montra dans le coin de son œil.

La première chose qu’elle put distinguer dans son champ de vision, ce fut la couleur peu naturelle, d’un vert prasin, des cuisses de ceux qui la transportaient.
Il ne portait, pour ceux dont on ne pouvait voir des fesses minces et musclées, qu’une sorte de jupes en peau de bête. En levant les yeux, elle put voir qu’ils étaient torses nu, il n’était pas bien grand entre 1 min 20 s et 1 min 40 s, elle ne pouvait pas distinguer leur visage. La seule chose dont elle vit était les cheveux coiffés en tignasse épaisse, genre dreadlocks.
Elle baissa les yeux pour regarder ceux qui la transportaient de l’autre côté, ils avaient un visage aussi vert que leur peau, des yeux jaunes, un petit nez renfrogné et des dents carnassières.
L’un d’eux la regarda et lui fit un sourire malsain.

Qu’allaient-ils faire d’elle ? Allaient-ils la manger ?

Ils entrèrent dans la pièce, elle fut jetée au sol avec sa poutre, ses bras et ses cuisses endolories purent se reposer un peu.
Ils recommencèrent à parler dans un jargon incompréhensible.

Au bout d’une minute ou deux, ils revinrent vers elle, ils étaient 5, tous avaient un sourire carnassier alors qu’ils s’approchaient, leurs phallus debout. Elle put voir que celui-ci, d’un vert à peine plus sombre, était parsemé de bosses sur toute sa longueur se finissant par une verge en forme de chapeau de champignon d’une couleur rose foncé.
Leur pénis n’était pas spécialement grand, peut-être 15 ou 16 cm, mais leurs difformités l’impressionnèrent alors qu’elle comprenait clairement ce qui allait advenir d’elle.

Chacun leurs tours, ils approchèrent de son derrière. Elle était attachée ne pouvant que subir, ne désirant que survivre, elle décida de laisser faire ces êtres ignobles.

À la première des pénétrations, le gland se gonfla dans son corps, elle le sentit, faisant un effet ventouse dans son vagin. Elle sentait les bosses multiples masser les muscles tendres se refermant sur la trique en érection. À chaque mouvement, elle avait l’impression que tout son intérieur était tiré vers l’arrière et allait s’arracher de ces entrailles, pourtant sans être douloureux plus comme une impression de succion interne, tandis que les excroissances lui frottaient l’intérieur du vagin, mais aussi ces petites lèvres ou même son clitoris.

Fermant les yeux, elle oublia l’allure peu gracieuse de ces êtres, et finalement un stimulus de plaisir s’ouvrit dans son corps. Elle voulait survivre et ne voulait pas souffrir.
Les protubérances, sans cesse, lui stimulant les muscles bulbo-caverneux ainsi qu’un certain point prés de la glande de skene, la faisant mouiller malgré elle, tandis que l’excitation montait toujours plus.
La gorge serrée dans son bâillon ; elle ne pouvait que subir ces sexes étranges les uns après les autres. Dès qu’un gonflait, faisant une énorme pression dans son vagin qui ne voulait que se contracter, qu’elle sentait un liquide sous pression s’infiltrer, un autre prenait sa place pour continuer cette danse interne particulière.

Irvina pleura, l’intérieur de son sexe si contracté lors de la dernière pénétration que ça en devint douloureux. Ce dernier être devait sentir que le vagin était plus étroit. À moins que ce ne soit le fait, d’avoir attendu son tour, qui l’avait excité, mais les coups sec et rapide était plus puissant que ceux de ces collègues.

Elle se laissa complètement aller, alors qu’une aspérité n’arrêtait pas de faire un frottis sur son point G. Des larmes coulèrent en abondance sur son visage, tandis que le plaisir la faisait tressaillir de tout son être. Il remonta dans son corps comme un raz de marée après un tremblement de terre caverneux, son cœur battait la chamade, elle pouvait ressentir cette gigantesque submersion de plaisir tandis que son souffle était coupé. Elle essaya de le reprendre, mais le plaisir lui montait dans la gorge, derrière les yeux ; elle avait l’impression que tout le sang de son corps voulait s’expulser de son être.

Elle trembla quelques secondes avant de se calmer et de reprendre son souffle par le nez tandis que le dernier être vert sortait de sa vulve.

Elle fut traînée, toujours attachée, jusqu’à une cellule dont les barreaux étaient faits de racines épaisses, comme un filin. Elle fut détachée et jetée en son antre tandis que l’entrave de la cellule se fermait comme par magie.

Enlevant son bâillon, elle était encore nue, non pas qu’il faisait froid, mais être nue, la rendait chétive et démunie, du moins c’était le sentiment qu’elle éprouvait, car un morceau de tissus n’a jamais changé grand-chose…

« T’es qu’une salope... se dit-elle pour elle-même, se souvenant du plaisir qu’elle avait ressenti lors du viol des êtres ignoble.
— Pourquoi ne puis-je pas m’empêcher ? continua-t-elle son monologue, tout en repensant à son frère adoptif.
— Ai-je trop souffert sexuellement dans ma vie précédente pour qu’aujourd’hui je ne ressente que de la soumission dès qu’on me force ? »

Irvina se frotta le bas-ventre, tout en se posant un tas de questions existentielles.



« Et ! Quand est-ce que je prends un bain ? » cria Irvina à l’adresse d’un de ces êtres qui passait devant sa cellule.
Cela faisait maintenant trois jours qu’elle était enfermée, on lui apportait deux repas par jour fait de viande et de racine, même si elle avait des doutes sur la viande, elle la dévorait quand même, elle ne voulait pas mourir, c’était la seule penser qui la maintenait.

Trois jours, sans sortir de la cellule, elle puait, depuis qu’elle avait été jetée dans ce trou, elle n’avait pas pu se laver, les matières organiques éparpillées sur son corps ne pouvaient que suinter. Son sexe, qui avait tant subi juste après son dépucelage n’avait pas connu l’eau fraiche d’une rivière ou d’un bassinet. La seule eau qu’elle obtenait elle le conservait pour ne pas mourir de soif.
Son corps commençait à aller mieux, ces bleus commençaient doucement à prendre la couleur jaune ocre, même si ces blessures au dos suintaient un peu, elle le sentait aux picotements dès qu’elle s’appuyait sur un mur ou autre.

Elle regarda en dehors de sa cellule, sa seule occupation, regarder ces êtres verts s’occuper, ils n’avaient, en fait, pas grand-chose à faire. Souvent, ils dormaient ou partaient chasser de gros rats, ou des chauves-souris vivants dans la grotte.
Pourtant aujourd’hui, elle sentit qu’il y avait une excitation parmi les hommes verts.

Un des hommes verts portant une peau de renard gris sur ces épaules et se servant du crâne encore attaché aux pelages comme casque arriva au centre de la grotte, marchant à l’aide d’un bâton, il semblait être le chef.
Il parla à ces troupes.

Ils s’éparpillèrent dans les quatre coins de la pièce et revinrent en son centre en ayant obtenu des épées rouillées, des lances de fortunes et autres gourdins.
La troupe, d’un quart de cent, partie ne laissant derrière elle qu’une dizaine d’entre eux dans le camp.

Quelques heures plus tard, des cris se firent entendre, ce qui réveilla, Irvina, de son sommeil, qui était particulièrement léger depuis qu’elle devait dormir à même le sol de sa cellule.
La troupe arriva, entraînant une dizaine de femmes et plusieurs cadavres d’homme.

Irvina regarda la scène, elle reconnut certaines des femmes qui venaient d’être jetées sur la place et rassemblées en son centre, entouré par tous les êtres verts aux sourires sadiques.
Elles venaient du village qu’elle avait traversé en venant.

Elle observa les femmes résister, et les petits êtres verts, assoiffés de sexe, leur arracher les vêtements laissant découvrir des peaux douces, il n’avait pris que de jeunes femmes.

Ils dénudèrent, de force, les seins plus ou moins voluptueux des femmes, leur arrachant leurs chemisiers, leurs robes ainsi que leur dessous tel des bêtes sauvages, bavant tous leurs désirs tandis que leurs mains crochues s’agrippaient aux hanches de la gent féminine qui suppliait tout ce qu’elle pouvait. Mais c’était trop tard, à partir du moment où elles avaient été capturées leurs destins étaient scellés.
Les êtres verts enfoncèrent leur phallus difforme dans le sexe des femmes tandis que ceux qui n’avaient pas de trous à remplir se contentaient de contraindre les femmes au sol.
Elles pleuraient de douleurs, suppliant ou hurlant leurs désarrois, tandis que les va-et-vient se faisaient et que des mains crochues leur caressaient les seins.

Une fois, la première tournée d’être vert avait fini, une seconde prit la place, et tout comme elle avait subi cela, les femmes au centre de la grotte n’avaient pas d’autre choix de s’accoutumer.

Irvina ne comprenait pas comment elle pouvait observer tout cela sans ressentir de sentiment de dégoût ou de compassion… si elle était franche avec elle-même ; elle ressentait comme une pointe de désir, résider dans son bas ventre, en observant cette scène.
Les humaines semblaient souffrir à chaque pénétration.
Depuis qu’elle avait changé de race, sa sensibilité au plaisir était-elle différente ?

Irvina remit en cause ces connaissances et son passé, était-ce la raison pour laquelle elle ne souffrait pas alors qu’on la forçait ? Son corps était-il différent de celui d’une humaine ?

Elle regarda à nouveau l’orgie se déroulant sur la place, le dernier groupe des verts venait de finir, les femmes recroquevillées sur elles-mêmes sanglotaient chacune leur souffrance intime et égoïste.

Le chef des hommes verts s’approcha de sa cellule, il l’observa quelques secondes. La jeune femme aux cheveux rouge et jaune regarda les yeux jaunes de l’être à la peau de renard, il lui sourit pour une raison inconnue ; non pas, un sourire carnassier comme les autres lorsqu’ils avaient attaqué les femmes, mais un sourire franc empli de petites dents aiguisées.
Il se détourna d’elle et commença à invoquer des prisons de racines le long de la paroi, créant ainsi une dizaine de cellules.
Les femmes aux habits arrachés venant de subir une torture physique des plus atroce que l’on nomme viols furent traînées chacune dans une cellule.

Irvina observa les femmes, elles se recroquevillaient chacune dans leurs cellules, souffrant en silence ou pleurant pour elle-même.
Quand la souffrance est personnelle, il n’y a plus de compassion entre les humaines.
Irvina détourna le regard de ces femmes, envers qui elle ne pouvait ressentir que du dégoût, après tout, n’était-ce pas elle qui l’avait insulté alors qu’on la traînait pour la jeter dans le gouffre ?
Pourquoi devait-elle ressentir de l’empathie envers celle qui l’avait condamné juste parce qu’elle était différente et traîner nue dans les rues du village ?

Les êtres verts déshabillèrent les cadavres des hommes, utilisant les hachoirs et des dagues, ils préparèrent la viande, désossant les muscles, enlevant le cuir, ils mirent la viande rouge dans du sel.
Puis, la viande est placée sur des filins tendus, pour la laisser sécher, tandis que tout le liquide tombait au sol dans un goûte à goûte.

« Voilà donc d’où vient cette viande… », murmura Irvina, en se rendant compte d’avoir mangé de l’humain, mais c’était soi manger, soi mourir, et elle voulait vivre.
Manger de l’humanoïde même si ce n’est pas la même race, est-ce considéré comme du cannibalisme ?

Un des êtres verts apporta sa ration de nourriture habituelle composée d’une racine et d’un morceau de viande séchée et d’une carafe d’eau.

Cette nuit-là, comment pouvait-elle savoir que c’était la nuit ? Le comportement des hommes verts était différent, ils éteignaient la plupart des torches ne laissant que quelques êtres en surveillance du camp, le reste montait le long d’échelles rustiques dans des mini grottes formées dans les parois de pierre.
Cette nuit-là donc, malgré les plaintes et les pleurs des humaines, elle réussit à dormir, mais elle rêva, contrairement à ces sommeils légers et sans rêve qu’elle avait connu jusqu’à présent.


Elle se trouvait dans un espace sombre, il n’y avait rien en dehors de l’obscurité, pourtant elle savait qu’elle voyait clairement, elle aperçut quelque chose du coin de son œil rose.
Un être rouge avec trois cornes sur le crâne, des yeux noirs à la pupille orange la regardaient tandis qu’elle était nue devant lui, dans son plus simple appareil, les 4 tétons pointaient devant elle.
L’être s’approcha, un énorme phallus se dressa entre eux au moment où il l’avait atteint.
D’une main aussi grande que son crâne, le démon rouge l’obligea à baisser la tête et prendre le phallus gigantesque dans sa bouche, elle crut ne pas y parvenir tellement il était énorme, le tenant à deux mains comme elle le pouvait, l’être ne lâcha pas sa tête l’obligeant à faire des va-et-vient violents tandis qu’elle sentait le bout énorme du pénis sans cesse faire pression sur ces amygdales, lui donnant envie de vomir à chaque fois.
Sa respiration était difficile avec une chose si grosse dans sa bouche, elle crut étouffer.
Elle voulut mordre pour l’obliger à arrêter, mais elle s’aperçut qu’elle n’avait plus de dents, et la pression qu’elle exerça avec sa mâchoire ne fit qu’exciter encore plus le démon.
Elle sentit le gland devenir aussi dur qu’un morceau d’acier au fond de sa bouche tandis que sa gorge se remplit d’un liquide pâteux et poisseux.
Enfin, il lâcha sa tête, elle put reprendre sa respiration et tousser les restes de sperme qui voulait s’infiltrer dans ces poumons.
Le sperme coula de sa bouche tandis qu’elle regardait le démon avec colère.

Il claqua des doigts sans un mot, elle se retrouva enchaînée sur un chevalier. Le dos contre le bois, les mains et pieds dirigés vers le sol tandis que ses hanches, dont l’entre-jambes est grand ouvert, s’offraient à la vue du démon.
Il approcha son énorme bite dont le gland couleur de sang était menaçant, il écarta les grande et petite lèvres d’Irvina, à l’aide de ces grosses paluches, il tirait fort dessus, Irvina hurla, une douleur languissante se fit sentir au moment ou il la pénétra.
Elle crut que ses muscles allaient se déchirer, mais finalement, tendus à l’extrême rien ne se déchira, au contraire, elle sentait cette énorme verge au fond de son vagin, repoussant toujours plus l’extrémité de celui-ci dans ces organes, elle n’en découvrit que du plaisir mêler à de la douleur, la douleur pouvait-elle être délicieuse ?
C’est ce qu’elle ressentait à ce moment précis, elle laissa couler un fin filet de bave tandis que le démon la fourrait de son orme membre.

Tout à coup, il cessa toute action, sortant de son corps. Elle le regarda surprise alors que les chaînes et le chevalier disparaissaient, la laissant libre de ces mouvements.
Le démon la regarda déçu et disparus.

Elle ouvrit les yeux, elle était dans sa cellule, que c’était-il passé ?
Elle se leva, sa vulve toute mouillée, elle serra les jambes, pour essayer de calmer son excitation. Voulant se concentrer sur le silence elle ne fit qu’entendre les pleurs et les supplications des femelles humaines. Elle regarda au travers de ces barreaux pour voir sa voisine directe en train de se débattre dans son sommeil, tout comme les autres prisonnières.
Faisait-elle le même rêve qu’elle ? Ou devrait-elle appeler cela un cauchemar ?

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