Le chemin de l'école, partie 22 - histoire érotique

Un soir, en rentrant du boulot, alors que les petits sont chez leur mère et Thomas à la caserne, je trouve un petit paquet sur la table de la salle à manger. Il est enveloppé de papier de soie noir et d’une ruban rouge. Dessus, une feuille ornée d’un cœur est posée, pliée en deux. Je l’ouvre et y découvre l’écrire de mon homme : « un petit cadeau qui va certainement me faire encore plus plaisir qu’à toi… ».

Je défait doucement le ruban, retire le papier de soie et ouvre la boîte. Une nouvelle feuille : « ne me lis que lorsque tu auras fini de déballer ton cadeau… ».

J’obéis et pose la missive sur la table. Dans la boîte, une étoffe de soir noire. Je la déplie et découvre une nuisette. Elle me semble plutôt courte. Le dos et la poitrine sont constitués de dentelle noire.

Je la repose sur la table et lis la lettre qui l’accompagnait :

« J’avais envie de te faire plaisir avec de la lingerie. Mais en voyant cette nuisette dans la vitrine de la boutique, je t’ai immédiatement imaginée avec et j’ai bandé comme un dingue… à tel point que je suis sûr quee la vendeuse la remarqué… j’ai hâte de te voir la porter ! Elle sera parfaite pour nos petits jeux... Je t’aime. »

En lisant ces mots, des frissons d’excitation parcourent mon corps et une vague de chaleur innonde ma chatte. J’imagine Thomas, la queue gonflée par le désir entrer dans cette boutique . J’imagine aussi la petite vendeuse, certainement une bombe, elles le sont toutes dans ces genre de boutique, voyant un mec canon passer le seuil de sa boutique et apercevoir la bosse qui rempli son jeans. Elle a certainement voulu verrouiller la porte du magasin, tourner le panneau « fermé » et entraîner le bel étalon dans une cabine ou l’arrière boutique pour se faire baiser.

L’excitation augmente encore et mon tanga est maintenant mouillé. Et je me dis que puisqu’il veut jouer, on va jouer... et prends mon portable.

« Merci pour ton cadeau… j’ai hâte qu’on l’inaugure… »

Sa réponse ne se fais pas attendre : « moi aussi puce. Rien que de t’imaginer avec, je sens à l’étroit dans mon boxer… »

« tu es seul ? » je lui demande.

« oui, je suis au dortoir. C’est mon heure de sieste pour encore trois quarts d’heure… »

« ben mets toi à l’aise alors… moi c’est ce que j’ai fait… »

J’accompagne mon message d’un selfie me montrant allongée sur le canapé juste vêtue de mon tanga rouge et du soutien-gorge assorti. Pour toute réponse, il m’envoie une photo de sa queue bien dressée.

« T’imagines même pas à quel point j’ai envie de la sentir dans tous mes trous… »

Quelques secondes plus tard, la photo de Thomas, torse nu, apparaît sur mon écran. Je décroche.

- Allo ? lui dis-je d’une voix très téléphone rose.
- Et toi, t’imagine même pas à quel point j’ai envie de te baiser à te faire hurler de plaisir…
- Vivement qu’on comble ces envies… rien que d’en parler, je suis déjà toute mouillée…

Je l’entends gémir au bout du fil .

- Enlève tes sous-vêtements et vas chercher ton gode double bébé, j’ai envie que tu te fasses du bien et de t’entendre jouir…

Je m’exécute alors que Thomas lance la demande pour passer l’appel en visio. Je cale le téléphone sur la table basse à l’aide d’un livre. Sur mon écran, j’aperçois le visage de Thomas. Il pose le sien sur la table de chevet à côté du lit puis s’installe à nouveau sur les draps. L’uniforme lui va si bien et il hyper sexy. Sa bite a encore grossi depuis le début de la discussion. Il la prend dans sa main droite et se branle doucement.

- Caresse toi les seins, m’ordonne-t-il.

Je passe mes mains doucement sur ma poitrine, m’attardant sur mes tétons pour les faire pointer.

- J’ai envie de les mordre, de les titiller avec ma langue, de les sentir durcir sous mes lèvres.

Alors qu’il parle de ce qu’il voudrait me faire, je pince mes tétons et tire dessus pour qu’ils durcissent encore. Je mouille un peu plus. Je pince plus fort jusqu’à me faire mal.

- Maintenant passe ta main sur ta chatte, doucement, du bout des doigts. Touche toi bien partout. Fais monter le plaisir.

Pendant que je me caresse, je le vois se branler un peu plus fort. J’adore le voir jouer avec sa grosse queue, me donnant des ordres.
- Doigtes-toi, mais un seul doigt…

Je fais pénétrer mon index dans ma chatte et commence un va et vient, tout en pressant mes parois intimes. J’ai envie de me remplir un peu plus et entre mon majeur mais Thomas me rappelle à l’ordre.

- Un seul doigt… c’est moi qui fixe les règles… par contre tu peux jouer avec ton clitoris à l’aide de ton pouce…

Je rougis face à la réprimande mais suis satisfaite de son ordre. Cependant l’envie de me fourrer un autre doigt se fait de plus en plus forte… Il finit par me dire d’en mettre un deuxième. Puis un troisième. Et un quatrième. Je me masturbe ainsi quelques minutes. Puis il me demande de me lécher les doigts : j’aime le goût de ma chatte.

- Maintenant que tu es bien mouillée, utilise la pour caresser ton petit trou de cul…

Sa respiration s’accélère, comme sa main sur sa queue. Je passe mon index sur ma chatte pour le mouiller et vais caresser mon abus. C’est tellement bon. Je fais des aller-retour entre ma chatte et mon cul.

- Mets toi assise face à ton portable. J’ai envie de profiter pleinement du spectacle. T’es tellement belle… et tellement sexy quand tu te comportes en salope ! Entres-y un doigt. Et caresse ta chatte avec ton autre main.

Je me redresse sur le canapé, écarte bien les cuisses face à mon téléphone en posant mes pieds sur la table basse. Je m’assieds bien au bord du canapé, les fesses dépassant légèrement dans le vide pour avoir le champ libre jusqu’à mon petit trou.

Je mouille mon majeur et l’enfonce doucement dans mon anus. Grâce aux nombreux coups de queue qu’il a reçu depuis le début ma relation avec Thomas, la pénétration se fait en douceur. Me voyant prendre du plaisir, il veut que j’en mette un deuxième. C’est avec délectation que j’obéis. J’ai envie de jouir mais essaie de faire monter la température avant de laisser exploser mon plaisir.

- Attrape le gode et baise toi avec

Je me saisis du jouet en forme du U et le fait pénétrer doucement. C’est bon de se sentir remplie. J’aimerais tant que ce soit sa queue qui occupe un de mes trous… J’augmente la vitesse des vas et viens que j’exerce sur le gode. Rapidement, je jouis en criant mon plaisir, ma mouille coulant jusqu’à mon trou de cul. De ma main libre, je caresse ma chatte avant de lécher mes doigts pleins de mon jus. Thomas veut que je continue de me baiser avec le gode. Je vis un deuxième orgasme encore plus fort que le précédent.

- Si seulement je pouvais mette ma bouche sur ta chatte… je boirais ton jus sucré…

En disant ces mots, il se branle de plus en plus vite et jouit sur son ventre.

Soudain son bipper sonne…

- Eh merde ! Je te laisse. Faut encore que j’essuie tout ça. Je t’aime. A toute puce.

Et il raccroche. Je suis encore toute émoustillée par notre sexephone. J’ai hâte que sa queue remplace mon jouet. Je décide d’aller me doucher. L’eau chaude me ramène sur terre. En sortant de la douche, je me promène nue dans la maison pour aller chercher la nuisette que Thomas vient de m’offrir. Se retour dans la salle de bains, je sèche mes cheveux et les attache en un chignon négligé.

Il rentre dans 40 minutes. Je décide de commander des sushis. 10 minutes avant que le livreur arrive, j’enfile la nuisette, mais ne met rien dessous. Je me maquille légèrement, m’asperge d’un peu de parfum et vais enfiler une paire d’escarpins rouge salope à talons très hauts.