Le chemin de l'école, partie 23
Récit érotique écrit par July [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-12-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le chemin de l'école, partie 23
A 19h55, le livreur sonne à la porte. Et d’humeur grivoise, c’est dans cette tenue que je lui ouvre. Il bredouille difficilement un bonsoir, ses yeux ne se détachant pas de mes seins. La dentelle laisse apparaître mes tétons. Je ne peux m’empêcher de laisser glisser mon regard jusqu’à son entrejambe et constate avec joie que sa queue forme une bosse dans son jogging.
Je lui demande combien je lui dois, il me répond non sans mal. Ravie de l’effet que je lui fais, je décide de pousser le vice un peu plus loin… Je fais ‘’malencontreusement’’ tomber quelques pièces sur le sol. Je me baisse d’abord face à lui pour en ramasser une, lui donnant une vue dégagée sur mes seins. Puis je me tourne, dévoilant mon cul. Le tissu étant si court qu’il n’a pas pu rater le fait que je ne porte rien dessous.
Puis je lui assène le coup de grâce, qui l’excitera autant qui lui fera comprendre qu’il peut toujours rêver :
- Je suis tellement maladroite... Ma petite amie devient folle quand je fais tomber des trucs…
Je vois son visage se décomposer et sa bosse grossir. Je lui tends l’argent et il me donne les sushis. Je lui souhaite une bonne soirée et je referme la porte.
Après avoir mis les sushis au frigo, j’attrape la chantilly, le miel et la sauce chocolat et vais les cacher dans ma table de chevet.
J’arrive dans le salon au moment où il passe la porte.
- Que me vaut cet accueil si chaleureux ? me demande-t-il en posant son sac de spot près du meuble à chaussures.
- Notre discussion m’a beaucoup excitée et un jouet en plastique ne remplacera jamais ta queue dans ma chatte et mon cul. Et j’ai envie de jouer avec ta bite bien dure…- Elle te va encore mieux que ce que j’avais imaginé.
- Le livreur a du se dire la même chose vu comme il bandait dans son pantalon ?
- Le livreur ?
- J’ai commandé à manger pour après. Et j’ai eu envie de le titiller un peu.
Je lui raconte mon petit jeu, la tête du livreur quand j’ai ouvert la porte et celle qu’il tirait en partant.
- T’es capable d’être une vraie garce ma puce… je trouve ça sexy aussi… tourne un peu que je t’admire.
Pour lui montrer que seule la nuisette couvre mon corps, je me penche en peu en avant pour lui montrer ma croupe. Il me fesse violemment, me faisant mal.
- Ça, c’est parce que tu parles comme une salope et que tu montres ton cul au livreur.
Puis il fait glisser sa langue le long de ma raie, s’attardant sur mon trou…
- Et ça, c’est parce que ça me fait graver bander !
Puis il me porte jusque dans la chambre. Il me pose sur le lit, s’assied au bord et enlève ses rangers. Je me mets à genoux derrière lui, me colle à son dos, passe mes mains sur son torse encore moulé dans son uniforme.
- Et si on commençait par le dessert ? Je lui murmure.
Il ne me répond pas. Il se contente de se retourner, de m’embrasser et de m’allonger sur le lit. Dans un tiroir de la commode, il attrape un de mes foulard et attache mes mains à la tête de lit.
- Tu n’aimes pas les desserts bébé ?
Toujours aucune réponse. Il prend deux autres foulards avec lesquels il attache mes chevilles au pied du lit formé de la même manière que la tête. Il prend soin de bien écarter mes cuisses et de serrer mes liens, m’empêchant ainsi de les resserrer.
Il commence par passer doucement sa langue sur mon clitoris avant la retirer très rapidement.
- Tu sais, je n’ai pas beaucoup aimé que tu ne m’écoutes pas tout à l’heure… j’avais dit un seul doigt… alors ça m’a donné une petite idée… je vais te ‘’punir’’ en te faisant jouir… mais je vais prendre tout mon temps…
Il enfonce alors son index dans ma chatte tout doucement… je gémis. Puis il le ressort et le rentre à nouveau très lentement. Il le fait plusieurs fois et je sens ma chatte mouiller. J’ai envie qu’il me remplisse davantage. Je contracte mon vagin, veux resserrer mes jambes pour le sentir un peu plus mais impossible de bouger avec ces liens.
Il plante son regard dans le mien et j’y vois de la malice et de l’excitation. Il joue ainsi plusieurs minutes. Je le supplie de me soulager en ajoutant d’autres doigts, il me sourit mais n’en fait rien. Au lieu de ça, il titille mon clitoris avec son pouce.
Je sens le désir d’être prise monter en moi. A ce moment, il enfonce un deuxième doigt dans ma chatte et fouille mon intimité. Quelques minutes après c’est un troisième doigt puis un quatrième qui viennent rejoindre les deux premiers. Avec ses grandes mains bien larges, ma chatte est maintenant pleine. Je sens mes parois se serrer autour de ses doigts quand il les bouge alors que son pouce caresse toujours mon bouton.
Il passe son autre main sous mes fasses et caresse mon petit trou de cul. J’ai envie de jouir mais il doit le sentir car il ralenti ses mouvements. Il veut jouer avec mon plaisir. C’est d’un sadisme !
Il finit par détacher mes chevilles.
- Ramène tes jambes sur ta poitrine, m’ordonne-t-il.
Pendant je lève les jambes, je l’entends ouvrir la ceinture et la braguette de son pantalon. Il se met à genoux devant moi. Il a gardé son uniforme et seule sa queue dépasse de son pantalon. Il est vraiment sexy en uniforme !!! Rien que de le voir comme ça, je mouille encore plus.
Il enfonce sa bite dans ma chatte et la ressort aussitôt pour l’enfoncer dans mon petit trou et donne plusieurs coups de reins violents, me faisant pousser quelques cris de douleur. Il attrape ensuite le stimulateur vagino-clitoridien qui peut servir pour les couples permettant la pénétration. Il le met en marche et l’insère dans ma chatte, veillant à bien placer la deuxième partie sur mon clitoris.
Immédiatement, mon corps est parcouru de doux frissons. Mes tétons pointent fort. Tout en continuant de m’enculer avec vigueur, il me doigte la chatte puissamment. Très rapidement je jouis en criant mon plaisir, la cyprine coulant à flots de ma chatte jusqu’à mon cul facilitant la pénétration de sa grosse queue dans mon cul.
Ses coups de reins se font plus insistants. De sa main libre, il sort mon sein droit de la dentelle. Il commence par le malaxer doucement puis pince mon téton déjà durci. Poussant mon sein par le dessous, il me demande de me sucer le téton.
Du bout des lèvres, je saisis le bout de chair qui pointe. Je passe d’abord ma langue dessus tout doucement. Puis je le aspire fortement avant de le mordiller.
Sous les assauts de ma langue, de sa queue et de ses doigts, je jouis une nouvelle fois, encore plus fort. Il se retire alors précipitamment et place sa bouche sur ma chatte alors que je suis en plein orgasme. Il la parcourt avec sa langue augmentant encore un peu plus ma jouissance.
Il me pénètre à nouveau et jouit bruyamment en moi avant de se laisser tomber à côté de moi, une main sur mon sein.
- T’es sadique !
- Pourtant tu as jouis plusieurs fois… c’est que ça te plaît… et tu es terriblement bandante quand tu es vulnérable ! J’ai limite envie de te laisser attachée pour recommencer dans quelques heures…
Il éclate de rire en voyant mes yeux s’écarquiller. Il m’embrasse tout en détachant le liens autour de mes poignets.
- Par contre, tu as fait tomber à l’eau mon dessert spécial…- On pourra se rattraper… je suis jamais rassasié de te baiser.
Il m’embrasse, se lève et part se doucher. J’en profite pour aller sortir les sushis du frigo et préparer nos plateaux repas. Il me rejoint à la table de la salle à manger, vêtu d’un boxer noir mettant en valeur ses fesses et son sexe. Après avoir mangé, on s’installe sur le canapé, blottis l’un contre l’autre devant un film avant d’aller dormir.
Je lui demande combien je lui dois, il me répond non sans mal. Ravie de l’effet que je lui fais, je décide de pousser le vice un peu plus loin… Je fais ‘’malencontreusement’’ tomber quelques pièces sur le sol. Je me baisse d’abord face à lui pour en ramasser une, lui donnant une vue dégagée sur mes seins. Puis je me tourne, dévoilant mon cul. Le tissu étant si court qu’il n’a pas pu rater le fait que je ne porte rien dessous.
Puis je lui assène le coup de grâce, qui l’excitera autant qui lui fera comprendre qu’il peut toujours rêver :
- Je suis tellement maladroite... Ma petite amie devient folle quand je fais tomber des trucs…
Je vois son visage se décomposer et sa bosse grossir. Je lui tends l’argent et il me donne les sushis. Je lui souhaite une bonne soirée et je referme la porte.
Après avoir mis les sushis au frigo, j’attrape la chantilly, le miel et la sauce chocolat et vais les cacher dans ma table de chevet.
J’arrive dans le salon au moment où il passe la porte.
- Que me vaut cet accueil si chaleureux ? me demande-t-il en posant son sac de spot près du meuble à chaussures.
- Notre discussion m’a beaucoup excitée et un jouet en plastique ne remplacera jamais ta queue dans ma chatte et mon cul. Et j’ai envie de jouer avec ta bite bien dure…- Elle te va encore mieux que ce que j’avais imaginé.
- Le livreur a du se dire la même chose vu comme il bandait dans son pantalon ?
- Le livreur ?
- J’ai commandé à manger pour après. Et j’ai eu envie de le titiller un peu.
Je lui raconte mon petit jeu, la tête du livreur quand j’ai ouvert la porte et celle qu’il tirait en partant.
- T’es capable d’être une vraie garce ma puce… je trouve ça sexy aussi… tourne un peu que je t’admire.
Pour lui montrer que seule la nuisette couvre mon corps, je me penche en peu en avant pour lui montrer ma croupe. Il me fesse violemment, me faisant mal.
- Ça, c’est parce que tu parles comme une salope et que tu montres ton cul au livreur.
Puis il fait glisser sa langue le long de ma raie, s’attardant sur mon trou…
- Et ça, c’est parce que ça me fait graver bander !
Puis il me porte jusque dans la chambre. Il me pose sur le lit, s’assied au bord et enlève ses rangers. Je me mets à genoux derrière lui, me colle à son dos, passe mes mains sur son torse encore moulé dans son uniforme.
- Et si on commençait par le dessert ? Je lui murmure.
Il ne me répond pas. Il se contente de se retourner, de m’embrasser et de m’allonger sur le lit. Dans un tiroir de la commode, il attrape un de mes foulard et attache mes mains à la tête de lit.
- Tu n’aimes pas les desserts bébé ?
Toujours aucune réponse. Il prend deux autres foulards avec lesquels il attache mes chevilles au pied du lit formé de la même manière que la tête. Il prend soin de bien écarter mes cuisses et de serrer mes liens, m’empêchant ainsi de les resserrer.
Il commence par passer doucement sa langue sur mon clitoris avant la retirer très rapidement.
- Tu sais, je n’ai pas beaucoup aimé que tu ne m’écoutes pas tout à l’heure… j’avais dit un seul doigt… alors ça m’a donné une petite idée… je vais te ‘’punir’’ en te faisant jouir… mais je vais prendre tout mon temps…
Il enfonce alors son index dans ma chatte tout doucement… je gémis. Puis il le ressort et le rentre à nouveau très lentement. Il le fait plusieurs fois et je sens ma chatte mouiller. J’ai envie qu’il me remplisse davantage. Je contracte mon vagin, veux resserrer mes jambes pour le sentir un peu plus mais impossible de bouger avec ces liens.
Il plante son regard dans le mien et j’y vois de la malice et de l’excitation. Il joue ainsi plusieurs minutes. Je le supplie de me soulager en ajoutant d’autres doigts, il me sourit mais n’en fait rien. Au lieu de ça, il titille mon clitoris avec son pouce.
Je sens le désir d’être prise monter en moi. A ce moment, il enfonce un deuxième doigt dans ma chatte et fouille mon intimité. Quelques minutes après c’est un troisième doigt puis un quatrième qui viennent rejoindre les deux premiers. Avec ses grandes mains bien larges, ma chatte est maintenant pleine. Je sens mes parois se serrer autour de ses doigts quand il les bouge alors que son pouce caresse toujours mon bouton.
Il passe son autre main sous mes fasses et caresse mon petit trou de cul. J’ai envie de jouir mais il doit le sentir car il ralenti ses mouvements. Il veut jouer avec mon plaisir. C’est d’un sadisme !
Il finit par détacher mes chevilles.
- Ramène tes jambes sur ta poitrine, m’ordonne-t-il.
Pendant je lève les jambes, je l’entends ouvrir la ceinture et la braguette de son pantalon. Il se met à genoux devant moi. Il a gardé son uniforme et seule sa queue dépasse de son pantalon. Il est vraiment sexy en uniforme !!! Rien que de le voir comme ça, je mouille encore plus.
Il enfonce sa bite dans ma chatte et la ressort aussitôt pour l’enfoncer dans mon petit trou et donne plusieurs coups de reins violents, me faisant pousser quelques cris de douleur. Il attrape ensuite le stimulateur vagino-clitoridien qui peut servir pour les couples permettant la pénétration. Il le met en marche et l’insère dans ma chatte, veillant à bien placer la deuxième partie sur mon clitoris.
Immédiatement, mon corps est parcouru de doux frissons. Mes tétons pointent fort. Tout en continuant de m’enculer avec vigueur, il me doigte la chatte puissamment. Très rapidement je jouis en criant mon plaisir, la cyprine coulant à flots de ma chatte jusqu’à mon cul facilitant la pénétration de sa grosse queue dans mon cul.
Ses coups de reins se font plus insistants. De sa main libre, il sort mon sein droit de la dentelle. Il commence par le malaxer doucement puis pince mon téton déjà durci. Poussant mon sein par le dessous, il me demande de me sucer le téton.
Du bout des lèvres, je saisis le bout de chair qui pointe. Je passe d’abord ma langue dessus tout doucement. Puis je le aspire fortement avant de le mordiller.
Sous les assauts de ma langue, de sa queue et de ses doigts, je jouis une nouvelle fois, encore plus fort. Il se retire alors précipitamment et place sa bouche sur ma chatte alors que je suis en plein orgasme. Il la parcourt avec sa langue augmentant encore un peu plus ma jouissance.
Il me pénètre à nouveau et jouit bruyamment en moi avant de se laisser tomber à côté de moi, une main sur mon sein.
- T’es sadique !
- Pourtant tu as jouis plusieurs fois… c’est que ça te plaît… et tu es terriblement bandante quand tu es vulnérable ! J’ai limite envie de te laisser attachée pour recommencer dans quelques heures…
Il éclate de rire en voyant mes yeux s’écarquiller. Il m’embrasse tout en détachant le liens autour de mes poignets.
- Par contre, tu as fait tomber à l’eau mon dessert spécial…- On pourra se rattraper… je suis jamais rassasié de te baiser.
Il m’embrasse, se lève et part se doucher. J’en profite pour aller sortir les sushis du frigo et préparer nos plateaux repas. Il me rejoint à la table de la salle à manger, vêtu d’un boxer noir mettant en valeur ses fesses et son sexe. Après avoir mangé, on s’installe sur le canapé, blottis l’un contre l’autre devant un film avant d’aller dormir.
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