Le Club - 4.1 - Katarina - histoire érotique

Suite à un commentaire sur la longueur de l'opus précédent, celui-ci est coupé en 3

1/3

----------------------------------

De retour à mon domicile, je décidais de configurer ma nouvelle adresse électronique dans mes différents logiciels de messagerie afin de rester connecter au club, que ce soit sur mon ordinateur, comme sur mes terminaux mobiles.
Je reçus, dans la foulée, un message de bienvenue m’invitant à me connecter sur le site internet du club pour définir un mot de passe ; finalisant ainsi mon inscription.
Ceci fait, j’entrepris de créer un compte de paiement en ligne. Attendant la validation de ce nouveau compte, je décidais de naviguer sur le site internet du club pour m’en imprégner.

Le site était plutôt succinct, certainement pour éviter les intrusions et assurer l’anonymat des membres. On trouvait donc uniquement deux onglets : un onglet permettant de gérer ses inscriptions, et un onglet permettant de gérer son profil.
Je sélectionnais l’onglet « Profil » pour voir ce qu’il contenait. J’y retrouvais, mon pseudonyme et la gestion de mes informations de connexion, le statut de paiement de ma cotisation, la date de mon inscription et de mes derniers tests biologiques, mon affiliation à ma guide, et les deux badges que j’avais déjà remportés avec la date à laquelle ils avaient été validés par mon guide.
Je cliquais maintenant sur l’onglet « Inscription » afin d’appréhender son utilisation. Je découvrais un planning construit sous la forme d’un agenda permettant une navigation par semaine ; chaque journée se trouvant divisée par tranche d’une heure, et celles comprises entre 10h00 – 24h00 étaitent sélectionnables. La sélection d’une ou plusieurs tranches horaires entrainant l’ouverture d’une fenêtre « pop-up » permettant de valider ou d’annuler la demande. Certains créneaux, laissaient apparaître des points de couleurs qui, lorsqu’ils étaient survolés par le curseur de la souris, affichaient un commentaire portant le pseudonyme des membres déjà inscrits. Le fonctionnement me paraissait donc plutôt simple et ergonomique.

Entre-temps, mon compte de paiement ayant été validé, je retournais sur l’onglet « Profil » et cliquais sur le statut de ma cotisation afin de voir s’il était possible d’effectuer directement le paiement. Cette action ouvrit un nouveau pop-up intitulé « régler la cotisation » proposant des liens vers les sites de paiements en ligne les plus populaires. Je sélectionnais le site qui me concernait, et pu effectuer mon paiement. Une fois ce dernier validé, je fus renvoyé sur la page de mon profil où mon statut portait maintenant la mention « cotisation annuelle acquittée le » suivi de la date du jour. Une bonne chose de faite, je pouvais maintenant me considérer officiellement membre du club.

J’hésitais à contacter Mathilde par l’intermédiaire de ma messagerie électronique quand je reçu une notification m’indiquant que mon guide venait de réserver le créneau de 15h00 à 18h00 le mardi suivant. Je consultais rapidement mon planning pour voir si j’étais disponible sur ce même créneau. Je n’avais que quelques réunions facilement déplaçables dans la matinée et décidais donc d’utiliser pour la première fois l’outil de réservation en ligne pour le mardi suivant de 15h00 à 18h00. Je remarquais que les plages horaires portaient maintenant un point jaune dont le survol mentionnait « Mathilde ». Je faisais rapidement le rapprochement entre le code couleur du site et celui du peignoir de ma guide. Je validais donc ma réservation pour voir si un nouveau point apparaissait et comment il allait être symbolisé mais n’en vit aucun. Je m’interrogeais sur la bonne prise en compte de ma demande, quand je me souvenu du commentaire de Mathilde : « c’est moi qui devrais valider ton inscription ».
Cette évocation me remit nos ébats en mémoire et, alors que je sentais une érection poindre, je reçu la notification suivante : « Votre guide vient de valider votre inscription. ». Je consultais à nouveau le planning du site, et pu y découvrir, à côté du point signalant l’inscription de Mathilde, un cercle jaune qui indiquait la mienne. Ainsi les guides devaient être représentés par des ronds pleins, et leur disciple par un cercle de couleur idoine.

Mon logiciel de messagerie mit fin à ma réflexion en m’indiquant la réception d’un nouveau message dans la boite de réception « jacques@leclub.com ». J’affichais la fenêtre de ma messagerie et ouvrais le message que je venais de recevoir :

« Mon très cher Jacques,

J’espère que tu t’es bien remis de tes émotions…
J’ai vu que tu avais effectué le paiement de ta cotisation et t’en remercie.
Ton inscription est donc maintenant complète, je peux donc te souhaiter,
officiellement, la bienvenue parmi nous.
Je viens de valider ton inscription pour mardi et me réjouis d’avance de notre
prochain rendez-vous.
J’ai contacté Katarina qui sera ravie de partager ce moment avec nous…
…donc prépares toi à devoir satisfaire non plus une, mais deux femmes exigeantes ;)

Tendrement,
Mathilde »

Le premier message de ma guide !

J’avais hâte d’être à mardi prochain, hâte de revoir Mathilde et, je dois bien l’admettre, hâte de rencontrer Katarina.
J’avais toujours été attiré par les formes des femmes, préférant la rondeur à la minceur, mais je n’avais jamais eu de partenaire que l’on puisse qualifier de grassouillette.
Il m’arrivait souvent, que ce soit sur la plage, ou à la piscine, de regarder discrètement les attributs de femmes bien en chair, et plus particulièrement leurs cuisses. Je m’imaginais les caresser, enlacer leurs hanches larges, ou encore empoigner leurs fesses généreuses. Si Katarina était bien comme ma guide me l’avait décrite, j’allais peut-être réaliser ce fantasme, et c’est à Mathilde que je le devrais.

Je décidais d’ôter toutes ses pensées de mon esprit, sinon l’attente jusqu'au mardi suivant allait être interminable…

******

Mardi, midi.
J’avais réussi à replanifier, non sans effort, l’ensemble de mes réunions de la journée sur la matinée et étais maintenant totalement libéré pour l’après-midi. Impatient, anxieux, je n’avais pas vraiment d’appétit, mais décidais qu’il fallait que je mange un peu pour être suffisamment en forme pour le rendez-vous qui m’attendais. J’avalais rapidement un sandwich jambon beurre et un soda, repas peu équilibré, j’en convenais, mais qui m’apporterait assez d’énergie sans risquer l’indigestion.
Je consultais ma messagerie, et vérifiais que j’avais bien reçut le code permettant d’ouvrir la porte sans déranger Katarina dans son astreinte. Il y avait bien un message portant l’objet « Code d’entrée. » mais il y en avait un autre de Mathilde dans le répertoire des messages non-luts. J’ouvrais rapidement ce dernier craignant qu’un contre temps ne vienne gâcher mon plaisir...

« Mon très cher Jacques,
Pense à mettre tes bracelets, poignets et chevilles, nous en aurons besoin…
…et n’oublie pas de mettre ton loup, nous avons une invitée.
Je compte sur toi pour impressionner Katerina essais d’anticiper ses désirs, son
plaisir sera le mien…

Charnellement,
Mathilde »

Mathilde semblait attendre beaucoup de moi et je sentais presque une certaine tension de ma guide au sujet de ce rendez-vous.
L’après-midi s’annonçait pimentée, mais j’avouais ressentir une petite appréhension à aller retrouver deux femmes très affirmées sexuellement dont j’allais devoir satisfaire, et même devancer, les moindres désirs.

L’heure tournait et il allait falloir que je me mette en route si je ne voulais pas faire patienter mes deux déesses du plaisir.

Il était 15h00 pile quand je tapais, pour la première fois, le code sur le clavier, et poussais la porte.
Je récupérais ma tenue dans le casier et pu remarquer que Mathilde était déjà arrivée car son bac était rempli par ses vêtement de ville. J’ouvrais la première cabine vestiaire, et après une douche rapide mais appliquée, je revêtais, ma tenue en prenant soin de bien nouer mon loup derrière la tête, et surtout d’équiper mes poignets et mes chevilles de leur bracelets de cuir.
Enfin prêt, je passais du coté luxure, allais rapidement déposer mon bac à vêtement dans notre casier, et franchissais le lourd rideau de velours rouge.

Katarina était assise, jambes croisées, face à moi, au milieu de l’immense canapé en « U ».

- Bonjour Jacques, je suis ravie de faire ta connaissance. Mathilde m’a beaucoup parlée de toi. Entre, Mathilde est en train de se préparer, elle va rapidement nous rejoindre.
- Bonjour Katarina. Lui répondais-je. Je suis honoré de vous rencontrer et me réjouis d’avance de mettre tout en œuvre pour vous satisfaire.

Elle était vêtue d’un déshabillé pourpre gansé de noir. Ses jambes croisées écartaient les pans de son peignoir. J’en profitais pour la détailler, moi qui m’étais imaginé longuement ses courbes voluptueuses, et estimer si la réalité allait satisfaire mes espérances.
Brune, les cheveux longs, elle avait un port de tête altier. Son, visage, posé sur un cou allongé, était dissimulé derrière un loup de dentelle suggestif à travers lequel je devinais de grands yeux noisette qui, comme j’étais en train de la faire, me détaillaient de la tête au pied. D’une carrure large, je devinais qu’elle était plutôt grande et estimais qu’elle devait faire environ la même taille que moi. Le vêtement de soie, associé à sa position assise, ne me permettait pas d’appréhender en détail les formes, mais je devinais aisément des courbes plus que généreuses. Impression confirmée par un bassin d’une largeur telle que je l’estimais presque trop imposant pour me permettre de l’enlacer complètement. Continuant à la dévorer du regard, je posais mes yeux sur un genou massif que sa posture laissait apparaître entre les pans de tissu. Il était gainé d’une fine résille noire et assurait la jonction entre une cuisse imposante et une jambe au mollet idoine.
Tout en elle semblait démesuré.
Ayant remarqué mon manège et percevant certainement le désir qu’elle suscitait, elle se leva pour venir à rencontre ; puis, s’arrêtant à quelques pas de moi, planta un regard autoritaire dans le mien.
Comme je l’avais estimé, elle devait mesurer au moins un mètre soixante-quinze ce qui lui conférait une stature d’amazone très pulpeuse.

- J’ai l’impression que mes formes voluptueuses t’intriguent mais ne laissent pas indifférent.

Disant cela elle dénoua la ceinture de son déshabillé et en écarta les pans.
Le corps que je découvrais me laissait sans voix. Ses formes étaient au-delà de tout ce que j’avais pu imaginer.
Sa poitrine gigantesque débordait littéralement de son soutient gorge de dentelle rouge sombre, son ventre, gainé dans un porte jarretelle taille haute à armatures assorti, ne laissait entrevoir aucun bourrelet disgracieux. Ses hanches larges, ornées de jarretières, supportaient des cuisses épaisses qui se terminaient par des genoux potelés en formant de charmants bourrelets. Je retrouvais les mollets imposant au le galbe accentué par des chevilles bien dessinées. Sa chatte, totalement épilée, se résumait à une fine fente formée par des lèvres charnues qui masquaient son clitoris.

- Ne sois donc pas si timide, viens donc écarter de ta langue mes lèvres joufflues et découvrir ce qu’elles renferment.

Je ne me fis pas prier, et m’agenouillant à ses pieds, venais plaquer mon visage entre ses cuisses pour lécher copieusement les bourrelets que formait son sexe.

- Je pensais que tu allais d’abord profiter de la situation pour honorer mes cuisses charnelles qui semblaient susciter chez toi un intérêt non dissimulé.
- Ce serait un vrai plaisir Katarina, vos formes sont une invitation au plaisir et je les choierais volontiers en prenant soin de n’oublier aucun centimètre carré de votre peau douce et laiteuse.

Disant cela, je me reculais et posais mes mains sur ses hanches pour les caresser.

- Attends, laisse-moi retirer mes bas, tu pourras mieux profiter de ma peau douce et laiteuse…

Elle dégrafa les jarretelles, libérant ses bas résilles avant de les ôter pour révéler la peau fine de ses cuisses auréolées d’une multitude de capitons de cellulite.
Je pu enfin venir couvrir ces dernières de baisers, enfouissant mon visage dans les chaires molles. Mes mains enlaçaient ses hanches et glissaient sur son énorme fessier rebondi, lui aussi couvert de capitons, caressant plus particulièrement le sourire que dessinaient ses fesses à la naissance de ces cuisses.
Je me délectais de cet instant, m’enivrait de son parfum et sentais l’excitation monter.
Elle devait elle aussi apprécier ce moment car je l’entendais soupirer de plaisir alors que ma langue parcourait la zone sensible et visiblement érogène de l’intérieur de ces cuisses. Elle agrippa ma tête et lentement guida mon geste, la faisant remonter vers son entre jambe pour venir plaquer mon visage sur sa chatte qui luisait de désir. Elle m’enjoignait maintenant à insérer ma langue entre ses lèvres charnues. Je la fis remonter le long de sa fente, m’insinuant entre ses petites lèvres jusqu'à leur intersection où je découvrais son clitoris ornementé du même piercing que ma guide. Je m’affairais à la satisfaire lorsque j’entendis, venant de derrière moi, la voix de Mathilde.