Le Club - 4.2 - Katarina
Récit érotique écrit par James [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-12-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le Club - 4.2 - Katarina
Suite à un commentaire sur la longueur de l'opus précédent, celui-ci est coupé en 3
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- Je vois que vous avez fait connaissance. Contente de voir que vous avez brisé la glace.
Je me détournais du sexe de Katarina, pour saluer mon guide, esquissant un sourire dégoulinant de cyprine.
- Bonjour mon guide, j’espère que mon infidélité ne vous chagrine pas. J’ai cru comprendre que Katarina et vous étiez amies, et j’ai voulu lui faire les honneurs qui siée à votre rang commun.
- Tu as très bien fait Jacques, et je t’encourage à reprendre ton œuvre et à la satisfaire comme il se doit.
Encouragé par ma guide, je repris donc ma tâche, insérant un peu plus profondément ma langue dans le vagin de Katarina, qui ondula en ronronnant de plaisir.
- Alors ma belle Katarina, comment trouves-tu mon nouveau disciple ?
- Le premier mot qui me vient à l’esprit est : différent …!
Mais dans sa différence, il est parfait, attentif, calme, et sa maitrise du cunnilingus témoigne de l’amour qu’il voue aux femmes. Et j’ai aussi l’impression qu’il aime les grosses vu le plaisir qu’il prend à malaxer ma cellulite et à embrasser mes énormes cuisses. Je suis presque déçue de ne pas avoir été d’astreinte la semaine dernière et de ne pas lui avoir mis la main dessus avant toi.
J’étais flatté par les compliments de Katarina mais surtout intrigué par son premier qualificatif. En quoi étais-je différent, qu’avait-elle voulue dire ?
Je n’eus pas vraiment le temps de m’appesantir sur la question car ma guide repris la parole.
- Je vous propose de poursuivre sur une des dormeuses, Jacques, vient t’installer confortablement, tu pourras continuer à satisfaire Katarina qui semble apprécier le traitement que lui prodigues.
Je me libérais de l’étreinte des cuisses envoutantes de Katarina et vins m’allonger sur le siège recouvert d’une serviette éponge épaisse. J’en déduisais que l’après-midi allait certainement être très humide.
Mathilde vint alors se saisir des sangles pour m’attacher les mains, et me demanda de lever les jambes à la verticale. Je m’exécutais curieux de voir dans quelle position j’allais me retrouver, mais devinais déjà que ces entraves allaient me mettre à la merci de ces deux amazones. Mon guide m’empoigna les chevilles et, accrochant une nouvelle sangle à chacun de mes poignets, m’attacha les chevilles. Je me retrouvais totalement entravé, ne pouvant plus bouger, le bassin bien relevé. Elle déboutonna mon entre-jambe en profitant pour caresser tendrement mes fesses.
- Je t’ai préparé une petite surprise, j’ai amené de quoi mettre en valeur ton sexe et ton cul.
Elle me présenta alors ce qu’elle avait dans les mains. Il s’agissait d’un anneau en silicone et d’un plug anal en métal, à l’extrémité duquel se trouvait un cristal noir opaque.
Elle s’agenouilla puis, dégageant mon sexe de mon pantalon, elle attrapa mes testicules pour les glisser au travers de l’anneau avant d’y introduire ma verge encore molle. Je ressenti une compression au niveau de sa base qui stimula mon érection.
- Tu vas voir, cela va empêcher le reflux sanguin et maintenir une érection plus vigoureuse. Tu devrais donc pouvoir nous satisfaire à tour de rôle. Pour le plug, je ne sais pas si tu en as déjà porté, mais celui-ci devrait stimuler te délicieusement l’anus et, grâce à son poids, faire pression sur ta prostate pour te faire découvrir des sensations nouvelles. Je vais préparer délicatement ton cul à le recevoir et l’insérer progressivement. Il est important que tu sois au maximum décontracté. Je suis sûr que les larges cuisses de Katarina enserrant ta tête et sa chatte accueillant ta langue, devrait permettre de te détendre suffisamment.
Comprenant le rôle qui lui était dévolu, Katarina retira son peignoir, et je vis une jambe épaisse m’enjamber pour venir me présenter son sexe que j’avais déjà copieusement humidifié. Elle agrippa alors ma tête entre deux mains pour venir la plaquer sur ses lèvres charnues. Je sentais sur mes joues la pression qu’exerçaient les muscles de ses cuisses flasques et me délectais du contact chaud de sa peau. Dans le même temps, Mathilde déposa une noisette de lubrifiant sur mon anus et le massa délicatement de son index, je la sentais exercer de petites pressions sur mon orifice avant d’y introduire la première phalange. Inconsciemment je contractais mon sphincter, emprisonnant en mon sein son doigt qu’elle tourna pour lui redonner de l’espace. Je la sentais s’insinuer plus profondément en moi et, la pulpe de son doigt ayant identifié ma prostate, elle la massa doucement dans un mouvement circulaire en variant la pression. Je sentis une vague de picotements remonter dans mon ventre et relâchais la contraction de mon anus.
- Je vois que tu trouves ça agréable. Dit-elle en commençant à effectuer des va-et-vient avec son doigt.
Ma langue s’occupant du vagin de Katarina, je ne pouvais pas répondre verbalement à ma guide. Je fis onduler alors mon bassin en guise de réponse et accompagnais ainsi ces mouvements. Je sentis son majeur me pénétrer et ses mouvements s’amplifier. J’avais l’impression qu’une nuée de papillons virevoltait dans mon bas ventre, la sensation était délicieuse.
La tête toujours maintenue entre les mains de Katarina, je la sentis se dandiner. Pensant que ces mouvements étaient dus à mon cunnilingus, j’accentuais la succion mais découvris rapidement mon erreur quand une goute d’urine vint poindre de son urètre.
- A me lécher comme ça, il va me faire pisser ! Mathilde, acceptes-tu que je me soulage dans la bouche de ton disciple ?
Retirant ses doigts de mon fondement, Mathilde répondit :
- Bien sûr ma belle, Jacques est à ta disposition. Jacques, j’avais oublié de te le dire, mais Katarina a toujours envie d’uriner lors des cunnilingus bien exécutés. C’est la rançon du travail bien fait. Je compte sur toi pour lui permettre d’assouvir ce besoin.
A peine eut-elle le temps de lui répondre, que déjà je sentais un filet d’urine s’écouler de la chatte de Katarina. J’ouvrais donc ma bouche en grand, ma tête toujours maintenue fermement, et Katarina pus se soulager, libérant de si puissants jets chauds et salés que j’avais du mal à avaler. J’espérais que la taille de la vessie n’était pas proportionnelle au gabarit de Katarina, sinon je doutais de pouvoir tout boire. Je ressentais néanmoins la même excitation qu’avec Mathilde en m’abreuvant de cette urine directement à sa source, et mon sexe toujours oppressé par l’anneau de silicone gonfla rapidement.
C’est le moment que choisi ma guide pour venir poser le plug sur mon anus et l’insérer lentement. Le contact froid du métal me surpris et, dans un mouvement de recul, je libérais ma tête de l’étreinte de Katarina qui m’aspergea allègrement le visage avant de contracter ses muscles pour arrêter le flux. Réajustant sa prise elle me replaqua la bouche délicatement mais fermement contre sa chatte et repris sa miction.
Le plug était entré. Je sentais la masse froide se réchauffer doucement en moi alors que Mathilde, qui s’était saisie de la base, le faisait bouger, appliquant une douce pression sur mes parois anales. Puis, saisissant mon sexe fièrement dressé, elle le prit en bouche et me prodigua une lente fellation.
Je ne savais plus sur quelle sensation focaliser mon attention.
Les jets de Katarina se firent moins puissant puis la source se tarie. Elle libera ma tête et, attrapant un mouchoir essuya l’urine qui maculait mon visage.
- Merci beaucoup Jacques, cependant il y a eu un petit accident, il va falloir nettoyer mes cuisses qui se sont bien faites arrosées. Ensuite, tu pourras reprendre ton cunnilingus, que je puisse te faire gouter à ma cyprine.
Elle leva sa jambe droite pour me présenter sa cuisse souillée d’urine. J’avançais alors ma tête et tendais ma langue pour venir recueillir les goutes qui ruisselaient sur la masse flasque. Elle me présenta ensuite sa jambe gauche afin que je répète l’opération.
Enfin, elle posa son pied gauche sur mon épaule droite, venant positionner sa chatte entrouverte juste au-dessus de mon visage. Dans cette position, les muscles de ses cuisses s’étaient contractés, raffermissant ses chairs et tendant sa peau douce et laiteuse. J’embrassais cette peau lisse de tous capitons, profitant de cette vue excitante, avant de plonger ma langue entre ses lèvres et de la faire courir en lents allers-retours. Ma langue glissait de son anus à son clitoris ; ce qui semblait satisfaire Katarina qui accompagnait chacun de mes mouvements en ondulant son large bassin.
Ma guide libéra ma verge de l’éteinte de ses lèvres. Elle avait bien lubrifié ma bite et je sentais sa salive chaude dégouliner sur mes testicules. L’anneau devait faire son office car mon sexe était bandé à l’extrême, la peau de mon prépuce était si tendue que je doutais qu’elle puisse encore recouvrir mon gland gonflé. Les cuisses et le large bassin de Katarina m’empêchaient de voir ce que faisait Mathilde mais je la sentis agripper mes chevilles accentuant la flexion de bassin déjà contraint par les entraves, au point de venir appuyer mes cuisses contre mon torse. Elle empoigna ma verge qui avait suivie le mouvement pour la relever non sans mal au vu de sa rigidité. Enfin elle l’introduit dans sa chatte et commença de long va-et-vient. Mon gland coulissait contre les parois de son vagin dans une pénétration si profonde qu’il devait toucher son utérus. Je sentais sa chatte dégouliner de plaisir, et la lubrification aidant elle augmenta le rythme de ces mouvements. Le plug oscillait dans mon cul au rythme de ses va-et-vient aidé par l’inertie de la masse de métal.
J’étais stimulé simultanément au niveau de la majorité de mess zones érogènes, et certainement les plus réceptives. La sensation était enivrante et je devinais que je risquais de ne pas résister bien longtemps. Voulant contrôler et retarder mon orgasme, je me concentrais sur la chatte de Katarina alors que déjà Mathilde émettait de longs cris de plaisir. Je m’activais donc à titiller le clitoris qui m’était offert, alternant entre de longues pressions et de puissantes aspirations sur l’organe érectile et son bijou. Les ondulations de Katarina devinrent plus rapides et, de ses mains, elle empoigna fermement ma tête pour restreindre mes mouvements et augmenter la pression de ma bouche. Sa respiration s’accéléra et je sentis les muscles intérieurs de ces cuisses se tendre alors que les mouvements de son bassin devenaient frénétiques. Elle émit un long râle de plaisir et me gratifia d’un puissant jet de cyprine.
La vague de liquide chaud déferlant dans ma bouche poussa mon excitation à son paroxysme, et, alors que je m’abreuvais de la jouissance de Katarina, j’expulsais, dans le vagin de Mathilde, de longs jets de sperme que la stimulation de ma prostate rendait interminables. Katarina avait lâché ma tête et s’était reculée, appuyant son pied plus fermement sur mon épaule, me plaquant contre le dossier du siège. Elle masturbait énergiquement son clitoris, m’aspergeant copieusement entre chacun des spasmes qui animaient son corps et contractaient chaque muscle de son anatomie généreuse.
Mathilde, de son coté, avait haussé le rythme et la violence de ses va-et-vient, ses cris devenaient plus aigus, ses mains se crispèrent sur mes chevilles. Le plug oscillait dans mon cul, me labourant littéralement à chaque assaut sur ma verge qui, malgré une éjaculation abondante, restait gonflée et rigide. Je sentais les muscles vaginaux de Mathilde se contracter, rendant les pénétrations plus difficiles, plus intense. Je ne savais plus si je ressentais de la douleur ou du plaisir et cette sensation ambiguë m’était délectable.
Ni tenant plus, Mathilde se démancha, libérant mon sexe de l’étreinte de sa chatte. Le cri de plaisir qu’elle lâcha fut accompagné d’une explosion de liquide chaud qui nous aspergea Katarina et moi, libérant toute la jouissance ma guide dans un unique jet abondant. L’énorme fessier de Katarina m’avait protégé en grande partie de la projection et je voyais la cyprine de Mathilde ruisseler sur les larges fesses, dégoulinant sur ses cuisses et sur mon torse, se mélangeant à celle des ultimes jets Katarina. Dans le même temps, je sentais mon sperme couler du sexe entrouvert de ma guide sur mes fesses.
Nous avions tous trois eu un orgasme quasi simultané et on ne peut plus intense. Nos corps se relâchaient. Mathilde s’était rassise tremblotante sur mon bassin, enveloppant chaudement ma verge toujours animée de soubresauts dans sa chatte bien ouverte. Katarina avait toujours sa jambe gauche posée sur mon épaule et je voyais les muscles de sa cuisse pendre animés de tremblements, tandis que sa peau laiteuse se couvrait de chaire de poule.
Ayant retrouvée ses esprits, Mathilde libéra mes chevilles des sangles qui les entravaient et se releva. Je pus déplier mes jambes et les allonger sur la dormeuse, retrouvant une position plus confortable. Katarina libera mon épaule avant de venir s’assoir à califourchon sur mon ventre. Je sentais tout le poids de son corps massif et avait l’impression d’être entièrement englobé par ces chairs
Mathilde se tenait debout, devant nous, le sexe maculé de sperme et les cuisses dégoulinantes de cyprine.
- J’ai des choses à voir au bureau, je vais vite prendre une douche, je vous laisse une petite demi-heure.
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- Je vois que vous avez fait connaissance. Contente de voir que vous avez brisé la glace.
Je me détournais du sexe de Katarina, pour saluer mon guide, esquissant un sourire dégoulinant de cyprine.
- Bonjour mon guide, j’espère que mon infidélité ne vous chagrine pas. J’ai cru comprendre que Katarina et vous étiez amies, et j’ai voulu lui faire les honneurs qui siée à votre rang commun.
- Tu as très bien fait Jacques, et je t’encourage à reprendre ton œuvre et à la satisfaire comme il se doit.
Encouragé par ma guide, je repris donc ma tâche, insérant un peu plus profondément ma langue dans le vagin de Katarina, qui ondula en ronronnant de plaisir.
- Alors ma belle Katarina, comment trouves-tu mon nouveau disciple ?
- Le premier mot qui me vient à l’esprit est : différent …!
Mais dans sa différence, il est parfait, attentif, calme, et sa maitrise du cunnilingus témoigne de l’amour qu’il voue aux femmes. Et j’ai aussi l’impression qu’il aime les grosses vu le plaisir qu’il prend à malaxer ma cellulite et à embrasser mes énormes cuisses. Je suis presque déçue de ne pas avoir été d’astreinte la semaine dernière et de ne pas lui avoir mis la main dessus avant toi.
J’étais flatté par les compliments de Katarina mais surtout intrigué par son premier qualificatif. En quoi étais-je différent, qu’avait-elle voulue dire ?
Je n’eus pas vraiment le temps de m’appesantir sur la question car ma guide repris la parole.
- Je vous propose de poursuivre sur une des dormeuses, Jacques, vient t’installer confortablement, tu pourras continuer à satisfaire Katarina qui semble apprécier le traitement que lui prodigues.
Je me libérais de l’étreinte des cuisses envoutantes de Katarina et vins m’allonger sur le siège recouvert d’une serviette éponge épaisse. J’en déduisais que l’après-midi allait certainement être très humide.
Mathilde vint alors se saisir des sangles pour m’attacher les mains, et me demanda de lever les jambes à la verticale. Je m’exécutais curieux de voir dans quelle position j’allais me retrouver, mais devinais déjà que ces entraves allaient me mettre à la merci de ces deux amazones. Mon guide m’empoigna les chevilles et, accrochant une nouvelle sangle à chacun de mes poignets, m’attacha les chevilles. Je me retrouvais totalement entravé, ne pouvant plus bouger, le bassin bien relevé. Elle déboutonna mon entre-jambe en profitant pour caresser tendrement mes fesses.
- Je t’ai préparé une petite surprise, j’ai amené de quoi mettre en valeur ton sexe et ton cul.
Elle me présenta alors ce qu’elle avait dans les mains. Il s’agissait d’un anneau en silicone et d’un plug anal en métal, à l’extrémité duquel se trouvait un cristal noir opaque.
Elle s’agenouilla puis, dégageant mon sexe de mon pantalon, elle attrapa mes testicules pour les glisser au travers de l’anneau avant d’y introduire ma verge encore molle. Je ressenti une compression au niveau de sa base qui stimula mon érection.
- Tu vas voir, cela va empêcher le reflux sanguin et maintenir une érection plus vigoureuse. Tu devrais donc pouvoir nous satisfaire à tour de rôle. Pour le plug, je ne sais pas si tu en as déjà porté, mais celui-ci devrait stimuler te délicieusement l’anus et, grâce à son poids, faire pression sur ta prostate pour te faire découvrir des sensations nouvelles. Je vais préparer délicatement ton cul à le recevoir et l’insérer progressivement. Il est important que tu sois au maximum décontracté. Je suis sûr que les larges cuisses de Katarina enserrant ta tête et sa chatte accueillant ta langue, devrait permettre de te détendre suffisamment.
Comprenant le rôle qui lui était dévolu, Katarina retira son peignoir, et je vis une jambe épaisse m’enjamber pour venir me présenter son sexe que j’avais déjà copieusement humidifié. Elle agrippa alors ma tête entre deux mains pour venir la plaquer sur ses lèvres charnues. Je sentais sur mes joues la pression qu’exerçaient les muscles de ses cuisses flasques et me délectais du contact chaud de sa peau. Dans le même temps, Mathilde déposa une noisette de lubrifiant sur mon anus et le massa délicatement de son index, je la sentais exercer de petites pressions sur mon orifice avant d’y introduire la première phalange. Inconsciemment je contractais mon sphincter, emprisonnant en mon sein son doigt qu’elle tourna pour lui redonner de l’espace. Je la sentais s’insinuer plus profondément en moi et, la pulpe de son doigt ayant identifié ma prostate, elle la massa doucement dans un mouvement circulaire en variant la pression. Je sentis une vague de picotements remonter dans mon ventre et relâchais la contraction de mon anus.
- Je vois que tu trouves ça agréable. Dit-elle en commençant à effectuer des va-et-vient avec son doigt.
Ma langue s’occupant du vagin de Katarina, je ne pouvais pas répondre verbalement à ma guide. Je fis onduler alors mon bassin en guise de réponse et accompagnais ainsi ces mouvements. Je sentis son majeur me pénétrer et ses mouvements s’amplifier. J’avais l’impression qu’une nuée de papillons virevoltait dans mon bas ventre, la sensation était délicieuse.
La tête toujours maintenue entre les mains de Katarina, je la sentis se dandiner. Pensant que ces mouvements étaient dus à mon cunnilingus, j’accentuais la succion mais découvris rapidement mon erreur quand une goute d’urine vint poindre de son urètre.
- A me lécher comme ça, il va me faire pisser ! Mathilde, acceptes-tu que je me soulage dans la bouche de ton disciple ?
Retirant ses doigts de mon fondement, Mathilde répondit :
- Bien sûr ma belle, Jacques est à ta disposition. Jacques, j’avais oublié de te le dire, mais Katarina a toujours envie d’uriner lors des cunnilingus bien exécutés. C’est la rançon du travail bien fait. Je compte sur toi pour lui permettre d’assouvir ce besoin.
A peine eut-elle le temps de lui répondre, que déjà je sentais un filet d’urine s’écouler de la chatte de Katarina. J’ouvrais donc ma bouche en grand, ma tête toujours maintenue fermement, et Katarina pus se soulager, libérant de si puissants jets chauds et salés que j’avais du mal à avaler. J’espérais que la taille de la vessie n’était pas proportionnelle au gabarit de Katarina, sinon je doutais de pouvoir tout boire. Je ressentais néanmoins la même excitation qu’avec Mathilde en m’abreuvant de cette urine directement à sa source, et mon sexe toujours oppressé par l’anneau de silicone gonfla rapidement.
C’est le moment que choisi ma guide pour venir poser le plug sur mon anus et l’insérer lentement. Le contact froid du métal me surpris et, dans un mouvement de recul, je libérais ma tête de l’étreinte de Katarina qui m’aspergea allègrement le visage avant de contracter ses muscles pour arrêter le flux. Réajustant sa prise elle me replaqua la bouche délicatement mais fermement contre sa chatte et repris sa miction.
Le plug était entré. Je sentais la masse froide se réchauffer doucement en moi alors que Mathilde, qui s’était saisie de la base, le faisait bouger, appliquant une douce pression sur mes parois anales. Puis, saisissant mon sexe fièrement dressé, elle le prit en bouche et me prodigua une lente fellation.
Je ne savais plus sur quelle sensation focaliser mon attention.
Les jets de Katarina se firent moins puissant puis la source se tarie. Elle libera ma tête et, attrapant un mouchoir essuya l’urine qui maculait mon visage.
- Merci beaucoup Jacques, cependant il y a eu un petit accident, il va falloir nettoyer mes cuisses qui se sont bien faites arrosées. Ensuite, tu pourras reprendre ton cunnilingus, que je puisse te faire gouter à ma cyprine.
Elle leva sa jambe droite pour me présenter sa cuisse souillée d’urine. J’avançais alors ma tête et tendais ma langue pour venir recueillir les goutes qui ruisselaient sur la masse flasque. Elle me présenta ensuite sa jambe gauche afin que je répète l’opération.
Enfin, elle posa son pied gauche sur mon épaule droite, venant positionner sa chatte entrouverte juste au-dessus de mon visage. Dans cette position, les muscles de ses cuisses s’étaient contractés, raffermissant ses chairs et tendant sa peau douce et laiteuse. J’embrassais cette peau lisse de tous capitons, profitant de cette vue excitante, avant de plonger ma langue entre ses lèvres et de la faire courir en lents allers-retours. Ma langue glissait de son anus à son clitoris ; ce qui semblait satisfaire Katarina qui accompagnait chacun de mes mouvements en ondulant son large bassin.
Ma guide libéra ma verge de l’éteinte de ses lèvres. Elle avait bien lubrifié ma bite et je sentais sa salive chaude dégouliner sur mes testicules. L’anneau devait faire son office car mon sexe était bandé à l’extrême, la peau de mon prépuce était si tendue que je doutais qu’elle puisse encore recouvrir mon gland gonflé. Les cuisses et le large bassin de Katarina m’empêchaient de voir ce que faisait Mathilde mais je la sentis agripper mes chevilles accentuant la flexion de bassin déjà contraint par les entraves, au point de venir appuyer mes cuisses contre mon torse. Elle empoigna ma verge qui avait suivie le mouvement pour la relever non sans mal au vu de sa rigidité. Enfin elle l’introduit dans sa chatte et commença de long va-et-vient. Mon gland coulissait contre les parois de son vagin dans une pénétration si profonde qu’il devait toucher son utérus. Je sentais sa chatte dégouliner de plaisir, et la lubrification aidant elle augmenta le rythme de ces mouvements. Le plug oscillait dans mon cul au rythme de ses va-et-vient aidé par l’inertie de la masse de métal.
J’étais stimulé simultanément au niveau de la majorité de mess zones érogènes, et certainement les plus réceptives. La sensation était enivrante et je devinais que je risquais de ne pas résister bien longtemps. Voulant contrôler et retarder mon orgasme, je me concentrais sur la chatte de Katarina alors que déjà Mathilde émettait de longs cris de plaisir. Je m’activais donc à titiller le clitoris qui m’était offert, alternant entre de longues pressions et de puissantes aspirations sur l’organe érectile et son bijou. Les ondulations de Katarina devinrent plus rapides et, de ses mains, elle empoigna fermement ma tête pour restreindre mes mouvements et augmenter la pression de ma bouche. Sa respiration s’accéléra et je sentis les muscles intérieurs de ces cuisses se tendre alors que les mouvements de son bassin devenaient frénétiques. Elle émit un long râle de plaisir et me gratifia d’un puissant jet de cyprine.
La vague de liquide chaud déferlant dans ma bouche poussa mon excitation à son paroxysme, et, alors que je m’abreuvais de la jouissance de Katarina, j’expulsais, dans le vagin de Mathilde, de longs jets de sperme que la stimulation de ma prostate rendait interminables. Katarina avait lâché ma tête et s’était reculée, appuyant son pied plus fermement sur mon épaule, me plaquant contre le dossier du siège. Elle masturbait énergiquement son clitoris, m’aspergeant copieusement entre chacun des spasmes qui animaient son corps et contractaient chaque muscle de son anatomie généreuse.
Mathilde, de son coté, avait haussé le rythme et la violence de ses va-et-vient, ses cris devenaient plus aigus, ses mains se crispèrent sur mes chevilles. Le plug oscillait dans mon cul, me labourant littéralement à chaque assaut sur ma verge qui, malgré une éjaculation abondante, restait gonflée et rigide. Je sentais les muscles vaginaux de Mathilde se contracter, rendant les pénétrations plus difficiles, plus intense. Je ne savais plus si je ressentais de la douleur ou du plaisir et cette sensation ambiguë m’était délectable.
Ni tenant plus, Mathilde se démancha, libérant mon sexe de l’étreinte de sa chatte. Le cri de plaisir qu’elle lâcha fut accompagné d’une explosion de liquide chaud qui nous aspergea Katarina et moi, libérant toute la jouissance ma guide dans un unique jet abondant. L’énorme fessier de Katarina m’avait protégé en grande partie de la projection et je voyais la cyprine de Mathilde ruisseler sur les larges fesses, dégoulinant sur ses cuisses et sur mon torse, se mélangeant à celle des ultimes jets Katarina. Dans le même temps, je sentais mon sperme couler du sexe entrouvert de ma guide sur mes fesses.
Nous avions tous trois eu un orgasme quasi simultané et on ne peut plus intense. Nos corps se relâchaient. Mathilde s’était rassise tremblotante sur mon bassin, enveloppant chaudement ma verge toujours animée de soubresauts dans sa chatte bien ouverte. Katarina avait toujours sa jambe gauche posée sur mon épaule et je voyais les muscles de sa cuisse pendre animés de tremblements, tandis que sa peau laiteuse se couvrait de chaire de poule.
Ayant retrouvée ses esprits, Mathilde libéra mes chevilles des sangles qui les entravaient et se releva. Je pus déplier mes jambes et les allonger sur la dormeuse, retrouvant une position plus confortable. Katarina libera mon épaule avant de venir s’assoir à califourchon sur mon ventre. Je sentais tout le poids de son corps massif et avait l’impression d’être entièrement englobé par ces chairs
Mathilde se tenait debout, devant nous, le sexe maculé de sperme et les cuisses dégoulinantes de cyprine.
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