Le club de patchwork, Brigitte

- Par l'auteur HDS Pourquoi pas -
Auteur homme.
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Récit libertin : Le club de patchwork, Brigitte Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-07-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

Couleur du fond :
Le club de patchwork, Brigitte
Le jour J arrive enfin. Nous avons à peine le temps de répéter que Brigitte sonne à la porte.
« Bonjour Françoise. Ah mais tu as de la compagnie. »
« Bonjour. Oui, c’est Benjamin, le jeune homme de l’autre jour. Je profite de ses services pour vider l’armoire du bureau. »
Elles s’installent pour boire un thé et papotent tranquillement pendant que je fais semblant de ranger des cartons. Au bout de quelques minutes le téléphone de Françoise sonne.
« Ah bon ? Mince alors. »
« … »
« Oui bien sûr j’ai ton double. Ne bouge pas j’arrive tout de suite. »
« C’est Jocelyne » nous dit-elle. « Elle a oublié ses clés à l’intérieur alors elle est enfermée dehors. Je file lui apporter son double. Brigitte surveille Benjamin pendant mon absence et pas de bêtises. »
Elle file en faisant un clin d’œil malicieux. Ca y est je suis seul avec Brigitte, c’est à moi de jouer. Rien que de penser à ce qu’on va faire (si je me débrouille bien) je sens déjà un frémissement dans mon caleçon. Brigitte accuse quelques années de vol mais mes aventures avec Françoise et Jocelyne me laissent bon espoir de passer un bon moment avec elle. C’est sûr qu’elle ne respire pas le sexe ; 1m55 environ, une bonne soixantaine de kilos mais elle soigne son apparence avec des vêtements qui ne font pas ‘mémère’ et un maquillage subtil. Elle ne s’habille pas pour plaire mais il y a une certaine recherche dans sa tenue. Elle est gentille et plutôt bavarde alors elle vient voir ce que je fais dans le bureau.
« Françoise m’a dit de surveiller alors je surveille. »
« Pas de problème. Je dois vider cette armoire car Françoise veut la déplacer si j’ai bien compris. Il y a des tonnes de bazar là-dedans ! »
« Mais non ce n’est pas du bazar. C’est du matériel pour le patch. »
« Et bien il vous en faut beaucoup du matériel. Oula ce carton pèse au moins 30 kilos. Elle a mis des briques dedans ou quoi ? »
Je tire le carton vers moi et je fais semblant d’avoir du mal à le bouger. Je trébuche et ‘malencontreusement’ le carton s’ouvre en étalant son contenu sur le sol. Et bien Françoise n’y est pas allée de main morte. Dvd et magazines x se répandent sur le sol accompagnés de trois vibromasseurs, d’un gode ceinture et d’une paire de menotte qui atterrit aux pieds de Brigitte. C’est le genre de menottes avec de la fourrure autour. Elle la ramasse et commence à jouer avec.
« Ca t’intéresse les menottes ? » lui dis-je.
« Oui mais c’est moi qui t’attache. Comme ça tu ne feras plus de bêtises. »
« Ne m’entraîne pas sur ce terrain, je serais capable de te dire ‘oui’ »
« C’est ce qu’on va voir. Viens par ici que je t’attache sur le bureau. »
Je m’exécute, je me couche sur le ventre sur le bureau et Brigitte attache mes mains autour d’un des pieds du bureau. Je suis donc penché en avant avec les mains attachées mais je joue le jeu car je sens que ça va dériver vers le sexe. De toute façon ce genre de menottes est facile à ouvrir, je pourrais donc m’en défaire sans souci si les choses ne tournent pas comme je veux.
Brigitte est sortie de la pièce et je l’entends parler. On dirait qu’elle est au téléphone mais je ne comprends pas ce qu’elle dit. Quelques minutes s’écoulent jusqu’au moment où j’entends la porte d’entrée s’ouvrir. C’est Françoise et Jocelyne qui reviennent. Mince, dans notre scénario on avait convenu que je leur enverrais un sms quand les choses seraient bien avancées. Elles entrent toutes les trois dans le bureau et rigolent en me voyant ainsi attaché.
« Et bien alors ? Qu’est-ce qui se passe ? »
« On va pouvoir profiter de lui tranquillement…. »
Je fais semblant de protester. Le scénario a manifestement été changé sans qu’on me prévienne et je crois que les rôles ont été quelques peu redistribués. Mais cette situation m’excite et un petit moment de domination me convient très bien.
Elles se déshabillent toutes les trois en me provoquant. Des mains baladeuses viennent se promener sur mon corps
« Viens donc toucher mes seins. »
« C’est dommage que tu ne puisse pas me caresser. »
« Regarde un peu ce joli minou juste à côté de toi. »
« Mais attendez les filles » dit Brigitte « je ne l’ai pas vu nu ce jeune homme. »
« Et bien vas-y. A toi de le déshabiller. »
Joignant le geste à la parole, Brigitte glisse une main sous mon ventre pour défaire mon pantalon. Je l’aide un peu en me soulevant du bureau, elle fait tomber mon pantalon sur mes chevilles puis elle caresse mon sexe déjà bien dur dans mon caleçon. Ca y est, elle le libère et m’enlève ce dernier bout de tissu. Je la croyais coincée selon les dires de ses copines. Tu parles, elle n’hésite pas une seconde et elle me masturbe incroyablement bien. Pendant ce temps Françoise et Jocelyne se sont emparées des vibromasseurs et jouent entre elles. L’atmosphère est survoltée et les langues courent sur tous les corps. Jocelyne vient se mettre devant moi et se penche en avant pour me laisser une vue imprenable sur ses fesses.
« Ce n’est pas parce que tu as les mains attachées que tu ne peux pas utiliser ta langue. »
Je m’emploie donc à lécher la partie visible de son sexe. Difficile à faire attaché sur le bureau, ma langue finit donc par dériver sur son anus.
« Les filles, Benjamin est en train de me lécher l’anus. »
« Pousse toi un peu, moi aussi j’ai envie qu’il me lèche. »
C’est ainsi que les fesses de Brigitte viennent remplacer celles de Jocelyne, puis Françoise vient prendre la suite. Les vibromasseurs passent de main en main et de chatte en chatte. Brigitte s’équipe du gode ceinture, fait coucher Françoise à côté de moi sur le bureau, et la pénètre vigoureusement. Le visage de Françoise grimace de plaisir.
« Ca ne vaut pas un vrai sexe d’homme mais c’est bon quand même. »
« Attend un peu que je te sodomise » lui rétorque Brigitte. « On verra si c’est moins bien qu’un homme. »
« Ah non, encore ta manie de la sodomie. Essaye sur Benjamin tant qu’il est à ta merci. »
« Très bonne idée. »
« Eh….je n’ai pas mon mot à dire ? »
« Non. Laisse toi faire, c’est tout. »
Brigitte vient se placer derrière moi et positionne le gode ceinture sur mon anus. Elle pousse fermement et je sens le sextoy s’enfoncer en moi. Cela fait déjà quelques minutes que j’ai détaché mes mains mais je ne m’esquive pas. Je me cramponne au bureau et je la laisse faire. C’est un peu douloureux au début mais la sensation de pénétration est très agréable par la suite. Elle y va doucement et elle appuie bien au fond, elle fait de petits mouvements verticaux au point qu’elle commence à gémir. Elle enlève le gode ceinture et j’aperçois qu’il y avait une partie du sextoy à l’intérieur de sa chatte. Elle se couche sur le dos et demande à ce que je la prenne. Je relève ses jambes, ses pieds à hauteur de mes épaules et je pénètre la troisième femme de ce trio de copines. Il ne faut pas longtemps pour que nous jouissions ensemble. Françoise et Jocelyne finissent leurs petits jeux peu après nous.

Nous finissons affalés dans le canapé nous promettant de remettre ça prochainement.
Nous nous sommes revus mais pas de manière régulière et rarement tous ensemble mais à chaque fois ça a été de très bons moments.

Seulement dans tes rêves.

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