Le club de patchwork, Jocelyne. - histoire érotique

Quelques jours plus tard je reçois un coup de téléphone ‘appelant inconnu’.
« Bonjour, je suis Jocelyne du club de patch. C’est Françoise qui m’a donnée ton numéro de téléphone car elle m’a dit que tu déménageais bien. »
« Ah. Elle a dit ça ? Je suis content que mes services lui aient plu. »
« C’est pour ça que j’appelle. J’aurais un meuble à déplacer et j’aurais besoin d’un homme pour m’aider. »
Oulala, j’ai le cerveau en ébullition. Pas seulement le cerveau d’ailleurs. Je n’en reviens pas ; Françoise est en train de me refiler à sa copine. Je ne sais pas du tout qui est Jocelyne mais tant pis. Si elle aussi chaude que Françoise ça me va. Rendez-vous est pris un après-midi de la semaine suivante.
J’arrive donc chez Jocelyne qui me fait entrer et m’asseoir sur le canapé. Elle mesure environ 1m60, les cheveux courts, brushing impeccable, maquillage parfaitement dosé. Elle est rondelette avec une poitrine très généreuse qui tend son petit haut moulant.
« Je ne vais pas y aller par 4 chemins. Françoise m’a parlé de toi. Elle m’a dit que vous vous étiez vus et que c’était super bien. Alors j’en veux aussi. »
Pour toute réponse je me couche sur elle en l’embrassant à pleine bouche. J’ai compris pourquoi je suis ici et elle sait ce qu’elle veut alors nous n’hésitons pas. Elle pose sa main sur ma braguette et me caresse à travers mon pantalon. Je me déshabille pendant qu’elle enlève son haut. Je détache son soutien-gorge ce qui libère ses deux énormes seins. Ils tombent un peu mais je n’en ai jamais vu d’un tel volume. Je plonge ma tête entre eux et je joue avec les tétons. Je suis maintenant debout devant Jocelyne assise dans le canapé. Elle me masturbe gentiment puis elle s’approche et place ma verge entre ses seins. Elle commence à les frotter sur mon sexe. Je découvre la branlette Espagnole. Elle vient poser ses lèvres sur mon gland tout en continuant de bouger ses seins sur ma verge. Jamais aucune femme avant ne m’avait fait ça.
« A ton tour de t’occuper de moi. »
Elle me bascule sur le canapé et vient presque s’asseoir sur mon visage. Je sors ma langue et je viens lécher sa vulve poilue. Je viens à peine de commencer que j’entends Jocelyne gémir. Elle se frotte carrément sur moi et elle appuie de plus en plus fort. Soudain elle s’arrête, elle se retourne et vient s’empaler sur ma verge tendue. Elle ne se jette pas dessus mais elle a fait ça d’un mouvement direct (un peu comme on s’assoit sur une chaise). Maintenant elle est déchaînée, elle bouge dans tous les sens. Une vraie furie. Elle s’agrippe à mes épaules et elle fait glisser son bassin le long de mon corps. Elle gémit de plus en plus fort et moi je fais ce que je peux pour me retenir d’éjaculer. Cette fois elle est presque en train de crier. Ouh je ne peux plus me retenir et j’éjacule pendant qu’elle s’écroule sur moi le souffle court. Ca a duré un petit quart d’heure mais ça a été intense. Elle se relève, je vois mon sperme qui dégouline de sa chatte et qui me tombe sur le ventre. En souriant elle l’étale sur moi et elle me demande quand je serais prêt à recommencer.
« Laisse moi un peu de temps pour récupérer. Je suis jeune mais il y a des contraintes naturelles contre lesquelles je ne peux rien. Je peux prendre une douche ? On verra après comment ça se passe. »
« Pas de souci pour la douche. Suis moi. »
Je monte dans la baignoire où elle me suit. L’eau chaude ruisselle sur nos corps, elle attrape du savon et entreprend de le faire mousser sur mon corps. Je fais de même, nos corps glissent l’un sur l’autre, elle joue avec ma verge et je viens titiller son anus qui s’entrouvre grâce au savon. J’ai de nouveau une érection que je viens glisser entre ses cuisses. Je viens seulement me frotter contre son sexe mais c’est très excitant. Elle se met à quatre pattes, le derrière bien relevé, dans une intention sans équivoque. Je me place derrière elle et je la pénètre doucement. Elle bouge en même temps que moi pour que la pénétration soit plus profonde. L’eau continue de nous tomber dessus et ça fait un bruit de claque quand je viens buter contre ses fesses. Je mets du gel douche sur son anus que je commence à masser mais elle repousse ma main. Je continue donc de faire des va-et-vients dans son sexe et la position a l’air de lui convenir car elle remue dans tous les sens. Nous nous arrêtons assez rapidement car la baignoire est inconfortable pour nos genoux. Nous sortons de la douche et le séchage de nos corps fait encore l’objet de caresses en tous genres.
Retour au calme sur son canapé où nous rigolons en parlant du hasard qui nous a fait nous croiser.
« Sacrée Françoise » me dit Jocelyne. « Je savais qu’elle cachait bien son jeu. Je me doutais qu’elle n’était pas aussi prude qu’elle le laissait paraître mais je n’aurais jamais pensé qu’elle t’enverrait vers moi. »
« Je ne m’attendais pas non plus à ce genre de plan. C’est bien la première fois que ça m’arrive et j’avoue que j’ai été surpris de ton coup de téléphone. »
« Mwouais, tu n’as pas tellement refusé mes avances. »
« C’est sûr que j’ai profité un peu de la situation. C’est qui la prochaine ? » dis-je en rigolant.
« Petit coquin. Deux ça ne te suffit pas ? Mais attend…. Brigitte est une vraie coincée… Je vais arranger le coup avec Françoise. »
« Hein ? Non mais je plaisantais. »
« Tss tss. On va trouver un scénario pour que tu te retrouves seul avec elle afin de la décoincer. »
« Eh ! Pas de bêtises. Je ne suis pas un jouet sexuel qu’on se refile entre copines. »
« Ne me dis pas que tu n’aimes pas ça !? »
« C’est vrai que c’est tout de même une idée plaisante de se sentir demandé par des femmes plus âgées. »
« Alors c’est d’accord. Je vais voir avec Françoise comment on peut arranger ça. »
Deux jours plus tard Françoise m’appelle pour me faire part de sa stratégie. Je n’ai pas essayé de me creuser le cerveau pour deviner ce qu’elle préparait. Je laisse venir et je partage du plaisir au passage. Le scénario est assez simple : Françoise m’invite chez elle pour vider une armoire, elle invite Brigitte en même temps (pour prendre un thé), elle prétexte un appel de Jocelyne pour s’éclipser en me laissant seul avec Brigitte. Et comme par hasard il y aura des choses coquines dans l’armoire que je laisserais ‘malencontreusement’ apparaître devant Brigitte.