Le club des cinq – 2 -Martine 2
Récit érotique écrit par Emile Hubert [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-01-2012 dans la catégorie Plus on est
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Le club des cinq – 2 -Martine 2
L'intuition dont je vous parlais quelques lignes plus haut se révéla des plus exacte. Une bonne huitaine de jours plus tard un matin que je vaquais à mes petites occupation quotidienne, je reçu un coup de fil de mon mari.
"Allo chérie ! J'ai eu Jacky au téléphone il y a une minute. Nous avons un peu bavardé…."
"Ah oui… et de quoi ?"
"Mais … de toi bien sûr ! En fait il à finit par me dire qu'il désirait, et je le site, "te tirer" à nouveau."
"Mais…mais…."
"Tu penses bien que je lui ait donné mon accord !"
"tu es fou ! Et puis quand d'abord ?"
"Il t'attend cet après-midi… et je veux que ty y ailles !"
"Tu te rends compte de ce que tu demande ? Que je te trompe !"
"Oh si peu ! Et puis, je crois qu'il t'a bien fait jouir, je me trompe ?"
Vu sous ce t angle… le souvenir aidant… je finis par consentir à ce nouveau caprice. Après tout….
"Tu es d'accord pour être vraiment cocu ? Tu ne vas rien me reprocher ensuite ?"
Les dénégations de mon époux l'emportèrent. J'acceptais cette curieuse permission sous réserve de tout lui raconter ….
Je me hâtais de me doucher rapidement et de me coiffer. L'heure tournait, je me maquillais légèrement et enfilais un ensemble slip, soutien gorge et porte-jarretelles blancs et des bas fumés… pas question de passer pour… pour… enfin ! Un chemisier et une jupe complétaient le tout. Une peur incroyable me tenailla en faisant le trajet en nos deux maisons. Mille fois je pensais faire demi-tour, mille et une fois je repris mon chemin et je me retrouvais devant sa porte qui s'ouvrit dès mon coup de sonnette furtif. Mon imperméable étant resté ouvert (le temps le permettait) ses yeux se fixèrent sur moi dès qu'il eut porte fermée. Ses yeux remontèrent jusque moi et je rencontrais son regard…courroucé…. Son ton fut coupant, glacial….
"Non mais c'est quoi cette tenue ? Tu rigole ?"
"Mais je…."
"La ferme ! Là tu n'est plus avec ton mari ! C'est moi qui ordonne et toi tu obéis ! Compris ?"
"Enfin Jacky que veux tu…."
" La ferme j'ai dit ! Tu vas me faire le plaisir de retourner chez toi et de me virer tes fringues ! Tu remettras uniquement les bas de l'autre fois et tu reviens à poil ! Tu comprends n'est ce pas ?"
"Oui, mais…."
"Oh mais Madame fais la bavarde…. Je t'entendrais moins tout à l'heure quand tu auras ma queue dans la bouche ! Allez files te changer ! Et souviens-toi j'aime les putes ! Si tu l'es assez à mon goût, je te ferais reluire comme une reine ! Je suis sûr que ton petit cul est impatient !
En moins de temps qu'il ne faut pour le dire je me retrouvais sur son paillasson… au bord des larmes.
En reniflant je pris le chemin du retour. Je ne savais plus quoi penser. J'étais complètement décontenancée. Thierry allais être furieux… ha !… lui et ses idées ! Et l'autre… et l'autre… mais comment c'était-il adressé à moi ! Mais pour qui me prenait-il….
Et dire que toutes se paroles rageuses n'étaient proférées que pour masquer une vérité plus terrible encore….
J'avais toujours autant envie de lui… presque plus je crois. En fait j'en étais sure, je le désirais encore plus malgré ou à cause de ce discours éhonté. Mon mari discutait, argumentait… lui il ordonnait; commandait, imposait, dirigeait, exigeait…. Et moi… j'allais bêtement abdiquer toute fierté… tant le souvenir de son membre me perturbait. Arrivée chez moi, je jetais fébrilement mes vêtements à travers la pièce passait à toute vitesse mon porte-jarretelles noir, tendis impeccablement les bas noirs demandés. Je chaussais aussi une des paires à talons hauts que Thierry aimait me voir porter. J'allais repartir quand je me remémorais ses paroles " j'aime les putes"…et " tu l'es assez à mon goût"… et aussi, inévitablement," reluire comme une reine". A force que Thierry me fasse ressembler (minimum…) à une double page de journal pour hommes, je savais faire et je soulignais bien vite mon maquillage. Oh pas le grand jeu, mais suffisamment… pour qu'il puisse noter mon changement de comportement et mon obéissance.
C'est presque en courant que refit le chemin inverse priant le ciel de ne rencontrer personne.
Je sonnais. J'entendis au travers de la porte :
"Ouvres ton imper ne grand !"
Je le fis
Il ouvrit.
Je maintenais les pans de mon imperméable grand ouvert terrorisé à l'idée que quelqu'un puisse passer dans la rue. Heureusement il n'en fut rien. Il me fit signe d'entrer. Je continuais toujours d'exposer ma nudité. Son sourire me rassura presque malgré ses yeux qui continuèrent de m'initmider. Quand la porte fut refermée, d'une main posée au dessus de mes seins, il me plaqua contre la porte et m'intima :
"Gardes-le ouvert et écarte les cuisses !"
Epinglé comme un papillon, j'obtempérais. Me fixant droit dans les yeux, il posa son autre main sur mon pubis et la fit descendre. Quand il atteignit ma vulve, je fermais les yeux.
"Ouvres les yeux que je vois ce que cela te fait quand je te touche !
Un de ses doigts lissa ma fente et en écarta les lèvres. Une phalange commença sa prospection…. J'avais du mal à avaler ma salive…. Le doigt progressa… sans problème.
"Tu mouilles, petite cochonne ! Je le savais… je m'en doutais… tu as le sexe dans la peau ! Je vais bien m'amuser avec toi ! Et tu seras punie pour ne pas être arrivée en tenue ! Ton mari vas être ravi !"
"Jacky… je… je t'en prie…"
"Tu m'en prie de quoi ! Tu es là pour baiser, non ? Alors ma petite Martine tu vas être bien gentille et bien obéissante ! Tu es bien la pour te faire mettre ?"
"Oui !"
"Oui quoi !"
"Je suis venue pour faire l'amour avec toi…."
"Ce n'est pas ce que j'ai dit !"
D'une voix à peine audible j'osais :
"Je suis venu pour me faire mettre…."
"Plus fort, je n'ai pas bien entendu !"
Je répétais à voix un peu plus haute. Il me fit recommencer. Je le criais presque…vaincue.
"Donc tu as envie de queue !"
"Oui j'ai envie de ta queue !"
Cette fois il ne fit pas répéter, je l'avais prononcé assez fort.
"Dans tous trous ?"
"Oui dans tous mes trous !"
"Même ton cul ?"
"Surtout mon cul !"
J'avais dit cela subjuguée… impossible de faire machine arrière. Il souris comme un chat qui s'apprête à jouer avec sa souris.
"Bien, bien…bien…. Tu vas être gâtée…. Je vois que ton mari à tort et que toi aussi tu te mets à dire des mots crus…."
"Ce n'est pas dans mes habitudes, et …"
"Eh bien, tu vas en changer… je te veux vulgaire ! D'ailleurs, je pense que ton mari a tort sur toute la ligne…. Il m'a dit que tu n'aimais pas te branler devant lui, vrai ?"
"Oui c'est vrai !"
"Pourtant, toute seule, chez toi, tu le fais ?"
"Oui… enfin…je…."
"Bon ! Donc tu vas te branler devant moi; ok ?"
"Ok Jacky, je… vais me… branler…devant toi !"
"Bien, si tu veux te faire sauter, il va falloir être convaincante et excitante !"
Il me fit entrer dans son salon et me désigna un curieux fauteuil rouge en simili cuir que je trouvais un peu kitsch. Il me demanda de m'y asseoir.
"Allez ! Pelotes- toi les nibards ! Fais comme chez toi ! Et n'oublie pas les bouts !"
Lentement, je me mis à me caresser les seins. Les ayant très sensibles, ils se mirent évidemment à durcir et mes tétons à s'ériger. Consciencieusement et voluptueusement, je me mis à me les pétrir. Il m'ordonna d'abord d'écarter les cuisses, puis les lèvres de mon vagin (je dus dire "de ma chatte"). Je me fis ensuite rouler les pointes des seins et les étirais comme je le faisais habituellement. Il me fallut ensuite passer les jambes par-dessus les accoudoirs du fauteuil (heureusement ceux-ci n'étaient pas trop écartés). Cette fois, je vis une bosse (encourageante) déformer son pantalon. En me priant de "me titiller le bourgeon" et de me "doigter la chatte", il se mit nu lui aussi. Son érection était prometteuse… enfin en des termes qu'il aurait choisit, j'aurais du dire qu'il bandait comme un âne…. Pendant un moment, il me laissa d'une main me caresser le clitoris et de l'autre m'introduire deux doigts aussi loin que je le pus dans mon intimité. Bizarrement, alors qu'il était vrai que je répugnais à user de cette pratique devant mon mari, bizarrement, dis-je, je commençais à vraiment m'exciter. Jacky se leva, alla dans le pièce voisine et revint muni d'un beau godemiché… non pas qu'il fut réellement très beau, j'aurais mieux fait de dire qu'il était d'une bonne taille. Je le vis cracher sur le toy et me le tendre en me précisant, s'il en était besoin, que je devais en connaître l'usage. Je le pris et délicatement me l'insérais, puis le fit allez et venir sensuellement. Prise au jeu, je m'échauffais incontestablement et Jacky fut apparemment content de mon entière participation. A tel point sûrement, qu'il me signifia :
"Changes de trou !"
Si avec mon époux j'avais testé ce genre de chose, j'avoue que je ne l'avais que très peu pratiqué en solo, surtout avec ce genre de calibre. Le sortant de son antre douillet, je l'abutais contre mon anus et commençais à pousser… sans trop d'effet. Délicat comme il paraissait l'être, Jacky me guida :
"Ma pauvre ! Tu n'y arriveras pas comme ça ! Même pas fichu de se carrer un gade dans l'oignon…. Allez, mouille un doigt et enfile le ! Voilàààà ! Ressort le ! Re rentre ! Bieeeennn ! Suces deux doigts ! Enfiles-les ! Écartes les dans ton trou de balle, vas-y ! Ressort-les ! Suces-les ! C'est bon hein ! Remets- les ! Ça devrait être bon, allez... le gode !".
Cette fois, un peu plu "préparée" je réussis à le faire entrer et gentiment mon muscla anal me laissa introduire plus loin, je n'eus plus que tout doucement à le pousser à l'intérieur de mon fondement. Je repris mon souffle et sur l'injonction de Jacky je débutais les allers et retour du godemiché dans mes entrailles. Jugeant le spectacle pas encore assez bandant (et pourtant), il fallut que je me l'enfonce à fond et que je grimpe, un genou sur chaque accoudoir en appui de mes avant-bras sur le dossier du fauteuil. J'eus honte de ma position et de l'excroissance qui sortait de mon derrière. Pas très longtemps d'ailleurs, car la voix de Jacky ma rappela à l'ordre :
"Qu'est ce que tu attends pour remettre ça !"
Je me mis en appuis que d'un bras et je passais mon second bras derrière moi pour me saisir du sextoy et continuer "ma branlette anale" (si c'est bien comme cela que l'on dit, en tout cas c'est ce qu'il me fit dire…).
Jacky contourna le fauteuil. Il était face à moi, sexe tendu à la bonne hauteur. Je veux dire celle de mon visage. Il avança d'un pas. Docile j'ouvris la bouche. Il avança encore. Son membre vint (enfin) se loger entre mes lèvres accueillantes et glisser jusqu'à ma luette. Je refermais mes lèvres et mes joues sur ce beau phallus dont j'avais, en fait, tant envie. Une de ses mains vint caresser mes cheveux et s'y crocher. Une fois ma tête immobilisée de cette façon tyrannique son bassin se mit en mouvement. Jacky me baisait la bouche… tout en m'exhortant à continuer de me fourbir l'anus. D'ailleurs, il trouva l'amplitude de mes gestes insuffisante et délaissa ma bouche. il se saisit du postiche et, lui, me l'enfonça aussi loin qu'il le put. Je gémis de plaisir et aussi un peu de douleur mélangée. Il me le retira ensuite presque intégralement et l'enfonça de nouveau. Sous cette masturbation musclée, je n'en pouvais plus de désir. Tendant mes fesses vers l'arrière, j'attendais, j'espérais autre chose. Je fus gâtée quand je l'entendis dire qu'il allait remplacer le god.
Comme prévu, avec ce qu'il venait de me faire, il entra en moi avec facilité jusqu'au ventre. Ses mains se cramponnèrent à la chair de mes hanches et de ma taille et il se mit, avec fougue, à me sodomiser. J'aurais du dire à m'enculer… car il me fit répéter plusieurs fois, comme pour bien marquer son emprise sur moi et me faire constater ma soumission, que je "voulais être enculée", que "j'aimais sa bite, sa queue", que "je voulais qu'il me défonce le cul", que "je serais désormais sa salope, sa pute" et que "je ferais tous ses caprices"….
Le pire, outre le fait que je n'avais pas trop l'habitude de proférer de telles horreurs, fut que je le pensais réellement et que bizarrement je fus persuadée que j'allais me mettre, de gré ou de force, à m'habituer à dire de telles choses et aussi… d'y prendre goût.
Mon orgasme, mélange de honte, d'envie exacerbée, de tension contenue fut un long hululement qui me fit involontairement contracter mon boyau annelé et aussi provoquer un éjaculation intense et aussi généreuse qu'à l'habitude.
Il m'aida à descendre de mon perchoir et me prenant par la taille, il m'attira à lui. Avant de m'embrasser avidement, il me dit laconiquement :
"Toi… tu me plais !"
Lui aussi me plaisait….
Il me fit ensuite les honneurs de sa chambre. Il s'allongea sur le lit et me demanda de le chevaucher. Quand je fus en place, agenouillée de par et d'autre de lui, je pus me mettre à monter et descendre sur ce pieu de chair qui m'emplissait bien le vagin… la chatte…. Comme plus tôt, je dus me remettre à me caresser les seins et les lécher aussi pour l'exciter. Finalement, il me fit pencher au dessus de son visage et c'est lui qui se chargea de me sucer les pointes qui étaient d'une dureté peu commune. Notre plaisir réciproque nous laissa, cette fois vannés tous les deux.
Il fallut mettre fin à ce délicieux après-midi. Pour la forme, connaissant ma réponse d'avance, il me demanda :
"Tu reviendras ?"
Je confirmais, ajoutant que je le ferais autant qu'il le souhaiterait. J'étais sur le pas de la porte quand il me rattrapa.
"Au fait, tu te rappelles ? Je t'avais dis que tu serais punie ! J'appelerais ton mari pour lui dire ce que j'aurais décidé !"
Un peu paniquée je filais sans demander mon reste. En toute franchise, Jacky me faisait un peu peur. En toute franchise, aussi, je crois que j'aimais ça. Je me douchais vite fais en rentrant chez moi en me remémorant les quelques heures que je venais de passer et en me demandant ce que pouvait imaginer un homme qui sodomisait sa maîtresse avant même l'avoir embrassée….
Je sortais de la salle de bains quand Thierry rentra. Je dus tout lui raconter, sans rien omettre. Je le vis un peu tiquer quand je lui rapportais ma masturbation. À la fin de récit, il était fort énervé…et je dus lui céder. J'avoue que son impétuosité eu raison de ma relative fatigue et une nouvelle fois, je connus la félicité. Plus tard au coucher, mon mari s'interrogea sur la façon dont mon amant aurait de me punir. Je n'osais pas trop y penser… si je voulais dormir….
En fait je marinais la fin de la semaine, jusqu'au samedi. Pendant ce temps Thierry me redemanda plusieurs fois de raconter encore et encore la façon dont il avait été trompé et tout ce que Jacky m'avait ordonné de répeter. Il prenait comme un malin plaisir à me faire dire combien j'avais aimé cela et aussi combien j'étais prête à recommencer. Déjà enfant, je n'aimais pas mentir alors là… puisqu'il le voulait….
Jacky appela Thierry sur son portable et je vis mon époux sourire, écarquiller les yeux, se crisper puis sourire franchement comme alléché. Se tourna vers moi, il me signifia :
"Ma chérie j'en sais plus sur ta punition…."
"Alors ?"
"Il va venir te chercher ce soir. Comme tu n'as jamais voulu, avec moi, il t'a concocté une soirée d'exhib avec lui seul et quand vous reviendrez nous te prendrons à deux comme les autres fois. Il a ajouté que tu serais chaude comme la braise…."
Cette nouvelle m'affola, je n'avais jamais eu envie de cela et j'avais toujours résisté à Thierry. Mais là, je savais que j'était attendue au tournant et que déjà j'avais accepté cette situation. Mon mari ajouta :
"Ah oui ! Il ma donné des instructions sur ta tenue !"
Il avait prévu de venir me chercher à dix neuf heures trente. Il fallais que je l'attende en sous-vêtements noirs soutien gorge pigeonnant, slip brésilien et porte-jarretelles avec des bas fumés… et c'est tout et je ne compris pas pourquoi, mais maquillée normalement.
Vous pensez bien qu'à l'heure dite, j'étais morte de trouille, mais prête. Thierry boudait un peu.
Jacky sonna et Thierry alla ouvrir il se saluèrent comme le font deux bons copains complices. Jacky vint moi m'embrassa dans le cou et pas gêné le moins du monde me tapota les fesses. Il m'examina et se déclara satisfait de mon obéissance. En plaisantant, il dit à mon mari "on vas finir par faire quelque chose d'elle !". De peur d'entendre une réponse graveleuse, ni lui ni moi ne demandâmes de détails. Il décida ensuite que je lui montre ma garde robe ajoutant "que nous n'allions pas aller dîner avec moi dans cette tenue". A Thierry il dit :
"Ne bouges pas on revient…."
Nous montâmes tous deux à ma chambre, j'ouvris la penderie. Jacky choisit une jupe droite classique, un peu au-dessus du genou pas particulièrement sexy. Par contre il prit un chemisier blanc assez translucide que je portais habituellement avec un haut dissimulant mon soutien gorge. Nous redescendîmes. Arrivé en bas, il me tendit les vêtements choisis et me demanda de m'habiller. Je trouvai cela assez rabaissant de le faire devant mon mari… pour lui et pour moi. Effectivement le choix de Jacky n'était pas anodin. Pour le bas pas de problème. Mais le haut… la couleur du soutien gorge tranchait vraiment et la transparence du tissu détaillait bien mon buste. Il plaisanta… encore… en disant que je ne semblais pas très à l'aise. Il me fit prendre un imperméable bien qu'il ne pleuve pas et nous partîmes. Après un petit trajet, nous stoppâmes près d'un restaurant ou nous entrâmes. Il avait dit avant " que je ne semblais pas très à l'aise". Ce n'était rien à coté de ce moment ou je dus enlever mon imperméable. Garçons et maître d'hôtel eurent immédiatement les yeux rivés sur mes seins. Nous fûmes guidés à notre table. Jacky commanda du champagne. Son regard changea. Il fut dur et d'un ton cassant, celui qui me faisait peur et me laissait sans défense, il ordonna à mi-voix:
"Vas au toilette enlever ton soutif !"
Bouche bée je restait statufiée. Il répéta :
"J'ai dis, vas au toilette enlever ton soutif. Veux tu que je répète à voix haute pour que tout le monde entende ?"
Ma punition commençait…. Comme un automate, je me levais et partis dans les toilettes de l'établissement ou je glissais mon sous-vêtement dans mon sac à main. Le retour à table fut pénible ma poitrine jouant librement sous la fine étoffe me valut des regards masculins intéressés et des regards féminins indignés. Et encore, ces dames n'avaient pas tout vu… car dès que je fus assise, Jacky m'ordonna de déboutonner deux boutons supplémentaires de mon chemisier, ce qui portait à quatre le nombre de bouton défaits. Autrement dit, mon chemisier se trouva ouvert jusqu'en dessous des seins et mon sillon bien exposé. Ajoutons que la transparence de l'étoffe ne laissait aucun doute sur la nudité de mon buste et vous comprendrez aisément qu'un essaim de serveur vint qui apporter du pain, qui changer la carafe ou qui s'enquérir du déroulement du repas. Je devais être écarlate d'humiliation, mais en même temps je le sentais bien, un trouble s'installait en moi. Une bouffée de chaleur et un réel sentiment d'humidité de mon sexe m'envahirent quand mon amant me prescrivit de retirer mon slip, là, tout de suite…. Paniquée, je regardais autour de moi. Non, personne ne semblait avoir entendu… ouf ! Dans un film, j'avais vu S. Stone faire la même chose. Mine de rien, je remontais ma jupe et finit par en attraper le bord. Tirant dessus, je soulevais une fesse, puis l'autre pour les dégager. Je me soulevais le plus discrètement possible pour faire glisser mon slip à mi-cuisse en prenant garde de ne pas l'accrocher dans l'attache des jarretelles. Opération réussie… je n'eus plus qu'à le faire glisser autour de mes genoux et le long de mes mollets pour achever de m'en débarrasser. Pendant toute cette démonstration les yeux de Jacky n'avaient pas quitté les mouvements de mes seins qui libre de toute entrave oscillait ouvertement sous mon corsage. Il me tendit la main en disant :
"Donnes !"
Roulé en boulle, je lui offris. Il le prit, le porta à ses narines, hocha la tête puis benoîtement le posa déplié sur la table. Je dus passer à cramoisie de honte….
Cette fois, entre mes cils, je vis le regard du serveur, de surprit, par la vision de ce qui était posé sur la table et qui ne laissait pas de place au doute, passer à libidineux en m'observant. Son avis sur ma personne ne devait pas être très élogieux… ou bien carrément polisson. Une fois de plus la meute des serveurs vint roder autour de notre table. Il y en eut même qui firent semblant de faire tomber quelque chose dans le but évident d'en découvrir davantage. Cela fit dire à Jacky
"Dommage que j'ai choisi cette jupe… je regrette…. J'aurais dû choisir une plus ample, ou plissée…. Je te l'aurait fait relever complètement pour que tu soit assise cul nu sur son siège".
Je l'avais échappé belle !
Je dîner se termina et je pensais arrivée la fin de mon épreuve…. Erreur !
"Je vais au bar régler l'addition. Tu vas aller te refaire une beauté. Je te veux maquillée comme j'aime… Comprit ? Tu reviendras le chemisier complètement déboutonné. J'ai été clair ? Et tâches de te presser !"
Boum !... tout juste me sentais-je un peu mieux que déjà il m'imposait encore une des tribulations dont il avait le secret. Pourtant, j'obéis…. Je filais aux toilettes, suivie par des regards des autres consommateurs. Fit de mon mieux avec ce que j'avais pour faire… faire… faire poule puis la mort dans l'âme j'achevais de dégrafer mon chemisier. Enfin, ce que je dis n'est pas tout à fait vrai. Mon bas ventre était de plus en troublé et je sentais bien que je commençais à mouiller considérablement. Mais pourquoi donc obéissais-je de cette façon à Jacky. D'une part je ne voulais pas décevoir mon mari avec lequel j'avais prit pour habitude de répondre plus que favorablement à ses délires sexuels. C'était ainsi, quoiqu'il m'en coûte, je lui passais tous ces caprices. Et puis, il me faut l'avouer Jacky me plaisait. Enfin, pas unique par son physique, mais se façon autoritaire et ignoble de s'adresser à moi me fascinait sans que j'esquisse la moindre rébellion… et puis, il y avait son gros sexe… qui m'emplissait bien et me procurait des jouissances jusque là rares. Donc au lieu de raser les murs pour me faire discrète, je bombais le torse et en ondulant assez ostensiblement je rejoignis mon initiateur au bar. Cette fois et ce fut la première, je pris plaisir à faire ce que je venais d'effectuer.
Incontestablement, il y eu pléthore… presque bousculade pour m'apporter mon imperméable et m'aider à le passer. Une aide pas vraiment désintéressées puisque accompagnée de mains baladeuses que je feignis ne pas remarquer mais qui, de facto, contribuèrent à faire monter ma température interne. Nous sortîmes du restaurant… ouf ! Si j'avais pu croire ma "punition" terminée, j'avais fait erreur… lourdement. Arrivé à son véhicule, j'attendis qu'il veuille bien débloquer les portières. Je sursautais lorsque j'entendis :
"Retires ta jupe !"
Devant mon air de bécasse hébété il répéta :
"Tu m'as entendu ? J'ai dis retires ta jupe… à moins que ne veuille rentrer par tes propres moyens !"
Un coup d'œil à droite un à gauche… personne…. Je fis faire un demi-tour à ma jupe et abaissant la fermeture éclair de celle-ci, je la retirais. Sous mon imperméable, j'étais nue jusque à la taille… et encore avec mon chemisier ouvert….
Il prit ma jupe et la jeta dans le coffre. J'étais persuadée de plus la revoir de la soirée….
En fin il m'ouvrit la portière. Je montais prestement. Il démarra pour stopper quelques instants plus tard dans une rue plus sombre.
"Le chemisier maintenant ! Vite !"
Le plus vite possible, tenaillée par la peur d'être vue, je me dégageais de mon imper et me démunis de mon chemisier. Pendant un instant je fus nue dans cette voiture (si l'on excepte le et porte-jarretelles bien entendu). Je remis mon vêtement à toute vitesse ce sui le fit rire. Il redémarra pour s'engager vers le quartier de la ville qui passait pour être chaud. De temps à autre il ralentit devant les portes cochères. Avisant l'une d'elles il me fit remarquer deux ou trois prostituées qui attendaient un éventuel chaland. A brûle-pourpoint il m'interrogea :
"Tu n'as jamais eu envie d'essayer ? Tu as pourtant ce qu'il faut pour ça ? Je suis sûr que ça amuserai ton mari !"
Pas moi !... et je me pressais de l'en dissuader. Il rigola. Il se gara. À quelques mettre devant nous une enseigne clignotait "sex-shop"…"sex-shop"…"sex-shop"….
"Nous allons aller faire une petite visite dans ce magasin ! Laisse ton sac et descends !"
j'eu du mal à avaler ma salive. Mon cerveau était comme vide et mes yeux hypnotisés ne se détachaient plus de l'enseigne…"sex-shop"…"sex-shop"…"sex-shop"….
Une fois tout deux descendu de l'auto, il m'interdit de boutonner mon imperméable. Je le serrais frileusement contre moi. Il ouvrit la porte et s'effaça pour me laisser entrer. Deux ou trois types me dévisagèrent immédiatement. Me prenant par le bras, il s'approcha de la caisse. Il salua le vendeur et me présenta à Hugo:
"C'est Martine dont je t'ai parlé. En plus d'être un bon coup c'est une petite cochonne, elle adore allumer les mecs ! Vise un peu comment elle s'habille !"
Ce disant il tira sur un pan de mon imper… qui s'ouvrit. Le vendeur, me lorgna d'un œil connaisseur et lâcha un "Pas mal… Tu as toujours aussi bon goût ! !"
Jacky précisa qu'il venait pour m'offrir un petit gadget et que peut être il aurait besoin de lui pour un essayage. L'homme répondit en me matant de plus belle, qu'il serait ravi de rendre service. Jacky m'entraîna à travers les rayons. C'était la première fois que visitait un établissement de ce type et toute la pornographie étalée m'écoeura un peu. Je viens de dire écoeura mais en même temps le coté sordide m'échauffa et le regards des clients me fit (soyons franche) mouiller. L'un d'eux s'approcha et complimenta Jacky.
"C'est ta gonzesse ? Elle est canon ! On peut toucher ?"
"Non pas cette fois, un autre jour peut-être et qui sait …une petite pipe…."
Je le regardais effarée, pas certaine que ce soit vraiment un plaisanterie….
Nous nous dirigeâmes vers le rayon des vibromasseurs et plus exactement des plugs pour anus. Je me pris à penser que bizarrement, mon mari n'avait jamais acheté de jouet de ce type. Apparemment, Jacky allait remédier à ce manque. Il en choisit un et je lui fus gré de ne pas avoir choisit quelque chose de surdimensionné. Il fut très mesuré dans son choix et devant mon air soulagé me précisa :
"C'est parfait… pour un début !"
Nous retournâmes à la caisse et Jacky demanda :
"Elle peut l'essayer ?"
Vous pensez bien que la réponse fut affirmative. Je fus guidée vers une petite cabine, dut, morte de honte, retirer mon imper, et me mettre à genoux sur une petite chauffeuse. J'entendis Jacky dire :
"Allez vas-y mon vieux, enfiles-le lui !'
Je venais de comprendre que ce n'était pas Jacky, qui allant procéder à l'essayage. Celui-ci allait être pratiqué par le vendeur qui e mit en devoir, tout d'abord de m'écarter les fesses pour me lécher l'oeillet, puis en gager des phalanges inquisitrices. Autour, les clients s'étaient rapprochés et voulurent aussi participer à la dilatation de ce qui était encore mon petit trou. Tout ce que Jacky et le vendeur permirent ce fut qu'ils me salivent sur l'anus pour permettre de mieux l'assouplir. L'homme tranquillement finit par appuyer le bout du sextoy contre l'ouverture de mes reins et commença à me l'introduire. Il fit cela posément, avançant, puis reculant un peu comme pour reprendre son élan et davantage progresser. Bientôt l'engin fut enfoncé jusqu'à sa partie la plus large. Une petite poussée supplémentaire et mon anneau se referma docilement jusqu'à la base. Jacky encouragea le vendeur à me masturber ainsi un petit moment. Une fois de plus les voyeurs, qui pour certain avaient sortis leur membre pour s'astiquer, souhaitèrent que je les suce pendant que je me faisait "branler le troufignon". Jacky refusa derechef. Je n'osais rien dire, mais en cet instant j'aurai bien aimé, je crois, avoir une solide queue dans la bouche. Jacky mit fin à l'exhibition et me fit me relever le plug toujours notablement enfoncé entre mes fesses. Malgré l'air dépité de l'assistance, il me rendit mon imper que je passais le plus vite possible. Le vendeur nous raccompagna. Avant de nous quitter il demanda à Jacky s'il comptait m'emmener chez un certain Goran. Il lui fut répondu négativement en raison de mon manque d'habitude et de pratique. N'ayant rien compris je questionnais Jacky. Une réponse évasive mais ferme me fut rétorquée, je n'insistais pas.
Plug… oui, c'est bien gentils… dans un lit ou allongée… mais debout… dans la rue, au sortir d'un magasin. Ma démarche dut en être perturbée et Jacky me demande de marcher devant lui "en tournant du cul". Arrivé à la voiture je crus encore mon cauchemar terminé tellement j'avais eu honte de tout ce que mon amant m'avait imposé. Il me demanda si "j'avais envie de baiser ?". je lui répondit affirmativement avec tant d'empressement que cela le fit rire.
"tu n'en peu plus, hein ?"
"Oh non ! Je n'en peux plus… j'ai trop envie rentrons vite !"
Il me signifia que je j'allais encore devoir attendre et démarra. Le plug progressa encore lorsque je fus assise et chaque cahot se répercutait entre mes reins… terriblement excitant ! Au lieu de repartir vers mon domicile la voiture prit une autre direction. Bien entendu, il me demanda de déboutonner et d'ouvrir en grand mon imper pour m'exposer à tous les regards des noctambules. Il finit par se diriger vers le supermarché et se dirigea vers le fond du parking ou se trouvait une camionnette. J'entendis le cliquetis de la fermeture centralisée de l'auto. Il me contorsionner pour enlever complètement mon imper et le jeter sur banquette arrière. Je dus avancer les fesses jusqu'à la limite du siège et poser mes pieds sur le tableau de bord, cuisses grandes ouvertes évidemment. Il alluma le plafonnier et me demanda d'une main de me caresser le clitoris et de l'autre de faire largement aller et venir le plug qui occupait mon rectum. Pourquoi dans cet endroit ? La réponse fut rapide un visage apparut à la vitre comme surgit de nulle part.
"Continue de te branler ! Chauffes les !
Lui se mit me titiller les mamelons. Continuant mon manège je distinguais cinq ou six silhouettes autour de la voiture. Que des hommes bien sûr et qui se masturbaient devant le spectacle que j'offrais. Bizarrement cette situation m'excita prodigieusement. Parfois l'un d'entre eux frappait au carreau. Jacky me renseigna : les voyeurs demandaient à ce les vitres soient baissées ou que la portière soit ouverte afin de se repaître de moi. Je vis Jacky hésiter. Il me regarda en murmurant :
"Je suis tenté…."
Pourtant il n'en fit rien et au lieu de cela remit le contact en disant :
"Allez ! On rentre… j'ai trop envie de te défoncer le cul devant ton mari !"
"Moi aussi j'en ai envie ! Il est à toi !"
Une fois arrivée devant la maison, Jacky ne voulut pas que je descende et me fit remettre comme l'instant d'avant pour que je reprenne mon exhibition mais cette fois, devant la maison. Comme une folle je lui obéis, à cette heure, les voisins n'étaient pas dehors….
"Je vais chercher ton mari, qu'il voit ce que tu es capable de faire !"
Au bout d'un court instant ils revinrent tous deux. Ils étaient très différent Thierry avait els yeux exorbités devant ce que je faisais et Jacky regardait l'ensemble d'un air goguenard. Il ne put s'empêcher de faire remarquer à mon mari :
"Alors… pour quelqu'un qui ne veux pas d'exib… ce n'est pas mal hein ?
Je vis que la réflexion n'avait pas plue à Thierry. La seconde non plus…
"Tu permets;;; je vais enculer ta petite femme… je l'ai bien mérité, et … elle aussi !"
Il me fit placer en levrette sur le canapé du salon. En une seconde il fut nu. Lentement il me retira le plug, le faisant admirer à Thierry et pris la place vacante de tout son long. Tellement excitée, je me lachais et ne fit plus attention à rien…uniquement à ce qui me perforait le derrière.
"Fourres-moi bien ! Vas y, prends moi, encuuuules moi à fond....Prends-moi bien fort ! Vas-y bien à fond ! Plus loin ! Lime bien mon cul de salope avec ta grosse bite ! Oui, vas-y ! Encore ! Encore ! Je suis à toi ! Dilate moi bien le trou du cul !!! Possède-moi ! C'est trop bon ! Plus fort ! Oh Jacky chéri...ouiiiiii ...ouiiiiiiiii ...ouiiiiiiiiiiii ...."
Quand je repris pied, je constatais que Jacky était toujours en place. Quelle résistance !... doucement il reprit ses va et vient et invita Thierry à venait se faire sucer.
Mon époux avait une petite mine et aussi une petite érection. Il venait de percevoir l'emprise de Jacky sur moi et le pied gigantesque qu'il venait de me faire prendre. Pourtant faisant contre mauvaise fortune bon coeur, il s'approcha et je me mis à le pomper selon le rythme imposé par Jacky. Cette fois ce dernier ne se retint pas longtemps et m'inonda le boyau. Je dois reconnaître que j'expédiais assez vite mon mari. Devant ma mine épuisée nous décidâmes d'arrêter là nos ébats. Avant de partir, Jacky me prit dans ses bars et après m'avoir roulé une pelle de tous les diables :
"Je t'appelle la semaine prochaine ma petite pute !" proféra-t-il et ce devant Thierry.
Dans les jours qui suivirent Thierry me demanda, me redemanda et me re redemanda de lui raconter ma soirée. Cela se finissait toujours de ma même façon… il me sautait dessus et me sautais tout court….
Malgré son empressement, je n'arrivais pas à avoir un orgasme aussi puissant que celui de cette fameuse soirée. S'en doutait-il ? Peut être car au début timidement, comme un phrase insignifiante, il me dit que nous devrions prendre un peu de recul par rapport à Jacky. Je n'attendais qu'une chose… qu'il me convoque. Ce fut pour le mardi suivant ou il souhaita que je vienne "pour me faire tringler tout l'après-midi". Je fus assurément plus que d'accord et quand j'en parlais à Thierry il bouda….
Le jour dit, j'enfilais ma tenue (limitée) de guerrière, ou de victime ou mieux, je crois, de salope…. Il fut encore plus exigeant cette fois-là que les autres. Cette fois, alors qu'il me sodomisait comme un forcené, il se retira et voulu que je el suce. Quand même… je refusais. Il prit par les cheveux et approcha sa queue de ma bouche. Je cédais et …suçais. Bien vite il me reprit l'anus et recommença le même manège. Désormais, je ne regimbais plus et prenait un plaisir équivoque à la sucer…toute chaude…. Cette fois aussi il me demanda de lui lécher la raie de fesses et de glisser la langue (aussi profond que possible) dans son anus. Après un peu d'hésitation je participais sans retenue. Je connus ce jour là quatre orgasmes très intense et malheureusement plus aigu qu'avec mon mari. Entre nos étreintes, nous échangions baisers et caresses. Nous évoquâmes ma soirée d''exib. Il voulu savoir comment je l'avait ressentit et me questionna :
"Tu te rappelles, au sex-shop, les types… si j'avais voulu, tu te serais laissé faire ?"
"Oui… oui je crois !"
"Et… si je t'avais demandé d'en sucer un ?"
"Je… je crois que j'aurais accepté… pour te faire plaisir."
"Cest bien, mais à toi, dest-ce que cela t'aurais fait plaisir ?"
"O…ou…oui…."
"Et… si je t'avais demandé de tous les sucer ?"
"Oui… oui j'aurais bien voulu, mais arrêtes tu me rends folle !"
"Et… plus que sucer ?"
"Oui….aussi….."
Cette réponse je la fis après une longue hésitation et d'une toute petite voix.
"Bon, eh bien ma petite Martine… je crois qu'un de ces jours nous allons retourner faire une petite visite au sex-shop."
Ce jour-là, je sus qu'il allait que prêter à d'autres devant lui….
Avant de nous séparer il voulu savoir si j'étais libre le samedi soir suivant. J'objectais l'attitude mon mari. Il en faisait son affaire. Il me précisa en riant que ce soir-là nous resterions chez lui. Donc pas de visite au sex-shop, je respirais… mais en même temps….
Un ou deux jours passèrent et Thierry rentra de son travail avec un air terriblement renfrogné.
"J'ai eu Jacky au téléphone. Il veut te voir samedi soir…seule…. "
Je feignis l'étonnement et fit mine d'être faussement ennuyée de son absence. Mon mari renchérit :
"Tu sais, je ne suis pas trop d'accord pour que tu y ailles. Je ne sais pas ce qu'il mijote, mais cela ne me paraît pas bien catholique. Cela commence à m'agacer qu'il pense que tu es à sa disposition. Même si je me doute que tu ne penses pas comme moi, surtout vu comme tu as jouit l'autre jour, je préfèrerais que tu n'y ailles pas."
Fus-je sincère… évidemment pas, lorsque je lui répondis que j'irais une dernière fois chez lui et que je lui annoncerai la fin de cette aventure. Cela me permettais de gagner du temps d'aller chez mon amant et me livrer à lui encore une fois. Car c'était bien cela me livrer à lui et à ses idées lubriques. Cela, Jacky l'avait bien perçu surtout depuis l'autre fois ou il m'avait fait avouer honteusement mon accord aux débauches auxquelles il me destinait. Cela m'avait beaucoup travaillée et en vérité l'idée qu'il me force (enfin plutôt qu'il me fasse car il n'aurait pas beaucoup à me forcer) à sucer des inconnus m'excitait au-delà du raisonnable. Je crois (et je suis sûre) que j'accepterais même de me faire prendre devant lui s'il le voulait (et c'est bien ce qu'il m'avait laissé entendre). Finalement je regrattais de ne pas avoir à me retrouver au pied du mur, tremblante de trouille mais résolue à obéir à mon amant. En fait Jacky était devenu maitre de mes sens.
Thierry fit ouvertement la gueule ce samedi là. Surtout quand il me vit "en tenue". C'est habillée et maquillée comme une star de porno que je raflais mon manteau et lui dit au revoir. Renfrogné, il me dit qu'il ne m'attendrait pas, puisque paraît-il et selon les dires de Jacky, je n'allais pas rentrer de bonne heure…. Tout un programme….
Les autres fois, j'allais chez lui de jour. Le fait d'y aller de nuit me chauffa davantage encore et chemin faisant je me mis à mouiller de trouble. Je voulus en rajouter et appelais Jacky de mon portable :
"Je suis au coin de ta rue… regarde bien quand je vais arriver !"
et là je fis une chose que je n'avais encore jamais faite. Je déboutonnais mon manteau et l'ouvrit en grand lorsque je fus en vue de sa maison. C'est ainsi que je poussais le portillon et avançais en ondulant vers sa porte d'entrée q'il ouvrit bien vite. Une fraction de seconde plus tard mon manteau était sur le sol et j'étais dans les bras de Jacky qui m'embrassait dans le cou. Me plaquant un main au creux des reins pour me faire avancer vers on salon, il me dit
"Ma petite Martine, j'ai l'impression que ce soir tu veux vraiment jouer les dévergondées ! Tu vas en avoir l'occasion. J'ai beaucoup apprécié ton arrivée ma salope… et je ne suis pas le seul….".
Nous étions dans son salon…lui…moi…et…et deux autres hommes. Abasourdie je restais sidérée de honte et de confusion… surtout quand il ajouta :
"Vous voyez…! Comme promis ! J'ai fais venir la petite pute !".
En disant cela, il s'était placé derrière moi et avait posé ses mains sur ma taille comme pour m'empêcher une éventuelle retraite. Nue… au beau milieu de trois hommes… pensez donc ! De toute façon j'était là, bête; bras ballant (pas une seconde je n'avait pensé à cacher ma nudité) pétrifiée quand les deux hommes s'approchèrent.
"Ouais, sûr qu'on va bien s'amuser avec toi jolie Madame !"
"Va pas falloir qu'elle soit feignante du coup rein ta cochonne ! ça suffit pas d'être pas mal gaulée !".
"Vous en faites pas ! Je l'ai déjà tirée en compagnie de son mari vous allez voir elle a de la ressource !"
Des mains avaient emprisonnées me seins, d'autres parcouraient mes fesses, mon ventre, s'insinuaient sous mes jarretelles et entre mes cuisses. Des doigts se faisaient insistant à l'orée de mon sexe mais aussi à celle de mes reins. On me prit une main pour la poser sur une braguette gonflée. Jusque là, j'avais été passive, sans trop de réaction sinon mon renoncement très prompt à toute velléité de résistance. Cette fois j'abandonnais totalement toute pudeur et leur offrais mon renoncement à toute décence en ouvrant ce pantalon inutile et superflu. Tour à tour je puis découvrir les arguments virils de ces messieurs. Les deux nouveaux n'avaient rien à envier à Jacky.
Une femme, trois hommes, trois belles queues… la séance commença….
En résumé, les hommes éjaculèrent trois fois chacun souillant mes trois orifices sans compter ma bouche qui dut, outre recevoir sa ration de foutre, s'activer à des nettoyages humiliants, consternants mais prometteurs. Des sexes… partout… bouche, con, cul (souvent mis à l'épreuve puisque apte a recevoir les trois imposantes virilités. Assez souvent deux ensemble entre les lèvres, quelques fois malgré mes objections deux ensemble dans ma chatte surchauffée. Tout y passa, pipes, doubles; triples pénétration et là, je compris pourquoi Jacky m'avait "habituée" à sucer un membre sortant de l'une ou l'autre de mes trous béants, puisque les hommes, comme s'ils voulaient encore plus me mettre à leur merci n'arrêtèrent pas de changer de place.
Vous dire combien de fois j'ai jouis… impossible, j'avais l'impression de ne pas arrêter sans compter que quand les membres faisaient temporairement défaut de bouches et des doigts prenaient le relais pour me replonger dans le délire de mes sens égarés. Le pièce sentait la luxure à plein nez, foutre, mouille et sueur mélangés et ne résonnait que des râles, grognements mais aussi d'invectives lancée à mon égard par les mâles en rut. Salope et pute revenait assez souvent. Mais je n'en avait cure, bien au contraire et Jacky me fit bien découvrir ce soir là que j'aimais me vautrer dans la débauche et ce n'était pas finit…. Moi aussi d'ailleurs, je fut obligée, lorsque je n'avait pas une pine enfoncée dans la bouche jusqu'aux couilles, de proférer des abjections et de confesser pour appétit pour la baise.
Après quelques heures de sommeil ce ne fut que le lendemain que je pris le retour vers chez moi le corps marqué des élans de mes amants et intégralement nue cette fois sous mon manteau car mes bas étaient filés depuis belle lurette. Je rentrais chez moi et m'effondrais au lit d'où je n'émergeais que beaucoup plus tard.
Evidemment, Thierry voulut savoir. Malgré le dégoût qu'il manifesta devant ce que (de plein gré) j'avais enduré, il n'empêche qu'il bandait ferme. Malheureusement pour lui je fus inapte deux ou trois jours et ne lui cédait que les choses revenues à leurs diamètres habituels. La sensation fut étrange et j'eus pour la première fois du mal à atteindre la jouissance dans les bras de mon mari. Ce fut un peu comme si j'avais besoin en plus de l'acte lui-même d'une bonne dose de vice supplémentaire. Je crois que Thierry s'en rendit compte et le lendemain la scène de ménage fut mémorable.
"Allo chérie ! J'ai eu Jacky au téléphone il y a une minute. Nous avons un peu bavardé…."
"Ah oui… et de quoi ?"
"Mais … de toi bien sûr ! En fait il à finit par me dire qu'il désirait, et je le site, "te tirer" à nouveau."
"Mais…mais…."
"Tu penses bien que je lui ait donné mon accord !"
"tu es fou ! Et puis quand d'abord ?"
"Il t'attend cet après-midi… et je veux que ty y ailles !"
"Tu te rends compte de ce que tu demande ? Que je te trompe !"
"Oh si peu ! Et puis, je crois qu'il t'a bien fait jouir, je me trompe ?"
Vu sous ce t angle… le souvenir aidant… je finis par consentir à ce nouveau caprice. Après tout….
"Tu es d'accord pour être vraiment cocu ? Tu ne vas rien me reprocher ensuite ?"
Les dénégations de mon époux l'emportèrent. J'acceptais cette curieuse permission sous réserve de tout lui raconter ….
Je me hâtais de me doucher rapidement et de me coiffer. L'heure tournait, je me maquillais légèrement et enfilais un ensemble slip, soutien gorge et porte-jarretelles blancs et des bas fumés… pas question de passer pour… pour… enfin ! Un chemisier et une jupe complétaient le tout. Une peur incroyable me tenailla en faisant le trajet en nos deux maisons. Mille fois je pensais faire demi-tour, mille et une fois je repris mon chemin et je me retrouvais devant sa porte qui s'ouvrit dès mon coup de sonnette furtif. Mon imperméable étant resté ouvert (le temps le permettait) ses yeux se fixèrent sur moi dès qu'il eut porte fermée. Ses yeux remontèrent jusque moi et je rencontrais son regard…courroucé…. Son ton fut coupant, glacial….
"Non mais c'est quoi cette tenue ? Tu rigole ?"
"Mais je…."
"La ferme ! Là tu n'est plus avec ton mari ! C'est moi qui ordonne et toi tu obéis ! Compris ?"
"Enfin Jacky que veux tu…."
" La ferme j'ai dit ! Tu vas me faire le plaisir de retourner chez toi et de me virer tes fringues ! Tu remettras uniquement les bas de l'autre fois et tu reviens à poil ! Tu comprends n'est ce pas ?"
"Oui, mais…."
"Oh mais Madame fais la bavarde…. Je t'entendrais moins tout à l'heure quand tu auras ma queue dans la bouche ! Allez files te changer ! Et souviens-toi j'aime les putes ! Si tu l'es assez à mon goût, je te ferais reluire comme une reine ! Je suis sûr que ton petit cul est impatient !
En moins de temps qu'il ne faut pour le dire je me retrouvais sur son paillasson… au bord des larmes.
En reniflant je pris le chemin du retour. Je ne savais plus quoi penser. J'étais complètement décontenancée. Thierry allais être furieux… ha !… lui et ses idées ! Et l'autre… et l'autre… mais comment c'était-il adressé à moi ! Mais pour qui me prenait-il….
Et dire que toutes se paroles rageuses n'étaient proférées que pour masquer une vérité plus terrible encore….
J'avais toujours autant envie de lui… presque plus je crois. En fait j'en étais sure, je le désirais encore plus malgré ou à cause de ce discours éhonté. Mon mari discutait, argumentait… lui il ordonnait; commandait, imposait, dirigeait, exigeait…. Et moi… j'allais bêtement abdiquer toute fierté… tant le souvenir de son membre me perturbait. Arrivée chez moi, je jetais fébrilement mes vêtements à travers la pièce passait à toute vitesse mon porte-jarretelles noir, tendis impeccablement les bas noirs demandés. Je chaussais aussi une des paires à talons hauts que Thierry aimait me voir porter. J'allais repartir quand je me remémorais ses paroles " j'aime les putes"…et " tu l'es assez à mon goût"… et aussi, inévitablement," reluire comme une reine". A force que Thierry me fasse ressembler (minimum…) à une double page de journal pour hommes, je savais faire et je soulignais bien vite mon maquillage. Oh pas le grand jeu, mais suffisamment… pour qu'il puisse noter mon changement de comportement et mon obéissance.
C'est presque en courant que refit le chemin inverse priant le ciel de ne rencontrer personne.
Je sonnais. J'entendis au travers de la porte :
"Ouvres ton imper ne grand !"
Je le fis
Il ouvrit.
Je maintenais les pans de mon imperméable grand ouvert terrorisé à l'idée que quelqu'un puisse passer dans la rue. Heureusement il n'en fut rien. Il me fit signe d'entrer. Je continuais toujours d'exposer ma nudité. Son sourire me rassura presque malgré ses yeux qui continuèrent de m'initmider. Quand la porte fut refermée, d'une main posée au dessus de mes seins, il me plaqua contre la porte et m'intima :
"Gardes-le ouvert et écarte les cuisses !"
Epinglé comme un papillon, j'obtempérais. Me fixant droit dans les yeux, il posa son autre main sur mon pubis et la fit descendre. Quand il atteignit ma vulve, je fermais les yeux.
"Ouvres les yeux que je vois ce que cela te fait quand je te touche !
Un de ses doigts lissa ma fente et en écarta les lèvres. Une phalange commença sa prospection…. J'avais du mal à avaler ma salive…. Le doigt progressa… sans problème.
"Tu mouilles, petite cochonne ! Je le savais… je m'en doutais… tu as le sexe dans la peau ! Je vais bien m'amuser avec toi ! Et tu seras punie pour ne pas être arrivée en tenue ! Ton mari vas être ravi !"
"Jacky… je… je t'en prie…"
"Tu m'en prie de quoi ! Tu es là pour baiser, non ? Alors ma petite Martine tu vas être bien gentille et bien obéissante ! Tu es bien la pour te faire mettre ?"
"Oui !"
"Oui quoi !"
"Je suis venue pour faire l'amour avec toi…."
"Ce n'est pas ce que j'ai dit !"
D'une voix à peine audible j'osais :
"Je suis venu pour me faire mettre…."
"Plus fort, je n'ai pas bien entendu !"
Je répétais à voix un peu plus haute. Il me fit recommencer. Je le criais presque…vaincue.
"Donc tu as envie de queue !"
"Oui j'ai envie de ta queue !"
Cette fois il ne fit pas répéter, je l'avais prononcé assez fort.
"Dans tous trous ?"
"Oui dans tous mes trous !"
"Même ton cul ?"
"Surtout mon cul !"
J'avais dit cela subjuguée… impossible de faire machine arrière. Il souris comme un chat qui s'apprête à jouer avec sa souris.
"Bien, bien…bien…. Tu vas être gâtée…. Je vois que ton mari à tort et que toi aussi tu te mets à dire des mots crus…."
"Ce n'est pas dans mes habitudes, et …"
"Eh bien, tu vas en changer… je te veux vulgaire ! D'ailleurs, je pense que ton mari a tort sur toute la ligne…. Il m'a dit que tu n'aimais pas te branler devant lui, vrai ?"
"Oui c'est vrai !"
"Pourtant, toute seule, chez toi, tu le fais ?"
"Oui… enfin…je…."
"Bon ! Donc tu vas te branler devant moi; ok ?"
"Ok Jacky, je… vais me… branler…devant toi !"
"Bien, si tu veux te faire sauter, il va falloir être convaincante et excitante !"
Il me fit entrer dans son salon et me désigna un curieux fauteuil rouge en simili cuir que je trouvais un peu kitsch. Il me demanda de m'y asseoir.
"Allez ! Pelotes- toi les nibards ! Fais comme chez toi ! Et n'oublie pas les bouts !"
Lentement, je me mis à me caresser les seins. Les ayant très sensibles, ils se mirent évidemment à durcir et mes tétons à s'ériger. Consciencieusement et voluptueusement, je me mis à me les pétrir. Il m'ordonna d'abord d'écarter les cuisses, puis les lèvres de mon vagin (je dus dire "de ma chatte"). Je me fis ensuite rouler les pointes des seins et les étirais comme je le faisais habituellement. Il me fallut ensuite passer les jambes par-dessus les accoudoirs du fauteuil (heureusement ceux-ci n'étaient pas trop écartés). Cette fois, je vis une bosse (encourageante) déformer son pantalon. En me priant de "me titiller le bourgeon" et de me "doigter la chatte", il se mit nu lui aussi. Son érection était prometteuse… enfin en des termes qu'il aurait choisit, j'aurais du dire qu'il bandait comme un âne…. Pendant un moment, il me laissa d'une main me caresser le clitoris et de l'autre m'introduire deux doigts aussi loin que je le pus dans mon intimité. Bizarrement, alors qu'il était vrai que je répugnais à user de cette pratique devant mon mari, bizarrement, dis-je, je commençais à vraiment m'exciter. Jacky se leva, alla dans le pièce voisine et revint muni d'un beau godemiché… non pas qu'il fut réellement très beau, j'aurais mieux fait de dire qu'il était d'une bonne taille. Je le vis cracher sur le toy et me le tendre en me précisant, s'il en était besoin, que je devais en connaître l'usage. Je le pris et délicatement me l'insérais, puis le fit allez et venir sensuellement. Prise au jeu, je m'échauffais incontestablement et Jacky fut apparemment content de mon entière participation. A tel point sûrement, qu'il me signifia :
"Changes de trou !"
Si avec mon époux j'avais testé ce genre de chose, j'avoue que je ne l'avais que très peu pratiqué en solo, surtout avec ce genre de calibre. Le sortant de son antre douillet, je l'abutais contre mon anus et commençais à pousser… sans trop d'effet. Délicat comme il paraissait l'être, Jacky me guida :
"Ma pauvre ! Tu n'y arriveras pas comme ça ! Même pas fichu de se carrer un gade dans l'oignon…. Allez, mouille un doigt et enfile le ! Voilàààà ! Ressort le ! Re rentre ! Bieeeennn ! Suces deux doigts ! Enfiles-les ! Écartes les dans ton trou de balle, vas-y ! Ressort-les ! Suces-les ! C'est bon hein ! Remets- les ! Ça devrait être bon, allez... le gode !".
Cette fois, un peu plu "préparée" je réussis à le faire entrer et gentiment mon muscla anal me laissa introduire plus loin, je n'eus plus que tout doucement à le pousser à l'intérieur de mon fondement. Je repris mon souffle et sur l'injonction de Jacky je débutais les allers et retour du godemiché dans mes entrailles. Jugeant le spectacle pas encore assez bandant (et pourtant), il fallut que je me l'enfonce à fond et que je grimpe, un genou sur chaque accoudoir en appui de mes avant-bras sur le dossier du fauteuil. J'eus honte de ma position et de l'excroissance qui sortait de mon derrière. Pas très longtemps d'ailleurs, car la voix de Jacky ma rappela à l'ordre :
"Qu'est ce que tu attends pour remettre ça !"
Je me mis en appuis que d'un bras et je passais mon second bras derrière moi pour me saisir du sextoy et continuer "ma branlette anale" (si c'est bien comme cela que l'on dit, en tout cas c'est ce qu'il me fit dire…).
Jacky contourna le fauteuil. Il était face à moi, sexe tendu à la bonne hauteur. Je veux dire celle de mon visage. Il avança d'un pas. Docile j'ouvris la bouche. Il avança encore. Son membre vint (enfin) se loger entre mes lèvres accueillantes et glisser jusqu'à ma luette. Je refermais mes lèvres et mes joues sur ce beau phallus dont j'avais, en fait, tant envie. Une de ses mains vint caresser mes cheveux et s'y crocher. Une fois ma tête immobilisée de cette façon tyrannique son bassin se mit en mouvement. Jacky me baisait la bouche… tout en m'exhortant à continuer de me fourbir l'anus. D'ailleurs, il trouva l'amplitude de mes gestes insuffisante et délaissa ma bouche. il se saisit du postiche et, lui, me l'enfonça aussi loin qu'il le put. Je gémis de plaisir et aussi un peu de douleur mélangée. Il me le retira ensuite presque intégralement et l'enfonça de nouveau. Sous cette masturbation musclée, je n'en pouvais plus de désir. Tendant mes fesses vers l'arrière, j'attendais, j'espérais autre chose. Je fus gâtée quand je l'entendis dire qu'il allait remplacer le god.
Comme prévu, avec ce qu'il venait de me faire, il entra en moi avec facilité jusqu'au ventre. Ses mains se cramponnèrent à la chair de mes hanches et de ma taille et il se mit, avec fougue, à me sodomiser. J'aurais du dire à m'enculer… car il me fit répéter plusieurs fois, comme pour bien marquer son emprise sur moi et me faire constater ma soumission, que je "voulais être enculée", que "j'aimais sa bite, sa queue", que "je voulais qu'il me défonce le cul", que "je serais désormais sa salope, sa pute" et que "je ferais tous ses caprices"….
Le pire, outre le fait que je n'avais pas trop l'habitude de proférer de telles horreurs, fut que je le pensais réellement et que bizarrement je fus persuadée que j'allais me mettre, de gré ou de force, à m'habituer à dire de telles choses et aussi… d'y prendre goût.
Mon orgasme, mélange de honte, d'envie exacerbée, de tension contenue fut un long hululement qui me fit involontairement contracter mon boyau annelé et aussi provoquer un éjaculation intense et aussi généreuse qu'à l'habitude.
Il m'aida à descendre de mon perchoir et me prenant par la taille, il m'attira à lui. Avant de m'embrasser avidement, il me dit laconiquement :
"Toi… tu me plais !"
Lui aussi me plaisait….
Il me fit ensuite les honneurs de sa chambre. Il s'allongea sur le lit et me demanda de le chevaucher. Quand je fus en place, agenouillée de par et d'autre de lui, je pus me mettre à monter et descendre sur ce pieu de chair qui m'emplissait bien le vagin… la chatte…. Comme plus tôt, je dus me remettre à me caresser les seins et les lécher aussi pour l'exciter. Finalement, il me fit pencher au dessus de son visage et c'est lui qui se chargea de me sucer les pointes qui étaient d'une dureté peu commune. Notre plaisir réciproque nous laissa, cette fois vannés tous les deux.
Il fallut mettre fin à ce délicieux après-midi. Pour la forme, connaissant ma réponse d'avance, il me demanda :
"Tu reviendras ?"
Je confirmais, ajoutant que je le ferais autant qu'il le souhaiterait. J'étais sur le pas de la porte quand il me rattrapa.
"Au fait, tu te rappelles ? Je t'avais dis que tu serais punie ! J'appelerais ton mari pour lui dire ce que j'aurais décidé !"
Un peu paniquée je filais sans demander mon reste. En toute franchise, Jacky me faisait un peu peur. En toute franchise, aussi, je crois que j'aimais ça. Je me douchais vite fais en rentrant chez moi en me remémorant les quelques heures que je venais de passer et en me demandant ce que pouvait imaginer un homme qui sodomisait sa maîtresse avant même l'avoir embrassée….
Je sortais de la salle de bains quand Thierry rentra. Je dus tout lui raconter, sans rien omettre. Je le vis un peu tiquer quand je lui rapportais ma masturbation. À la fin de récit, il était fort énervé…et je dus lui céder. J'avoue que son impétuosité eu raison de ma relative fatigue et une nouvelle fois, je connus la félicité. Plus tard au coucher, mon mari s'interrogea sur la façon dont mon amant aurait de me punir. Je n'osais pas trop y penser… si je voulais dormir….
En fait je marinais la fin de la semaine, jusqu'au samedi. Pendant ce temps Thierry me redemanda plusieurs fois de raconter encore et encore la façon dont il avait été trompé et tout ce que Jacky m'avait ordonné de répeter. Il prenait comme un malin plaisir à me faire dire combien j'avais aimé cela et aussi combien j'étais prête à recommencer. Déjà enfant, je n'aimais pas mentir alors là… puisqu'il le voulait….
Jacky appela Thierry sur son portable et je vis mon époux sourire, écarquiller les yeux, se crisper puis sourire franchement comme alléché. Se tourna vers moi, il me signifia :
"Ma chérie j'en sais plus sur ta punition…."
"Alors ?"
"Il va venir te chercher ce soir. Comme tu n'as jamais voulu, avec moi, il t'a concocté une soirée d'exhib avec lui seul et quand vous reviendrez nous te prendrons à deux comme les autres fois. Il a ajouté que tu serais chaude comme la braise…."
Cette nouvelle m'affola, je n'avais jamais eu envie de cela et j'avais toujours résisté à Thierry. Mais là, je savais que j'était attendue au tournant et que déjà j'avais accepté cette situation. Mon mari ajouta :
"Ah oui ! Il ma donné des instructions sur ta tenue !"
Il avait prévu de venir me chercher à dix neuf heures trente. Il fallais que je l'attende en sous-vêtements noirs soutien gorge pigeonnant, slip brésilien et porte-jarretelles avec des bas fumés… et c'est tout et je ne compris pas pourquoi, mais maquillée normalement.
Vous pensez bien qu'à l'heure dite, j'étais morte de trouille, mais prête. Thierry boudait un peu.
Jacky sonna et Thierry alla ouvrir il se saluèrent comme le font deux bons copains complices. Jacky vint moi m'embrassa dans le cou et pas gêné le moins du monde me tapota les fesses. Il m'examina et se déclara satisfait de mon obéissance. En plaisantant, il dit à mon mari "on vas finir par faire quelque chose d'elle !". De peur d'entendre une réponse graveleuse, ni lui ni moi ne demandâmes de détails. Il décida ensuite que je lui montre ma garde robe ajoutant "que nous n'allions pas aller dîner avec moi dans cette tenue". A Thierry il dit :
"Ne bouges pas on revient…."
Nous montâmes tous deux à ma chambre, j'ouvris la penderie. Jacky choisit une jupe droite classique, un peu au-dessus du genou pas particulièrement sexy. Par contre il prit un chemisier blanc assez translucide que je portais habituellement avec un haut dissimulant mon soutien gorge. Nous redescendîmes. Arrivé en bas, il me tendit les vêtements choisis et me demanda de m'habiller. Je trouvai cela assez rabaissant de le faire devant mon mari… pour lui et pour moi. Effectivement le choix de Jacky n'était pas anodin. Pour le bas pas de problème. Mais le haut… la couleur du soutien gorge tranchait vraiment et la transparence du tissu détaillait bien mon buste. Il plaisanta… encore… en disant que je ne semblais pas très à l'aise. Il me fit prendre un imperméable bien qu'il ne pleuve pas et nous partîmes. Après un petit trajet, nous stoppâmes près d'un restaurant ou nous entrâmes. Il avait dit avant " que je ne semblais pas très à l'aise". Ce n'était rien à coté de ce moment ou je dus enlever mon imperméable. Garçons et maître d'hôtel eurent immédiatement les yeux rivés sur mes seins. Nous fûmes guidés à notre table. Jacky commanda du champagne. Son regard changea. Il fut dur et d'un ton cassant, celui qui me faisait peur et me laissait sans défense, il ordonna à mi-voix:
"Vas au toilette enlever ton soutif !"
Bouche bée je restait statufiée. Il répéta :
"J'ai dis, vas au toilette enlever ton soutif. Veux tu que je répète à voix haute pour que tout le monde entende ?"
Ma punition commençait…. Comme un automate, je me levais et partis dans les toilettes de l'établissement ou je glissais mon sous-vêtement dans mon sac à main. Le retour à table fut pénible ma poitrine jouant librement sous la fine étoffe me valut des regards masculins intéressés et des regards féminins indignés. Et encore, ces dames n'avaient pas tout vu… car dès que je fus assise, Jacky m'ordonna de déboutonner deux boutons supplémentaires de mon chemisier, ce qui portait à quatre le nombre de bouton défaits. Autrement dit, mon chemisier se trouva ouvert jusqu'en dessous des seins et mon sillon bien exposé. Ajoutons que la transparence de l'étoffe ne laissait aucun doute sur la nudité de mon buste et vous comprendrez aisément qu'un essaim de serveur vint qui apporter du pain, qui changer la carafe ou qui s'enquérir du déroulement du repas. Je devais être écarlate d'humiliation, mais en même temps je le sentais bien, un trouble s'installait en moi. Une bouffée de chaleur et un réel sentiment d'humidité de mon sexe m'envahirent quand mon amant me prescrivit de retirer mon slip, là, tout de suite…. Paniquée, je regardais autour de moi. Non, personne ne semblait avoir entendu… ouf ! Dans un film, j'avais vu S. Stone faire la même chose. Mine de rien, je remontais ma jupe et finit par en attraper le bord. Tirant dessus, je soulevais une fesse, puis l'autre pour les dégager. Je me soulevais le plus discrètement possible pour faire glisser mon slip à mi-cuisse en prenant garde de ne pas l'accrocher dans l'attache des jarretelles. Opération réussie… je n'eus plus qu'à le faire glisser autour de mes genoux et le long de mes mollets pour achever de m'en débarrasser. Pendant toute cette démonstration les yeux de Jacky n'avaient pas quitté les mouvements de mes seins qui libre de toute entrave oscillait ouvertement sous mon corsage. Il me tendit la main en disant :
"Donnes !"
Roulé en boulle, je lui offris. Il le prit, le porta à ses narines, hocha la tête puis benoîtement le posa déplié sur la table. Je dus passer à cramoisie de honte….
Cette fois, entre mes cils, je vis le regard du serveur, de surprit, par la vision de ce qui était posé sur la table et qui ne laissait pas de place au doute, passer à libidineux en m'observant. Son avis sur ma personne ne devait pas être très élogieux… ou bien carrément polisson. Une fois de plus la meute des serveurs vint roder autour de notre table. Il y en eut même qui firent semblant de faire tomber quelque chose dans le but évident d'en découvrir davantage. Cela fit dire à Jacky
"Dommage que j'ai choisi cette jupe… je regrette…. J'aurais dû choisir une plus ample, ou plissée…. Je te l'aurait fait relever complètement pour que tu soit assise cul nu sur son siège".
Je l'avais échappé belle !
Je dîner se termina et je pensais arrivée la fin de mon épreuve…. Erreur !
"Je vais au bar régler l'addition. Tu vas aller te refaire une beauté. Je te veux maquillée comme j'aime… Comprit ? Tu reviendras le chemisier complètement déboutonné. J'ai été clair ? Et tâches de te presser !"
Boum !... tout juste me sentais-je un peu mieux que déjà il m'imposait encore une des tribulations dont il avait le secret. Pourtant, j'obéis…. Je filais aux toilettes, suivie par des regards des autres consommateurs. Fit de mon mieux avec ce que j'avais pour faire… faire… faire poule puis la mort dans l'âme j'achevais de dégrafer mon chemisier. Enfin, ce que je dis n'est pas tout à fait vrai. Mon bas ventre était de plus en troublé et je sentais bien que je commençais à mouiller considérablement. Mais pourquoi donc obéissais-je de cette façon à Jacky. D'une part je ne voulais pas décevoir mon mari avec lequel j'avais prit pour habitude de répondre plus que favorablement à ses délires sexuels. C'était ainsi, quoiqu'il m'en coûte, je lui passais tous ces caprices. Et puis, il me faut l'avouer Jacky me plaisait. Enfin, pas unique par son physique, mais se façon autoritaire et ignoble de s'adresser à moi me fascinait sans que j'esquisse la moindre rébellion… et puis, il y avait son gros sexe… qui m'emplissait bien et me procurait des jouissances jusque là rares. Donc au lieu de raser les murs pour me faire discrète, je bombais le torse et en ondulant assez ostensiblement je rejoignis mon initiateur au bar. Cette fois et ce fut la première, je pris plaisir à faire ce que je venais d'effectuer.
Incontestablement, il y eu pléthore… presque bousculade pour m'apporter mon imperméable et m'aider à le passer. Une aide pas vraiment désintéressées puisque accompagnée de mains baladeuses que je feignis ne pas remarquer mais qui, de facto, contribuèrent à faire monter ma température interne. Nous sortîmes du restaurant… ouf ! Si j'avais pu croire ma "punition" terminée, j'avais fait erreur… lourdement. Arrivé à son véhicule, j'attendis qu'il veuille bien débloquer les portières. Je sursautais lorsque j'entendis :
"Retires ta jupe !"
Devant mon air de bécasse hébété il répéta :
"Tu m'as entendu ? J'ai dis retires ta jupe… à moins que ne veuille rentrer par tes propres moyens !"
Un coup d'œil à droite un à gauche… personne…. Je fis faire un demi-tour à ma jupe et abaissant la fermeture éclair de celle-ci, je la retirais. Sous mon imperméable, j'étais nue jusque à la taille… et encore avec mon chemisier ouvert….
Il prit ma jupe et la jeta dans le coffre. J'étais persuadée de plus la revoir de la soirée….
En fin il m'ouvrit la portière. Je montais prestement. Il démarra pour stopper quelques instants plus tard dans une rue plus sombre.
"Le chemisier maintenant ! Vite !"
Le plus vite possible, tenaillée par la peur d'être vue, je me dégageais de mon imper et me démunis de mon chemisier. Pendant un instant je fus nue dans cette voiture (si l'on excepte le et porte-jarretelles bien entendu). Je remis mon vêtement à toute vitesse ce sui le fit rire. Il redémarra pour s'engager vers le quartier de la ville qui passait pour être chaud. De temps à autre il ralentit devant les portes cochères. Avisant l'une d'elles il me fit remarquer deux ou trois prostituées qui attendaient un éventuel chaland. A brûle-pourpoint il m'interrogea :
"Tu n'as jamais eu envie d'essayer ? Tu as pourtant ce qu'il faut pour ça ? Je suis sûr que ça amuserai ton mari !"
Pas moi !... et je me pressais de l'en dissuader. Il rigola. Il se gara. À quelques mettre devant nous une enseigne clignotait "sex-shop"…"sex-shop"…"sex-shop"….
"Nous allons aller faire une petite visite dans ce magasin ! Laisse ton sac et descends !"
j'eu du mal à avaler ma salive. Mon cerveau était comme vide et mes yeux hypnotisés ne se détachaient plus de l'enseigne…"sex-shop"…"sex-shop"…"sex-shop"….
Une fois tout deux descendu de l'auto, il m'interdit de boutonner mon imperméable. Je le serrais frileusement contre moi. Il ouvrit la porte et s'effaça pour me laisser entrer. Deux ou trois types me dévisagèrent immédiatement. Me prenant par le bras, il s'approcha de la caisse. Il salua le vendeur et me présenta à Hugo:
"C'est Martine dont je t'ai parlé. En plus d'être un bon coup c'est une petite cochonne, elle adore allumer les mecs ! Vise un peu comment elle s'habille !"
Ce disant il tira sur un pan de mon imper… qui s'ouvrit. Le vendeur, me lorgna d'un œil connaisseur et lâcha un "Pas mal… Tu as toujours aussi bon goût ! !"
Jacky précisa qu'il venait pour m'offrir un petit gadget et que peut être il aurait besoin de lui pour un essayage. L'homme répondit en me matant de plus belle, qu'il serait ravi de rendre service. Jacky m'entraîna à travers les rayons. C'était la première fois que visitait un établissement de ce type et toute la pornographie étalée m'écoeura un peu. Je viens de dire écoeura mais en même temps le coté sordide m'échauffa et le regards des clients me fit (soyons franche) mouiller. L'un d'eux s'approcha et complimenta Jacky.
"C'est ta gonzesse ? Elle est canon ! On peut toucher ?"
"Non pas cette fois, un autre jour peut-être et qui sait …une petite pipe…."
Je le regardais effarée, pas certaine que ce soit vraiment un plaisanterie….
Nous nous dirigeâmes vers le rayon des vibromasseurs et plus exactement des plugs pour anus. Je me pris à penser que bizarrement, mon mari n'avait jamais acheté de jouet de ce type. Apparemment, Jacky allait remédier à ce manque. Il en choisit un et je lui fus gré de ne pas avoir choisit quelque chose de surdimensionné. Il fut très mesuré dans son choix et devant mon air soulagé me précisa :
"C'est parfait… pour un début !"
Nous retournâmes à la caisse et Jacky demanda :
"Elle peut l'essayer ?"
Vous pensez bien que la réponse fut affirmative. Je fus guidée vers une petite cabine, dut, morte de honte, retirer mon imper, et me mettre à genoux sur une petite chauffeuse. J'entendis Jacky dire :
"Allez vas-y mon vieux, enfiles-le lui !'
Je venais de comprendre que ce n'était pas Jacky, qui allant procéder à l'essayage. Celui-ci allait être pratiqué par le vendeur qui e mit en devoir, tout d'abord de m'écarter les fesses pour me lécher l'oeillet, puis en gager des phalanges inquisitrices. Autour, les clients s'étaient rapprochés et voulurent aussi participer à la dilatation de ce qui était encore mon petit trou. Tout ce que Jacky et le vendeur permirent ce fut qu'ils me salivent sur l'anus pour permettre de mieux l'assouplir. L'homme tranquillement finit par appuyer le bout du sextoy contre l'ouverture de mes reins et commença à me l'introduire. Il fit cela posément, avançant, puis reculant un peu comme pour reprendre son élan et davantage progresser. Bientôt l'engin fut enfoncé jusqu'à sa partie la plus large. Une petite poussée supplémentaire et mon anneau se referma docilement jusqu'à la base. Jacky encouragea le vendeur à me masturber ainsi un petit moment. Une fois de plus les voyeurs, qui pour certain avaient sortis leur membre pour s'astiquer, souhaitèrent que je les suce pendant que je me faisait "branler le troufignon". Jacky refusa derechef. Je n'osais rien dire, mais en cet instant j'aurai bien aimé, je crois, avoir une solide queue dans la bouche. Jacky mit fin à l'exhibition et me fit me relever le plug toujours notablement enfoncé entre mes fesses. Malgré l'air dépité de l'assistance, il me rendit mon imper que je passais le plus vite possible. Le vendeur nous raccompagna. Avant de nous quitter il demanda à Jacky s'il comptait m'emmener chez un certain Goran. Il lui fut répondu négativement en raison de mon manque d'habitude et de pratique. N'ayant rien compris je questionnais Jacky. Une réponse évasive mais ferme me fut rétorquée, je n'insistais pas.
Plug… oui, c'est bien gentils… dans un lit ou allongée… mais debout… dans la rue, au sortir d'un magasin. Ma démarche dut en être perturbée et Jacky me demande de marcher devant lui "en tournant du cul". Arrivé à la voiture je crus encore mon cauchemar terminé tellement j'avais eu honte de tout ce que mon amant m'avait imposé. Il me demanda si "j'avais envie de baiser ?". je lui répondit affirmativement avec tant d'empressement que cela le fit rire.
"tu n'en peu plus, hein ?"
"Oh non ! Je n'en peux plus… j'ai trop envie rentrons vite !"
Il me signifia que je j'allais encore devoir attendre et démarra. Le plug progressa encore lorsque je fus assise et chaque cahot se répercutait entre mes reins… terriblement excitant ! Au lieu de repartir vers mon domicile la voiture prit une autre direction. Bien entendu, il me demanda de déboutonner et d'ouvrir en grand mon imper pour m'exposer à tous les regards des noctambules. Il finit par se diriger vers le supermarché et se dirigea vers le fond du parking ou se trouvait une camionnette. J'entendis le cliquetis de la fermeture centralisée de l'auto. Il me contorsionner pour enlever complètement mon imper et le jeter sur banquette arrière. Je dus avancer les fesses jusqu'à la limite du siège et poser mes pieds sur le tableau de bord, cuisses grandes ouvertes évidemment. Il alluma le plafonnier et me demanda d'une main de me caresser le clitoris et de l'autre de faire largement aller et venir le plug qui occupait mon rectum. Pourquoi dans cet endroit ? La réponse fut rapide un visage apparut à la vitre comme surgit de nulle part.
"Continue de te branler ! Chauffes les !
Lui se mit me titiller les mamelons. Continuant mon manège je distinguais cinq ou six silhouettes autour de la voiture. Que des hommes bien sûr et qui se masturbaient devant le spectacle que j'offrais. Bizarrement cette situation m'excita prodigieusement. Parfois l'un d'entre eux frappait au carreau. Jacky me renseigna : les voyeurs demandaient à ce les vitres soient baissées ou que la portière soit ouverte afin de se repaître de moi. Je vis Jacky hésiter. Il me regarda en murmurant :
"Je suis tenté…."
Pourtant il n'en fit rien et au lieu de cela remit le contact en disant :
"Allez ! On rentre… j'ai trop envie de te défoncer le cul devant ton mari !"
"Moi aussi j'en ai envie ! Il est à toi !"
Une fois arrivée devant la maison, Jacky ne voulut pas que je descende et me fit remettre comme l'instant d'avant pour que je reprenne mon exhibition mais cette fois, devant la maison. Comme une folle je lui obéis, à cette heure, les voisins n'étaient pas dehors….
"Je vais chercher ton mari, qu'il voit ce que tu es capable de faire !"
Au bout d'un court instant ils revinrent tous deux. Ils étaient très différent Thierry avait els yeux exorbités devant ce que je faisais et Jacky regardait l'ensemble d'un air goguenard. Il ne put s'empêcher de faire remarquer à mon mari :
"Alors… pour quelqu'un qui ne veux pas d'exib… ce n'est pas mal hein ?
Je vis que la réflexion n'avait pas plue à Thierry. La seconde non plus…
"Tu permets;;; je vais enculer ta petite femme… je l'ai bien mérité, et … elle aussi !"
Il me fit placer en levrette sur le canapé du salon. En une seconde il fut nu. Lentement il me retira le plug, le faisant admirer à Thierry et pris la place vacante de tout son long. Tellement excitée, je me lachais et ne fit plus attention à rien…uniquement à ce qui me perforait le derrière.
"Fourres-moi bien ! Vas y, prends moi, encuuuules moi à fond....Prends-moi bien fort ! Vas-y bien à fond ! Plus loin ! Lime bien mon cul de salope avec ta grosse bite ! Oui, vas-y ! Encore ! Encore ! Je suis à toi ! Dilate moi bien le trou du cul !!! Possède-moi ! C'est trop bon ! Plus fort ! Oh Jacky chéri...ouiiiiii ...ouiiiiiiiii ...ouiiiiiiiiiiii ...."
Quand je repris pied, je constatais que Jacky était toujours en place. Quelle résistance !... doucement il reprit ses va et vient et invita Thierry à venait se faire sucer.
Mon époux avait une petite mine et aussi une petite érection. Il venait de percevoir l'emprise de Jacky sur moi et le pied gigantesque qu'il venait de me faire prendre. Pourtant faisant contre mauvaise fortune bon coeur, il s'approcha et je me mis à le pomper selon le rythme imposé par Jacky. Cette fois ce dernier ne se retint pas longtemps et m'inonda le boyau. Je dois reconnaître que j'expédiais assez vite mon mari. Devant ma mine épuisée nous décidâmes d'arrêter là nos ébats. Avant de partir, Jacky me prit dans ses bars et après m'avoir roulé une pelle de tous les diables :
"Je t'appelle la semaine prochaine ma petite pute !" proféra-t-il et ce devant Thierry.
Dans les jours qui suivirent Thierry me demanda, me redemanda et me re redemanda de lui raconter ma soirée. Cela se finissait toujours de ma même façon… il me sautait dessus et me sautais tout court….
Malgré son empressement, je n'arrivais pas à avoir un orgasme aussi puissant que celui de cette fameuse soirée. S'en doutait-il ? Peut être car au début timidement, comme un phrase insignifiante, il me dit que nous devrions prendre un peu de recul par rapport à Jacky. Je n'attendais qu'une chose… qu'il me convoque. Ce fut pour le mardi suivant ou il souhaita que je vienne "pour me faire tringler tout l'après-midi". Je fus assurément plus que d'accord et quand j'en parlais à Thierry il bouda….
Le jour dit, j'enfilais ma tenue (limitée) de guerrière, ou de victime ou mieux, je crois, de salope…. Il fut encore plus exigeant cette fois-là que les autres. Cette fois, alors qu'il me sodomisait comme un forcené, il se retira et voulu que je el suce. Quand même… je refusais. Il prit par les cheveux et approcha sa queue de ma bouche. Je cédais et …suçais. Bien vite il me reprit l'anus et recommença le même manège. Désormais, je ne regimbais plus et prenait un plaisir équivoque à la sucer…toute chaude…. Cette fois aussi il me demanda de lui lécher la raie de fesses et de glisser la langue (aussi profond que possible) dans son anus. Après un peu d'hésitation je participais sans retenue. Je connus ce jour là quatre orgasmes très intense et malheureusement plus aigu qu'avec mon mari. Entre nos étreintes, nous échangions baisers et caresses. Nous évoquâmes ma soirée d''exib. Il voulu savoir comment je l'avait ressentit et me questionna :
"Tu te rappelles, au sex-shop, les types… si j'avais voulu, tu te serais laissé faire ?"
"Oui… oui je crois !"
"Et… si je t'avais demandé d'en sucer un ?"
"Je… je crois que j'aurais accepté… pour te faire plaisir."
"Cest bien, mais à toi, dest-ce que cela t'aurais fait plaisir ?"
"O…ou…oui…."
"Et… si je t'avais demandé de tous les sucer ?"
"Oui… oui j'aurais bien voulu, mais arrêtes tu me rends folle !"
"Et… plus que sucer ?"
"Oui….aussi….."
Cette réponse je la fis après une longue hésitation et d'une toute petite voix.
"Bon, eh bien ma petite Martine… je crois qu'un de ces jours nous allons retourner faire une petite visite au sex-shop."
Ce jour-là, je sus qu'il allait que prêter à d'autres devant lui….
Avant de nous séparer il voulu savoir si j'étais libre le samedi soir suivant. J'objectais l'attitude mon mari. Il en faisait son affaire. Il me précisa en riant que ce soir-là nous resterions chez lui. Donc pas de visite au sex-shop, je respirais… mais en même temps….
Un ou deux jours passèrent et Thierry rentra de son travail avec un air terriblement renfrogné.
"J'ai eu Jacky au téléphone. Il veut te voir samedi soir…seule…. "
Je feignis l'étonnement et fit mine d'être faussement ennuyée de son absence. Mon mari renchérit :
"Tu sais, je ne suis pas trop d'accord pour que tu y ailles. Je ne sais pas ce qu'il mijote, mais cela ne me paraît pas bien catholique. Cela commence à m'agacer qu'il pense que tu es à sa disposition. Même si je me doute que tu ne penses pas comme moi, surtout vu comme tu as jouit l'autre jour, je préfèrerais que tu n'y ailles pas."
Fus-je sincère… évidemment pas, lorsque je lui répondis que j'irais une dernière fois chez lui et que je lui annoncerai la fin de cette aventure. Cela me permettais de gagner du temps d'aller chez mon amant et me livrer à lui encore une fois. Car c'était bien cela me livrer à lui et à ses idées lubriques. Cela, Jacky l'avait bien perçu surtout depuis l'autre fois ou il m'avait fait avouer honteusement mon accord aux débauches auxquelles il me destinait. Cela m'avait beaucoup travaillée et en vérité l'idée qu'il me force (enfin plutôt qu'il me fasse car il n'aurait pas beaucoup à me forcer) à sucer des inconnus m'excitait au-delà du raisonnable. Je crois (et je suis sûre) que j'accepterais même de me faire prendre devant lui s'il le voulait (et c'est bien ce qu'il m'avait laissé entendre). Finalement je regrattais de ne pas avoir à me retrouver au pied du mur, tremblante de trouille mais résolue à obéir à mon amant. En fait Jacky était devenu maitre de mes sens.
Thierry fit ouvertement la gueule ce samedi là. Surtout quand il me vit "en tenue". C'est habillée et maquillée comme une star de porno que je raflais mon manteau et lui dit au revoir. Renfrogné, il me dit qu'il ne m'attendrait pas, puisque paraît-il et selon les dires de Jacky, je n'allais pas rentrer de bonne heure…. Tout un programme….
Les autres fois, j'allais chez lui de jour. Le fait d'y aller de nuit me chauffa davantage encore et chemin faisant je me mis à mouiller de trouble. Je voulus en rajouter et appelais Jacky de mon portable :
"Je suis au coin de ta rue… regarde bien quand je vais arriver !"
et là je fis une chose que je n'avais encore jamais faite. Je déboutonnais mon manteau et l'ouvrit en grand lorsque je fus en vue de sa maison. C'est ainsi que je poussais le portillon et avançais en ondulant vers sa porte d'entrée q'il ouvrit bien vite. Une fraction de seconde plus tard mon manteau était sur le sol et j'étais dans les bras de Jacky qui m'embrassait dans le cou. Me plaquant un main au creux des reins pour me faire avancer vers on salon, il me dit
"Ma petite Martine, j'ai l'impression que ce soir tu veux vraiment jouer les dévergondées ! Tu vas en avoir l'occasion. J'ai beaucoup apprécié ton arrivée ma salope… et je ne suis pas le seul….".
Nous étions dans son salon…lui…moi…et…et deux autres hommes. Abasourdie je restais sidérée de honte et de confusion… surtout quand il ajouta :
"Vous voyez…! Comme promis ! J'ai fais venir la petite pute !".
En disant cela, il s'était placé derrière moi et avait posé ses mains sur ma taille comme pour m'empêcher une éventuelle retraite. Nue… au beau milieu de trois hommes… pensez donc ! De toute façon j'était là, bête; bras ballant (pas une seconde je n'avait pensé à cacher ma nudité) pétrifiée quand les deux hommes s'approchèrent.
"Ouais, sûr qu'on va bien s'amuser avec toi jolie Madame !"
"Va pas falloir qu'elle soit feignante du coup rein ta cochonne ! ça suffit pas d'être pas mal gaulée !".
"Vous en faites pas ! Je l'ai déjà tirée en compagnie de son mari vous allez voir elle a de la ressource !"
Des mains avaient emprisonnées me seins, d'autres parcouraient mes fesses, mon ventre, s'insinuaient sous mes jarretelles et entre mes cuisses. Des doigts se faisaient insistant à l'orée de mon sexe mais aussi à celle de mes reins. On me prit une main pour la poser sur une braguette gonflée. Jusque là, j'avais été passive, sans trop de réaction sinon mon renoncement très prompt à toute velléité de résistance. Cette fois j'abandonnais totalement toute pudeur et leur offrais mon renoncement à toute décence en ouvrant ce pantalon inutile et superflu. Tour à tour je puis découvrir les arguments virils de ces messieurs. Les deux nouveaux n'avaient rien à envier à Jacky.
Une femme, trois hommes, trois belles queues… la séance commença….
En résumé, les hommes éjaculèrent trois fois chacun souillant mes trois orifices sans compter ma bouche qui dut, outre recevoir sa ration de foutre, s'activer à des nettoyages humiliants, consternants mais prometteurs. Des sexes… partout… bouche, con, cul (souvent mis à l'épreuve puisque apte a recevoir les trois imposantes virilités. Assez souvent deux ensemble entre les lèvres, quelques fois malgré mes objections deux ensemble dans ma chatte surchauffée. Tout y passa, pipes, doubles; triples pénétration et là, je compris pourquoi Jacky m'avait "habituée" à sucer un membre sortant de l'une ou l'autre de mes trous béants, puisque les hommes, comme s'ils voulaient encore plus me mettre à leur merci n'arrêtèrent pas de changer de place.
Vous dire combien de fois j'ai jouis… impossible, j'avais l'impression de ne pas arrêter sans compter que quand les membres faisaient temporairement défaut de bouches et des doigts prenaient le relais pour me replonger dans le délire de mes sens égarés. Le pièce sentait la luxure à plein nez, foutre, mouille et sueur mélangés et ne résonnait que des râles, grognements mais aussi d'invectives lancée à mon égard par les mâles en rut. Salope et pute revenait assez souvent. Mais je n'en avait cure, bien au contraire et Jacky me fit bien découvrir ce soir là que j'aimais me vautrer dans la débauche et ce n'était pas finit…. Moi aussi d'ailleurs, je fut obligée, lorsque je n'avait pas une pine enfoncée dans la bouche jusqu'aux couilles, de proférer des abjections et de confesser pour appétit pour la baise.
Après quelques heures de sommeil ce ne fut que le lendemain que je pris le retour vers chez moi le corps marqué des élans de mes amants et intégralement nue cette fois sous mon manteau car mes bas étaient filés depuis belle lurette. Je rentrais chez moi et m'effondrais au lit d'où je n'émergeais que beaucoup plus tard.
Evidemment, Thierry voulut savoir. Malgré le dégoût qu'il manifesta devant ce que (de plein gré) j'avais enduré, il n'empêche qu'il bandait ferme. Malheureusement pour lui je fus inapte deux ou trois jours et ne lui cédait que les choses revenues à leurs diamètres habituels. La sensation fut étrange et j'eus pour la première fois du mal à atteindre la jouissance dans les bras de mon mari. Ce fut un peu comme si j'avais besoin en plus de l'acte lui-même d'une bonne dose de vice supplémentaire. Je crois que Thierry s'en rendit compte et le lendemain la scène de ménage fut mémorable.
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