Le coaching de Léa (Fin)
Récit érotique écrit par DMN [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-07-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Le coaching de Léa (Fin)
Tamara.
Je reste bouche bée et manque de tomber dans les pommes. Je ne pensais pas la revoir.
Il faut dire que la brouille entre elle et Lucie avait été plutôt violente, ce qui m’avait amené à me séparer des 2. Pour éviter les jalousies, j’avais donc décidé de couper les ponts, et 3 semaines plus tard, je quittais le territoire.
Léa me rejoint, interrogative. Tamara la regarde, me regarde. Le manège continue jusqu’à ce que je lui fasse signe d’entrer.
Tamara porte un jean bleu pastel avec un pull blanc, le contraste avec sa peau foncée la rend extrêmement séduisante.
Je fais les présentations, les 2 filles se regardent intensément, je remarque dans les yeux de Léa une petite lueur que je n’avais pas vue depuis un certain temps, elle est sous le charme de la jeune métisse.
Je demande alors à Tamara ce qui l’amène. Elle me dit qu’elle est passée régulièrement au garde meuble au cours des derniers mois sans me voir et qu’elle s’en est inquiétée.
Elle est désolée pour l’embrouille entre elle et Lucie et m’apprend que celle-ci a quitté la région pour retourner vers sa famille. Elle me demande alors de redevenir son coach, je suis partagé.
D’un côté, claquer son adorable petit cul ne m’avait pas déplu, de l’autre, je m’étais juré de ne pas reprendre l’une ou l’autre.
Je dis alors à Tamara que j’ai besoin de réfléchir et que je la rappellerais une fois ma décision prise.
Elle pose alors un papier plié en 4 sur le coffre, se lève et se dirige vers la porte, je l’accompagne jusqu’à ce qu’elle soit partie.
En revenant dans le box, je vois que Léa lit attentivement le document laissé sur le coffre, je la laisse terminer sa lecture tandis que je finis de ranger la pièce.
Lorsqu’elle a terminé, elle me tend le papier en me disant qu’elle ne donne pas cher du joli fessier qui vient de lui passer sous le nez. Je prends le papier en souriant, sourire qui s’efface aussitôt quand je découvre le bulletin de la demoiselle.
Les commentaires de ses profs sont globalement à son avantage, mais les moyennes nettement moins, heureusement que la miss a filé sinon elle n’aurait pas pu s’assoir pendant 3 jours.
Je regarde Léa qui me demande pourquoi je n’ai pas accepté de suite de reprendre Tamara, je lui explique et nous rentrons à la maison. La soirée se passe dans le calme et la tranquillité, Léa révise dur pour le lendemain.
Au réveil, Léa se sent prête. Nous partons au garde meuble, je donne à Léa 3 heures pour répondre à son contrôle.
Tandis que celle-ci se lance à l’assaut, je regarde le bulletin de Tamara et commence à lui préparer un sacré menu, du genre copieux.
Je commence également à coordonner sa venue avec celle d’Emilie puisque celle-ci arrive moins de 2 semaines plus tard, il est possible que je fasse cours et correction en simultané.
Léa vient me voir après 2h30 de travail et me dit qu’elle a terminé. Vu qu’il n’est pas loin de midi, nous sortons manger, je jette un rapide coup d’œil pendant qu’elle se prépare, c’est très bien.
Je pense qu’aucun orage ne se déchainera sur son fessier cet après-midi.
Nous nous arrêtons dans un resto sur le chemin et rentrons chez moiPosés dans le canapé l’un contre l’autre, je corrige devant elle sa copie. Au fur et à mesure que la correction avance, ma main glisse lentement entre ses jambes, je caresse tranquillement l’intérieur de ses cuisses, sa jupe remonte progressivement jusqu’à ce que je sois en vue de l’objectif.
Je suis surpris de voir que celui-ci est complètement à découvert. En relevant les yeux, je vois que ma petite coquinette est toute rouge, elle n’a pas l’habitude de se balader sans culotte.
Ma main glisse vers son intimité, j’attrape délicatement son clitoris et le fais rouler tout doucement entre mes doigts, Léa a les jambes écartées et se mord les lèvres pour ne pas crier et informer le voisinage. Je finis la correction de sa copie avant de l’envoyer valser à travers la pièce.
J’allonge la demoiselle sur le canapé et entame un long cunnilingus tandis que mes mains montent sur sa poitrine et commencent à titiller ses tétons. Je fais aller et venir ma langue jusqu’au 1er orgasme de Léa, je ne m’arrête pas pour autant, je ne lui laisse aucun répit jusqu’à lui déclencher un 2ème orgasme quelques minutes plus tard. Sans pour autant arrêter le travail commencé, j’attrape le petit gode que j’ai ramené du garde-meuble et commence à stimuler son anus. Elle respire de plus en plus fort et je sens le 3ème orgasme arriver ventre à terre. Au moment où son corps se raidit sous le coup de l’onde de plaisir qui la ravage, j’enfonce le gode dans son cul.
J’arrête le cunni, relève les jambes de Léa et me présente ma bite devant sa chatte détrempée.
Je m’y enfonce comme dans du beurre et commence un long va et vient, alternant vitesse et délicatesse. Je la torture délicieusement car dès que je la sens monter, je ralentis le rythme, histoire de faire retomber la pression, pour elle comme pour moi.
Simultanément, je fais bouger le gode, bien enfoncé dans son cul. Cette double pénétration est sacrément excitante et une première pour Léa.
Je continue ma besogne jusqu’à emmener la miss vers un nouvel orgasmeJe me retire et la redresse avant de la positionner à genoux sur le canapé, nez contre le mur.
Je tire sur le gode et l’enlève. Son cul, bien ouvert, est prêt à être servi comme il se doit.
A cet instant, ma jolie brune est complètement nue, ses longs cheveux décoiffés à hauteur de ses seins, les fesses cambrées et l’anus ouvert, avec un beau vit prêt à lui rentrer dedans pour la faire grimper aux rideaux.
Je m’introduis lentement et recommence à aller et venir en elle. Comme son anus a déjà été sollicité précédemment, je ne mets pas longtemps à prendre un rythme rapide. Etant assez étroite malgré le passage du sextoy, cette pénétration la fait couiner davantage que précédemment.
Au bout d’un moment, sentant venir la jouissance, je ralentis le rythme, pour faire redescendre la pression. Je mets Léa en levrette, reprend le gode et lui enfonce dans la chatte.
Je reprends le bourrage de son petit cul et d’une main, j’appuie sur le jouet pour la stimuler de plus en plus.
Le rythme que je prends en plus du gode qui bouge dans son fondement font monter Léa au Nirvana et je prends le même chemin.
Nous jouissons ensemble à quelques secondes d’intervalle Au bout d’un moment, Léa se lève et part vers la salle de bain pour se préparer à rentrer chez elle, je regarde l’heure de départ de son train et remarque que celui-ci part une heure plus tard, j’avertis la miss de la situation, elle me répond qu’elle sera bientôt prête (mon œil). Elle ressort 10 minutes plus tard, attrape sa valise et nous partons vers la gare. Evidemment, nous sommes limite-limite niveau timing et pour une fois, la SNCF est à l’heure. Quand nous arrivons à la gare, le train quitte le quai.
Après informations, prochain train 5h plus tard, ce qui implique de reprendre un billet et de patienter.
Tandis que la miss règle ses petits problèmes, j’appelle discrètement Tamara et lui explique la situation, RDV est donné au garde-meuble immédiatement, j’ai une petite idée derrière la tête.
Léa revient vers moi, je lui dis qu’elle était prévenue, qu’on allait être ric-rac pour avoir son train si elle ne se pressait pas.
Elle baisse les yeux et remonte en voiture, nous partons au garde meuble.
Arrivés sur place, je vois Tamara au loin et les yeux de Léa recommencent à briller, je l’interromps tout de suite en lui disant que c’est Tamara qui va avoir droit à beau spectacle.
Surprise pour Léa qui ne s’attendait pas une seconde à montrer son cul à une inconnue adepte des mêmes plaisirs qu’elle.
Sachant qu’en plus, en compagnie d’autres demoiselles, c’est elle qui aime dominer, elle est d’autant plus perplexe.
Je ne la laisse pas réfléchir outre mesure, nous entrons dans le box. Léa est à peine entrée que je l’envoie au coin, nez au mur (pour la deuxième fois de la journée). Tamara s’installe dans un fauteuil en face de moi, je lui demande de choisir un instrument pour Léa et la vois s’emparer du nouveau paddle qu’elle me tend en rougissant.
Je fais revenir Léa et la débarrasse immédiatement de son jean. Je la mets à 4 pattes sur le canapé tandis que Tamara a les yeux rivés sur le shorty bleu et blanc qui se balance sous son nez, elle n’en rate pas une miette.
Je commence alors la correction, longue, dure, implacable. Durant 20 minutes, son fessier subit les assauts du paddle et quand je baisse le dernier rempart, son postérieur est d’un joli rouge pâle.
Je me retourne alors vers Tamara qui les jambes légèrement écartées et qui ondule d’avant en arrière, je déduis que le spectacle lui plait et que les coutures de son pantalon doivent être d’une grande aide pour se soulager.
Je retourne à Léa et pendant encore 10 bonnes minutes, le paddle s’abat sur son derrière. Quand la tempête se calme, je pose la paddle sur le canapé et passe ma main sur le derrière de la miss.
C’est chaudJe la relève et la remet face à moi, elle a pleuré et ça se voit. Je m’assois et la berce comme un bébé.
D’un geste, j’envoie Tamara prendre sa place au coin, les mains sur la tête. Léa ne réalise pas tout de suite de ce qui va suivre. J’ai en effet proposé à Tamara d’assister à l’ultime correction de Léa, en sachant qu’elle allait également recevoir une correction (de ma main) sous les yeux de cette dernière. Chose qu’elle a accepté.
Je rhabille Léa et l’installe dans le fauteuil, c’est à ce moment-là qu’elle remarque la position de la jeune métisse et que le sourire lui revient.
Je fais venir Tamara face à moi et la couche sur mes jambes. Pour sa reprise, on va y aller mollo puisque le programme des jours à venir risque d’être corsé.
Je commence donc à la fesser doucement, les yeux de Léa brillent de désir et d’excitation. Tamara, elle, encaisse les coups sans broncher pendant 5-10 minutes. Je la remets ensuite sur ses jambes, défais sa ceinture et enlève son pantalon. C’est en slip qu’elle reprend sa position initiale tandis que l’orage se remet à gronder. La foudre s’abat encore et encore sur son beau derrière jusqu’au moment fatidique où la jolie métisse se relève pour voir le dernier rempart protégeant son intimité tomber. La spectatrice, qui ne semble bizarrement plus se préoccuper de son assise douloureuse, est aux anges. Tamara, elle, l’est un peu moins, elle tente de protéger ses belles fesses de mes paluches, en vain bien sûr.
J’arrête les claques un quart d’heure après, non pas que le derrière de la belle soit rouge comme celui de sa prédécesseure, mais seulement parce que le cuir que j’ai sur les mains commence lui à être brulant.
Tamara se redresse, malgré ses gesticulations et ses gémissements, ses yeux ne présentent pas l’ombre d’une coulure de larme.
Je la remets au piquet pendant quelques minutes, le temps pour Léa et moi d’admirer le travail fait, je permets à la jolie métisse de se réajuster et de reprendre place dans le canapé avec Léa le temps pour moi de passer aux toilettes.
A mon retour dans le box, je remarque que les 2 semblent encore émoustillées, j’ignore ce qu’il s’est passé durant ma courte absence mais à mon avis, j’ai raté quelque chose.
Je me réinstalle face aux 2, il nous reste encore 2h30 avant le départ du train, je prends donc le temps de discuter avec Tamara pour voir si j’ai bien identifié les difficultés rencontrées au travers de son bulletin, j’en profite également pour lui présenter tout le matériel arrivé dernièrement dans ma collection. Elle a eu l’air troublée devant le gode, le plug et le bâillon avant que je lui explique leurs rôles. Ça a eu l’air de lui plaire. Je l’informe également de la venue d’Emilie et de la probabilité qu’elles vivent l’une et l’autre des moments plutôt intenses.
Nous nous quittons sur le parking du garde meuble. Dans la voiture, Léa est heureuse d’avoir pu s’améliorer en vue de ses examens (entre autres choses) mais déçue de manquer la fête avec sa sœur, sachant que ça promet.
En arrivant à la gare, très peu fréquentée en soirée, je l’accompagne sur le quai désert et la serre contre moi. Je ne résiste pas à l’envie de glisser une main sous son jean pour caresser ses jolies fesses, encore chaudes après cette longue et O combien excitante journée.
Fin
Merci d'avoir lu cette histoire, n'hésitez pas à laisser des commentaires ou me contacter par mail (dmnmaitrefesseur@gmail.com) si elle vous a plu.
Je reste bouche bée et manque de tomber dans les pommes. Je ne pensais pas la revoir.
Il faut dire que la brouille entre elle et Lucie avait été plutôt violente, ce qui m’avait amené à me séparer des 2. Pour éviter les jalousies, j’avais donc décidé de couper les ponts, et 3 semaines plus tard, je quittais le territoire.
Léa me rejoint, interrogative. Tamara la regarde, me regarde. Le manège continue jusqu’à ce que je lui fasse signe d’entrer.
Tamara porte un jean bleu pastel avec un pull blanc, le contraste avec sa peau foncée la rend extrêmement séduisante.
Je fais les présentations, les 2 filles se regardent intensément, je remarque dans les yeux de Léa une petite lueur que je n’avais pas vue depuis un certain temps, elle est sous le charme de la jeune métisse.
Je demande alors à Tamara ce qui l’amène. Elle me dit qu’elle est passée régulièrement au garde meuble au cours des derniers mois sans me voir et qu’elle s’en est inquiétée.
Elle est désolée pour l’embrouille entre elle et Lucie et m’apprend que celle-ci a quitté la région pour retourner vers sa famille. Elle me demande alors de redevenir son coach, je suis partagé.
D’un côté, claquer son adorable petit cul ne m’avait pas déplu, de l’autre, je m’étais juré de ne pas reprendre l’une ou l’autre.
Je dis alors à Tamara que j’ai besoin de réfléchir et que je la rappellerais une fois ma décision prise.
Elle pose alors un papier plié en 4 sur le coffre, se lève et se dirige vers la porte, je l’accompagne jusqu’à ce qu’elle soit partie.
En revenant dans le box, je vois que Léa lit attentivement le document laissé sur le coffre, je la laisse terminer sa lecture tandis que je finis de ranger la pièce.
Lorsqu’elle a terminé, elle me tend le papier en me disant qu’elle ne donne pas cher du joli fessier qui vient de lui passer sous le nez. Je prends le papier en souriant, sourire qui s’efface aussitôt quand je découvre le bulletin de la demoiselle.
Les commentaires de ses profs sont globalement à son avantage, mais les moyennes nettement moins, heureusement que la miss a filé sinon elle n’aurait pas pu s’assoir pendant 3 jours.
Je regarde Léa qui me demande pourquoi je n’ai pas accepté de suite de reprendre Tamara, je lui explique et nous rentrons à la maison. La soirée se passe dans le calme et la tranquillité, Léa révise dur pour le lendemain.
Au réveil, Léa se sent prête. Nous partons au garde meuble, je donne à Léa 3 heures pour répondre à son contrôle.
Tandis que celle-ci se lance à l’assaut, je regarde le bulletin de Tamara et commence à lui préparer un sacré menu, du genre copieux.
Je commence également à coordonner sa venue avec celle d’Emilie puisque celle-ci arrive moins de 2 semaines plus tard, il est possible que je fasse cours et correction en simultané.
Léa vient me voir après 2h30 de travail et me dit qu’elle a terminé. Vu qu’il n’est pas loin de midi, nous sortons manger, je jette un rapide coup d’œil pendant qu’elle se prépare, c’est très bien.
Je pense qu’aucun orage ne se déchainera sur son fessier cet après-midi.
Nous nous arrêtons dans un resto sur le chemin et rentrons chez moiPosés dans le canapé l’un contre l’autre, je corrige devant elle sa copie. Au fur et à mesure que la correction avance, ma main glisse lentement entre ses jambes, je caresse tranquillement l’intérieur de ses cuisses, sa jupe remonte progressivement jusqu’à ce que je sois en vue de l’objectif.
Je suis surpris de voir que celui-ci est complètement à découvert. En relevant les yeux, je vois que ma petite coquinette est toute rouge, elle n’a pas l’habitude de se balader sans culotte.
Ma main glisse vers son intimité, j’attrape délicatement son clitoris et le fais rouler tout doucement entre mes doigts, Léa a les jambes écartées et se mord les lèvres pour ne pas crier et informer le voisinage. Je finis la correction de sa copie avant de l’envoyer valser à travers la pièce.
J’allonge la demoiselle sur le canapé et entame un long cunnilingus tandis que mes mains montent sur sa poitrine et commencent à titiller ses tétons. Je fais aller et venir ma langue jusqu’au 1er orgasme de Léa, je ne m’arrête pas pour autant, je ne lui laisse aucun répit jusqu’à lui déclencher un 2ème orgasme quelques minutes plus tard. Sans pour autant arrêter le travail commencé, j’attrape le petit gode que j’ai ramené du garde-meuble et commence à stimuler son anus. Elle respire de plus en plus fort et je sens le 3ème orgasme arriver ventre à terre. Au moment où son corps se raidit sous le coup de l’onde de plaisir qui la ravage, j’enfonce le gode dans son cul.
J’arrête le cunni, relève les jambes de Léa et me présente ma bite devant sa chatte détrempée.
Je m’y enfonce comme dans du beurre et commence un long va et vient, alternant vitesse et délicatesse. Je la torture délicieusement car dès que je la sens monter, je ralentis le rythme, histoire de faire retomber la pression, pour elle comme pour moi.
Simultanément, je fais bouger le gode, bien enfoncé dans son cul. Cette double pénétration est sacrément excitante et une première pour Léa.
Je continue ma besogne jusqu’à emmener la miss vers un nouvel orgasmeJe me retire et la redresse avant de la positionner à genoux sur le canapé, nez contre le mur.
Je tire sur le gode et l’enlève. Son cul, bien ouvert, est prêt à être servi comme il se doit.
A cet instant, ma jolie brune est complètement nue, ses longs cheveux décoiffés à hauteur de ses seins, les fesses cambrées et l’anus ouvert, avec un beau vit prêt à lui rentrer dedans pour la faire grimper aux rideaux.
Je m’introduis lentement et recommence à aller et venir en elle. Comme son anus a déjà été sollicité précédemment, je ne mets pas longtemps à prendre un rythme rapide. Etant assez étroite malgré le passage du sextoy, cette pénétration la fait couiner davantage que précédemment.
Au bout d’un moment, sentant venir la jouissance, je ralentis le rythme, pour faire redescendre la pression. Je mets Léa en levrette, reprend le gode et lui enfonce dans la chatte.
Je reprends le bourrage de son petit cul et d’une main, j’appuie sur le jouet pour la stimuler de plus en plus.
Le rythme que je prends en plus du gode qui bouge dans son fondement font monter Léa au Nirvana et je prends le même chemin.
Nous jouissons ensemble à quelques secondes d’intervalle Au bout d’un moment, Léa se lève et part vers la salle de bain pour se préparer à rentrer chez elle, je regarde l’heure de départ de son train et remarque que celui-ci part une heure plus tard, j’avertis la miss de la situation, elle me répond qu’elle sera bientôt prête (mon œil). Elle ressort 10 minutes plus tard, attrape sa valise et nous partons vers la gare. Evidemment, nous sommes limite-limite niveau timing et pour une fois, la SNCF est à l’heure. Quand nous arrivons à la gare, le train quitte le quai.
Après informations, prochain train 5h plus tard, ce qui implique de reprendre un billet et de patienter.
Tandis que la miss règle ses petits problèmes, j’appelle discrètement Tamara et lui explique la situation, RDV est donné au garde-meuble immédiatement, j’ai une petite idée derrière la tête.
Léa revient vers moi, je lui dis qu’elle était prévenue, qu’on allait être ric-rac pour avoir son train si elle ne se pressait pas.
Elle baisse les yeux et remonte en voiture, nous partons au garde meuble.
Arrivés sur place, je vois Tamara au loin et les yeux de Léa recommencent à briller, je l’interromps tout de suite en lui disant que c’est Tamara qui va avoir droit à beau spectacle.
Surprise pour Léa qui ne s’attendait pas une seconde à montrer son cul à une inconnue adepte des mêmes plaisirs qu’elle.
Sachant qu’en plus, en compagnie d’autres demoiselles, c’est elle qui aime dominer, elle est d’autant plus perplexe.
Je ne la laisse pas réfléchir outre mesure, nous entrons dans le box. Léa est à peine entrée que je l’envoie au coin, nez au mur (pour la deuxième fois de la journée). Tamara s’installe dans un fauteuil en face de moi, je lui demande de choisir un instrument pour Léa et la vois s’emparer du nouveau paddle qu’elle me tend en rougissant.
Je fais revenir Léa et la débarrasse immédiatement de son jean. Je la mets à 4 pattes sur le canapé tandis que Tamara a les yeux rivés sur le shorty bleu et blanc qui se balance sous son nez, elle n’en rate pas une miette.
Je commence alors la correction, longue, dure, implacable. Durant 20 minutes, son fessier subit les assauts du paddle et quand je baisse le dernier rempart, son postérieur est d’un joli rouge pâle.
Je me retourne alors vers Tamara qui les jambes légèrement écartées et qui ondule d’avant en arrière, je déduis que le spectacle lui plait et que les coutures de son pantalon doivent être d’une grande aide pour se soulager.
Je retourne à Léa et pendant encore 10 bonnes minutes, le paddle s’abat sur son derrière. Quand la tempête se calme, je pose la paddle sur le canapé et passe ma main sur le derrière de la miss.
C’est chaudJe la relève et la remet face à moi, elle a pleuré et ça se voit. Je m’assois et la berce comme un bébé.
D’un geste, j’envoie Tamara prendre sa place au coin, les mains sur la tête. Léa ne réalise pas tout de suite de ce qui va suivre. J’ai en effet proposé à Tamara d’assister à l’ultime correction de Léa, en sachant qu’elle allait également recevoir une correction (de ma main) sous les yeux de cette dernière. Chose qu’elle a accepté.
Je rhabille Léa et l’installe dans le fauteuil, c’est à ce moment-là qu’elle remarque la position de la jeune métisse et que le sourire lui revient.
Je fais venir Tamara face à moi et la couche sur mes jambes. Pour sa reprise, on va y aller mollo puisque le programme des jours à venir risque d’être corsé.
Je commence donc à la fesser doucement, les yeux de Léa brillent de désir et d’excitation. Tamara, elle, encaisse les coups sans broncher pendant 5-10 minutes. Je la remets ensuite sur ses jambes, défais sa ceinture et enlève son pantalon. C’est en slip qu’elle reprend sa position initiale tandis que l’orage se remet à gronder. La foudre s’abat encore et encore sur son beau derrière jusqu’au moment fatidique où la jolie métisse se relève pour voir le dernier rempart protégeant son intimité tomber. La spectatrice, qui ne semble bizarrement plus se préoccuper de son assise douloureuse, est aux anges. Tamara, elle, l’est un peu moins, elle tente de protéger ses belles fesses de mes paluches, en vain bien sûr.
J’arrête les claques un quart d’heure après, non pas que le derrière de la belle soit rouge comme celui de sa prédécesseure, mais seulement parce que le cuir que j’ai sur les mains commence lui à être brulant.
Tamara se redresse, malgré ses gesticulations et ses gémissements, ses yeux ne présentent pas l’ombre d’une coulure de larme.
Je la remets au piquet pendant quelques minutes, le temps pour Léa et moi d’admirer le travail fait, je permets à la jolie métisse de se réajuster et de reprendre place dans le canapé avec Léa le temps pour moi de passer aux toilettes.
A mon retour dans le box, je remarque que les 2 semblent encore émoustillées, j’ignore ce qu’il s’est passé durant ma courte absence mais à mon avis, j’ai raté quelque chose.
Je me réinstalle face aux 2, il nous reste encore 2h30 avant le départ du train, je prends donc le temps de discuter avec Tamara pour voir si j’ai bien identifié les difficultés rencontrées au travers de son bulletin, j’en profite également pour lui présenter tout le matériel arrivé dernièrement dans ma collection. Elle a eu l’air troublée devant le gode, le plug et le bâillon avant que je lui explique leurs rôles. Ça a eu l’air de lui plaire. Je l’informe également de la venue d’Emilie et de la probabilité qu’elles vivent l’une et l’autre des moments plutôt intenses.
Nous nous quittons sur le parking du garde meuble. Dans la voiture, Léa est heureuse d’avoir pu s’améliorer en vue de ses examens (entre autres choses) mais déçue de manquer la fête avec sa sœur, sachant que ça promet.
En arrivant à la gare, très peu fréquentée en soirée, je l’accompagne sur le quai désert et la serre contre moi. Je ne résiste pas à l’envie de glisser une main sous son jean pour caresser ses jolies fesses, encore chaudes après cette longue et O combien excitante journée.
Fin
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