Le cocu décocufié
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-06-2023 dans la catégorie Plus on est
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Le cocu décocufié
Je m'appelle Nicolas, j'ai 37 ans et je suis cocu. Eh oui, ça arrive ces choses là et même à beaucoup de gens, il n'y a rien là d'original, même pas de quoi écrire un texte ici. Il y a même des cocus qui se mettent en scène sur un internet en train de regarder leur femme se faire sauter par un pote, un black, n'importe qui. Je serais donc en droit de relativiser cette infortune passagère, ou pas.
Mais ce qui me gonfle, c'est que ma femme, une latino, a dix ans de plus que moi, n'est pas spécialement un canon bien qu'elle dispose d'une paire de seins qui a longtemps fait mon bonheur dans les cravates de notaire, sans parler d'un tempérament volcanique au plumard, et un don pour la pipe exceptionnel, oui ce qui me gonfle, c'est qu'elle s'est fait sauter par un sexagénaire bedonnant, raciste, chauve, poilu, beauf intégral, un ex voisin que j'ai toujours détesté et, je le croyais, par ma femme aussi vu qu'il n'aime pas les étrangers. On pourrait croire que je me fais un film (d'horreur). Ben non car je les ai surpris en pleine action.
C'était un après-midi, je rentrais du boulot plus tôt que prévu car le patron m'avait dit de récupérer des heures. A peine arrivé, j'entendis du bruit dans ma chambre. Je ne m'étais pas annoncé. D., ma compagne, à quatre pattes sur le plumard, échevelée, était prise en levrette par le gros imbécile, ses plantureux nichons balançant en cadence. Elle l'encourageait, "allez allez vas y j'aime ça continue" en remuant son vaste pétard que j'avais si souvent fendu de ma queue. Je m'attendais à tout sauf à ça. A la limite, le gars aurait été un mec de mon âge, ou plus jeune, j'aurais compris que D. ait eu envie de se faire sauter par lui. Le sexe, c'est vraiment son truc. J'ai même eu parfois eu du mal à fournir pour la satisfaire. Mais pas par ce type, non.
Evidemment, une grosse scène à suivi. Elle m'a fait valoir des arguments bidons que je n'ose même pas répercuter ici, si ce n'est une dispute la veille qui ne justifiait pas ce cocufiage. Alors, je me suis barré. J'ai mis quelques affaires dans une valise et j'ai pris une chambre d'hôtel provisoire, pour réfléchir, dans une chaine bon marché. Où avais-je vraiment failli ? Avais-je vraiment comblé ses besoins sexuels ? Ne m'avait-elle pas déjà trompé sans que je le sache ? Tout se bousculait dans ma tête.
Mais puisqu'il en était ainsi, la première des décisions était de lui rendre la pareille. Plus facile à dire qu'à faire. Les filles, aujourd'hui, vous font mariner pour être sûr que vous n'êtes pas un sale macho. Elles ne sont pas toutes comme D. qui est une vraie bête de sexe version féminine. J'ai payé ma chambre après avoir discuté avec la réceptionniste, une petite beurette d'à peine trente ans prénommée Sophia (vu son badge), plutôt mignonne, souriante, ça me changeait. Elle m'a dit que le bar était ouvert si je le voulais. Après avoir dîné de la pire pizza de ma vie dans la pizzeria du coin, j'y ai repensé plus tard en regardant à la télé dans ma piaule une émission sans intérêt, et je suis descendu au rez de chaussée.
Dans le salon bar, j'ai découvert quatre femmes attablées, entre quarante et cinquante ans, le genre propre sur elles, rien à voir avec des putes en attente du client. Elles m'ont regardé avec curiosité pendant que Sophia me servait une bière. Elles parlaient avec animation tout en me regardant du coin de l'oeil. Finalement, l'une d'elles à dit :
- Au lieu de rester seul dans votre coin, venez donc à notre table, ce sera plus sympa.
Elles se sont présentées chacune par leur prénom - Corinne, Sandrine, Solange et Marielle- et m'ont indiqué qu'elles étaient toutes en formation d'une grande société de télécommunication. Cela faisait déjà plus d'une semaine et elles trouvaient les soirées longues. Toutes étaient visiblement mariées, ou en couple. Elles m'ont interrogé sur ma présence et je me suis contenté de dire que je m'étais disputé avec ma femme, sans dire qu'elle me trompait, mais je crois qu'elles avaient compris. L''une d'elle a d'ailleurs dit : "un beau garçon comme vous, il y a vraiment des idiotes". Ce compliment, dans mon désarroi, m'a touché. C'est la dénommée Marielle qui l'avait exprimé, une quadra avec des cheveux châtain clair coupés au carré et une robe à boutons assez ouverte en haut pour laisser voir un sillon mammaire qui n'avait pas grand chose à envier à D. Une autre femme prénommée Solange, plus âgée, très classe, en tailleur, avec un chignon et des ongles rouge vif, a surenchéri. On a échangé sur la difficulté de vivre en couple sans tomber dans la routine. C'était plein de sous-entendus et j'ai commencé à me dire que ces dames en formation n'étaient peut-être pas aussi popotes que je le croyais au départ. L'une d'elle, Sandrine, une grande perche, a même osé dire qu'elle avait quitté son mari parce qu'il ne lui faisait plus l'amour. La plus belle des quatre, Corinne, une blonde à mèches, vraiment bien foutue, lui a répondu qu'heureusement, ce n'était pas son cas et qu'elle avait hâte de rentrer chez elle "pour passer à la casserole". Et les autres de rire. Moi pas.
- Et si on allait danser ?
C'est Marielle qui a proposé de sortir de l'hôtel et d'aller dans la boite à côté. Solange a dit banco mais les deux autres ont dit qu'elles préféraient aller se coucher. Et j'ai accompagné les deux dames, trop heureux de me changer les idées. Il n'y avait pas grand monde dans la boite, essentiellement des jeunes du coin. J'ai fait danser Solange et Marielle à tour de rôle, tantôt en slow, tantôt en rock où je ne suis pas maladroit. Solange en avait perdu son chignon et Marielle descendu un cran de sa robe, qui exposait maintenant la moitié de ses nichons. A un moment, je les ai vu se parler à l'oreille en me regardant, avec un petit sourire coquin. Qu'est-ce qu'elles mijotaient ?
Elles m'ont dit qu'elles allaient rentrer à l'hôtel. Est-ce que je voulais rester dans la boite ou les accompagner ? Je ne me voyais pas faire l'idiot seul au milieu de tous ces jeunots, et on est partis ensemble, tous les trois. Arrivés dans le couloir des chambres, j'ai senti qu'il allait se passer quelque chose. Marielle est venue vers moi, les seins en avant, et m'a dit tout de go :
- Solange et moi, on a envie de te consoler. Tu viens ?
J'ai dû avoir l'air bête car elles ont rigolé. La chambre de Marielle et Solange, avec ses deux lits jumeaux était en face de la mienne, sa porte ouverte et Solange déjà à l'intérieur en train d'enlever son tailleur chic. Marielle m'a pris la main et m'a entrainé dans la piaule. Elle m'a embrassé, langue dans la bouche, a tâté ma braguette et m'a dit :
- On va baiser tous les trois. Laisse-toi faire.
Les choses allaient vraiment vite. J'étais dans un état second. Solange était déjà à poil sur le lit, chignon défait, seins étalés, cuisses ouvertes sur un pubis rasé et m'a dit :
- Déshabille-toi et viens me lécher.
Marielle m'a ôté mon futal elle-même et a fait jaillir ma queue avec un oh ! qui m'alla droit à l'égo. Comme un automate, j'ai obéi à l'injonction de Solange et je me suis mis à lui brouter le minou avec tout le savoir-faire enseigné par D. Marielle me branlait et me caressait les couilles en même temps derrière moi. Et elle m'a dit :
- Baise-la maintenant, elle n'attend que ça, elle est en manque.
Alors, j'ai tout oublié, mon cocufiage, le gros naze et D. Je l'ai baisée comme elle voulait que je la baise, la quinqua. A grands coups de bite, ses chevilles croisées dans mon dos, sans concession. Je sentais la main de Marielle qui maintenait mes couilles et alla même jusqu'à me mettre un doigt dans le trou du cul.
- Vas-y, baise, baise, elle adore ça, me criait-elle. Mais retiens-toi.
Solange me griffait les flancs de ses ongles rouge vif, son doux visage déformé par le plaisir et je l'ai fait jouir sans changer de position, juste bras tendus, le cul dynamique pressé par ses talons. Quand elle a explosé avec un "ouiiii" qui a dû s'entendre dans tout l'hôtel, je me suis retiré vivement en me comprimant la queue. J'avais bien compris que Marielle en voulait aussi. Je l'ai alors découverte complètement nue avec ses gros nibards laiteux, son pubis épais et ses fesses bien rondes. Un morceau de roi.
Mais j'avais besoin de récupérer, sinon j'allais gicler trop tôt. Pendant que Solange était dans la salle de bains pour pisser, on a brièvement discuté avec sa copine. Elle m'a avoué qu'elles étaient toutes les deux en manque de sexe car l'abstinence n'était pas leur fort. Elles retrouveraient leur mari après la formation et ce qui se passait dans la chambre serait sans lendemain. Top secret. Mais en attendant, j'étais leur providence. Un gars jeune, viril, plutôt beau mec, pour assouvir leurs pulsions sexuelles. Elle avait envie de venir sur moi pour bien profiter de ma bite. "Je suis en feu", m'a-t-elle avoué en me branlant pour maintenir mon érection.
Elle a poussé un râle en s'empalant sur moi et s'est mise à faire danser son cul avec une telle ardeur que je l'ai "visitée" de fond en comble. Je pétrissais ses gros nichons en regardant son nombril virevolter. Solange était assise sur le lit, toujours nue, et nous regardait baiser. Puis, prise d'une inspiration subite, elle a escaladé ma tête et a collé sa chatte sur ma bouche pendant que l'autre continuait de me chevaucher. Je ne voyais plus rien, je les entendais juste couiner ensemble. Solange dégoulinait sur mon mufle, elle a poussé un petit cri, elle était encore tellement chaude qu'elle avait à nouveau joui. Puis elle a basculé et j'ai découvert Marielle dos à moi toujours en train de me chevaucher, son cul dansant la samba sous mes yeux.
Elle s'est raidie, immobile, la chair de poule a envahi sa croupe, elle avait eu aussi son orgasme. Et je bandais toujours.
- Tu es un amant merveilleux, ta femme est une belle conne, m'a soufflé Marielle, encore haletante, ses seins lourds montant et descendant au rythme de sa respiration.
- Tu vas l'enculer maintenant, elle adore ça et son mari ne le fait presque jamais, a dit Solange, décidément bien renseignée sur la vie sexuelle de sa collègue.
Ces petites dames étaient décidément étonnantes et ne se cachaient rien de leurs fantasmes. Marielle s'est mise à quatre pattes au bord du lit. Solange lui a léché le trou du cul, autre étonnement de ma part, et m'a invité à faire de même. C'était une pratique qui n'avait rien d'innovante pour moi. D. en est friande et elle aime aussi se faire sodomiser. J'ai dosé ma pénétration mais quand nos peaux ont commencé à claquer, Marielle a remué son cul avec une telle frénésie que j'ai compris que je n'allais pas pouvoir me retenir plus longtemps. Solange me poussait les fesses avec ses mains comme pour y aller encore plus profond, ce qui n'arrangeait pas mon cas. Puis elle m'a crié :
- Jouis dans son cul ! Jouis dans son cul !
Et j'ai tout lâché, en la couvrant comme un chien sa chienne tout en lui pétrissant les nibards. Elle a fait mmmh mmmmh et s'est effondrée sur le lit, moi collé à elle, vidé de ma substance du plus profond de mes reins. Il en coulait encore quand je me suis détaché d'elle et Solange m'a pris en bouche comme pour savourer les dernières gouttes. Et c'était fini.
*******
J'ai conservé encore ma chambre le temps de trouver un meublé quelque part. Sophia, la gentille réceptionniste, m'a aidé dans mes recherches. Marielle et Solange m'avaient fait comprendre qu'on en resterait là tous les trois car elles devaient bientôt retrouver leur mari et donc se refaire une petite santé car je les avais quand même bien secouées. Elles m'ont dit du bien de Sophia, "libre et disponible, elle est un peu en manque de sexe", m'ont-elles glissé. C'est vrai qu'elle est mignonne, cette beurette, moins pulpeuse que les deux autres mais baisable avec son petit corps nerveux et bien proportionné. La veille de mon départ, une autre quinqua du groupe, une grande duduche prénommée Sandrine, m'a filé son portable en me disant que je pouvais l'appeler si j'avais un problème de connexion. Elle se réveillait un peu tard et visiblement le regrettait. La belle Corinne, en revanche, ne donna pas signe de vie. Elle devait être déjà au lit par la pensée avec son mari. Mais c'est Sophia que je vise maintenant. je vais l'inviter à dîner et vu la manière dont elle me regarde, avec des yeux de braise derrière ses lunettes, je crois qu'elle ne fera pas de manières. J'espère juste ne pas retomber dans le même système qu'avec l'autre colorée D. Cocu une fois, mais pas deux.
Mais ce qui me gonfle, c'est que ma femme, une latino, a dix ans de plus que moi, n'est pas spécialement un canon bien qu'elle dispose d'une paire de seins qui a longtemps fait mon bonheur dans les cravates de notaire, sans parler d'un tempérament volcanique au plumard, et un don pour la pipe exceptionnel, oui ce qui me gonfle, c'est qu'elle s'est fait sauter par un sexagénaire bedonnant, raciste, chauve, poilu, beauf intégral, un ex voisin que j'ai toujours détesté et, je le croyais, par ma femme aussi vu qu'il n'aime pas les étrangers. On pourrait croire que je me fais un film (d'horreur). Ben non car je les ai surpris en pleine action.
C'était un après-midi, je rentrais du boulot plus tôt que prévu car le patron m'avait dit de récupérer des heures. A peine arrivé, j'entendis du bruit dans ma chambre. Je ne m'étais pas annoncé. D., ma compagne, à quatre pattes sur le plumard, échevelée, était prise en levrette par le gros imbécile, ses plantureux nichons balançant en cadence. Elle l'encourageait, "allez allez vas y j'aime ça continue" en remuant son vaste pétard que j'avais si souvent fendu de ma queue. Je m'attendais à tout sauf à ça. A la limite, le gars aurait été un mec de mon âge, ou plus jeune, j'aurais compris que D. ait eu envie de se faire sauter par lui. Le sexe, c'est vraiment son truc. J'ai même eu parfois eu du mal à fournir pour la satisfaire. Mais pas par ce type, non.
Evidemment, une grosse scène à suivi. Elle m'a fait valoir des arguments bidons que je n'ose même pas répercuter ici, si ce n'est une dispute la veille qui ne justifiait pas ce cocufiage. Alors, je me suis barré. J'ai mis quelques affaires dans une valise et j'ai pris une chambre d'hôtel provisoire, pour réfléchir, dans une chaine bon marché. Où avais-je vraiment failli ? Avais-je vraiment comblé ses besoins sexuels ? Ne m'avait-elle pas déjà trompé sans que je le sache ? Tout se bousculait dans ma tête.
Mais puisqu'il en était ainsi, la première des décisions était de lui rendre la pareille. Plus facile à dire qu'à faire. Les filles, aujourd'hui, vous font mariner pour être sûr que vous n'êtes pas un sale macho. Elles ne sont pas toutes comme D. qui est une vraie bête de sexe version féminine. J'ai payé ma chambre après avoir discuté avec la réceptionniste, une petite beurette d'à peine trente ans prénommée Sophia (vu son badge), plutôt mignonne, souriante, ça me changeait. Elle m'a dit que le bar était ouvert si je le voulais. Après avoir dîné de la pire pizza de ma vie dans la pizzeria du coin, j'y ai repensé plus tard en regardant à la télé dans ma piaule une émission sans intérêt, et je suis descendu au rez de chaussée.
Dans le salon bar, j'ai découvert quatre femmes attablées, entre quarante et cinquante ans, le genre propre sur elles, rien à voir avec des putes en attente du client. Elles m'ont regardé avec curiosité pendant que Sophia me servait une bière. Elles parlaient avec animation tout en me regardant du coin de l'oeil. Finalement, l'une d'elles à dit :
- Au lieu de rester seul dans votre coin, venez donc à notre table, ce sera plus sympa.
Elles se sont présentées chacune par leur prénom - Corinne, Sandrine, Solange et Marielle- et m'ont indiqué qu'elles étaient toutes en formation d'une grande société de télécommunication. Cela faisait déjà plus d'une semaine et elles trouvaient les soirées longues. Toutes étaient visiblement mariées, ou en couple. Elles m'ont interrogé sur ma présence et je me suis contenté de dire que je m'étais disputé avec ma femme, sans dire qu'elle me trompait, mais je crois qu'elles avaient compris. L''une d'elle a d'ailleurs dit : "un beau garçon comme vous, il y a vraiment des idiotes". Ce compliment, dans mon désarroi, m'a touché. C'est la dénommée Marielle qui l'avait exprimé, une quadra avec des cheveux châtain clair coupés au carré et une robe à boutons assez ouverte en haut pour laisser voir un sillon mammaire qui n'avait pas grand chose à envier à D. Une autre femme prénommée Solange, plus âgée, très classe, en tailleur, avec un chignon et des ongles rouge vif, a surenchéri. On a échangé sur la difficulté de vivre en couple sans tomber dans la routine. C'était plein de sous-entendus et j'ai commencé à me dire que ces dames en formation n'étaient peut-être pas aussi popotes que je le croyais au départ. L'une d'elle, Sandrine, une grande perche, a même osé dire qu'elle avait quitté son mari parce qu'il ne lui faisait plus l'amour. La plus belle des quatre, Corinne, une blonde à mèches, vraiment bien foutue, lui a répondu qu'heureusement, ce n'était pas son cas et qu'elle avait hâte de rentrer chez elle "pour passer à la casserole". Et les autres de rire. Moi pas.
- Et si on allait danser ?
C'est Marielle qui a proposé de sortir de l'hôtel et d'aller dans la boite à côté. Solange a dit banco mais les deux autres ont dit qu'elles préféraient aller se coucher. Et j'ai accompagné les deux dames, trop heureux de me changer les idées. Il n'y avait pas grand monde dans la boite, essentiellement des jeunes du coin. J'ai fait danser Solange et Marielle à tour de rôle, tantôt en slow, tantôt en rock où je ne suis pas maladroit. Solange en avait perdu son chignon et Marielle descendu un cran de sa robe, qui exposait maintenant la moitié de ses nichons. A un moment, je les ai vu se parler à l'oreille en me regardant, avec un petit sourire coquin. Qu'est-ce qu'elles mijotaient ?
Elles m'ont dit qu'elles allaient rentrer à l'hôtel. Est-ce que je voulais rester dans la boite ou les accompagner ? Je ne me voyais pas faire l'idiot seul au milieu de tous ces jeunots, et on est partis ensemble, tous les trois. Arrivés dans le couloir des chambres, j'ai senti qu'il allait se passer quelque chose. Marielle est venue vers moi, les seins en avant, et m'a dit tout de go :
- Solange et moi, on a envie de te consoler. Tu viens ?
J'ai dû avoir l'air bête car elles ont rigolé. La chambre de Marielle et Solange, avec ses deux lits jumeaux était en face de la mienne, sa porte ouverte et Solange déjà à l'intérieur en train d'enlever son tailleur chic. Marielle m'a pris la main et m'a entrainé dans la piaule. Elle m'a embrassé, langue dans la bouche, a tâté ma braguette et m'a dit :
- On va baiser tous les trois. Laisse-toi faire.
Les choses allaient vraiment vite. J'étais dans un état second. Solange était déjà à poil sur le lit, chignon défait, seins étalés, cuisses ouvertes sur un pubis rasé et m'a dit :
- Déshabille-toi et viens me lécher.
Marielle m'a ôté mon futal elle-même et a fait jaillir ma queue avec un oh ! qui m'alla droit à l'égo. Comme un automate, j'ai obéi à l'injonction de Solange et je me suis mis à lui brouter le minou avec tout le savoir-faire enseigné par D. Marielle me branlait et me caressait les couilles en même temps derrière moi. Et elle m'a dit :
- Baise-la maintenant, elle n'attend que ça, elle est en manque.
Alors, j'ai tout oublié, mon cocufiage, le gros naze et D. Je l'ai baisée comme elle voulait que je la baise, la quinqua. A grands coups de bite, ses chevilles croisées dans mon dos, sans concession. Je sentais la main de Marielle qui maintenait mes couilles et alla même jusqu'à me mettre un doigt dans le trou du cul.
- Vas-y, baise, baise, elle adore ça, me criait-elle. Mais retiens-toi.
Solange me griffait les flancs de ses ongles rouge vif, son doux visage déformé par le plaisir et je l'ai fait jouir sans changer de position, juste bras tendus, le cul dynamique pressé par ses talons. Quand elle a explosé avec un "ouiiii" qui a dû s'entendre dans tout l'hôtel, je me suis retiré vivement en me comprimant la queue. J'avais bien compris que Marielle en voulait aussi. Je l'ai alors découverte complètement nue avec ses gros nibards laiteux, son pubis épais et ses fesses bien rondes. Un morceau de roi.
Mais j'avais besoin de récupérer, sinon j'allais gicler trop tôt. Pendant que Solange était dans la salle de bains pour pisser, on a brièvement discuté avec sa copine. Elle m'a avoué qu'elles étaient toutes les deux en manque de sexe car l'abstinence n'était pas leur fort. Elles retrouveraient leur mari après la formation et ce qui se passait dans la chambre serait sans lendemain. Top secret. Mais en attendant, j'étais leur providence. Un gars jeune, viril, plutôt beau mec, pour assouvir leurs pulsions sexuelles. Elle avait envie de venir sur moi pour bien profiter de ma bite. "Je suis en feu", m'a-t-elle avoué en me branlant pour maintenir mon érection.
Elle a poussé un râle en s'empalant sur moi et s'est mise à faire danser son cul avec une telle ardeur que je l'ai "visitée" de fond en comble. Je pétrissais ses gros nichons en regardant son nombril virevolter. Solange était assise sur le lit, toujours nue, et nous regardait baiser. Puis, prise d'une inspiration subite, elle a escaladé ma tête et a collé sa chatte sur ma bouche pendant que l'autre continuait de me chevaucher. Je ne voyais plus rien, je les entendais juste couiner ensemble. Solange dégoulinait sur mon mufle, elle a poussé un petit cri, elle était encore tellement chaude qu'elle avait à nouveau joui. Puis elle a basculé et j'ai découvert Marielle dos à moi toujours en train de me chevaucher, son cul dansant la samba sous mes yeux.
Elle s'est raidie, immobile, la chair de poule a envahi sa croupe, elle avait eu aussi son orgasme. Et je bandais toujours.
- Tu es un amant merveilleux, ta femme est une belle conne, m'a soufflé Marielle, encore haletante, ses seins lourds montant et descendant au rythme de sa respiration.
- Tu vas l'enculer maintenant, elle adore ça et son mari ne le fait presque jamais, a dit Solange, décidément bien renseignée sur la vie sexuelle de sa collègue.
Ces petites dames étaient décidément étonnantes et ne se cachaient rien de leurs fantasmes. Marielle s'est mise à quatre pattes au bord du lit. Solange lui a léché le trou du cul, autre étonnement de ma part, et m'a invité à faire de même. C'était une pratique qui n'avait rien d'innovante pour moi. D. en est friande et elle aime aussi se faire sodomiser. J'ai dosé ma pénétration mais quand nos peaux ont commencé à claquer, Marielle a remué son cul avec une telle frénésie que j'ai compris que je n'allais pas pouvoir me retenir plus longtemps. Solange me poussait les fesses avec ses mains comme pour y aller encore plus profond, ce qui n'arrangeait pas mon cas. Puis elle m'a crié :
- Jouis dans son cul ! Jouis dans son cul !
Et j'ai tout lâché, en la couvrant comme un chien sa chienne tout en lui pétrissant les nibards. Elle a fait mmmh mmmmh et s'est effondrée sur le lit, moi collé à elle, vidé de ma substance du plus profond de mes reins. Il en coulait encore quand je me suis détaché d'elle et Solange m'a pris en bouche comme pour savourer les dernières gouttes. Et c'était fini.
*******
J'ai conservé encore ma chambre le temps de trouver un meublé quelque part. Sophia, la gentille réceptionniste, m'a aidé dans mes recherches. Marielle et Solange m'avaient fait comprendre qu'on en resterait là tous les trois car elles devaient bientôt retrouver leur mari et donc se refaire une petite santé car je les avais quand même bien secouées. Elles m'ont dit du bien de Sophia, "libre et disponible, elle est un peu en manque de sexe", m'ont-elles glissé. C'est vrai qu'elle est mignonne, cette beurette, moins pulpeuse que les deux autres mais baisable avec son petit corps nerveux et bien proportionné. La veille de mon départ, une autre quinqua du groupe, une grande duduche prénommée Sandrine, m'a filé son portable en me disant que je pouvais l'appeler si j'avais un problème de connexion. Elle se réveillait un peu tard et visiblement le regrettait. La belle Corinne, en revanche, ne donna pas signe de vie. Elle devait être déjà au lit par la pensée avec son mari. Mais c'est Sophia que je vise maintenant. je vais l'inviter à dîner et vu la manière dont elle me regarde, avec des yeux de braise derrière ses lunettes, je crois qu'elle ne fera pas de manières. J'espère juste ne pas retomber dans le même système qu'avec l'autre colorée D. Cocu une fois, mais pas deux.
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Du grand art. Je parie que vous écrivez aussi ... du genre roman... sinon vous devriez
Être cocu par un vieux bedonnant c est pire que tout cette femme fait dans la gériatrie et débauche ses amants dans un EPAD.Il est grand temps pour le compagnon de mettre les voilles et de trouver une femme fidèle et douce ce qui ne manque pas heureusement.
Encore une très belle histoire sur la sexualité féminine, mais vu par un homme cette fois-ci.
Bravo,
Didier
Bravo,
Didier
Une belle façon de rebondir!
Bravo pour vos histoires Micky. J'adorerais faire cocu mon mari.