Le coiffeur de ces dames. 1
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-05-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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Le coiffeur de ces dames. 1
Le coiffeur de ces dames. 1
Je m’appelle Sonia et tiens un commerce de coiffure pour femmes qui marche plutôt bien. Je suis âgée d’une quarantaine d’années, grande, bien conservée avec un corps sensuel, des seins et des fesses encore fermes et ma réputation de coiffeuse dépasse le cadre de notre petite ville.
J’ai quatre employées et deux apprenties, L’une d’elles va bientôt me quitter et je cherche une remplaçante. J’en ai parlé autour de moi et une amie, Murielle, m’a parlé de son fils Anaïs. (A lire : Suite des aventures sexuelles débridées de Patrick de 1 à 8, XAVIER ET MURIELLE/MURIELLE Y PASSE/MURIELLE SE LACHE/MURIELLE SA SŒUR ET SA MERE). Pourquoi-pas au fond ?
Murielle est venue me présenter son fils, un jeune de seize ans. Ses piètres résultats scolaires l’ont poussé vers l’apprentissage. Il a choisi le métier de coiffeur pour dames. J’ai été surprise par son physique assez androgyne. Avec ses longs cheveux jusqu’aux épaules, sa voix haut-perchée et un physique d’asperge, il passerait facilement pour une fille. J’ai envie de jouer la dessus pour ne pas dérouter ma clientèle et lui demande de porter ces pantalons informes comme les anciens zouaves et de prendre un prénom aussi bien masculin que féminin, Dominique, pour garder son intimité.
Comme apprenti coiffeur, sa tâche a consisté au début à faire des shampoings à longueur de journée, de balayer et faire toutes ces petites choses pas trop compliquées et il s’est vite senti à l’aise.
Il est d’une timidité maladive et les filles ont très vite sympathisées avec lui et le mènent par le bout du nez car il n’ose pas dire NON. Il ne parle guère.
Avec son corps menu, ses petites fesses rondes, je me demande même si elles se sont rendu compte que c’était un garçon. Ça va faire maintenant bientôt deux ans qu’il est ici et j’avoue qu’il a un talent fou, s’occupant entre autre des permanentes et des couleurs.
Annie l’a pris sous son aile. Elle est assez petite avec des seins et des fesses bien proportionnés. Son visage ovale encadre de longs cheveux auburn, un nez aquilin qui lui donne une frimousse attirante.
Depuis quelques temps, la mode chez les femmes, est de se faire rasez le pubis, vous savez-se faire le maillot. Annie est la seule qui a accepté cette tache trois jours par semaines, mardi, jeudi et samedi, dans une petite salle attenante mais j’ai un gros problème car elle va nous quitter dans quatre mois pour suivre son mari qui est muté à plus de 200 bornes.
Comme personne d’autre ne veut prendre sa place, j’ai demandé à Dominique qui a fini par accepter.
Mais je ne sais pas, comme il ne refuse jamais rien, s’il est vraiment d’accord dans son for intérieur.
Pendant deux mois, il est en duo avec Annie et ma fois, je n’ai pas eu d’échos négatifs.
Je remarque même depuis quelques temps que les pourboires qui sont mis dans un pot commun sont en forte hausse comme aussi les réservations. C’est bon pour les affaires et on dirait que le « bouche à oreilles » fonctionne bien.
Depuis maintenant deux mois, Dominique est seul pour faire « les maillots » et je dois jongler avec les clientes tellement il y a de la demande. J’ai remarqué aussi que les pourboires sont de plus en plus généreux, aussi une légère augmentation du temps pour chaque rendez-vous et même une tendance de certaines clientes à venir accompagnées. Elles sont deux, voire même des fois trois dans la petite pièce réservée à cette effet. Je commence à trouver ça de plus en plus louche et la réflexion d’une des clientes me laisse perplexe.
-Ma chère Sonia, vous avez là une perle, et la crème utilisée pour calmer le feu du rasoir est vraiment divine !
Que veut-elle dire par là ? Quelle crème ?
Je sais bien que c’est interdit sans en prévenir la clientèle mais je fais poser une caméra discrète pour en avoir le cœur net axée uniquement sur la table.
Pendant plusieurs jours, je visionne le soir les images et à part certains moments où Dominique, le visage crispé, interrompt soudainement le rasage sans raison apparente avant de reprendre quelques instants plus tard, je ne vois rien à redire.
Mais un soir, je n’en crois pas mes yeux ! Dominique s’étant un peu plus reculé de la table, de longs filaments blanchâtres fusent et retombent sur le pubis de la cliente qui s’en badigeonne aussitôt.
Putain de merde ! Mais que se passe-t-il sous cette table ?
Le doute n’est pas permis, Dominique vient d’éjaculer sur la cliente !!!
Je bouillonne intérieurement et dois attendre le lendemain pour convoquer Dominique dans mon bureau pour une explication.
Je le fais monter dans mon logement juste au dessus du salon et le fais rentrer dans mon bureau.
Je lui montre les vidéos, il ne peut nier et s’écroule littéralement en pleurnichant. Une fois l’émotion passée, il commence à me compter l’histoire depuis le début.
Dominique :Tout a commencé un jour où je me suis renversé du produit capillaire sur mes habits, j’ai dû changer de pantalon, passant d’un coup à quelque chose de beaucoup plus moulant que d’habitude avant d’aller dans le petit salon avec Annie et la cliente.
Je ne suis pas de bois et avec certaines clientes très bien foutues, je ne pouvais m’empêcher de bander et Annie s’en est vite aperçue.
(Je donne la parole aux tourmenteuses. L’auteur)Sa collègue, Annie :Dominique devient une vraie experte du rasoir et les clientes apprécient sa douceur dans ces endroits si délicats. Ses mains sont agiles, tendant les chairs pour raser les poils récalcitrants dans les plis les plus intimes. C’est la première fois qu’elle est en pantalon moulant et non dans son informe tenue de zouave. J’admire ses petites fesses fermes mais quelle n’est pas ma surprise quand je remarque à mesure que son travail avance une bosse qui déforme l’avant de son pantalon.
Dominique, que je prenais pour une jeune femme, est en train de bander, est-ce une shemale ? Un jeune homme ? Je me sens toute chose et décide d’en avoir le cœur net et de l’exciter un peu plus pour connaître sa réaction.
Quelque chose d'épais gonfle son pantalon, je pose la main dessus et découvre une grosse barre bien dure et de plus en plus impressionnante. Je n'ose croire ce qui m'arrive. Je peux me tromper « sur la marchandise » mais ça a l’air très conséquent.
La bosse qui déforme son pantalon parle d'elle-même et commence d'ailleurs à prendre des proportions inquiétantes. Heureusement que la cliente a les yeux fermés et un casque sur la tête pour écouter de la musique.
L'ambiance devient de plus en plus chaude. Dominique est comme statufié de ma hardiesse et ne me repousse pas.
Je défais sa ceinture, déboutonne son pantalon et commence à le baisser très lentement, faisant apparaître le sommet d’un membre imposant qui s’est échappé de son slip. Je me mets à penser que sa longueur est imposante mais sans plus, sans avoir vu le morceau en entier. Mais au fur et à mesure que je descends son pantalon, je découvre une teub à la forme d’une banane très recourbée, d'une épaisseur incroyable à son extrémité et s’affinant de plus en plus en s’approchant d’une paire de couilles bien pendantes.
Je n’ai jamais vu un tel sexe, loin de la forme conventionnelle, bien droite comme celle de mon mari. Je réalise soudain ce que je fais mais ne peux m’empêcher de continuer. Dominique bande si dur et si fort que le museau de sa queue touche son bas-ventre tellement elle se dresse au ciel.
Je la saisis et sens la résistance de ce jonc vigoureux que j’amène à l’horizontale pour pouvoir la sucer comme je veux mais j'arrive difficilement à la mettre entièrement dans ma bouche tellement le gland est mafflu et me frotte le palais.
J’adore les longs membres et me surprends à caresser et gober ce gourdin à la forme si singulière de matraque, effilé à la base et si épais à son extrémité. Je n'ose imaginer les sensations d’un tel soc labourant une moule trempée.
Je prends sa verge dans ma bouche, quel engin!!! J'ai un peu de mal à l'absorber, au maximum d’ouverture de mes mâchoires, je lèche son gland, puis j'enfourne sa banane.
Je lui montre ce que je sais faire avec ma langue. J'arrive presque à l'avaler entièrement, sachant à quel point les mâles aiment sentir leur bite buter au fond d'une gorge accueillante. Mais l’épaisseur énorme des premiers centimètres me l'interdit et je manque de m'étouffer.
Je retire un peu le morceau et le flatte avec la pointe de ma langue mais il m’échappe et remonte claquer sur son bas ventre, comme monté sur ressort. La position n'est pas pratique et je me glisse sous la table, permettant à Dominique de continuer sa tache. Pourvu qu’il ait la main sûre avec son rasoir !
Je suis déçue car il jouit trop vite.
Je sens son sperme se répandre dans ma bouche, sur mes amygdales et glisser vers le fond de ma gorge. Je m’accroche à l’énorme bâton crémeux, en appréciant le goût du liquide de ce jeune homme, mais néanmoins, après avoir déglutie, je continue de sucer sa lance, ne voulant pas la libérer et pomper jusqu’à la dernière goutte cette crème salée. Mais, à ma grande surprise, il ne débande pas. Par trois fois, en un temps très court, je reçois son hommage.
Son dernier orgasme se termine, j’ai obtenu plus que je désirais. Je relève la tête, léchant mes lèvres encore pleines de son sperme, ma chatte est si humide que j’ai complètement trempé mon slip.
J’ai plusieurs fois réitéré la chose jusqu’à ce qu’un jour, une cliente se rende compte de ce que je faisais, et là, tout c’est emballé.
Une cliente, Solange :Aïe ! Dominique vient de me taillader ! Je hurle et me redresse sur mes coudes et là, je n’en reviens pas de ce que je voie. Mes yeux s'agrandissent comme des soucoupes en voyant Dominique, que je prenais pour une jeune fille, avec la bite à l’air, très impressionnante et dure comme une barre d'acier.
A suivre…
Je m’appelle Sonia et tiens un commerce de coiffure pour femmes qui marche plutôt bien. Je suis âgée d’une quarantaine d’années, grande, bien conservée avec un corps sensuel, des seins et des fesses encore fermes et ma réputation de coiffeuse dépasse le cadre de notre petite ville.
J’ai quatre employées et deux apprenties, L’une d’elles va bientôt me quitter et je cherche une remplaçante. J’en ai parlé autour de moi et une amie, Murielle, m’a parlé de son fils Anaïs. (A lire : Suite des aventures sexuelles débridées de Patrick de 1 à 8, XAVIER ET MURIELLE/MURIELLE Y PASSE/MURIELLE SE LACHE/MURIELLE SA SŒUR ET SA MERE). Pourquoi-pas au fond ?
Murielle est venue me présenter son fils, un jeune de seize ans. Ses piètres résultats scolaires l’ont poussé vers l’apprentissage. Il a choisi le métier de coiffeur pour dames. J’ai été surprise par son physique assez androgyne. Avec ses longs cheveux jusqu’aux épaules, sa voix haut-perchée et un physique d’asperge, il passerait facilement pour une fille. J’ai envie de jouer la dessus pour ne pas dérouter ma clientèle et lui demande de porter ces pantalons informes comme les anciens zouaves et de prendre un prénom aussi bien masculin que féminin, Dominique, pour garder son intimité.
Comme apprenti coiffeur, sa tâche a consisté au début à faire des shampoings à longueur de journée, de balayer et faire toutes ces petites choses pas trop compliquées et il s’est vite senti à l’aise.
Il est d’une timidité maladive et les filles ont très vite sympathisées avec lui et le mènent par le bout du nez car il n’ose pas dire NON. Il ne parle guère.
Avec son corps menu, ses petites fesses rondes, je me demande même si elles se sont rendu compte que c’était un garçon. Ça va faire maintenant bientôt deux ans qu’il est ici et j’avoue qu’il a un talent fou, s’occupant entre autre des permanentes et des couleurs.
Annie l’a pris sous son aile. Elle est assez petite avec des seins et des fesses bien proportionnés. Son visage ovale encadre de longs cheveux auburn, un nez aquilin qui lui donne une frimousse attirante.
Depuis quelques temps, la mode chez les femmes, est de se faire rasez le pubis, vous savez-se faire le maillot. Annie est la seule qui a accepté cette tache trois jours par semaines, mardi, jeudi et samedi, dans une petite salle attenante mais j’ai un gros problème car elle va nous quitter dans quatre mois pour suivre son mari qui est muté à plus de 200 bornes.
Comme personne d’autre ne veut prendre sa place, j’ai demandé à Dominique qui a fini par accepter.
Mais je ne sais pas, comme il ne refuse jamais rien, s’il est vraiment d’accord dans son for intérieur.
Pendant deux mois, il est en duo avec Annie et ma fois, je n’ai pas eu d’échos négatifs.
Je remarque même depuis quelques temps que les pourboires qui sont mis dans un pot commun sont en forte hausse comme aussi les réservations. C’est bon pour les affaires et on dirait que le « bouche à oreilles » fonctionne bien.
Depuis maintenant deux mois, Dominique est seul pour faire « les maillots » et je dois jongler avec les clientes tellement il y a de la demande. J’ai remarqué aussi que les pourboires sont de plus en plus généreux, aussi une légère augmentation du temps pour chaque rendez-vous et même une tendance de certaines clientes à venir accompagnées. Elles sont deux, voire même des fois trois dans la petite pièce réservée à cette effet. Je commence à trouver ça de plus en plus louche et la réflexion d’une des clientes me laisse perplexe.
-Ma chère Sonia, vous avez là une perle, et la crème utilisée pour calmer le feu du rasoir est vraiment divine !
Que veut-elle dire par là ? Quelle crème ?
Je sais bien que c’est interdit sans en prévenir la clientèle mais je fais poser une caméra discrète pour en avoir le cœur net axée uniquement sur la table.
Pendant plusieurs jours, je visionne le soir les images et à part certains moments où Dominique, le visage crispé, interrompt soudainement le rasage sans raison apparente avant de reprendre quelques instants plus tard, je ne vois rien à redire.
Mais un soir, je n’en crois pas mes yeux ! Dominique s’étant un peu plus reculé de la table, de longs filaments blanchâtres fusent et retombent sur le pubis de la cliente qui s’en badigeonne aussitôt.
Putain de merde ! Mais que se passe-t-il sous cette table ?
Le doute n’est pas permis, Dominique vient d’éjaculer sur la cliente !!!
Je bouillonne intérieurement et dois attendre le lendemain pour convoquer Dominique dans mon bureau pour une explication.
Je le fais monter dans mon logement juste au dessus du salon et le fais rentrer dans mon bureau.
Je lui montre les vidéos, il ne peut nier et s’écroule littéralement en pleurnichant. Une fois l’émotion passée, il commence à me compter l’histoire depuis le début.
Dominique :Tout a commencé un jour où je me suis renversé du produit capillaire sur mes habits, j’ai dû changer de pantalon, passant d’un coup à quelque chose de beaucoup plus moulant que d’habitude avant d’aller dans le petit salon avec Annie et la cliente.
Je ne suis pas de bois et avec certaines clientes très bien foutues, je ne pouvais m’empêcher de bander et Annie s’en est vite aperçue.
(Je donne la parole aux tourmenteuses. L’auteur)Sa collègue, Annie :Dominique devient une vraie experte du rasoir et les clientes apprécient sa douceur dans ces endroits si délicats. Ses mains sont agiles, tendant les chairs pour raser les poils récalcitrants dans les plis les plus intimes. C’est la première fois qu’elle est en pantalon moulant et non dans son informe tenue de zouave. J’admire ses petites fesses fermes mais quelle n’est pas ma surprise quand je remarque à mesure que son travail avance une bosse qui déforme l’avant de son pantalon.
Dominique, que je prenais pour une jeune femme, est en train de bander, est-ce une shemale ? Un jeune homme ? Je me sens toute chose et décide d’en avoir le cœur net et de l’exciter un peu plus pour connaître sa réaction.
Quelque chose d'épais gonfle son pantalon, je pose la main dessus et découvre une grosse barre bien dure et de plus en plus impressionnante. Je n'ose croire ce qui m'arrive. Je peux me tromper « sur la marchandise » mais ça a l’air très conséquent.
La bosse qui déforme son pantalon parle d'elle-même et commence d'ailleurs à prendre des proportions inquiétantes. Heureusement que la cliente a les yeux fermés et un casque sur la tête pour écouter de la musique.
L'ambiance devient de plus en plus chaude. Dominique est comme statufié de ma hardiesse et ne me repousse pas.
Je défais sa ceinture, déboutonne son pantalon et commence à le baisser très lentement, faisant apparaître le sommet d’un membre imposant qui s’est échappé de son slip. Je me mets à penser que sa longueur est imposante mais sans plus, sans avoir vu le morceau en entier. Mais au fur et à mesure que je descends son pantalon, je découvre une teub à la forme d’une banane très recourbée, d'une épaisseur incroyable à son extrémité et s’affinant de plus en plus en s’approchant d’une paire de couilles bien pendantes.
Je n’ai jamais vu un tel sexe, loin de la forme conventionnelle, bien droite comme celle de mon mari. Je réalise soudain ce que je fais mais ne peux m’empêcher de continuer. Dominique bande si dur et si fort que le museau de sa queue touche son bas-ventre tellement elle se dresse au ciel.
Je la saisis et sens la résistance de ce jonc vigoureux que j’amène à l’horizontale pour pouvoir la sucer comme je veux mais j'arrive difficilement à la mettre entièrement dans ma bouche tellement le gland est mafflu et me frotte le palais.
J’adore les longs membres et me surprends à caresser et gober ce gourdin à la forme si singulière de matraque, effilé à la base et si épais à son extrémité. Je n'ose imaginer les sensations d’un tel soc labourant une moule trempée.
Je prends sa verge dans ma bouche, quel engin!!! J'ai un peu de mal à l'absorber, au maximum d’ouverture de mes mâchoires, je lèche son gland, puis j'enfourne sa banane.
Je lui montre ce que je sais faire avec ma langue. J'arrive presque à l'avaler entièrement, sachant à quel point les mâles aiment sentir leur bite buter au fond d'une gorge accueillante. Mais l’épaisseur énorme des premiers centimètres me l'interdit et je manque de m'étouffer.
Je retire un peu le morceau et le flatte avec la pointe de ma langue mais il m’échappe et remonte claquer sur son bas ventre, comme monté sur ressort. La position n'est pas pratique et je me glisse sous la table, permettant à Dominique de continuer sa tache. Pourvu qu’il ait la main sûre avec son rasoir !
Je suis déçue car il jouit trop vite.
Je sens son sperme se répandre dans ma bouche, sur mes amygdales et glisser vers le fond de ma gorge. Je m’accroche à l’énorme bâton crémeux, en appréciant le goût du liquide de ce jeune homme, mais néanmoins, après avoir déglutie, je continue de sucer sa lance, ne voulant pas la libérer et pomper jusqu’à la dernière goutte cette crème salée. Mais, à ma grande surprise, il ne débande pas. Par trois fois, en un temps très court, je reçois son hommage.
Son dernier orgasme se termine, j’ai obtenu plus que je désirais. Je relève la tête, léchant mes lèvres encore pleines de son sperme, ma chatte est si humide que j’ai complètement trempé mon slip.
J’ai plusieurs fois réitéré la chose jusqu’à ce qu’un jour, une cliente se rende compte de ce que je faisais, et là, tout c’est emballé.
Une cliente, Solange :Aïe ! Dominique vient de me taillader ! Je hurle et me redresse sur mes coudes et là, je n’en reviens pas de ce que je voie. Mes yeux s'agrandissent comme des soucoupes en voyant Dominique, que je prenais pour une jeune fille, avec la bite à l’air, très impressionnante et dure comme une barre d'acier.
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