Le coiffeur de ces dames au rallye des gazelles. 2
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-06-2020 dans la catégorie Plus on est
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Le coiffeur de ces dames au rallye des gazelles. 2
Le coiffeur de ces dames au rallye des gazelles. 2
-Alors comme ça, je ne tiens pas la distance ! Vous êtes pitoyables les filles. Pas une seule n’a réussi à me vider les couilles ! Il va falloir passer à la vitesse supérieure si je ne veux pas y passer la journée ! Vous allez m’obéir, je veux une pile de quatre culs l’un sur l’autre encadrée par deux à droite et deux à gauche, et que ça saute !!!
Suite :Les filles sont interloquées mais au bout d’un instant obéissent à sa demande. L’empilement commence, la première à genoux, les fesses sur les chevilles et la tête au sol et les suivantes par dessus comme elle peuvent.
Anaïs s’approche, se met à genoux. Comme la mouche du coche, je viens à son aide et fait baisser sa trique pour la diriger vers la première chatte offerte. Il embroche la première fille, met la main gauche sur la vulve de la fille au dessus, la main droite sur celle de la troisième et sa bouche sur la quatrième. Dans le silence religieux des voyeuses, quatre râles montent crescendo. Au bout d’un moment, il se redresse pour passer à la fille suivante, je refais la mouche pour pointer sa dague vers le fourreau suivant où elle disparait aussitôt. Ses deux mains maintenant s’occupent des filles sur les cotés, passant prestement d’une chatte à l’autre, les doigts poisseux de cyprine.
Pendant encore une heure, il explore de nouveaux chaque « boite à Popaul », que ce soit de sa bouche, de ses doigts ou de sa bite. Il reprend de nouveau la parole :
-Bon Dieu ! Vous faîtes quoi les filles ? J’attends toujours que l’une de vous arrive à me faire jouir mais jusqu’à maintenant, je reste sur ma faim ! Vous m’avez fatigué, je vais m’étendre sur le sol et vous laisser continuer.
Pas une seule ne moufte. Anaïs s’étend sur le dos et le défilement recommence, une fille accroupie se pilonne sur sa verge, une autre a mis la fourche de ses cuisses sur la tête de mon homme pour se faire brouter le minou et deux autres se servent de ses mains comme gode.
Une nouvelle heure passe, les filles ne comprennent pas pourquoi il est toujours aussi raide, aussi dur, et surtout pourquoi il ne jouit pas. Il repousse enfin toutes les filles et s’exclame :
-Alors ?! Vous êtes gavées ? J’ai été à la hauteur ? Vous en voulez encore ?
La plupart des filles n’osent même plus le regarder. Christine reconnait enfin en fixant la trique toujours aussi fière :-Mais t’es fait de bois, ma parole ? Larissa… Il ne jouit jamais ?
J’attendais avec impatience cette question et lui jette :-Vous ne savez pas vous y prendre les filles… Regardez-moi faire !
La verge d’Anaïs a un peu enflée à force d’être tant sollicitée. Je chevauche son corps et nous copulons avec amour. En à peine dix minutes, il arrive enfin à la délivrance. Je me retire et prends sa lance en main. Il a tant attendu que la pression dans ses bourses est monstrueuse. Son volcan éteint entre enfin en éruption et des projections dantesques de lave blanche jaillissent et vue la forme de sa bite zèbrent son corps du bas ventre aux cheveux, allant même plus loin et atteignant les filles derrière lui.
-Putain ! S’exclame Satine, tu sais comment lui dégorger le poireau, toi !
-Et vous croyez qu’il est tarit ? Je la coupe, puis m’adressant aux deux filles qui n’ont pas voulu se faire troncher, Aïcha et Jasmine, justement, venez vous occuper de son poireau, mettez-le en jauge dans votre bouche !
Pour ne pas encore plus se faire chambrer de ne pas avoir voulu se faire baiser, elles prennent les choses en main… Ou plutôt « la chose en mains ». Le pénis d’Anaïs a tôt fait de reprendre sa forme si particulière et résiste aux mains qui lui font baisser la tête pour pouvoir l’emboucher. Sa verge passe de bouche en bouche, ses bourses de main en main. Ces petites « ingénues » cachaient bien leur jeu.
Mais il leur faut bien quand même un petit quart d’heure avant d’arriver à leur fin.
Anaïs les repousse, prend sa teub en main et se branle devant les deux filles, sa queue à quelques centimètres de leur visage et pour la troisième fois, se vide les burnes. Elles essaient de ne rien perdre mais des trainées de sperme et de salive relient les deux visages et la bite. Elles se lèchent mutuellement pour faire disparaître toute trace.
Il est temps que je mette un terme à cette orgie :
-Bien les filles… J’espère que vous avez apprécié sa prestation mais à l’avenir et jusqu’à la fin du confinement, je procèderai à un tirage au sort chaque jour de quatre d’entre vous. Je ne voudrais pas que vous me l’épuisiez, alors… Satisfaites ?
Les réponses fusent, toutes plus élogieuses les unes que les autres. Mais une question revient souvent :-Tu as tiré un sacré phénomène, mais comment se fait-t-il que tu arrives à le faire jouir alors qu’à nous toutes nous n’y sommes pas arrivées ?
-Il faudra que je vous explique quel est son métier et sa spécialisation. Mais pour résumer, il m’aime et il n’y a qu’avec moi qu’il arrive à l’orgasme. Je suis au moins sûre qu’il ne fera pas de petits bâtards avec d’autres filles.
Je suis perplexe… Pourquoi deux filles n’ont pas voulu qu’il les prenne ? Elles se sont isolées dans un coin et je vais m’asseoir à coté d’elles pour engager la conversation :
-Salut, Anaïs ne vous plait pas ? Pourtant vous y alliez franco pour lui tailler une pipe !
-Ce n’est pas ça, me répond Jasmine, mais Aïcha et moi devons rester vierges pour le mariage. Il était prévu que nous rencontrions nos promis à l’une de nos étapes au Maroc. Tout a été organisé par nos parents. Et si nous ne sommes pas pures, nous risquons de nous faire lapider.
-Il y aurait bien une solution pour que nous aussi nous profitions des largesses de ton homme, Larissa, mais je ne sais pas ce que tu en penses ainsi que lui, peut-être n’aime-t-il pas ça… Renchérit Aïcha.
-Je crois comprendre ce que tu insinues Aïcha, je dois dire que, et je ne sais pas pourquoi, nous n’avons jamais pratiqué la sodomie. Il faudrait que je lui pose la question. Tien, le voilà, on va lui demander. Anaïs, tu peux venir un instant ?
Il s’approche et je lui soumets le deal :-Jasmine et Aïcha veulent rester vierges pour le soir de leur noce mais… On peut prendre du plaisir à quelques centimètres de là.
Sa réponse n’est pas immédiate et il y met une condition :
-Je n’ai pas d’expérience par là et je veux bien essayer de vous amener à l’orgasme par cet orifice. Mais vous savez que la femme ressent le plus de plaisir sur les premiers centimètres de son vagin.
Je me fais fort de vous faire jouir uniquement avec mon gland. On essaie et si ça ne marche pas, je vous encule, OK ?
Elles hésitent, parlent entre elles de longues minutes avant de donner leur réponse :
-On veut bien essayer mais l’une d’entre nous veillera toujours à ce que tu n’ailles pas trop loin en mettant une main sur ta verge pour réfréner tes ardeurs.
-D’accord, approuve Anaïs, je demanderai même à Larissa d’y veiller, deux mains valent mieux qu’une.
Nous nous retrouvons donc le lendemain dans une salle isolée des autres filles. Les deux jeunes musulmanes se laissent enfin retirer le dernier rempart de tissu qui voilait leur nudité. Leur peau lisse et ferme n’est pas halée car le soleil ne les a pas caressées de ses rayons. Elles sont gauches et si prudes qu’elles essayent encore de cacher de leurs mains les poitrines orgueilleuses et la fente de leur pubis.
A suivre…
-Alors comme ça, je ne tiens pas la distance ! Vous êtes pitoyables les filles. Pas une seule n’a réussi à me vider les couilles ! Il va falloir passer à la vitesse supérieure si je ne veux pas y passer la journée ! Vous allez m’obéir, je veux une pile de quatre culs l’un sur l’autre encadrée par deux à droite et deux à gauche, et que ça saute !!!
Suite :Les filles sont interloquées mais au bout d’un instant obéissent à sa demande. L’empilement commence, la première à genoux, les fesses sur les chevilles et la tête au sol et les suivantes par dessus comme elle peuvent.
Anaïs s’approche, se met à genoux. Comme la mouche du coche, je viens à son aide et fait baisser sa trique pour la diriger vers la première chatte offerte. Il embroche la première fille, met la main gauche sur la vulve de la fille au dessus, la main droite sur celle de la troisième et sa bouche sur la quatrième. Dans le silence religieux des voyeuses, quatre râles montent crescendo. Au bout d’un moment, il se redresse pour passer à la fille suivante, je refais la mouche pour pointer sa dague vers le fourreau suivant où elle disparait aussitôt. Ses deux mains maintenant s’occupent des filles sur les cotés, passant prestement d’une chatte à l’autre, les doigts poisseux de cyprine.
Pendant encore une heure, il explore de nouveaux chaque « boite à Popaul », que ce soit de sa bouche, de ses doigts ou de sa bite. Il reprend de nouveau la parole :
-Bon Dieu ! Vous faîtes quoi les filles ? J’attends toujours que l’une de vous arrive à me faire jouir mais jusqu’à maintenant, je reste sur ma faim ! Vous m’avez fatigué, je vais m’étendre sur le sol et vous laisser continuer.
Pas une seule ne moufte. Anaïs s’étend sur le dos et le défilement recommence, une fille accroupie se pilonne sur sa verge, une autre a mis la fourche de ses cuisses sur la tête de mon homme pour se faire brouter le minou et deux autres se servent de ses mains comme gode.
Une nouvelle heure passe, les filles ne comprennent pas pourquoi il est toujours aussi raide, aussi dur, et surtout pourquoi il ne jouit pas. Il repousse enfin toutes les filles et s’exclame :
-Alors ?! Vous êtes gavées ? J’ai été à la hauteur ? Vous en voulez encore ?
La plupart des filles n’osent même plus le regarder. Christine reconnait enfin en fixant la trique toujours aussi fière :-Mais t’es fait de bois, ma parole ? Larissa… Il ne jouit jamais ?
J’attendais avec impatience cette question et lui jette :-Vous ne savez pas vous y prendre les filles… Regardez-moi faire !
La verge d’Anaïs a un peu enflée à force d’être tant sollicitée. Je chevauche son corps et nous copulons avec amour. En à peine dix minutes, il arrive enfin à la délivrance. Je me retire et prends sa lance en main. Il a tant attendu que la pression dans ses bourses est monstrueuse. Son volcan éteint entre enfin en éruption et des projections dantesques de lave blanche jaillissent et vue la forme de sa bite zèbrent son corps du bas ventre aux cheveux, allant même plus loin et atteignant les filles derrière lui.
-Putain ! S’exclame Satine, tu sais comment lui dégorger le poireau, toi !
-Et vous croyez qu’il est tarit ? Je la coupe, puis m’adressant aux deux filles qui n’ont pas voulu se faire troncher, Aïcha et Jasmine, justement, venez vous occuper de son poireau, mettez-le en jauge dans votre bouche !
Pour ne pas encore plus se faire chambrer de ne pas avoir voulu se faire baiser, elles prennent les choses en main… Ou plutôt « la chose en mains ». Le pénis d’Anaïs a tôt fait de reprendre sa forme si particulière et résiste aux mains qui lui font baisser la tête pour pouvoir l’emboucher. Sa verge passe de bouche en bouche, ses bourses de main en main. Ces petites « ingénues » cachaient bien leur jeu.
Mais il leur faut bien quand même un petit quart d’heure avant d’arriver à leur fin.
Anaïs les repousse, prend sa teub en main et se branle devant les deux filles, sa queue à quelques centimètres de leur visage et pour la troisième fois, se vide les burnes. Elles essaient de ne rien perdre mais des trainées de sperme et de salive relient les deux visages et la bite. Elles se lèchent mutuellement pour faire disparaître toute trace.
Il est temps que je mette un terme à cette orgie :
-Bien les filles… J’espère que vous avez apprécié sa prestation mais à l’avenir et jusqu’à la fin du confinement, je procèderai à un tirage au sort chaque jour de quatre d’entre vous. Je ne voudrais pas que vous me l’épuisiez, alors… Satisfaites ?
Les réponses fusent, toutes plus élogieuses les unes que les autres. Mais une question revient souvent :-Tu as tiré un sacré phénomène, mais comment se fait-t-il que tu arrives à le faire jouir alors qu’à nous toutes nous n’y sommes pas arrivées ?
-Il faudra que je vous explique quel est son métier et sa spécialisation. Mais pour résumer, il m’aime et il n’y a qu’avec moi qu’il arrive à l’orgasme. Je suis au moins sûre qu’il ne fera pas de petits bâtards avec d’autres filles.
Je suis perplexe… Pourquoi deux filles n’ont pas voulu qu’il les prenne ? Elles se sont isolées dans un coin et je vais m’asseoir à coté d’elles pour engager la conversation :
-Salut, Anaïs ne vous plait pas ? Pourtant vous y alliez franco pour lui tailler une pipe !
-Ce n’est pas ça, me répond Jasmine, mais Aïcha et moi devons rester vierges pour le mariage. Il était prévu que nous rencontrions nos promis à l’une de nos étapes au Maroc. Tout a été organisé par nos parents. Et si nous ne sommes pas pures, nous risquons de nous faire lapider.
-Il y aurait bien une solution pour que nous aussi nous profitions des largesses de ton homme, Larissa, mais je ne sais pas ce que tu en penses ainsi que lui, peut-être n’aime-t-il pas ça… Renchérit Aïcha.
-Je crois comprendre ce que tu insinues Aïcha, je dois dire que, et je ne sais pas pourquoi, nous n’avons jamais pratiqué la sodomie. Il faudrait que je lui pose la question. Tien, le voilà, on va lui demander. Anaïs, tu peux venir un instant ?
Il s’approche et je lui soumets le deal :-Jasmine et Aïcha veulent rester vierges pour le soir de leur noce mais… On peut prendre du plaisir à quelques centimètres de là.
Sa réponse n’est pas immédiate et il y met une condition :
-Je n’ai pas d’expérience par là et je veux bien essayer de vous amener à l’orgasme par cet orifice. Mais vous savez que la femme ressent le plus de plaisir sur les premiers centimètres de son vagin.
Je me fais fort de vous faire jouir uniquement avec mon gland. On essaie et si ça ne marche pas, je vous encule, OK ?
Elles hésitent, parlent entre elles de longues minutes avant de donner leur réponse :
-On veut bien essayer mais l’une d’entre nous veillera toujours à ce que tu n’ailles pas trop loin en mettant une main sur ta verge pour réfréner tes ardeurs.
-D’accord, approuve Anaïs, je demanderai même à Larissa d’y veiller, deux mains valent mieux qu’une.
Nous nous retrouvons donc le lendemain dans une salle isolée des autres filles. Les deux jeunes musulmanes se laissent enfin retirer le dernier rempart de tissu qui voilait leur nudité. Leur peau lisse et ferme n’est pas halée car le soleil ne les a pas caressées de ses rayons. Elles sont gauches et si prudes qu’elles essayent encore de cacher de leurs mains les poitrines orgueilleuses et la fente de leur pubis.
A suivre…
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