Le coma
Récit érotique écrit par BPG [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-05-2022 dans la catégorie A dormir debout
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Le coma
Ce que j’aime bien dans le coma, c’est qu’on peut sortir de son corps et aller se promener. Bon pas bien loin non plus sinon on meurt. Et la dernière fois, j’ai compris ma douleur quand l’équipe médicale m’a ramené à la vie. Mais j’aimerai aller jusqu’aux vestiaires des infirmières ! il y en a une petite que j’aimerai bien voir se changer… En attendant, j’ai ma femme qui vient me rendre visite. Deux semaines qu’elle vient après le travail tous les jours. Elle me raconte sa journée, les péripéties des enfants. Rien de bien intéressant, mais je n’ai que ça à faire, donc ça me fait toujours une attraction.
Aujourd’hui, elle n’a pas l’air dans son assiette. Pourtant sa petite robe lui va si bien. Elle est d’autant plus sexy avec ses talons. Et ses ongles manucurées, et ce maquillage… mais ?!? Elle s’est préparée pour sortir !!! Où est-ce qu’elle peut bien aller.
-« Bonjour mon chéri, je ne vais pas rester longtemps ce soir. Cela fait deux semaines que tu es dans le coma, et les médecins me disent que ça peut durer très longtemps. Alors, j’ai pris une décision. » Elle se tortille les doigts de nervosité. Et moi donc ! c’est quoi cette décision qui semble bien merdique vu sa tenue ?
-« Tu te souviens de toutes les cirses de jalousies que m’as faites concernant ton ami. Et bien, tu avais raison. Tu ne t’es même presque jamais trompé. »QUOI ? J’aurai des bras, il m’en serait tombé ! Voilà donc des années que je la voyais avoir un comportement tendancieux avec lui, et elle a toujours nié en me reprochant de voir le mal partout. Alors que je voyais seulement le mâle partout. Je me penche sur elle, et la bombarde de questions mentalement. Après tout, ça peut être marché.
Et ça n’a pas loupé. Elle a vidé son sac la salope. Et elle n’y est pas allée du dos de la cuiller pendant toutes ces années.
-« ça a commencé comme tu l’avais deviné, quand on l’avait hébergé à la maison pendant un mois et que tu étais au sport. C’est venu naturellement.
Bien évidemment ce n’est pas la culpabilité qui t’a étouffée !
-« Dès qu’on t’entendait arriver, on se dépêchait de se rhabiller. C’était tellement excitant de faire ça sous ton nez. Des fois, il me pelotait alors que tu avais le dos tourné. Parfois je le suçais quand tu étais à l’étage, puis je t’embrassais. Ça, ça l’excitait énormément.
Mais quelle salope, tu m’as fait goûter à mon insu la bite de mon pote !
-« Après, comme tu l’avais deviné, nous sommes allé à ce bar à vin, et il n’a pas arrêté de me tripoter. C’est pour ça que le patron me connaissait quand nous y sommes allés tous les deux. Il m’avait reconnu. Difficile d’oublier notre comportement. »Mais ça duré combien de temps cette relation ????
-« On ne s’est jamais tellement arrêté de se voir. Il y a eu des phases plus intenses que d’autres. Tu te souviens de cette soirée d’anniversaire où tu m’avais cherché partout pendant 1h et que je t’vais dit qu’on était parti déplacer la voiture ? En réalité, on était parti baiser dans la voiture, mais il a réellement fallu la déplacer. On a bien failli se faire prendre. Et puis l’orage est arrivé, et nous avons été bel et bien bloqués dans la voiture. Je l’ai sucé jusqu’à temps qu’il gicle dans ma bouche. »Mais tu as toujours refusé que je te le fasse !
-« J’adore boire son jus. Mais je ne veux pas le faire avec toi. C’est pas pareil. Lui, j’ai confiance. C’était mon premier amant, et c’est avec lui que j’avais envie de faire toutes ces découvertes. »Toutes ces découvertes ? parce qu’il y en a d’autres en plus ???
-« Je passais par chez lui en rentrant du travail, et je le suçais pour le sentir couler dans ma gorge. J’étais tellement impatiente, que parfois je n’attendais même pas qu’il me laisse rentrer. Je restais sur le pas de la porte, je le suçais activement pour qu’il me gicle, puis je rentrais chez nous, son sperme sur mon palais. »Dans la catégorie salope, tu te places bien toi !
-« et les séances de sport ! j’étais plus souvent à l’hôtel à côté que dans la salle. C’est pour ça que pendant les vacances en famille j’avais du mal à vous suivre pendant les randonnées ! Je n’étais quasiment jamais à la salle. »Le pire, c’est que je suis sûr que c’est toi qui payais en plus.
-« C’est sûr, financièrement, c’est surtout moi qui supportait les frais. Mais il est tellement doué avec sa queue. Tu te souviens l’été où on a passé trois semaines sans les enfants ? Tu n’as pas pu me toucher pendant toutes les vacances parce que j’avais des hémorroïdes ? ET bien c’est lui qui m’avait défoncé le cul à me blesser pour que tu ne me touches pas pendant ces trois semaines. »Ha oui, donc il passait toujours avant moi. Moi, c’était niet pour la sodomie !
-« Il n’aimait pas trop que je m’éclate avec toi. Donc il me limitait sur nos pratiques. Tu sais, à chaque fois que je te disais non, ce n’était pas moi qui parlait ! c’était lui. »De suite ça me rassure. Et sa copine dans l’histoire ? ça ne te dérangeait pas qu’il s’éclate avec elle ? ou là aussi tu avais ton véto ?
-« Et puis avec sa copine, c’était pas l’extase avec elle. Pourtant, elle est ouverte d’esprit. »Comment ça « ouverte d’esprit » ? Ne me dis pas que le plan à trois que tu me refuses, tu l’as fait avec eux ?
-« On ne l’a fait que peu de fois, mais c’était vraiment génial à chaque fois. C’est pour ça que je ne voulais pas le faire avec toi. Je voulais rester sur ces bons souvenirs. Avec toi, ça n’aurait pas marché de toute façon. Ça ne marche jamais avec toi. Alors que lui, il savait nous baiser toutes les deux et nous faire faire l’amour devant lui. C’était tellement bon de s’offrir à son regard. Il aimait tellement nous regarder nous lécher…. Il a même réussi à me faire accepter qu’elle utilise un gode ceinture et qu’ils me prennent tous les deux en même temps. C’était démentiel. »Démentiel ! Je ne sais pas. Moi, je me branle dans mon coin parce que ma femme est rassasiée par un autre.
-« Tu sais, c’est compliqué à vivre. Quand il venait passer la soirée à la maison, c’était tellement dur de ne pas se jeter l’un sur l’autre. Alors on essayait tout de même d’avoir un moment qu’à nous deux. Quand il allait aux toilettes, j’en profitais pour aller dans la cuisine pour qu’il m’y retrouve et qu’il me pelote. Parfois, il faisait discrètement dans le salon quand les enfants regardaient la télé. Ils sont tellement absorbés qu’ils ne voyaient rien. Contrairement à toi. Tu t’en étais bien douté. Toutes ces remarques acerbes que tu faisais nous obligeaient à changer nos plans. A chaque fois qu’on pensait trouver un plan parfait, tu le découvrais. L’hôtel à côté de la salle de gym, mes retours tardifs du bureau, même quand je passais deux heures à « faire les courses », il a fallu que tu t’aperçoives de ça. Et puis nos jeux de jambes sous la table. Tu as fini par nous placer en diagonale et tu mettais tes jambes en travers pour nous empêcher de se faire du pied. »Je n’avais aucune preuve, mais beaucoup de suspicions.
-« Mais le plus dur ça a été de garder le second enfant. Le premier est bien de toi car j’ai connu ton ami après sa naissance. Mais pas le second. Et puis il ne pouvait pas en avoir avec sa copine, alors j’ai cédé. »Ha oui, non là, ça va plus, je me barre !!! Qu’est-ce que tu peux me faire de pire que ça ???? J’ai élevé ce gosse issu des couilles de ce connard ??? Mais que vous alliez tous les deux en enfer.
Bizarrement, j’avais assez mal pris la nouvelle. Enfin les nouvelles. Le récit s’est prolongé encore sur quelques anecdotes. Puis, elle m’a dit qu’elle songeait à reprendre, car « tu comprends, ça fait deux semaines qu’il ne me touche plus ». Oui, vu les considérations que tu as envers ton mari, c’est un miracle que tu es tenue deux semaines. A ce niveau, je pensais que tu y serais allé dès le premier soir.
Donc là, elle va chez son amant. Putain je vais essayer de la suivre. Tant pis pour la décharge électrique si je meurs.
En réalité, ça ne s’est pas tout à fait passé comme ça. Le fil s’est rompu, et les médecins n’ont pas pu me ramener. Mais elle n’a appris ma mort que le lendemain car elle avait coupé son portable pour ne pas être dérangée. Mon corps était donc encore chaud, qu’elle se faisait monter par son amant.
Epilogue
- »Bonjour ! »- »Et merde ! »- »C’est le cas de le dire. Alors comme ça on est toujours athé ? »- »J’avoue que là, je peux que croire en vous maintenant. Mais concernant mon dossier d’admission dans votre club Le Paradis, ça passe ? »- »Au vue de l’ensemble du dossier je serai tenté de dire oui, mais vous avez chuté juste avant de mourir : malédiction de niveau 7. on ne lance pas ça comme ça ! »- »Mais j’ai dit ça comme ça. Et puis franchement vous voyez ce que je venais d’apprendre ? »- »mon fils n’a pas été assez clair sur le sujet ? »- »si ma mémoire est bonne, il n’était pas marié ! »- »je ne compterai pas ce blasphème. Exception culturelle française. Bon, son dossier à elle est bien noir par contre. Pas la peine d’en rajouter avec cette malédiction. Donc il va falloir la retirer. »- »ok, on fait comment ? »- »vous y retournez et vous pardonnez ! »---- »C’est bon docteur, il est revenu. »to be continued.
Aujourd’hui, elle n’a pas l’air dans son assiette. Pourtant sa petite robe lui va si bien. Elle est d’autant plus sexy avec ses talons. Et ses ongles manucurées, et ce maquillage… mais ?!? Elle s’est préparée pour sortir !!! Où est-ce qu’elle peut bien aller.
-« Bonjour mon chéri, je ne vais pas rester longtemps ce soir. Cela fait deux semaines que tu es dans le coma, et les médecins me disent que ça peut durer très longtemps. Alors, j’ai pris une décision. » Elle se tortille les doigts de nervosité. Et moi donc ! c’est quoi cette décision qui semble bien merdique vu sa tenue ?
-« Tu te souviens de toutes les cirses de jalousies que m’as faites concernant ton ami. Et bien, tu avais raison. Tu ne t’es même presque jamais trompé. »QUOI ? J’aurai des bras, il m’en serait tombé ! Voilà donc des années que je la voyais avoir un comportement tendancieux avec lui, et elle a toujours nié en me reprochant de voir le mal partout. Alors que je voyais seulement le mâle partout. Je me penche sur elle, et la bombarde de questions mentalement. Après tout, ça peut être marché.
Et ça n’a pas loupé. Elle a vidé son sac la salope. Et elle n’y est pas allée du dos de la cuiller pendant toutes ces années.
-« ça a commencé comme tu l’avais deviné, quand on l’avait hébergé à la maison pendant un mois et que tu étais au sport. C’est venu naturellement.
Bien évidemment ce n’est pas la culpabilité qui t’a étouffée !
-« Dès qu’on t’entendait arriver, on se dépêchait de se rhabiller. C’était tellement excitant de faire ça sous ton nez. Des fois, il me pelotait alors que tu avais le dos tourné. Parfois je le suçais quand tu étais à l’étage, puis je t’embrassais. Ça, ça l’excitait énormément.
Mais quelle salope, tu m’as fait goûter à mon insu la bite de mon pote !
-« Après, comme tu l’avais deviné, nous sommes allé à ce bar à vin, et il n’a pas arrêté de me tripoter. C’est pour ça que le patron me connaissait quand nous y sommes allés tous les deux. Il m’avait reconnu. Difficile d’oublier notre comportement. »Mais ça duré combien de temps cette relation ????
-« On ne s’est jamais tellement arrêté de se voir. Il y a eu des phases plus intenses que d’autres. Tu te souviens de cette soirée d’anniversaire où tu m’avais cherché partout pendant 1h et que je t’vais dit qu’on était parti déplacer la voiture ? En réalité, on était parti baiser dans la voiture, mais il a réellement fallu la déplacer. On a bien failli se faire prendre. Et puis l’orage est arrivé, et nous avons été bel et bien bloqués dans la voiture. Je l’ai sucé jusqu’à temps qu’il gicle dans ma bouche. »Mais tu as toujours refusé que je te le fasse !
-« J’adore boire son jus. Mais je ne veux pas le faire avec toi. C’est pas pareil. Lui, j’ai confiance. C’était mon premier amant, et c’est avec lui que j’avais envie de faire toutes ces découvertes. »Toutes ces découvertes ? parce qu’il y en a d’autres en plus ???
-« Je passais par chez lui en rentrant du travail, et je le suçais pour le sentir couler dans ma gorge. J’étais tellement impatiente, que parfois je n’attendais même pas qu’il me laisse rentrer. Je restais sur le pas de la porte, je le suçais activement pour qu’il me gicle, puis je rentrais chez nous, son sperme sur mon palais. »Dans la catégorie salope, tu te places bien toi !
-« et les séances de sport ! j’étais plus souvent à l’hôtel à côté que dans la salle. C’est pour ça que pendant les vacances en famille j’avais du mal à vous suivre pendant les randonnées ! Je n’étais quasiment jamais à la salle. »Le pire, c’est que je suis sûr que c’est toi qui payais en plus.
-« C’est sûr, financièrement, c’est surtout moi qui supportait les frais. Mais il est tellement doué avec sa queue. Tu te souviens l’été où on a passé trois semaines sans les enfants ? Tu n’as pas pu me toucher pendant toutes les vacances parce que j’avais des hémorroïdes ? ET bien c’est lui qui m’avait défoncé le cul à me blesser pour que tu ne me touches pas pendant ces trois semaines. »Ha oui, donc il passait toujours avant moi. Moi, c’était niet pour la sodomie !
-« Il n’aimait pas trop que je m’éclate avec toi. Donc il me limitait sur nos pratiques. Tu sais, à chaque fois que je te disais non, ce n’était pas moi qui parlait ! c’était lui. »De suite ça me rassure. Et sa copine dans l’histoire ? ça ne te dérangeait pas qu’il s’éclate avec elle ? ou là aussi tu avais ton véto ?
-« Et puis avec sa copine, c’était pas l’extase avec elle. Pourtant, elle est ouverte d’esprit. »Comment ça « ouverte d’esprit » ? Ne me dis pas que le plan à trois que tu me refuses, tu l’as fait avec eux ?
-« On ne l’a fait que peu de fois, mais c’était vraiment génial à chaque fois. C’est pour ça que je ne voulais pas le faire avec toi. Je voulais rester sur ces bons souvenirs. Avec toi, ça n’aurait pas marché de toute façon. Ça ne marche jamais avec toi. Alors que lui, il savait nous baiser toutes les deux et nous faire faire l’amour devant lui. C’était tellement bon de s’offrir à son regard. Il aimait tellement nous regarder nous lécher…. Il a même réussi à me faire accepter qu’elle utilise un gode ceinture et qu’ils me prennent tous les deux en même temps. C’était démentiel. »Démentiel ! Je ne sais pas. Moi, je me branle dans mon coin parce que ma femme est rassasiée par un autre.
-« Tu sais, c’est compliqué à vivre. Quand il venait passer la soirée à la maison, c’était tellement dur de ne pas se jeter l’un sur l’autre. Alors on essayait tout de même d’avoir un moment qu’à nous deux. Quand il allait aux toilettes, j’en profitais pour aller dans la cuisine pour qu’il m’y retrouve et qu’il me pelote. Parfois, il faisait discrètement dans le salon quand les enfants regardaient la télé. Ils sont tellement absorbés qu’ils ne voyaient rien. Contrairement à toi. Tu t’en étais bien douté. Toutes ces remarques acerbes que tu faisais nous obligeaient à changer nos plans. A chaque fois qu’on pensait trouver un plan parfait, tu le découvrais. L’hôtel à côté de la salle de gym, mes retours tardifs du bureau, même quand je passais deux heures à « faire les courses », il a fallu que tu t’aperçoives de ça. Et puis nos jeux de jambes sous la table. Tu as fini par nous placer en diagonale et tu mettais tes jambes en travers pour nous empêcher de se faire du pied. »Je n’avais aucune preuve, mais beaucoup de suspicions.
-« Mais le plus dur ça a été de garder le second enfant. Le premier est bien de toi car j’ai connu ton ami après sa naissance. Mais pas le second. Et puis il ne pouvait pas en avoir avec sa copine, alors j’ai cédé. »Ha oui, non là, ça va plus, je me barre !!! Qu’est-ce que tu peux me faire de pire que ça ???? J’ai élevé ce gosse issu des couilles de ce connard ??? Mais que vous alliez tous les deux en enfer.
Bizarrement, j’avais assez mal pris la nouvelle. Enfin les nouvelles. Le récit s’est prolongé encore sur quelques anecdotes. Puis, elle m’a dit qu’elle songeait à reprendre, car « tu comprends, ça fait deux semaines qu’il ne me touche plus ». Oui, vu les considérations que tu as envers ton mari, c’est un miracle que tu es tenue deux semaines. A ce niveau, je pensais que tu y serais allé dès le premier soir.
Donc là, elle va chez son amant. Putain je vais essayer de la suivre. Tant pis pour la décharge électrique si je meurs.
En réalité, ça ne s’est pas tout à fait passé comme ça. Le fil s’est rompu, et les médecins n’ont pas pu me ramener. Mais elle n’a appris ma mort que le lendemain car elle avait coupé son portable pour ne pas être dérangée. Mon corps était donc encore chaud, qu’elle se faisait monter par son amant.
Epilogue
- »Bonjour ! »- »Et merde ! »- »C’est le cas de le dire. Alors comme ça on est toujours athé ? »- »J’avoue que là, je peux que croire en vous maintenant. Mais concernant mon dossier d’admission dans votre club Le Paradis, ça passe ? »- »Au vue de l’ensemble du dossier je serai tenté de dire oui, mais vous avez chuté juste avant de mourir : malédiction de niveau 7. on ne lance pas ça comme ça ! »- »Mais j’ai dit ça comme ça. Et puis franchement vous voyez ce que je venais d’apprendre ? »- »mon fils n’a pas été assez clair sur le sujet ? »- »si ma mémoire est bonne, il n’était pas marié ! »- »je ne compterai pas ce blasphème. Exception culturelle française. Bon, son dossier à elle est bien noir par contre. Pas la peine d’en rajouter avec cette malédiction. Donc il va falloir la retirer. »- »ok, on fait comment ? »- »vous y retournez et vous pardonnez ! »---- »C’est bon docteur, il est revenu. »to be continued.
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