Le commis du supermarché
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-10-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le commis du supermarché
Il faut bien faire les "grandes courses" de temps en temps, et ce jour là était venu. Je déambulais dans les rayons du supermarché à la recherche de tous les produits de ma liste.
Vu la chaleur extérieure, c'était bien agréable de se promener dans les rayons frais.
Au détour d'un rayon, j'aperçois un mec, penché en avant, la tête dans un rayon montrant un beau petit cul serré dans un jean. Il bougeait et on voyait nettement les fesses se contracter… c'était presque un appel à passer la main, en tout cas c'était bien tentant.
J'observe un moment cette délicieuse vision quand le mec se redresse, me regarde en souriant.
Un beau petit black, visage fin, corps mince me toise. c'est le black le plus noir que j'ai jamais vu. j'en reste la bouche ouverte un instant? je me reprends en regardant ce que je suis venu chercher et je m'aperçois que le rayon est vide et il reste des pacs d'eau en hauteur? j'essaie d'en attraper un mais je suis pas assez grand.
-je peux vous aider ? dit la voix de mon petit noir.
Je me tourne vers lui, sourire aux lèvres.
-je veux bien, mais sans vous vexer je crois que vous êtes plus petit que moi.
Je le vois éclater d'un rire sonore.
-oui mais moi je suis plus malin dit il en faisant un pas de côté, j'ai un escabeau et sort l'engin planqué.
Je ris également, il déploie l'escabeau, un grand escabeau branlant, pas d'aplomb du tout. Il grimpe avec agilité dessus, attrape le pack.
-vous réceptionnez ?
Et, en se tournant pour me donner le pack, je ne sais pas ce qu'il trafique, s'emmêle les pieds, perd l'équilibre en lâchant le pack que je ne cherche pas à récupérer, mais je tend les bras et voilà mon beau petit black dans mes bras, s'agrippant à mon cou. Je le tiens serré contre moi.
On éclate de rire tous les deux. Je n'ai pas envie de le lâcher, son odeur m'a sauté au nez. C'est pas souvent que je renifle un beau black.
-à moins que vous vouliez remplacer l'escabeau vous pouvez me lâcher, je crois que le pack est arrivé.
Je le dépose à terre.
-merci quand même dit il sans vous je me ramassais comme une crêpe.
-on a rarement vu une crêpe noire dis je en riant.
-et le chocolat ? vous en faites quoi du chocolat..?
Il m'a balancé encore quelques vannes et je lui répondais bien sûr. Il avait l'œil coquin et son sourire élargissait sa grande bouche aux lèvres pulpeuses bien dessinées, imberbe de visage, la beau ébène, lisse donnait envie de le caresser, de passer mes lèvres sur ses joues et de l'embrasser.
Mais il m'a fait revenir dans la réalité.
-désolé mais j'ai encore du boulot dit il.
-et moi encore des courses.
Au fil de mes courses, je l'ai aperçu de loin l'air toujours affable.
Il y avait un monde fou aux caisses, j'ai attendu bien sûr et je me suis dirigé vers ma voiture que j'avais mise à l'ombre du supermarché à l'autre bout.
J'étais en train de ranger les courses dans le coffre de la voiture.
-j'espère que vous n'avez pas oublié le pack que j'ai dompté au péril de ma vie ! dit une voix que j'aurais reconnu entre mille.
-ah ah non non je ne l'ai pas oublié.
Sans façon il m'a aidé à ranger dans le coffre.
-le boulot est fini ?
-oui je vais chercher mon pain et je rentre me reposer.
-vous allez où chercher le pain, car moi aussi je vais à la boulangerie.
On allait dans la même qui était quand même à plus de 2 km du supermarché.
Je l'ai invité dans ma voiture et il a accepté sans façon, comme si on se connaissait depuis toujours.
Il s'est assis dans la voiture, mis la ceinture de sécurité, m'a tendu la main.
-merci de m'emmener dit il moi c'est Kofi.
-de rien quand même, moi c'est Fabrice.
Et il s'est mis à parler de lui, qu'il était d'origine togolaise, qu'il vivait dans la ville depuis deux ans avec sa famille, ses parents , ses frères et sœurs et qu'il avait 19 ans.
Je n'ai pratiquement pu en placer une, cela me faisait sourire.
On a fait la queue ensemble à la boulangerie, on est sorti et il est remonté en voiture.
-je t'emmène où maintenant dis je en souriant.
-je boirais bien un coup… dit il me regardant de son air encore plus coquin, chez toi, tu as bien quelque chose de frais avec cette chaleur ?
-d'accord mais tu m'aides à ranger les courses!
-eh mec! mais j'ai fini mon boulot moi! bon… enfin je vais t'aider… faut pas grimper sur un escabeau au moins ?
Il m'a aidé sans façon et on s'est installé au salon boire une bière bien fraîche.
Il claquait la langue en la dégustant et parlait toujours autant.
Et, quand il parlait de voir sa grande langue rose sortir de sa bouche, ses dents blanches, oh putain bien plus blanches que les miennes, ses lèvres bouger, je n'écoutais plus ce qu'il disait, je le mangeais du regard détaillant chaque centimètre carré de son visage.
Quand j'ai vu sa main passer devant mes yeux.
-oh oh tu penses à quoi ? t'es plus avec moi là !
-oui désolé dis je en sentant la chaleur arriver sur mon visage.
-oh faut pas rougir comme ça dit Kofi en se rapprochant de moi, sa main se pose sur la mienne. Putain que sa main est chaude et douce. Ma queue se met à bander, enfin elle essaie de se déplier.
Sa main enveloppe la mienne, je vois son visage arriver près du mien.
-t'es beau tout rouge comme ça dit il tout doucement en collant son front sur le mien, nos nez se touchent, nos yeux ne peuvent être plus près.
On reste un moment comme ça, le cœur battant, sa main qui caresse la mienne.
-toi aussi t'aimes les mecs ? car quand je t'ai vu tout à l'heure dans le magasin, je n'ai eu qu'une envie être dans tes bras et t'embrasser et te caresser ton corps de blond, j'adore les blonds.
J'ai avancé les lèvres pour qu'elles touchent les siennes. Il a fermé les yeux, tournant légèrement la tête, pour que nos lèvres se soudent et ce fut un doux baiser de lèvres chaudes, tendre, presque chaste.
J'ai senti sa main remonter le long de mon bras, me prendre par la nuque, s'affermir pour me tenir et ses lèvres sont entrées en action me bouffant les miennes, les léchant pour me donner sa langue. Cette belle et longue langue rose qui est entrée dans ma bouche, se bataillant avec la mienne.
Les langues faisaient des allers retours dans nos bouches, visitant tous les coins, s'échangeant leurs salives et j'adorais de suite la sienne.
Je l'ai pris à la nuque également, lui caressant, sentir sa peau lisse et chaude, me frottant à sa joue.
Il m'avait renversé sur le dossier du canapé, et nos lèvres ne se séparaient plus, c'était adorable de l'entendre soupirer de désir.
Ses mains sont venues de chaque côté de ma tête, me tenant bien et a continué à me bouffer les lèvres, la bouche, me lécher partout sur le visage en riant.
-t'es beau et tu sens bon m'a t-il dit en me caressant le visage.
-toi aussi t'es beau Kofi tu es un très beau mec! et tous les togolais sont aussi noirs que toi?
-les togolais sont les plus noirs de l'Afrique dit il fièrement.
Je ne pouvais dire le contraire.
-tu veux faire quoi ? dis je.
-te déguster des pieds à la tête, t'explorer pour découvrir tous tes trésors cachés et si t'es bien sage je te montrerais les miens.
Je rigolais devant son air sérieux.
-mais je pense que t'as bien un lit dans ta grande maison ?
J'ai passé mes bras sous ses jambes, je l'ai soulevé, il m'a entouré les siens autour du cou, me faisant des bisous sur la joue et je l'ai emmené dans ma chambre dont les volets étaient fermés compte tenu de la chaleur et il y régnait une certaine fraîcheur.
-mais on est bien ici dit Kofi en sautant de mes bras me poussant sur le lit où je suis tombé à la renverse.
-tu veux bien me laisser faire Fabrice ?
-oui je m'abandonne à toi Kofi.
Il a défait mes chaussures, enlevé mes chaussettes, enlevé mon ceinturon, enlevé mon jean, mon tee-shirt me laissant en boxer. Il m'a regardé des pieds à la tête pendant qu'il enlevait ses vêtements et que je voyais apparaitre son corps fin de black noir! il était plus petit que moi, plus fin mais ses muscles se voyaient bien bouger sous la peau.
Il a soulevé mes jambes, mettant mes pieds sur son torse. De ses grandes mains chaudes et douces il a les a caressé tendrement, passant un doigt entre chaque orteil, a pris un pied entre ses mains, me massant la plante des pieds. J'ai cru que cela allait me chatouiller mais non, c'était très plaisant et, ce qui l'a été encore plus, c'est quand ses lèvres sont venues se poser sur les orteils, les embrasser de petits bisous pour les prendre un par un dans sa bouche, sentir sa langue l'envelopper, les sucer, les lécher et il prenait son temps Kofi.
Mes pieds étaient aux petits soins et moi je bandais de plus en plus.
Quand ses mains sont remontées sur mes jambes en les caressant comme un massage érotique, frottant en effleurant mes couilles prisonnières, écartant mes jambes pour se positionner à genoux entre.
Je voyais bien qu'il bandait également, la déformation de son boxer était énorme.
Il ne m'a pas touché la queue, passant directement sur mon ventre, mes abdos, remontant vers mes tétons qu'il emprisonne de ses doigts, son corps juste au dessus du mien sans le toucher. Ses doigts jouent avec mes tétons, et me font gémir. Il les triture un moment avant de coller son torse au mien, sa bouche s'emparant de la mienne et ses mains se baladent partout sur mon corps.
Toucher son dos chaud et lisse pour la première fois, cette peau chaude, douce, passer mes mains sur ses petites fesses dures emprisonnées.
Le sentir bouger sur moi, son sexe bandé se frotter au mien qui coule déjà et sa langue qui n'en finie pas de jouer avec la mienne.
Ses mains enlever son boxer, le mien, sans que nos lèvres se séparent et sentir toute la chaleur de son sexe sur le mien, sentir ce gros machin rouler sur le mien, l'écraser, toucher ses fesses, en prendre une dans chaque main, les sentir se contracter, se décontracter, les caresser en les écartant. Je donnais de petits coups de reins contre lui.
Sa bouche est rapidement descendue sur mon corps, me faisant un bisou sur chaque téton, léchant mon nombril. Sa douce main chaude se saisir de mes couilles, ses lèvres arriver sur mon gland coulant, son autre main relever la hampe, prendre un malin plaisir à finir de le décalotter doucement et passer des petits coups de langues dessus s'amusant à récupérer la mouille qui coule. Je commence à gémir, mais quand ses lèvres l'enveloppent, c'est comme si j'avais reçu une décharge électrique et sa bouche, ses lèvres descendent sur la hampe, avalant sans difficulté ma belle queue!
Et de le voir, de sentir, me piper comme un mec qui n'a pas eu de queue depuis une éternité me faisant gémir de plus en plus, sa main serrait bien mes couilles, pas pour faire mal, juste pour la tenir bien droite et il alterne les gorges profondes et les suçages de gland. Je sens ma queue se raidir, il doit le sentir aussi car il accélère de plus en plus. Ma queue durcit et dans un râle de fin du monde, je me vide dans cette bonne bouche chaude et accueillante avec tellement de plaisir que j'ai cru m'évanouir.
Quand j'ai repris mes esprits, il me léchait la queue comme une glace.
Se redresse, me regarde.
-je trouve que c'est meilleur qu'une bière!
Et il revient m'embrasser en se frottant contre moi.
Je le retourne sur le lit, me mettant sur lui. Il prend ma tête entre ses mains.
-toi c'est mon petit cul que tu veux! j'ai bien vu ton regard quand tu le mates!
-comment t'as vu ça ? dis je en rigolant, t'as pas des yeux derrière la tête!
-j'étais sorcier dans une vie antérieure j'ai de grands pouvoirs magiques petit blanc et je sais que le petit blanc a envie du cul du petit black!
Et il éclate de rire!!
-tu veux pas que je goûte à ta queue ? parce que moi j'aimerais bien.
-toi t'as jamais goûté de jus togolais alors je t'offre ma tournée et après tu t'occupes de mon cul.
Au lieu de répondre, je suis allé voir de plus près cette belle merveille moins grosse et moins longue que j'imaginais mais épaisse et elle remplissait bien la main d'un honnête homme que je suis. Que dire quand je l'ai avalé, j'aime bien les queues pas trop longues qui viennent t'étouffer, te faire trop tousser et pleurer. J'aime une bonne queue à déguster sans modération, qui pleure en te donnant sa mouille et là j'ai été comblé.
J'ai dégusté aussi sa belle paire de couilles, de beaux œufs bien durs! pas facile à tout avalé ensemble mais agréable de les sentir nager dans ma salive avant de réattaquer la belle queue et je me suis appliqué, j'ai également pris mon temps tentant de découvrir chaque parcelle pour la graver dans ma mémoire et sentir une queue se raidir du traitement effectué dans sa bouche, entendre les gémissements du petit togolais qui serrait les draps dans ses poings. Le gland durcir pour cracher toute sa bonne sauce.
Et, il avait de la réserve mon beau togolais! quelle dégustation! j'ai cru qu'il n'allait pas s'arrêter. J'ai bien nettoyé les outils, ne laissant aucune trace et il m'a attiré sur lui.
-donne moi ta langue, j'aime sentir mon jus.
J'ai obéi, je ne voulais pas le décevoir.
Et j'ai senti sa main me toucher la queue.
-tu vas me baiser hein ?
-t'en as tant envie que ça ?
-avec toi oui! car je le fais rarement car se sont des brutes tous les mecs que je rencontre, toi t'es doux, tu vas me faire du bien! j'en suis sûr.
Je l'ai embrassé tendrement, faut pas contrarier les bonnes résolutions.
J'ai mis ses jambes sur son torse, remarquant au passage les grands pieds qu'il avait.
Son cul bien dégagé, les couilles tombaient. Je leur ai donné de petits coups de langue rien que pour l'entendre gémir. Il tenait ses jambes aux genoux, ses petites fesses étaient bien ouvertes.
De la pointe de la langue, j'ai suivi la raie imberbe touchant l'anus fermé. J'ai déposé de la salive, léchant, tentant de le pénétrer. J'ai léché, aspiré, bouffé ce beau cul mais il a fallu que je mette un doigt pour le voir s'ouvrir et l'entendre gueuler. J'ai foré d'un doigt au plus profond que je pouvais. Il n'arrêtait pas de pousser de petits cris, des gémissements, ses mains étaient venus ouvrir encore plus ses fesses.
J'ai remis de la salive et deux doigts pour l'entendre chanter!
Eh bien il allait chanter encore plus quand ma queue allait essayer de rentrer.
Mais son anus s'ouvrait plus facilement maintenant, et restait ouvert quand je retirais mes deux doigts. Il prenait maintenant trois doigts et gémissait tout autant.
J'ai mis un max de salive sur le trou ouvert, ma queue était toute humide de mouille bien décalottée j'ai posé le gland sur le trou ouvert et je me suis penché sur lui sentant mon gland entrer, l'anus se refermer dessus. Le gland glisser doucement dans l'ouverture et Kofi qui fermait les yeux, se mordant les lèvres, grimaçant pour ouvrir sa bouche et pousser un grand cri. Je me bloquais, il me regarde.
-continue.
Alors d'un coup de reins, je me suis enfoncé en lui, j'avoue, rien que pour l'entendre gueuler j'aime que les mecs gueulent quand ma queue les possède!
-baise moi!
Et je l'ai baisé! sentir ma queue coulisser dans ce petit cul offert. Une paroi douce, chaude et humide l'enveloppait et ça coulissait de mieux en mieux et lui ne gueulait plus mais gémissait les yeux fermés.
Je me suis appuyé sur ses cuisses faisant un bisou aux pieds près de ma tête, et je l'ai foré de plus en plus vite. Ses mains me tenaient les tétons et les serraient m'excitant encore plus et le plaisir, notre plaisir est arrivé. Bien ancré au fond de son cul, les giclées abondantes se sont succédées. Mes yeux sont tombés sur sa queue, collée sur son ventre qui giclait également de longues giclées qui remontaient entre ses seins, jusque sous son menton. Il râlait, je gémissais.
Je suis sorti de lui, pour m'allonger en prenant sa bouche, un doux baiser de mecs heureux!
On a repris nos souffles un moment, se caressant, se faisant des bisous.
-t'arrives à jouir quand tu te fais prendre.
-c'est parce que tu me plais énormément Fabrice, ça m'arrive pas souvent de jouir comme ça.
Et il m'a encore embrassé, caressé, nos queues avaient repris des airs de batailles.
-on peut prendre une douche ? m'a demandé Kofi.
On est allé s'amuser sous la douche, se lavant mutuellement avec nos mains qui furetaient partout pour finir par se branler mutuellement et jouir sous l'eau de la douche.
Je lui ai demandé s'il voulait me baiser.
-on verra, en général je ne baise que les salopes qui critiquent les blacks! et ceux là n'ont pas droit à mon cul ni même ma langue! ma queue dans leur cul uniquement. Mais toi j'ai vu tout de suite que t'étais un mec bien et que c'est mon cul qui t'intéressait et que tu te foutais que je sois black ou autres. Tes yeux ont vu un mec! et tu vois se sont les mecs comme toi que j'aime bien! et là il faut que je rentre chez mes parents ils vont s'inquiéter de ne pas me voir rentrer mais si tu veux bien je peux revenir.
-tu peux revenir quand tu veux Kofi, tu seras toujours le bienvenu.
-ben oui t'as pas encore goûté à mes pieds, mes beaux pieds. J'adore me faire bouffer et lécher les pieds… tu me feras ça ?
-je peux essayer et tu m'apprendras à le faire mieux.
-et t'auras mon cul en récompense, j'ai bien aimé ta façon de baiser Fabrice!
Quand il a été parti, j'ai trouvé drôle de me retrouver tout seul. Je sentais encore sa présence, son odeur était dans mon nez. Ma queue a encore réagi. Je me suis caressé doucement en repensant à tout ce qui venait de se passer pour arriver à me faire jouir en gémissant, trois longues giclées jusque dans mes cheveux.
J'étais bon pour une nouvelle douche.
Vivement la prochaine visite de Kofi…
Vu la chaleur extérieure, c'était bien agréable de se promener dans les rayons frais.
Au détour d'un rayon, j'aperçois un mec, penché en avant, la tête dans un rayon montrant un beau petit cul serré dans un jean. Il bougeait et on voyait nettement les fesses se contracter… c'était presque un appel à passer la main, en tout cas c'était bien tentant.
J'observe un moment cette délicieuse vision quand le mec se redresse, me regarde en souriant.
Un beau petit black, visage fin, corps mince me toise. c'est le black le plus noir que j'ai jamais vu. j'en reste la bouche ouverte un instant? je me reprends en regardant ce que je suis venu chercher et je m'aperçois que le rayon est vide et il reste des pacs d'eau en hauteur? j'essaie d'en attraper un mais je suis pas assez grand.
-je peux vous aider ? dit la voix de mon petit noir.
Je me tourne vers lui, sourire aux lèvres.
-je veux bien, mais sans vous vexer je crois que vous êtes plus petit que moi.
Je le vois éclater d'un rire sonore.
-oui mais moi je suis plus malin dit il en faisant un pas de côté, j'ai un escabeau et sort l'engin planqué.
Je ris également, il déploie l'escabeau, un grand escabeau branlant, pas d'aplomb du tout. Il grimpe avec agilité dessus, attrape le pack.
-vous réceptionnez ?
Et, en se tournant pour me donner le pack, je ne sais pas ce qu'il trafique, s'emmêle les pieds, perd l'équilibre en lâchant le pack que je ne cherche pas à récupérer, mais je tend les bras et voilà mon beau petit black dans mes bras, s'agrippant à mon cou. Je le tiens serré contre moi.
On éclate de rire tous les deux. Je n'ai pas envie de le lâcher, son odeur m'a sauté au nez. C'est pas souvent que je renifle un beau black.
-à moins que vous vouliez remplacer l'escabeau vous pouvez me lâcher, je crois que le pack est arrivé.
Je le dépose à terre.
-merci quand même dit il sans vous je me ramassais comme une crêpe.
-on a rarement vu une crêpe noire dis je en riant.
-et le chocolat ? vous en faites quoi du chocolat..?
Il m'a balancé encore quelques vannes et je lui répondais bien sûr. Il avait l'œil coquin et son sourire élargissait sa grande bouche aux lèvres pulpeuses bien dessinées, imberbe de visage, la beau ébène, lisse donnait envie de le caresser, de passer mes lèvres sur ses joues et de l'embrasser.
Mais il m'a fait revenir dans la réalité.
-désolé mais j'ai encore du boulot dit il.
-et moi encore des courses.
Au fil de mes courses, je l'ai aperçu de loin l'air toujours affable.
Il y avait un monde fou aux caisses, j'ai attendu bien sûr et je me suis dirigé vers ma voiture que j'avais mise à l'ombre du supermarché à l'autre bout.
J'étais en train de ranger les courses dans le coffre de la voiture.
-j'espère que vous n'avez pas oublié le pack que j'ai dompté au péril de ma vie ! dit une voix que j'aurais reconnu entre mille.
-ah ah non non je ne l'ai pas oublié.
Sans façon il m'a aidé à ranger dans le coffre.
-le boulot est fini ?
-oui je vais chercher mon pain et je rentre me reposer.
-vous allez où chercher le pain, car moi aussi je vais à la boulangerie.
On allait dans la même qui était quand même à plus de 2 km du supermarché.
Je l'ai invité dans ma voiture et il a accepté sans façon, comme si on se connaissait depuis toujours.
Il s'est assis dans la voiture, mis la ceinture de sécurité, m'a tendu la main.
-merci de m'emmener dit il moi c'est Kofi.
-de rien quand même, moi c'est Fabrice.
Et il s'est mis à parler de lui, qu'il était d'origine togolaise, qu'il vivait dans la ville depuis deux ans avec sa famille, ses parents , ses frères et sœurs et qu'il avait 19 ans.
Je n'ai pratiquement pu en placer une, cela me faisait sourire.
On a fait la queue ensemble à la boulangerie, on est sorti et il est remonté en voiture.
-je t'emmène où maintenant dis je en souriant.
-je boirais bien un coup… dit il me regardant de son air encore plus coquin, chez toi, tu as bien quelque chose de frais avec cette chaleur ?
-d'accord mais tu m'aides à ranger les courses!
-eh mec! mais j'ai fini mon boulot moi! bon… enfin je vais t'aider… faut pas grimper sur un escabeau au moins ?
Il m'a aidé sans façon et on s'est installé au salon boire une bière bien fraîche.
Il claquait la langue en la dégustant et parlait toujours autant.
Et, quand il parlait de voir sa grande langue rose sortir de sa bouche, ses dents blanches, oh putain bien plus blanches que les miennes, ses lèvres bouger, je n'écoutais plus ce qu'il disait, je le mangeais du regard détaillant chaque centimètre carré de son visage.
Quand j'ai vu sa main passer devant mes yeux.
-oh oh tu penses à quoi ? t'es plus avec moi là !
-oui désolé dis je en sentant la chaleur arriver sur mon visage.
-oh faut pas rougir comme ça dit Kofi en se rapprochant de moi, sa main se pose sur la mienne. Putain que sa main est chaude et douce. Ma queue se met à bander, enfin elle essaie de se déplier.
Sa main enveloppe la mienne, je vois son visage arriver près du mien.
-t'es beau tout rouge comme ça dit il tout doucement en collant son front sur le mien, nos nez se touchent, nos yeux ne peuvent être plus près.
On reste un moment comme ça, le cœur battant, sa main qui caresse la mienne.
-toi aussi t'aimes les mecs ? car quand je t'ai vu tout à l'heure dans le magasin, je n'ai eu qu'une envie être dans tes bras et t'embrasser et te caresser ton corps de blond, j'adore les blonds.
J'ai avancé les lèvres pour qu'elles touchent les siennes. Il a fermé les yeux, tournant légèrement la tête, pour que nos lèvres se soudent et ce fut un doux baiser de lèvres chaudes, tendre, presque chaste.
J'ai senti sa main remonter le long de mon bras, me prendre par la nuque, s'affermir pour me tenir et ses lèvres sont entrées en action me bouffant les miennes, les léchant pour me donner sa langue. Cette belle et longue langue rose qui est entrée dans ma bouche, se bataillant avec la mienne.
Les langues faisaient des allers retours dans nos bouches, visitant tous les coins, s'échangeant leurs salives et j'adorais de suite la sienne.
Je l'ai pris à la nuque également, lui caressant, sentir sa peau lisse et chaude, me frottant à sa joue.
Il m'avait renversé sur le dossier du canapé, et nos lèvres ne se séparaient plus, c'était adorable de l'entendre soupirer de désir.
Ses mains sont venues de chaque côté de ma tête, me tenant bien et a continué à me bouffer les lèvres, la bouche, me lécher partout sur le visage en riant.
-t'es beau et tu sens bon m'a t-il dit en me caressant le visage.
-toi aussi t'es beau Kofi tu es un très beau mec! et tous les togolais sont aussi noirs que toi?
-les togolais sont les plus noirs de l'Afrique dit il fièrement.
Je ne pouvais dire le contraire.
-tu veux faire quoi ? dis je.
-te déguster des pieds à la tête, t'explorer pour découvrir tous tes trésors cachés et si t'es bien sage je te montrerais les miens.
Je rigolais devant son air sérieux.
-mais je pense que t'as bien un lit dans ta grande maison ?
J'ai passé mes bras sous ses jambes, je l'ai soulevé, il m'a entouré les siens autour du cou, me faisant des bisous sur la joue et je l'ai emmené dans ma chambre dont les volets étaient fermés compte tenu de la chaleur et il y régnait une certaine fraîcheur.
-mais on est bien ici dit Kofi en sautant de mes bras me poussant sur le lit où je suis tombé à la renverse.
-tu veux bien me laisser faire Fabrice ?
-oui je m'abandonne à toi Kofi.
Il a défait mes chaussures, enlevé mes chaussettes, enlevé mon ceinturon, enlevé mon jean, mon tee-shirt me laissant en boxer. Il m'a regardé des pieds à la tête pendant qu'il enlevait ses vêtements et que je voyais apparaitre son corps fin de black noir! il était plus petit que moi, plus fin mais ses muscles se voyaient bien bouger sous la peau.
Il a soulevé mes jambes, mettant mes pieds sur son torse. De ses grandes mains chaudes et douces il a les a caressé tendrement, passant un doigt entre chaque orteil, a pris un pied entre ses mains, me massant la plante des pieds. J'ai cru que cela allait me chatouiller mais non, c'était très plaisant et, ce qui l'a été encore plus, c'est quand ses lèvres sont venues se poser sur les orteils, les embrasser de petits bisous pour les prendre un par un dans sa bouche, sentir sa langue l'envelopper, les sucer, les lécher et il prenait son temps Kofi.
Mes pieds étaient aux petits soins et moi je bandais de plus en plus.
Quand ses mains sont remontées sur mes jambes en les caressant comme un massage érotique, frottant en effleurant mes couilles prisonnières, écartant mes jambes pour se positionner à genoux entre.
Je voyais bien qu'il bandait également, la déformation de son boxer était énorme.
Il ne m'a pas touché la queue, passant directement sur mon ventre, mes abdos, remontant vers mes tétons qu'il emprisonne de ses doigts, son corps juste au dessus du mien sans le toucher. Ses doigts jouent avec mes tétons, et me font gémir. Il les triture un moment avant de coller son torse au mien, sa bouche s'emparant de la mienne et ses mains se baladent partout sur mon corps.
Toucher son dos chaud et lisse pour la première fois, cette peau chaude, douce, passer mes mains sur ses petites fesses dures emprisonnées.
Le sentir bouger sur moi, son sexe bandé se frotter au mien qui coule déjà et sa langue qui n'en finie pas de jouer avec la mienne.
Ses mains enlever son boxer, le mien, sans que nos lèvres se séparent et sentir toute la chaleur de son sexe sur le mien, sentir ce gros machin rouler sur le mien, l'écraser, toucher ses fesses, en prendre une dans chaque main, les sentir se contracter, se décontracter, les caresser en les écartant. Je donnais de petits coups de reins contre lui.
Sa bouche est rapidement descendue sur mon corps, me faisant un bisou sur chaque téton, léchant mon nombril. Sa douce main chaude se saisir de mes couilles, ses lèvres arriver sur mon gland coulant, son autre main relever la hampe, prendre un malin plaisir à finir de le décalotter doucement et passer des petits coups de langues dessus s'amusant à récupérer la mouille qui coule. Je commence à gémir, mais quand ses lèvres l'enveloppent, c'est comme si j'avais reçu une décharge électrique et sa bouche, ses lèvres descendent sur la hampe, avalant sans difficulté ma belle queue!
Et de le voir, de sentir, me piper comme un mec qui n'a pas eu de queue depuis une éternité me faisant gémir de plus en plus, sa main serrait bien mes couilles, pas pour faire mal, juste pour la tenir bien droite et il alterne les gorges profondes et les suçages de gland. Je sens ma queue se raidir, il doit le sentir aussi car il accélère de plus en plus. Ma queue durcit et dans un râle de fin du monde, je me vide dans cette bonne bouche chaude et accueillante avec tellement de plaisir que j'ai cru m'évanouir.
Quand j'ai repris mes esprits, il me léchait la queue comme une glace.
Se redresse, me regarde.
-je trouve que c'est meilleur qu'une bière!
Et il revient m'embrasser en se frottant contre moi.
Je le retourne sur le lit, me mettant sur lui. Il prend ma tête entre ses mains.
-toi c'est mon petit cul que tu veux! j'ai bien vu ton regard quand tu le mates!
-comment t'as vu ça ? dis je en rigolant, t'as pas des yeux derrière la tête!
-j'étais sorcier dans une vie antérieure j'ai de grands pouvoirs magiques petit blanc et je sais que le petit blanc a envie du cul du petit black!
Et il éclate de rire!!
-tu veux pas que je goûte à ta queue ? parce que moi j'aimerais bien.
-toi t'as jamais goûté de jus togolais alors je t'offre ma tournée et après tu t'occupes de mon cul.
Au lieu de répondre, je suis allé voir de plus près cette belle merveille moins grosse et moins longue que j'imaginais mais épaisse et elle remplissait bien la main d'un honnête homme que je suis. Que dire quand je l'ai avalé, j'aime bien les queues pas trop longues qui viennent t'étouffer, te faire trop tousser et pleurer. J'aime une bonne queue à déguster sans modération, qui pleure en te donnant sa mouille et là j'ai été comblé.
J'ai dégusté aussi sa belle paire de couilles, de beaux œufs bien durs! pas facile à tout avalé ensemble mais agréable de les sentir nager dans ma salive avant de réattaquer la belle queue et je me suis appliqué, j'ai également pris mon temps tentant de découvrir chaque parcelle pour la graver dans ma mémoire et sentir une queue se raidir du traitement effectué dans sa bouche, entendre les gémissements du petit togolais qui serrait les draps dans ses poings. Le gland durcir pour cracher toute sa bonne sauce.
Et, il avait de la réserve mon beau togolais! quelle dégustation! j'ai cru qu'il n'allait pas s'arrêter. J'ai bien nettoyé les outils, ne laissant aucune trace et il m'a attiré sur lui.
-donne moi ta langue, j'aime sentir mon jus.
J'ai obéi, je ne voulais pas le décevoir.
Et j'ai senti sa main me toucher la queue.
-tu vas me baiser hein ?
-t'en as tant envie que ça ?
-avec toi oui! car je le fais rarement car se sont des brutes tous les mecs que je rencontre, toi t'es doux, tu vas me faire du bien! j'en suis sûr.
Je l'ai embrassé tendrement, faut pas contrarier les bonnes résolutions.
J'ai mis ses jambes sur son torse, remarquant au passage les grands pieds qu'il avait.
Son cul bien dégagé, les couilles tombaient. Je leur ai donné de petits coups de langue rien que pour l'entendre gémir. Il tenait ses jambes aux genoux, ses petites fesses étaient bien ouvertes.
De la pointe de la langue, j'ai suivi la raie imberbe touchant l'anus fermé. J'ai déposé de la salive, léchant, tentant de le pénétrer. J'ai léché, aspiré, bouffé ce beau cul mais il a fallu que je mette un doigt pour le voir s'ouvrir et l'entendre gueuler. J'ai foré d'un doigt au plus profond que je pouvais. Il n'arrêtait pas de pousser de petits cris, des gémissements, ses mains étaient venus ouvrir encore plus ses fesses.
J'ai remis de la salive et deux doigts pour l'entendre chanter!
Eh bien il allait chanter encore plus quand ma queue allait essayer de rentrer.
Mais son anus s'ouvrait plus facilement maintenant, et restait ouvert quand je retirais mes deux doigts. Il prenait maintenant trois doigts et gémissait tout autant.
J'ai mis un max de salive sur le trou ouvert, ma queue était toute humide de mouille bien décalottée j'ai posé le gland sur le trou ouvert et je me suis penché sur lui sentant mon gland entrer, l'anus se refermer dessus. Le gland glisser doucement dans l'ouverture et Kofi qui fermait les yeux, se mordant les lèvres, grimaçant pour ouvrir sa bouche et pousser un grand cri. Je me bloquais, il me regarde.
-continue.
Alors d'un coup de reins, je me suis enfoncé en lui, j'avoue, rien que pour l'entendre gueuler j'aime que les mecs gueulent quand ma queue les possède!
-baise moi!
Et je l'ai baisé! sentir ma queue coulisser dans ce petit cul offert. Une paroi douce, chaude et humide l'enveloppait et ça coulissait de mieux en mieux et lui ne gueulait plus mais gémissait les yeux fermés.
Je me suis appuyé sur ses cuisses faisant un bisou aux pieds près de ma tête, et je l'ai foré de plus en plus vite. Ses mains me tenaient les tétons et les serraient m'excitant encore plus et le plaisir, notre plaisir est arrivé. Bien ancré au fond de son cul, les giclées abondantes se sont succédées. Mes yeux sont tombés sur sa queue, collée sur son ventre qui giclait également de longues giclées qui remontaient entre ses seins, jusque sous son menton. Il râlait, je gémissais.
Je suis sorti de lui, pour m'allonger en prenant sa bouche, un doux baiser de mecs heureux!
On a repris nos souffles un moment, se caressant, se faisant des bisous.
-t'arrives à jouir quand tu te fais prendre.
-c'est parce que tu me plais énormément Fabrice, ça m'arrive pas souvent de jouir comme ça.
Et il m'a encore embrassé, caressé, nos queues avaient repris des airs de batailles.
-on peut prendre une douche ? m'a demandé Kofi.
On est allé s'amuser sous la douche, se lavant mutuellement avec nos mains qui furetaient partout pour finir par se branler mutuellement et jouir sous l'eau de la douche.
Je lui ai demandé s'il voulait me baiser.
-on verra, en général je ne baise que les salopes qui critiquent les blacks! et ceux là n'ont pas droit à mon cul ni même ma langue! ma queue dans leur cul uniquement. Mais toi j'ai vu tout de suite que t'étais un mec bien et que c'est mon cul qui t'intéressait et que tu te foutais que je sois black ou autres. Tes yeux ont vu un mec! et tu vois se sont les mecs comme toi que j'aime bien! et là il faut que je rentre chez mes parents ils vont s'inquiéter de ne pas me voir rentrer mais si tu veux bien je peux revenir.
-tu peux revenir quand tu veux Kofi, tu seras toujours le bienvenu.
-ben oui t'as pas encore goûté à mes pieds, mes beaux pieds. J'adore me faire bouffer et lécher les pieds… tu me feras ça ?
-je peux essayer et tu m'apprendras à le faire mieux.
-et t'auras mon cul en récompense, j'ai bien aimé ta façon de baiser Fabrice!
Quand il a été parti, j'ai trouvé drôle de me retrouver tout seul. Je sentais encore sa présence, son odeur était dans mon nez. Ma queue a encore réagi. Je me suis caressé doucement en repensant à tout ce qui venait de se passer pour arriver à me faire jouir en gémissant, trois longues giclées jusque dans mes cheveux.
J'étais bon pour une nouvelle douche.
Vivement la prochaine visite de Kofi…
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