Le con sert tôt ( 2 )
Récit érotique écrit par Zefire [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-05-2008 dans la catégorie Pour la première fois
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Le con sert tôt ( 2 )
<p>Suite.
- 2 - Je suis assise en face de lui, je porte un chemisier et une jupe. Ca fait bien 20 mn qu’il parle, je l’ai écouté sans l’interrompre. De temps en temps il se désaltère, j’ai fini ma bière, repose mon verre. Je lui pose la question :
- T’as quand même réussi à l’avoir ?
Il ne me répond pas car depuis un certain temps, tout en racontant son histoire, il lorgne mes jambes. À l’écouter, je sens que je mouille ma culotte. Mine de rien, pendant qu’il raconte, j’écarte suffisamment les genoux pour lui laisser entrevoir ma culotte, les referme, recommence, remue sur mon siège, remonte la jupe sur mes cuisses. L’histoire qu’il me raconte me donne chaud au cul ! Je joue avec le feu en écartant les cuisses, mais écouter son histoire me donne de plus en plus envie de me faire sauter!
Soudain il se lève, et au lieu d’aller chercher d’autres bières, vient devant moi, attrape mes jambes, les relève, tire, je proteste :
- Oh là, qu’est c’qui t’prend ?
J’essaie de me redresser, je me retrouve les fesses au bord du coussin, la jupe remonte sous moi. Il s’empare direct de l’élastique de ma culotte, tire, je gesticule, ça l’aide à m’en débarrasser, il la jette sur le fauteuil, me voilà le cul à l’air ! Il me dit :
- Ta culotte est trempée, j’vais t’enfiler ma bite !
- Vas pas si vite, ouvre-moi !
Il écarte mes genoux brutal, relève la jupe sur mon ventre, plonge la tête entre mes cuisses, colle sa bouche sur mon sexe. Sa langue est en action sur mon clitoris, pendant que ses doigts pénètrent mon vagin. Je couine, mouille, ouvre les cuisses en grand, j’ai envie, je suis prête.
Je prends sa tête, appuie sa bouche sur ma vulve, il aspire ma mouille. Sa langue lèche mon clito, entre dans mon trou, je ne tiens plus, supplie !
- Prends-moi !
Il se relève, prend un coussin de fauteuil, le met au sol, me retourne brutalement, je me retrouve à genoux sur le coussin et le buste sur le canapé, en levrette. Il relève ma jupe sur le dos, j’ai le cul à l’air, j’écarte les jambes pour lui faciliter l’entrée en moi. Il baisse son pantalon, sort la queue et les couilles du slip, me relève un peu le cul, écarte mes lèvres, m’enfile deux doigts, les fait coulisser, m’ouvre. Il plante son gland devant le trou, pousse en m’agrippant aux hanches et sans ménagement, d’un seul coup, m’embroche direct.
- Aie, vas-y mou !
Il me burine sauvage, ses coups de queue sont rudes, je mouille terrible, à chaque va et vient il butte au fond de moi. Je transpire, l’accompagne dans sa chevauchée, mon cul suit les va et vient de sa bite. Il me ramone dur, passe une main sous mon ventre, ouvre la fente, roule mon clito entre deux doigts pendant qu’il actionne sa queue dans mon vagin. Je ne tiens plus, crie de plus en plus fort, je donne des coups de cul pour aller au devant se sa bite, il me défonce. Il n’a que 16 ans, sa bite, en baisant, va encore se développer, grandir, grossir, l’année dernière elle faisait 3,5 x 14, maintenant plutôt 4 x 16 ! Rien à voir avec les dimensions de la bite du fermier. Et dire que je l’ai dépucelé il y a à peine 1 an. Je sens qu’il commence à avoir un peu d’expérience ! Il sort de moi, je me relève, il me fout à poil, en fait autant pour lui, s’allonge sur le tapis, tient sa bite dressée, m’ordonne :
- Mets-toi à cheval sur mon dard, plante le dans ta chatte !
Je me mets à califourchon au-dessus de lui, saisie sa queue, la guide dans mon trou, descends, m’embroche. Et c’est parti pour une chevauchée fantastique, je monte et descends sur son pieu. Sans me quitter, il me bascule sur le côté, je serre mes cuisses, je sens bien sa queue coulisser dans mon ventre, il me pilonne sec. Je crie ma jouissance lorsqu’il se bloque et à chaque soubresaut répand son foutre au fond de mon vagin.
- Oh ! oui oui oui, encore !.
Il ressort, je me mets sur le dos, écarte les cuisses en grand, replie les jambes, me cambre, remonte mon cul.. Lui passe sur moi, fini de vider ses couilles sur mon ventre, mes seins, puis m’emmanche de nouveau, reprend ses va et vient, mais sa queue ramollit, ressort, retombe.
- Faut que j’prenne une douche, t'as foutu plein de foutre sur moi !
- Moi aussi, on va la prendre ensemble !
Je vais dans la salle de bain, il me suit. Je commence par me soulager puis passe sur le bidet pour vider mon vagin et faire une toilette intime. Il me regarde, intéressé, sa bite est devenue molle, pendouille. Je lui dis :
- T’es gonflé d’m’avoir sauté dessus comme ça !
- Tu me montres ta culotte, c’est pas un appel ça ?
- Pas du tout ! J’y pensais pas !
- Menteuse ! T’as tout fait pour me faire bander !
On est sous la douche, chacun de nous s’attarde sur les parties génitales de l’autre. Ses doigts me fouillent, ma main astique sa queue. Le voilà qui rebande. Je m’accroche à lui, garde un pied au sol, lève l’autre jambe, reprends sa queue, essaye de me la rentrer. Je n’y parviens pas, mauvaise position, pas assez long, pas encore assez dur, sur une patte je fatigue. Je m’accroupis, le suce, le gland grossit, prend de la couleur, la tige s’allonge, durcit. Cette fois il est en forme, je me relève, me penche en avant, m’appuie sur le mur, lui présente mon cul.
- Vas-y !
Et hop, un coup de rein, il est rentré dans mon vagin et cette fois peut arriver au fond.. Il me burine dur, l’eau coule sur nous, j’aime me faire baiser sous la douche, ça décuple les sensations. Il s’arrête, a un soubresaut, le mandrin se raidit, se contracte, ça y est, il va lâcher la purée ! Non, rien, même pas une petite coulée, je suis frustrée, les couilles sont vides. On sort de la douche, s’essuie, retournons dans le salon. On se rhabille.
- T’es quand même un sacré salaud, tu fais des infidélités à ta copine en me baisant !
- Pas si con, j’vais pas lui dire que j’te l’ai enfilé! Tu m’montres ton cul, c’est bien pour que je l’emmanche !
On reprend place, lui dans le fauteuil, moi sur le canapé. Cette fois il me ressert une bière et tout en la sirotant continue son histoire :
- Bon, tu veux savoir si j’ai réussi à la dépuceler ?
Le lendemain matin je vais au collège. Il est fermé. Je la vois, lui fait un petit signe, elle s’éloigne, fait semblant ne pas me voir. Déçu de ne pas lui avoir parlé, je rentre à la maison. Après avoir mangé le midi, je vais dans ma chambre, m’allonge sur le lit, sort ma queue, bande en pensant à elle, me branle, ça vient, j’ai chaud, j’arrête. Viendra, viendra pas ? Je suis nerveux, elle n’a pas voulu me parler ce matin, elle doit m’en vouloir d’avoir essayé de la prendre. Elle est trop jeune, 14 ½, je fais peut être une grosse connerie. Elle s’est laissée mettre le cul à l’air, elle doit le regretter. Je regarde ma montre. Une heure un quart, la demie, moins le quart, moins dix, toujours personne, c’est vraiment foutu, elle ne viendra pas.
On sonne à la porte, mon cœur bat la chamade! Je rentre ma bite, me lève, j’ai soudain très chaud, je tremble, sorts de ma chambre, respire à fond, me calme, me dirige vers la porte, l’ouvre. Elle est là, un grand sourire, en robe et blouson de cuir noir, petit sac à dos à l’épaule.
- Entre ! Tu m’as évité ce matin, je croyais que tu n’allais pas venir !
- On ne fait rien, tu promets !
- Je suis d’accord, c’est comme tu veux !
Elle entre, on se dirige vers le salon. Elle quitte son blouson, le met sur le canapé, s’y installe, ouvre son mini sac à dos, me dit : .
- Je te ramène ton slip !
- Et t’es venue seulement pour me le rapporter, je ne te crois pas !
- J’ai bien réfléchi, je ne peux pas !
- Je crois plutôt que tu es venue pour que je te la rentre !
- N’insiste pas, sinon je m’en vais !
Je lui sers un coca dans un verre, en prend un pour moi, m’installe dans le fauteuil face à elle. Je suis intimidé de la voir là, en face de moi, je ne sais pas quoi dire ni quoi faire. Si je me lance, elle risque de le prendre mal, de partir. J’ai tellement envie d’elle. C’est elle qui rompt le silence.
- J’ai pensé toute la nuit à ce que tu m’as fait, c’est mal, tu m’as entraîné trop loin, je ne veux pas recommencer. Tu comprends, j’l’ai jamais fait !
- Pourtant je crois que ça t’a plu puisque tu es là !
- Je sais, je m’en veux, tes caresses m’ont fait perdre la tête. C’était trop fort, j’pouvais pas résister, j’me suis laissée aller, je le regrette. Aujourd’hui tout est différent, la nuit a passé, mes sens sont apaisés, mon ventre est calmé, j’ai bien réfléchi, il ne faut pas, je ne veux pas !
- Pourquoi ? Il faudra bien que tu y passes !
- Pas maintenant, c’est trop tôt !
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- 2 - Je suis assise en face de lui, je porte un chemisier et une jupe. Ca fait bien 20 mn qu’il parle, je l’ai écouté sans l’interrompre. De temps en temps il se désaltère, j’ai fini ma bière, repose mon verre. Je lui pose la question :
- T’as quand même réussi à l’avoir ?
Il ne me répond pas car depuis un certain temps, tout en racontant son histoire, il lorgne mes jambes. À l’écouter, je sens que je mouille ma culotte. Mine de rien, pendant qu’il raconte, j’écarte suffisamment les genoux pour lui laisser entrevoir ma culotte, les referme, recommence, remue sur mon siège, remonte la jupe sur mes cuisses. L’histoire qu’il me raconte me donne chaud au cul ! Je joue avec le feu en écartant les cuisses, mais écouter son histoire me donne de plus en plus envie de me faire sauter!
Soudain il se lève, et au lieu d’aller chercher d’autres bières, vient devant moi, attrape mes jambes, les relève, tire, je proteste :
- Oh là, qu’est c’qui t’prend ?
J’essaie de me redresser, je me retrouve les fesses au bord du coussin, la jupe remonte sous moi. Il s’empare direct de l’élastique de ma culotte, tire, je gesticule, ça l’aide à m’en débarrasser, il la jette sur le fauteuil, me voilà le cul à l’air ! Il me dit :
- Ta culotte est trempée, j’vais t’enfiler ma bite !
- Vas pas si vite, ouvre-moi !
Il écarte mes genoux brutal, relève la jupe sur mon ventre, plonge la tête entre mes cuisses, colle sa bouche sur mon sexe. Sa langue est en action sur mon clitoris, pendant que ses doigts pénètrent mon vagin. Je couine, mouille, ouvre les cuisses en grand, j’ai envie, je suis prête.
Je prends sa tête, appuie sa bouche sur ma vulve, il aspire ma mouille. Sa langue lèche mon clito, entre dans mon trou, je ne tiens plus, supplie !
- Prends-moi !
Il se relève, prend un coussin de fauteuil, le met au sol, me retourne brutalement, je me retrouve à genoux sur le coussin et le buste sur le canapé, en levrette. Il relève ma jupe sur le dos, j’ai le cul à l’air, j’écarte les jambes pour lui faciliter l’entrée en moi. Il baisse son pantalon, sort la queue et les couilles du slip, me relève un peu le cul, écarte mes lèvres, m’enfile deux doigts, les fait coulisser, m’ouvre. Il plante son gland devant le trou, pousse en m’agrippant aux hanches et sans ménagement, d’un seul coup, m’embroche direct.
- Aie, vas-y mou !
Il me burine sauvage, ses coups de queue sont rudes, je mouille terrible, à chaque va et vient il butte au fond de moi. Je transpire, l’accompagne dans sa chevauchée, mon cul suit les va et vient de sa bite. Il me ramone dur, passe une main sous mon ventre, ouvre la fente, roule mon clito entre deux doigts pendant qu’il actionne sa queue dans mon vagin. Je ne tiens plus, crie de plus en plus fort, je donne des coups de cul pour aller au devant se sa bite, il me défonce. Il n’a que 16 ans, sa bite, en baisant, va encore se développer, grandir, grossir, l’année dernière elle faisait 3,5 x 14, maintenant plutôt 4 x 16 ! Rien à voir avec les dimensions de la bite du fermier. Et dire que je l’ai dépucelé il y a à peine 1 an. Je sens qu’il commence à avoir un peu d’expérience ! Il sort de moi, je me relève, il me fout à poil, en fait autant pour lui, s’allonge sur le tapis, tient sa bite dressée, m’ordonne :
- Mets-toi à cheval sur mon dard, plante le dans ta chatte !
Je me mets à califourchon au-dessus de lui, saisie sa queue, la guide dans mon trou, descends, m’embroche. Et c’est parti pour une chevauchée fantastique, je monte et descends sur son pieu. Sans me quitter, il me bascule sur le côté, je serre mes cuisses, je sens bien sa queue coulisser dans mon ventre, il me pilonne sec. Je crie ma jouissance lorsqu’il se bloque et à chaque soubresaut répand son foutre au fond de mon vagin.
- Oh ! oui oui oui, encore !.
Il ressort, je me mets sur le dos, écarte les cuisses en grand, replie les jambes, me cambre, remonte mon cul.. Lui passe sur moi, fini de vider ses couilles sur mon ventre, mes seins, puis m’emmanche de nouveau, reprend ses va et vient, mais sa queue ramollit, ressort, retombe.
- Faut que j’prenne une douche, t'as foutu plein de foutre sur moi !
- Moi aussi, on va la prendre ensemble !
Je vais dans la salle de bain, il me suit. Je commence par me soulager puis passe sur le bidet pour vider mon vagin et faire une toilette intime. Il me regarde, intéressé, sa bite est devenue molle, pendouille. Je lui dis :
- T’es gonflé d’m’avoir sauté dessus comme ça !
- Tu me montres ta culotte, c’est pas un appel ça ?
- Pas du tout ! J’y pensais pas !
- Menteuse ! T’as tout fait pour me faire bander !
On est sous la douche, chacun de nous s’attarde sur les parties génitales de l’autre. Ses doigts me fouillent, ma main astique sa queue. Le voilà qui rebande. Je m’accroche à lui, garde un pied au sol, lève l’autre jambe, reprends sa queue, essaye de me la rentrer. Je n’y parviens pas, mauvaise position, pas assez long, pas encore assez dur, sur une patte je fatigue. Je m’accroupis, le suce, le gland grossit, prend de la couleur, la tige s’allonge, durcit. Cette fois il est en forme, je me relève, me penche en avant, m’appuie sur le mur, lui présente mon cul.
- Vas-y !
Et hop, un coup de rein, il est rentré dans mon vagin et cette fois peut arriver au fond.. Il me burine dur, l’eau coule sur nous, j’aime me faire baiser sous la douche, ça décuple les sensations. Il s’arrête, a un soubresaut, le mandrin se raidit, se contracte, ça y est, il va lâcher la purée ! Non, rien, même pas une petite coulée, je suis frustrée, les couilles sont vides. On sort de la douche, s’essuie, retournons dans le salon. On se rhabille.
- T’es quand même un sacré salaud, tu fais des infidélités à ta copine en me baisant !
- Pas si con, j’vais pas lui dire que j’te l’ai enfilé! Tu m’montres ton cul, c’est bien pour que je l’emmanche !
On reprend place, lui dans le fauteuil, moi sur le canapé. Cette fois il me ressert une bière et tout en la sirotant continue son histoire :
- Bon, tu veux savoir si j’ai réussi à la dépuceler ?
Le lendemain matin je vais au collège. Il est fermé. Je la vois, lui fait un petit signe, elle s’éloigne, fait semblant ne pas me voir. Déçu de ne pas lui avoir parlé, je rentre à la maison. Après avoir mangé le midi, je vais dans ma chambre, m’allonge sur le lit, sort ma queue, bande en pensant à elle, me branle, ça vient, j’ai chaud, j’arrête. Viendra, viendra pas ? Je suis nerveux, elle n’a pas voulu me parler ce matin, elle doit m’en vouloir d’avoir essayé de la prendre. Elle est trop jeune, 14 ½, je fais peut être une grosse connerie. Elle s’est laissée mettre le cul à l’air, elle doit le regretter. Je regarde ma montre. Une heure un quart, la demie, moins le quart, moins dix, toujours personne, c’est vraiment foutu, elle ne viendra pas.
On sonne à la porte, mon cœur bat la chamade! Je rentre ma bite, me lève, j’ai soudain très chaud, je tremble, sorts de ma chambre, respire à fond, me calme, me dirige vers la porte, l’ouvre. Elle est là, un grand sourire, en robe et blouson de cuir noir, petit sac à dos à l’épaule.
- Entre ! Tu m’as évité ce matin, je croyais que tu n’allais pas venir !
- On ne fait rien, tu promets !
- Je suis d’accord, c’est comme tu veux !
Elle entre, on se dirige vers le salon. Elle quitte son blouson, le met sur le canapé, s’y installe, ouvre son mini sac à dos, me dit : .
- Je te ramène ton slip !
- Et t’es venue seulement pour me le rapporter, je ne te crois pas !
- J’ai bien réfléchi, je ne peux pas !
- Je crois plutôt que tu es venue pour que je te la rentre !
- N’insiste pas, sinon je m’en vais !
Je lui sers un coca dans un verre, en prend un pour moi, m’installe dans le fauteuil face à elle. Je suis intimidé de la voir là, en face de moi, je ne sais pas quoi dire ni quoi faire. Si je me lance, elle risque de le prendre mal, de partir. J’ai tellement envie d’elle. C’est elle qui rompt le silence.
- J’ai pensé toute la nuit à ce que tu m’as fait, c’est mal, tu m’as entraîné trop loin, je ne veux pas recommencer. Tu comprends, j’l’ai jamais fait !
- Pourtant je crois que ça t’a plu puisque tu es là !
- Je sais, je m’en veux, tes caresses m’ont fait perdre la tête. C’était trop fort, j’pouvais pas résister, j’me suis laissée aller, je le regrette. Aujourd’hui tout est différent, la nuit a passé, mes sens sont apaisés, mon ventre est calmé, j’ai bien réfléchi, il ne faut pas, je ne veux pas !
- Pourquoi ? Il faudra bien que tu y passes !
- Pas maintenant, c’est trop tôt !
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